Vol. 44, no 33
08 mai 2014
L’Université de Moncton décernera quatre grades honorifiques lors des cérémonies de collation des grades en mai
L’Université de Moncton décernera quatre doctorats d’honneur à d’éminentes personnalités qui se sont distinguées grâce à un apport exceptionnel à leur domaine respectif lors des cérémonies de collation des grades qui auront lieu aux trois campus en mai.

À la collation des grades du campus de Shippagan, qui aura lieu le vendredi 16 mai à compter de 14 heures au Pavillon sportif, le chancelier, Jean-Claude Savoie, remettra un doctorat d’honneur en administration à Lorio Roy.

Au campus d’Edmundston, le chancelier remettra un doctorat d’honneur en administration publique à Robert Pichette, qui a contribué grandement à la vie intellectuelle et culturelle acadienne tout au long de sa carrière. Il remettra de plus un doctorat honorifique en musique à Gilles Vigneault, auteur, compositeur, interprète, poète, comédien et éditeur qui fait vibrer depuis plus d’un demi-siècle la musique et la culture francophone. La cérémonie aura lieu le samedi 17 mai à 14 heures à la Cité des Jeunes A.-M.-Sormany d’Edmundston.

À la collation des grades du campus de Moncton, l’Université remettra un doctorat d’honneur en médecine à Réjean Hébert, qui a été ministre de la Santé et des Services sociaux, ministre responsable des Aînés, ainsi que ministre responsable de la région de l’Estrie au sein du gouvernement du Québec, entre 2012 et 2014. La cérémonie aura lieu le samedi 24 mai à 13 h 30 dans le stade du Ceps Louis-J.-Robichaud.

Lorio Roy, docteur d’honneur en administration

Ce qui ressort comme fil conducteur lorsque l’on examine le parcours professionnel de Lorio Roy, ce sont ses grandes qualités de rassembleur, de conciliateur et de chef de file en développement social et éducationnel.

Monsieur Roy a toujours été déterminé à faire rayonner la cause acadienne et francophone que ce soit dans le domaine de la formation, de la coopération, des communications ou encore dans le domaine socioéconomique et communautaire.

Originaire de Robertville, dans le nord-est du Nouveau-Brunswick, Lorio Roy possède un Baccalauréat ès arts de l’Université de Moncton (Collège de Bathurst), une scolarité de maîtrise en psychologie de l’Université de Moncton et une scolarité de maîtrise en administration publique de l’ENAP (Québec).

Il a été directeur du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick-Campus de Bathurst et sous-ministre adjoint au ministère responsable des Collèges communautaires du Nouveau-Brunswick de 1979 à 1988. Il a été un pionnier en ce qui a trait au développement du programme de formation des enseignants œuvrant au sein des collèges francophones de la province et à la mise en œuvre de l’approche individualisée pour l’enseignement des métiers.

De 1988 à 1997, il été secrétaire général puis vice-président, commercialisation et communication chez Coop Atlantique, une coopérative régionale offrant des services à plus de 160 coopératives de détail et dont le siège social est à Moncton.

Par la suite, il a occupé les fonctions d’éditeur et de directeur général du quotidien L’Acadie Nouvelle et de directeur d’Acadie Presse de 1998 à 2006. Depuis quelques années, il exporte son savoir-faire sur la scène internationale dans le domaine de l’éducation postsecondaire pour appuyer le développement et le renforcement institutionnel dans un centre de formation au Cameroun.

Lorio Roy a été et demeure un intervenant actif au sein de nombreuses associations et organismes autant à titre bénévole qu’à titre professionnel. Il a présidé les comités d’ajustement de la main-d’œuvre de la Mine Brunswick et de la fonderie de Belledune. Il a également été à la tête du groupe de travail « Initiatives du Nord » qui a présenté au gouvernement du Nouveau-Brunswick en 2007 une série de recommandations, de stratégies et d’initiatives portant sur le développement du nord de la province.

Il est le président-fondateur de la Fondation du Collège de Bathurst qu’il préside toujours, président de la Fédération des associations des anciens, anciennes et amis du CCNB, membre du conseil d’administration de l’Autorité aéroportuaire du nord du Nouveau-Brunswick, trésorier de la Compagnie des Cent-Associés francophones et vice-président de la Coopérative de Robertville. En 2011, il a été admis membre à vie de l’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton, campus de Shippagan.

Robert Pichette, docteur d’honneur en administration publique

Fonctionnaire, conseiller politique, journaliste, écrivain, historien, Robert Pichette a excellé dans divers domaines d’activités.

Né à Edmundston en 1936, Robert Pichette a fait ses études primaires et secondaires à l’Académie Conway d’Edmundston. Il a poursuivi ses études collégiales au Collège Saint-Laurent de Montréal et au Collège Saint-Louis d’Edmundston.

Robert Pichette a occupé plusieurs postes clés au cours de sa fructueuse carrière. Il a contribué de façon significative à la vie intellectuelle et culturelle acadienne. Durant les années 1960, il a travaillé pour le gouvernement du Nouveau-Brunswick comme chef de cabinet et sous-ministre du premier ministre Louis-J. Robichaud et comme délégué aux affaires culturelles de la province. Monsieur Pichette contribue tout particulièrement à façonner le caractère du bilinguisme officiel néo-brunswickois, en premier lieu à titre de corédacteur du livre blanc du gouvernement sur la politique en matière de langues officielles, puis à titre de corédacteur de la Loi sur les langues officielles. En 1977, il est nommé représentant du Commissaire aux langues officielles dans la région de l’Atlantique, inaugurant ainsi à Moncton le premier bureau régional du genre au Canada. Il travaille ensuite pour l'Agence de promotion économique du Canada atlantique à Sydney et Moncton.

Monsieur Pichette a signé des éditoriaux et des chroniques dans des quotidiens provinciaux et nationaux, notamment L’Acadie Nouvelle, The Globe and Mail et The Telegraph Journal. Il est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages traitant surtout de l’histoire de l’Acadie et du Nouveau-Brunswick, dont L’Acadie par bonheur retrouvée : De Gaule et l’Acadie et Napoléon III, l’Acadie et le Canada français, des livres unanimement salués sur les plans de la recherche et de l’écriture. Au printemps 2012, Robert Pichette a signé un magnifique récit historique publié par la Chaire de recherche en études acadiennes de l’Université de Moncton intitulé La cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption : Monument de la Reconnaissance. Il est aussi l’auteur de plus de 70 articles parus dans diverses revues.

Héraldiste dont la compétence est reconnue à l’échelle internationale, Robert Pichette a été en 1968 membre fondateur de la Société héraldique du Canada en plus d’en assumer la présidence. Il a également été élu membre de l’Académie internationale d’héraldique. C’est à Monsieur Pichette que l’on doit la conception du drapeau du Nouveau-Brunswick adopté en 1965 et celui de la République du Madawaska. ll détient, depuis 1995, le titre officiel de Héraut Dauphin extraordinaire au sein de l'Autorité héraldique du Canada.

Plusieurs prix, gardes et distinctions honorifiques lui ont été conférés au Canada, en France, en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Il est Commandeur de l’Ordre très vénérable de Saint-Jean de Jérusalem, Officier de l’Ordre national du mérite (France), Chevalier de l'Ordre des palmes académiques, Fellow de la Royal Society of Arts de Grande-Bretagne et Colonel honoraire de la garde nationale de l’État de la Louisiane. Le Nouveau-Brunswick a reconnu son apport exceptionnel à la province en le faisant membre de l’Ordre du Nouveau-Brunswick en 2006.

Gilles Vigneault, docteur d’honneur en musique

Auteur, compositeur, interprète, poète, comédien, éditeur, homme engagé, Gilles Vigneault est une véritable légende vivante. Son oeuvre est riche et comprend d’innombrables succès qui ont marqué la vie des gens pendant plus d’un demi-siècle. L’artiste a écrit plus de 400 chansons et plus de 40 livres, dont plusieurs destinés à la jeunesse. Sa contribution aux lettres, à la musique et à la vie culturelle est inestimable.

De descendance acadienne, Gilles Vigneault est né en 1928 et a grandi à Natashquan, petit village de la Basse-Côte-Nord. Il a fait des études classiques au Séminaire de Rimouski et il a complété une Licence en lettres à l'Université Laval en 1953.

Après ses études, il enseigne le français à Valcartier et à l'École de technologie de Québec. Il écrit des textes pour la télévision, y anime des émissions et fait du théâtre. En 1959, il fonde Les Éditons de l'Arc où il publie son premier recueil de poèmes, Étraves. C’est par la littérature que Gilles Vigneault parvient à la chanson, après avoir exercé, de 1953 à 1960, de nombreux métiers qui l’ont préparé à sa carrière future.

Poète devenu chanteur en 1960, après une première apparition à La Boîte à chansons à Québec, qu'il a fondée avec quelques amis, Gilles Vigneault voit sa carrière éclater au Québec comme un feu d'artifice avant de prendre son envol en Europe. En 1962, il enregistre un premier album sur lequel on retrouve ce qui allait devenir des classiques de la chanson québécoise, dont Jack Monoloy, J'ai pour toi un lac, Quand vous mourrez de nos amours et La danse à Saint-Dilon. Ce premier opus reçoit le Grand Prix du disque canadien.

En plus de 50 ans de carrière, Gilles Vigneault a reçu un nombre impressionnant de prix et de distinctions tant au Québec qu'au Canada et en France. Il a reçu le Prix du Gouverneur général pour son recueil de poèmes Quand les bateaux s'en vont; le Prix Molson du Conseil des arts du Canada pour l'ensemble de son œuvre et le Grand Prix du disque de l'Académie Charles-Cros. Il a été fait Chevalier de l’Ordre de la Pléiade; Chevalier de l'Ordre national du Québec puis Grand Officier; Chevalier de la Légion d'honneur et Commandeur des arts et des lettres de la République française. Il a reçu le Prix des arts de la scène du gouverneur général du Canada et a été intronisé au Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens. Près d’une dizaine d’universités canadiennes et françaises lui ont décerné un doctorat honorifique.

Connu et célébré autant ici qu'en Europe, il n'hésite pas à défendre d'abord et avant tout sa contrée natale. Sa fidélité à ses racines et à la défense de la langue française fait de lui un poète majeur et un ambassadeur respecté.

Réjean Hébert, docteur d’honneur en médecine

Réjean Hébert a été ministre de la Santé et des Services sociaux, ministre responsable des Aînés, ainsi que ministre responsable de la région de l'Estrie au sein du gouvernement du Québec de 2012 à 2014.

Avant de faire le saut en politique, Réjean Hébert a mené une longue et fructueuse carrière comme médecin et chercheur en gériatrie et en gérontologie.

Après avoir complété sa formation médicale et sa résidence en médecine de famille à l’Université de Sherbrooke, le docteur Hébert a fait une année de formation en gériatrie à Grenoble. Il a aussi obtenu un diplôme de gérontologie de l’Université des sciences sociales de Grenoble. Après avoir effectué une formation en épidémiologie à l’Université McGill, il a complété une maîtrise en philosophie épidémiologie de l’Université de Cambridge.

Le Dr Hébert a commencé sa carrière en médecine familiale à l’Hôtel-Dieu de Lévis et au Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS). Il est devenu en 1988 l’un des premiers médecins gériatres au Québec et a pratiqué de nombreuses années en réadaptation et en soins prolongés à l’Hôpital D’Youville de Sherbrooke.

Pendant 28 ans, il a été professeur au Département de médecine de famille de l’Université de Sherbrooke. De 2004 à 2010, il a occupé, au sein de cette même institution, le poste de doyen de la Faculté de médecine et des sciences de la santé. Au nombre des réalisations au cours de ses deux mandats, notons la délocalisation du Programme des études médicales à Moncton et à Chicoutimi.

Dr Hébert a été chercheur national du Fonds de la recherche en santé du Québec, et jusqu’en 2003, le premier directeur scientifique de l’Institut du vieillissement des Instituts de recherche en santé du Canada. Il a fondé et dirigé le Réseau québécois de recherche sur le vieillissement. En 1988, il a également fondé le Centre de recherche sur le vieillissement de l’Institut universitaire de gériatrie de Sherbrooke qu’il a dirigé jusqu’en 2001. Ce centre est d’ailleurs l’un des plus importants organismes de recherche sur le vieillissement au Canada. De 2000 à 2012, il a été directeur du groupe PRISMA (Programme de recherche sur l’intégration des services de maintien de l’autonomie). En 2007-2008, il a coprésidé la consultation publique sur la condition de vie des personnes âgées instituée par le gouvernement du Québec.

Auteur prolifique, il a publié une vingtaine de livres dont le Précis pratique de gériatrie, dont la troisième édition a été publiée en 2007, 190 chapitres de livres et près de 200 articles scientifiques dans des revues internationales. Conférencier recherché, il a présenté plus de 300 communications scientifiques dans des congrès nationaux et internationaux.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=14702
Lorio Roy, docteur d’honneur en administration
Ce qui ressort comme fil conducteur lorsque l’on examine le parcours professionnel de Lorio Roy, ce sont ses grandes qualités de rassembleur, de conciliateur et de chef de file en développement social et éducationnel.

Monsieur Roy a toujours été déterminé à faire rayonner la cause acadienne et francophone que ce soit dans le domaine de la formation, de la coopération, des communications ou encore dans le domaine socioéconomique et communautaire.

Originaire de Robertville, dans le nord-est du Nouveau-Brunswick, Lorio Roy possède un Baccalauréat ès arts de l’Université de Moncton (Collège de Bathurst), une scolarité de maîtrise en psychologie de l’Université de Moncton et une scolarité de maîtrise en administration publique de l’ENAP (Québec).

Il a été directeur du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick-Campus de Bathurst et sous-ministre adjoint au ministère responsable des Collèges communautaires du Nouveau-Brunswick de 1979 à 1988. Il a été un pionnier en ce qui a trait au développement du programme de formation des enseignants œuvrant au sein des collèges francophones de la province et à la mise en œuvre de l’approche individualisée pour l’enseignement des métiers.

De 1988 à 1997, il été secrétaire général puis vice-président, commercialisation et communication chez Coop Atlantique, une coopérative régionale offrant des services à plus de 160 coopératives de détail et dont le siège social est à Moncton.

Par la suite, il a occupé les fonctions d’éditeur et de directeur général du quotidien L’Acadie Nouvelle et de directeur d’Acadie Presse de 1998 à 2006. Depuis quelques années, il exporte son savoir-faire sur la scène internationale dans le domaine de l’éducation postsecondaire pour appuyer le développement et le renforcement institutionnel dans un centre de formation au Cameroun.

Lorio Roy a été et demeure un intervenant actif au sein de nombreuses associations et organismes autant à titre bénévole qu’à titre professionnel. Il a présidé les comités d’ajustement de la main-d’œuvre de la Mine Brunswick et de la fonderie de Belledune. Il a également été à la tête du groupe de travail « Initiatives du Nord » qui a présenté au gouvernement du Nouveau-Brunswick en 2007 une série de recommandations, de stratégies et d’initiatives portant sur le développement du nord de la province.

Il est le président-fondateur de la Fondation du Collège de Bathurst qu’il préside toujours, président de la Fédération des associations des anciens, anciennes et amis du CCNB, membre du conseil d’administration de l’Autorité aéroportuaire du nord du Nouveau-Brunswick, trésorier de la Compagnie des Cent-Associés francophones et vice-président de la Coopérative de Robertville. En 2011, il a été admis membre à vie de l’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton, campus de Shippagan.
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Robert Pichette, docteur d’honneur en administration publique
Fonctionnaire, conseiller politique, journaliste, écrivain, historien, Robert Pichette a excellé dans divers domaines d’activités.

Né à Edmundston en 1936, Robert Pichette a fait ses études primaires et secondaires à l’Académie Conway d’Edmundston. Il a poursuivi ses études collégiales au Collège Saint-Laurent de Montréal et au Collège Saint-Louis d’Edmundston.

Robert Pichette a occupé plusieurs postes clés au cours de sa fructueuse carrière. Il a contribué de façon significative à la vie intellectuelle et culturelle acadienne. Durant les années 1960, il a travaillé pour le gouvernement du Nouveau-Brunswick comme chef de cabinet et sous-ministre du premier ministre Louis-J. Robichaud et comme délégué aux affaires culturelles de la province. Monsieur Pichette contribue tout particulièrement à façonner le caractère du bilinguisme officiel néo-brunswickois, en premier lieu à titre de corédacteur du livre blanc du gouvernement sur la politique en matière de langues officielles, puis à titre de corédacteur de la Loi sur les langues officielles. En 1977, il est nommé représentant du Commissaire aux langues officielles dans la région de l’Atlantique, inaugurant ainsi à Moncton le premier bureau régional du genre au Canada. Il travaille ensuite pour l'Agence de promotion économique du Canada atlantique à Sydney et Moncton.

Monsieur Pichette a signé des éditoriaux et des chroniques dans des quotidiens provinciaux et nationaux, notamment L’Acadie Nouvelle, The Globe and Mail et The Telegraph Journal. Il est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages traitant surtout de l’histoire de l’Acadie et du Nouveau-Brunswick, dont L’Acadie par bonheur retrouvée : De Gaule et l’Acadie et Napoléon III, l’Acadie et le Canada français, des livres unanimement salués sur les plans de la recherche et de l’écriture. Au printemps 2012, Robert Pichette a signé un magnifique récit historique publié par la Chaire de recherche en études acadiennes de l’Université de Moncton intitulé La cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption : Monument de la Reconnaissance. Il est aussi l’auteur de plus de 70 articles parus dans diverses revues.

Héraldiste dont la compétence est reconnue à l’échelle internationale, Robert Pichette a été en 1968 membre fondateur de la Société héraldique du Canada en plus d’en assumer la présidence. Il a également été élu membre de l’Académie internationale d’héraldique. C’est à Monsieur Pichette que l’on doit la conception du drapeau du Nouveau-Brunswick adopté en 1965 et celui de la République du Madawaska. ll détient, depuis 1995, le titre officiel de Héraut Dauphin extraordinaire au sein de l'Autorité héraldique du Canada. Plusieurs prix, gardes et distinctions honorifiques lui ont été conférés au Canada, en France, en Grande-Bretagne et aux États-Unis.

Il est Commandeur de l’Ordre très vénérable de Saint-Jean de Jérusalem, Officier de l’Ordre national du mérite (France), Chevalier de l'Ordre des palmes académiques, Fellow de la Royal Society of Arts de Grande-Bretagne et Colonel honoraire de la garde nationale de l’État de la Louisiane. Le Nouveau-Brunswick a reconnu son apport exceptionnel à la province en le faisant membre de l’Ordre du Nouveau-Brunswick en 2006.
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Gilles Vigneault, docteur d’honneur en musique
Auteur, compositeur, interprète, poète, comédien, éditeur, homme engagé, Gilles Vigneault est une véritable légende vivante. Son oeuvre est riche et comprend d’innombrables succès qui ont marqué la vie des gens pendant plus d’un demi-siècle. L’artiste a écrit plus de 400 chansons et plus de 40 livres, dont plusieurs destinés à la jeunesse. Sa contribution aux lettres, à la musique et à la vie culturelle est inestimable.

De descendance acadienne, Gilles Vigneault est né en 1928 et a grandi à Natashquan, petit village de la Basse-Côte-Nord. Il a fait des études classiques au Séminaire de Rimouski et il a complété une Licence en lettres à l'Université Laval en 1953.

Après ses études, il enseigne le français à Valcartier et à l'École de technologie de Québec. Il écrit des textes pour la télévision, y anime des émissions et fait du théâtre. En 1959, il fonde Les Éditons de l'Arc où il publie son premier recueil de poèmes, Étraves. C’est par la littérature que Gilles Vigneault parvient à la chanson, après avoir exercé, de 1953 à 1960, de nombreux métiers qui l’ont préparé à sa carrière future.

Poète devenu chanteur en 1960, après une première apparition à La Boîte à chansons à Québec, qu'il a fondée avec quelques amis, Gilles Vigneault voit sa carrière éclater au Québec comme un feu d'artifice avant de prendre son envol en Europe. En 1962, il enregistre un premier album sur lequel on retrouve ce qui allait devenir des classiques de la chanson québécoise, dont Jack Monoloy, J'ai pour toi un lac, Quand vous mourrez de nos amours et La danse à Saint-Dilon. Ce premier opus reçoit le Grand Prix du disque canadien.

En plus de 50 ans de carrière, Gilles Vigneault a reçu un nombre impressionnant de prix et de distinctions tant au Québec qu'au Canada et en France. Il a reçu le Prix du Gouverneur général pour son recueil de poèmes Quand les bateaux s'en vont; le Prix Molson du Conseil des arts du Canada pour l'ensemble de son œuvre et le Grand Prix du disque de l'Académie Charles-Cros. Il a été fait Chevalier de l’Ordre de la Pléiade; Chevalier de l'Ordre national du Québec puis Grand Officier; Chevalier de la Légion d'honneur et Commandeur des arts et des lettres de la République française. ll a reçu le Prix des arts de la scène du gouverneur général du Canada et a été intronisé au Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens. Près d’une dizaine d’universités canadiennes et françaises lui ont décerné un doctorat honorifique.

Connu et célébré autant ici qu'en Europe, il n'hésite pas à défendre d'abord et avant tout sa contrée natale. Sa fidélité à ses racines et à la défense de la langue française fait de lui un poète majeur et un ambassadeur respecté.
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Réjean Hébert, docteur d’honneur en médecine
Réjean Hébert a été ministre de la Santé et des Services sociaux, ministre responsable des Aînés, ainsi que ministre responsable de la région de l'Estrie au sein du gouvernement du Québec de 2012 à 2014.

Avant de faire le saut en politique, Réjean Hébert a mené une longue et fructueuse carrière comme médecin et chercheur en gériatrie et en gérontologie.

Après avoir complété sa formation médicale et sa résidence en médecine de famille à l’Université de Sherbrooke, le docteur Hébert a fait une année de formation en gériatrie à Grenoble. Il a aussi obtenu un diplôme de gérontologie de l’Université des sciences sociales de Grenoble. Après avoir effectué une formation en épidémiologie à l’Université McGill, il a complété une maîtrise en philosophie épidémiologie de l’Université de Cambridge.

Le Dr Hébert a commencé sa carrière en médecine familiale à l’Hôtel-Dieu de Lévis et au Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS). Il est devenu en 1988 l’un des premiers médecins gériatres au Québec et a pratiqué de nombreuses années en réadaptation et en soins prolongés à l’Hôpital D’Youville de Sherbrooke.

Pendant 28 ans, il a été professeur au Département de médecine de famille de l’Université de Sherbrooke. De 2004 à 2010, il a occupé, au sein de cette même institution, le poste de doyen de la Faculté de médecine et des sciences de la santé. Au nombre des réalisations au cours de ses deux mandats, notons la délocalisation du Programme des études médicales à Moncton et à Chicoutimi.

Dr Hébert a été chercheur national du Fonds de la recherche en santé du Québec, et jusqu’en 2003, le premier directeur scientifique de l’Institut du vieillissement des Instituts de recherche en santé du Canada. Il a fondé et dirigé le Réseau québécois de recherche sur le vieillissement. En 1988, il a également fondé le Centre de recherche sur le vieillissement de l’Institut universitaire de gériatrie de Sherbrooke qu’il a dirigé jusqu’en 2001. Ce centre est d’ailleurs l’un des plus importants organismes de recherche sur le vieillissement au Canada. De 2000 à 2012, il a été directeur du groupe PRISMA (Programme de recherche sur l’intégration des services de maintien de l’autonomie). En 2007-2008, il a coprésidé la consultation publique sur la condition de vie des personnes âgées instituée par le gouvernement du Québec.

Auteur prolifique, il a publié une vingtaine de livres dont le Précis pratique de gériatrie, dont la troisième édition a été publiée en 2007, 190 chapitres de livres et près de 200 articles scientifiques dans des revues internationales. Conférencier recherché, il a présenté plus de 300 communications scientifiques dans des congrès nationaux et internationaux.
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Financement pour appuyer des postes d'assistantes et d’assistants à la recherche
Le ministère de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail et la Fondation de l'innovation du Nouveau-Brunswick (FINB) ont annoncé, récemment, un financement de 900 000 $ pour soutenir 34 étudiantes et étudiants de premier cycle et 73 étudiantes et étudiants de cycles supérieurs dans des postes d'assistantes et d’assistants à la recherche au sein des universités de la province.

À l’Université de Moncton, une somme de 215 000 $ sera versée pour les salaires de sept étudiantes et étudiants du premier cycle et 18 des cycles supérieurs qui travailleront surtout dans les domaines de la biologie, de la chimie, de la biochimie, de la physique et de l’éducation.

Par le travail effectué en partenariat avec l'un des experts en recherche appliquée financés par la fondation, chaque étudiante et chaque étudiant sera rémunéré tout en acquérant de l’expérience en laboratoire.

« Notre gouvernement est déterminé à mettre nos ressources à l’oeuvre en investissant dans les gens, les compétences et les emplois, a déclaré le ministre de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail, Jody Carr. La contribution du gouvernement provincial à l'Initiative des assistanats à la recherche de la fondation témoigne de notre engagement envers l'innovation et veille à ce que les étudiants intéressés par les sciences appliquées obtiennent la formation dont ils ont besoin pour travailler dans leur domaine ou poursuivre des études supérieures. »

« Afin de bâtir une économie fondée sur l'innovation dans la province, les organismes ont besoin davantage de financement et d'un changement de culture, a affirmé le président de la fondation, Bob Hatheway. Mettre les étudiants au travail dans les laboratoires de leurs professeurs leur permettra d'apprendre et de toucher un revenu, en plus de les inspirer par les innovations en développement. Cela pourra les inciter à choisir de faire carrière ou de devenir entrepreneurs en recherche appliquée, ici même au Nouveau-Brunswick. »

L'investissement de 80 millions de dollars dans l'innovation de la part du gouvernement provincial a permis à la fondation de presque doubler le montant pour ce programme pour 2014. Depuis 2003, plus de huit millions de dollars ont été accordés pour créer 1054 postes d'assistantes et d’asssistants à la recherche.

La Fondation de l'innovation du Nouveau-Brunswick est une société autonome sans but lucratif qui procède à des investissements dans des entreprises axées sur la croissance et les activités en recherche appliquée.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=14705
Karine McLaren deviendra directrice du CTTJ
La Faculté de droit de l’Université de Moncton a annoncé que la jurilinguiste Karine McLaren assumera les fonctions de directrice du Centre de traduction et de terminologie juridiques (CTTJ) à partir du 1er juillet prochain. Elle succédera à Gérard Snow, qui a été le principal titulaire du poste depuis la fondation du centre, en 1979.

Née en France, Karine McLaren a étudié le droit en Angleterre et y a exercé le droit pendant une dizaine d’années avant d’immigrer au Canada. Elle s’est jointe à l’équipe du CTTJ en 2012 après avoir obtenu son baccalauréat en traduction de l’Université de Moncton, et elle rédige actuellement une thèse de maîtrise en droit à la même université.

Elle s’est distinguée au cours de ses études à Moncton en obtenant notamment des prix d’excellence académique de la Corporation des traducteurs, traductrices, terminologues et interprètes du Nouveau-Brunswick et de l’Association des étudiants internationaux de l’Université de Moncton, ainsi que le prix Michel-Bastarache pour le meilleur travail de recherche en droit. Ses recherches portent sur le bilinguisme législatif et judiciaire au Canada.

Le CTTJ est reconnu au Canada et à l’étranger pour son expertise et sa vaste expérience dans le domaine du langage de la common law en français, en particulier par sa banque de terminologie (Juriterm), son recueil des difficultés du français juridique (Juridictionnaire) et ses nombreuses traductions de jugements, de lois et règlements, d’arrêtés municipaux et de contrats.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=14707
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La photo prise au lancement nous fait voir, de gauche à droite, Roger Ouellette, professeur et directeur du Département de science politique de l’Université de Moncton de même que chercheur associé à l’ICRPAP; l’auteur Richard Saillant et Donald Savoie, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en administration publique et en gouvernance, professeur au Département d’administration publique de l’Université de Moncton et président du conseil d’administration de l’ICRPAP.
L’ouvrage Au bord du gouffre? Agir dès maintenant pour éviter la faillite du Nouveau-Brunswick est lancé
Le lancement du premier ouvrage de la nouvelle collection Roméo-LeBlanc de l’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques (ICRPAP) a eu lieu le 29 avril dernier au campus de Moncton.

Au bord du gouffre? Agir dès maintenant pour éviter la faillite du Nouveau-Brunswick est un ouvrage du chercheur Richard Saillant, directeur général de l’ICRPAP.

Dans cette importante ouvrage qui arrive à un moment opportun, l’auteur trace un portrait saisissant de la situation financière du Nouveau-Brunswick. Il explique, dans un style engageant et accessible, comment nous en sommes rendus là et ce vers quoi nous nous dirigeons si nous ne changeons pas de cap bientôt. M. Saillant propose aussi une feuille de route pour nous éloigner du gouffre et assurer que nous ne lèguerons pas un fardeau insoutenable aux générations futures.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=14708
Des travaux de professeurs de la Faculté d’administration récompensés
Isabelle Brun, professeure au Département d’administration de la Faculté d’administration, a obtenu le doctorat en marketing de l’Université du Québec à Montréal, le 11 avril 2014. Le jury lui a attribué la mention « excellente» pour sa thèse intitulée « Du e-relationnel à la qualité de la relation en ligne ».

Parallèlement, elle vient de recevoir le prix « Outstanding Paper Award 2014» du International Journal of Bank Marketing pour son article «A relational classification of online banking customers » publié avec Lova Rajaobelina de l’Université du Québec à Montréal et Élissar Toufaily de l’Université Laval. Cette recherche permet de dresser une typologie relationnelle des usagers de services bancaires en ligne, tenant compte des concepts de confiance, de satisfaction et d’engagement.

Par ailleurs, l’article intitulé «The Mediating Role of Customer Trust on Customer Loyalty» de Nha Nguyen, André Leclerc et Gaston LeBlanc, publié dans la revue Journal of Service Science and Management, vient d’être nommé comme l’un des meilleurs articles par cette revue dans le domaine des affaires et de l'économie. Menée auprès de 1 297 membres des Caisses populaires acadiennes, la recherche met en évidence une structure de relations entre la confiance, la fidélité des membres et leurs perceptions de l’identité sociale de l’institution.

Enfin, un autre article de Nha Nguyen et Gaston LeBlanc intitulé « Corporate image and corporate reputation in customers’ retention decisions in services », publié dans le Journal of Retailing and Consumer Services, est nommé en 2013 par Science Direct parmi les cinq articles les plus téléchargés par les chercheuses et chercheurs.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=14696
L’Université de Moncton remet quatre bourses d’études pour les participantes et participants du Festival de théâtre jeunesse en Acadie
Pour une deuxième année consécutive, l’Université de Moncton a offert des bourses d’études s’élevant à 4 000 $ lors de la cérémonie de remise de prix du Festival de théâtre jeunesse en Acadie (FTJA), édition 2014, qui s’est déroulé à Caraquet du 25 au 27 avril dernier.

Les quatre élèves qui ont reçu une bourse d'études de 1 000 $ chacune sont Zoé Leblanc, élève de l'école Mathieu-Martin de Dieppe et récipiendaire du prix «Meilleure comédienne dans un rôle principal – niveau secondaire »; Mathieu Ouellet Gagnon, élève de la polyvalente Louis-J.-Robichaud de Shédiac et récipiendaire du prix «Meilleur comédien dans un rôle principal - niveau secondaire »; Jenna Belliveau, élève du Carrefour Beausoleil de Miramichi et récipiendaire du prix « Meilleure comédienne dans un rôle de soutien – niveau secondaire »; et Nicolas Breton, élève de la polyvalente Roland-Pépin de Campbellton et récipiendaire du prix « Meilleur comédien dans un rôle de soutien – niveau secondaire ». Lors de cette 16e édition du FTJA, huit troupes en provenance de partout dans la province étaient au rendez-vous.

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Marc-André Robichaud, étudiant en art dramatique et représentant de l'Université de Moncton; Mathieu Ouellet Gagnon, élève de la polyvalente Louis-J.-Robichaud de Shédiac (Meilleur comédien dans un rôle principal - niveau secondaire); Jenna Belliveau, élève au Carrefour Beausoleil de Miramichi (Meilleure comédienne dans un rôle de soutien – niveau secondaire); Nicolas Breton, élève de la polyvalente Roland-Pépin de Campbellton (Meilleur comédien dans un rôle de soutien – niveau secondaire); Zoé Leblanc, élève de l'école Mathieu-Martin de Dieppe (Meilleure comédienne dans un rôle principal – niveau secondaire); Noémie Roy Lavoie, coordonnatrice du FTJA; et Maurice Arsenault, directeur artistique et général du Théâtre populaire d’Acadie.
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Deux étudiantes de l’U de M reçoivent une bourse de l’Association des bénévoles de Dr.-Georges-L.-Dumont
Chaque année, l’Association des bénévoles du Centre hospitalier universitaire Dr.-Georges-L.-Dumont offre deux bourses d’études de 1 000 $ chacune à deux bénévoles qui font des études postsecondaires. Cette année, les récipiendaires des bourses sont Marie-Pier Savoie, étudiante en troisième année au baccalauréat ès arts (majeure en psychologie) et Stacy Corbin, étudiante en troisième année au baccalauréat ès arts (spécialisation en psychologie) à l’Université de Moncton. Les bourses leur ont été remises lors de la Semaine de l’action bénévole en avril dernier.
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Lancement du livre Raconte-moi une histoire –Les sentiers de l’espoir, Tome II, de Fernand Arsenault
Le lancement du livre Raconte-moi une histoire –Les sentiers de l’espoir, Tome II, de l’auteur Fernand Arsenault aura lieu au resto-lounge Le 63 situé au Centre étudiant de l’Université de Moncton, campus de Moncton, le jeudi 15 mai à 19 h 30.

Ce livre est la suite de Raconte-moi une historie – De Bonaventure à Memramcook, Tome I, paru en 2011. Dans le style du raconteur encore ici, sans oublier humour et poésie, l’auteur invite ses lectrices et lecteurs à découvrir ou à revoir avec lui, dans l’émerveillement et la fierté, le renouveau qu’a connu la société acadienne, canadienne et internationale de 1961 à nos jours. Il a vécu de l’intérieur, à Rome, le Concile Vatican II et les efforts gigantesques, souvent pénibles, déployés pour mettre en place un véritable renouveau de l’Église catholique romaine.

Témoin privilégié de l’histoire des 50 premières années de l’Université de Moncton, il fait voir le rôle irremplaçable de cet établissement dans l’évolution de l’Acadie, dans les luttes du peuple acadien pour la reconnaissance du français au Nouveau-Brunswick, pour l’autonomie des Acadiens et des Acadiennes dans le monde de l’éducation, de la santé, de l’économie et de la politique, pour le respect des droits de la personne, pour de meilleures relations entre les cultures et davantage de justice, de compassion et de solidarité entre les peuples. Toutes ces années sont présentées comme une palpitante histoire d’amour, « un chant d’espoir pour l’humanité ».

Sur un plan plus personnel, l’auteur nous raconte en toute confiance comment il a vécu son passage tumultueux de la vie religieuse et sacerdotale à la vie laïque, la rencontre du grand amour qui nourrit toujours tous ses engagements et lui a permis de relever la plus grande épreuve de sa vie. Les nombreux sentiers qu’il a parcourus ont fait de lui un homme libre, confiant dans l’avenir, convaincu qu’un autre monde est possible, nécessaire et réalisable.

On pourra se procurer Raconte-moi une histoire – Les sentiers de l’espoir à la Librairie Acadienne et dans les différentes librairies. Ce livre se veut un hommage à toutes les personnes qui ont contribué à la création et à l’épanouissement de l’Université de Moncton en ce 50e anniversaire de sa fondation. Le chœur Neil Michaud, dirigé par Martin Waltz, sera présent pour dire merci, lui aussi, à tous ces grands bienfaiteurs de l’humanité.

Toutes et tous sont les bienvenus.
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La photo nous fait voir de gauche à droite, Sébastien Deschênes DBA, CA, CFA, directeur du Département de comptabilité et coresponsable de la salle des marchés; l’étudiant André-Phillippe Caissie (11e position au Canada), l’étudiant Mathieu Caissie, ambassadeur de la Bourse de Montréal à l’U de M, et Tania Morris, professeure de finance et coresponsable de la salle des marchés.
André-Philippe Caissie et Mathieu Caissie s’illustrent au concours interuniversitaire pancanadien organisé par la Bourse de Montréal
La Bourse de Montréal organise annuellement un concours interuniversitaire pour démystifier les produits dérivés auprès des étudiantes et étudiants en finance des universités canadiennes. Il y a eu cette année 691 participantes et participants provenant de 28 universités.

L’étudiant ambassadeur de la Bourse de Montréal à l’Université de Moncton, Mathieu Caissie, étudiant en troisième année en finance, a réalisé l’exploit d’inscrire 30 participantes et participants au concours et de s’assurer qu’ils respectent les règles complexes du concours sur les stratégies de placements.

Il faut se rappeler que l’Université de Moncton ne faisait pas partie des universités que la Bourse de Montréal avait idée d’approcher pour le concours. Mathieu, ayant eu vent de l’organisation de ce concours lors d’une participation à une simulation boursière interuniversitaire, a pris l’initiative de communiquer avec la Bourse de Montréal. La détermination de Mathieu a fait en sorte qu’il a pu convaincre les organisateurs de mettre l’Université de Moncton sur la courte liste des universités entretenant une liaison directe avec la Bourse de Montréal.

L’Université de Moncton a su se démarquer bien qu’il s’agisse de sa première participation. L’étudiant André-Phillippe Caissie (4e année en finance) a terminé la compétition en 11e position sur les 691 participantes et participants provenant de toutes les provinces du Canada. Il a su gérer son portefeuille de 100 000 $ en appliquant toutes les stratégies requises de négociation d’options tout en faisant fructifier son portefeuille à la hauteur de 220 000 $. Cette performance lui a permis d’être premier au Nouveau-Brunswick.

Cet exploit est d’autant plus remarquable que les étudiantes et étudiants n’avaient pas de cours spécifique sur les produits dérivés dans la cadre du programme non reconfiguré. Toutefois, pour la première fois, à l’automne 2014, les étudiantes et étudiants auront un cours spécifique de trois crédits qui permettra l’apprentissage des stratégies de négociation des options. Dans ce cadre, le partenariat avec la Bourse de Montréal prend tout son sens et sera grandement bénéfique. Tous les espoirs sont permis pour les étudiantes et étudiants de l’Université de Moncton qui participeront au concours en 2015.

Renseignements : Sébastien Deschênes, (506) 858-4230.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Lucille Landry, responsable du Service de mobilité internationale; Alice Olive, étudiante; Francis LeBlanc, doyen de la Faculté des sciences; Tania St-Onge, étudiante; Horia-Daniel Iancu, directeur de l’École de kinésiologie et de loisir; Mélanie Paulin, étudiante, et Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales.
Trois étudiantes reçoivent le certificat d’Intelligence culturelle du programme Passeport international
Le 23 avril dernier, trois étudiantes ont obtenu le certificat d’Intelligence culturelle présenté par la vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, Mme Marie-Linda Lord, après avoir complété le programme Passeport international de l’Université de Moncton.

Les récipiendaires pour l’année universitaire 2013-2014 sont Mélanie Paulin, de Fredericton, étudiante en psychologie; Tania St-Onge, de Saint-Basile, étudiante en intervention touristique, et Alice Olive, de Lille en France, étudiante-stagiaire en biologie.

Lancé à l’automne 2011, le programme Passeport international a comme objectif d’enrichir le programme d’études des étudiantes et étudiants en leur apportant des connaissances, compétences et habiletés en interculturel et à l’international qui leur permettront d’améliorer leur communication interculturelle, leur sensibilité aux autres cultures ainsi que leur employabilité.

Pour plus de renseignements : http://www.umoncton.ca/smi/node/51
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Les gagnants du Concours de mathématiques Möbius sont maintenant connus
Émeric Albert, élève de la cinquième année à l’École Anna-Malenfant de Dieppe, est le grand gagnant du tout nouveau Concours de mathématiques Möbius, organisé par le professeur Donald Violette du Département de mathématiques et de statistique de l’Université de Moncton. Il reçoit un certificat d’excellence et le Prix or de la Banque Nationale, qui consiste en une bourse de 150 $.

Manuel Molina, élève de la cinquième année de l’école des Bâtisseurs de Fredericton, remporte la deuxième place. Il va recevoir un certificat d’excellence et le Prix du fondateur du concours (Donald Violette) qui consiste en une bourse de 100 $.

La troisième place revient à Vincent Robichaud, élève de la cinquième année à l’école La Ruche de Tracadie-Sheila. Il recevra un certificat d’excellence et le Prix bronze de la Banque Nationale, qui consiste en une bourse de 50 $.

La première édition du Concours de mathématiques Möbius, tenue le 15 avril 2014 dans les écoles primaires francophones du Nouveau-Brunswick, a connu un franc succès. Plus de 135 concurrentes et concurrents provenant d’une trentaine d’écoles primaires francophones ont pris part au concours. Rappelons que ce nouveau concours s’adresse aux élèves doués en mathématiques de la cinquième année des écoles primaires francophones de la province.

De plus, les vingt-cinq meilleurs concurrents et concurrentes participeront à titre gracieux au Camp « Séjour vacances : à la découverte des mathématiques », fondé également par le professeur Donald Violette, dont la première édition aura lieu à Saint-Quentin les 2 et 3 juillet 2014.

Le professeur Violette a reçu l’aide du professeur Salah Eddine El Adlouni et des étudiants Sébastien Lord, Adèle Bourgeois, Michèle Hébert, Alexandre Pépin et Justin Haché, tous du Département de mathématiques et de statistique, pour l’organisation de ce concours dont l’accent est mis sur le raisonnement.
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Xavier Lord-Giroux perfectionne la mise en scène en Roumanie
Xavier Lord-Giroux, diplômé du Département d’art dramatique de l’Université de Moncton, effectue présentement un stage de perfectionnement en mise en scène au sein du Théâtre national de Sibiu, en Roumanie, jusqu'au mois de juin 2014.

Suite à ses études en art dramatique à l’Université de Moncton, M. Lord-Giroux a intégré le programme de maîtrise en mise en scène à l’Université d’Ottawa. C’est dans le cadre de sa maîtrise que le jeune Acadien se rend en Roumanie. Il assistera ainsi Silviu Purcārete, metteur en scène renommé en Roumanie, afin de monter la pièce « Œdipe Roi » de Sophocle, adapté en roumain par Hans Dietrich Schmidt. Cette pièce sera présentée au Théâtre national de Sibiu ainsi que dans le cadre du Festival international de théâtre de Sibiu aux mois de mai et juin 2014.

Xavier Lord-Giroux en n’est pas à sa première expérience théâtrale en Roumanie. C’est grâce au Département d’art dramatique de l’Université de Moncton que M. Lord-Giroux s’est d’abord rendu en Roumanie en juin 2013, alors que l’ensemble des finissantes et finissants en art dramatique s’y était rendus afin de présenter la pièce « Mistero Buffo » dans le cadre du Festival international de théâtre de Sibiu.

«Mon expérience de neuf jours à Sibiu l'année dernière a été un jalon important dans mon parcours artistique. Cette année, j'y passe neuf semaines. En plus de contribuer au lancement de ma carrière en mise en scène, j’espère que ma présence en Roumanie permettra de resserrer les liens entre l'Acadie, le Canada et le Festival international de théâtre de Sibiu », explique Xavier Lord-Giroux.

Le Festival international de théâtre de Sibiu est reconnu comme étant le troisième plus grand Festival de Théâtre en Europe. Chaque année, il accueille plus de 300 troupes en provenance de plus de 70 pays et près de 65 000 spectatrices et spectateurs sont au rendez-vous.
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À la recherche de participantes et de participants pour une étude sur une nouvelle huile végétale
Une étude scientifique menée par le professeur Marc Surette et coordonnée par la chercheuse Natalie Lefort, tous deux du Département de chimie et biochimie, est présentement en cours.

Dans le cadre de cette étude portant sur une nouvelle huile végétale, les chercheurs sont à la recherche d’individus âgés entre 18 et 65 ans qui sont en bonne santé et qui ne consomment présentement pas de suppléments omega-3 ou omega-6. Les participantes et participants devront consommer un petit volume de cette huile végétale quotidiennement sur une période de quatre semaines (soit à la cuillère ou ajouté à la nourriture). L’étude comprend quatre visites avec des prises de sang. Les résultats découlant de la contribution des participantes et participants permettront de déterminer si cette nouvelle huile végétale est une bonne source d’omega-3.

Les personnes intéressées à participer à l’étude sont priées de communiquer avec la coordonnatrice Natalie Lefort au (506) 858-4139 ou à omega3@umoncton.ca
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Le 14e congrès de l’APTICA se tient du 8 au 10 mai au campus de Moncton
Présenté sous le thème « Une citoyenneté à l’ère numérique… à qui la responsabilité? », le 14e congrès de l’APTICA (Avancement pédagogique des technologies de l'information et de la communication en Atlantique) se tient du 8 au 10 mai au pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton de l’Université de Moncton.

Le congrès de l’APTICA vise à encourager et à faciliter l’intégration pédagogique des technologies de l’information et des communications auprès de la communauté apprenante francophone de l’Atlantique par le partage et le développement de ressources pédagogiques en technologies éducatives. Le congrès se veut également un lieu d’échange où l’accent est mis sur le partage de ressources et d’idées afin d’améliorer l’utilisation des technologies dans l’enseignement.

Pour de plus amples renseignements, veuillez visiter le site Web http://www.aptica.ca ou communiquez avec le coordonnateur, Wilfrid Pelletier, au (506) 382-3301, ou par courriel info@aptica.ca .
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Lancement du livre Natation naturelle du professeur Jean Nowlan
Les Éditions de la Francophonie et l'École de kinésiologie et de loisir de l’Université de Moncton invitent les membres de la communauté universitaire au lancement du livre Natation naturelle du professeur Jean Nowlan, le mercredi 14 mai de 14 heures à 16 heures au salon étudiant de la Faculté des sciences de l'éducation, au pavillon Jeanne-de-Valois.

Jean Nowlan a entrepris sa carrière d'enseignant de natation en 1964. Il a été professeur à l'Université de Moncton de 1968 à 2004. De 2005 à 2014, Jean Nowlan a continué à collaborer avec l'École de kinésiologie et de loisir en tant que chargé de cours en natation pour conclure une carrière de 50 années d'enseignement de la natation. Son livre est destiné à tous ceux et celles qui s'intéressent à la natation : amateurs de natation, enseignants de natation, instructeurs de sécurité aquatique et de sauvetage, entraîneurs, directeurs de piscine, responsables des programmes de natation, professionnels en kinésiologie et éducateurs physiques.

Les personnes intéressées à assister au lancement sont priées de confirmer leur présence auprès de Pauline Gallant, au 858-4831 ou par courriel à l’adresse pauline.gallant@umoncton.ca.
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Collecte de fonds au profit des étudiantes et étudiants du Département d’art dramatique
Les étudiantes et étudiants du Département d’art dramatique de l’Université de Moncton organisent une vente-débarras pour financer leur voyage en Roumanie qui aura lieu en juin 2014. Cette vente-débarras aura lieu le samedi 17 mai de 9 heures à 18 heures au local A205 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Les personnes qui voudraient faire des dons d’objets (meubles, vêtements, bibelots, etc.) sont priées de le faire en communiquant avec Sonya Doucet, au 858-4404 ou par courriel à sonya.doucet@moncton.ca
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L’exposition « Acquisitions 10 » est en montre au Musée acadien
Le Musée acadien de l’Université de Moncton présente l’exposition « Acquisitions 10 » jusqu’au 29 juin 2014. Il s’agit d’une sélection d’objets acquis par le Musée depuis les 10 dernières années, soit de 2003 à 2013. Ce regroupement d’objets est représentatif de la diversité de la collection permanente du Musée et touche à divers domaines tels que le mobilier, la religion, l’agriculture, l’alimentation, l’art populaire, les peintures, les gravures, les costumes, le commerce, le sport et autres. Le nationalisme acadien y est représenté avec des pièces souvenirs ainsi que des symboles populaires, notamment l’héroïne acadienne, Évangéline.

Renseignements : (506) 858-4088.
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