Vol. 48, no 27
29 mars 2018
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La photo nous fait voir, de gauche à droite : maître Rémy Boudreau, du cabinet McInnes Cooper, qui contribue financièrement à la tenue des Conférences J.-Fernand-Landry; Érik Labelle Eastaugh, directeur de l’Observatoire international des droits linguistiques; Robert LeBlanc, vice-doyen de la Faculté de droit; Hélène Bouchard, sous-ministre par intérim des Affaires intergouvernementales et représentante du premier ministre du Nouveau-Brunswick en matière de Francophonie; l’honorable Francine Landry, députée de Madawaska-Les-Lacs-Edmundston, ministre du Développement économique, ministre responsable de la Francophonie et ministre responsable d’Opportunités NB; la très honorable Michaëlle Jean, secrétaire générale de la Francophonie; Jacques Paul Couturier, recteur et vice-chancelier par intérim; Aldéa Landry; André Samson, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche; l’honorable Ginette Petitpas Taylor, ministre fédérale de la Santé et députée de Moncton-Riverview-Dieppe; Danick Jalbert, président de l’AÉÉDUM; Sarah Kanhai, VP communication, AÉÉDUM; maître Thomas Raffy, maître de cérémonie, président-directeur général du Conseil économique du Nouveau-Brunswick; Sara Scaletta, VP interne, AÉÉDUM; et l’honorable René Cormier, sénateur.
11es Conférences J.-Fernand-Landry et Francophonie internationale
Quelque 150 personnes ont pu entendre Son Excellence Michaëlle Jean, secrétaire générale de la Francophonie, prendre la parole à la Faculté de droit lors des 11es Conférence J.-Fernand-Landry le jeudi 15 mars dernier sous le thème La Francophonie, un levier international envers et pour la diversité culturelle et linguistique.

Ce thème et celui du premier ministre du Nouveau-Brunswick, Brian Gallant, lors des 10es Conférences J-Fernand-Landry, étaient tous deux liés aux contributions et au rôle de premier plan de Fernand Landry. Directeur général du 8e Sommet de la Francophonie, qui a eu lieu à Moncton en 1999, M. Landry est la raison pour laquelle la Déclaration du Sommet affirme solennellement, comme l’a souligné le directeur de l’Observatoire international des droits linguistiques, Érik Labelle-Eastaugh, au nom du doyen Fernand de Varennes, que « [l]a pluralité des langues et la diversité des cultures constituent des réalités qu’il faut valoriser. Dans cet esprit, nous devons continuer à soutenir la promotion et la diffusion de la langue française qui nous rassemble comme celles des cultures et des langues partenaires qui font nos identités et la richesse de notre communauté. »

Invitée par la Faculté de droit, la secrétaire générale a également procédé à la signature officielle d’un protocole d’entente de quatre ans entre l’Université de Moncton, l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), l’Agence universitaire de la Francophonie et le gouvernement du Nouveau-Brunswick. Ce protocole d’entente vise à faire de l’Observatoire international des droits linguistiques de la Faculté de droit de l’Université de Moncton un partenaire-clé de l’OIF.

La secrétaire générale a indiqué lors de la signature de l’entente que celle-ci « illustre la volonté des partenaires canadiens d’agir au sein de l’OIF, qui rassemble dans une coopération toujours plus vigoureuse 84 États et gouvernements sur les cinq continents riches de la diversité de leurs apports singuliers, de leurs traits de civilisation et de leurs expériences ». La ministre du Développement économique et ministre responsable de la Francophonie, Francine Landry, a déclaré que « [c]ette entente permettra de mettre en valeur et de partager l’expertise néo-brunswickoise en matière de langues officielles et de minorités linguistiques avec d’autres pays, en plus de contribuer à l’atteinte des objectifs de l’OIF en matière de diversité culturelle et linguistique. »

Le rôle de l’Observatoire international des droits linguistiques est de développer, d’appuyer et de promouvoir la formation et la recherche en matière de droits linguistiques dans les programmes de la Faculté de droit de l’Université de Moncton et sur les scènes provinciale, nationale et internationale.

Les Conférences J.-Fernand-Landry portent sur des thèmes variés — le droit, les politiques sociales, la géopolitique et l’administration publique — qui étaient tous d’intérêt au grand personnage politique et juridique dont ces conférences portent le nom. Ancien doyen de la Faculté de droit, il a ensuite été vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines de l’Université de Moncton, puis directeur général du 8e Sommet de la Francophonie en 1999. Il aura été président de la Société nationale de l’Acadie, du Barreau du Nouveau-Brunswick, du Programme canadien de contestation judiciaire et du conseil d’administration d’Assomption Vie.
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29e Colloque des jeunes chercheuses et chercheurs
Le 29e Colloque des jeunes chercheuses et chercheurs (CJCC), sous le thème Enjeux de l’intégrité de la recherche scientifique, a eu lieu le 21 mars dernier au campus de Moncton. Cette année, près de 70 étudiantes et étudiants de tous les cycles d’études ont présenté leurs travaux de recherche sous forme de présentations orales ou d’affiches dans les catégories Sciences humaines, sociales et santé ; Sciences naturelles, génie et santé ainsi que dans la catégorie Affiches. Les présentations ont été évaluées selon la qualité de l’exposé, la profondeur des travaux, le support visuel utilisé et des réponses aux questions des membres du jury et de l’auditoire.


Vers 12 h, tous ont convergé vers la conférence plénière du professeur Yves Gingras, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en histoire et sociologie des sciences de l’UQAM. La conférence de M. Gingras était sous le thème Les transformations du système de la recherche et leurs effets sur les pratiques de publication.

Au terme de la journée, des prix ont été décernés pour récompenser les meilleures présentations lors du Gala de remise des prix agrémenté par plusieurs prestations artistiques.

Le comité organisateur tient à remercier très sincèrement toutes les participantes et tous les participants, les partenaires, les membres des jurys, les intervenantes et intervenants ainsi que les bénévoles sans qui un tel événement ne pourrait avoir lieu.

Les récipiendaires des prix récompensant les meilleures présentations étudiantes sont :

Affiches toutes catégories :

1er prix : Carole Balthazar, étudiante au doctorat en sciences de la vie sous la direction des professeurs Martin Filion et David Joly
2e prix : Mathieu Johnson, étudiant à la maîtrise ès sciences (biochimie) sous la direction de la professeure Sandra Turcotte

Sciences humaines, sociales et santé (1er cycle)

1er prix : Meredith J. Batt, étudiante au baccalauréat ès arts (histoire) sous la direction de la professeure Phyllis LeBlanc
2e prix : Victor-Urbain Ngollo Ngollo, étudiant au baccalauréat en gestion de l’information sous la direction du professeur Tarik Beldjilali

Sciences humaines, sociales et santé (cycles supérieurs)

1er prix : Nicole Forest, étudiante à la maîtrise en éducation (enseignement-ressource) sous la direction de la professeure Angela Aucoin
2e prix : Samuel Gagnon, étudiant à la maîtrise ès arts en éducation sous la direction du professeur Mathieu Lang

Sciences naturelles, génie et santé (1er cycle)

1er prix : Rebekah Strang, étudiante au baccalauréat ès sciences (biochimie) sous la direction des professeurs Nicolas Pichaud et Marc Surette
2e prix : Véronique Cyr, étudiante au baccalauréat ès arts (spécialisation en psychologie) sous la direction du professeur Jean Saint-Aubin

Sciences naturelles, génie et santé (cycles supérieurs)

1erer prix : Marco Doucet, étudiant à la maîtrise ès sciences (biochimie) sous la direction des professeurs Marc Surette et Luc Boudreau
1er prix : Claire-Cécile Juhasz, étudiante au doctorat en sciences de la vie sous la direction des professeurs Nicolas Lecomte et Gilles Gauthier
2e prix : Robert Cormier, étudiant à la maîtrise ès sciences (biochimie) sous la direction du professeur Nicolas Pichaud
2e prix : Alexandre Pépin, étudiant à la maîtrise ès sciences (mathématiques) sous la direction des professeurs Sophie Léger et Normand Beaudoin
3e prix : Hala Guedouari, étudiante au doctorat en sciences de la vie sous la direction des professeurs Étienne Hébert Chatelain et Nicolas Pichaud
3e prix : Andy Couturier, étudiant à la maîtrise ès sciences (informatique) sous la direction du professeur Moulay Akhloufi
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Samuel Vernet
Le Prix Vo-Van a été remis à Samuel Vernet
La Faculté des arts et des sciences sociales est heureuse d’annoncer que la Faculté des études supérieures et de la recherche a remis le Prix Vo-Van de la meilleure thèse de l’année à Samuel Vernet pour une thèse intitulée Discours, idéologies et enseignement du français à l’Université de Moncton. La recherche portait sur la construction et la circulation des discours et des idéologies linguistiques dans leurs liens avec des rapports de force sociaux et des processus de domination. Cette recherche s’inscrivait dans une sociolinguistique qui favorise des approches ethnographique et critique, où le travail de terrain permet de saisir les dynamiques sociales et institutionnelles à l’œuvre dans une perspective historique.

M. Vernet est actuellement postdoctorant à l’Université Grenoble Alpes sur un projet européen autour de la prévention de la radicalisation et des discours de haine.

La thèse en cotutelle a été soutenue en novembre 2016 et était codirigée par la professeure titulaire Annette Boudreau (Université de Moncton) et la professeure des Universités Claudine Moïse (Université Grenoble Alpes).

En plus du Prix Vo-Van, la thèse de M. Vernet a également remporté le prix de la meilleure thèse en études canadiennes décernée par l’Association Françaises d’études canadiennes toutes disciplines confondues ainsi que le prix 2017 de l’École Doctorale Lettre, Langues, Sciences Humaines de l’Université Grenoble Alpes.
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Alexandre Vienneau est récipiendaire du prix du meilleur exposé introductif au concours national de la coupe Sopinka
L’équipe de la Faculté de droit de l’Université de Moncton, composée de Nicole Briand et d’Alexandre Vienneau, qui avait gagné en 2018 le concours régional de plaidoirie en première instance de la Coupe McKelvey le 17 février dernier, a participé au concours national de plaidoirie en première instance les 16 et 17 mars 2018, la Coupe Sopinka, à Ottawa. L’équipe était accompagnée du professeur James E. Lockyer, c.r., et de maître Renée Roy.

Le concours de la Coupe Sopinka est réservé aux huit équipes gagnantes des concours régionaux parmi les équipes participantes des vingt et une facultés de droit au pays. Les équipes participantes étaient Osgoode Hall Law School, University of Saskatchewan, Queen’s University, University of Manitoba, University of Toronto, McGill, l’Université d’Ottawa – droit civil et l’Université de Moncton. Chacune d’entre elles a participé à l’un des quatre procès simulés tenus au Palais de justice à Ottawa.

L’équipe de la Faculté de droit de l’Université de Moncton a fait très belle figure lors du concours et Alexandre Vienneau, étudiant de 3e année à la Faculté de droit de l’Université de Moncton, a reçu le prix du meilleur exposé introductif lors du concours.

Ce concours reprenait le même scénario que celui du régional de l’Atlantique, la Coupe McKelvey. Les étudiantes et étudiants assurent la préparation des témoins, l’interrogatoire principal, le contre-interrogatoire et les plaidoiries. Le procès avait lieu devant juge et jury composé d’avocats et de juges.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite : Brigitte Sonier-Ferguson, récipiendaire du prix Le Prisme, et Pandurang Ashrit, doyen de la Faculté des sciences.
Brigitte Sonier-Ferguson est l’ancienne de l’année de la Faculté des sciences
Le banquet annuel de la Faculté des sciences de 2018 a eu lieu récemment à La Teraz. Lors de ce banquet qui a réuni quelque 125 personnes, la Faculté des sciences de l’Université de Moncton a rendu hommage à son ancienne de l’année, Brigitte Sonier-Ferguson, qui a obtenu un baccalauréat et une maîtrise avec spécialisation en biochimie à la Faculté des sciences. Le Prisme, un prix bisannuel, est remis à une ancienne ou un ancien de la Faculté des sciences qui connaît des succès remarquables en cours de carrière.

Mme Sonier-Ferguson est directrice en formation et recherche au Réseau de Santé Vitalité à Moncton. Dirigeante dynamique, elle supervise une équipe de 18 employés incluant le bureau d’appui à la recherche et le groupe d’essai clinique. Elle est également responsable du développement et de la révision du plan stratégique pour la mission universitaire du Réseau de santé Vitalité et le déploiement d’un plan d’action pour accroître la capacité en formation et en recherche. Elle est aussi coordonnatrice à la recherche fondamentale et à l’engagement scientifique favorisant le réseautage entre chercheurs et cliniciens ainsi que l’élaboration de protocole de recherche fondamentale et tranlationnelle. Son engagement lui a permis d’apporter une très grande contribution au développement de la recherche clinique à Moncton auprès des chercheurs des différents milieux et des professionnels de la santé. Elle collabore notamment avec plusieurs professeures et professeurs de l’Université de Moncton. Elle enseigne également au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB). Mme Sonier-Ferguson est aussi professeure associée au Département de biochimie de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université Sherbrooke.

Ce banquet, organisé principalement par le Conseil étudiant de la Faculté, est une occasion de souligner les succès et les accomplissements des membres de la Faculté. C’est ainsi que plusieurs prix d’excellence ont été décernés à des étudiantes et étudiants très performants sur le plan académique et très engagés dans leur milieu. Un prix d’excellence en enseignement, le prix Bernard-Vanbrugghe, est aussi accordé à une professeure ou un professeur d’exception.
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En avant, de gauche à droite : Louis Richard, professeur à la retraite; Patricia Savoie-Savard, première travailleuse sociale en Acadie; Ginette Babineau, secrétaire de l’École de travail social; et Stéphanie LeBlanc, étudiante de 4e année. Deuxième et troisième rangées, de gauche à droite : Elda Savoie, professeure; Natasha Landry, étudiante de 5e année; Sylvie Bourgeois, présidente du Conseil étudiant de l’École de travail social; Marc Gallant, premier travailleur social en Acadie; Isabel Lanteigne, professeure; Shane McCluskey, étudiant de 5e année; Denis Savoie, directeur régional de Campbellton au ministère du Développement social; et Chantal Bourassa, directrice de l’École de travail social.
50e anniversaire de la formation en travail social à l’Université de Moncton
Les 22 et 23 mars derniers, l’École de travail social a célébré le 50e anniversaire de la formation en travail social à l’Université de Moncton. Dans le cadre de l’événement, certains des premiers travailleurs sociaux en Acadie et la première travailleuse sociale en Acadie étaient présents. De plus, la députée d’Edmundston-Madawaska-Centre, Madeleine Dubé, une diplômée de l’École de travail social, était l’invitée d’honneur.

Les célébrations ont permis de retracer l’histoire de l’École et de reconnaître les contributions significatives à la justice sociale menées par les travailleuses sociales et travailleurs sociaux.

L’histoire de la formation en travail social en Acadie a débuté en 1968 lorsque le Département de service social voit le jour, et ce, grâce aux efforts de ses fondateurs : Normand Doucet et Georgio Gaudet. C’est alors que M. Doucet en devient le premier directeur.

L’Université de Moncton est la seule université au Nouveau-Brunswick qui offre un programme de 2e cycle en travail social et la seule à offrir des programmes de baccalauréat et de maîtrise en travail social en français à l’est du Québec, si l’on fait exception de l’Université Ste-Anne, qui offre un programme de baccalauréat en partie à distance en partenariat avec l’Université Laurentienne.
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La photo nous fait voir la délégation de la Faculté d'ingénierie de l'Université de Moncton. De gauche à droite, 1re rangée : Ines Haman, Marc Drisdelle, Melissa Pellerin, Nicholas LeBlanc, Maxime Landry et Vincent Michaud. 2e rangée, Janick Martin, Richard Godin, Philippe Labbé, Kevin Vigneault-Chiasson, Marc Drisdelle et Julien Bourque.
La CAG 2018 à MUN !
La Compétition atlantique de génie (CAG) accueille annuellement les plus brillants esprits de la relève en ingénierie dans un environnement social et compétitif afin de tester les limites de l’innovation. Cette année, la CAG s’est déroulée du 26 au 28 janvier 2018 à Memorial University, à Saint John’s, Terre-Neuve-et-Labrador.

Cette compétition, qui regroupe les universités des différentes provinces atlantiques, se divise en huit catégories distinctes. L’Université de Moncton avait une belle délégation de 16 étudiantes et étudiants qui formaient quatre équipes : deux en design senior, une en design junior et une autre en projet innovateur. Dans tous les cas, les équipes font face à des défis d’ingénierie qui repoussent les frontières de leur imagination et doivent appliquer leurs connaissances acquises et travailler en équipe.

Les deux équipes en design senior en étaient à leur deuxième participation et ont fait belle figure avec deux concepts fonctionnels et des présentations solides. Les équipes de projet innovateur et de design junior ont vécu l’excitation d’une première participation à la CAG. La frénésie de la cérémonie des prix, les activités sociales de la fin de semaine, le réseautage avec les autres universités et les professionnelles et professionnels ainsi que les épreuves ont sans aucun doute laissé de bons souvenirs aux participantes et participants et ainsi marqué leur vie étudiante à l’Université de Moncton.

Les étudiantes et étudiants de la Faculté d’ingénierie sont fiers, en tant que représentantes et représentants de la seule université francophone des provinces atlantiques, de faire résonner le chant du « Nous sommes » en portant le bleu, le blanc et l’or.
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La formation sur les fondements de la recherche axée sur le patient est un grand succès !
La formation sur les fondements de la recherche axée sur le patient, organisée par l’Unité de soutien à la Stratégie de recherche axée sur le patient (USSM) et le réseau Action diabète Canada (ADC), a eu lieu les 15 et 16 mars derniers et a été un grand succès !

Douze participantes et participants comptant des patientes et patients partenaires, des professionnelles et professionnels de la santé et des professionnelles et professionnels de la recherche se sont rassemblés à la salle Richelieu au pavillon Léopold-Taillon afin de développer une compréhension commune de l’engagement des patientes et patients dans la recherche en santé et de solidifier des équipes de recherche souhaitant engager diverses parties prenantes.

Cette session, animée par des patientes et patients partenaires et la formatrice du réseau ADC a permis aux patientes et patients, aux chercheuses et chercheurs, aux professionnelles et professionnels de la santé et aux décideuses et décideurs de se réunir pour une expérience d’apprentissage des plus riches pour tous. De nombreuses activités pratiques ont permis aux participantes et participants d’intégrer les notions développées, d’échanger sur leurs intérêts en recherche et de tisser des liens avec les autres participantes et participants.

L’USSM de Moncton, basée au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick, met au centre de ses priorités la formation en recherche axée sur le patient et proposera d’autres ateliers plus spécifiques pour répondre à une demande grandissante de la communauté de recherche.

Action diabète Canada est le réseau de la Stratégie de recherche axée sur le patient (SRAP) sur le diabète et ses complications, une entité du programme de la SRAP sur les maladies chroniques des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC). Sa mission est de transformer la santé des gens vivant avec le diabète et ses complications. Elle vise à faciliter la création d’importants liens entre les patientes et patients, les fournisseuses et fournisseurs de soins de santé primaires et les spécialistes afin d’améliorer les soins de santé et d’entraîner d’importantes économies de coûts au système de santé.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite : Roger G. LeBlanc, Chantale Brun, directrice de l’École de kinésiologie et de loisir, Nancy Black, Mathieu Bélanger, Mark Tremblay, Horia Iancu, Natalie Carrier, doyenne de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires, et Grant Handrigan.
Mark Tremblay était de passage à l’École de kinésiologie et de loisir
Dans le cadre de sa tournée mondiale, Mark Tremblay, professeur-chercheur de renommée, en partenariat avec le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick, a fait une présentation devant plus d’une centaine de professionnelles et professionnels de la santé à l’École de kinésiologie et de loisir le vendredi 16 mars dernier.

M. Tremblay a présenté les nouvelles directives canadiennes en matière d’activité physique pour la petite enfance. Cette approche intégrée regroupe l’activité physique, le comportement sédentaire et le sommeil. « Le temps devant un écran est déconseillé pour les enfants de moins de 3 ans et devrait se limiter à moins d’une heure par jour jusqu’à l’âge de 5 ans. Les moments sédentaires devraient être accompagnés de lecture ou de jeux cognitifs », souligne M. Tremblay, spécialiste et expert du domaine.

À la suite à sa présentation, d’autres chercheurs en santé ont présenté leurs travaux de recherche en cours, notamment Roger G. LeBlanc (Mieux-être en milieu de travail – Momenta), Nancy Black (L’ergonomie en milieu de travail), Mathieu Bélanger (Les déterminants de la participation à l’activité physique), Horia Iancu (L’évaluation des habiletés fondamentales) et Grant Handrigan (La prévention des chutes).

Pour plus d’information :

Isabelle Caissie
506-858-4265
isabelle.caissie@umoncton.ca
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Des joueurs de cricket acadiens ? Approches et opportunités dans l’histoire du sport dans les provinces maritimes, jusqu’en 1914
Le vendredi 6 avril, de 12 h à 13 h, au local 178 de la Bibliothèque Champlain, l’activité Les vendredis midis de l’IEA aura lieu avec John Reid, membre du Département d’histoire de Saint Mary’s University et chercheur principal de Gorsebrook Research Institute.

L’histoire du sport est un domaine d’étude qui s’est énormément développé au cours des dernières décennies. L’histoire des sports a acquis un pouvoir explicatif non seulement dans l’histoire de l’activité sportive en soi, mais également en ouvrant de nouvelles perspectives sur de nombreux domaines de l’histoire sociale et culturelle. Ceux-ci comprennent le rôle du sport dans la formation des relations entre les classes sociales, dans la mobilité sociale, dans la création et la consolidation des réseaux sociaux et culturels, et dans d’autres domaines importants de l’étude historique. Cette conférence donnera des exemples du pouvoir explicatif de l’histoire du sport tiré de l’expérience des provinces maritimes jusqu’en 1914, et suggérera aussi des domaines dans lesquels l’histoire du sport acadien peut enrichir notre compréhension du passé acadien.
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Causerie-midi du CRDE
Le jeudi 5 avril, de 12 h à 13 h, au local B-119 du pavillon Jeanne-de-Valois, l’activité causerie-midi du Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE) aura lieu. La présentation sera offerte par Aïcha Benimmas, professeure et chercheuse à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton, et Sylvia Kasparian, professeure au Département d’études françaises et directrice du Laboratoire d’analyse de données textuelles de l’Université de Moncton.

Le CRDE désire inviter la communauté universitaire à sa prochaine causerie-midi intitulée Comment des immigrants et des membres de la société d’accueil acadienne en milieu francophone minoritaire, perçoivent-ils le concept de citoyenneté ?

Résumé de la causerie-midi :
À l’instar des autres milieux francophones en situation minoritaire, le contexte acadien connaît des changements au niveau sociodémographique dus à l’immigration récente (non européenne). Ceci mène à l’interaction entre des groupes sociaux ayant des cultures et des référents identitaires différents les uns des autres et habitant un même territoire. Une telle situation provoque souvent la réactivation de discussions autour de certains concepts importants tels que la solidarité sociale, la cohésion sociale, la citoyenneté, l’identité, etc. Ainsi, le concept de citoyenneté fait l’objet de définition et de redéfinition d’une manière continue. Si les citoyennes et citoyens francophones, immigrants et membres de la société d’accueil, peuvent se rejoindre grâce à la langue française, ils peuvent se différencier par rapport à d’autres caractéristiques identitaires, à savoir la culture, l’ethnie, la religion et l’histoire. C’est dans ce sens que la présente causerie-midi vise à partager les résultats d’une recherche ayant exploré le sens que différents groupes (nouvelles arrivantes et nouveaux arrivants et membres de la société d’accueil) donnent aux concepts de citoyen et de participation citoyenne. Le traitement lexical de notre corpus nous a permis de relever, par un aller-retour constant entre les analyses qualitatives et quantitatives, les ressemblances et les divergences dans le discours de quatre groupes de participants à notre étude : jeunes immigrantes et immigrants, parents immigrants, jeunes de la société d’accueil et parents de la société d’accueil.

Au plaisir de vous y voir en grand nombre !
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Littérature pour les tout-petits et traduction : le cas des albums de Leslie Patricelli qui mettent en scène Baby
Le mercredi 4 avril 2018, de 12 h à 13 h, au local 206 du pavillon des Arts, Julie Arsenault, professeure agrégée et directrice du Département de traduction et des langues, prononcera une conférence publique intitulée Littérature pour les tout-petits et traduction : le cas des albums de Leslie Patricelli qui mettent en scène Baby. Cette conférence est organisée par le Centre de recherche en linguistique appliquée.

Résumé

L’offre réduite d’œuvres en français pour les tout-petits est un réel problème, surtout en Acadie. Dans ce contexte, la traduction des œuvres de langue anglaise qui ont connu du succès auprès de ce public cible apparaît comme une solution intéressante. Les albums de l'auteure et de l'illustratrice américaine Leslie Patricelli qui mettent en scène Baby sont des odes à la vie d'une simplicité touchante et d'une richesse étonnante qui tombent sous cette catégorie. Cette conférence sera l’occasion 1) de présenter l’auteure et illustratrice, et ses œuvres originales, 2) de décrire le corpus, 3) d’analyser les aspects physiques des albums du corpus et de proposer des solutions pour la traduction et 4) d’analyser des éléments verbaux et non verbaux des albums du corpus, et de proposer des solutions pour la traduction.

Notice biographique

Julie Arsenault est professeure agrégée et directrice du Département de traduction et des langues où elle enseigne des cours de version générale et spécialisée. Elle est également membre du groupe de recherche Traduction et communication transculturelle (TRACT) de l’Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3. Ses recherches portent principalement sur les littératures anglaise et anglo-américaine des XIXe et XXe siècles traduites en France. Son projet de traduction des albums pour les tout-petits de Leslie Patricelli qui mettent en scène Baby est l’occasion de combiner son intérêt pour la littérature jeunesse à son désir d’élargir ses compétences de traduction.

Bienvenue à toutes et à tous!

Pour plus d’information :

Lise Landry
Centre de recherche en linguistique appliquée
506-858-4057
crla@umoncton.ca
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=20586
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Georgia Vrakas
Dîner-causerie du GRISMEJ sur la santé mentale positive
Le prochain dîner-causerie du Groupe de recherche interdisciplinaire sur la santé mentale des enfants et des jeunes (GRISMEJ) portera sur la santé mentale positive et sera offert par Georgia Vrakas, professeure de psychoéducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Cette causerie, initialement prévue en janvier, a dû être annulée en raison des conditions météorologiques.

Avec l’arrivée du DSM 5, nous sommes de plus en plus préoccupés par l’augmentation perçue des troubles mentaux et leurs conséquences sur les jeunes et adultes. Un concept dont on parle peu, mais qui est tout aussi important est la santé mentale. Selon l’Agence de santé publique Canada, la santé mentale est « la capacité qu’a chacun d’entre nous de ressentir, de penser et d’agir de manière à améliorer notre aptitude à jouir de la vie et à relever les défis auxquels nous sommes confrontés. Il s’agit d’un sentiment positif de bien-être émotionnel et spirituel qui respecte l’importance de la culture, de l’équité, de la justice sociale, des interactions et de la dignité personnelle ». La présentation portera sur le concept de santé mentale positive, son évaluation et les moyens pour favoriser son développement. Un projet portant sur la santé mentale des jeunes inuit du Nunavut servira à illustrer l’importance de se concentrer sur les forces afin de soutenir le développement de cette ressource.

L’activité, en format vidéoconférence, aura lieu le mercredi 4 avril, de 12 h à 13 h, au local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois. Il sera aussi possible d’y assister par vidéoconférence au local 506 du pavillon Simon-Larouche, campus d’Edmundston.

L’inscription est requise pour cette activité et le nombre de places est limité. Pour vous inscrire, veuillez écrire à krystelle.leblanc@umoncton.ca.

Sentez-vous libres d’apporter votre dîner !
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=20594
Club de mathématiques
Paul Deguire, professeur au Département de mathématiques et statistique de l’Université de Moncton, animera le Club de mathématiques où il discutera de Bernhard Riemann. Cette conférence aura lieu le mercredi 11 avril à 12 h au local A-102 du pavillon Rémi-Rossignol.

Résumé
Bernhard Riemann (1826-1866) est un des mathématiciens les plus originaux qui ait vécu. Nous ferons un tour d’horizon de ses travaux en notant au passage ses améliorations de travaux de très grands mathématiciens comme Euler, Gauss et Cauchy ainsi que ses idées révolutionnaires en géométrie qui ont rendu possible la théorie de la relativité générale. Puis nous nous intéresserons à la conjecture de Riemann, le problème le plus important en mathématique depuis plus d’un siècle. L’état actuel des connaissances sur cette conjecture illustre précisément les conditions nécessaires pour qu’un résultat mathématique soit accepté comme vrai.

La conférence est ouverte à toutes et à tous!
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=20581
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La photo nous fait voir, de gauche à droite : l’étudiante Marie-Agnès Auriane Christy Gnagbo, de la Côte d’Ivoire; l’étudiante Lantoniaina Fanny Rasomiaramanana, du Madagascar; l’étudiante Miary Voniaritsimba Raininoro, du Madagascar; le père Pyritho Marcelin, aumônier; l’étudiant Arnaud Euloge Nombré, du Burkina Faso; et l’étudiante Marie Vigneau, du Nouveau-Brunswick.
Boursières et boursiers de la paroisse Notre-Dame d’Acadie
Des étudiantes et étudiants de l’Université de Moncton, campus de Moncton, sont les bénéficiaires de bourses d’études d’une valeur de 500 $ offertes par la paroisse Notre-Dame d’Acadie.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=20585
Concert de la classe de Musique de chambre
Le Département de musique invite la communauté à assister au concert de la classe de Musique de chambre, sous la direction de Richard Boulanger et de Jean-Guy Boisvert, le jeudi 29 mars, 19 h, à la salle Neil-Michaud, située au pavillon des Beaux-Arts du campus de Moncton.

En tout, plus d’une quinzaine d’étudiantes et d’étudiants y participeront : Jocelyn Blanchette aux percussions, Gabriel Boulay au saxophone, Caleb Bourgeois à la guitare, Laura Brockbank au violon alto, Carlo Cormier au piano, Christian Cormier aux percussions, Gabriel Couturier à la guitare, Martin Daigle à la narration, Amélie Doucet au piano et au saxophone, Justin McIntyre au saxophone, Naomi Ouellet, soprano, Nokomi Ouellet aux percussions, Amélie Richard au saxophone, Clémentine Ricquier au hautbois, Ariane Saulnier à la clarinette et Guillaume Vienneau aux percussions.

Au programme, on propose un répertoire de la Renaissance à nos jours pour une variété d’instruments en formations duo, trio et quatuor, avec des œuvres de Beethoven, de Card, de Coste, de Debussy, de Diabelli, de Dowland, de Fauré, de Gershwin, de Maslanka, de Mozart, de Ravel, de Schubert et de Trevino.

L’entrée est libre.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=20593
Récitals variés du Département de musique
Les étudiantes et étudiants du Département de musique de l’Université de Moncton présenteront une série de récitals variés à la salle Neil-Michaud, située au pavillon des Beaux-Arts du campus de Moncton.

Ces récitals auront lieu le mercredi 4 avril à 12 h, le dimanche 8 avril à 19 h et le mercredi 11 avril à 12 h.

Le récital du dimanche soir mettra en vedette les étudiantes et étudiants du programme en interprétation.

L’entrée est libre.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=20600
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