Lors de la préparation d’un travail dans le cadre d’un cours, la professeure ou le professeur s’attend à ce que les personnes inscrites aillent dépouiller, ou amorcer, des recherches à partir de sources externes, d’où le nom « travail de recherche ». L’information ainsi recueillie se divise en trois grandes sources et il importe de pouvoir distinguer ces différentes catégories lorsque les renseignements pertinents à l’élaboration et à la rédaction d’un travail sont saisis.
Comme le nom l’indique, elles sont les sources de premier ordre et elles comprennent des documents créés par des témoins au moment où l’événement a été vécu. Parmi les exemples de sources primaires les plus utilisées lors d’études universitaires, nous comptons :
Habituellement, les sources primaires sont entreposées dans des lieux d’information désignés « centres d’archives ». Le Centre d’études acadiennes Anselme-Chiasson [1], situé à la bibliothèque Champlain de l’Université de Moncton, représente un exemple parfait de ce genre de dépôt.
Les sources secondaires sont des documents créés à partir des sources primaires et présentent une analyse ou une synthèse sur un sujet particulier. Elles s’avèrent les sources les plus nombreuses sur les rayons des bibliothèques. L’auteure ou l’auteur de la source secondaire a forcément eu recours aux sources primaires lors de la préparation de son œuvre. Parmi ces sources secondaires, nous trouvons les exemples suivants :
Comme le nom l’indique, les sources tertiaires occupent le troisième rang en importance parmi les sources à consulter. Elles sont avant tout une compilation de différents sujets créée à partir des sources secondaires. Les deux exemples les plus connus de ce type de source sont les manuels de cours (souvent les manuels d’introduction) et les encyclopédies.
Liens
[1] https://www.umoncton.ca/umcm-ceaac/