Vol. 42, no 11
17 novembre 2011
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La photo, prise lors de la signature de l’entente cadre, nous fait voir, assis : Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche à l’Université de Moncton, et Liane Roy, présidente-directrice générale du CCNB; debout : Julie Lefrançois, bibliothécaire en chef au CCNB; Sylvie Le Blanc, directrice du marketing, recrutement, anciens et amis au CCNB; Paul-Émile Bourque, doyen de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires; et Carole Essiembre, coordonnatrice du Programme d'appui à la réussite des études à l’Université de Moncton.
Une entente cadre est conclue entre l’Université de Moncton et le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick
L’Université de Moncton et le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick ont signé une entente cadre pour favoriser et privilégier les échanges, le partage des ressources et une collaboration étroite généralisée entre les deux institutions qui pourront ainsi plus adéquatement atteindre des objectifs communs tout en tenant compte de la spécificité et de l’autonomie de chacune.

En plus d’améliorer la formation postsecondaire au Nouveau-Brunswick, Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche à l’Université de Moncton, estime que cette entente cadre permettra d’optimiser l’utilisation des ressources des deux institutions tout en s’assurant d’une plus grande intégration des programmes de formation postsecondaire pour les francophones du Nouveau-Brunswick. « Tout en facilitant la mobilité étudiante entre nos deux institutions, elle permettra d’accroître les partenariats en recherche et développement, en innovation et en formation continue, de même qu’à l’international », mentionne-t-il.

Le plus bel exemple est certainement le nouveau campus d’Edmundston du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick qui a ouvert ses portes en septembre et dont les installations font partie intégrante du projet de cohabitation avec le campus d’Edmundston de l’Université de Moncton. « C’est unique au Canada de par sa conception, son fonctionnement et son approche pédagogique », rappelle Liane Roy, présidente-directrice générale du CCNB. Les étudiants du CCNB partagent avec ceux de l'Université plusieurs espaces communs dont la cafétéria, le café étudiant, la bibliothèque, la salle multifonctionnelle, la librairie et l'ensemble des services aux étudiants et étudiantes. Les espaces réservés aux associations étudiantes des deux établissements sont également adjacents.

Dans le domaine de l’enseignement et de la recherche, l’entente parle de développement de programmes articulés entre l'Université et le Collège, de même que la reconnaissance de cours ou sections de programmes et le transfert de crédits correspondants, la participation à la formation étudiante et la supervision d'activités de formation, le placement étudiant dans des stages, l'offre de certains enseignements crédités, et l’échange et le partage d’expertises dans la mise en oeuvre de projets de recherche et de développement.

En ce qui a trait aux ressources, M. Boucher rappelle qu’il y aura notamment le partage de différents services (bibliothèques, admission, orientation, certains laboratoires, centres et réseaux informatiques et de communication), et la conclusion de certaines ententes de collaboration au niveau de la recherche et des technologies afin de permettre au corps professoral et personnel enseignant de contribuer à la solution de problèmes techniques et scientifiques.

En terminant, M. Boucher précise que l'Université et le Collège s'entendent pour intensifier leur collaboration en s'informant mutuellement des nouveaux projets et en regroupant leurs forces respectives afin de mieux en assurer la qualité. Pour les projets à envisager, mentionnons la valorisation des études postsecondaires, la formation continue, la recherche et innovation, l’appui à la réussite étudiante, la planification académique et la mobilité interinstitutionnelle.

La durée de cette entente cadre est indéfinie avec toutefois la possibilité d'être modifiée avec l'assentiment des deux institutions. L'une et l'autre peuvent également y mettre fin en informant l'autre de son intention de se retirer.

Le CCNB du Nouveau-Brunswick comprend les campus francophones de Bathurst, Campbellton, Dieppe, Edmundston et de la Péninsule acadienne. L’Université de Moncton à ses campus à Edmundston, Moncton et Shippagan.
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Selma Zaiane-Ghalia
EKR : projet expérimental d’art-thérapie, dit projet de l’incubateur
Le 15 novembre dans le cadre du Projet expérimental d’art-thérapie, dit projet de l’incubateur, une séance de pratique de la peinture abstraite portant sur le thème du « pouvoir de l’amitié » a été proposée à un groupe de la résidence de l’Aboiteau de Dieppe. Ce projet de la peinture abstraite comme loisir thérapeutique auprès de personnes à besoins spéciaux est réalisé par Selma Zaiane-Ghalia, professeure à l’École de kinésiologie et de récréologie, et l’artiste peintre Mario Cyr, au sein de la résidence de l’Aboiteau.

Une première rencontre entre Mario Cyr et un groupe de dix résidents volontaires a eu lieu le 3 novembre à la résidence de l’Aboiteau pour personnes à besoins spéciaux, située au 2 100, rue Amirault à Dieppe. Lors de cette première rencontre, les dix résidents volontaires intéressés à prendre part à l’expérimentation ont participé à une discussion portant sur le thème de « l’histoire du secret » pendant que Mario Cyr réalisait une oeuvre inspirée du débat. Les personnes ayant toutes des besoins spéciaux spécifiques, tels que la maladie d’Alzheimer, la bipolarité ou encore le handicap cérébral de naissance, ont ainsi appris comment elles pourront, elles aussi, développer une oeuvre abstraite. Le groupe est composé de dix personnes âgées de 26 à 86 ans, dont trois sont en fauteuil roulant avec des difficultés importantes de mobilité des membres.

Le mardi 8 novembre, une deuxième rencontre a été organisée pendant laquelle cinq résidents ont expérimenté la peinture pendant que cinq autres étaient réunis autour de la table pour discuter du thème « la recette du plaisir ». Dix étudiants et étudiantes de l’École de kinésiologie et de récréologie ont assisté aux séances et ont pu les aider en cas de besoin avec le matériel servant à la peinture. Il en a été de même le 15 novembre où les groupes ont été intervertis.

Il y a lieu de souligner que pour la réalisation de ce projet, l’entreprise ArtShack, située au 370 de l’avenue Acadie à Dieppe, a gracieusement offert une partie importante du matériel nécessaire en plus de fournir les chevalets, permettant ainsi aux résidents de bénéficier d’un équipement professionnel en peinture.

La résidence de l’Aboiteau participe aussi grandement à la réussite du projet en offrant la chance aux résidents de découvrir une activité de divertissement nouvelle. La résidence, par l’entremise de sa directrice Carole Richard, a mis son espace et son personnel à la disposition du groupe en plus de le soutenir financièrement pour ce projet. L’Institut de leadership de l’École de kinésiologie et de récréologie est aussi un partenaire important dans la réussite de ce travail de recherche.

Les personnes intéressées étaient invitées à assister à la troisième séance du 15 novembre. Il leur a été possible d’interviewer des résidents ayant participé à l’exercice ainsi que des étudiants et étudiantes de l’École de kinésiologie et de récréologie.

Renseignements : Selma.zaiane-ghalia@umonton.ca /858-3760
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CRDE : impliquer les écoles dans les efforts de prévention et de dépistage de la santé mentale chez les jeunes
Le Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE) vous invite à assister à une causerie-midi portant sur les résultats d’un essai randomisé qui étudie l’effet d’une intervention basée sur la thérapie comportementale dialectique sur la progression des acquis développementaux de jeunes de 9e et 10e années, présentée par Liette Mainville, infirmière clinicienne spécialisée, Ann Beaton, professeure à l’École de psychologie, et Jimmy Bourque, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation et directeur du CRDE, le lundi 21 novembre entre midi et 13 heures dans le local B-118 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.
La santé mentale des jeunes constitue une préoccupation au Nouveau-Brunswick et dans le reste du Canada. Et les gouvernements désirent impliquer les écoles dans les efforts de prévention et de dépistage. Pour ce faire, les écoles auraient un rôle à jouer dans le développement de facteurs de protection favorisant la résilience. Le cadre des acquis développementaux décrit des ressources que les jeunes devraient pouvoir déployer devant l’adversité. La thérapie comportementale dialectique constitue une intervention visant le développement des capacités des individus à faire face à l’adversité.

Renseignements : 858-4277 / http://www.umoncton.ca/crde
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La percussionniste canadienne Anne-Julie Caron.
Concert en compagnie de la percussionniste Anne-Julie Caron et du professeur Michel Deschênes
La percussionniste canadienne Anne-Julie Caron sera de retour dans la région pour donner des classes de maître et un concert, le samedi 19 novembre à 20 heures dans la salle Neil-Michaud de l’édifice des Beaux-arts au campus de Moncton.

En plus de jouer des oeuvres pour soliste, elle sera accompagnée du professeur de percussion Michel Deschênes et de l’Ensemble de percussion du Département de musique. Au programme, vous pourrez entendre des oeuvres de Keiko Abe, Rüdiger Pawassar, Emmanuel Sejourné, Debussy et Piazzolla.

Anne-Julie Caron mène une carrière de soliste et de chambriste. Elle se distingue sur la scène musicale internationale grâce à la sensibilité, la profondeur et le large éventail de couleurs de son jeu. Spécialisée en marimba, elle s’est fait remarquer par le compositeur argentin Guillo Espel comme « l’une de ses marimbistes préférées au monde ». Le Vancouver Sun a aussi écrit : « Anne-Julie Caron a joué avec un talent qui rappelle Evelyn Glennie ». Elle a remporté le Prix Opus 2007 « Découverte de l’année », le deuxième prix à l’International Marimba Competition, Linz 2006 (Autriche), ainsi que deux des plus prestigieux concours canadiens, l’OSM Standard Life 2005 et le Prix d’Europe 2004.

Ses projets récents comprennent des prestations et cliniques dans plusieurs festivals internationaux dont le 4e Festival Internacional de Percusión Tamborimba (Cali, Colombie), le Zeltsman Marimba Festival (Wisconsin, É.-U.) et le Festival de percussion PerKumania (Paris). Elle a aussi présenté récemment des concertos avec l’Orchestre symphonique de Montréal, l’Orchestre symphonique de Québec et l’Orchestre symphonique de Sherbrooke.

Parmi les autres événements marquants de sa carrière, il y a le lancement de son premier album « La Rencontre », sous étiquette ATMA, ses débuts new-yorkais et des prestations à PASIC, l’une des plus importantes conventions de percussion dans le monde, au Festival Internacional de Marimbistas (Mexique), au Zeltsman Marimba Festival (États-Unis) et à de nombreux festivals canadiens (Ottawa, Lanaudière, Domaine Forget, Vancouver, Cool Drumming, Ideacity). Elle a aussi joué en solo avec différentes formations dont l’Orchestre symphonique de Montréal, l’Orchestre métropolitain du Grand Montréal, Thirteen Strings et l’Orchestre symphonique de Québec. Elle a aussi fait des tournées canadiennes en Colombie-Britannique, dans les Prairies (Prairie Debut) et dans les Maritimes (Atlantic Debut).

Mme Caron est également reconnue en tant que pédagogue. Elle a déjà présenté des cliniques et des classes de maître à PASIC, à Tuxtla Gutiérrez (Mexique) et dans plusieurs conservatoires et universités incluant celles d’Indiana, de Toronto, de la Colombie-Britannique, d’Ottawa et de Montréal.

Dans le passé, elle a remporté le premier prix de percussion (Prix Louis-Charbonneau) au concours de l’Orchestre symphonique de Trois-Rivières en 2003, le concours de concerto du Conservatoire de musique de Québec en 2002 et le concours Jeunes artistes de Radio-Canada en 2001. Elle a aussi été choisie lauréate de Québec par le quotidien Le Soleil et Radio-Canada. Anne-Julie Caron a récolté au fil des ans de nombreuses bourses de diverses fondations et organismes dont le Conseil des arts du Canada, le Conseil des arts et des lettres du Québec et la fondation Wilfrid-Pelletier.

La percussionniste a débuté ses études musicales à l’âge de quatre ans en apprenant d’abord le piano. C’est au Conservatoire de musique de Québec qu’elle s’est consacrée à l’étude de la percussion. Elle a été diplômée en 2003 en recevant un prix avec grande distinction accordé à l’unanimité avec la plus haute note jamais attribuée à un percussionniste dans l’histoire des conservatoires au Québec. L’année suivante, elle a étudié à Boston avec la très renommée Nancy Zeltsman.

Anne-Julie s’est aussi perfectionnée avec Bogdan Bacanu et a eu l’honneur de travailler avec Keiko Abe. Son instrument est le Adams Artist Classic 5 octaves.

L’entrée est libre et bienvenue à tous et à toutes.

Vous pouvez obtenir de plus amples renseignements au 858-4057.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9716
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La photo nous fait voir les artistes qui ont participé au spectacle lors du vernissage. Il s’agit, de gauche à droite, de Lee Saunders (performance danse); le musicien Hampic Djabourian, de Montréal (duduk); Lucia Choulakian (performance danse); le musicien Rouben Haroutunian, de Paris (chant et céthare); Sylvia Kasparian (performance danse et direction artistique); et Edmond Habétian, de Bordeaux (performance danse). Le chœur Beauséjour, sous la direction de Monique Richard, était absent lorsque la photo a été prise.
Plus d’une quarantaine oeuvres de Sergeï Parajanov sont présentées à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen
Jusqu’au 16 décembre, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen de l’Université de Moncton présente l’exposition « Parajanov : Le réel imaginé » au pavillon Clément-Cormier du campus de Moncton.

Prêtée par le Musée Parajanov d’Erevan (Arménie), cette exposition propose plus de 40 oeuvres de l’artiste Sergeï Parajanov, ainsi qu’une projection en continu d’un de ses plus grands films, « La Couleur de la grenade (Sayat-Nova) » (1968).

Lors du vernissage, le programme de la soirée comprenait de la musique, des chants et des performances, sous la direction de la professeure Sylvia Kasparian, directrice artistique du Festival arménien de Moncton, qui ont rendu en son et en mouvement l’esprit des œuvres et de la vie de l’artiste.

Pendant le Festival arménien, les quatre films majeurs de Parajanov ont été projetés dans l’amphithéâtre de la Galerie d’art.

Une deuxième rétrospective des films de Parajanov précédée du documentaire de Patrick Cazals « Sergueï Paradjanov le rebelle » (France, 2003) sera également présentée dans le cadre du Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA), du 20 au 24 novembre à 15 heures dans l’amphithéâtre de la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen.
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Grandes religions de l'humanité : de l'Inde de Bouddha à l'Occident chrétien
L'Université du 3e âge du Sud-Est invite le grand public à assister à la première d'une série de conférences en compagnie de Denise Lamontagne, professeure de sciences humaines des religions, qui présentera une introduction à la connaissance des grandes religions à partir d'une méthode pédagogique originale basée sur l'étude de l'évolution des symboles liés aux grandes cultures religieuses de l'humanité à travers l'histoire, le jeudi 8 décembre de 18 h 30 à 21 heures dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Si vous voulez comprendre ce qui réside aux fondements de l'intérêt actuel pour les disciplines du corps et de l'esprit qui nous viennent de l'Orient, l'engouement pour le Bouddhisme alors que les églises ont tendance à se vider...., une exploration de l'évolution des grandes religions de l'humanité peut vous aider à faire la lumière sur cette transformation à l'œuvre dans nos sociétés modernes.

Il en coûte 20 $ et les inscriptions sont limitées à 35 personnes. Pour vous inscrire par téléphone ou courriel : 858-4410 / utase@umoncton.ca.
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Le pari de la démocratie dans le monde arabe
Le Centre Métropolis atlantique, le Département de science politique de l’Université de Moncton et la Chaire de recherche en immigration, ethnicité et citoyenneté de l’Université du Québec à Montréal organisent une table ronde, intitulée « Le pari de la démocratie dans le monde arabe », en compagnie Michel Cormier et Haroun Bouazzi, le mardi 29 novembre de 16 h 30 à 18 heures dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Au regard des événements qui ont marqué la région depuis la révolution du jasmin en Tunisie jusqu’à la contestation contre le régime du président Bachar al-Assad en Syrie, cette table ronde propose de réfléchir à plusieurs enjeux cruciaux pour la normalisation de sociétés postautoritaires, notamment l’avenir des transitions démocratiques, la place de l’héritage arabo-musulman et des valeurs libérales, de même que le développement économique et social.

Michel Cormier est directeur de la Société Radio-Canada en Acadie. Il a une longue carrière journalistique au réseau français de Radio-Canada en tant que correspondant parlementaire à Ottawa, puis chef du bureau de la colline parlementaire des nouvelles télévisées de Radio-Canada à Québec et à l’étranger en tant que correspondant international en Russie et en Chine. Il vient de publier un ouvrage sur la Chine contemporaine aux éditions Leméac, intitulé « Les héritiers de Tiananmen ».

Haroun Bouazzi est ingénieur de formation et travaille actuellement dans le domaine des hautes technologies au sein d'une institution financière canadienne. En décembre 2010, dès le début de la révolte tunisienne, il cofonde avec d'autres militants tunisiens le Collectif de solidarité au Canada avec les luttes sociales en Tunisie, dont il est le porte-parole. Le collectif a notamment travaillé sur le dossier du gel des avoirs des familles Ben Ali-Trabelsi, et a mené les actions qui ont poussé le gouvernement conservateur à modifier la législation canadienne en matière de personnes politiquement exposées, débouchant sur le gel de ces avoirs.

Renseignements : Chedly Belkhodja, au 858-3749
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9719
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Omer Chouinard, professeur au Département de sociologie et du programme de maîtrise en études de l’environnement de l’Université de Moncton.
Le défi de la gestion intégrée des zones côtières et du changement climatique
Dans le cadre du projet de l’ARUC - Défis des communautés côtières, le livre publié aux Presses de l’Université du Québec, intitulé « Les zones côtières et le changement climatique : le défi de la gestion intégrée », sous la direction d’Omer Chouinard, du Département de sociologie et du programme de maîtrise en études de l’environnement de l’Université de Moncton, Juan Baztan, directeur de Marine Science for Society, et Jean-Paul Vanderlinden, professeur en économie de l’environnement à l’Université Versailles Saint-Quentin en Yvelines, aura lieu le vendredi 18 novembre à compter de 9 h 30 dans la salle B-015 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton. Des professeurs des trois campus de l’Université de Moncton participent à cet ARUC.

L’approche de la gestion intégrée des zones côtières est apparue en opposition à l’approche unisectorielle de la gestion des ressources afin de pallier aux nombreux stress posés sur les écosystèmes par les activités humaines. Plus de 700 projets de gestion côtière intégrée ont eu lieu aujourd’hui dans différents pays du monde. Malgré cela, la dégradation des milieux côtiers n’a pas été freinée. Elle se poursuit même à un rythme alarmant. Il y a donc urgence de trouver des approches de gestion qui proposent des solutions viables.

Divers auteurs du Canada atlantique de renommée nationale, voire internationale, ont apporté leur contribution. D’abord, la préface de Mike Chadwick, qui a été directeur des sciences au ministère des Pêches et Océans (MPO), parle de l’importance de la zone côtière pour les pêches commerciales. La postface a été écrite par Liette Vasseur, de l’Université Brock et ex-titulaire de la Chaire K.-C.-Irving en développement durable à l’U de M.

Il y a aussi Éric Forgues et Marie-Thérèse Seguin, de l’Université de Moncton, qui font part de la situation des travailleurs d’usines de poisson au centre d’un équilibre systémique intégrée; Sophie Bastien-Daigle, du MPO, qui relate la perception des acteurs du littoral du sud du Golfe du Saint-Laurent dans la gestion des dossiers environnementaux; Steve Plante, de l’UQAR, codirecteur de l’ARUC - gestion intégrée de défis des communautés côtières, qui parle des tensions entre le fédéral et le Québec dans le dossier des bassins versants et des zones côtières; Robert L. Stephenson, du MPO, et Dan Lane, de l’Université d’Ottawa, qui entretiennent des nouvelles mesures de gestion intégrée des territoires côtiers et de la pêche sur la côte atlantique; Omer Chouinard, Juan Baztan et Jean-Paul Vanderlinden, qui font part de la limite de la gestion sectorielle et des défis de l’approche de la gestion intégrée.

D’autres textes de grande qualité font aussi partie de cet ouvrage. Mentionnons Alain Retière, du Programme des Nations-Unis pour le développement et responsable du dossier sur les changements climatiques et les territoires vulnérables, qui fait part d’une étude portant sur la vulnérabilité des territoires côtiers et des populations du Paraguay; et Juan Baztan, du Réseau Marine Science for Society.

Il y a d’autres auteurs de renom tels Emmanuel-Charles Dominique, qui livre les résultats d’une étude portant sur le littoral ouest africain face au changement climatique; Michel Desse, de l’Université de Poitiers, qui parle des pressions anthropiques, des mesures de protection et de défis de la gestion participative dans les Iles Martinique et Guadeloupe; Annie Gouzien, de Rennes 2, qui parle de ses travaux en Bretagne sud portant sur la défense de la socioéconomie du littoral dans une perspective de développement durable; Jean-Paul Vanderlinden, de l’Université Versailles St-Quentin en Yvelines, et Rachel Friolet, du MPO, qui traitent de la gestion intégrée dans la Baie de Caraquet.

Cette activité est sous la coprésidence de Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales, et Céline Surette, directrice de la maîtrise en études de l’environnement. Les personnes intéressées pourront se procurer l’ouvrage sur place (28 $ l’exemplaire) par l’entremise de la Librairie acadienne. Un lancement est aussi prévu ultérieurement au campus de Shippagan .
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Palmarès du Doyen de la Faculté des sciences pour 2010-2011
Cette année, 113 étudiants et étudiantes de la Faculté des sciences de l’Université de Moncton ont reçu un certificat de mérite pour leur excellent rendement académique. Leurs noms s’ajoutent au Palmarès du Doyen pour l’année 2010-2011.

Voici la liste dressée par école.

Aux-Quatre-Vents (Dalhousie)
Andrée-Anne Bordua, baccalauréat appliqué en techniques radiologiques, et Ariane Choquette, B.Sc.-B.Ed. concentration mathématiques.

Centre scolaire-communautaire La Fontaine (Néguac)
Karine LeBreton, B.Sc. multidisciplinaire.

Cité des Jeunes A.-M. Sormany (Edmundston)
Yasmina Binot, diplôme des sciences de la santé; Cajetan Bouchard, baccalauréat en informatique appliquée - régime coopératif; David Landry, B.Sc. spécialisation en biologie;
Jeannie Reckler, baccalauréat appliqué en sciences de laboratoire médical; Annie Robinson, baccalauréat appliqué en sciences de laboratoire médical; et Dany Saucier, B.Sc. avec spécialisation en biologie.

École Carrefour Beausoleil (Miramichi)
Marie-Soleil Lamarre, diplôme des sciences de la santé.

École Clément-Cormier (Bouctouche)
Mylène Arsenault, B.Sc.-B.Ed. concentration chimie; Lise Boucher, baccalauréat appliqué en sciences de laboratoire médical; Émile Jr. Cormier, étudiant libre - sciences; Jennifer Girouard, baccalauréat appliqué en sciences de laboratoire médical; Gabriel Goguen, diplôme des sciences de la santé; et Sarah Robichaud, B.Sc. avec spécialisation en biochimie.

École L'Odyssée (Moncton)
Adèle Bourgeois, diplôme des sciences de la santé; Maxime Gérin-Ouellet, B.Sc. avec spécialisation en biochimie - régime coopératif; Heidi Godbout, diplôme des sciences de la santé; Fanny Gueniche, diplôme des sciences de la santé; Sophie Gueniche, diplôme des sciences de la santé; Martin Hébert, B.Sc. spécialisation en chimie; Mélanie Léger, diplôme des sciences de la santé; Madelaine Manuel, B.Sc.-B.Ed. concentration mathématiques; et Ali Sidibé, diplôme des sciences de la santé.

École Marie-Esther (Shippagan)
Catherine Chiasson, baccalauréat appliqué en techniques radiologiques; Josianne Landry, baccalauréat appliqué en sciences de laboratoire médical; Katherine Landry, baccalauréat appliqué en techniques radiologiques; et Marie-Josée Landry, baccalauréat appliqué en techniques radiologiques.

École Mathieu-Martin (Dieppe)
Ruba Assi, diplôme des sciences de la santé; Chantal Aubut, baccalauréat appliqué en sciences de laboratoire médical; Mylène Basque, B.Sc. avec spécialisation en biologie; Katharina Brousseau, diplôme des sciences de la santé; Anne-Sophie Chiasson, B.Sc. avec majeure en biologie - régime coopératif; Pascale D'Astous, diplôme des sciences de la santé; Samir Farhloul, diplôme des sciences de la santé; Christine Gaudet, diplôme des sciences de la santé; Marie-Pier Giard, B.Sc. avec majeure en biochimie; Anne Gosselin, diplôme des sciences de la santé; Jessica Grant, B.Sc. avec spécialisation en biochimie; François LaPlante, baccalauréat en informatique appliquée - régime coopératif; Kelsey Lawson, diplôme des sciences de la santé; Marie-Josée LeBlanc, diplôme des sciences de la santé; Martin LeBlanc, diplôme des sciences de la santé; Mélanie S. LeBlanc, baccalauréat appliqué en techniques radiologiques; Marc-André Léger, diplôme des sciences de la santé; Monique Léger, baccalauréat appliqué en sciences de laboratoire médical; Victoria Luong, diplôme des sciences de la santé; Thomas McNally, B.Sc. avec spécialisation en biochimie; Martine Melanson, diplôme des sciences de la santé; Nathalie Murphy, diplôme des sciences de la santé; Sylvie Richard, B.Sc. avec majeure en biologie; Sylvie Roberge, diplôme des sciences de la santé; Mathieu Robinson, B.Sc. avec spécialisation en biochimie; Caroline Surette, diplôme des sciences de la santé; Marie-Andrée Thériault, diplôme des sciences de la santé; et Danika Vautour, diplôme des sciences de la santé.

École Mgr-Marcel-François-Richard (Saint-Louis-de-Kent)
Monica Doiron, diplôme des sciences de la santé; Vanessa Geneau, baccalauréat appliqué en techniques radiologiques; Mathieu Antoine Richard, B.Sc. avec spécialisation en biochimie - régime coopératif; Monique Richard, baccalauréat appliqué en thérapie respiratoire; et Pascal Vautour, baccalauréat appliqué en techniques radiologiques.

École Sainte-Anne (Fredericton)
Chantal Bernard, diplôme des sciences de la santé; Émilie Lepage, diplôme des sciences de la santé; Zoé Mallet, diplôme des sciences de la santé; et Janel Walsh, diplôme des sciences de la santé.

École Népisiguit (Bathurst)
Mélanie Bois, diplôme des sciences de la santé; Maxime Boudreau, B.Sc. avec spécialisation en physique; Pierre Boudreau, B.Sc.-B.Ed. concentration physique; Mathieu Boudreau-Frenette, diplôme des sciences de la santé; Hugo Dignard, diplôme des sciences de la santé;
Jessica Guignard Mallet, B.Sc.-B.Ed. concentration chimie; Yves Haché, baccalauréat appliqué en sciences de laboratoire médical; et Roxane Pelletier, B.Sc. avec spécialisation en chimie.

École Louis-J.-Robichaud (Shediac)
Monica Arsenault, baccalauréat appliqué en techniques radiologiques; Christelle Boudreau, diplôme des sciences de la santé; Bobby Bourque, diplôme des sciences de la santé; Denika Bourque, B.Sc. avec spécialisation en biologie; Natasha Caissie, diplôme des sciences de la santé; Sophie Goguen, baccalauréat appliqué en techniques radiologiques; Josée LeBlanc, B.Sc. avec majeure en biochimie; Luc LeBlanc, B.Sc. avec spécialisation en chimie; et Celeste Vautour, B.Sc. avec majeure en mathématiques - régime coopératif.

École Louis-Mailloux (Caraquet)
Catherine M Paulin, B.Sc. avec majeure en mathématiques - régime coopératif; Philippe Servant, B.Sc. avec spécialisation en biologie - régime coopératif; et Nghia Tran, B.Sc. avec spécialisation en biologie.

École Roland-Pépin (Campbellton)
Paul Hutchinson, B.Sc. avec majeure en physique, et Amila Landry-Darismé, diplôme des sciences de la santé.

École Thomas-Albert (Grand-Sault)
Joshua Bard, B.Sc.-B.Ed. concentration physique; Émilie Corriveau, diplôme des sciences de la santé; et Mindy Gagné, B.Sc.-B.Ed. concentration biologie.

École W.-Arthur-Losier (Tracadie-Sheila)
Émilie Benoît, baccalauréat appliqué en sciences de laboratoire médical; Jessica Brideau, baccalauréat appliqué en sciences de laboratoire médical; Francesca Duguay, diplôme des sciences de la santé; Dean Ferguson, B.Sc. avec spécialisation en biochimie - régime coopératif; Richard Zoël Ferguson, B.Sc. avec majeure en mathématiques; Amélie Robichaud, baccalauréat appliqué en thérapie respiratoire; et Patrick Robichaud, B.Sc. avec spécialisation en biochimie.

École Bernice McNaughton High (Moncton)
Imen Hamam, diplôme des sciences de la santé.

Moncton Christian Academy (Moncton)
Jean-Phillippe Gagnon, diplôme des sciences de la santé.

École Sugarloaf Senior High (Campbellton)
Kristina Laevski, diplôme des sciences de la santé.

Nouvelle-Écosse
Chelsea Lefort, diplôme des sciences de la santé, et Keith Redding, baccalauréat appliqué en techniques radiologiques.

Québec
Toussida Arthur Dabilgou, B.Sc. avec majeure en mathématiques - régime coopératif; Valérie LeBlanc, B.Sc. avec spécialisation en biologie; et Clara White, diplôme des sciences de la santé.

Saskatchewan
André-Michel Guay, diplôme des sciences de la santé.

International
Thomas Branly, B.Sc. avec spécialisation en biochimie; Kevin Demanou Kembou, B.Sc. avec majeure en chimie; Maryleen Mompoint, baccalauréat en informatique appliquée - régime coopératif; Mathilde Pohin, B.Sc. avec majeure en biochimie; Arlette Rwigemera, B.Sc. avec spécialisation en biochimie.

À domicile
Aurélie Paré, diplôme des sciences de la santé.
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Congé des Fêtes pour les membres du personnel
Les jours de congé pour le personnel de l'Université de Moncton lors des Fêtes de fin d’année seront les suivants : les lundi et mardi 26 et 27 décembre - congés statutaires; les mercredi, jeudi et vendredi 28, 29 et 30 décembre - congés spéciaux; et le lundi 2 janvier 2012 - congé statutaire.

L'Université de Moncton sera fermée du lundi 26 décembre au lundi 2 janvier et elle ouvrira à nouveau le mardi 3 janvier au matin. Évidemment, certains services essentiels devront être maintenus pendant cette période. Il relève de chaque responsable concerné de déterminer la nature et le niveau de service à maintenir.

Le recteur, Yvon Fontaine, et la communauté universitaire expriment leur reconnaissance à toutes ces personnes qui assureront les services pendant la période des Fêtes.
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Chedly Belkhodja, un spécialiste en immigration et en diversité culturelle
Professeur titulaire au Département de science politique de l’Université de Moncton, campus de Moncton depuis 1992, Chedly Belkhodja est un spécialiste en sociologie politique comparée, en politique canadienne, en immigration et en diversité culturelle. Originaire de la Tunisie, il habite à Moncton depuis son enfance.

Il a fait des études de maîtrise ès arts à l’Université de Montréal en plus d’obtenir le D.E.A. et le doctorat nouveau régime de l’Université Montesquieu-Bordeaux IV.

Sa recherche doctorale présentait un cadre théorique susceptible d’expliquer l’émergence et le succès des partis populistes de droite en Occident. « En choisissant d’étudier la montée et le déclin du Parti Confederation of Regions (CoR) au Nouveau-Brunswick, dit-il, j’ai comparé une dynamique partisane spécifique à une situation transnationale fort intéressante. »

Ses travaux actuels portent sur les questions de l’immigration dans les villes de tailles moyennes et dans les régions de faible immigration, et des discours et représentations de la diversité culturelle, religieuse et ethnique.

Auteur prolifique, ses articles ont été publiés dans Études ethniques au Canada, Revue canadienne de science politique, Politique et Sociétés, Argument, Francophonie d’Amérique ou encore Lexicometrica. « Cet automne, je publie un essai portant sur l’immigration chez l’éditeur Perce-Neige et un ouvrage collectif portant sur les politiques et les pratiques de régionalisation dans cinq fédérations chez l’Harmathan », ajoute-t-il.

En 2003, le professeur Belkhodja s’est impliqué dans le Centre Métropolis atlantique en tant que chercheur et depuis 2006, il en assume la direction.

Métropolis atlantique est un réseau de chercheurs universitaires, de représentants gouvernementaux et d’organismes non-gouvernementaux dont le mandat est de développer et de poursuivre la recherche en matière d’immigration et de diversité culturelle afin d’améliorer les politiques publiques dans ce domaine. « Bien qu’il s’intéresse prioritairement aux besoins de la région de concert avec les autres centres du Canada - Montréal, Vancouver, Toronto et dans les Prairies-, il collabore à la mise sur pied de programmes de recherche conformes aux objectifs nationaux du Projet Métropolis, de même qu’aux efforts de recherche découlant de plus de 20 pays participant au projet », rappelle-t-il.

M. Belkhodja a reçu plusieurs subventions Métropolis dont une tout récemment alors qu’il se joint à Pauline Barber-Gairdner, du Département d’anthropologie et sociologie de Dalhousie University, pour s’intéresser aux trajectoires et aux expériences des étudiants internationaux dans les quatre provinces de l’Atlantique lorsque vient le temps de considérer un projet d’immigration.

Plus localement, M. Belkhodja a coprésidé le Conseil d’immigration du Grand Moncton, organisme composé de 21 bénévoles qui tente d’améliorer le taux de rétention dans les plus petits centres urbains puisque, comme on le sait, environ 80 pour cent des nouveaux arrivants au Canada s’installent dans les trois grandes villes que sont Montréal, Toronto et Vancouver. Il est aussi membre du comité directeur Citoyenneté immigration Canada-Communautés francophones en situation minoritaire chargé de mettre en application le Plan stratégique pour favoriser l’immigration au sein des communautés francophones en situation minoritaire.

Parallèlement à sa carrière de professeur, il a réalisé deux documentaires produits par le studio Acadie de l’Office national du film du Canada (ONF), notamment « Tableaux d’un voyage imaginaire » ou, avec le cinéaste Jean Chabot, il a tenté de capter les transformations de l’industrie touristique et proposé un questionnement portant sur l’évolution de cette industrie qui emploie plus 500 000 personnes au Canada, et « Au bout du fil», qui donne la parole à de jeunes immigrants diplômés qui tentent de se trouver un emploi à Moncton.

M. Belkhodja est aussi chercheur associé à la Chaire de recherche en immigration, ethnicité et citoyenneté de l’Université du Québec à Montréal. Au cours de sa carrière, il a également été chercheur invité au Centre interdisciplinaire de recherche sur la citoyenneté et les minorités de l’Université d’Ottawa et, plus récemment, au Centro de Estudos Geographico de l’Université de Lisbonne au Portugal.
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Classes ouvertes d’interprétation et d’expression corporelle en art dramatique
Les étudiants et étudiantes du Département d’art dramatique de présentent leurs classes ouvertes d’interprétation et d’expression corporelle, les 17, 18, 19, 20 et 21 novembre au campus de Moncton.

Les étudiants et étudiantes de 2e année présentent des pièces contemporaines en un acte (ou scènes) qui se réclament d’autres conventions théâtrales que le réalisme, le samedi 19 novembre à 19 heures et le dimanche 20 novembre à 14 heures, dans le local A-205 du pavillon Jeanne-de-Valois.

Cette année, le cours sera axé sur des textes dramatiques appartenant au théâtre dit « absurde » ou apparenté de près ou de loin avec lui : « Le Défunt », de René de Obaldia; « Vernissage », de Vaclav Havel; « Le Guichet », de Jean Tardieu; « Serial Killer », de Carole Fréchette; et une scène de « Les sept jours de Simon Labrosse », de Carole Fréchette.

À l’exception de Jean Tardieu, les autres auteurs choisis sont plus rarement cités comme des « classiques » de l’absurde et pourtant….ce n’est pas si facile de les décoder. C’est pourquoi on les a préférés pour l’exercice mais aussi pour le plaisir de s’attaquer à des textes moins orthodoxes, dans tous les sens du terme et tout aussi riches sur le plan de l’apprentissage et du développement des possibilités de jeu.

Cet exercice pédagogique est répété sous la direction d’Andréi Zaharia.

Les étudiants et étudiantes de 3e année présentent « Iphigénie », de Jean Racine, le dimanche 20 novembre à 19 heures et le lundi 21 novembre à 14 heures, dans la salle A-119 du pavillon Jeanne-de-Valois.

La Grèce. Sur les rives d’Aulis, mille vaisseaux commandés par 20 rois, eux-mêmes commandés par Agamemnon, le roi des rois, attendent depuis trois mois que les vents se lèvent afin qu’ils puissent cingler vers Troie. On a osé enlever la femme d’un des leurs, d’un grec. Cela se paie. Mais une déesse exige un sacrifice humain, le sacrifice d’Iphigénie, la propre fille d’Agamemnon. Celui-ci hésite. Finalement il fait venir sa fille sous un fallacieux prétexte : son mariage avec le bouillant Achille. À Troie, la gloire, la richesse et la vengeance attendent Agamemnon et les Grecs. La fin justifie les moyens, n’est-ce pas?

Cet exercice pédagogique dirigé par Diane Ricard est d’une durée de 1 h 40. A cause du dispositif scénique, les retardataires ne pourront pas entrer dans la salle après le début du spectacle.

Les étudiants et étudiantes de 3e et 4e années présentent une expression corporelle, le jeudi 17 novembre de 10 heures à 11 h 30, et ceux et celles de 1re et 2e années en présentent une le vendredi 18 novembre de 10 heures à 11 h 30, dans la salle de danse (local 148) du Ceps Louis-J.-Robichaud.

Cet exercice est travaillé sous la direction de la professeure Chantal Cadieux.

Bienvenue à tous et à toutes. Renseignements : 858-4444.
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Shawn LeBlanc et Patrick Lanteigne remportent la finale nationale de Red Bull Racing Can
Shawn LeBlanc et Patrick Lanteigne, tous deux inscrits en génie civil à la Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton, ont remporté la finale nationale de Red Bull Racing Can qui a eu lieu au HEC Montréal.

En plus de Moncton, les étudiants des universités canadiennes de Montréal, McGill, Toronto, Lethbridge, McMaster et Queens ont démontré leurs talents d’ingénieurs, leurs côtés techniques et leurs compétences de conduite après avoir construit leurs propres bolides de compétition pour affronter leurs pairs en qualifications régionales. D'un océan à l'autre, les étudiants ont fait preuve de créativité, d'imagination et de vitesse. En Formule Un, c’est la haute technologie qui fait la course mais lors de Red Bull Racing Can, c'est la canette qui vole la vedette.

Des équipes de deux (un chauffeur et un chef technique – Shawn LeBlanc) n'ont pas seulement coursé contre la montre, mais ont aussi été jugés sur l'apparence, le style et la performance technique de leurs voitures de course fabriquées à la main, exclusivement à partir de canettes de Red Bull. Les bonnes roues, un design sophistiqué et les compétences d'ingénierie ont été la clé du succès.

Et la course ne s’arrête pas là. La finale mondiale de Red Bull Racing Can aura lieu sur le site des quartiers généraux de Red Bull Racing, à Milton Keynes, en Angleterre, le 22 novembre. Shawn et Patrick affronteront alors les champions nationaux de 25 pays.

Trois juges, dont Sébastien Toutant, planchiste professionnel et médaillé d’or en snowboard slopestyle chez les hommes au Jeux d’hiver X Games 15, ont accordé des points pour le design, la créativité et la réalisation technique des cannettes de course. Une cannette qui se retrouvait trop souvent hors circuit obtenait moins de points qu’une autre qui glissait en douceur à travers les virages et les épingles du parcours.

Un total global de 100 points pouvait être marqué. La première équipe à franchir la ligne d’arrivée enregistrait 60 points. La deuxième en marquait 55, la troisième, 52, la quatrième, 49, et ainsi de suite. De plus, 30 points pouvaient être accordés pour la construction. Le jury donnait des points pour la créativité, le design et la réalisation technique des voitures. Chacune de ces catégories était limitée à un maximum de dix points.

Red Bull Racing Can est une série de courses universitaires. Un maximum de 24 compétiteurs participent par course sur un parcours établit avec des voitures personnalisées. Afin d’être juste, le châssis de toutes les voitures sont les mêmes. C'est la carcasse des bolides, son aérodynamisme et plus particulièrement son design qui font la différence. Et c'est là que le métal se joint à la course. Le corps, les caractéristiques aérodynamiques et le design sont exclusivement faites de canettes de Red Bull parce que lorsqu’il s'agit du pointage dans cette course, une canette peut faire la différence.

La voiture la plus rapide et avec le meilleur style remporte et catapulte les gagnants des qualifications régionales à la finale nationale et ensuite à la finale mondiale de Red Bull Racing Can.
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La photo nous fait voir des membres du CMU. Il s’agit, de gauche à droite, de Suzanne Harrison, présidente; Stéphanie Gautreau, étudiante stagiaire et bénévole; Lewis St-Onge, représentant du Service des ressources humaines; Sonia Bérubé; Roger G. LeBlanc, vice-président; et André Arseneau, coordonnateur - santé et sécurité. Absences dans la photo : Charles Babineau, Paul-Émile Bourque, Jacques Cormier, Jeanne Godin, Horia Iancu et Micheline Martin.
Comité de mieux-être universitaire : un pas de plus vers une reconnaissance officielle
Le 14 juin dernier, le Comité de mieux-être universitaire (CMU) a reçu une lettre du Vice-rectorat à l’administration et aux ressources humaines accueillant favorablement sa demande de reconnaissance officielle au sein de l’Université de Moncton, campus de Moncton.

Le CMU adopte alors son nouveau plan de structure et de fonctionnement qui comprend la création d’un comité de travail, un comité consultatif ainsi qu’un comité exécutif où siègent la présidente, Suzanne Harrison, le vice-président, Roger G. LeBlanc, la secrétaire, Jeanne Godin, ainsi qu’un représentant du Service des ressources humaines, Jacques Cormier. Malgré les changements dans sa structure et son mode de fonctionnement, le CMU maintient la même mission et la même vision.

Cette mission est de favoriser une culture de mieux-être à l’Université de Moncton, campus de Moncton, en encourageant un environnement propice à la croissance personnelle, à la promotion d’habitudes de vie saines et à l’adoption de valeurs communautaires positives auprès de tous les membres du personnel. Et que ces membres soient capables d’actualiser leur plein potentiel et ainsi ressentir un état de mieux-être optimal leur permettant de contribuer pleinement au succès dans leur milieu de travail.

Développer une culture de mieux-être requiert des activités tant sur le plan individuel que collectif et institutionnel selon sept dimensions de mieux-être et ce, sous l’égide de quatre grand piliers d’action : saine alimentation, vie sans dépendance, esprit sain et vie active.

Le CMU cherche premièrement à sensibiliser les membres du personnel face à l’importance d’avoir un état de mieux-être optimal en offrant différentes activités en milieu de travail. Le CMU mesure aussi l’impact de leur présence en évaluant l’état de mieux-être des membres du personnel par différents moyens tels que des cliniques de dépistage, des profils santé annuels et l’évaluation des programmes mis en place.

Pour assurer une plus grande visibilité, le CMU a maintenant un bureau de mieux-être dans le local 224 du Ceps Louis-J.-Robichaud, un courriel officiel : cum@umoncton.ca; un numéro de téléphone : 858-4382; et bientôt, un site Web plus accessible aux employés : http://web.umoncton.ca/umcm-fsssc-mieuxetre/.

Le 25 novembre, le CMU tiendra sa première réunion officielle avec les membres du comité consultatif afin de discuter d’un plan stratégique triennal. Ce comité comprend les membres de l’exécutif du CMU, les champions de mieux-être dans les différents édifices du campus, les représentants des associations syndicales ainsi que des Services aux étudiants et aux étudiantes et des services récréatifs et sportifs.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Francis Rochon et Kathy Desjardins sont les athlètes de la semaine
Le Service de l’activité physique et sportive a choisi les hockeyeurs Francis Rochon, de Gatineau, et Kathy Desjardins, de Loretteville, comme athlètes Antonio’s Pizza de la semaine pour la période du 7 au 13 novembre à l’Université de Moncton.

Rochon a été un joueur clé lors des deux victoires des Aigles Bleus aux dépens des X-Men de St. Francis Xavier University vendredi et des Huskies de Saint Mary’s samedi. Il a marqué deux buts, dont le gagnant, et a récolté une aide vendredi en plus d’ajouter un autre filet samedi. Il a été un joueur infatigable sur la glace. Il est étudiant en éducation physique.

Kathy Desjardins a obtenu un blanchissage, son quatrième cette saison, samedi dans la victoire de 1 à 0 des Aigles Bleues aux dépens des X-Women de St. Francis Xavier University. Elle a fait face à 37 lancers au filet dont 23 en deuxième période. Elle est étudiante en kinésiologie.
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Vente de pâtisserie organisée par le Centre de jour L’Éveil
Pour sensibiliser les enfants au partage, le Centre de jour L’Éveil fait une vente de pâtisserie au profit de l’Arbre de l’Espoir, le mardi 22 novembre de 10 heures à 14 heures au Centre étudiant du campus de Moncton.

Des carrés, biscuits, muffins ou autres pâtisseries du genre seront vendus à 1 $ l’unité. Du nouveau cette année, la garderie a aussi un livre de recettes que vous pourrez vous procurer au prix de 5,50 $ dont 2,25 $ seront versés à l’Arbre de l’Espoir.

Les enfants et les éducatrices du Centre de jour L’Éveil vous remercient à l’avance.
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Littoral et vie : conférence portant sur les Villages Hall’s Creek
Le Groupe Littoral et vie, en collaboration avec le programme de maîtrise en études de l’environnement, présente une conférence-midi en compagnie de Paul Arsenault, développeur du projet Les Villages Hall’s Creek, le mercredi 23 novembre de midi à 13 heures dans le local A-232 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Développement de 260 acres adjacent au terrain de l’Université de Moncton, les Villages Hall’s Creek seront conçus autour d’un parc central avec des zones commerciales et résidentielles facilement accessibles à pied. Avec un mélange de maisons individuelles, de maisons jumelées et de logements multiunités qui seront construits sous peu, cette nouvelle communauté est certaine d’attirer des personnes recherchant une bouffée d’air frais.

Renseignements : 858-4408/ littoral-vie@umoncton.ca
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RECF : participation de Chedly Belkhodja
Le Regroupement des éditeurs canadiens-français (RECF) est présent encore cette année au Salon du livre de Montréal, du 16 au 21 novembre dans le stand 116 avec une quarantaine d’auteurs.

De plus, le RECF présente la table ronde, « Guide pour mieux comprendre l’Autre : le livre », le dimanche 20 novembre à 11 heures au Carrefour Desjardins. À l’ère du débat entourant les accommodements raisonnables, en quoi le livre peut aider à comprendre l’Autre ? Le livre peut-il réduire les frontières entre les cultures qui se côtoient sur le même territoire?

Cette table ronde regroupera Monia Mazigh, « Miroirs et mirages », Éditions L’Interligne, et Marguerite Andersen, « La vie devant elles », Éditions Prise de parole, deux auteures dont l’œuvre s’intéresse à l’immigration, et Chedly Belkhodja, professeur au Département de science politique de l’Université de Moncton (http://avoslivres.ca/products-page/livres/dici-et-dailleurs) avec « D’ici et d’ailleurs. Regards croisés sur l’immigration ».
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Lancement d’un livre portant sur Michel Bastarache
Les personnes intéressées sont invitées à prendre part au lancement du livre « À l’avant-garde de la dualité : Mélanges en l’honneur de Michel Bastarache », en présence de l’honorable Michel Bastarache, le samedi 19 novembre à 11 h 30 dans la salle 142 de la Faculté de droit au campus de Moncton.

Ce lancement aura lieu lors des assises de l’Association des juristes d’expression française du Nouveau-Brunswick (AJEFNB).
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25e Coup de cœur francophone à Moncton
La relève musicale sera à l’honneur lors du 25e Coup de cœur francophone alors que les lauréats de la dernière édition d’Accros de la chanson, Katrine Noël et Catharsis, monteront sur la scène du Café Osmose, le 17 novembre à 20 heures. Malgré leur jeune âge, ils sauront offrir au public une performance digne de groupes bien établis sur la scène musicale : Katrine Noël, avec ses ballades entraînantes et son aisance sur scène, et le groupe Catharsis avec ses rythmes déchaînés et son énergie contagieuse.

Le 26 novembre, la population est invitée à enfiler ses « Penny loafers » et ses « Dekshoes » et à se rendre au Café Osmose pour assister à un spectacle du groupe acadien de l’heure, Radio Radio. Avec une prestation empreinte d’une originalité hors du commun, le groupe est incontestablement dans son élément et rend au public une énergie électrisante avec un naturel déconcertant.

Le lendemain, 27 novembre, l’Association étudiante de la Faculté des sciences de l’éducation présente l’humoriste Philippe Laprise, à compter de 19 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois. Cet humoriste s’est fait remarquer en remportant l’Olivier « Révélation de l’année » en 2009. Depuis, son premier spectacle, « Je peux maintenant mourir », est présenté un peu partout au Québec où l’artiste donne souvent des supplémentaires. Les profits du spectacle iront à l’Arbre de l’Espoir.

Pour terminer la tournée en beauté, le public est convié à un spectacle d’Alexandre Poulin et Patrice Michaud, le 1er décembre au Café Osmose. Grand habitué du Café Osmose où il a toujours affiché complet jusqu’à présent, Alexandre Poulin livrera à la population étudiante un spectacle imprégné de chansons, d’humour, d’histoires et de poésie. Quant à Patrice Michaud, ce nouveau venu sur la scène musicale saura charmer le public grâce au contenu de son premier album qui a été acclamé par la critique.

Les billets pour ces spectacles sont présentement en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton. On peut aussi les obtenir par téléphone au 858-4554 ou encore au 1-800-363-8336.

Renseignements : 863-2008 / ems8117@umoncton.ca


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