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Mardi 13 Mars 2012

Mardi 13 Mars 2012

Élise Mayrand, conférencière à l'AGA des conchyliculteurs professionnels du Nouveau-Brunswick

Élise Mayrand, professeure-chercheuse à l’Université de Moncton, campus de Shippagan, a donné une conférence à l’assemblée générale annuelle de l’Association des conchyliculteurs professionnels du Nouveau-Brunswick, le 6 mars 2012. Les connaissances acquises sur la physiologie des huîtres en hiver ont permis à l’équipe de recherche de faire diverses recommandations aux aquaculteurs. Les huîtres recommençant à s’ouvrir en moyenne à 5 C, il serait préférable de remettre en suspension les poches d’huîtres qui avaient été calées au fond de la mer pour l’hiver le plus tôt possible après le départ des glaces. Ceci éviterait que la vase accumulée au fond durant l’hiver ne bloque les branchies des huîtres, ce qui pourrait provoquer la mort d’une partie du stock. D’autre part, deux des trois méthodes d’hivernage testées sont susceptibles de conserver un meilleur goût aux huîtres. Il s’agit de la méthode consistant à caler les poches d’huîtres au fond de la baie pour l’hiver et de celle consistant à entreposer les huîtres dans des bassins intérieurs avec circulation d’eau de mer en continu. Si la méthode en chambre froide, où les huîtres sont gardées hors de l’eau dans une atmosphère humide, entraînait un peu moins de mortalité chez les animaux, elle causait par contre des changements chimiques plus marqués dans leurs tissus. Ainsi, l’acidité, la salinité et l’accumulation d’ammoniac étaient plus prononcées dans les huîtres de chambre froide que chez les huîtres hivernées en mer ou en bassins, ce qui pourrait affecter leur goût. Ces travaux ont été faits en collaboration avec l’industrie ostréicole (André Mallet, l’Étang Ruisseau Bar Ltée) et avec le ministère des Pêches et des Océans Canada (Luc Comeau, Centre des pêches du Golfe).


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