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Université de Moncton, campus de Shippagan
L’UMCS et la communauté
De la visite du Burkina Faso
Le 18 avril dernier, l’UMCS accueillait messieurs Amed
Diallo, président fondateur de l’Institut africain de
management (IAM) d’Ouagadougou au Burkina Faso et
Mohamed Y. Dicko, représentant à l’international pour
l’Université de Moncton.
Présent dans trois pays africains, dont le Burkina Faso,
le Sénégal et le Mali, l’IAM compte environ 5 000
étudiants inscrits dans une douzaine de programmes
reliés à la gestion. Après avoir été chaleureusement
accueillis par des représentants de la Ville de Shippagan,
messieurs Diallo et Dicko ont participé à une rencontre
organisée par le décanat des études afin d’étudier les
possibilités de partenariat en lien avec le programme de
baccalauréat en gestion de l’information et le diplôme en
administration des affaires.
Dans la photo, dans l’ordre habituel, on peut voir,
assis, messieurs Dicko, représentant à l’international
pour l’Université de Moncton, Amed Diallo, président
fondateur de l’Institu africain de management (IAM)
d’Ouagadougou et Sid-Ahmed Selouani, doyen des
études à l’UMCS. À l’arrière : Denise Haché, directrice
des Services aux étudiants et du recrutement, Caroline
Lanteigne, professeur d’administration, Irène Savoie,
adjointe au doyen des études, Zine Khelil, professeur
d’administration, et Marthe Robichaud, professeur
d’administration.
Un campus au cœur de son
milieu depuis 50 ans
Un campus universitaire tel que
celui de Shippagan a des impacts
économiques et sociaux importants
dans son milieu. Du point de vue
économique, avec son budget
annuel de plus de 11 millions, on
évalue son impact à quelque 21
millions annuellement.
Sur le plan social au cours des 50 dernières années,
les liens étroits entre le Cmpus et son milieu ont pris
différentes formes comme en font foi les exemples
suivants.
Dans les années 1960, sœur Irène Léger s’était entourée
de gens influents de la communauté (comité aviseur)
afin d’assurer le développement du Collège Jésus-Marie.
Au milieu des années 1970, à la suite de la publication
du rapport de la Commission Wallace, la population
s’est littéralement déplacée à l’Assemblée législative à
Fredericton afin d’assurer la survie du Campus.
Les années 1990 et le début des années 2000 ont
été marqués par des campagnes de financement et
par l’engagement d’individus, d’organismes, de
municipalités et d’entreprises permettant de recueillir
près de 5 millions de dollars en fonds de bourses,
représentant des bourses de plus de 70 000 $ distribuées
annuellement par l’AAAUMCS.
Du point de vue de la communauté universitaire envers
son milieu, ce lien se traduit par de multiples conférences
et présentations scientifiques et autres données par
les professeurs et les membres du personnel dans les
écoles de la région Restigouche à Néguac en passant
par la grande région Chaleur. Les hôpitaux, les centres
de santé, les foyers de soins, les écoles, les entreprises,
etc. sont également des partenaires de premier ordre qui
accueillent nos étudiants stagiaires ou coop.
Plus récemment, c’est-à-dire depuis le début des années
2000, les professeurs chercheurs de l’UMCS font
des partenariats en recherche et développement avec
le milieu industriel et commercial, ce qui devrait se
traduire par des retombées économiques dans un avenir
rapproché.
Jocelyne Roy Vienneau, vice-rectrice
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