Vol. 42, no 19
09 février 2012
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Les espaces communs du projet éducatif de cohabitation UMCE-CCNB ont été officiellement inaugurés le vendredi 3 février en présence de nombreux dignitaires, membres du personnel et étudiants des deux établissements d'enseignement postsecondaire. La photo nous fait voir les dignitaires qui ont procédé au dévoilement de la nouvelle enseigne suspendue dans le nouveau centre étudiant. Il s’agit, de gauche à droite, de Madeleine Dubé, députée d'Edmundston-Saint-Basile et ministre provinciale de la Santé; Paul Albert, vice-recteur du campus d’Edmundston de l’U de M; Yvon Fontaine, recteur et vice-chancelier; Jason Bouchard, président de l'Association étudiante du CCNB - campus d'Edmundston; Patrick Lavoie, président de l'AGEEUMCE; Bernard Valcourt, député fédéral de Madawaska-Restigouche et ministre d'État de l'Agence de promotion économique du Canada atlantique et de la Francophonie; Liane Roy, présidente-directrice générale du CCNB; Lise Ouellette, directrice par intérim du CCNB - campus d'Edmundston; et Martine Coulombe, députée de Restigouche-la-Vallée et ministre provinciale de l' Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail.
Inauguration des espaces communs du projet éducatif de cohabitation UMCE-CCNB
Un concept innovateur et unique au pays a vu son aboutissement le vendredi 3 février avec l’inauguration officielle des espaces communs du projet éducatif de cohabitation entre l’Université de Moncton, campus d’Edmundston et le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick - campus d’Edmundston.

Ces nouveaux espaces que se partagent les deux établissements depuis la rentrée automnale 2011 sont un centre étudiant, la bibliothèque Rhéa-Larose et une salle multifonctionnelle.

Le Centre étudiant est sans contredit la pièce maîtresse et le lieu le plus fréquenté de cette cohabitation. On y retrouve une immense cafétéria pouvant accueillir plus de 400 personnes, un café étudiant, une librairie ainsi que les locaux des deux services aux étudiantes et étudiants et des deux associations étudiantes. Les étudiantes et étudiants des deux établissements ont vite apprivoisé leurs nouveaux lieux aux espaces vastes, confortables et ultramodernes.

L’espace de 20 000 pieds carrés de la bibliothèque Rhéa-Larose a été entièrement refait à neuf pour refléter un nouveau concept avant-gardiste qui facilite à la fois les études, la recherche et le travail collaboratif. Toutes les technologies sont là et les étudiantes et étudiants de l’Université et du Collège sont à l’aise pour travailler en groupe, échanger et discuter, dans un environnement propice à la réussite de leurs études. Le taux de fréquentation de la bibliothèque a plus que doublé depuis sa modernisation.

La salle multifonctionnelle pouvant accueillir jusqu’à 250 personnes est une véritable mine d’or grâce à sa configuration multiple. Elle peut notamment servir de salle pour des colloques, conférences, soupers, salons divers et rencontres multiples en simultanée. Elle peut également être transformée en salle de classe et d’examen. La salle multifonctionnelle est munie d’un équipement audiovisuel et de nombreuses toiles de projection hautement sophistiqués.

« L’éducation, la recherche et l’innovation sont à la base de notre économie dans le monde d’aujourd’hui. C’est donc une priorité pour notre gouvernement d’investir dans des infrastructures comme celles que nous inaugurons aujourd’hui, a rappelé Bernard Valcourt, ministre d’État de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique et de la Francophonie. Ces installations modernes profiteront aux étudiants et aux chercheurs du Madawaska pendant des années et contribueront à notre développement économique ».

« Ce que nous célébrons aujourd’hui est en fait l’aboutissement d’un projet communautaire de longue date, a indiqué David Alward, premier ministre du Nouveau-Brunswick. C’est également un exemple de collaboration active qui a vu le jour grâce à des investissements fédéraux, provinciaux et institutionnels. C’est vraiment en travaillant ensemble que nous accomplissons de grandes choses. »

Le projet des espaces communs comprend le Centre étudiant, la rénovation de la Bibliothèque Rhéa-Larose et l’aménagement de la salle multifonctionnelle. Une somme globale de 3,4 millions de dollars a été investie pour la modernisation de la bibliothèque, soit 1,7 millions de dollars du gouvernement fédéral et 1,7 million de dollars du gouvernement provincial. La salle multifonctionnelle a été aménagée au coût d’un million de dollars par le gouvernement du Nouveau-Brunswick. Quant aux coûts des installations du Centre étudiant, ils ont été absorbés à même le financement de 35 millions de dollars consacré à la construction du CCNB.

« Les nouvelles installations sont le résultat d’un projet des plus avant-gardistes qui s’inscrit dans notre mission d’offrir la meilleure éducation qui soit à notre clientèle étudiante, a laissé savoir le recteur Yvon Fontaine. La collaboration entre les deux établissements permet d’augmenter la masse critique d’étudiants et étudiantes qui enrichissent la vie culturelle, sociale et sportive et offrira des possibilités additionnelles sur le plan de la programmation. Je tiens à féliciter le vice-recteur, Paul Albert, et son équipe, les bailleurs de fonds, de même que les instigateurs de ce projet porteur d’avenir et ceux qui l’ont mené à terme. »

Quant à la présidente-directrice générale du CCNB, Liane Roy, elle a déclaré qu’en tant qu’établissement de formation axé sur les besoins des étudiants et étudiantes, le CCNB entrevoit des opportunités uniques grâce à cette cohabitation. « En offrant des espaces de vie communs et des infrastructures modernes aux étudiantes et étudiants, le CCNB et l’UMCE unissent ainsi leurs forces dans le recrutement, la mobilité et la rétention des populations étudiantes. Ce concept de cohabitation servira de modèle pour les établissements de formation postsecondaire ailleurs dans la province et même ailleurs dans le monde. »

« Ce projet de cohabitation est né d’une vision ambitieuse. Il s’en inspire chaque jour. Il souhaite que le savoir soit au cœur même du développement des gens, des entreprises et des établissements d’ici. Il veut le mettre à leur profit par l’éducation et la formation, la recherche, la créativité et les services à la collectivité. La cohabitation CCNB-UMCE cristallise cette vision en un projet unique. Un projet attirant et rayonnant, ouvert et inclusif. Un projet dont l’ambition est de projeter la région vers de nouveaux sommets. Dites-vous une chose par rapport à ce projet : Ici, nous formons l’avenir », a pour sa part mentionné Rino Pelletier, porte-parole de la Table de concertation régionale sur l’éducation postsecondaire du Nord-Ouest.

Renseignements : 506-737-5034 / 506-543-5911
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Une fresque de Claude Picard
Pour souligner l'inauguration du nouveau Collège communautaire du Nouveau-Brunswick - campus d'Edmundston, une superbe fresque peinte il y a plus de 40 ans par l'artiste Claude Picard a été présentée au public. Ce fut l'un des moments forts de la cérémonie d'ouverture.

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Carole Desjardins, vice-présidente de l'Association étudiante du CCNB - campus d'Edmundston; Bernard Valcourt, ministre d'État de l'Agence de promotion économique du Canada atlantique et de la Francophonie; l'artiste-peintre Claude Picard, de Saint-Basile; David Alward, premier ministre du Nouveau-Brunswick; Jacques Martin, maire de la ville d'Edmundston; Madeleine Dubé, députée d'Edmundston-Saint-Basile et ministre provinciale de la Santé; Liane Roy, présidente-directrice générale du CCNB; Donald Arseneault, député de Dalhousie-Restigouche-Est et ancien ministre provincial de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail; et Martine Coulombe, députée de Restigouche-la-Vallée et ministre provinciale de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail.
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La Semaine internationale se poursuit jusqu’au samedi 11 février au campus de Moncton
Le Bureau des relations internationales, en collaboration avec le Vice-rectorat aux affaires étudiantes et internationales et le Service des loisirs socioculturels, vous invite à participer à la Semaine internationale du campus de Moncton qui se poursuit jusqu’au 11 février. Le thème de cette année : Carrefour des civilisations/éclats des couleurs !

Programme

Vendredi 10 février
Conférence de Nouzha Chekrouni, ambassadrice du Maroc au Canada, intitulée « Quel est le rôle des femmes dans le Printemps arabe ? », à 13 h 30 dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon. Un léger goûter sera servi.

Samedi 11 février
À 15 heures, finale de foot (soccer) de la Coupe d’Afrique des Nations au Café Osmose du Centre étudiant. Le visionnement est sans frais.

À 17 heures, Soirée internationale dans le stade du Ceps Louis-J.-Robichaud. Billets : 15 $ pour les étudiants, 20 $ pour les adultes et 8 $ pour les enfants de moins de 12 ans.

Lors de la Semaine internationale, Sodexo vous offre chaque jour un choix alimentaire d’inspiration internationale à la cafétéria et dans les cantines.

Renseignements : 858-4826 / benoit.bourque@umoncton.ca
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Martin Latulippe
Martin Latulippe : l’histoire de « Dix aiguilles » sera publiée dans « Bouillon de poulet pour l’âme »
L’histoire du livre « Dix aiguilles » (2007), de l’auteur Martin Latulippe, sera publiée dans le nouveau livre de la série « Bouillon de poulet pour l’âme » qui sera bientôt disponible en librairie. Diplômé du baccalauréat en information-communication en 2000 et ancien capitaine des Aigles Bleus de l’Université de Moncton au hockey, Martin Latulippe est l’auteur de quatre succès en librairie dans les domaines du potentiel humain et du leadership d’inspiration.

« Ce fut une journée émouvante quand j’ai appris que l'histoire du livre « Dix aiguilles » serait publiée dans « Bouillon de poulet pour l'âme », dit-il. Cette histoire raconte ma rencontre magique avec Sean Collins, ce jeune garçon courageux atteint de cancer qui rêvait d'écrire un livre avant de mourir. En 2007, j'avais eu l'honneur d'être au service de son rêve en rédigeant ce livre pour lui. Inspiré par Sean et son courage, j’avais choisi de remettre 100 pour cent des profits aux enfants malades en sa mémoire. À ce jour, « Dix aiguilles » a permis d’amasser plus de 150 000 $ pour les enfants malades. Sean serait si fier de savoir que son histoire inspirante sera lue par des dizaines de milliers d’autres personnes. »

Martin Latulippe est un entrepreneur social qui se distingue, un leader et un philanthrope très apprécié. Il a d’ailleurs rejoint plus de 350 000 participantes et participants aux quatre coins du globe avec ses conférences et ses formations en leadership d’inspiration. De plus, il a eu la chance de partager la scène avec certains leaders de ce monde dont Sir Richard Branson, le lieutenant-général Roméo Dallaire, Jack Canfield, Clara Hughes, Haley Weickenheiser, Joannie Rochette et plusieurs autres.

Récipiendaire en 2011 du prix National Peter Legg Philanthropic Award, remis par la Canadian Association of Professional Speakers, Martin possède une grande conscience sociale. Il occupe depuis plusieurs années déjà la présidence de la campagne de l’Arbre de l’espoir au Nouveau-Brunswick qui amasse plus 1,5 million de dollars annuellement pour les personnes atteintes du cancer.

Capitaine de l’équipe des Aigles Bleus au hockey de 1997 à 2001, Martin a aussi agi à titre de capitaine de l’équipe canadienne de hockey aux Universiades de 2001 à Zakopane, en Pologne, où le Canada a remporté la médaille d’argent.

En 2009, il est devenu le troisième francophone au monde à obtenir la désignation de Certified Speaking Professional qui se veut la plus haute distinction remise par la National Speakers Association aux États-Unis.
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« Bouffe » : une pièce que les friands de théâtre ne voudront pas manquer
Les 16 et 17 février à 20 heures, le théâtre l’Escaouette et le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton présentent « Bouffe », une pièce que les friands de théâtre ne voudront pas manquer. Cette comédie porte d’ailleurs la signature des créateurs de la populaire pièce « Mouving ».

Le spectacle est une exploration scénique exploitant la ripaille dans toute sa vivacité, sa démence et sa démesure. Dans un copieux festin touchant parfois le clownesque, parfois le grotesque mais toujours l’urgence de l’estomac vide, ce spectacle décline la nourriture et ses substituts sous diverses formes, liant le tout par une réflexion simple : manger, c’est tuer. Qu’il s’agisse de légumes ou de bêtes, l’action nous lie inéluctablement au grand cycle de la vie auquel nous appartenons. Comme le système digestif et chacune de ses mécaniques, chaque espèce sert le lunch planétaire. Dans la grande jungle, mange… ou sois mangé!

Mise en scène par Daniel Collados, « Bouffe » réunit Mathieu Chouinard et Marc-André Charron, des épicuriens de la scène qui traitent de la bouffe comme il se doit : avec les tripes! À la fois attachants et repoussants, naïfs et grinçants, les chefs Bazil et Mortadel incarnent en quelque sorte la grande palette du rapport humain à la nourriture. Le spectateur est mis en face de ses propres préconceptions, de ses désirs, de ses plaisirs, de ses ambivalences, de ses horreurs… et il ne peut qu’en rire.

Actuellement en tournée au Nouveau-Brunswick, cette pièce est une coproduction du Théâtre populaire d’Acadie, de Satellite Théâtre et de Houppz! Théâtre.

Vous pouvez vous procurer des billets au guichet du théâtre l’Escaouette situé au 170, rue Botsford ou en composant le 506-855-0001, poste 207. Les billets sont aussi disponibles dans le Réseau de billetterie du Grand Moncton et à la billetterie du Centre étudiant (local B-150) du campus de Moncton, au 858-4554.

Renseignements : 854-6777
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Le professeur émérite Narendra K. Srivastava est le coauteur d’un nouveau livre
Narendra K. Srivastava, professeur émérite de la Faculté d'ingénierie, est le coauteur d’un nouvel ouvrage en ingénierie et architecture des structures, intitulé « Fifty Years of Progress for Shell and Spatial Structures ».

La préparation de ce livre, parrainé par l'International Association for Shell and Spacial Structures (IASS) dont le siège social se trouve à Madrid, en Espagne, a pris presque cinq ans. Le lancement a eu lieu récemment à Londres pendant le congrès commun de l'IASS et de l'Association internationale pour les ponts et structures.

Ce livre a été inspiré par le 50e anniversaire de l'IASS. L'objectif était de documenter les événements dans le domaine des structures en coquille et des structures spatiales pendant ces cinq dernières décennies (1959-2009), montrant la contribution notable pendant cette période des ingénieurs structurels, des architectes, des constructeurs et des universitaires, en plus d’inspirer le progrès et de tracer la voie de l'avenir.

La deuxième partie du livre examine le progrès à compter de la Deuxième Guerre mondiale, des types structurels spatiaux divers, notamment les structures en coquille, les structures en tension, les structures en cadre et en treillis, les structures temporaires et mobiles (toits rétractables, structures déployables), structures spatiales spéciales (structures de verre, passerelles, mâts et tours), morphologie structurelle et compatibilité environnementale. La troisième partie du livre jette un coup d’oeil sur l'avenir des structures spatiales.

En plus d’écrire la section traitant des toits rétractables, le professeur Srivastava a aussi écrit le chapitre intitulé « The Decade 1990-1999 and Emerging Technologies meet the New Millennium ».

Ce livre est déjà considéré comme une référence indispensable dans la bibliothèque des designers, constructeurs, chercheurs, professeurs et étudiants qui veulent en connaître davantage sur les réalisations passées et les tendances à venir liées aux structures en coquille et aux structures spatiales.

Le professeur Srivastava est un membre à vie de l’Association des ingénieurs et des géoscientifiques de Nouveau-Brunswick. Il est Fellow à vie de la Société canadienne de génie civil, de la Société canadienne de génie mécanique ainsi que de l’Institut canadien des ingénieurs.

Le livre est publié et distribué par la maison d’édition Multi-Science Publishing Co. du Royaume-Uni (ISBN 978-1-907132-35-3, 492pp, 734 illustrations, 106 $, date de publication septembre 2011).

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Rendez-vous de la Francophonie : s’enrichir pour bâtir
Les Rendez-vous de la Francophonie sont de retour. Du 9 au 25 mars, des activités auront lieu un peu partout au Canada, et au Nouveau-Brunswick bien sûr, afin de célébrer la francophonie dans toutes ses couleurs.

Un appel est lancé à tous les organismes, municipalités, universités, écoles, associations ou artistes du Nouveau-Brunswick afin de présenter leurs propres activités et prendre part aux célébrations ou encore à inscrire leurs événements à venir au calendrier du site à l'adresse rvf.ca.

L’année dernière, plus de 800 activités ont eu lieu partout au Canada lors des RVF : des rassemblements communautaires, des rencontres multiculturelles, des cérémonies, des spectacles, de la chanson, du théâtre, de la poésie, des projections de film, des jeux avec les mots, des concours, des activités pédagogiques; bref, tout est prétexte à célébrer.

Pendant les RVF, la francophonie canadienne est en fête!
La programmation nationale complète ainsi que les divers concours des RVF 2012 seront dévoilés à la fin février lors d’un lancement national. Entretemps, on invite les gens à inscrire dès maintenant leurs activités qui ont lieu du 9 au 25 mars au calendrier des RVF 2012 (www.rvf.ca). Encore une fois cette année, grâce au concours « S'enrichir pour bâtir », pour chaque activité inscrite, les organismes deviennent admissibles à un tirage de 500 $. Un organisme par province aura la chance de remporter ce prix.

En rassemblant et en répertoriant les centaines d'activités organisées partout au pays, les Rendez-vous de la Francophonie communiquent le dynamisme des communautés. Les RVF font la promotion de ces célébrations avec le calendrier pancanadien ainsi qu’auprès de la population et des médias. Les Rendez-vous de la Francophonie au Nouveau-Brunswick sont également sur Facebook.

Les activités peuvent êtres sans frais ou payantes. Tous ceux et celles qui ont des questions peuvent joindre la coordinatrice pour le Nouveau-Brunswick, Madeleine Blanchard, au 506-384-6897.

Un site Web dynamique
En 2011, les Rendez-vous de la Francophonie ont complètement redynamisé leur site Web qui cette année propose aux internautes de consulter le blog officiel mettant en présence le blogueur Philippe Daoust, qui décrit cet espace virtuel comme un « lieu d’accueil pour toutes les communautés culturelles du Canada intéressées par la langue française. Idées, chroniques, humeurs, actualités et bien plus encore parsèmeront ce blogue qui s’éclatera au rythme des mots d’une langue à célébrer. »

L’ONF célèbre la francophonie en tournée
Chaque année, l’Office national du film du Canada propose des projections ayant la thématique de la francophonie. Ces films sont montrés à titre gracieux dans des écoles, centres communautaires et bibliothèques. Deux programmes de films sont proposés cette année : le long métrage « Les Fros » (2010) précédé du court métrage « Ici par Ici » (2006) ainsi que le film « Esprit de famille » (2007) précédé du court métrage « Sur la route » (2011). Destinés au grand public, ils sont en lien avec la thématique des Rendez-vous : S'enrichir pour bâtir. Sélectionnés pour leur justesse et leur force, ces films feront voyager en Abitibi, en France, en Acadie et dans les Prairies canadiennes, tout en soulignant la diversité et l'éclat de la francophonie au pays.

Plusieurs projections sont prévues au Nouveau-Brunswick à la fois dans les salles de classe et pour le grand public (renseignements complets dans le calendrier des RDV sous l’onglet Projections de l’ONF).

Boucar Diouf et Jessica Holmes s’éclatent pour la Francophonie
Les RDV de la Francophonie de cette année proposent le thème de l’humour comme plateforme afin de célébrer le fait français. C’était donc de mise que l’on fasse appel aux humoristes Boucar Diouf et Jessica Holmes en tant que porte-parole de cette édition.

Boucar Diouf est un humoriste québécois d’origine sénégalaise. Depuis 2007, il est coanimateur à l’émission « Des kiwis et des hommes » sur les ondes de Radio-Canada. Amoureux inconditionnel du français dans toutes ses couleurs et ses accents, il jongle aussi avec les expressions. Dans ses numéros, il est souvent question d’intégration, de la vie en Afrique et des différences culturelles.

Jessica Holmes est originaire d’Ottawa et est une francophile dans l’âme. Elle était vedette de l’émission « The Holmes Show » diffusée sur CTV en plus d’avoir fait rire des millions de Canadiens grâce à ses performances dans l’émission « Royal Canadian Air Farce » sur CBC. Au cours de sa carrière, elle a assuré la première partie des spectacles de nombreux humoristes de renom tels Jerry Seinfeld, Leslie Nielsen et Ellen DeGeneres.

Les RVF, une occasion extraordinaire de fêter tous ensemble
Les Rendez-vous de la Francophonie font partie des manifestations entourant la Journée internationale de la Francophonie (20 mars), organisée chaque année partout dans le monde pour promouvoir la langue française et ses multiples expressions culturelles. Ils sont chapeautés par la Fondation canadienne pour le dialogue des cultures, qui vise à promouvoir et à soutenir le dialogue et le rapprochement entre les communautés francophones et acadiennes et toutes les collectivités de la société canadienne. Aujourd'hui, près de 9,5 millions de personnes au Canada font vivre et rayonner la langue française autour d'eux. Ces personnes se retrouvent principalement en Acadie, au Québec et en Ontario, mais aussi dans l'Ouest et dans le Nord du Canada. Elles sont francophones de souche ou d'origines diverses issues de l'immigration, ou anglophones et allophones ayant choisi d'apprendre et de vivre en français.

Renseignements : 506-384-6897/ madoblan@nbnet.nb.ca
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La 36e Soirée internationale est présentée ce samedi 11 février
Dans le cadre de la semaine internationale et fidèle à sa tradition, l’Association des étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton (AEEIUM), en collaboration avec le Service des loisirs socioculturels, organise sa 36e Soirée internationale, ce samedi 11 février au Ceps Louis-J.-Robichaud. La soirée commencera à 17 heures et les portes ouvriront dès 16 heures.

Le thème « Carrefour des civilisations » a inspiré l’AEEIUM à créer des stands interactifs où la rencontre entre les gens de différentes cultures se fera plus concrètement. En effet, de stands en stands (de pays en pays), les gens seront invités à apprendre quelques pas d’une danse folklorique, à dire, parfois même écrire, une phrase dans une langue étrangère, ou encore à jouer d’un instrument typique à une culture, tout en ayant le loisir d’admirer des objets d’art et discuter avec des gens qui pourront élargir leurs horizons. De plus, un souper sera servi, le tout agrémenté d’un spectacle qui commencera à 19 heures.

Loin d’être une manifestation de plus, la Soirée internationale est une occasion de rassembler des gens autour d’un même idéal et de valoriser la culture internationale. L’AEEIUM souhaite que cet évènement puisse contribuer à l’intégration de la jeunesse internationale, à son émancipation et à son adaptation. Il exposera aussi à la population de la grande région de Moncton une autre perception de la communauté internationale.

Depuis 1977, la Soirée internationale est l’un des évènements les plus attendus par la communauté de la grande région de Moncton. Depuis plusieurs années, quelques 1 500 personnes s’y rendent pour découvrir les trésors culturels et la richesse des échanges entre civilisations.

Les billets sont en vente à la billetterie du campus de Moncton située au B-150 du Centre étudiant, au coût de 15 $ pour les étudiants, 8 $ pour les enfants de 12 ans et moins et 20 $ pour les autres. Les personnes intéressées peuvent aussi s’en procurer par téléphone au 858-4554.

Renseignements : 850-4340 / executif@aefaum.com
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Quatrième conférence annuelle Jean-Daigle au Département d’histoire et de géographie
Lors de la quatrième conférence annuelle Jean-Daigle du Département d’histoire et de géographie, organisée avec la collaboration du Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact, l’historien Gregory Hanlon, professeur à Dalhousie University, prononcera une conférence, intitulée « De sinistres calculs : l’infanticide au quotidien dans l’Occident, 1500-1900 », le jeudi 23 février à compter de 19 heures dans le local 206 de l’édifice des arts au campus de Moncton.

La sinistre comptabilité des « excédents » d'hommes dans les pays asiatiques se fonde sur un examen minutieux des taux de masculinité dans ces pays. Si l'on appliquait la même méthode aux sociétés européennes avant 1900, que trouverait-t-on?

Le professeur Hanlon présentera les résultats d'une série de recherches portant sur les taux de masculinité des populations rurales et urbaines de la France et de l'Italie entre 1500 et 1900. Le conférencier dévoilera également des découvertes surprenantes et passionnantes.

Auteur de cinq livres et de plusieurs articles, M. Hanlon est un spécialiste de l’histoire du 17e siècle en Italie et en France. Il s’intéresse notamment à l'application de l'éthologie (étude du comportement animal) à l'histoire humaine.

Une réception suivra la conférence.

Renseignements : jeremy.hayhoe@umoncton.ca
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10093
Michel Doucet est coprésident d’une journée d’études portant sur les minorités à Budapest
Le lundi 13 février, le professeur Michel Doucet, directeur de l’Observatoire international des droits linguistiques logé à l’Université de Moncton, participera, à titre de coprésident, à une journée d’étude organisée à Budapest par la Faculté d’administration publique de l’Université Corvinus et intitulée « Nation and Minorities in Constitutional and Legal Systems ».

M. Doucet profitera également de son séjour en Hongrie pour consolider les liens entre l’Observatoire, l’Université Corvinus, et l’Université de Pau et des Pays de l’Adour, de Bayonne, en France, cette dernière possédant déjà des liens de coopération avec l’Université Corvinus.

Le directeur de l’Observatoire aura également la chance de rencontrer des intervenants hongrois en matière de droits linguistiques.

Finalement, ayant pris connaissance de sa présence à Budapest, la Eötvös Loránd University a invité le professeur Doucet à prononcer une conférence portant sur les droits linguistiques au Canada.

Renseignements : 863-2136.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10096
ONF en Acadie : « Quimmit : un choc, deux vérités »

Aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie, on tente d’élucider comment et pourquoi le chien de traîneau a disparu, un mystère qui a laissé de terribles cicatrices dans tout l’Arctique canadien.



« Quimmit : un choc, deux vérités » (2010, 52 minutes) est un documentaire de Joelie Sanguya et Ole Gjerstad primé au Festival Présence Autochtone (Terres en Vues) en juin 2010 à Montréal (Second prix Rigoberta-Menchu). Il examine l’enjeu sur plusieurs angles grâce à des entrevues avec les communautés inuites et la Gendarmerie royale.



Ce film sera présenté le lundi 13 février à 19 heures dans l’amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est libre.



Quimmit : un choc, deux vérités



Chez les Inuits, le chien de traîneau représentait non seulement une façon de vivre mais aussi un lien profond, persistant, à la terre. Entre les années 1950 et 1970, le mode de vie semi-nomade des Inuits a pratiquement disparu. Les familles se sont regroupées et sédentarisées. La population de chiens de traîneau a diminué si bien qu’il n’en reste plus que quelques centaines. Les Inuits sont nombreux à croire que leurs bêtes ont été tuées par la Gendarmerie royale, mandatée par le gouvernement fédéral pour vider le territoire de ses habitants et les « civiliser ». La GRC récuse ces histoires, soutenant qu'elles sont une pure invention ou le résultat d'un malentendu culturel.



Pour obtenir la liste complète des films au programme et tous les détails, visitez le site Internet ci-dessous.



Renseignements : 384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca


Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10115
Conférence portant sur les médias sociaux et la carrière
Le Service de recherche du travail, en collaboration avec le Salon carrière, présente une conférence portant sur l’utilisation des médias sociaux en milieu professionnel, en compagnie de Michel A. Legault, généraliste dans le domaine de l’emploi depuis plus de 30 ans, le mercredi 15 février à 19 heures dans le local 050 (amphithéâtre au sous-sol) du pavillon Jean-Cadieux au campus de Moncton.

Cette conférence portera sur les points essentiels d’une utilisation adéquate de ces services que sont la création de son profil (description, renseignements, photos, etc.), les connections essentielles et utiles, la création d’un réseau de contacts virtuel ainsi que les aspects à éviter sur un réseau social professionnel.

Possédant plus de 20 ans d’expérience dans le placement professionnel des étudiants et étudiantes universitaires et ayant créé les premières éditions du Salon carrière de l’Université de Moncton, M. Legault désire partager ses connaissances avec la population étudiante.

Les médias sociaux peuvent être un moyen très efficace pour les étudiants et étudiantes qui désirent converser avec leurs pairs, se tenir au courant des activités qui se déroulent dans les environs, ou encore d’en apprendre davantage sur les possibilités d’emploi liées à leur domaine d’études. Malheureusement, beaucoup d’entre eux ne sont pas au courant de toutes les occasions qui leur sont offertes grâce à l’utilisation des médias sociaux.

Si on prend l’exemple du réseau Linkedin qui permet aux jeunes de communiquer avec des employeurs, des entreprises et des collègues de travail, en plus d’avoir la possibilité de poster son curriculum vitae en ligne, c’est une occasion en or pour eux de trouver un emploi permanent ou un stage d’été.

Les temps changent et la technologie progresse, voilà pourquoi il est essentiel pour les étudiants d’apprendre à innover avec les nouveaux services qui sont offerts. L’utilisation des médias sociaux peut être un avantage particulier pour les utilisateurs, surtout pour les besoins liés à l’entrevue. Cependant, on constate que beaucoup de jeunes n’utilisent pas ces outils convenablement et parfois cette négligence peut être néfaste.

Bref, cette conférence a pour but de vous transmettre des astuces clés qui vous aideront dans votre cheminement de carrière. M. Legault vous présentera les aspects essentiels à l’utilisation des médias sociaux tels que Facebook, Twitter et LinkedIn, en plus de faire un survol des perspectives qui peuvent poser un problème chez les employeurs. C’est une occasion pour vous d’en apprendre davantage sur l’utilisation convenable de vos comptes sociaux, en plus de vous donner des conseils provenant de son propre cheminement de carrière.

L’entrée est libre et bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : Jessica Savoie, au 863-2060 / ejs6887@umoncton.ca
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10094
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : Sylvie Richard, Normand Gautreau, Mathew MacFarlane, Christian Guimond, Joanie Mallet, Rebecca Lessard et Sarah Leclair; 2e rangée : Stéphane LeBlanc, Pierre Roy, enseignant; Michel Power, directeur de l’école secondaire Mathieu-Martin; et André Boucher.
Mathieu-Martin remporte le concours de simulation boursière
Le Centre de gestion financière de la Banque Nationale et la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton ont organisé une simulation boursière entre les écoles secondaires francophones de la région, Mathieu-Martin de Dieppe, l’Odyssée de Moncton, Clément-Cormier de Bouctouche et Louis-J.-Robichaud de Shédiac.

Cette simulation boursière s’est faite dans le cadre du cours de comptabilité offert en 11e ou 12e année du secondaire et a permis aux élèves de mieux comprendre le fonctionnement des marchés boursiers.
Au départ, quelque 60 équipes détenaient un portefeuille fictif de 100 000 $ et l’objectif était de le faire fructifier en faisant des investissements judicieux sur le TSX-60.

Mathieu-Martin a obtenu le prix de la meilleure école et les trois meilleures équipes terminent avec des portefeuilles de 107 978 $, 105 515 $ et 105 342 $. Elles remportent des prix en argent d’une valeur de 300 $, 100 $ et 50 $ respectivement qui proviennent du fonds de la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de l’Université de Moncton afin de susciter chez la population étudiante un intérêt pour le secteur financier.
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Conférence de Charles Y. LeBlanc portant sur le Premier empereur de Chine et son armée en terre cuite
Charles Y. Le Blanc, professeur émérite de l’Université de Montréal et enseignant des cours d’histoire à l’Université de Moncton, prononcera une conférence, intitulée « Le Premier empereur de Chine (r. 221-210 av. J.-C.) et son armée en terre cuite : entre l’empire et l’immortalité », le mardi 14 février à 16 h 30 dans le local 217 de l’édifice des arts au campus de Moncton.

Le Premier empereur mit fin d’une façon draconienne au système de la royauté et du féodalisme qui avait duré plus de 2 000 ans en Chine (2207-222 av. J.-C.), sous les trois premières dynasties (Xia, Shang et Zhou). Il fonda la première dynastie impériale des Qin et modifia de fond en comble le système politique chinois jusqu’à nos jours.

La plus grande révolution de l’histoire chinoise fut ce changement de régime. Cet empereur construisit la première Grande Muraille et la première Cité Interdite. Près de son immense mausolée (jamais ouvert), on a découvert en 1974 son armée souterraine en terre cuite de quelque 8 000 soldats grandeur nature – certains l’appellent « la huitième merveille du monde ». Cette armée devait protéger l’empereur pour l’éternité. Pour cet empereur, le pouvoir absolu sur le temps allait de pair avec le pouvoir absolu sur l’espace. La conférence est accompagnée de diapositives.

Chercheur de renom à l’échelle de la planète, M. LeBlanc a notamment publié deux livres portant sur l’histoire et la philosophie chinoise dans la Collection de la Pléiade.

Une réception suivra.

Renseignements : Jeremy Hayhoe, au 858-4052.
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Le drame français « Les mains en l’air » est à l'affiche du Ciné-Campus
Le film « Les mains en l'air », du réalisateur Romain Goupil et mettant en vedette Hippolyte Girardot, Linda Doudaeva et Valeria Bruni Tedeschi, est à l'affiche au Ciné-Campus, le jeudi 9 et vendredi 10 février à 20 heures dans l'amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

Le 22 mars 2067, Milana se souvient de ce qui lui est arrivé, il y a 60 ans… En 2009, Milana, d’origine tchétchène, est élève en classe de CM2 à Paris. Ses copains, sa bande, ce sont Blaise, Alice, Claudio, Ali et Youssef. Mais un jour, Youssef, qui n’a pas de papiers, est expulsé. Puis, c’est au tour de Milana d’être menacée. Se sentant alors en danger, les enfants décident de réagir. Ils prêtent serment de toujours rester ensemble et organisent un complot pour sauver Milana.

Le Ciné-Campus est présenté par le Service des loisirs socioculturels. Les billets sont en vente à l’entrée le soir de la présentation du film, 5 $ pour les étudiants et 7 $ pour les autres.

Rendez-vous de l’ONF en Acadie :
Le lundi 13 février, les Rendez-vous de l'ONF en Acadie présentent « Quimmit : un choc, deux vérités » (52 minutes). La projection commence à 19 heures dans l'amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard et l’entrée est libre.

Chez les Inuits, le chien de traîneau représentait non seulement une façon de vivre mais aussi un lien profond, persistant, à la terre. Entre les années 1950 et 1970, le mode de vie semi-nomade des Inuits a pratiquement disparu. Les familles se sont regroupées et fixées. La population de chiens de traîneau a diminué si bien qu’il n’en reste que quelques centaines.

Les Inuits sont nombreux à croire que leurs bêtes ont été tuées par la Gendarmerie royale, mandatée par le gouvernement fédéral pour vider le territoire de ses habitants et les « civiliser ». La GRC récuse ces histoires, soutenant qu'elles sont pure invention ou le résultat d'un malentendu culturel. « Qimmit : un choc, deux vérités » cherche comment et pourquoi le chien de traîneau a disparu, un mystère ayant laissé de terribles cicatrices dans tout l'Arctique canadien.

Le film sera précédé du film d’animation « Rose & Violet » (26 minutes).
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Prix littéraire France-Acadie
Le Prix France-Acadie, créé en 1979 par l’Association française Les Amitiés Acadiennes et grâce au concours de la Fondation de France, est ouvert « aux auteurs de langue française qui peuvent se prévaloir de l’identité acadienne des provinces atlantiques du Canada ou à titre exceptionnel, de travaux remarqués sur l’Acadie par des auteurs canadiens-français. »

Les personnes candidates doivent avoir publié une oeuvre en 2010, 2011 ou en début d’année 2012. Les auteurs ayant déjà reçu le Prix France-Acadie ne peuvent concourir de nouveau.

Le Prix est ouvert à la création littéraire (romans, poésie, nouvelles, etc.) et aux ouvrages se rapportant aux sciences humaines (histoire, économie, sociologie, etc.). Il est rappelé que depuis 2008, il n’y a plus qu’un seul candidat de l’une ou l’autre section et depuis 2010, chaque section est alternativement retenue chaque année.

Cette année, seuls les ouvrages de création littéraire pourront concourir. Le montant du prix s’élève à 1000 euros auxquels s’ajoutent la prise en charge par les Amitiés Acadiennes d’une partie de l’hébergement à Paris à l’occasion de la remise du prix (soit une contribution de 100 euros maximum par nuitée) et une contribution forfaitaire de 500 euros pour le billet d’avion Canada/France/Canada. Pendant son séjour en France, la personne lauréate est susceptible d’être invitée par les Associations acadiennes des différentes régions de la France pour présenter son ouvrage et participer à des séances de signature. (Les billets de train sont pris en charge par les Amitiés Acadiennes).

Pour s’inscrire, les auteurs doivent faire parvenir avant le 15 mars une lettre de candidature accompagnée d’un curriculum vitae détaillé et de quatre exemplaires de leur ouvrage à la Société Nationale de l’Acadie, 307, rue Amirault, Dieppe, Nouveau-Brunswick, E1A 1G1.

La sélection définitive sera faite dans la première quinzaine de septembre (qui marque le début de la saison littéraire à Paris) et la remise du prix aura lieu en novembre.

Au moment du dépôt de leur candidature, les auteurs devront préciser s’ils peuvent venir en France en novembre pour recevoir leur prix.

Renseignements : Éric Larocque, au 853-0404 / Info@snacadie.org
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Daniel O'Carroll
Daniel O'Carroll est le président d’honneur du Championnat de volleyball féminin
Daniel O'Carroll, professeur et entraîneur à la retraite, assumera la présidence d'honneur du Championnat de volleyball féminin Subway de Sport universitaire de l'Atlantique (SUA), qui sera présenté du 17 au 19 février au Ceps Louis-J.-Robichaud du campus de Moncton.

Au terme d’une carrière de 28 ans, M. O’Carroll a pris sa retraite en 2004. Sa première campagne à la tête de l’équipe féminine de volleyball de l’Université de Moncton remonte à 1969-1970. Il a été nommé entraîneur de l'année de SUA et du campus de Moncton à maintes reprises et il est membre du Temple de la renommée de Volleyball Nouveau-Brunswick.

« Nous sommes heureux que Daniel O’Carroll ait accepté la présidence d’honneur, mentionne le directeur du Service de l’activité physique et sportive, Marc Boudreau. M. O’Carroll a connu une carrière des plus impressionnantes au campus et sa contribution au développement de ce sport est considérable. »

Plusieurs programmes de développement au volleyball ont vu le jour sous sa direction. Il n’a jamais ménagé ses efforts pour développer les jeunes adeptes de ce sport. Il a découvert sa passion pour le volleyball alors qu’il était étudiant au baccalauréat à l’Université de Montréal. Il a organisé le premier camp estival de volleyball au campus de Moncton en 1972 et le premier Omnium Bleu et Or de volleyball féminin des écoles secondaires en 1974. Ces deux programmes sont encore prisés par les jeunes aujourd'hui.

L'Acadien originaire de Memramcook a également été entraîneur dans les écoles de la région. Il a coordonné plusieurs championnats régionaux, nationaux et internationaux en plus d'avoir été arbitre aux Jeux régionaux et à la finale des Jeux de l'Acadie. Il est présentement entraîneur dans le cadre du programme sport-études en volleyball.

Les six meilleures équipes universitaires de l'Atlantique ont rendez-vous au campus de Moncton pour déterminer laquelle d’entre elles représentera le SUA au championnat de Sport interuniversitaire canadien, qui aura lieu à Winnipeg au début mars.

Les billets pour le championnat de l’Atlantique sont en vente à la réception du Ceps Louis-J.-Robichaud.
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GRICC : conférence du professeur François Renaud
Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) vous invite à assister à la conférence que prononcera François Renaud, professeur au Département de philosophie de la Faculté des arts et des sciences sociales, intitulée « Le dialogue comme méthode et comme éthique : une interprétation du Gorgias de Platon », le vendredi 10 février de 15 heures à 16 h 30 dans le local 458 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Quel rapport existe-t-il entre la raison et les émotions, entre la pensée et l’action ? Et quelle différence la philosophie peut-elle faire dans la vie d’un individu et d’une société ? Platon - le premier philosophe occidental dont l’œuvre intégrale nous soit parvenue - a traité de ces questions fondamentales dans le Gorgias.

Dans sa conférence, le professeur Renaud tentera de montrer en quel sens le Gorgias défend et illustre la thèse selon laquelle le dialogue (la dialectique socratique) constitue à la fois une méthode et une éthique, et en quel sens le Gorgias est « le » dialogue platonicien du conflit entre deux méthodes et deux modes de vie irréconciliables, la rhétorique et la dialectique, la politique et la philosophie.

C’est une conférence d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4882.
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Pratique administrative pour l’embauche des étudiantes et étudiants internationaux au campus
Il est permis aux étudiantes et étudiants internationaux inscrits à temps complet (neuf crédits ou plus) de travailler au campus sans devoir obtenir le permis de travail. Cette dispense de permis de travail s’applique à tous les programmes d’études à condition qu’ils se donnent à temps complet.

Pour être admissible, il faut posséder un permis d’études valide, être inscrit à un programme d’études menant à un diplôme, et être inscrit à temps complet (neuf crédits ou plus).

Les étudiantes et étudiants inscrits à d’autres établissements d’enseignement ou à un autre campus de l’Université de Moncton ne peuvent obtenir un emploi à l’Université de Moncton, campus de Moncton à moins d’avoir un permis de travail valide.

Étapes à suivre pour l’embauche des étudiantes et étudiants internationaux

Il faut demander le permis d’études de l’étudiante ou de l’étudiant et vérifier s’il est valide. Assurez-vous que le permis d’études est valide pour toute la durée de l’emploi.

Vérifier auprès du Registrariat si l’étudiante ou l’étudiant est inscrit à temps complet (neuf crédits ou plus). Note : Une exception s’applique lorsque l’étudiante ou l’étudiant en est à son dernier semestre. Dans ce cas, elle ou il doit présenter une attestation de sa faculté signifiant qu’elle ou il devrait compléter son programme d’études avec les cours (moins que neuf crédits) suivis au dernier semestre.

Envoyer un courriel à Andréa Arsenault, du Service des ressources humaines, avec les renseignements suivants qui serviront à rédiger la lettre pour l’étudiante ou l’étudiant : titre de l’emploi, nom de l’étudiante ou de l’étudiant qui a accepté l’emploi, date du début et de la fin du travail (la date de fin de l’emploi ne doit pas dépasser la date d’expiration du permis d’études), et votre nom et votre numéro de téléphone.

L’étudiante ou l’étudiant devra ensuite se présenter au Service des ressources humaines au local 288 du pavillon Léopold-Taillon pour récupérer sa lettre ainsi qu’un contrat d’emploi (Service Canada), tous deux pour signature. Cette lettre et ce contrat d’emploi lui seront remis et l’étudiante ou l’étudiant devra se rendre au 95, rue Foundry, Heritage Court, suite 310 à Moncton afin de présenter ces documents qui lui permettront d’obtenir son numéro d’assurance sociale.

Après l’obtention du numéro d’assurance sociale, vous devrez remplir avec l’étudiante ou l’étudiant le formulaire « Embauche étudiante » disponible dans la section Dotation sur le site Internet du Service des ressources humaines à l'adresse Internet ci-dessous.

Pour toutes questions concernant l’embauche des étudiants internationaux, il faut communiquer avec le Service des ressources humaines, au 858-4135.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10111
Projet de recherche portant sur la cybersanté préventive
On mène actuellement un projet de recherche, intitulé « CyberSanté préventive : santé sexuelle et reproductive chez les jeunes de 16 à 24 ans du Nouveau-Brunswick », conduit par Jalila Jbilou, professeure au Département d'administration publique, conjointement avec la société Santé et mieux-être en français du Nouveau-Brunswick.

Ce projet scientifique vise la prévention et la promotion de la santé sexuelle et reproductive chez les adolescents et les jeunes du Nouveau-Brunswick grâce à des outils éducatifs électroniques innovateurs.

Cette étude fera appel à la technique des groupes de discussion focalisés (focus-groupe) pour identifier les messages jugés efficaces en matière de santé sexuelle et reproductive et recueillir des idées pour la création d'un prototype d'application bilingue pour téléphonie mobile, baladeur numérique et tablette numérique (iPhone, iPad, iPodTouch...) répondant à leurs besoins.

Pour répondre à cette exigence, on souhaite recruter des étudiants et étudiantes de l'Université de Moncton pour la constitution de ces groupes. Ce projet a déjà été approuvé par le comité d'éthique de l'Université de Moncton et tous les renseignements divulgués lors des séances seront confidentiels.

Un léger gouter sera servi et des billets de cinéma seront offerts à toutes les personnes participantes.

Renseignements : Jalila Jbilou, au 858-4639.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10113
Séminaire de recherche : des indices sur l’origine du cancer
Dans le cadre de la série de séminaires de recherche en santé Vitalité, une conférence, intitulée « Des indices sur l’origine du cancer : « The Canadian Partnership for Tomorrow Projet » (La Voie atlantique) sera présentée en anglais par la professeure Louise Parker, du Département de médecine et de pédiatrie de Dalhousie University, le vendredi 10 février de 12 h 30 à 13 h 30 dans l’amphithéâtre de l’Auberge Mgr-Henri-Cormier du Centre hospitalier universitaire Dr-Georges-L.-Dumont.

Le cancer touche directement une personne sur trois et nous touche tous d’une façon ou d’une autre. Nous savons qu’un grand nombre de cancers sont causés par une exposition prolongée à certaines choses comme la fumée de tabac et une mauvaise alimentation.

Cependant, même s’il est vrai qu’il y aura davantage de cas de cancer dans un groupe de personnes qui fument que dans un groupe de personnes semblables qui ne fument pas, il nous est impossible de prédire le niveau de risque individuel.

« The Canadian Partnership for Tomorrow Project » est une énorme étude pancanadienne de recherche qui aidera à mieux comprendre ce qui nuira à notre santé en tant que personnes et qui permettra ainsi de mieux prévenir le cancer, les maladies du cœur et les autres maladies importantes qui apparaissent à partir de la quarantaine.

Des centaines de milliers de Canadiens d’âge adulte sont invités à participer à l’étude « The Canadian Partnership for Tomorrow Project » pour contribuer à bâtir une plateforme de recherche qui appuiera la recherche en santé au cours des décennies à venir et qui aidera à améliorer la santé de nos enfants, de nos petits-enfants et de leurs enfants.

Le séminaire se déroulera en anglais.
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Vente de produits artisanaux de commerce équitable
Dans le cadre du Projet Justice sociale, le Conseil étudiant de l’École de travail social organise une vente de produits artisanaux de commerce équitable, le jeudi 9 février de 11 h 30 à 15 heures dans la salle multifonctionnelle du Centre étudiant au campus de Moncton.
Il y aura également une présentation de Bob Adsett, bénévole avec l’organisme Dix Mille Villages, qui parlera de l’importance du travail équitable international et présentera certains des artisans qui bénéficient des programmes de l’organisme Dix Mille Villages.
Une période de questions suivra la présentation.

Renseignements : annie.lepage@umoncton.ca ou marie-lyne.caron@umoncton.ca
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Marie-Michelle Poirier et Éric Faille sont les athlètes de la semaine
Le Service de l’activité physique et sportive a choisi Marie-Michelle Poirier, de New Richmond, et Éric Faille, de Lachine, comme athlètes Antonio’s Pizza de la semaine pour la période du 30 janvier au 5 février à l’Université de Moncton.

La hockeyeuse Marie-Michelle Poirier a été la bougie d’allumage des siennes samedi avec quatre buts et deux passes dans une victoire de 10 à 0 des Aigles Bleues aux dépens des Huskies de Saint Mary’s University. Elle a été choisie la joueuse du match. Elle est la meilleure pointeuse de son équipe avec 20 buts et neuf passes pour 29 points et occupe le troisième rang de SUA. Elle a totalisé 94 lancers au but en 18 parties. Elle est étudiante en administration.

Le hockeyeur Éric Faille a su faire preuve de polyvalence lors des deux défaites des Aigles Bleus pendant la fin de semaine. Il a compté un but et obtenu une passe dans la défaite contre les Huskies samedi et la même fiche aux dépens des X-Men vendredi. En plus de son travail habituel, il a joué lors des avantages et des désavantages numériques. Il est étudiant en arts, général.
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