Le professeur Jean Morency est nommé membre de la Société royale du Canada

Jean Morency, professeur au Département d’études françaises de l’Université de Moncton, vient d’être nommé membre de la Société royale du Canada (SRC) pour sa contribution au domaine des arts et de la culture.

Le professeur Morency est un spécialiste reconnu à l’échelle nationale et internationale de l’américanité de la littérature québécoise et des relations littéraires entre le Québec et les États-Unis. Son livre, intitulé « Le mythe américain dans les fictions d’Amérique, de Washington Irving à Jacques Poulin », devenu un classique des études québécoises, a dévoilé la dimension profondément nord-américaine, voire panaméricaine, de l’imaginaire québécois.

Ses travaux sont aussi consacrés à la question des transferts culturels et à l’adaptation des modèles esthétiques américains par les écrivains québécois, ainsi que les écrivains acadiens et franco-canadiens en général. Jean Morency étudie actuellement les représentations du Canada français traditionnel dans le roman québécois contemporain.

« C’est avec fierté que nous avons appris la nomination du professeur Morency à la Société royale du Canada, cet organisme qui regroupe d’éminents scientifiques, chercheurs et gens de lettres du Canada, a souligné le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge. Il s’agit de tout une réalisation qui démontre bien la qualité et la pertinence de ses travaux.»

Considérée comme l’académie nationale du Canada, la Société royale du Canada a pour objectif premier de promouvoir l’acquisition du savoir et la recherche en arts et en sciences. Elle est composée de près de 2 000 membres, hommes et femmes, choisis par leurs pairs pour leurs réalisations exceptionnelles en sciences naturelles, en sciences sociales, en sciences humaines et en arts.

En qualité d’académie nationale du Canada, la Société royale du Canada souligne l’excellence, conseille les gouvernements et les organisations et fait la promotion de la culture canadienne.

L’Université de Moncton devient partenaire de la Campagne des Bâtisseurs

Le 14 février dernier, la Fondation nationale de l’Acadie lançait la Campagne des Bâtisseurs avec pour objectif de rassembler 4 000 personnes qui, sur cinq ans, généreront un million de dollars. La Fondation vise cinq millions de dollars pour mettre en oeuvre ses projets pour le rayonnement de l’Acadie au niveau national et international, l’accès aux études universitaires et collégiales et l’alphabétisation.

L’Université de Moncton a décidé de devenir partenaire de la Campagne des Bâtisseurs et d’encourager chacun d’entre nous à participer à l’effort collectif.

« À l’instar des autres institutions d’enseignement, il est tout à fait naturel pour l’Université de Moncton de s’associer à cette campagne qui permettra d’amasser une somme importante dédiée à la jeunesse et à l’éducation, estime le recteur, Raymond Théberge. Je suis convaincu que le personnel de l’Université de Moncton saura se montrer très généreux dans le cadre de cette initiative, comme à son habitude. »

Il est possible de faire une contribution à titre individuel mais aussi au nom d’un être cher, de vos enfants ou petits-enfants, ou encore à la mémoire d’une personne disparue. Le montant du don est le même pour tout le monde, soit 52 $ par an ou 260 $ sur cinq ans. Vous pouvez le faire en utilisant le site Internet de la Fondation nationale de l’Acadie (fondationacadie.ca), Facebook et régler par chèque, retrait mensuel ou carte de crédit ou encore par déductions à la source.

Pour les personnes intéressées à faire une contribution en utilisant la déduction à la source, on vous invite à envoyer un courriel à paie@umoncton.ca pour signaler votre désir de participer.

C’est la rentrée à l’Université de Moncton

Une variété d’activités sociales et d’intégration sont organisées au cours des prochains jours pour les étudiantes et les étudiants aux trois campus de l’Université de Moncton.

Le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge, s’est rendu au Ceps Louis-J.-Robichaud du campus de Moncton où il a fait la tournée des stands d’information, rencontré les étudiants et étudiantes et pris part à la traditionnelle coupe du gâteau soulignant le début de la session.

Il tient à souhaiter une excellente année universitaire à tout un chacun.

Modification des options de paiement pour les droits de scolarité et les frais de logement

À l’instar de nombreuses autres universités canadiennes, l’Université de Moncton a cessé d’accepter la carte de crédit comme option de paiement pour les droits de scolarité et les frais de logement.

Cette mesure, qui est en vigueur depuis le 1er mai 2013, s’inscrit dans un effort de diminuer les coûts d’exploitation de l’institution tout en minimisant l’impact sur la qualité des programmes. Les frais transactionnels des cartes de crédit ont beaucoup augmenté au cours des dernières années et tout porte à croire que cette tendance se poursuivra.

L’Université de Moncton offre une variété d’options de paiement, en devises canadiennes, pour ses droits de scolarité et ses frais de logement:

• Par chèque visé (certifié), billets de banque, carte de débit (en vérifiant la limite de paiement avec l’institution financière), traite ou mandat-poste – posté ou remis directement aux services appropriés sur le campus en question.
• Sur Internet - Par l’entremise du système électronique de paiement de factures.
• Au guichet automatique - Par l’entremise d’une institution financière.
• Par virement de fonds - Par l’entremise d’une institution financière, en leur demandant de faire un virement du compte de l’étudiant au compte de l’Université de Moncton.
• Directement aux comptoirs des succursales des Caisses populaires acadiennes (service gratuit).
• Avec Western Union Solutions d’affaires (pour les étudiantes et les étudiants internationaux seulement) (https://www.geoforeducation.com/PRF/Info/SelfEnrol.aspx?paramset=MONCTON-84d4-4855-8100-06224f72e101).

L’Université de Moncton continuera d’accepter les paiements par carte de crédit à la Librairie acadienne et au CEPS, ainsi que pour certains services dont les frais de logement (période estivale); la location de locaux; la réservation du logement (dépôt de 200 $); les cours non-crédités (Éducation permanente); les frais de stationnement; les frais de bibliothèques; la demande de remplacement de la carte étudiante; et les dons.

Pour toute question, prière de vous adresser au Comptoir de services au 506-858-3737.

Kevin Arseneau participera aux Jeux de la Francophonie

L’étudiant Kevin Arseneau, président de la Fédération étudiante du campus de Moncton (Féécum), fait partie de la délégation qui prendra part aux VIIe Jeux de la Francophonie qui se tiennent du 6 au 15 septembre à Nice, en France.

Il est au nombre de quatre artistes qui représenteront l’équipe Canada-Nouveau-Brunswick lors de cette grande manifestation sportive et culturelle. Les autres représentants sont Pierre-André Doucet de Moncton, en littérature, Jaret Belliveau de Moncton, en photographie, et Sarah Jones de Saint Jean, en peinture. Kevin a été choisi pour participer dans la catégorie du conte.

Les artistes du Nouveau-Brunswick âgés de 18 à 35 ans avaient été invités à participer au volet culturel des Jeux dans l’une ou l’autre des disciplines suivantes : arts de la rue (marionnettes, jonglerie ou hip-hop), peinture, sculpture, chanson, conte, danse de création, littérature (nouvelle), photographie et création numérique.

« Je suis très heureux de participer à cette manifestation d’envergure internationale, affirme M. Arseneau. J’ai toujours raconté des histoires depuis ma tendre enfance. Je me souviens aussi lorsque je travaillais comme interprète au Village historique acadien que le conte occupait une place de choix dans mes rencontres. J’ai ensuite eu la chance de présenter des contes un peu partout en Acadie et même en Europe, mais c’est la première fois que je présenterai mon art dans le cadre d’une compétition. Je suis tout de même enthousiaste et j’ai confiance que le tout se passera bien. »

Organisés tous les quatre ans, les Jeux de la Francophonie sont une manifestation culturelle et sportive internationale qui s’adresse aux athlètes et aux artistes issus des pays et États membres de la Francophonie. Les Jeux se distinguent des autres manifestations internationales du genre car ils sont les seuls à offrir des concours culturels en plus d’épreuves sportives.

La délégation canadienne est composée de trois équipes : Canada, Canada-Nouveau-Brunswick et Canada-Québec.

Le resto-lounge Le 63 est ouvert depuis le 3 septembre

Le resto-lounge Le 63, situé au Centre étudiant, est ouvert depuis le 3 septembre, du lundi au vendredi de 7 h 30 à 19 heures et le samedi, dimanche et pendant jours fériés de 11 h 30 à 18 h 30. Il offre un menu varié comprenant l’indispensable comptoir à sandwich, table culinaire, plats végétariens et sautés. Le resto-lounge est ouvert sur demande pour les activités étudiantes.

Les Services alimentaires du campus de Moncton sont responsables de la gestion de ce resto-lounge pendant la journée, alors que les activités en soirée sont sous la gouverne de Gestion Osmose Inc.

La Fédération étudiante, les Services alimentaires et Chartwells invitent les membres de la communauté universitaire à visiter ces nouvelles installations et à découvrir l’ambiance de détente que propose Le 63. L’ouverture officielle aura lieu à une date ultérieure.

« Nous sommes enthousiasmés par les nouvelles installations, la nouvelle formule ainsi que par l’entente de cogestion qui assurera son fonctionnement, rappelle le vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines, Edgar Robichaud. Nous invitons cependant les utilisateurs à faire preuve de patience pendant la période d’adaptation que nécessite la mise en œuvre d’un service de cette envergure. »

Le président de la Féécum, Kevin Arseneau, dit souhaiter que les étudiants et étudiantes s’approprient cet endroit. « Nous tenterons de garder la scène du 63 bien vivante avec une variété de spectacles, d’activités et d’appels à l’engagement, et nous espérons que la masse étudiante nous fera part de ses commentaires pour que nous puissions peaufiner le service et assurer son succès à long terme. »

Rappelons également que les casse-croûte des pavillons Rémi-Rossignol, Jacqueline-Bouchard, Jeanne-de-Valois, des arts et des Beaux-arts, du Ceps Louis-J.-Robichaud et de l’aréna J.-Louis-Lévesque sont ouverts comme à l’habitude.

Pour ce qui est du pavillon Léopold-Taillon, un petit café temporaire est aménagé dans le local 138 en attendant l’ouverture d’un nouveau casse-croûte en janvier prochain.

Le spectacle Mistero Buffo vient avec une fraicheur tout à fait particulière au Festival international de théâtre de Sibiu

Voici une critique exprimant l'accueil fait par la presse et le public au Mistero Buffo, la production de nos étudiants en art dramatique, lors du Festival international de théâtre de Sibiu (FITS), en Roumanie.

Cette critique a été publiée dans le numéro du 14 juin 2013 de la revue officielle du Festival international de théâtre de Sibiu.

APLAUZE (applaudissements)

« Le spectacle Mistero Buffo, de Dario Fo, adapté par Michel Tremblay dans une mise en scène de Marcia Babineau, vient avec une fraicheur tout à fait particulière au FITS. Réunissant de jeunes étudiants du Département d’art dramatique de l’Université de Moncton, le spectacle est plutôt un projet ambitieux qui cherche à combiner dans un style unique des éléments de bouffonnerie de la Comédie française et de la commedia dell’arte, des éléments du théâtre brechtien avec d’autres, plus vagues, du théâtre asiatique (mais ce léger parfum asiatique on pourrait le mettre aussi sur le compte de Brecht qui, il est bien connu, s’est laissé beaucoup inspiré par le théâtre chinois).

Nous avons qualifié le projet d’ambitieux parce qu’une telle combinaison demande de la part des comédiens un certain type d’énergie et de concentration pour passer avec aisance par tous ces styles de jeux enchevêtrés. Le spectacle s’inspire en même temps des messages évangéliques catholiques avec la présence, par moments, de chants grégoriens mais avec des allusions constantes à la réalité actuelle, contemporaine.

Si dans son premier tiers, le spectacle a souffert d’un léger déséquilibre du point de vue énergétique - dû probablement au fait que la pièce commençait directement avec la scène du « massacre des innocents » où sont présentés des combats entre les soldats et la tuerie des nouveau-nés, cela dans l’espace restreint du studio CAVAS de la Faculté des lettres et des arts de l’Université « Lucian Blaga » de Sibiu, les comédiens étant obligés ainsi de réduire l’amplitude des mouvements exigés par la situation – les scènes suivantes nous apportent une énergie fraiche qui culmine avec l’épisode ou apparait le Fou/le Joker. Ce moment, qui rappelle la fameuse scène d’ivresse de la « Nuit des Rois », de Shakespeare, déborde de comique et de situations imprévues comme par exemple, la tentative du Fou de convaincre La Mort de ne pas l’emporter avec elle et qui lui réussit finalement en la séduisant. Le jeu des jeunes étudiants a captivé par sa fraicheur et son énergie.

C’est admirable également la façon dont on a réussi à dessiner certains personnages ou caractères forts comme le Fou, la Mort, le Pape Boniface VIII, Jésus. Un autre aspect mis en évidence par la performance des jeunes étudiants a été leur capacité de jouer avec les différents registres et tonalités de la voix.

Le fait d’avoir renoncé à l’entracte a lui aussi été de bon augure dans le déroulement du spectacle car il a donné la possibilité de conserver et même d’augmenter le niveau d’énergie du jeu vers le final. Par la création d’espaces pour les différentes scènes de la pièce où les corps des comédiens deviennent à tour de rôle des objets dans l’espace de jeu, on reconnait des éléments de spectacle brechtien qui acquièrent dans ce contexte une expressivité scénique particulière.

La scénographie, les costumes ainsi que les éclairages ont complété de belle façon l’atmosphère de ce spectacle pensé de manière si complexe.

Plusieurs symboles ont jalonné la représentation mais celui qui m’a le plus marqué c’est la scène finale quand la Sainte Vierge lève les yeux vers le ciel et en s’adressant à l’ange Gabriel, suggéré par un rayon de lumière, proteste avec véhémence contre la décision du Père de sacrifier son propre fils en répétant au fond, la scène du début, celle de la femme folle qui porte dans ses bras un agneau à la place d’un bébé et qui, elle aussi, en dirigeant son regard vers la lumière venue d’en haut, donne libre cours à sa colère dans un monologue plein de désespoir.

Ce fut un spectacle vibrant à la fin duquel les étudiants de Moncton ont répondu avec modestie aux ovations des spectateurs qui ont pu, grâce à eux, profiter d’une belle soirée dans un espace exigu sur de simples chaises en bois. »


Ana Maria Bàndean

Activités de la rentrée universitaire 2013-2014 au campus de Moncton

Une nouvelle année universitaire vient de commencer et notre campus vibre au rythme de nos étudiantes et étudiants. La rentrée universitaire est une belle occasion de se distinguer grâce à notre accueil chaleureux et à notre désir de prendre part à la culture de réussite dans laquelle nous nous sommes engagés.

Les activités organisées à l'intention des nouveaux étudiants et étudiantes ont comme objectif de faciliter l'intégration à la vie universitaire, de développer une attitude favorable envers les études universitaires et un sens d'appartenance à un milieu sain, confortable et propice à l'apprentissage.

L’équipe des SAEE vous souhaite un bon début de semestre et vous invite à consulter le site http://www.umoncton.ca/umcm-rentree

Les activités d’intégration organisées dans les facultés et écoles connaissent un grand succès depuis plusieurs années et contribuent grandement à l’intégration de nouvaux étudiants et étudiantes. Merci aux facultés et écoles pour cette magnifique contribution.

Pour terminer, on vous encourage à participer et à faire la promotion des activités de la rentrée 2013, organisées conjointement par la Fédération .étudiante et le Service des loisirs socioculturels afin que nos étudiantes et étudiants puissent profiter pleinement de l’accueil chaleureux que nous leur réservons.

Un sourire, un bonjour, une écoute active, voilà les éléments qui donneront à nos étudiantes et étudiants le sentiment que nous sommes heureux de les accueillir et permettront de développer chez eux le sentiment d’appartenance à notre communauté universitaire.

Bonne année universitaire et merci de votre soutien à la réussite de nos étudiantes et étudiants.

Au plaisir de pouvoir vous renseigner en tout temps sur les services offerts par l’équipe des Services aux étudiantes et étudiants.

Roger Boulay, directeur des Services aux étudiantes et étudiants

L’Université de Moncton a perdu l'un de ses pionniers

La communauté universitaire a été attristée d’apprendre le décès de Paul N. Bourque, premier doyen de la Faculté des sciences, survenu le mercredi 10 juillet à Québec à l’âge de 86 ans.

Né au Massachusetts, M. Bourque a fait sa formation en génie civil à la Massachusetts Institute of Technology (M.I.T.) avant de devenir professeur et doyen de la Faculté des sciences de l’Université de Moncton de 1963 à 1967.

Après ce mandat, en 1967, il a poursuivi ses études de doctorat en génie civil à l’Université Laval, où il a occupé les fonctions de directeur de l’École d’architecture (1969-1972) et d’adjoint au vice-recteur à l’enseignement et à la recherche (1973-1985), parallèlement à ses fonctions de professeur (mécanique statique, résistance des matériaux, structures) à l’École d’architecture jusqu’au moment de sa retraite.

Au nom de toute la communauté universitaire, le recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton, Raymond Théberge, offre ses sincères condoléances à la famille et aux amis de M. Bourque.

Bureau de direction de l'ABPPUM

Depuis le 1er juillet, le Bureau de direction de l’Association des bibliothécaires, professeures et professeurs de l’Université de Moncton (ABPPUM) et la direction de l’Unité II de l’ABPPUM sont composés comme suit :

Bureau de direction de l'ABPPUM
Marie-Noëlle Ryan, du Département de philosophie, présidente; Étienne Dako, de l’École des sciences des aliments, de nutrition et d'études familiales, vice-président externe; Danielle Charron, de l’École de science infirmière, vice-présidente interne; Francis Weil, du Département de physique et d'astronomie, président de l'Unité II (membre d'office); et Miguel Rojas, du Département de comptabilité, secrétaire-trésorier.

Direction de l'Unité II
L’Unité II réfère à l’Unité du personnel académique à temps partiel : chargées et chargés de cours, monitrices et moniteurs cliniques.

Francis Weil, du Département de physique et d'astronomie, président; Érick Bataller, du Département de biologie, vice-président; et Gaëtan Gauvin, du Département de comptabilité et d’informatique/Direction générale des technologies, secrétaire.

Signature d’une entente d’affiliation entre le Réseau de santé Vitalité et l’Université de Moncton

Le mercredi 3 juillet, le Réseau de santé Vitalité et l’Université de Moncton ont procédé à la signature d’une entente d’affiliation.

Par le biais de cette entente, le Réseau et l’Université, tout en demeurant deux institutions autonomes, définissent de façon formelle les modalités de collaboration et de concertation qui les unissent en matière d’enseignement et de recherche dans le domaine de la santé. L’entente leur permettra de participer réciproquement à la réalisation de la mission respective de chacun. Elle constitue un outil privilégié afin de mieux répondre aux besoins de formation des personnes professionnelles de la santé en langue française par l’établissement d’ententes connexes pour les divers programmes de formation concernés offerts par l’Université de Moncton.

Le Réseau et l’Université conviennent également de recevoir les étudiants et étudiantes du Réseau et acceptent que les personnes professionnelles des deux institutions puissent y réaliser des activités d’enseignement et de recherche.

Rino Volpé, président directeur général du Réseau de santé Vitalité, a souligné que l’entente s’appuie sur la vocation régionale et provinciale des établissements et programmes du Réseau, de par les services de base et spécialisés offerts dans le domaine de santé et ce, tant au niveau institutionnel que communautaire.

« De par ses programmes d’enseignement et de recherche qui sont déjà en place et ceux en développement, le Réseau de santé Vitalité possède déjà une vocation universitaire dont les assises sont surtout concentrées au Centre hospitalier universitaire Dr-Georges-L.-Dumont de Moncton ainsi que dans ses établissements hospitaliers régionaux d’Edmundston, de Campbellton, de Bathurst et au Centre hospitalier Restigouche, a-t-il mentionné. Le partenariat entre nos deux institutions était donc nécessaire afin de voir à l’organisation de stages pratiques en milieu clinique et au développement d’une capacité de recherche dans le secteur de la santé ».

Le recteur Raymond Théberge estime lui aussi que cette nouvelle entente de cinq ans est un outil privilégié et que sa signature est un volet de plus qui s’ajoute à la stratégie de développement en enseignement et recherche dans le domaine de la santé, l’un de ses axes prioritaires de l’Université de Moncton depuis plusieurs années maintenant. »

La signature de l’entente a eu lieu au campus de Moncton en présence de plusieurs invités.

Un centre de service des caisses populaires acadiennes est ouvert au pavillon Léopold-Taillon

Un centre de service des caisses populaires acadiennes est maintenant ouvert au campus de Moncton. Les gens de l’équipe de la Caisse populaire Beauséjour en assurent la gestion quotidienne.

Les services bancaires sont offerts depuis le 26 août au pavillon Léopold-Taillon et les heures d’ouverture sont du lundi au vendredi de 9 heures à 16 h 30. De plus, un guichet automatique est installé au Centre étudiant.

La Fédération des caisses populaires acadiennes, la Caisse populaire Beauséjour et toutes les autres caisses populaires acadiennes invitent les membres de la communauté universitaire à visiter les nouvelles installations.

Renseignements : Yvon Cormier, au 506-870-6000 / www.acadie.com

Le professeur Nicolas Landry lance un nouvel ouvrage

Nicolas Landry, professeur d’histoire au campus de Shippagan, vient de lancer un nouvel ouvrage portant sur l’histoire acadienne.

Le livre, « La Cadie, frontière du Canada. Micmacs et Euro-canadiens au Nord-Est du Nouveau-Brunswick, 1620-1850 ». (Sillery, Septentrion, 2013, 337 pages), porte sur l’étude du territoire qui deviendra le nord-est du Nouveau-Brunswick après 1784.

Le faible peuplement blanc avant 1763 dans le nord de la province explique le peu d’intérêt qu’ont démontré les historiens pour cette région. Cet ouvrage révèle au contraire que le territoire est alors très fréquenté à la fois par les Micmacs, qui le parcourent selon leur cycle saisonnier de subsistance alimentaire, mais également par des exploitants euro-canadiens et des missionnaires tentant d’évangéliser les Amérindiens et de les garder dans le giron des alliances françaises contre l’envahisseur britannique.

Le nord-est du Nouveau-Brunswick devient pendant la guerre de Sept Ans (1756-1763) un avant-poste primordial pour la défense de la Nouvelle-France et un refuge pour des milliers d’Acadiens fuyant la déportation de 1755. Au milieu du 19e siècle, les Micmacs sont toujours aussi attachés à la France et continuent de réclamer des missionnaires catholiques francophones auprès de l’évêque de Québec.

Puisque le terme nord-est du Nouveau-Brunswick n’existe pas pendant le Régime français (jusqu’en 1763), l’auteur utilise plutôt la désignation Acadie du Nord-Ouest en situant le territoire par rapport à l’Acadie historique, soit la Nouvelle-Écosse.

« L’Exposition des miroirs » présentée à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen

Dans le cadre de l’exposition « La vie étudiante : 50 ans de vie étudiante à l’Université de Moncton » du Musée acadien qui est lancée lors la rentrée pour souligner le 50e anniversaire de l’Université de Moncton, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen présente « L’Exposition des miroirs ».

« L’artiste en lui-même et dans son œuvre est le reflet de la société », telle est la prémisse qui avait motivé les étudiants en arts visuels à présenter au public, en guise d’exposition des finissants de 1976, une série de miroirs à la place des habituelles oeuvres produites au cours de leurs études. « L’Exposition des miroirs » c’est l’exposition qui n’a jamais eu lieu ayant été jugée trop controversée, mais qui a servi à propulser tout un mouvement d'art expérimental et conceptuel et à changer le paysage des arts visuels à Moncton, pour ne pas dire en Acadie.

Regroupant la plupart des œuvres originales ainsi que des documents d’archives, l’exposition raconte les événements qui ont précédé et qui ont suivi la fermeture de cette exposition qui marquera le parcours de l’art contemporain en Acadie.

« L’Exposition des miroirs » sera présentée dans le hall d’entrée du pavillon Clément-Cormier au campus de Moncton jusqu’au 29 septembre.

Les visites sont sans frais et la galerie d’art est ouverte de 10 heures à 17 heures du lundi au vendredi et de 13 heures à 17 heures le samedi et le dimanche.

Renseignements : 858-4687/ courriel : nisk.imbeault@umoncton.ca

Lancement du livre « Jeremiah Bancroft at Fort Beauséjour and Grand-Pré » au Musée acadien

La déportation des Acadiens est qualifiée comme étant « un événement d’importance nationale » au Canada. Pour le peuple acadien, elle est à la fois le point le plus bas de sa vie collective et la clé de voûte de sa mémoire nationale.

Une nouvelle publication de Gaspereau Press, « Jeremiah Bancroft at Fort Beauséjour and Grand-Pré », abondamment annotée et commentée par Jonathan Fowler et Earle Lockerby, nous offre une nouvelle perspective sur la déportation à Grand-Pré. Le livre est fondé sur le journal intime d’un jeune soldat de la Nouvelle-Angleterre, Jeremiah Bancroft, qui a pris les armes en 1755 pour lutter contre l’empire français en Amérique du Nord. Il s’embarqua à Boston en avril 1755 avec 2 000 de ses compatriotes dans le but de capturer le Fort Beauséjour situé sur la frontière actuelle entre le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse. Bancroft raconte dans son journal la rapide capitulation du fort puis le redéploiement des forces de la Nouvelle-Angleterre contre la population civile de l’Acadie, offrant ainsi la confirmation de la déportation à Grand-Pré par un témoin oculaire.

Le lancement de cet ouvrage avec séance de dédicace aura lieu le jeudi 19 septembre à 19 heures au Musée acadien de l’Université de Moncton.

« En découvrant le journal intime de Jeremiah Bancroft dans les Archives de la Nouvelle-Écosse, explique M. Lockerby, j’ai compris immédiatement son importance pour l’histoire de l’Acadie et j’étais persuadé de la nécessité de le publier. On ne connaît qu’un seul autre journal intime concernant la déportation des Acadiens à Grand-Pré, celui de John Winslow qui avait la responsabilité d’effectuer la déportation à cet endroit. Bancroft nous donne de nouvelles précisions sur ce qui s’y est passé en 1755 et comment un chapitre tragique de l’histoire du Canada s’est déroulé. »

Des généalogistes et des associations de familles commémorent activement la déportation acadienne, des historiens, politicologues, archéologues, artistes et anthropologues l’étudient afin de mieux comprendre l’impérialisme, la violence ethnique, l’identité, la culture matérielle et la migration forcée. Par conséquent, la déportation perdure en tant que sujet de fascination pour un vaste auditoire. Le fait que la déportation fasse toujours l’objet de discussions et de débats deux siècles et demi plus tard démontre l’importance que ce livre occupe dans le domaine de l’histoire canadienne.

Cet ouvrage est en vente à la Libraire acadienne du campus de Moncton. Une libraire sera d’ailleurs sur place lors du lancement.

Renseignements : 902-678-6002 / www.gaspereau.com

Lancement du Groupe de recherche international sur l’information, la communication et la documentation durables

Lors du 5e colloque spécialisé en sciences de l’information (COSSI) dont les travaux se sont déroulés en juin au campus de Shippagan, la professeure Monica Mallowan a annoncé la création et le lancement des projets du Groupe de recherche sur l’information, la communication et la documentation durables (GRICODD).

La durabilité représente une thématique émergente dans le domaine des sciences de l’information, de la communication et de la documentation (SICD). Encore peu abordé en SICD, ce champ de recherche est porteur d’enjeux majeurs pour les années à venir et les membres du groupe de recherche canado-français ont pour objectif de décrypter la place de cette dimension dans les représentations, les pratiques et la culture de l’information, de la communication et de la documentation.

Les premières communications scientifiques exploratoires du GRICODD ont été présentées au 5e COSSI, tandis que le Congrès des milieux documentaires du Québec 2013 constitue la prochaine étape où les travaux du groupe seront soumis à la réflexion de la communauté de recherche et de pratique.

Les membres du GRICODD remercient le campus de Shippagan ainsi que la Faculté des études supérieures et de la recherche de l’Université de Moncton pour leur appui dans le lancement des activités du groupe de recherche.

Membres du GRICODD :
Monica Mallowan, professeure agrégée au campus de Shippagan, laboratoire CEREGE, Université de Poitiers, chercheuse principale; Alain Chante, professeur, Laboratoire CERIC, Université de Montpellier; Sylvie Grosjean, professeure agrégée, Département de communication, Université d’Ottawa; Vincent Liquète, professeur, Laboratoire IMS – équipe cognitique et ingénierie humaine – CIH, Université de Bordeaux; Christian Marcon, maitre de conférences HDR, Laboratoire CEREGE, Université de Poitiers; Dominique Maurel, professeure adjointe, École de bibliothéconomie et des sciences de l’information, Université de Montréal; et Lise Verlaet, maitre de conférences, Laboratoire CERIC, Université de Montpellier.

Succès retentissant pour les Camps mathématiques de l’Acadie

La deuxième édition des Camps mathématiques de l'Acadie qui a eu lieu à Saint-Quentin du 5 au 7 juillet a connu un véritable succès. Les jeunes ont adoré leur expérience et selon eux, les camps étaient trop courts. Les gens de Saint-Quentin et de la région ont bien répondu à l'invitation à la cérémonie d'ouverture ainsi qu'à la conférence d'ouverture donnée par le mathématicien Donald Violette, fondateur des Camps. Un atelier portant sur l'actuariat et les possibilités de carrière dans ce domaine animé par Michel Allain, actuaire "fellow" chez Assomption Vie, a été très aimé par nos mathématiciens en herbe. Le professeur Paul Deguire a prononcé une conférence portant sur l'histoire des mathématiques qui a été particulièrement remarquée. Il en est de même de la conférence de clôture portant sur les probabilités et les statistiques qui fut prononcée par le professeur Salah-Eddine El Adlouni. Des jeux mathématiques animés par les deux moniteurs Adèle Bourgeois et Sébastien Lord et des activités culturelles et sociales complétaient les Camps.

Des certificats ont été remis aux participants lors de la cérémonie de clôture, alors que le jeune Antonio Molina, invité d'honneur, recevait un certificat d'honneur. On peut dire, une fois de plus, mission accomplie pour le Comité organisateur des Camps mathématiques composé des professeurs Salah Eddine El Adlouni et Donald Violette. La troisième édition des Camps mathématiques de l'Acadie aura lieu à Saint-Quentin en juillet 2014.

DGT : entente avec l’Organisation internationale de la francophonie pour la création d’un cMOOC

La Direction générale des technologies a annoncé la signature d’une entente avec l’Organisation internationale de la francophonie pour la création d’un cMOOC (Massive open online course de type connectiviste).

En effet, à la suite d’un atelier d’experts internationaux portant sur les ressources éducatives libres (REL) en février dernier, le Groupe des technologies de l’apprentissage s’est associé avec le chercheur de renommée internationale Stephen Downes pour offrir à l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) la prestation d’un cours ouvert et massif portant sur les REL.

Ce n’est que depuis 2008 qu’a émergé, un peu par inadvertance, le concept de cours en ligne ouvert et massif. À l’époque, Stephen Downes, du Conseil national de recherches du Canada, s’était associé avec Georges Siemens, de l’Université Athabaska, pour offrir un cours ouvert, libre et sans frais portant sur les environnements personnels d’apprentissage, principal champ de recherche de M. Downes. L’apport de M. Siemens consistait en une nouvelle démonstration de sa théorie d’apprentissage, le connectivisme.

La théorie connectiviste de l’apprentissage stipule que d’une manière analogue au fonctionnement du cerveau dans lequel l’apprentissage découle de la formation de réseaux signifiants de neurones interconnectés, l’apprentissage dans un réseau d’individus connectés par les technologies de l’information et de la communication découle de l’interaction entre ces personnes et de la jonction de leurs intérêts, expertises et réalisations.

À la grande surprise de MM. Downes et Siemens, des milliers de personnes s’inscrivirent à ce premier cours sans frais, ouvert (aucune interdiction d’accès aux contenus) et libre (la propriété intellectuelle est déclarée suivant une licence Creative Commons et les conditions de distribution découlent de cette licence libre). C’est ainsi qu’est né le concept de MOOC de type connectiviste (cMOOC) qui a depuis connu un essor remarquable.

Aujourd’hui dans la francophonie, la disponibilité de ressources éducatives libres de langue française (donc à la fois sans frais, ouvertes d’accès et partageables suivant les conditions de distribution déclarées) constitue un enjeu vital pour le rayonnement de la langue française. Suivant les recommandations de l’atelier de Moncton (février 2013), l’OIF a donc résolu d’engager un montant de 100 000 $ dans la réalisation d’un cMOOC portant sur les REL.

L’Université de Moncton agira comme porteur du projet, le CNRC fournissant l’expertise de la réalisation grâce à la participation de M. Downes comme chercheur principal. Le GTA réalisera les REL qui seront utilisées dans le projet : un cours portant sur les REL, par les REL.

Le projet prend fin en décembre prochain pour une première prestation du cours en janvier 2014.

Le Dr Mathieu Bélanger était le chercheur du mois d’août de la Fondation pour la recherche en santé du Nouveau-Brunswick

Le Dr Mathieu Bélanger, professeur associé à l'École de kinésiologie de l'Université de Moncton, professeur adjoint au Département de médecine de famille de l'Université de Sherbrooke, épidémiologiste au Réseau de santé Vitalité et directeur de la recherche au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick, était le chercheur du mois d’août de la Fondation pour la recherche en santé du Nouveau-Brunswick.

La Fondation a ainsi souligné l’excellence et le leadership d’un de nos chercheurs dans le domaine de la recherche en santé qui sont axés sur le patient, la médecine appliquée et l’innovation. Les travaux du Dr Bélanger auront des répercussions favorables sur la santé de la population du Nouveau-Brunswick grâce à une meilleure compréhension des effets d'une modification du comportement sur la santé.

L'objectif premier du programme de recherche du Dr Bélanger est de comprendre comment les comportements se développent et évoluent au fil du temps, en particulier au chapitre de la participation à des activités physiques. Ses travaux de recherche visent tout particulièrement à cerner les déterminants d'une modification du comportement et à examiner l'incidence d'une modification du comportement sur la santé (le projet MATCH : Mesurer les activités des jeunes pour mieux comprendre leurs habitudes, et « Départ Santé », 1,6 million de dollars sur cinq ans).

Découlant de ses résultats, le Dr Bélanger aspire à dégager des pratiques cliniques et de santé publique plus efficaces. Les résultats de ces travaux sont importants pour les personnes professionnelles de la santé, les fournisseurs de services de santé et les responsables des orientations politiques qui ont à se pencher sur des questions touchant la prévention et la prise en charge de maladies chroniques.

Le Dr Bélanger a obtenu le baccalauréat et la maîtrise de l'Université de Moncton avant d'obtenir le doctorat en épidémiologie de l'Université McGill et un postdoctorat en santé publique d'Oxford University. Il a aussi suivi un programme de formation transdisciplinaire complémentaire de trois ans portant sur la recherche transdisciplinaire en santé publique et en santé des populations. Il a de plus occupé divers postes dans le domaine de la recherche et de la coordination auprès du Réseau de santé Vitalité, de l'Institut national de santé publique du Québec, de la Société Santé et Mieux-être en français du Nouveau-Brunswick et de l'Université de Moncton.

Depuis qu'il a commencé ses projets de recherche, le Dr Bélanger a obtenu plus de 5,8 millions de dollars en subventions, dont deux millions à titre de chercheur principal. Il encadre et forme actuellement cinq étudiants aux cycles supérieurs (maîtrise et doctorat) et a supervisé 12 autres étudiants, du premier cycle à des étudiants en médecine. Il est l'auteur de 21 articles de revues scientifiques, sept rapports, 22 articles de conférence et 55 présentations à des congrès, dont 17 à titre de conférencier invité et dix à des congrès internationaux. Ses résultats de recherche ont été mentionnés dans les médias de masse de plus de 15 pays.

En plus de ses innombrables travaux de recherche et tâches d'enseignement, Dr Bélanger est membre du conseil d'administration de la Fondation de la recherche en santé du Nouveau-Brunswick, fondateur et coorganisateur de la série de séminaires de recherche en santé Vitalité, réviseur scientifique de neuf revues scientifiques, et agit comme bénévole auprès de plusieurs autres organismes communautaires dans le domaine de la recherche. Il participe, à l'instar du gouvernement et du grand public, à des activités d'application des connaissances et collabore à deux équipes de recherche internationales.

Renseignements : www.nbhrf.com/fr/chercheur-en-sante-mois-nb

Renouvellement d’une entente entre l’Université de Moncton et l’Université de Bretagne-Sud

L’Université de Moncton se réjouit qu’un accord de principe avec l’Université de Bretagne-Sud ait été signé dans le cadre du 43e Festival interceltique de Lorient.

Le document a été signé en présence du ministre de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail du Nouveau-Brunswick, Danny Soucy, de la vice-rectrice du campus de Shippagan, Jocelyne Roy Vienneau, et du président de l’Université de Bretagne Sud, Jean Peeters.

L’entente de principe stipule le renouvellement d’un partenariat entre la Faculté d’administration de l’Université de Moncton et la Faculté de droit, des sciences économiques et de gestion de l’Université de Bretagne-Sud portant plus spécifiquement sur leur programme de double diplôme au niveau de la maîtrise.

« La collaboration entre institutions d’enseignement supérieur est essentielle au développement et à la croissance de partenariats entre nos deux pays, a indiqué le ministre Soucy. C’est un honneur et un privilège pour moi d’avoir pu participer à la signature de cette entente. »

« L’Université de Bretagne-Sud est l’un des partenaires privilégiés de l’Université de Moncton, rappelle le recteur et vice-chancelier Raymond Théberge. Alors que nous travaillons en étroite collaboration depuis 2007, nos échanges sont très riches dans les domaines de la mobilité étudiante, de la mobilité professorale et de la recherche. »

En effet, les deux institutions partagent une entente cadre ainsi qu’une entente de collaboration spécifique avec le campus de Shippagan portant sur la gestion intégrée des zones côtières, une entente signée le 22 octobre 2012 à Lorient.

L’Université de Moncton et l’Université de Bretagne Sud collaborent depuis 2010 sur un projet de Coopération Canada – Union européenne en matière d’éducation supérieure, de formation et de jeunesse qui est financé par Ressources humaines et Développement des compétences Canada et l’Union Européenne et qui a pour thème « Cross Atlantic Partnership in Network Systems and Information Management ».

Renseignements : 858-4205 / gaston.leblanc@umoncton.ca.

« Punctum : sept approches photographiques » une exposition présentée jusqu’au 15 septembre à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen

Jusqu’au dimanche 15 septembre, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen présente « Punctum : sept approches photographiques », une exposition qui pose un regard sur les particularités de ce médium. Montée par Annie France Noël, commissaire invitée, elle regroupe des artistes dont la production est centrée sur la photographie mais qui se manifeste sous diverses formes.

Grâce aux œuvres qui sont présentées, Mme Noël montre l’évolution du médium photographique et ses diverses fonctions esthétiques et conceptuelles. Dans cette exploration du médium, la commissaire a aussi voulu travailler avec différentes générations d’artistes. Des artistes établis, à mi-carrière et de la relève ont ainsi été invités, dont Rémi Belliveau, Marika Drolet-Ferguson, Thaddeus Holownia, Mathieu Léger, Aaron McKenzie Fraser, Blake Michel Morin et Julie Thibault-Forgues qui illustrent une variété de formes que peut prendre la photographie aujourd’hui.

Cette exposition est une première expérience de commissariat pour Annie France Noël, jeune artiste qui a étudié la photographie à l’Université de Moncton et qui expose depuis 2010. Cette initiative a pour but de contribuer au développement des pratiques professionnelles en lien avec les arts visuels en créant des opportunités de recherche, de travail sur le terrain et de diffusion. « Ce fut une expérience riche en apprentissage et qui a nourri ma recherche personnelle en tant qu'artiste travaillant le médium photographique, dit-elle. La générosité des artistes et l’appui de la galerie d’art en a fait une opportunité sans pareille. »

La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen est située au 405, avenue de l’Université et l’entrée est libre. Elle est ouverte de 10 heures à 17 heures du lundi au vendredi et de 13 heures à 17 heures le samedi et le dimanche. Des visites guidées peuvent être organisées en tout temps mais il est préférable de prendre rendez-vous pour les groupes qui sont nombreux.

Pour plus de renseignements, il faut communiquer avec la galerie au 858-4088 / galrc@umoncton.ca , ou encore, visitez le www.umoncton.ca/umcm-ga.

Renseignements : 858-4687/ nisk.imbeault@umoncton.ca

Marguerite Maillet a été nommée membre honoraire du Regroupement des éditeurs canadiens-français

Marguerite Maillet a été nommée membre honoraire du Regroupement des éditeurs canadiens-français, en reconnaissance de son dévouement à la littérature acadienne et franco-canadienne et du rôle de pionnière qu'elle a joué dans la promotion de la littérature jeunesse.

Elle se joint donc aux fondateurs qui ont été nommés membres honoraires lors du 20e anniversaire du RECF. Il s’agit de Lise Leblanc, Gilles Leroux, Marcel Ouellette et denise truax.

Marguerite Maillet est professeure émérite de l’Université de Moncton. Éditrice et historienne, elle n'a jamais cessé d'écrire. Elle a notamment publié « Histoire de la littérature acadienne » et plusieurs contes et textes littéraires.

Pendant sa retraite, elle a fondé en 1996 la maison d'édition jeunesse, Bouton d'or Acadie. Pour son dévouement et ses réalisations, elle a été maintes fois récompensée par des distinctions dont celle d’Officier de l'Ordre du Canada en 2002.

Renseignements : www.avoslivres.ca

Maryse Collin et Jeremy Roy-Léger sont les bénéficiaires d’une bourse nationale d’excellence du CNFS

Dans le cadre de son assemblée générale annuelle qui a eu lieu à La Cité Collégiale d’Ottawa, le Consortium national de formation en santé a procédé à la remise de bourses nationales d’excellence à des étudiantes et étudiants provenant de chacune des 11 institutions de formation membres du CNFS, dont l’Université de Moncton.

Les bénéficiaires de ces bourses d’excellence sont des étudiantes et étudiants exceptionnellement méritants, inscrits dans un programme de formation postsecondaire en santé dans les collèges et universités membres du CNFS au Canada. Ils se distinguent notamment par leur engagement envers une communauté francophone en situation minoritaire, par leur dossier académique et par leur participation active à la vie étudiante au sein de leurs établissements respectifs.

À l’Université de Moncton, deux bénéficiaires ont été choisis cette année, Maryse Collin, du campus d’Edmundston, et Jeremy Roy-Léger, du campus de Moncton, tous deux étudiants de 3e année au baccalauréat en science infirmière. En plus de recevoir une bourse de 1 000 $, ils obtiennent un certificat de reconnaissance, remis par un représentant de Santé Canada lors de l’assemblée générale annuelle.

Maryse Collin
Maryse Collin est étudiante de 3e année au baccalauréat en science infirmière au campus d’Edmundston. Originaire de St-Joseph-de-Madawaska, elle a choisi d’étudier en science infirmière puisqu’il s’agit d’un domaine qui la passionne vivement.

Elle se distingue par son parcours académique et son engagement au sein de la communauté et de la francophonie, notamment à la Fondation des maladies du cœur du Nouveau-Brunswick, à la Fondation de l’Hôpital régional d’Edmundston, au sein de l’équipe médicale des Jeux de l’Acadie, au Relais pour la vie, et au comité Prescription : action!, un projet lancé bénévolement par des médecins de la région du Madawaska afin d’encourager la population à passer à l’action pour améliorer sa santé.

Au niveau secondaire, Maryse était également membre de nombreux comités et agissait à titre de tutrice en mathématiques et en français. D’ailleurs, depuis le tout début de ses études universitaires, elle s’est démarquée par son implication au sein de la vie étudiante, notamment à la vice-présidence et à la présidence du conseil étudiant et en tant que mentor au Secteur science infirmière. Son initiative et son leadership aura également permis au campus d’Edmundston de joindre les rangs de l’Association des étudiant(e)s infirmier(ière)s du Canada (AEIC) - deuxième chapitre francophone au Nouveau-Brunswick - où elle siège à titre de déléguée officielle.

Se définissant comme étant une personne dynamique et généreuse, Maryse a aussi eu l’occasion de participer l’été dernier à un voyage humanitaire au Kenya pendant un mois. Cet été, elle envisage d’ailleurs de faire un stage clinique en science infirmière à l’international. Après avoir complété le baccalauréat, Maryse compte poursuivre ses études de 2e cycle à la maîtrise en science infirmière.

Jeremy Roy-Léger
Étudiant inscrit à la 3e année du baccalauréat en science infirmière au campus de Moncton, Jeremy Roy-Léger, natif de Shédiac, se distingue par son engagement para-académique au sein de plusieurs comités et organismes sur le plan médical, humanitaire et universitaire.

Se définissant comme étant une personne très énergique, il est motivé par le travail collaboratif. D’ailleurs, dès son admission au programme de 1er cycle en science infirmière, ayant à cœur la francophonie en situation minoritaire, il a joint l’Association des étudiant(e)s infirmier(ière)s du Canada (AEIC), d’abord à titre de représentant des étudiants de l’Université de Moncton au niveau pancanadien et ensuite, en tant que directeur du bilinguisme et de la traduction (en français), fonctions qu’il a assumées jusqu’en avril dernier jusqu’à sa récente nomination au poste de directeur de la santé internationale, toujours au sein de l’AEIC.

Parmi ses nombreux engagements communautaires comme bénévole, notons son travail au sein de l’organisme SIDA/AIDS Moncton, du Comité directeur des sans-abris du Grand Moncton et de la Maison Nazareth de Moncton, une maison d’hébergement d’urgence temporaire qui a pour mission d’aider les personnes démunies et vulnérables à réintégrer la société.

Jeremy a d’ailleurs participé pendant trois jours à une expérience stratégique comme itinérant dans la rue, ce qui lui a permis de mieux comprendre la réalité et les défis quotidiens auxquels font face les itinérants de la région du sud-est du Nouveau-Brunswick. De plus, il a également eu l’occasion d’agir à plusieurs reprises à titre de conférencier, notamment auprès de groupes de jeunes à risques participant à des projets de développement d’habiletés vie-carrière. Son implication au sein de la francophonie et la communauté lui aura valu en 2010 le titre de « top 20 jeunes sous l’âge de 30 ans au Nouveau-Brunswick ».

Étudiant-mentor, Jeremy a aussi mérité, à juste titre, les honneurs de « bénévole de l’année » et « étudiant de l’année » de l’École de science infirmière de l’Université de Moncton, campus de Moncton. Il a aussi participé, en tant qu’étudiant infirmier, à un voyage humanitaire de cinq semaines au Népal où il a partagé son expertise dans des cliniques médicales isolées. Fort de son expérience de travail humanitaire à l’international, il a aussi participé à l’organisation de deux autres voyages à Haïti, avec l’organisme national Right to Play. Les expériences professionnelles de Jeremy se jumèlent également à son domaine d’intérêt puisqu’il a œuvré comme préposé aux soins auprès de personnes âgées dans un foyer et à titre d’intervenant auprès des personnes vivant avec des troubles psychologiques dans un centre d’intervention de crise.

Notons que le CNFS est un regroupement de 11 établissements d’enseignement universitaire et collégial offrant des programmes d’études en français dans diverses disciplines de la santé, et de six partenaires régionaux permettant d’améliorer l’accès à ces programmes de formation en santé en français. Le CNFS compte également un Secrétariat national situé à Ottawa qui joue un rôle de leadership, de développement et de concertation dans la planification et la réalisation des objectifs du CNFS. Cette alliance stratégique permet d’accroître la présence et l’apport de professionnels de la santé et de chercheurs francophones afin d’améliorer l’offre de services de santé en français de qualité et adaptés aux besoins des communautés francophones en situation minoritaire.

Les programmes et initiatives du CNFS sont rendus possibles grâce au financement et à la collaboration soutenus de Santé Canada dans le cadre de la Feuille de route pour les langues officielles du Canada 2013-2018.

Renseignements : 506-858-4655 / CNFS@umoncton.ca

Constel est de nouveau à votre disposition

Une nouvelle année universitaire s’amorce et le service de conseils linguistiques Constel est de nouveau à votre disposition pour vous offrir de l’assistance lors de la rédaction de vos textes.

N’hésitez pas à consulter pour toute question liée à la langue française. Ce service est disponible du lundi au vendredi de 8 h 30 à 16 h 30.

Vous pouvez joindre ce service par téléphone au 858-4319 ou par courriel à constel@umoncton.ca.

Cynthia Létourneau est la responsable du Centre d'aide en français et de Constel.

Renseignements :

Fin du programme d’internat en nutrition à la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires

Vingt et une étudiantes inscrites au baccalauréat ès sciences en nutrition à la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires de l’Université de Moncton ont complété un programme d’internat d’une durée de 40 semaines grâce à la participation des réseaux de santé partenaires, Vitalité et Horizon.

Programme d’internat auprès du Réseau de santé Vitalité

La photo nous fait voir le groupe qui a complété son programme d’internat auprès du Réseau de santé Vitalité. De gauche à droite : Natalie Carrier, directrice de l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales (ESANEF); Armande Lavoie, coordonnatrice de la zone 4 (Edmundston); Sonia Bérubé, responsable de la formation pratique en nutrition à l’ESANEF; les étudiantes Annie-Pier Désaulniers, Myriam Thériault, Ariane Losier, Émilie Bérubé, Tanya Sisk, Lysanne Mallet, Véronique Surette, Mélanie Goguen, Julie Melanson et Michelle Lajoie; Karen McLaughlin, coordonnatrice de la zone 6 (Bathurst); et Josée Gagnon, coordonnatrice de la zone Beauséjour (Moncton).

Programme d'internat au Réseau de santé Horizon

La photo nous fait voir le groupe qui a complété son programme d’internat auprès du Réseau de santé Horizon. De gauche à droite : Sonia Bérubé, responsable de la formation pratique en nutrition à l’ESANEF ; Rebecca McCollum, directrice des services thérapeutiques au Réseau de santé Horizon, région de Saint-Jean; Kayla LeBlanc; Janet VonWeiler, coordonnatrice de la zone 2 (Saint-Jean) ; les étudiantes Danika Brideau, Audrey Genest, Sophie McPhail, Geneviève Comeau, Danica White, Caroline Fontaine, Jenna LeBlanc, Mélanie Richard, Rosemarie Lévesque-Arseneault; Heather Godfrey, diététiste mentor, zone 3 (Fredericton); Jacqueline Noseworthy, coordonnatrice de la zone 7 (Miramichi); et Natalie Carrier, directrice de l’ESANEF.

Le groupe de recherche Littoral et vie est devenu membre du SDSN

Le groupe de recherche Littoral et vie de l'Université de Moncton est devenu officiellement membre du Sustainable Development Solutions Network, un réseau sous la direction des Nations-Unies.

Le réseau comprend des chercheurs et chercheuses de différents domaines qui trouvent ensemble des solutions en matière de développement durable pour aider divers pays dans le monde. L’un de ses bureaux est situé à Paris et l'autre à New York (http://unsdsn.org/).

Voici le site Web de Littoral et vie: http://www8.umoncton.ca/littoral-vie/index.htm

Renseignements : Camille Bourque, au 858-4409 / smi@umoncton.ca

Galerie d'art : des ateliers de création ont été organisés pendant l’été pour les enfants de 5 à 13 ans

Du 3 juillet au 23 août et pour un troisième été, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen a organisé une série d’activités sans frais pour les enfants de 5 à 13 ans, le mardi pour les enfants de 5 à 8 ans et le jeudi pour les enfants de 9 à 13 ans.

L’activité commençait par une visite guidée de l’exposition « Punctum: sept approches photographiques » et était suivie d’un atelier de création inspiré par une oeuvre de l’exposition. Les ateliers de création étaient différents chaque semaine et offraient l’occasion de découvrir diverses pratiques artistiques, dont la photographie, l'estampe, le dessin, la peinture et la sculpture. Au cours de l’été, certaines des activités ont eu lieu dans le Parc écologique situé à même le campus de l’Université de Moncton et touchaient les pratiques artistiques environnementales.

Dans le cadre de ce programme éducatif, la galerie d’art pouvait aussi accueillir des groupes d’enfants inscrits en camp d’été ou en garderie, incluant des groupes d’enfants plus jeunes.

La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen est située dans le pavillon Clément-Cormier au campus de Moncton. L’exposition en montre, « Punctum: sept approches photographiques », est présentée jusqu’au 15 septembre.

Les visites sont libres et la galerie est ouverte de 10 heures à 17 heures du lundi au vendredi, et de 13 heures à 17 heures le samedi et le dimanche.

Parution du troisième numéro de la revue Minorités linguistiques et société

Le troisième numéro de la revue Minorités linguistiques et société/Linguistic Minorities and Society vient de paraître. Préparé avec la collaboration du rédacteur invité Pierre Foucher, professeur de la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa – et anciennement de l’Université de Moncton, il réunit une sélection de textes qui émane des communications présentées lors d’un colloque du Réseau de la recherche sur la francophonie canadienne.

« Ces textes s’inscrivent très bien dans la problématique générale retenue pour le colloque, soit celle de la continuité ou de la rupture, explique le professeur Foucher. Car malgré le caractère a priori fort différent de chacun, un fil conducteur les réunit, celui d’une interrogation autour de la question du mouvement et de sa conséquence, la continuité ou la rupture. »

« La nature même des thèmes abordés nous sort de notre ordinaire de chercheurs de l’identité francophone au Canada, de ses aspirations politiques, de ses ressorts et de ses courants. Lucie Hotte analyse le rôle des artistes en milieu minoritaire francophone, tant celui qu’ils et elles se donnent que celui que la communauté voudrait leur donner. Elke Laur interroge les concepts de majorité et de minorité, qui dans le contexte canadien n’ont pas toujours une signification claire. Mourad Ali-Khodja présente ses réflexions sur la figure de l’intellectuel et du savant en milieu minoritaire, façonnée par les contraintes que fait peser sur lui ou elle l’exiguïté de sa condition. Rodrigue Landry, Réal Allard et Kenneth Deveau analysent cette nouvelle « identité » bilingue dont se réclament plusieurs de nos jeunes, pour voir s’il s’agit bien d’identité ou de compétences linguistiques. Laurence Arrighi et Annette Boudreau réfléchissent au fait d’être francophone « à la marge », soit loin des lieux où se définissent les prétendues normes linguistiques, avec les conséquences qui en découlent. Enfin, souligne M. Foucher, dans une recension d’écrits, Joel Belliveau dégage cinq portraits de la francophonie nord-américaine, dans une perspective dont on n’a que rarement l’occasion de prendre connaissance. »

Bref, en plus de la nouveauté et de la diversité des thèmes abordés, ces textes invitent à une réflexion sur le fait que la francophonie canadienne est véritablement « en mouvement », ses chercheurs et ses chercheuses aussi. Quant à savoir si ce mouvement conduit à des ruptures ou s’inscrit dans la continuité, on laisse au lecteur et à la lectrice le soin d’en juger.

Vous pouvez consulter ce numéro à l’adresse web ci-dessous.

Renseignements : real.allard@umoncton.ca

Journée de formation de base portant sur la recherche en santé et le mieux-être

Une deuxième journée de formation de base portant sur la recherche en santé et le mieux-être, intitulée « Passeport pour la recherche », aura lieu le jeudi 7 novembre de 8 h 30 à 16 heures dans l’amphithéâtre du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick, campus de Dieppe.

Cette journée de formation s’adresse à tous les intervenants et intervenantes en santé et mieux-être, aux partenaires communautaires, aux chercheurs et chercheuses, et à tous ceux et celles qui s’intéressent et veulent s’initier à la recherche en santé et mieux-être.

Les frais d’inscription sont de 25 $ (pause-café et dîner compris).

C’est une activité du Réseau-action Formation et recherche de la Société Santé et Mieux-être en français du Nouveau-Brunswick avec la participation de plusieurs partenaires dont l’Université de Moncton.

Le programme et le formulaire d’inscription seront disponibles à l’adresse www.ssmefnb.ca.

Renseignements : 506-389-3355 / rafr@nb.aibn.com

Cours d’été international relatif aux droits de l’enfant

En collaboration avec le Conseil canadien des défenseurs des enfants et des jeunes et l’Éducation permanente de l’Université de Moncton, le Groupe de travail relatif aux droits de l’enfant dans l’espace francophone a tenu le Cours d’été international relatif aux droits de l’enfant du 12 au 19 juillet au campus de Moncton.

Le cours portait particulièrement sur l’article 19 de la Convention relative aux droits des enfants des Nations Unies soit le droit à la protection contre toute forme de violence, de sévices ou de brutalité de toutes sortes, d’abandon ou de négligence, de maltraitance ou d’exploitation.

Le Prix d’excellence académique Thu-Pham-Gia a été remis à Ariane Choquette

Ariane Choquette, de Charlo, diplômée du B.Sc. B.Ed. avec concentration en mathématiques à la Faculté des sciences, est la récipiendaire du Prix d'excellence académique Thu-Pham-Gia qui comporte une médaille, un certificat d'excellence et un montant de 400 $. Ariane a maintenu une moyenne cumulative de 4,11 pendant ses études.

Ce prix est remis annuellement à l'étudiant ou étudiante du Département de mathématiques et de statistique qui obtient la plus haute moyenne cumulative pendant ses études à l'Université de Moncton, à condition d'avoir une moyenne minimale de 3,7. Il a été créé en 2011 par le professeur retraité Thu Pham-Gia et le mathématicien Donald Violette.

Léopold Masumbuko présente un séminaire public de doctorat en éducation

Léopold Masumbuko, candidat au doctorat en éducation, présente son séminaire public de doctorat, le vendredi 6 septembre à 10 h 30 dans le local B-218 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Le titre de sa thèse est « Les représentations linguistiques du personnel enseignant et des élèves dans le discours et les interactions verbales en Acadie du sud-est du Nouveau-Brunswick ».

Des copies de son document de séminaire sont disponibles auprès de Denise Bourgeois (local B110-4).

Bienvenue aux personnes intéressées.

Renseignements : 858-4411 / denise.bourgeois@umoncton.ca

AAAUM : souper reconnaissance pour les anciens présidents et présidentes

Fidèle à sa tradition, l’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton, campus de Moncton, a réuni autour d’un souper reconnaissance les anciens présidents et anciennes présidentes ainsi que les membres actuels du conseil d’administration afin de souligner leur soutien inestimable à l’AAAUM et au développement de l’Université de Moncton.

Cette coutume fort agréable qui remonte à plus d’une vingtaine d’années est l’occasion de remercier tous ceux et celles qui ont oeuvré pour l’AAAUM, qui continuent de la soutenir et qui, par la même occasion, favorisent de bonnes relations entre les nouveaux et les anciens membres.

Lors de cette soirée, le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge, a souligné le rôle important que joue l’Association dans le rayonnement de l’Université de Moncton.

Renseignements : Jeanne Farrah, au 858-4130.

La Fondation ACCÉD remet sa bourse 2013

La Fondation ACCÉD - accès à l’éducation, gérée par l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne, attribue cette année encore la bourse d’études ACCÉD qui s’élève à 1 000 $.

La fondation ACCÉD entend améliorer l’éducation des femmes francophones résidant au Canada, notamment avec l’octroi de bourses d’études. La bourse d’études ACCÉD est offerte à une étudiante francophone résidant au Canada inscrite à un programme d’études postsecondaires en français. La candidate doit être citoyenne canadienne ou résidente permanente vivant dans une province autre que le Québec.

Pour postuler, les candidates doivent soumettre leur demande de bourse avant le 30 septembre de l’année en cours et répondre aux exigences suivantes : poursuivre ses études en français pendant l’année académique 2013- 2014 avec une inscription d’au moins trois cours par session (automnale et hivernale); et poster sa demande à la Fondation ACCÉD femmes au Secrétariat national.

Un jury de sélection composé de trois personnes évaluera les candidatures reçues et choisira la personne récipiendaire. Son nom est dévoilé chaque année autour de la date du 6 décembre, en souvenir des 14 jeunes femmes qui ont perdu la vie à l’École polytechnique de Montréal en 1989.

L’Alliance des femmes de la francophonie canadienne est le seul organisme qui représente au niveau national les femmes francophones en contexte majoritaire anglophone. Sa mission consiste à défendre les intérêts des femmes et de leur famille, à revendiquer leurs droits et appuyer leurs actions menant au développement et à l’épanouissement de leurs communautés.

Renseignements : Manon Beaulieu (direction@affc.ca) ou Marie-Ginette Bellemare (info@affc.ca).

Danny Lavigne reçoit une bourse de 2 000 $ pour sa participation au concours national de chimie de l'ICC

Danny Lavigne, élève de l’école secondaire Népisiguit de Bathurst, s'est classé premier parmi les écoles francophones du Nouveau-Brunswick au concours national de chimie de l'Institut de chimie du Canada (ICC). Accompagné de son enseignante de chimie, Marie-May Gauvin, il a reçu une bourse d’études de 2 000 $ offerte par l’Université de Moncton des mains de Daniel Hétu, professeur de chimie au campus de Shippagan et coordonnateur de la section des écoles francophones du Nouveau-Brunswick pour le concours de l’Institut de chimie du Canada.

Manon Jolicoeur est finaliste des Prix Impacts du CRSH

Étudiante au doctorat en éducation à l’Université de Moncton, Manon Jolicoeur est finaliste dans la catégorie Talent des Prix Impacts du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) du Canada.

Le CRSH a fait connaître aujourd’hui les finalistes aux Prix Impacts, un ensemble de cinq prix prestigieux décernés annuellement qui récompensent des réalisations exceptionnelles reliées à des activités de mobilisation de connaissances et des travaux de recherche de niveau postsecondaire d’étudiants de cycle supérieur, de chercheurs seuls ou formant des équipes ou de partenariats.

Bénéficiaire d’une bourse doctorale du CRSH, Mme Jolicoeur s’est démarquée grâce à son projet intitulé « Lire, ça compte » mené depuis 2009 en collaboration avec des entraîneurs de hockey du sud-est du Nouveau-Brunswick. Son projet doctoral qui porte sur les habitudes de lecture a pour but de développer un cercle de lecture au sein des équipes de hockey. Elle cherche à évaluer l’impact du projet de cercle de lecture sur la motivation à lire, sur la perception de compétence en lecture et sur les compétences en compréhension de l’écrit des jeunes participants et participantes.

Le prix Talent souligne les réalisations exceptionnelles d’un chercheur qui est détenteur d’une bourse de doctorat ou d’une bourse postdoctorale du CRSH. Il est accordé à un chercheur qui maintient un excellent niveau de réussite universitaire, possède des aptitudes marquées en matière de recherche et de mobilisation des connaissances et démontre un grand potentiel comme chef de file au sein ou à l’extérieur du milieu universitaire.

Le prix Talent peut servir à financer la recherche d’un étudiant de doctorat ou d’un chercheur postdoctoral pendant une période d’un à deux ans. Il peut aussi servir à appuyer des activités de recherche, de mobilisation des connaissances ou d’autres types d’activités liées à la recherche pendant une période de trois ans.

Rappelons que Manon Jolicoeur était au nombre des cinq gagnants du concours « J’ai une histoire à raconter » organisé par le CRSH le printemps dernier.

La liste officielle des finalistes des Prix Impacts du CRSH se trouve à l’adresse Internet ci-dessous.

Les lauréats des Prix Impacts seront connus en octobre.

Les écrits de Germaine Guèvremont sont publiés aux Presses de l’Université de Montréal

Les Presses de l’Université de Montréal présentent le livre « Tu seras journaliste et autres oeuvres sur le journalisme ». Tiré des écrits de Germaine Guèvremont, cet ouvrage est dirigé et commenté par David Décarie et Lori Saint- Martin et est disponible en librairie depuis le 5 septembre.

David Décarie est professeur à l’Université de Moncton où il enseigne la littérature française du 20e siècle. Ses recherches actuelles portent sur la littérature québécoise et sur Germaine Guèvremont. Lori Saint-Martin enseigne au Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal.

« Le Survenant » et « Marie-Didace » ont valu à Germaine Guèvremont une reconnaissance nationale et internationale et sont devenus des classiques de la littérature québécoise. Mais Mme Guèvremont a laissé une oeuvre colossale, encore mal connue, qui est loin de se résumer à ces deux grands romans.

« Tu seras journaliste », roman paru en feuilleton dans la revue Paysana de 1939 à 1940, offre le témoignage d’une des pionnières de la littérature québécoise portant sur la difficulté pour une femme d’exercer ce qui était considéré comme un métier d’homme.

L’édition critique permet d’en respecter la singularité et la diversité puisque le texte est accompagné d’une présentation qui le replace dans le contexte de sa production et esquisse quelques pistes de lecture.

Renseignements : Département d’études françaises, au 858-4050.

La Marche de la vie pour la réadaptation cardiaque aura lieu le samedi 5 octobre

Une marche/course pour amasser des fonds pour le programme de réadaptation cardiaque Coeur en santé aura lieu le samedi 5 octobre au stade extérieur du campus de Moncton.

Il y aura une marche de trois kilomètres, une course de cinq kilomètres et, une nouveauté, une course de 400 mètres et un kilomètre pour les enfants.

L'inscription se fera sur place à compter de 8 h 30 et la course commencera à 9 h 45 pour les enfants et 10 heures pour les adultes. Vous pouvez vous inscrire dès maintenant à l’adresse www.coeurensante.org

Le coût d'inscription est de 30 $ par personne et de 5 $ pour les enfants âgés de 14 ans et moins.

Si vous ne pouvez participer mais que vous êtes intéressé de faire une contribution au programme, vous pouvez le faire en visitant le site www.fondationdumont.ca. Vous devez inscrire « Cœur en santé » dans la case « Message/instruction ». Vous pouvez aussi faire votre contribution en personne en vous présentant au local 136 du Ceps Louis-J.-Robichaud entre 7 heures et 15 heures du lundi au vendredi ou par la poste à l'adresse Programme Coeur en santé, Ceps, local 136, Université de Moncton, Moncton, N.-B., E1A 3E9.

Des reçus pour usage fiscale seront remis pour une contribution de 10 $ ou plus.

Venez en grand nombre et courez la chance de remporter l’un des prix de présence. Les 125 premières personnes à s’inscrire recevront un t-shirt.

Renseignements : Sophie ou Sylvie au 858-3779.

Soutenance de mémoire doctoral en psychologie de Margaret Priemer

Il y aura présentation de soutenance de mémoire doctoral en psychologie de Margaret Priemer, ayant comme titre «Une version autogérée de la thérapie des schémas peut-elle réduire la détresse psychologique? », le vendredi 13 septembre à 10 heures dans le local 504 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

La directrice du mémoire doctoral est la professeure France Talbot.

Renseignements : 858-4200.

C’est le début d’une autre année pour le Comité de mieux-être universitaire

C’est le début d’une autre année pour le Comité de mieux-être universitaire.

Des sessions de volleyball auront lieu quelques fois par mois à l’heure du midi (dates à confirmer). Vous n’avez pas besoin d’être un athlète pour y participer, c’est simplement pour s’amuser.

De plus, on offrira plus d’activités portant sur la dimension du mieux-être psychologique. Quelques membres de l’exécutif du CMU font partie d’un projet provincial à ce sujet et ils auront accès à de la formation tout au long de l’année.

L’École de science infirmière vient de lancer son Babillard des Bravos et elle invite les autres facultés et écoles à en faire autant. C’est facile de critiquer les choses qui ne fonctionnement pas bien mais on ne se le dit pas assez souvent.

Envoyez vos photos de babillard au CMU (cmu@umoncton.ca) et on les placera sur le site web.

Renseignements : 858-4382 / 858-4342 / suzanne.harrison@umoncton.ca

Alexandra Maltais et Miguel Bryar sont les athlètes de la semaine

Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a choisi les recrues au soccer Alexandra Maltais, de Dieppe, et Miguel Bryar, de Madran, comme athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 26 août au 1er septembre à l’Université de Moncton.

Les deux athlètes ont joué au sein de l'Équipe du Nouveau-Brunswick aux Jeux du Canada qui ont eu lieu à Sherbrooke.

Alexandra Maltais, une joueuse d'attaque, a marqué deux buts en fin de semaine lors des deux victoires des Aigles Bleues au tournoi de la Coupe Mulligan, à l'Île-du-Prince-Édouard. Elle s'est aussi distinguée lors du match contre les Citadins de l'Université du Québec à Montréal qui s'est soldé par la marque de 1 à 1. Maltais est une partante en raison de son travail à l'entraînement. Elle est étudiante de première année en kinésiologie.

L'ailier Miguel Bryar a attiré l'attention des entraîneurs grâce à son jeu et à sa détermination sur le terrain. Lors des trois parties, il a été un joueur débutant qui travaille bien à l'offensive tout comme à la défensive. Il a grandement contribué aux deux victoires et au match nul des Aigles Bleus; il soutient bien ses coéquipiers. Il est étudiant de première année en kinésiologie.

L’Université de Moncton sera l’hôte du championnat de cross-country et d'athlétisme de Sport universitaire de l’Atlantique Subway

L’Université de Moncton sera l’hôte des championnats de cross-country et d'athlétisme au cours de la prochaine saison de Sport universitaire de l’Atlantique (SUA) Subway.

Le directeur du Service de l’activité physique et sportive, Marc Boudreau, a présenté les entraîneurs et le programme sportif 2013-2014 lors d’une conférence de presse qui a eu lieu le mardi 3 septembre au campus de Moncton.

Le championnat de cross-country aura lieu le samedi 26 octobre. Quant au championnat d'athlétisme, il se tiendra dans le stade intérieur Vance-Toner du Ceps Louis-J.-Robichaud les 22 et 23 février 2014.

Le Service de l’activité physique et sportive a présenté ses entraîneurs pour la saison 2013-2014. Il s’agit de Jules Comeau (cross-country), Angelo Jean-Baptiste (soccer masculin et féminin), Monette Boudreau-Carroll (volleyball féminin), Serge Bourgeois (hockey masculin), Steve LeBlanc (athlétisme) et Denis Ross (hockey féminin).

« Cette rentrée est d'intérêt pour nos équipes sportives, rappelle Marc Boudreau. Nos formations sont prêtes pour les défis qui les attendent cette saison et ils sont fiers de porter le gilet de nos Aigles. Nos entraîneurs, leurs adjoints, le personnel de soutien et spécialement nos étudiants/athlètes méritent toute notre admiration pour leur excellent travail. »

Quant au recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge, il souhaite à nos étudiants/athlètes de connaître une année couronnée de succès, tant académique que sportive.

La vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales responsable des sports universitaires, Marie-Linda Lord, a souligné l'importance des équipes sportives et a surtout rappelé le travail des étudiantes/étudiants/athlètes qui sont passablement occupés avec leurs études, les séances d’entraînement et les compétitions.

Les entraîneurs et des joueurs ont décrit leurs objectifs pour la prochaine saison sportive. L’horaire complet et les résultats des équipes sont disponibles à l’adresse www.umoncton.ca/umcm-sports.

Bref aperçu des équipes

Hockey masculin - Serge Bourgeois est entraîneur chef, 13 avants, six défenseurs et deux gardiens, cinq recrues attendues; Simon Jodoin est le capitaine; objectif : le championnat de SIC en Saskatchewan.

Hockey féminin - Denis Ross est entraîneur chef, 22 joueuses attendues aux séances d’entraînement dont 18 vétérantes; l’objectif est le SIC en mars à Fredericton.

Cross-country - Jules Comeau est l'entraîneur, plusieurs vétérans et recrues ont commencé leur entraînement en fin de semaine, neuf gars et sept filles en tout incluant six recrues. SUA au campus de Moncton le 26 octobre.

Soccer masculin - Angelo Jean-Baptiste est entraîneur chef, 27 joueurs dont huit vétérans. Samuel Charron, de Gatineau, est le capitaine; l’objectif est de remporter le championnat de SUA.

Soccer féminin - Angelo Jean-Baptiste est entraîneur, 20 joueuses dont 12 vétérantes, un bon début de présaison, la saison commence samedi à Moncton contre StFX; objectif le championnat de SUA.

Volleyball féminin - Monette Boudreau-Carroll est entraîneuse chef, l'équipe commence ses séances d’entraînement cette semaine, la majorité des joueuses de l'an dernier sont de retour et au moins deux recrues s'ajoutent à l'équipe.

Athlétisme - Steve LeBlanc est entraîneur chef, une trentaine de jeunes attendus aux premières rencontres, environ 20 vétérans hommes et femmes. Le championnat de SUA en février au Ceps.

Renseignements : Normand Léger, responsable de l’information sportive
Téléphone : 506-858-4555; 506-380-4596 (portable)
Courriel: normand.leger@umoncton.ca

Notre équipe d'athlétisme aux Jeux du Canada à Sherbrooke

La photo nous fait voir les membres de l'équipe d'athlétisme des Aigles qui ont participé aux Jeux du Canada 2013 à Sherbrooke au Québec.

Il s’agit d’Alexandre Coholan, Aaron LeBlanc, Pascal Desjardins, Lindsay Gauvin, Amy Lynn Grant, Monika LeBlanc et Naomie Maltais. Judith Desjardins, des Aigles Bleues au volleyball, participait au volleyball de plage.

Steve Lebel joint l'équipe des Aigles Bleus au hockey

Steve Lebel, un joueur d'attaque de Lemoyne sur la rive sud de Montréal, qui vient de terminer la dernière saison avec le Phoenix de Sherbrooke dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec, fait partie de l'équipe les Aigles Bleus. Il est étudiant en information-communication.

Mesurant six pieds et un pouce avec un poids de 215 livres, l'attaquant a joué 193 parties dans la LHJMQ en trois ans avec le Phoenix de Sherbrooke, l'Armada de Blainville-Boisbriand, le Drakkar de Baie-Comeau et les Saguenéens de Chicoutimi. Il a marqué 53 buts en plus d'ajouter 69 passes pour 122 points. Il a passé 112 minutes au banc des punitions. Il a ajouté huit buts et 14 passes en 28 parties lors des séries.

« J'ai choisi les Aigles Bleus parce que c'est une formation gagnante et que j'ai la chance de remporter un championnat avec elle, mentionne LeBel. Je peux aider l'équipe de plusierus façons. J'ai surtout été un joueur offensif lors des deux dernières années dans la Ligue du Québec mais j'ai aussi joué comme défenseur. Je peux affronter les meilleurs trios des autres équipes. Avec mon gabarit, je ne crains pas la rudesse et je ne me laisse pas intimider par les autres joueurs. Je pense que mon adaptation entre le hockey junior majeur et universitaire se fera sans problème. »

Lebel avait été repêché par les Saguenéens en deuxième ronde (24e) en 2009. Il s'est entraîné régulièrement cet été. Il veut obtenir un diplôme avant de décider d'un avenir au hockey.

Alyssa Turenne fera partie de l'équipe des Aigles Bleues au volleyball

Une deuxième franco-manitobaine fera partie de l'équipe des Aigles Bleues en vue de la prochaine saison de volleyball féminin de Sport universitaire de l'Atlantique.

Alyssa Turenne, de La Broquerie, une communauté francophone située à une heure à l'est de Winnipeg, termine sa 12e année à l'école Saint-Joachim et est inscrite en récréologie en septembre.

« J'ai rencontré Alyssa aux Jeux de la Francophonie canadienne et elle a un grand talent pour le volleyball, estime l'entraîneuse des Aigles Bleues, Monette Boudreau-Carroll. Elle mesure près de deux mètres, ce qui nous donnera un avantage au filet. Elle ne devrait pas avoir de difficulté à s'adapter au style et au calibre de jeu en Atlantique. »

« J'ai joué dans plusieurs sports à notre petite école mais c'est surtout au volleyball où j'ai excellé, rappelle Alyssa Turenne, qui a eu 18 ans en juin. Je pratique ce sport depuis cinq ans et je joue d'habitude au centre en raison de ma taille. J'ai aussi évolué comme power et du côté droit. Je préfère le centre parce qu'il y a beaucoup d'action et j'aime frapper le ballon. Cela me motive lors d'une partie. »

Turenne ajoute que tous les membres de sa famille ont joué au volleyball au fil des ans et que ce sport est devenu sa passion, que ce soit à l'école ou avec des équipes. « Mon amie Rachelle Lemoine joue avec les Aigles Bleues et elle m'a encouragée à venir y jouer, ajoute-t-elle. J'ai rencontré Rachelle lors des Jeux de la Francophonie à Sudbury. J'ai décidé de m'inscrire à l'Université de Moncton afin de poursuivre mes études en français. J’avais la chance d'aller ailleurs mais le programme de Moncton me paraît intéressant. J'espère pouvoir aider les Aigles Bleues avec mon éthique de travail et ma passion pour ce sport. Je démontre des qualités de leadership et je veux avoir du plaisir à jouer. Je vais travailler dans un camp pour jeunes cet été et me présenter à Moncton en forme en septembre, en suivant un programme d'entraînement. »

Turenne sera à Moncton pour quelques jours à la mi-juillet afin de rencontrer certaines joueuses des Aigles Bleues et se familiariser avec sa ville d'adoption.

Danny Chiasson sera de l’équipe des Aigles Bleus au hockey

L'entraîneur des Aigles Bleus de l'Université de Moncton, Serge Bourgeois, a laissé savoir que Danny Chiasson, d'Edmundston, fera partie de son équipe pour la prochaine saison de hockey universitaire de Sport universitaire de l'Atlantique.

Chiasson, 20 ans, un ancien joueur de la Ligue de hockey junior des Maritimes et de la Ligue de hockey junior majeur du Québec, mesure cinq pieds 11 pouces, pèse 180 livres et lance de la droite.

« Je suis heureux que Danny Chiasson ait décidé de joindre les Aigles Bleus, mentionne Serge Bourgeois. Il a terminé au deuxième rang (34 buts et 54 passes = 88pts) du championnat des compteurs de la Ligue junior des Maritimes l'an dernier. Il avait bien tiré son épingle du jeu lors des deux parties qu'il a jouées avec notre équipe l'année dernière. Chiasson ne devrait pas avoir de difficulté à s'adapter au style de hockey universitaire. »

« L’équipe des Aigles Bleus a toujours été celle avec laquelle je m'identifiais en grandissant, rappelle Chiasson, heureux de porter le gilet du Bleu et Or. Le hockey est venu naturellement pour moi puisque mon père et mes oncles ont joué ce sport à des niveaux élevés. Je suis compétitif et je ferai tout ce qu’il faudra pour permettre aux Aigles Bleus de gagner et de remporter un championnat. C'est ce que j'ai fait avec Dieppe et Summerside. Je veux maintenant compléter le baccalauréat en administration tout en jouant du hockey de calibre élevé. Je sais que ce ne sera pas toujours facile mais je suis prêt pour le défi. Je suis quelqu'un qui s'adapte bien aux situations. Puisque chaque partie est importante dans la ligue, il faudra fournir un effort maximum. »

Chiasson a joué au hockey mineur à Edmundston dès l'âge de quatre ans. Il est un joueur de centre qui connaît bien son rôle. Il a l'intention de devenir policier avec la GRC ou de jouer au hockey professionnel après la fin de ses études. Il s'est inscrit à l'Université de Moncton pour poursuivre ses études en français.

Chiasson a joué pendant 15 parties avec l'Océanic de Rimouski en 2009-2010 (0-1=1pts) et 26 parties avec le Titan d'Acadie-Bathurst (1-2=3 pts). Il a joué 21 rencontres (1-2=3pts) avec le Titan et 25 avec le Drakkar de Baie-Comeau (0-5=5pts) en 2010-2011. Il a disputé 48 parties avec les Commandos de Dieppe (28-37=65pts) de la Ligue junior des Maritimes et six avec les Sea Dogs de Saint-Jean (1-2=3pts) en 2011-2012.

Il a commencé l'année 2012-2013 avec les Commandos de Dieppe (17-36=53 pts) en disputant 28 parties avant d'être échangé aux Western Capitals de Summerside (17-18=35pts) où il en a joué 20. Son équipe a remporté le championnat de la Ligue junior des Maritimes, a perdu en finale pour la Coupe Fred Page du championnat de l'Est du Canada et éliminé en demi-finale du championnat national junior A en mai dernier à Summerside. Il a aussi disputé deux parties avec les Aigles Bleus en inscrivant une passe.

Earl Church a été intronisé au Temple de la renommée

L'entraîneur des lancers en athlétisme de l'Université de Moncton, Earl Church, a été intronisé au Temple de la renommée d'athlétisme Canada lors d'une cérémonie tenue le 20 juin à l'hôtel Beauséjour de Moncton, en marge des Championnats d'athlétisme senior du Canada.