Vol. 43, no 04
27 septembre 2012
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : Gérard Poitras, professeur en génie civil; Alain Rime, responsable de la filière génie civil à l’École d’ingénieurs et d’architectes de Fribourg; Pierre Labossière, vice-doyen à la recherche et aux études supérieures et professeur à l’Université de Sherbrooke; et Paul Chiasson, doyen de la Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton; 2e rangée : Gilles Roy, vice-doyen de la Faculté d’ingénierie; Jamel Ghouili, professeur en génie électrique; et Jean-Marc Ribi, professeur à l’École d’ingénieurs et d’architectes de Fribourg.
Atelier portant sur l'enseignement par projet en ingénierie à Moncton, Sherbrooke et à l’École d’ingénieurs et d’architectes de Fribourg
Dans le cadre des préparatifs de l’application des nouvelles normes d’agrément du Bureau canadien d’agrément des programmes de génie, la Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton a organisé un atelier portant sur la formation par projet.

L’Université de Sherbrooke, au Québec, et l’École d’ingénieurs et d’architectes de Fribourg, en Suisse, ainsi que les départements de génie civil, de génie électrique et de génie mécanique de la Faculté d’ingénierie du campus de Moncton, ont partagé leurs expériences sur les diverses approches d’enseignement par projet.

L’atelier a été suivi d’une période de discussion entre le corps professoral de la Faculté d’ingénierie et les conférenciers afin d’expliciter ultérieurement des modèles de projet à suivre à la Faculté d’ingénierie, notamment les objectifs, la méthodologie de la formation, l’organisation, l’évaluation des étudiants et étudiantes et l’impact sur leur formation, les défis et les difficultés, ainsi que l’évolution de la formation par projet.

La formation à la Faculté d’ingénierie doit dorénavant se conformer aux nouvelles normes du Bureau canadien d’agrément des programmes de génie selon lesquelles les diplômés et diplômées doivent posséder les 12 qualités requises suivantes : QR1 - connaissances en génie; QR2 - analyse de problèmes; QR3 – investigation; QR4 – conception; QR5 - utilisation d’outils d’ingénierie; QR6 - travail individuel et en équipe; QR7 – communication; QR8 – professionnalisme; QR9 - impact du génie sur la société et l’environnement; QR10 - déontologie et équité; QR11 - économie et gestion de projets; QR12 - apprentissage continu.
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Colloque : CRLA et CoDiRe et IRFFLE - la construction discursive du « locuteur francophone » en milieu minoritaire
Le Centre de recherche en linguistique appliquée de l’Université de Moncton et CoDiRe & IRFFLE de l’Université de Nantes présentent le deuxième volet d’un colloque international, ayant comme thème « La construction discursive du “locuteur francophone” en milieu minoritaire. Problématiques, méthodes et enjeux », du 3 au 6 octobre au campus de Moncton.

Ce deuxième volet est organisé en collaboration avec le projet « Le français à la mesure d’un continent », dirigé par France Martineau de l’Université d’Ottawa et subventionné par le Conseil de recherches en sciences du Canada dans le cadre des Grands travaux de recherche concertée, et du Centre d’études françaises et francophones de la Louisiana State University de Bâton Rouge. Le premier volet de ce double colloque, intitulé « Sens et signification dans les espaces francophones », a eu lieu à Nantes du 19 au 21 avril. Un troisième volet est prévu autour de la thématique générale de ce double colloque en octobre 2013 à Bruxelles.

L’objectif du colloque est d’interroger les concepts et les discours qui ont servi à la construction du « francophone », considéré souvent comme le même partout dans la francophonie, sans tenir compte de l’hétérogénéité et de la diversité qui le constituent. Jugés à l’aune d’un français unique, les francophones des milieux minoritaires ou périphériques se voient parfois remis en doute dans leur qualité même de locuteurs du français.

Par ailleurs, le discours portant sur la diversité devenu dominant depuis les années 1980 n’a pas pour autant réglé le problème. Le francophone est maintenu à l’intérieur de frontières territoriales et identitaires étroites, ce qui donne lieu à une multitude d’identités régionales rattachées à des « langues locales » et qui reproduisent, dans certains cas, le schéma ancien d’une langue et d’une culture liées à un lieu spécifique, comme c’est le cas en Amérique du Nord.

Ce processus a été accéléré par la nouvelle économie mondialisée où le tourisme culturel a notamment misé sur le culte des différences. Dans la foulée de cet élan pour les « cultures locales », les travaux sur la langue du francophone ont, dans le meilleur des cas, montré la pluralité des formes que peut prendre sa langue, mais dans certaines limites (sur le plan phonétique et lexical surtout); dans le pire des cas, ils ont figé cette langue dans l’exotisme linguistique qui mène à la stéréotypie. Le francophone ne devient plus qu’un diversifié - un Acadien, un Québécois, un Wallon, enfermé dans une catégorie stérile dont il a du mal à se défaire. Certes, la situation est différente en Afrique où le plurilinguisme des locuteurs est maintenant perçu comme libérateur, mais l’impact des discours essentialistes provenant de l’Europe (surtout de la France) n’est pas non plus à négliger.

On posera donc les questions suivantes : Quels discours les scientifiques ont-ils produits sur les « francophones » et leurs langues en milieu minoritaire ? Comment ces discours ont-ils été relayés dans le grand public ? Que veut dire le terme « francophone » pour les locuteurs des régions périphériques ? Est-il lié à une identité quelconque ? Quels sont les discours des locuteurs eux-mêmes au sujet de leurs pratiques et de celles des autres ? Quelles sont les stratégies les plus couramment en usage pour se positionner entre uniformisation et différenciation ? Comment ces discours sont–ils liés aux discours institutionnels de la francophonie ? Quels sont les rapports de pouvoir qui s’exercent et comment se manifestent-ils ? Même si tous les francophones vivant dans les milieux périphériques n’ont pas été colonisés au sens propre, leur imaginaire n’a-t-il pas été façonné dans un rapport de type colonial ? Ce sont ces questions et à d’autres encore sur lesquelles les participantes et les participants seront invités à réfléchir dans le cadre de ce colloque international.

La conférence d’ouverture du colloque, intitulée « Homo francophoniensis : réalité ou être de papier ? », sera prononcée par Jean-Marie Klinkenberg, de l’Université de Liège, le mercredi 3 octobre à 18 h 45 au Centre des arts et de la culture de Dieppe.

Renseignements : 506-858-4057
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La photo, prise devant le stand d’information au Centre étudiant au campus de Moncton, nous fait voir, de gauche à droite, Edna Pelletier-Doucet, psychologue au Service de psychologie; Danielle Ayee, représentante du programme; Mohamed Ali Bouker, chargé de cours; Hervé Gbedji, étudiant; Stefanie Tieri Georges, étudiante; et Jamilah McCarthy, représentante du programme.
Le programme interactif mj2 a été présenté au campus de Moncton
Le Service de psychologie des Services aux étudiantes et étudiants du campus de Moncton a accueilli des représentantes du programme interactif de sensibilisation sur le jeu problématique pour les étudiants et étudiantes des collèges et universités au Canada, Misez juste.

Le programme vise à dissiper les mythes entourant le jeu, souligner les signes de jeu problématique, donner la liste des services portant sur le jeu problématique dans votre province et suggérer des moyens de garder le jeu à risque faible.

Misez juste 2 (mj2) comporte des outils de communication à multiples facettes conçus pour sensibiliser les étudiants et les étudiantes en utilisant deux moyens : en ligne, par le biais des médias sociaux, et à un campus à l'aide d'un stand interactif pendant deux jours, animé par un personnel compétent.

À partir d’un questionnaire correspondant à l'un des quatre thèmes présentés (poker, jeux en ligne, paris sportifs et jeux de casino), les étudiants et étudiantes tentent de répondre à cinq questions conçues pour les sensibiliser aux quatre messages du programme. Ils vérifient ensuite l'exactitude de leurs réponses à l'aide de pages Internet spécialement créées à cet effet ou auprès de représentants de mj2 qui étaient présents au campus de Moncton la semaine dernière.

Le programme a été développé en 2001 avec la participation de plusieurs collèges et universités. Depuis le lancement du programme en 2002, Misez juste a été présenté 448 fois à plus de 310 000 étudiants et étudiantes à des campus du Nouveau-Brunswick, de l'Ontario, de la Colombie-Britannique, du Manitoba, de Terre-Neuve et Labrador, de la Nouvelle-Écosse, de l’Île-du-Prince-Édouard, de la Saskatchewan et de l'État de New York.

Une évaluation indépendante a démontré que 89 pour cent des étudiants et étudiantes estimaient être mieux renseignés et donc davantage en mesure de prendre des décisions éclairées relativement au jeu. Également, 84 pour cent des étudiants et étudiantes ont déclaré comprendre les mesures à prendre pour jouer de façon responsable, et 91 pour cent d’entre eux ont retenu les messages clés associés au programme. Enfin, 22 pour cent ont indiqué avoir utilisé les renseignements qu'ils avaient obtenus.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, le recteur, Raymond Théberge; Miguel St-Pierre-Roy (Harrison Trimble High School), Jessica Dickinson (Moncton High School), Gabrielle Carson, Brandon Bourque, Hillary LeBlanc et Michael Roy (Harrison Trimble High School); et George LeBlanc, maire de Moncton. Les autres bénéficiaires de la bourse en immersion qui sont absents dans la photo sont Sylvie Gallant (Harrison Trimble High School), Brenna Richard (Bernice MacNaughton High School), Breanna Saulnier, Chelsea Tucker et Charles Wilson (Harrison Trimble High School).
La bourse Ville de Moncton est octroyée aux étudiants monctonniens inscrits à l’Université de Moncton
Lors d’une séance publique, le recteur Raymond Théberge accompagné d’étudiants a tenu à remercier le conseil municipal pour son engagement envers l’Université de Moncton grâce à la création de deux fonds de bourses destinés aux jeunes Monctonniens et Monctonniennes issus du système scolaire francophone ou anglophone de la ville.

Le premier fonds de bourses est destiné aux élèves issus des programmes d’immersion des écoles de la ville pour les encourager à s’inscrire au campus de Moncton. Cette initiative cadre bien avec les objectifs de développement économique de la ville en ce qui a trait à l’attraction et la rétention de jeunes personnes professionnelles. En tout, 11 élèves ont reçu la bourse pour élèves en immersion au printemps dernier.

Le deuxième est un fonds de bourses de valeur égale pour les élèves qui habitent Moncton et qui évoluent dans le système scolaire francophone. Pour obtenir une telle bourse, les élèves issus du système francophone doivent avoir un bon rendement académique et démontrer un besoin financier.

Les premiers bénéficiaires de la bourse Ville de Moncton sont inscrits au campus de Moncton cet automne.

Information : 383-6214 / Nicole.melanson@moncton.ca
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Michel Doucet participe à un colloque en Finlande
Du 26 au 28 septembre, le professeur Michel Doucet, directeur de l’Observatoire international des droits linguistiques à l’Université de Moncton, participe à un colloque organisé par le Åland Islands Peace Institute, qui a lieu à Mariehamn, capital des îles Åland et État associé à la Finlande.

Le colloque s’intitule « Changing linguistic landscapes » et y sont présentés notamment les avancements d’un projet de recherche interdisciplinaire et interétatique nommé « European Language Diversity for All (ELDIA) ».

Le professeur Doucet y présente une communication, intitulée « The Canadian and European experiences with entranched language rights », mettant ainsi en évidence la distinction entre l’approche individuelle, retenue par le Canada, et territoriale, préconisée par beaucoup d’États européens.

Renseignements : Michel Doucet, au 863-2136.
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L’Université de Moncton connaît une légère hausse de ses inscriptions pour 2012-2013
Selon des statistiques préparées cette semaine, l’Université de Moncton a connu une légère hausse des inscriptions pour l’année universitaire 2012-2013 en atteignant 5 008 étudiantes et étudiants au 17 septembre, comparativement à 4 961 au 19 septembre 2011.

Plus précisément, les inscriptions totalisent 429 au campus d’Edmundston, 4 194 au campus de Moncton et 385 au campus de Shippagan. En septembre 2011, le nombre d’étudiants inscrits aux trois campus était de 407 (campus d’Edmundston), 4 133 (campus de Moncton) et 421(campus de Shippagan).

« Ces chiffres sont encourageants dans la mesure où nous avons encore une fois réussi à maintenir le cap sur les inscriptions en dépassant le seuil de 5 000, mentionne le recteur et vice-chancelier Raymond Théberge. Nous avons néanmoins de grands défis à surmonter au cours des prochaines années et nous devons nous y préparer. »

Le total global des inscriptions provenant du Québec a lui aussi connu une légère augmentation, passant de 155 au 19 septembre 2011 à 171 au 17 septembre de cette année. Par ailleurs, le nombre d’étudiants et étudiantes provenant de l’extérieur du Canada est passé de 608 en 2011 à 716 cette année. Ils composent actuellement 14,32 pour cent de la population étudiante.

La publication de ces chiffres suit de près la tenue de l’assemblée annuelle du Conseil des gouverneurs de l’Université de Moncton, réuni à Edmundston le samedi 15 septembre dernier.

Lors de cette rencontre, le Conseil a notamment reçu le rapport annuel du vice-recteur à l’enseignement et à la recherche, Neil Boucher, ainsi que celui de la vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, Marie-Linda Lord.

Dans son rapport au Conseil, M. Boucher a fait état des défis liés au recrutement du corps professoral alors que notre principale concurrence dans ce domaine provient de grands centres urbains comme Montréal, Québec et Ottawa. Il a tout de même précisé que l’Université de Moncton réussit à tirer son épingle du jeu et à recruter de jeunes personnes très prometteuses dans leur domaine d’expertise.

M. Boucher a aussi brossé un tableau des subventions de recherche obtenues de diverses sources externes en 2011-2012 et dont le total (nouvel argent et argent déjà reçu) se chiffre à près de 2,5 millions de dollars.

Pour sa part, Marie-Linda Lord a fait état du recrutement étudiant et des mesures qui sont prises pour bien encadrer les étudiants et étudiantes aux trois campus de l’Université de Moncton.

Aucun nouveau membre n’a joint le Conseil cette année; par ailleurs, le mandat des gouverneurs Yves Gagnon et Louis Léger ont été renouvelés pour trois ans.

Enfin, le Conseil a adopté le rapport financier annuel de l’Université de Moncton pour l’exercice qui s’est terminé le 30 avril dernier.

Les trois composantes de l’Université ont enregistré des revenus globaux de 145,9 millions $, soit une légère hausse de 1,7 million $ (1,2 pour cent) par rapport à l’année précédente. Les dépenses sont passées de 141,5 millions $ en 2010-2011 à 143,3 millions $ en 2011-2012, soit une hausse de 1,8 million $ (1,3 pour cent).

« Le rapport financier 2011-2012 reflète l’approche équilibrée de l’Université en matière de gestion financière, M. Théberge. Cette approche nous permet de réinvestir dans les services à la population étudiante et dans l’enseignement et la recherche tout en maintenant l’équilibre budgétaire. » M. le recteur a aussi mentionné que les sommes accordées en bourses sont en hausse de 6,3 pour cent par rapport à l’année précédente.

Le Rapport financier 2011-2012 sera disponible sous peu sur le site Internet de l’Université à www.umoncton.ca.

Démission du chancelier Louis R. Comeau
Lors de la réunion ordinaire suivant l’assemblée annuelle du Conseil des gouverneurs, le président du Conseil a fait la lecture d’une lettre du chancelier, Louis R. Comeau, dans laquelle il annonce qu’il terminera son mandat le 31 décembre prochain.

Le président, André G. Richard, a souligné la contribution de M. Comeau au Conseil des gouverneurs et plus particulièrement sa grande disponibilité et la sagesse dont il a fait preuve au cours de son mandat.

Le processus de nomination d’une nouvelle chancelière ou d’un nouveau chancelier sera enclenché au cours des prochaines semaines.
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Constel peut vous assister dans la rédaction de vos textes
Une autre année universitaire s'amorce et l'équipe du Centre d'aide en français est de nouveau à votre disposition pour vous offrir le service de Constel et vous assister dans la rédaction de vos textes.

Constel est un service de consultation téléphonique offert au personnel du campus de Moncton pour aider celles et ceux qui cherchent à résoudre des problèmes de français. Il peut s'agir de vérifier l'accord d'un participe passé, l'emploi correct d'un mot, la tournure d'une phrase, une traduction, etc. Si vous avez le moindre doute en rédigeant un texte, n'hésitez pas à nous consulter. Vous pouvez nous joindre par téléphone au 858-4319 ou par courriel à constel@umoncton.ca.

Renseignements : 858-4319 / Constel@umoncton.ca
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Lieux inusités : une entrée privilégiée sur le monde naturel
La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen de l’Université de Moncton présente une exposition qui offre une perspective inhabituelle sur le monde naturel.

Présentée dans le cadre du Symposium d’art/nature qui a lieu du 28 septembre au 7 octobre au Parc écologique du millénaire du campus de Moncton, « Lieux inusités » propose le travail de Magali Babin, de Montréal, de Scott Rogers, un albertain vivant en Écosse, et de Scenocosme, un duo d’artistes de France.

Le vernissage aura lieu le mercredi 26 septembre à 17 heures en présence des artistes.

Les trois oeuvres immersives de l’exposition engagent les sens au-delà du visuel, l’ouïe et le toucher, afin de faire découvrir des lieux inaccessibles de l’environnement naturel. Par un processus de médiation, la recontextualisation d’une documentation in-situ et l’utilisation d’interfaces électroniques, ces artistes offrent une expérience sensorielle inusitée.

Magali Babin, artiste du son, compose ses pièces à partir d’enregistrements captés au fond du Fleuve Saint-Laurent. Scott Rogers propose une aventure dans un gazon banal filmée en haute définition. Et les artistes de Scenocosme mettent en valeur la sensibilité des plantes. Il est ainsi possible en visitant l’exposition de percevoir l’énergie qui émane des êtres biologiques, d’entendre les flux profonds d’une masse d’eau et d’explorer la jungle qu’est une pelouse ordinaire.

« Lieux inusités » est appuyé par le Conseil des arts du Canada. L’exposition est présentée jusqu’au 4 novembre. Des visites guidées de l’exposition et du Symposium d’art/nature seront proposées les samedis 29 septembre et 6 octobre entre midi et 17 heures.

La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen est située au 405, avenue de l’Université, au pavillon Clément-Cormier. Les visites sont libres et la galerie est ouverte de 13 heures à 16 h 30 du mardi au vendredi et de 13 heures à 16 heures le samedi et le dimanche.

Pour plus de renseignements, prière de téléphoner au 858-4088, écrire à galrc@umoncton.ca , ou encore visiter le www.umoncton.ca/umcm-ga.

Renseignements : 506-858-4687/ nisk.imbeault@umoncton.ca
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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CFA : Charles Noble réussit le premier des trois examens
Un ancien étudiant du Secteur administration des affaires du campus d’Edmundston et étudiant finissant au B.A.A avec concentration en finance de l’Université de Moncton, Charles Noble, a réussi le premier des trois examens qui donnent accès au titre d’analyste financier agréé (CFA). Il s’agit d’un exploit remarquable pour ce jeune étudiant de la Faculté d’administration du campus de Moncton.

Pour donner une idée de la prouesse de ce jeune prodige de la finance, mentionnons que cette année, seulement 38 pour cent des candidats et candidates ont réussi cet examen administré par le Chartered Financial Analysts Institute, un institut d’origine américaine mais à vocation internationale se spécialisant dans le domaine de la gestion des valeurs mobilières.

Pour se préparer, l’étudiant qui désire se présenter au premier examen doit y consacrer entre 10 et 15 heures par semaine pendant 18 semaines. Par son assiduité et sa ténacité au travail, Charles Noble a bien réussi dans l’ensemble des sujets dans l’examen, soit l’éthique et les normes de conduites professionnelles, l’économie, les méthodes quantitatives, l’analyse des titres à revenus fixes, l’analyse des actions, la comptabilité, la finance corporative et les produits dérivés.

Depuis maintenant huit ans, les étudiants et étudiantes qui veulent faire cet examen reçoivent le soutien de deux professeurs sous forme de bourses couvrant la quasi-totalité des frais d’inscription et du programme de bachotage. Il s’agit de François Boudreau, CFA et professeur au Secteur administration des affaires et sciences humaines au campus d’Edmundston, et Sébastien Deschênes, CFA et professeur de comptabilité au campus de Moncton. Le programme de bachotage comprend une dizaine de sessions de formation intensives (environ trois heures chacune) permettant de préparer les étudiants candidats CFA à l’examen CFA de niveau 1.

Reconnu internationalement, le titre CFA, qui existe depuis 1959, est le plus respecté chez les professionnels œuvrant dans le domaine de la gestion de portefeuille et de l’analyse financière. Les institutions financières exigent de plus en plus comme standard professionnel que leurs gestionnaires de portefeuille possèdent le titre CFA reconnu à l’échelle de la planète. On compte au-delà de 109 000 détenteurs du titre CFA qui exercent leur profession dans 119 pays.

L’obtention du titre de CFA est un processus très exigeant. D’abord, après avoir obtenu le diplôme de premier cycle (équivalent du baccalauréat canadien), les personnes candidates doivent réussir trois examens qui s’étalent sur trois ans. Par la suite, ou de façon concomitante, elles doivent acquérir trois années d’expérience pertinente dans le domaine de l’investissement.

Renseignements : Sébastien Deschênes, au 858-4230 ou François Boudreau, au 506-737-5180.
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Un bel exemple de collaboration entre établissements. La photo nous fait voir, de gauche à droite, Guillaume Brideau, étudiant d'été au campus de Shippagan; Maxime Boudreau, étudiant diplômé au campus de Shippagan; France Béland, chargée de projet à l'IRZC; Mélanie Chiasson, technicienne à l'IRZC; et Sébastien Plante, professeur-chercheur au campus de Shippagan et chercheur associé à l’IRZC.
Laboratoire Phenora : de la recherche en nutrition et en physiologie chez le saumon atlantique et le homard américain
Phenora est le nom du laboratoire du professeur Sébastien Plante qui signifie « Physiologie et nutrition des organismes aquatiques ». Et c'est exactement ce qui a été accompli cet été dans ce laboratoire. Plus particulièrement de la recherche en nutrition et en physiologie chez le saumon atlantique et le homard américain. Trois projets majeurs sont présentement en cours dans ce laboratoire situé au campus de Shippagan.

Le premier projet est issu du Fonds d’innovation de l’Atlantique (FIA) et obtenu par l'équipe du professeur Marc Surette, du campus de Moncton, en collaboration avec l’Institut de recherche sur les zones côtières (IRZC).

M. Plante est chercheur associé à l’IRZC et fait donc partie de cette équipe de recherche. Le projet, intitulé « Development of dietary products derived from New Brunswick bio-resources », veut notamment tester une huile végétale novatrice qui a le potentiel de remplacer l’huile de poisson dans la fabrication de moulée aquacole. Cette nouvelle huile possède un profil en acides gras particulier comparativement aux autres huiles végétales et pourrait donc combler les besoins énergétiques des poissons. Des saumons atlantiques font présentement l’objet d’une expérimentation dans les laboratoires du pavillon aquacole de l'IRZC situés à l'Aquarium et Centre marin du Nouveau-Brunswick.

Le deuxième projet provient d’un autre FIA obtenu par l’IRZC auquel le professeur Plante participe à titre de codemandeur. Ce projet est intitulé « Valorisation et commercialisation de coproduits marins pour l’alimentation animale et humaine et ses applications dans la prévention de l’obésité, du diabète et la neurodégénérescence ». Dans ce projet d’envergure, les chercheurs veulent produire des ingrédients innovateurs à partir de « déchets » d’usines de transformation de produits de la mer.

Comme ces « déchets » proviennent de la même ligne de transformation que les produits dédiés à la consommation humaine, ils ont encore de grandes qualités sanitaires. Ces coproduits sont souvent gorgés de biomolécules actives ayant un grand potentiel sur la santé humaine ou animale. Ces nouveaux ingrédients pourraient potentiellement remplacer la farine de poisson traditionnellement utilisée dans l'industrie aquacole.

En effet, les stocks de poissons sauvages servant à la fabrication de farine de poisson sont surexploités dont plusieurs ont atteint un rendement maximal de production. Ce projet propose également d’approfondir des processus physiologiques fondamentaux associés à l’incorporation de ces ingrédients riches en biomolécules actives sur la santé générale des poissons d'élevage. Jusqu'à présent, neuf ingrédients ont été testés et trois ont été sélectionnés pour des études plus approfondies chez le saumon.

Le troisième projet en est un de recherche et développement coopératif du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada. Ce projet, en collaboration avec le professeur Marc Surette, du campus de Moncton, la compagnie Homarus Inc.
(entreprise gérée par l'Union des pêcheurs des Maritimes) et l’IRZC, est intitulé « Développement d'une moulée aquacole pour l'élevage de larves de homard pour fin d'ensemencement en milieu naturel ».

Depuis 2002, Homarus Inc. et l’IRZC travaillent dans le but premier d'assurer une production de homards juvéniles afin d'effectuer des expériences d'ensemencement sur les lieux de l’action. Les techniques aquacoles sont bien en place et l'équipe est capable de produire des centaines de milliers de larves par année, mais il reste à optimiser la nourriture distribuée aux larves de homard. Les larves de décapodes crustacés passent par plusieurs stades de développement, engendrés par une succession de transformations ontogénétiques.

Pendant les trois premiers stades de leur vie (environ 160 degrés-jours), les larves pélagiques ont l'apparence d'une petite crevette, elles sont planctonivores et se déplacent dans la colonne d'eau au gré du courant. Dès le stade 4 (environ 280 degrés-jours), la larve se métamorphose prenant ainsi l'apparence d'un homard adulte miniature. Cette métamorphose requiert des remaniements structuraux et métaboliques majeurs. En captivité, de fortes mortalités sont observées pendant le passage du stade 3 au stade 4.

Dans un contexte d'écloserie, les larves sont majoritairement alimentées de produits commerciaux à base d'artémies. Aucune nourriture n'a été à ce jour spécifiquement développée pour les larves de homard. Les objectifs de cette recherche sont donc de combler cette lacune. En produisant une moulée pour larves de homard, l'exportation complète des techniques d'élevage vers l'industrie sera donc possible et grandement facilitée.

Tous ces projets ne pourraient se faire sans l'aide de personnel hautement compétent. Le professeur Plante compte donc sur une équipe composée de chercheurs, biologistes et techniciens, sans oublier bien sûr les étudiants. La recherche, c'est aussi de former les scientifiques de demain.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Natalie Carrier, directrice de l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales; Paul Bourque, doyen de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires; l’étudiant Jacques Kossi Akpaki, stagiaire au programme de maîtrise en développement, spécialité politiques nutritionnelles à l’Université Senghor d’Alexandrie, en Égypte; et Lita Villalon, responsable du stage et professeure à l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales.
Un étudiant de l’Université Senghor d’Alexandrie fait un stage de formation de 2e cycle en nutrition
L’ étudiant Jacques Kossi Akpaki, inscrit au programme de maîtrise en développement, spécialité politiques nutritionnelles à l’Université Senghor d’Alexandrie, en Égypte, a fait un stage de 20 semaines à l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales de l’Université de Moncton, sous la direction de la professeure Lita Villalon.

M. Akpaki possède le diplôme universitaire d’ingénieur agroalimentaire de l’École supérieure des techniques biologiques et alimentaires de l‘Université de Lomé, au Togo.
Il était au campus de Moncton pour y préparer un mémoire de maîtrise dans le cadre d’une entente de collaboration entre l’Université Senghor et l’Université de Moncton.

Pendant son séjour à l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales, M. Akpaki a travaillé sous la responsabilité de la professeure Lita Villalon sur le projet, intitulé « Risque et représentations sociales du diabète chez les francophones âgés de 50 ans et plus au Nouveau-Brunswick ». Le projet proposé vise à obtenir le profil de risque du diabète chez les francophones néo-brunswickois âgés de plus de 50 ans vivant en situation minoritaire ainsi que leurs représentations sociales du diabète, ce qui mènera éventuellement à l’élaboration d’un plan de prévention spécifique pour cette population. L’étude permettra aussi de connaître les besoins et les problématiques entourant le diabète que vivent les francophones âgées de 50 ans et plus dans une perspective régionale.

Le stagiaire en recherche a participé à la collecte et au traitement de données pendant la durée de son stage. Il a aussi fait, toujours sous la direction de Mme Villalon, l’analyse d’un sous-échantillon de la population étudiée (40 personnes âgées), en plus de conceptualiser un projet de recherche à réaliser au Togo, en Afrique, son pays d’origine. Son séjour et son stage étaient financés par l’Université de Senghor.

À son retour en Égypte, M. Akpaki fera une présentation de son sujet de recherche aux autorités de l’Université de Senghor.
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Des artistes acadiens « chanteront Denis Richard » le 17 octobre au Théâtre Capitol
Ce ne sont pas moins de 25 artistes acadiens qui monteront sur la grande scène du Théâtre Capitol de Moncton, le mercredi 17 octobre à compter de 19 h 30 afin de chanter tour à tour des chansons de l’artiste acadien Denis Richard.

Le principal organisateur de cette soirée, Danny Boudreau, a voulu poser ce geste afin d’amasser des fonds pour venir en aide à son grand ami qui est en arrêt de travail pour plusieurs mois afin de subir des traitements contre le cancer.

« Tous les artistes ont immédiatement dit oui quand nous leur avons parlé de ce projet, même que nous aurions pu en avoir encore plus, explique Danny Boudreau. Denis est l’un des plus grands artistes acadiens et nous voulons tous lui venir en aide dans cette période particulièrement difficile de sa vie. »

Le spectacle sera présenté sous forme de cercle d’auteurs où tour à tour, les artistes chanteront leur version d’une chanson de Denis Richard, parfois accompagnés des autres artistes. Quelques-uns présenteront l’œuvre de Denis en poésie… La soirée aura deux parties et une douzaine d’artistes seront présents dans chacune d’entre elles. La comédienne Diane Losier animera le tout. Denis Richard sera aussi sur scène pour interpréter une de ses chansons.

Les artistes présents le 17 octobre sont Andreï Zaharia, Carole Daigle, Daniel Léger, Danny Boudreau, Dave Puhacz, Éric Thériault, Fayo, Gabriel Robichaud, George Belliveau, Herménégilde Chiasson, Isabelle Thériault, Jac Gautreau, John Boulay, Justin Doucet, Kevin McIntyre, Lina Boudreau, Marc Beaulieu, Marie-Philippe Bergeron, Michel Thériault, Monique Poirier, Myriam Arseneau, Pascal Lejeune, Sandra Le Couteur et Wilfred Le Bouthillier. Des projections feront partie intégrante de la soirée et quelques surprises sont prévues.

La présentation de ce spectacle est rendu possible grâce à l’aide précieuse de toute une équipe de bénévoles, mais aussi grâce aux partenariats établis avec Connections Production, l’Hôtel Ramada, le Théâtre Capitol, Carol Doucet Communications et Branch Graphic Design.

Les billets sont en vente à la billetterie du Théâtre Capitol. au 811. rue Main à Moncton, par téléphone au 506-856-4379 ou au 1-800-567-1922 et par Internet à www.capitol.nb.ca.

Information ou entrevues :
Carol Doucet Communications - 506-384-6897 / caroldou@nbnet.nb.ca
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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La Fête de la culture commence le vendredi 28 septembre
La Fête de la culture au Nouveau-Brunswick et dans le reste du Canada commence aujourd'hui, vendredi 28 septembre, pour se poursuivre jusqu’à dimanche.

Dans la province, près de 80 activités sont inscrites à l’horaire dans quelque 20 communautés. Et plusieurs autres s’ajoutent au calendrier tous les jours. La liste complète des activités qui sont officiellement enregistrées à l’horaire pour le Nouveau-Brunswick peut être consultée à www.fêtedelaculture.ca.

Les activités sont variées, sans frais et ouvertes au public qui pourra prendre part à des tournées de galeries d’art, être témoin d’art en direct, faire de la danse extérieur, participer à un atelier d’instruments de percussion et d’écriture, ou encore de poésie, de création collective ou de visites en coulisse. Sans oublier bien sûr le cinéma, les visites de studio, les contes et spectacles de musique, l’improvisation, les expositions de livres, les soirées littéraires, les discussions de groupe, le symposium d’art, les vernissages, le tricot, la création collectives…

Parmi les municipalités qui prennent part à la fête, mentionnons Moncton et Dieppe, Shippagan et Edmundston.

À propos de la Fête de la culture
Cette fête pancanadienne est la plus vaste campagne de participation populaire jamais entreprise par la communauté des arts et de la culture au Canada. La première édition de la Fête de la culture a eu lieu en septembre 2010 d’un océan à l’autre.

La Fête de la culture est un mouvement bénévole pancanadien axé sur la collaboration dont le but est de favoriser la sensibilisation, l’accessibilité, la participation et l’engagement de tous les Canadiens et Canadiennes à la vie artistique et culturelle de leurs communautés. Avec le soutien du comité directeur national et des groupes de travail provinciaux et territoriaux formés de bénévoles, des milliers d'organisateurs d'activités se mobilisent à l'échelle locale afin de présenter et de coordonner des activités sans frais qui encouragent chaque année la participation du public pendant la dernière fin de semaine de septembre, partout au pays.

Renseignements : 384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca
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La photo nous fait voir l’une des dix aires de stationnement éparpillées un peu partout au campus de Moncton.
Des aires de stationnement « En Mouvement » pour augmenter l'activité physique
Le Comité de mieux-être adopte la stratégie En Mouvement lors de ses activités faisant la promotion du mieux-être physique.

Cette année, on propose une initiative qui encourage l’augmentation du nombre de pas par jour afin d’atteindre 30 minutes d’activité physique en milieu de travail (de la stratégie 30-30-30). Ce ne sont pas des stationnements réservés ou des stationnements gratuits. C’est plutôt un incitatif vous encourageant à vous garer un peu plus loin de votre destination.

Le CMU passera à différents moments lors de la semaine. Si votre voiture est garée dans l’une des aires de stationnement En Mouvement, vous pourriez gagner un prix de participation.

Semaine provinciale de mieux-être
Le mardi 2 octobre de 12 h 15 à 12 h 45, le CMU propose un lancement officiel de la Semaine provinciale de mieux-être. On encourage tous les membres du personnel à se rendre à la demi-piste à proximité du Ceps Louis-J.-Robichaud (face à la rue Morton). On fera une activité En Mouvement collective, alors portez des vêtements adéquats. Il y aura des prix de présence à gagner. En cas de pluie, on fera probablement l’activité au gymnase du Ceps.

Pour de plus amples renseignements concernant la Semaine de mieux-être, vous pouvez consulter le communiqué de la province à l’adresse http://www.wellnessnb.ca/fr/wellness-week.asp#e51

Bingo défi corporatif
Le bingo est de retour mais cette fois on vous lance un défi corporatif. L’U de M compétitionne contre plusieurs autres milieux de travail En Mouvement à Moncton. Cette activité commence le lundi 1er octobre.

Renseignements :
suzanne.harrison@umoncton.ca / 858-4342
cmu@umoncton.ca / 858-4382
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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L’histoire de l'enseignement universitaire à Shippagan
Les Éditions de la Francophonie vous invitent au lancement du livre « Histoire de l'enseignement universitaire à Shippagan », du professeur Nicolas Landry, le mardi 2 octobre à 16 heures dans l'amphithéâtre Gisèle-McGraw du campus de Shippagan.








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Justin Mallet remporte deux médailles de bronze au Championnat canadien de vélo sur piste
Justin Mallet, de Dieppe, étudiant de première année au baccalauréat en administration des affaires (finance), a remporté deux médailles de bronze lors des Championnats canadiens de cyclisme sur piste qui ont eu lieu au vélodrome de Dieppe.

A sa dernière saison dans la catégorie junior, Justin a voulu se dépasser chez les amateurs. Il a terminé au troisième rang au keirin et au sprint avec ses coéquipiers Devin Doiron et Julien Roussel, du Centre de cyclisme Atlantique.

Âgé de 18 ans, Justin Mallet en est à sa deuxième année dans la catégorie junior. Il a participé à la poursuite individuelle et en équipe ainsi qu'à l'omnium. Il a eu la chance de se mesurer aux meilleurs cyclistes canadiens sur piste.

« Je visais un podium à ma dernière année dans la catégorie junior et j'ai réussi, dit-il. » Mallet s'adonne au vélo de compétition depuis quatre ans. Il avait commencé deux ans auparavant lors des compétitions de la Course Pepsi, à Dieppe. Le vélo de montagne a été son premier choix alors qu’il a découvert le vélo de route plus tard en carrière.

« J'aime bien cela, ajoute-t-il. J'ai connu de bonnes courses cet été lors du championnat canadien sur route au Lac Mégantic et au Tour de l'Abitibi. J'ai terminé au 22e rang lors de ma meilleure performance; je suis satisfait mais je sais que j'aurais pu faire mieux. Physiquement, je suis prêt un sport que j’aime beaucoup. »

En ce qui a trait au succès, il estime qu’il faut rester concentré et surtout ne pas abandonner. « Je roule de 80 à 90 km en trois heures tous les jours, alors je dois bien gérer mon temps afin de bien réussir dans mes études », conclut-il.
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Les personnes retraitées du campus de Moncton
La photo nous fait voir les membres du personnel du campus de Moncton qui ont pris leur retraite entre le 1er septembre 2011 et le 31 août 2012. Il s’agit, de gauche à droite, assises : Gérène Bourque, Bibliothèque Champlain; Jeannette Vautour, Bibliothèque Champlain; Carmella Bourgeois, Centre d’études acadiennes; Diane Johnson, Anciens et amis; Pauline Bourgeois, Éducation permanente; Simone Cormier, Bibliothèque de droit Michel-Bastarache; et Marie-France Albert, Faculté de droit; debout : Andrew Boghen, biologie; Charles Babineau, École de kinésiologie et récréologie; Norbert McGraw, entretien et réparation; Pierre Hébert, Ceps Louis-J.-Robichaud; Louise Gautreau, vice-rectorat à l’enseignement et à la recherche; Jean-Claude Cormier, entretien et réparation; Françoise LeBlanc, Faculté d’ingénierie; Gilles Hébert, génie civil; Jean-Paul Manuel, comptoir de service au Centre étudiant; Lewis St-Onge, ressources humaines; Donald Bourque, entretien et réparation; Greg Allain, sociologie; et Isabelle McKee-Allain, sociologie. Absences dans la photo : Christian Bettignies, génie civil; Pauline Duerr, biologie; Gemma Gallant, science infirmière; et Rose-Hélène Lanteigne, études françaises.
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À l’affiche au Ciné-Campus
En raison de la nomination du film « Rebelle » représentant le Canada pour le meilleur film de langue étrangère aux Oscars, la projection qui était prévue pour les 27 et 28 septembre doit être déplacée à une autre date qui sera annoncée sous peu.

Les 27 et 28 septembre, Ciné-Campus présente « Café de Flore », à 20 heures dans la salle de projection 163 au pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

Ce film de Jean-Marc Vallée met en vedette Vanessa Paradis, Kevin Parent, Hélène Florent et Evelyne Brochu.

Il n’est pas facile de dire adieu à ceux qu’on aime. Pour y parvenir, il faut parfois toute une vie… ou deux. Entre le Paris des années 1960 et le Montréal d’aujourd’hui se déploie une vaste histoire d’amour aux accents épiques, à la fois sombre et lumineuse, troublante et malgré tout plein d’espoir.

C’est un film teinté de fantastique, baigné d’une lumière parfois presque surnaturelle. « Café de Flore » raconte les destins croisés de Jacqueline, une jeune Parisienne mère d’un enfant unique, Antoine, un DJ montréalais, ainsi que des gemmes qui l’entourent. Ce qui les relie : l’amour, troublant, maladroit, imparfait et inachevé… humain.
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Une excursion aux Îles-de-la-Madeleine
Du 26 août au 1er septembre, un groupe d’étudiants et étudiantes de géographie a participé à une excursion aux Îles-de-la-Madeleine, accompagné de Serge Jolicoeur, professeur de géographie au campus de Moncton et André Robichaud, professeur de géographie et au programme de gestion intégrée des zones côtières au campus de Shippagan.

Portant sur le thème « Les Îles-de-la-Madeleine : les défis du développement durable en milieu insulaire et en contexte de changements climatiques », l’excursion incluait des rencontres avec plusieurs intervenants communautaires, municipaux et gouvernementaux.

Le groupe était logé dans une yourte près du sommet de la Butte du Vent mais a su se mettre À l’abri de la Tempête.
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Premier concert de la saison de Symphonie Nouveau-Brunswick
Le premier concert de la saison 2012-2013 de Symphonie Nouveau-Brunswick, « Rhapsodie bohémienne », aura lieu le lundi 22 octobre à 19 h 30 au Théâtre Capitol de Moncton et mettra en vedette la jeune et talentueuse violoniste canadienne, Andréa Tyniec.

Mme Tyniec jouera le Concerto pour violon no 1, de Prokofiev, ainsi que la touchante Symphonie no8, d’Antonin Dvorak.

Les billets sont en vente à la billetterie du Théâtre Capitol. (www.capitol.nb.ca).

Renseignements : 872.0858
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Tirage hebdomadaire 50/50 des Amis des Aigles
Le public et les anciens et amis de l’Université de Moncton sont invités à participer au tirage hebdomadaire 50/50 des Amis des Aigles Bleu.es.

Ce tirage, organisé par l’organisme de soutien aux programmes de hockey masculin et féminin, destine ses profits à l’encadrement des deux équipes de hockey du campus de Moncton. Le coût est de 1 $ par semaine et il est possible de payer sa cotisation jusqu’à 52 semaines à l’avance.

Pour participer au tirage hebdomadaire 50/50 des Aigles Bleu.es, il suffit d’envoyer un courriel à amisdesaigles5050@gmail.com avec votre nom, adresse, courriel et numéro de téléphone ainsi que le nombre de semaines de participation. Un membre de l’organisation vous communiquera un numéro de participation. Vous pourrez ensuite faire parvenir votre paiement par la poste à l'adresse suivante : Les Amis(es) des Aigles, C.P. 27037, Dieppe, N.-B., E1A 6V3.

Pour toute question ou commentaire concernant ce tirage hebdomadaire 50/50 des Aigles Bleu.es, faire parvenir un courriel à amisdesaigles5050@gmail.comou composez le 506-866-3258.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11061
Patinage du personnel
Le patinage du personnel aura lieu le samedi de 11 h 30 à 12 h 30 à l'aréna J.-Louis-Lévesque. Il commencera le samedi 6 octobre pour prendre fin le samedi 30 mars 2013.

Veuillez noter qu'il sera annulé le samedi 1er décembre et le samedi 8 décembre.
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Donya Salomon-Ali et Ahmed Abdul-Rahman sont les athlètes de la semaine
Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a choisi les joueurs de soccer Donya Salomon-Ali, de Lasalle, au Québec, et Ahmed Abdul-Rahman, du Ghana, comme athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 17 au 23 septembre à l’Université de Moncton.

Donya Salomon-Ali a marqué les deux buts de son équipe dimanche lors d’un match nul de 2 à 2 des Aigles Bleues contre les Varsity Reds de l’University of New Brunswick. Elle a été très efficace sur le terrain lors de la défaite de vendredi soir face aux Panthers de l’University of Prince Edward Island. Elle est étudiante en ingénierie.

Ahmed Abdul-Rahman a marqué un but et a été choisi l’athlète de la rencontre vendredi lors d’un match nul de 3 à 3 contre les Panthers de l’University of Prince Edward Island. Il a joué un excellent match comme attaquant dimanche dans un gain de 2 à 0 des Aigles Bleus aux dépens des Varsity Reds de l’University of New Brunswick. Il est étudiant au baccalauréat des arts.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11069
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