Mardi 18 Décembre 2018
Des élèves initiés aux rôles de l’infirmière et de l’infirmier par l’UMCE
Une partie des élèves présents en train d’écouter la présentation de deux mentors du Secteur science infirmière de l’UMCE. Photo Luveberthe St-Louis
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Les élèves provenaient de la polyvalente Roland-Pépin de Campbellton, de la polyvalente Alexandre-J.-Savoie de Saint-Quentin, de l’école Marie-Gaétane de Kedgwick, de la Cité des jeunes A.-M.-Sormany d’Edmundston, de l’école Grande-Rivière de Saint-Léonard et de l’École secondaire de Dégelis, au Québec.
Trois infirmières et un infirmier du Réseau de santé Vitalité ainsi qu’une infirmière-praticienne ont partagé aux élèves leur expérience du milieu de travail. Il s’agit de Julie Levasseur Dubé (consultante en lactation), de Gaetan Junior Beaulieu et Marie-Pierre Morin (psychiatrie) et de Maryse Collin (urgence). Tracy Ouellet, infirmière-praticienne, était la première professionnelle à prendre la parole.
Cinq étudiantes mentors du baccalauréat en science infirmière se sont également adressées aux élèves afin de leur faire part de leur expérience au campus d’Edmundston, soit Isabelle Bard, Sandy Albert, Dominique Arpin, Catherine Lizotte et Luveberthe St-Louis. Le programme de mentorat étudiant du Secteur science infirmière a pour principal objectif de faciliter l’adaptation et l’intégration à la vie universitaire des étudiantes et des étudiants de premier cycle.
Les élèves ont eu droit à quelques activités de simulation en laboratoire, à une visite des installations ultramodernes du Secteur science infirmière de l’UMCE ainsi qu’à un diner.
Pour des élèves en quête d’information concernant le programme de science infirmière, il s’agit d’une occasion idéale de les sensibiliser à ce domaine d’études, d’autant plus qu’on note, depuis quelques années, une pénurie d’infirmières et infirmiers à travers la province et le pays.
« Les perspectives d’emploi en ce moment sont idéales, a laissé savoir Anne Charron, chef du Secteur science infirmière de l’UMCE. D’ailleurs, le taux de placement de nos diplômées et diplômés est de cent pour cent. Le salaire est également très avantageux. Durant les quatre années du baccalauréat, nous formons des gens qui ressentent une grande fierté de prendre soin des gens. Il faut dire que les soins infirmiers constituent une profession très valorisante. »
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Source : Hugues Chiasson, coordonnateur des communications à l'UMCE (506 737-5050, poste 5034)
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