Prix de l’AIINB attribués à l’étudiant Maxime Roy et à la professeure France Chassé

La photo du haut fait voir l’étudiant Maxime Roy, au centre, accompagné de Nathan Wickett, président désigné de l’AIINB, et de Julie Weir, présidente de l’AIINB. Dans la photo du bas, on reconnait, de gauche à droite, Julie E Boudreau, collègue enseignante, la professeure France Chassé et Julie Weir.

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L’Association des infirmières et infirmiers du Nouveau-Brunswick (AIINB) a décerné le Prix de la présidente, accompagné d’une bourse de 500 $ à Maxime Roy, étudiant finissant du programme de science infirmière à l’Université de Moncton, campus d’Edmundston (UMCE), à l’occasion du banquet de l’organisme tenu le lundi 8 mai dernier.

Lors de la même activité, le conseil d’administration de l’AIINB a remis le Prix de mérite en formation infirmière à France Chassé, professeure du Secteur science infirmière à l’UMCE.

Originaire de Saint-Quentin, Maxime Roy est reconnu pour l’excellent rendement académique qu’il a maintenu tout au long de ses études, son rôle de mentor sénior au sein de l’équipe de mentorat du Secteur science infirmière, son implication à la vie étudiante, ainsi que sa grande générosité, sa disponibilité et son soutien offerts à ses condisciples.

Il a reçu un prix national du Consortium national de formation en santé (CNFS) en 2022. Maxime Roy est un leadeur naturel : il est responsable, fiable et doté d’une personnalité agréable, ce qui facilite l’instauration rapide d’un climat de confiance. Il est sensible aux propos des autres, respectueux des opinions et fait preuve d’une grande ouverture d’esprit.

Pour ce qui est du prix décerné à France Chassé, il souligne son engagement dans l’apprentissage des étudiantes et étudiants, ses stratégies pédagogiques innovatrices, son engagement dans l’organisation et son implication aux activités de la vie étudiante.

France Chassé est professeure à l’UMCE depuis 1996 et elle prend sa retraite cette année après 40 années au sein de la profession infirmière. Elle s’est démarquée dans l’enseignement du cours Santé et complexité III qui porte sur les situations de désastres et par son implication dans les démarches pour que les étudiantes et étudiants aient des occasions d’apprentissage à l’international. Elle s’est même déplacée avec un groupe d’étudiants en Haïti pour les accompagner dans cette expérience.

Son rôle de mentor auprès de ses collègues a rejailli sur les étudiantes et étudiants, étant l’une des professeures responsables de l’instauration du programme de mentorat en science infirmière, en 2008. Le programme de mentorat des étudiantes et étudiants a su évoluer au fil des années et est devenu une pierre angulaire pour l’appui à la réussite dans le programme de formation en science infirmière au campus d’Edmundston.