Lundi 18 Juin 2012
La professeure Sandra Turcotte est la bénéficiaire d’une bourse de180 000 $ du programme Krescent
La photo nous fait voir, de gauche à droite, Lise Dubois, vice-rectrice adjointe à la recherche et doyenne de la Faculté des études supérieures et de la recherche à l’Université de Moncton; la professeure Sandra Turcotte, boursière Krescent; Leah Carr, directrice des programmes de financement à la Fondation de la recherche en santé du Nouveau-Brunswick; et Tim Fox, directeur général de la Division du Canada atlantique de la Fondation canadienne du rein.
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La Fondation canadienne du rein et la Fondation de la recherche en santé du Nouveau-Brunswick financent conjointement cette bourse. Dans le cadre de ce même programme, la professeure Turcotte bénéficiera également d’un soutien en infrastructures de 25 000 $.
Krescent est un programme national de formation scientifique et d’encadrement pour les chercheuses et chercheurs dans le domaine rénal qui bénéficie du soutien du partenariat établi entre la Fondation canadienne du rein et la Société canadienne de néphrologie et impliquant les Instituts de recherche en santé du Canada et des représentants du secteur privé.
La bourse Nouveaux Chercheurs du programme Krescent est octroyée à toute personne ayant fait preuve d’excellence dans ses études de doctorat et de postdoctorat spécialisées dans les maladies rénales, le but étant de permettre aux bénéficiaires de s’établir comme chercheuses et chercheurs indépendants à part entière dans le domaine des maladies rénales. Le Programme Krescent offre également de multiples occasions de mentorat pour les nouveaux chercheurs et chercheuses.
La professeure Turcotte effectue des recherches sur le cancer du rein depuis le début ses études doctorales en 1999. Le cancer du rein est la forme la plus mortelle des cancers urologiques. Grâce à ce soutien financier du Programme Krescent, elle poursuivra ses recherches en vue de mettre au point des traitements ciblés susceptibles de tuer de manière sélective les cellules cancéreuses rénales à l’aide des approches de la biologie moléculaire et cellulaire. Plus précisément, ses travaux visent à cibler l’inactivation du gène de suppression tumoral von Hippel-Lindau (VHL) pour le développement d’une nouvelle thérapie anticancéreuse des carcinomes rénaux.
Avant son arrivée à l’Université de Moncton en juillet 2011, la professeure Turcotte a effectué des stages postdoctoraux à la Stanford University, en Californie, ainsi qu’à l’Institut du cancer de Montréal. Elle est l’auteure de 17 articles scientifiques, dont 12 portant sur les carcinomes rénaux.
Renseignements : FESR, au 858-4310.
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