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Vol. 43, no 28
04 avril 2013
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Manon Jolicoeur fait partie des 25 finalistes du concours «J’ai une histoire à raconter» du CRSH Manon Jolicoeur, de la ville de L'Assomption, au Québec, étudiante au doctorat en
éducation à l’Université de Moncton, a été choisie parmi les 25 finalistes du
concours « J’ai une histoire à raconter », organisé par le Conseil de recherches en
sciences humaines du Canada (CRSH).
Ce concours, lancé pour la première fois cette année, veut faire connaître des travaux
de recherche novateurs en sciences humaines. Les étudiants et étudiantes universitaires
de partout au pays étaient invités à soumettre une accroche démontrant de quelle
façon leurs recherches en sciences humaines permettent de comprendre et d’améliorer le
monde.
Mme Jolicoeur a proposé une capsule vidéo présentant les participants à son projet,
intitulé « Lire, ça compte ». Dans le cadre de ce projet, elle collabore depuis 2009
avec des entraîneurs de hockey du sud-est du Nouveau-Brunswick pour développer un cercle
de lecture au sein des équipes de hockey. L’objectif est d’évaluer l’impact du
projet de cercle de lecture sur la motivation à lire, sur la perception de compétence en
lecture et sur les compétences en compréhension de l’écrit des jeunes participants.
Selon elle, ce projet peut avoir un impact bénéfique à long terme puisqu’il permet de
se renseigner sur les différentes initiatives communautaires qui épaulent les écoles,
et parce que l’amélioration des compétences en littératie influence
l’épanouissement et la santé économique des communautés. Elle espère ainsi pouvoir
inspirer d’autres chercheurs à mettre en œuvre des initiatives communautaires en
littératie et à en étudier l’impact. Pour en savoir davantage sur le projet de cercle
de lecture dans les équipes de hockey, vous pouvez consulter à l’adresse
www.lirecacompte.net.
Tous les mardis d’avril et de mai, le CRSH présentera quelques étudiants finalistes et
les détails de leurs propositions. L’accroche de Mme Jolicoeur sera présentée le 9
avril à l’adresse internet ci-bas.
Les 25 finalistes reçoivent un prix incluant 3 000 $, l’hébergement ainsi que
l’inscription au Congrès des sciences humaines 2013 qui aura lieu en juin à Victoria,
en Colombie-Britannique. Ils courront aussi la chance de faire une présentation au Forum
mondial des sciences sociales, qui aura lieu en octobre à Montréal. | Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12297 | | L’exposition « Dessine-moi… un géant » rend hommage à Marguerite Maillet Avec l’exposition « Dessine-moi… un géant », la maison d’édition Bouton
d’or Acadie, en collaboration avec le Festival Frye et la Bibliothèque publique de
Moncton, rend hommage à Marguerite Maillet, auteure, éditrice, professeure émérite à
l’Université de Moncton et historienne de la littérature acadienne.
Cette exposition sera présentée au public du 9 au 30 avril, aux heures d’ouverture
habituelles de la Bibliothèque publique de Moncton. L'hommage à Marguerite Maillet se
fera le 9 avril à midi en même temps que le vernissage et en présence de l’artiste
Réjean Roy. Le public y est cordialement invité.
Cette exposition rassemble parmi les meilleures illustrations d’albums jeunesse de
l’artiste de grand talent Réjean Roy, de Petit-Rocher. La créativité du nord du
Nouveau-Brunswick joint celle du sud-est de la province pour une fête unique célébrant
le foisonnement de la littérature jeunesse en Acadie, et la principale artisane de cet
épanouissement.
Marguerite Maillet a cédé en août 2012 la maison qu’elle a fondée en 1996. Les
nouvelles éditrices s’étaient alors promis de saluer publiquement le travail
colossal qu’elle a accompli pendant les 16 dernières années. L’exposition portant
sur des thèmes littéraires que tient chaque année en avril le Festival Frye s’est
révélée le moment idéal pour inviter les admirateurs de tous âges à venir saluer
l'éditrice, la professeure, l’auteure et la femme engagée. D’autant plus que Réjean
Roy, qui a illustré 16 titres à Bouton d’or, a bien voulu contribuer à
l’événement avec une rétrospective de son travail d’illustrateur.
Réjean Roy est un trésor caché du Nouveau-Brunswick. Voici une occasion unique de le
découvrir car déjà ses tableaux font le bonheur d’importantes collections. Il aime
sans doute trop la nature, sa principale inspiration, pour quitter son petit coin de pays,
mais son travail circule déjà un peu partout dans le monde. Chacun des livres qu'il
illustre devient un petit bijou et pratiquement une galerie en soi.
En 2004, Marguerite Maillet l’invitait à illustrer « De la tourmente au doux vent »
qu’elle signait en tant qu’auteure. Cet album a ensuite remporté le prix Chronos en
France. L’éditrice de Bouton d’or lui a également fait une place d’auteur et il
a signé chez BDOA trois albums jeunesse. Son plus récent titre en tant qu’auteur et
illustrateur « Glooscap, les castors et le Mont Sugarloaf », vient tout juste d’être
choisi comme finaliste dans la catégorie documentaire du prix jeunesse Hackmatack.
Ce livre fait partie du catalogue de 185 titres préparés et édités par Marguerite
Maillet et sa minuscule équipe de Bouton d'or. Cette exposition et cet hommage portent
donc très bien le titre « Dessine-moi… un géant ».
Renseignements : Marie Cadieux, au 506-382-1367 / dg.bdoa@nb.aibn.com | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12305 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir les trois membres de l’équipe gagnante de l’école L’Odyssée de Moncton et les trois membres de l’équipe finaliste de la polyvalente Louis-J.-Robichaud (LJR) de Shédiac, en compagnie de Monique Gallant, agente de recrutement étudiant de l’Université de Moncton : de gauche à droite, 1re rangée : Philippe Savoie-Vienneau, élève de la 12e année à la polyvalente LJR; et Jean-Christophe Comeau, élève de la 10e année de l’école L’Odyssée; 2e rangée : Patrick Cormier et Danny A. Roy, élèves de 12e année à la polyvalente LJR; Monique Gallant, agente de recrutement étudiant; Everett Patterson, élève de la 9e année à l’école L’Odyssée; et Yannick Castonguay Page, élève de la 11e année à l’école L’Odyssée.
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Bourses d’accueil de l’Université de Moncton pour les six finalistes de la 4e édition du Tournoi provincial de débats L’Université de Moncton a offert des bourses d’accueil aux six finalistes de la 4e
édition du Tournoi provincial de débats des écoles secondaires francophones du
Nouveau-Brunswick. Les trois membres de l’équipe gagnante de l’école L’Odyssée de
Moncton ont reçu une bourse de 1 500 $ chacun et les trois membres de l’équipe
finaliste de la polyvalente Louis-J.-Robichaud de Shédiac ont reçu une bourse de 1 000 $
chacun. Le Tournoi a eu lieu à la polyvalente Louis-J.-Robichaud le 23 mars dernier.
Avec la participation de Michel Doucet, animateur de l’émission matinale Le Réveil à
la radio de Radio-Canada Acadie, les jeunes ont débattu des points chauds de
l’actualité provinciale, qu’il s’agisse de développement économique,
d’environnement ou encore du gaz de schiste.
Rappelons que l’Association des enseignantes et des enseignants francophones du
Nouveau-Brunswick et le ministère de l’Éducation et du Développement de la petite
enfance, en collaboration avec la Fédération des Jeunes francophones du
Nouveau-Brunswick, l’Association des juristes d’expression française du
Nouveau-Brunswick et l'Université de Moncton, ont souhaité profiter du dynamisme de la
communauté acadienne et francophone en lien avec la Semaine provinciale de la fierté
française pour lancer le tournoi provincial de débats dans les écoles secondaires
francophones du Nouveau-Brunswick.
Cette activité permet aux élèves de la 9e à la 12e année de développer leurs
habiletés oratoires tout en leur permettant de débattre d’un sujet d’intérêt pour
les jeunes et les citoyens du Nouveau-Brunswick.
On souhaite ainsi contribuer au développement d’outils et de stratégies nécessaires
à nos élèves pour qu’ils deviennent des leaders qui s’expriment et défendent leurs
idées et convictions avec aisance en public dans un contexte de compétition amicale de
type éliminatoire.
L’école L’Odyssée de Moncton avait remporté le premier tournoi en 2010. Quant à
l’école Marie-Gaétane de Kedgwick, elle reçoit le prix de convivialité pour une
deuxième année consécutive. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12301 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir l’équipe de l’Université de Moncton aux 8es Jeux de la traduction. Il s’agit, de bas en haut, de Sarah MacNeil, Jean-Sébastien Landry, Marie-Claude Hébert, Stéphanie Frenette, Nicole Drouin, Karine Lauzon, et Alain Otis, professeur accompagnateur. |
Jeux de la traduction : l’Université de Moncton prend la deuxième place pour la deuxième année consécutive Les 8es Jeux de la traduction, qui ont eu lieu du 15 au 17 mars à l’Université de
Moncton, sont maintenant passés à l’histoire. Pour l’édition 2013, l’Université
de Moncton a accueilli neuf équipes : l’Université du Québec en Outaouais,
l’Université de Montréal, l’Université Concordia, l’Université de Sherbrooke,
l’Université Laval, l’Université du Québec à Trois-Rivières, l’Université
McGill, l’Université de Saint-Boniface et l’Université de Hearst, pour qui
c’était la première participation. L’Université d’Ottawa et l’Université York
(Collège Glendon) n’avaient pas de représentants.
Les Jeux de la traduction représentent un moment très attendu dans tous les
départements de traduction des universités canadiennes. Les Jeux sont présentés chaque
année dans une université différente depuis 2006.
Cette année, à Moncton, les dix équipes – au total 58 participantes et participants
– se soumettent à des épreuves de traduction pragmatique, littéraire, spécialisée
et technique, vers l’anglais et vers le français. Il y a aussi des activités
complémentaires, dont l’incontournable sortie dans les bars, des conférences et un jeu
questionnaire.
L’équipe de l’Université de Moncton pour cette 8e édition se compose de Nicole
Drouin, de Summerside, capitaine; Stéphanie Frenette, de Petit Rocher; Marie-Claude
Hébert, d’Aylmer; Karine Lauzon, de Pointe-Claire; Jean-Sébastien Landry, de Bertrand;
Sarah MacNeil, d’Antigonish. Alain Otis, chargé d’enseignement au Département de
traduction et des langues, agit comme accompagnateur. La correction des épreuves est
assurée par les accompagnateurs.
Le cocktail d’ouverture et la présentation des équipes ont lieu le vendredi soir 15
mars au Crowne Plaza. La directrice du Département de traduction et des langues, Denise
Merkle, et tous les professeurs du Département sont présents. La fondatrice du
Département, Christel Gallant, professeure retraitée, nous fait aussi l’honneur de sa
présence. Après le repas, toutes les équipes livrent un numéro de présentation.
Le samedi 16, les Jeux commencent à 10 h par les concours de traduction vers le français
et vers l’anglais. Cette année, les participants doivent en découdre avec une
description de film à mettre en français ou un article de journal à traduire en
anglais. C’est un examen crayon papier, sans dictionnaire bilingue, d’une durée
d’une heure et demie. Le texte anglais de l’équipe de l’Université de Moncton est
classé premier. Bravo à Karine Lauzon, qui a surpassé tous les concurrents inscrits à
l’épreuve.
Après le dîner, c’est le tour des épreuves en groupe. Cette année, traduction
publicitaire et traduction de chansons. Tout se fait en 60 minutes par équipe de trois.
Les publicités sont percutantes sur le plan visuel – une publicité de laxatif, une
autre de banane Chiquita, entre autres images – et les chansons sont très
particulières, dirions-nous – il y a notamment Thrift Shop. L’épreuve est suivie
d’une conférence portant sur le rôle du traducteur dans la société en compagnie de
Georgette LeBlanc, écrivaine de la Baie Sainte-Marie, en Nouvelle-Écosse.
Après la pause, les participants et participantes s’attaquent aux épreuves par équipe
de deux : traduction technique, traduction audiovisuelle et traduction avec contraintes.
En traduction technique, il s’agit de remettre à l’endroit la marche à suivre pour
la vérification du niveau d’huile; en traduction audiovisuelle, des extraits
d’émissions de télévision, dont Mad Men. Quant à la traduction avec contraintes, il
faut traduire une bulle de bande dessinée. Ces épreuves peuvent avoir l’air inoffensif
à première vue, c’est vrai, mais elles sont des plus riches en difficultés de tous
ordres. Malheur à l’équipe qui prend l’exercice à la légère.
Le souper de samedi a lieu au City Grill. Le texte de la chanson Thrift Shop traduit par
l’équipe de l’Université de Moncton, jugé le meilleur, est chanté par l’équipe
des correcteurs pendant le souper. Comme il y a un peu de retard par rapport au programme,
il faut changer les plans. On ne pourra se rendre au Caveau pour tenir le jeu
questionnaire, le jeu des Jeux. Qu’à cela ne tienne, on le fera sur place, après le
dessert. Vers 22 heures, on peut passer à l’activité de développement personnel,
euphémisme pour désigner le bon vieux « party » étudiant.
La traduction reprend tous ses droits le lendemain dès 9 h 30 avec l’épreuve de
traduction littéraire « à l’acadienne » : un texte en chiac, extrait de « Pour sûr
», de l’auteure France Daigle, à mettre en français ou en anglais standard, au choix
du participant. L’auteure est d’ailleurs parmi nous pour en faire la mise en contexte
et la lecture. Sur les 58 participants, 14 traduisent en anglais, les 44 autres en
français. L’épreuve est pour le moins décoiffante, surtout pour les participants qui
sont loin de la réalité du français en Acadie. Toutefois, personne n’a de véritable
avantage, puisque traduire en français ou en anglais à partir du chiac n’est pas
commun, même en Acadie!
Après le dîner, Jo-Anne Elder offre une conférence portant sur la transformation de la
profession de traducteur depuis les années 1990. Puis, on attaque la dernière épreuve,
le retour aux sources. Dans cet exercice, les membres des équipes cherchent, à tour de
rôle, à retrouver le sens initial derrière la traduction machine d’un proverbe,
d’une maxime, d’un titre de film ou d’une phrase. Il y a des traductions très
incertaines et on entend des propositions plutôt étonnantes!
Pour la première fois depuis le début des Jeux, l’équipe de Moncton n’a pas à se
précipiter à la gare ou à l’aéroport avant la fin des activités. Non, cette année,
c’est le tour des autres de vivre la réalité des équipes qui viennent de loin!
L’équipe championne des 8es Jeux de la traduction est celle de l’Université de
Montréal. L’Université de Moncton prend la deuxième place, pour la deuxième année
consécutive, et l’Université Concordia se classe troisième. Cette année,
l’Université du Québec en Outaouais reçoit le prix Gerry-Boulet, remis à l’équipe
qui porte avec le plus de succès l’esprit des Jeux de la traduction.
Les 9es Jeux de la traduction auront lieu en mars 2014 à l’Université Laval, à
Québec. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12302 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Christien LeBlanc, CA Grant Thornton; Monique Levesque, CA professeure de comptabilité; Pierre Marion, KPMG et étudiant à l’ASCA; Alexandre Landry, étudiant finissant en comptabilité; Donatien Avélé, président du comité pédagogique de comptabilité; Sophie LeBlanc, Ernst & Young et étudiante à l’ASCA; Sébastien Deschênes CA, directeur du département de comptabilité; et Dan Trainor CA, directeur général de l’école des comptables agréés de l’Atlantique.
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Le Faculté d’administration accueille le directeur général de l’École des comptables agréés de l’Atlantique Le directeur général de l’École des comptables agréés de l’Atlantique (ASCA), Dan
Trainor, a présenté aux étudiants et étudiantes de la Faculté d’administration à
quoi pourrait ressembler la formation des futurs comptables professionnels agréés (CPA)
au Canada.
À l’heure actuelle, il existe trois désignations professionnelles, soit les comptables
agréés (CA), les comptables généraux accrédités (CGA) et les comptables en
management accrédités (CMA). Ces trois organisations sont présentement en négociation
en vue d’une fusion sous la désignation professionnelle de CPA.
La nouvelle formation qui serait offerte aux futurs CPA cumulerait les éléments les plus
exigeants de celles présentement requises par les trois désignations. Cette formation
offerte à distance s’étalerait sur deux ans. Elle comprendrait deux modules
obligatoires : comptabilité générale et information financière et comptabilité de
gestion, planification et contrôle. L’étudiant serait par la suite amené à choisir
deux modules parmi la gestion de la performance, la finance, la certification et la
fiscalité. Il compléterait sa formation par deux modules synthèses le préparant à
l’examen final uniforme d’agrément. Les experts comptables du Nouveau-Brunswick se
prononceront dans les prochains mois sur la fusion de leurs organisations.
La présentation a aussi permis à trois diplômés en comptabilité de témoigner de leur
expérience à l’ASCA auprès des étudiants et étudiantes de la Faculté
d’administration.
Renseignements : Sébastien Deschênes, au 858-4230. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12296 | | Trois courts métrages à découvrir aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie Les Rendez-vous de l’ONF en Acadie proposent de découvrir trois courts métrages : «
Sur la banquise », de Stéphane Lahoud (2012, 30 minutes), « Une affaire de famille »,
de Justin Guitard (2012, 26 minutes) et « Chez nous », de Richard LeBlanc (2012, 22
minutes), le lundi 8 avril à compter de 19 heures dans la salle de projection 163 du
pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.
« Chez nous » et « Une affaire de famille » ont été produits pour le concours
Tremplin de l’ONF, lequel permet à des aspirants cinéastes de réaliser une première
ou une deuxième oeuvre dans des conditions professionnelles. L’entrée est libre. Ces
projections clôtureront la saison. Les Rendez-vous de l’ONF en Acadie reprendront
l’affiche cet automne.
Sur la banquise
Les univers de l’artiste français Joseph Kieffer et des pêcheurs sur glace de Rimouski
sont très différents l’un de l’autre. Pourtant, au pays du froid, le courant est
passé. L’artiste leur propose un marché propre au partage : une de leur histoire en
échange d’une girouette créée sur mesure pour leurs cabanes de pêche. Un projet
attachant, humain et tendre peut-être rendu possible grâce à la magie de la banquise
qui se forme chaque hiver sur le fleuve et où, rituellement, les pêcheurs
s’installent. C’est un film produit par Evelyne Lafleur Guy, des Productions
Par’Ici, et Johanne Bergeron, de l’ONF.
Stéphane Lahoud a réalisé et présenté dans plusieurs festivals plus d’une trentaine
de courts métrages à caractère sociopolitique, envisageant la vidéo comme un outil de
transformation sociale.
Une affaire de famille
À Pointe-Verte, un petit village côtier du Nouveau-Brunswick qui voit sa population
décliner, la survie du magasin général est une affaire de famille. Alors que les
parents, proches de la retraite, tiennent le fort depuis plus de 30 ans, les enfants
rêvent à d’autres lendemains. Le réalisateur, qui a grandi dans l’épicerie
familiale, signe la chronique quotidienne de ce lieu de passage où la vie se conjugue à
tous les temps. Multipliant les séquences à la fois cocasses et émouvantes, le film
rend hommage à ceux qui se sont toujours dévoués à leur communauté en assurant une
présence rassurante de tous les instants.
Avec ce premier film réalisé pour le concours Tremplin 2011, Justin Guitard vient
gonfler les rangs de la relève documentaire en Acadie avec une voix sensible et
singulière. C’est une production de Murielle Rioux-Poirier et Maryse Chapdelaine, du
Studio Acadie de l’ONF, en collaboration avec la Société Radio-Canada.
Chez nous
Parfois la vie semble se répéter, ingrate et rebelle. Et il arrive qu’elle soit source
de honte. À cause de ses dettes, Richard a renoncé à une partie de ses rêves et il se
souvient. Il avait quatre ans quand ses parents ont quitté leur maison mobile et connu la
misère. En confrontant ses souvenirs à ceux de ses proches, il tente de reconstituer ses
forces et de réapprendre à vivre. C’est une production d’Anne-Marie Rocher pour le
Programme français du Studio Ontario et Ouest.
Cinéaste et comédien originaire du Nouveau-Brunswick, Richard Leblanc vit aujourd’hui
à Toronto où il a suivi une formation en art dramatique et en scénarisation. Il
scénarise en 2003 « Counting the Days », une production sélectionnée au Scripts Out
Loud du Atlantic Film Festival. En 2008, il écrit et réalise le long métrage
documentaire « Cubers » sur les mordus du célèbre cube Rubik. | Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12298 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Paul Chiasson, doyen de la Faculté d’ingénierie; Benoît LeBlanc, étudiant de 3e année en génie mécanique, récipiendaire du prix CANCAM '81 et du prix Victor-Ross; Paul DesRoches, directeur principal, projets de production chez Hydro-Québec, ancien de l’année; Émilie Pellerin, étudiante de 5e année en génie civil, récipiendaire du prix Finissante de la promotion 2013; Raoul Irakoze, étudiant de 5e année en génie électrique, récipiendaire du prix du meilleur rendement académique de la promotion 2013; et Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche.
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Banquet annuel de la Faculté d’ingénierie Lors de son banquet annuel du 15 mars dernier à l’hôtel Ramada du Palais Crystal, à
Dieppe, la Faculté d’ingénierie a voulu souligner certaines réalisations qu’elle
considère remarquables.
La Faculté a remis des prix à des étudiants et étudiante qui se sont distingués
pendant leurs études au baccalauréat en ingénierie. Le prix du meilleur rendement
académique de la promotion 2013 a été décerné au finissant Raoul Irakoze, originaire
de la République du Burundi, pour avoir obtenu la plus haute moyenne cumulative pendant
son programme d’études B.Ing. - génie électrique (coop). La finissante Émilie
Pellerin, originaire de St Thomas de Kent, a reçu le prix de finissante de la promotion
2013 pour s’être distinguée grâce à son leadership et son implication
para-académique tout en maintenant un excellent rendement académique.
Pour sa part, Benoît LeBlanc, étudiant de 3e année en génie mécanique, a reçu le
Prix CANCAM '81, décerné annuellement pour les meilleurs résultats académiques en
mécanique appliquée. Benoît a également reçu le Prix Victor-Ross qui souligne les
meilleurs résultats en statique et en dynamique, décerné par l’Association des
étudiantes et étudiants en génie de l’Université de Moncton.
La Faculté d’ingénierie a rendu hommage à son ancien de l’année Paul DesRoches,
diplômé en génie civil en 1981, pour son rôle de modèle de réussite professionnelle,
et pour sa contribution remarquable à l’ingénierie et à la société en général. M.
DesRoches est directeur principal, projets de production, chez Hydro-Québec. Il était
également le conférencier d’honneur. En partageant son expérience professionnelle,
il a su inspirer et motiver les futurs ingénieurs et ingénieures.
La soirée, qui a regroupé quelque 120 convives, s’est terminée avec des
présentations organisées par les finissantes et finissants. Elle a permis aux anciennes
et anciens de renouer avec les membres de la Faculté et leurs collègues. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12303 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Jeanne Farrah, B. Sc. Soc. 1988, M.A.P. 1991, directrice du bureau des Anciens et amis; Sébastien Breau, B. Sc. Soc. 1995, professeur agrégé de géographie économique à l’Université McGill et conférencier; Sophie Thériault, L.L.B. 2003, directrice du développement commercial et communications de l’IARC et conférencière; Mario Thériault, B. Sc. Soc. 1985, président du comité L’Acadie 2020, Jeffrey Simpson, chroniqueur aux affaires nationales au Globe and Mail et docteur d’honneur en droit de l’Université de Moncton; Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier; Pierre-Yves Julien, chef de la direction Croix Bleue Medavie et conférencier; Stéphane Robichaud, B. Sc. Soc. 1992, M.B.A. 1992, président de l’AAAUM; Michelyne Paulin, B.A.A. 1978, comité des conférences L’Acadie 2020; et Marc Duhamel, directeur général de l’Institut canadien de recherche sur les politiques et administration publiques.
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Les enjeux qui façonnent l’Acadie contemporaine et celle en devenir La troisième édition des conférences L’Acadie 2020 de l’Association des anciens,
anciennes et amis de l’Université de Moncton (AAAUM) portant sur le thème «
L’avenir économique du Canada atlantique passe par quoi ? », a eu lieu le 26 mars au
campus de Moncton.
Cette conférence, animée par Jeffrey Simpson, a pris la forme d’une tribune avec la
participation de Sophie Thériault, Sébastien Breau et Pierre-Yves Julien pour échanger
et réfléchir sur les enjeux qui façonnent l’Acadie contemporaine et celle en devenir
pour mieux comprendre la manière dont se répercutent les différents phénomènes
mondiaux sur notre développement, ici en Acadie.
Près de 200 personnes ont participé à cet échange qui a privilégié l’émergence de
points de vue différents de ceux habituellement présentés sur la place publique et de
nouveaux éclairages sur des questions qui sont au centre de nos préoccupations. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12308 | | De la musique thérapeutique en compagnie de la harpiste-thérapeute Laurence Marie Fidèle à son engagement communautaire et toujours disponible pour les étudiants et
étudiantes, la harpiste-thérapeute Laurence Marie sera de retour au campus de Moncton
cette année dans le cadre du cours RETO2301, Loisirs thérapeutiques, le lundi 8
avril de midi à 13 h 15 dans la salle 266 au Ceps Louis-J.-Robichaud.
Les personnes qui souhaitent assister à ce cours sont invitées à communiquer avec la
professeure Selma Zaiane-Ghalia à l’adresse selma.zaiane-ghalia@umoncton.ca ou encore
par téléphone au 858-3760. Il y a de la place.
Mme Marie viendra avec l’une de ses harpes pour partager ses connaissances et son
expérience en matière de musique thérapeutique. Elle est harpiste-thérapeute mais
aussi consultante en naturothérapie. Elle travaille quotidiennement avec des personnes à
besoins spéciaux et des personnes aînées entre la grande région de Moncton et
Shédiac.
Si vous souhaitez en savoir un peu plus sur ses activités voici deux liens :
www.harpsylon.com | Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12313 | | Fabien Philippe est le lauréat du Prix de la nouvelle Radio-Canada CBC/Radio-Canada et ses partenaires, le Conseil des arts du Canada, le magazine enRoute
d’Air Canada et le Banff Centre, ont élu Fabien Philippe, auteur de « Janken », grand
lauréat du Prix de la nouvelle Radio-Canada.
Le jury du Prix de la nouvelle était composé cette année de l’auteure Antonine
Maillet, chancelière émérite de l’Université de Moncton, de l’éditrice Brigitte
Bouchard et de la comédienne et femme de théâtre Sophie Cadieux, sous la coordination
de Jean Fugère. Il a choisi de récompenser M. Philippe pour son texte « au souffle
d'une fresque […] qui surprend et enchante » et cache « sous [son] apparente
légèreté […] une nouvelle riche et foisonnante sur le pouvoir de l’imaginaire
».
Après de nombreux allers-retours entre la France et le Québec et deux années passées
au Liban, Fabien Philippe s’est installé à Montréal en 2008. Il a publié une
première nouvelle, « La brûlure », dans la revue littéraire Zinc. Il recevra
6000 $ offerts par le Conseil des arts du Canada, profitera d’une résidence
d’écriture de deux semaines au Banff Centre, et sa nouvelle sera publiée dans le
numéro d’avril du magazine enRoute d’Air Canada, qui compte un million de
lecteurs mensuels.
Fabien Philippe s’est distingué parmi plus de 750 participants en provenance de partout
au pays. Les quatre autres finalistes étaient Sylvie Gendron, Cédric Tremblay,
Frédérick Wolfe et Francis Mushidi Izaha.
Les textes peuvent être lus sur le site Radio-Canada.ca/zonedecriture. | Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12311 | | Inauguration du Laboratoire multifonctionnel des sciences du mouvement Horia-Daniel Iancu, directeur de l’École de kinésiologie et de récréologie, vous
invite à assister à l’inauguration du Laboratoire multifonctionnel des sciences du
mouvement, le mercredi 10 avril à 11 h 15 dans le local 248 du Ceps Louis-J.Robichaud au
campus de Moncton.
Ce laboratoire est muni d’un équipement de haute gamme qui permet aux étudiants et
étudiantes de développer et de mettre leurs compétences en pratique dans un
environnement moderne afin de mieux intervenir auprès d’une population ayant des
problèmes de santé. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12304 | | La Tournée du cinéma québécois s’arrête à Moncton La Tournée du cinéma québécois, organisée par Québec Cinéma et présentée par TV5
en collaboration avec la Première Chaîne de Radio-Canada, est à Moncton jusqu’au 5
avril.
Le programme comprend une soirée de projection au Théâtre Empire de Dieppe, en
collaboration avec Film Zone, et une activité spéciale à l’école secondaire
Mathieu-Martin. Le réalisateur Simon Lavoie (Le Torrent, Laurentie, Le déserteur) sera
du rendez-vous afin de rencontrer les cinéphiles francophones et francophiles, ainsi que
les élèves de la région.
Bonjour à Moncton
Le jeudi 4 avril à 19 heures Théâtre Empire de Dieppe, place à « Over My Dead Body
», un documentaire bouleversant sur le danseur et chorégraphe de renommée
internationale Dave St-Pierre, atteint de fibrose kystique, qui a valu à la comédienne,
metteuse en scène et réalisatrice Brigitte Poupart le premier prix à la création du
Conseil des arts et des lettres du Québec et le prix du meilleur documentaire à la 15e
Soirée des Jutra.
Entre les couloirs d’hôpital et la scène, « Over My Dead Body », est un chant
d’amour à la vie dans ce qu’elle a de plus puissant et de plus fragile. Une
discussion Skype avec la réalisatrice suivra la projection.
Le vendredi 5 avril, l’équipe de la Tournée visite l’école secondaire
Mathieu-Martin de Dieppe. Des élèves de 10e année seront initiés au langage
cinématographique grâce à l’activité « Cinéma en cours ».
Le court métrage d’animation « Ici par ici », de Diane Obomsawin, sera étudié. De
l’Expo 67 au divorce de ses parents, en passant par ses années passées au lycée, la
cinéaste dessine à travers ce film le portrait de sa famille et expose la relation
qu’elle entretient avec les lieux et les événements qui ont marqué sa jeunesse.
Visitez le rvcq.com pour connaître l’itinéraire détaillé de la Tournée du cinéma
québécois. | Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12299 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Paul Albert, vice-recteur du campus d’Edmundston; Joey Nadeau, étudiant au baccalauréat en éducation; Francine Bérubé, coordonnatrice des Rencontres Acadie-Québec 2013; Sylvie Blain, professeure et directrice du Service d’animation et de soutien à l’enseignement au campus de Moncton; Edgar Robichaud, vice-recteur adjoint à l’enseignement au campus de Moncton; Renée Guimond-Plourde, professeure-chercheuse au Secteur éducation et lettres au campus d’Edmundston; et Lise Ouellette, directrice du CCNB – campus d’Edmundston. Absent dans la photo : Robert Levesque, professeur au Secteur éducation et lettres. |
L’Université de Moncton était un partenaire à part entière lors des Rencontres Acadie-Québec Des professionnels de l’éducation postsecondaire en provenance des collèges
communautaires, des cégeps et des universités se sont réunis dans le cadre des
Rencontres Acadie-Québec sur la pédagogie de l’enseignement supérieur présentées au
CCNB – campus d’Edmundston et dans les espaces communs qu’il partage avec
l’Université de Moncton, campus d’Edmundston. Des personnes représentant les trois
constituantes de l’Université de Moncton étaient d’ailleurs sur place.
Une quarantaine d’ateliers ont permis des échanges sur des approches conduisant à la
réussite des étudiants et étudiantes du niveau postsecondaire. Particulièrement, des
intervenants du campus d’Edmundston ont opté pour des ateliers touchant directement les
pratiques et approches pédagogiques, l’internationalisation et les ressources en
technologie.
Juan Manuel Toro Lara, agent de développement de projets en immigration du Consortium
national de formation en santé, a choisi l’internationalisation comme élément de
réflexion, intitulé « Formation sur la communication interculturelle ».
Jocelyn Nadeau, directeur de l’Éducation permanente et des Technologies de
l’information au campus d’Edmundston, a opté pour la dimension évaluative de
l’apprentissage avec sa présentation, intitulée « La rétroaction comme appui à
l’apprentissage et à la réussite ».
Robert Levesque, professeur au Secteur éducation et lettres, a pour sa part offert un
volet peu exploré en milieu éducatif, « Le respect dans le milieu scolaire : une
analyse comparée des perceptions des élèves et des enseignants ».
Renée Guimond Plourde, professeure-chercheuse au Secteur éducation et lettres, et Joey
Nadeau, étudiant en éducation, ont présenté la communication, intitulée « Une
culture de la réussite au postsecondaire : un cadre novateur d’action et de réflexion
».
Seul étudiant officiellement inscrit comme personne ressource, Joey Nadeau a d’ailleurs
suscité l’intérêt de plusieurs intervenants en incarnant le profil 2013 de
l’étudiant du postsecondaire. « Je suis conscient que la participation d'un étudiant
du premier cycle à un tel événement est assez extraordinaire, dit-il. Je me sens choyé
d'avoir pu partager cette expérience unique avec Mme Guimond-Plourde que je remercie pour
la confiance qu'elle m'accorde. Participer à cette rencontre a été pour moi une
expérience sans égal qui laissera sans aucun doute une grande trace dans ma formation
professionnelle. J'ai accepté de relever ce magnifique défi car je crois qu'il est
important pour les professionnels de l'éducation de comprendre que les étudiants qui
siègent dans leurs classes ne sont pas seulement des étudiants. Beaucoup d'entre nous
portent plusieurs autres chapeaux et doivent garder l'équilibre dans tout ça ».
Le campus de Shippagan était représenté par la professeure-chercheuse Nathalie Boivin,
du Secteur science infirmière du site de Bathurst. Elle a proposé un atelier touchant
aux ressources technologiques en lien avec la santé : « Alphabétisme en matière de
santé : une formation en ligne pour offrir un service de qualité aux clients ».
Rares sont les occasions pour ces professionnels de l’éducation postsecondaire de
partager en face à face. Par son unique structure, le CCNB/UMCE devenait l’endroit tout
désigné pour soutenir le partage de pratiques innovantes tout en stimulant les
réflexions touchant aux enjeux actuels et futurs en éducation. L’équipe de
l’Université de Moncton est unanime : le comité organisateur, sous la baguette de la
coordonnatrice Francine Bérubé, a organisé une rencontre impeccable et réussie sur
tous les points. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12307 | | La troupe Virtuose présente son spectacle annuel en s’inspirant du thème Deux faces... La troupe de danse universitaire Virtuose présentera son spectacle annuel, le samedi 6
avril à 19 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de
Moncton.
La troupe saura tenir son public en haleine avec des routines impressionnantes de hip hop,
L.A. Style, danse contemporaine, Ladystyling, etc. Les spectateurs auront la chance de
voir des danseurs de niveaux avancés et compétitifs en plus des troupes compétitives de
l’École de danse CHAOS. L'événement sera animé par Samuel Chiasson, bien connu pour
son travail au sein de la Revue acadienne.
Ce spectacle est présenté en collaboration avec le Service des loisirs socioculturels de
l’Université de Moncton, campus de Moncton.
Deux faces...
Les directrices de la troupe, Geneviève McIntyre, ainsi que Janique Sivret Aucoin aiment
ajouter des éléments théâtraux à chacun des spectacles de Virtuose et de la troupe
CHAOS.
Cette fois-ci, une scène du film « The Dark Knight » a influencé le dernier numéro du
spectacle. « Lorsque le Joker s'adresse à Harvey Dent à l'hôpital à la suite de son
accident, souligne Janique Sivret Aucoin, il parle d'ouvrir la porte à l'anarchie, de
bousculer l'ordre établi et de laisser régner le chaos... et le personnage de Dent
deviendra ensuite le fameux Two-Face. Cette transformation a inspiré la dernière
chorégraphie du spectacle. » D'ajouter Geneviève McIntyre : « Two-Face est en quelque
sorte la suite au dernier numéro de l'an dernier « Why So Serious », aussi inspiré par
une citation du Joker. Ce numéro avait remporté plusieurs prix. »
Les billets sont en vente à la billetterie du Centre étudiant du campus de Moncton au
coût de 10 $ pour étudiants et 15 $ pour les autres.
Billetterie : 858-4554. | Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12306 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir les étudiants récipiendaires de prix. Il s’agit, de gauche à droite, de Logan Montgomery (UPEI), Taylor Dunn(UPEI), Matthieu Britton (Dalhousie), John Niven (Dalhousie), David Lake (Dalhousie), Patricia Oliver (Dalhousie) et Nicolas LeBlanc (U de M). |
AUPAC 2013 : Nicolas LeBlanc remporte le premier prix de photonique AUPAC 2013 : Nicolas LeBlanc remporte le premier prix de photonique
Nicolas LeBlanc, du Département de physique et d'astronomie, a remporté le premier prix
de photonique commandité par la compagnie Lamdba Guard pour sa présentation, intitulée
« Vitesse de la lumière dans le vide quantique », lors de la 32e édition de
l’Atlantic Undegraduate Physics and Astronomy Conference (AUPAC 2013) qui a eu lieu à
l’Université de Moncton en présence d’une centaine d’étudiants provenant des
universités de l’Atlantique.
Sa présentation portait sur les travaux de recherche qu’il a effectués l’été
dernier sous la supervision conjointe des professeurs Normand Beaudoin et Ruben Sandapen.
Son stage d’été était subventionné par la FESR.
Le comité organisateur local était constitué des étudiants et étudiantes du
Département de physique et d’astronomie sous la responsabilité de Julien Légère,
étudiant de 4e année. Les étudiants Martin Chiasson (4e année), Alexandre Doucet (3e
année), Roby Gauthier (4e année), Nicolas LeBlanc (4e année) et Julien Légère (4e
année) ont présenté leurs travaux de recherche réalisés l’été dernier.
La conférence d’ouverture a été prononcée par Ruben Sandapen, professeur au
Département de physique et d’astronomie de l’U de M et Research Fellow à Mount
Allison University. Sa conférence portait sur sa recherche en physique des particules.
La conférence principale a été prononcée lors du banquet par le professeur Jeff Dahn,
de Dalhousie University, et portait sur les piles Li-ion. La conférence de clôture a
quant à elle été prononcée par Jean-François Bisson, professeur au Département de
physique et d’astronomie et membre du Groupe de recherche sur les couches minces et la
photonique (GCMP), et portait sur sa recherche sur les lasers. Le professeur Bisson a
aussi agi comme président du jury qui a remis six prix aux étudiants et étudiantes qui
ont fait des présentations orales.
Le Departement de physique et d’astronomie a organisé cette conférence annuelle pour
une troisième fois. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12318 | | Les défis des professionnels de la santé et des services sociaux en francophonie minoritaire Une vidéoconférence du CNFS portant sur les défis des professionnels de la santé et
des services sociaux en francophonie minoritaire avec la participation de Marie Drolet,
professeure agrégée à l’École de service social de l’Université d’Ottawa, et
Josée Benoit, associée de recherche/chargée de cours à l’École de service social et
à l’École de sciences de la réadaptation à l’Université d’Ottawa, aura lieu le
jeudi 11 avril de 12 h 30 à 14 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois au
campus de Moncton.
Le but de cette communication est de présenter les résultats d’une recherche
qualitative portant sur les défis que rencontrent les professionnels de la santé et des
services sociaux en francophonie minoritaire, ainsi que les stratégies qu’ils utilisent
pour les dépasser. Huit groupes d’entretien (quatre avec des intervenants en
enfance-jeunesse et quatre auprès des personnes aînées) ont été menés auprès de 50
intervenants qui offrent des services en français dans 21 organismes de services sociaux
et de santé de l’Est ontarien. L’analyse des résultats fait ressortir le quotidien
du bilinguisme, soit des défis constants d’accès à des services sociaux et de santé,
et des enjeux organisationnels.
En ce qui a trait aux pratiques dont se servent les professionnels pour offrir des
services en français, nous y constatons clairement des comportements d’offre active
sans qu’ils les nomment ainsi. Les solutions qu’ils adoptent pour relever les défis
vont vraiment dans le sens de services linguistiquement et culturellement adaptés.
Renseignements et inscription : cnfs@umoncton.ca /
858-4655. Les places sont limitées. Cette conférence sera aussi disponible en diffusion
Web-conférence (streaming). | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12312 | | Art dramatique : la première de l’exercice pédagogique public approche à grands pas La première de l’exercice pédagogique public des étudiants et étudiantes en art
dramatique avec « Le songe d’une nuit d’été », de William Shakespeare, approche à
grands pas. Les représentations ont lieu du 9 au 13 avril à 20 heures au
studio-théâtre La Grange au campus de Moncton.
Cette fois, la beauté, la richesse et le style poétique inimitable de ce
chef-d’œuvre, vieux de plus de 400 ans, retrouvera toute la fraicheur et les couleurs
de l’actualité grâce à la traduction-adaptation d’Herménégilde Chiasson, artiste
en résidence cette année aux universités de Moncton et Mount Allison.
Tout en respectant les métaphores, les tournures versifiées des répliques, le style
imagé et le fil de l’histoire qui comporte plusieurs mises en abîme (du théâtre dans
le théâtre à plusieurs niveaux ouvrant des perspectives plus larges pour la perception
des événements) et trois actions tissées ensemble, Herménégilde Chiasson réussit le
tour de force de rendre le tout dans une langue et des façons de dire qui semblent
presque de par chez nous et d’aujourd’hui.
Écrite selon toute probabilité en 1594, la pièce clos le premier cycle des comédies de
Shakespeare et se compte déjà parmi ses œuvres de maturité.
Le thème de la pièce est l’amour qui nous est présenté sous les différents aspects
qu’il peut emprunter selon l’âge et le milieu, l’amour qui ne connait d’autres
lois que les siennes propres, l’amour toujours inexplicable et aveugle qui se joue des
hommes et des femmes, forme des couples et les défait selon ses caprices mais qui, avec
une étonnante sagesse, fait qu’à la fin « à chacun revient sa chacune ».
Peut-on bâtir quelque chose de durable dans cette vie se basant sur ce jeu de séduction
inexplicable et sur lequel nous n’avons aucun contrôle? C’est la question qui semble
se dégager de cette pièce.
On a beaucoup écrit sur Shakespeare. Plusieurs vies ne suffiraient pour parcourir toute
cette documentation et on l’a aussi interprété de toutes les façons car justement, la
liberté que son théâtre nous laisse dans ce sens a permis à toutes les époques d’y
trouver leur compte et c’est ce qui explique sa longévité et son actualité toujours
renouvelée. La structure cinématographique de ses textes, formée de courtes séquences
dont le montage crée toute l’atmosphère et donne un sens à l’ensemble, la multitude
de caractères, de lieux et d’événements, nous rappelle parfois les superproductions
américaines d’aujourd’hui.
Tous ces éléments ont séduit les étudiants et étudiantes à se lancer corps et âmes
dans cette aventure passionnante et dangereuse appelé « Le songe d’une nuit d’été
».
Dans une mise en scène et sous la direction du professeur Andréi Zaharia, vous verrez
évoluer sur scène les étudiantes et étudiants Isabelle Bartkowiak, Carole Belliveau,
Stéphan Bénard, Marilyn Bouchard, Solange LeBlanc, Sébastien Leclerc, Xavier
Lord-Giroux, Bianca Richard, Joannie Thomas et Myriam Vaudry en 4e année, et Caroline
Bélisle, Mégane Comeau Dubuc, Nicolas Dupuis, Samuel Rioux et Hélène Eugénie Roy en
3e année.
Les billets sont en vente à la Librairie acadienne ou au guichet du théâtre avant les
représentations : $10 $ tarif ordinaire et 5 $pour les étudiants.
Réservations : 858-4470 ou 858-4404. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12317 | | Agrandir l'imageLa photo, prise au Laboratoire de la Faculté d'ingénierie, nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : Naim Ben Amor, stagiaire – ISET - Tunisie; Mohamed Ayoub Ouni, stagiaire – École nationale de Tunis; Habib Hamam, professeur au Département de génie électrique; et Marouane Dahmani, stagiaire – ESPRIT – Tunisie; 2e rangée : Idriss Debbabi, stagiaire – ISET KH – Tunisie; Mohamed Amine Ben Haj Hamouda, stagiaire – ISET KH – Tunisie; et Nafaa Ziadi, stagiaire – ESPRIT – Tunisie.
|
Ingénierie : projet intégrateur regroupant des étudiants de premier cycle de trois disciplines Une équipe de la Faculté d’ingénierie a participé à une compétition internationale
et se retrouve parmi les finalistes qui doivent maintenant compétitionner lors de la
dernière ronde à Paris en mai prochain.
C'est un projet intégrateur qui regroupe des étudiants de premier cycle de trois
disciplines - le génie mécanique, le génie électrique et l’informatique. Il porte
sur la conception et l'implantation de deux robots qui se déplacent sur une même
plateforme pour faire des tâches. Chaque robot ne connait pas ce que l'autre a dans la
tête (comment il est programmé). Chacun doit donc superviser l'autre et éviter les
collisions mais il accomplit ses tâches dans un temps raisonnable.
Le travail de l’équipe est soutenu (ressources humaines et matérielles) par quatre
institutions académiques qui collaborent par l’entremise de la Chaire de recherche du
Canada en optique dans les technologies de l'information et de la communication :
principalement l'Université de Moncton, l’Institut supérieur des études
technologiques, le International Institute of Technology et le Canadian Institute of
Technology.
Renseignements : http://www.planete-sciences.org/robot/index.php?section=pages&pageid=79 | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12323 | | Réflexion sur le père Clément Cormier par le biais de témoignages et de souvenirs Dans le cadre des célébrations entourant le 50e anniversaire de fondation de
l’Université de Moncton et du 35e anniversaire du Fonds de bourses Clément-Cormier,
une réflexion sur son recteur-fondateur, le père Clément Cormier, par le biais de
témoignages de personnes qui l’ont connu et côtoyé à différents moments de sa vie,
a lieu ce jeudi 4 avril de 9 heures à 13 h 30 dans le local 136 du pavillon
Léopold-Taillon au campus de Moncton.
À la rencontre de Clément Cormier – souvenir et témoignages est un événement
présenté conjointement par l’Association des anciens, anciennes et amis de
l’Université de Moncton et l’Institut d’études acadiennes.
Dès 9 heures, l’animateur de la journée, Maurice Basque, invitera Raymond Théberge,
recteur et vice-chancelier à prendre la parole, qui sera suivi de Stéphane Robichaud,
président de l’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de
Moncton, campus de Moncton, et Isabelle McKee Allain, directrice de l’Institut
d’études acadiennes.
L’ouverture sera suivie à 9 h 15 de « Devant et derrière la caméra : Clément
Cormier », présentation d’une entrevue réalisée par Louise Imbeault, alors qu’elle
était journaliste à la télévision de Radio-Canada, avec le père Clément Cormier.
À 10 h 15, Marc Robichaud, historien et chercheur à l’Institut d’études acadiennes,
présentera « Clément Cormier par lui-même : un fonds d’archives aux multiples
potentiels de recherche ». À titre de coauteur du livre portant sur l’histoire de
l’Université de Moncton qui sera lancée le 19 juin et coauteur de la future biographie
du père Clément Cormier, M. Robichaud a beaucoup consulté les archives du
recteur-fondateur de notre Université.
À 10 h 30, une table ronde animée par Maurice Basque discutera de « Clément Cormier
par les lunettes de ses contemporains » avec la participation de Fernand Arsenault
(Université Saint-Joseph) et Aldéa Landry (Collège Jésus-Marie de Shippagan).
À la suite du repas, à 12 h 45, Robert Pichette prononcera une conférence. Il sera
introduit par Jeanne Farrah, directrice du Bureau des Anciens et amis.
La journée prendra fin vers 13 h 15. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12322 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Lise Dubois, vice-rectrice adjointe à la recherche et doyenne de la Faculté des études supérieures et de la recherche; Daniel Hickey et Joceline Chabot; Jeremy Hayhoe, également directeur du Département d’histoire et de géographie; et Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales. |
Lancement d’un ouvrage collectif en histoire/géographie Le Département d’histoire et de géographie a invité la communauté universitaire à
assister au lancement de l’ouvrage collectif « Autour de la médicalisation.
Perspectives historiques, pratiques et représentation (15e-20e siècles) », paru aux
Presses de l’Université Laval sous la direction de Joceline Chabot, Daniel Hickey et
Martin Pâquet.
La santé occupe les titres à la une des journaux et des bulletins d’information qui
font débat dans l’espace public et privé. En première ligne, on y trouve le médecin
avec son savoir scientifique et un solide capital de sympathie qu’il accumule depuis
l’épanouissement du mouvement clinicien au 19e siècle. Pourtant, des résistances
demeurent devant l’autorité médicale, des résistances fondées sur les traitements et
les soins à donner aux patients.
Le présent ouvrage cherche à explorer l’évolution, les problèmes et les tensions qui
animent sur la longue durée le processus de la médicalisation dans nos sociétés.
Partant du Moyen Âge jusqu’à l’avènement contemporain de la médecine de
laboratoire, les 12 contributions sont le fruit du questionnement autour de l’enjeu
médical comme problème historique.
« Autour de la médicalisation » s’intéresse d’abord aux voies juridiques des
activités médicales et paramédicales de la période médiévale à la révolution
scientifique au 18e siècle. Puis, l’ouvrage explore les contours de l’exercice des
soins depuis le 19e siècle, en s’intéressant plus précisément aux infirmières, ces
praticiennes qui prennent soin de leurs patients. Dans un troisième temps, il étudie
l’élaboration et la propagation de nouvelles règles et normes à l’époque
contemporaine. Enfin, des contributions analytiques plus globales offrent une réflexion
sur la médicalisation comme processus sociohistorique dans une perspective
pluriséculaire.
Voici les autres personnes qui ont fait une contribution à cet ouvrage : Steven
Bednarski, Jérôme Boivin, Andrée Courtemanche, Johanne Daigle, Geneviève Dumas,
Olivier Faure, Jean-Marie Fecteau, Denis Goulet, Jeremy Hayhoe, Mélanie Morin-Pelletier
et Matthew Ramsay.
Renseignements : 858-4069 / joceline.chabot@umoncton.ca | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12316 | | Récital varié le 7 avril au Département de musique En cette fin de session, le Département de musique vous invite à assister à un récital
varié, le dimanche 7 avril à 19 heures dans la salle Neil-Michaud de l’édifice des
Beaux-arts au campus de Moncton.
Le public pourra entendre des chanteurs et chanteuses, des percussionnistes, des
pianistes, des guitaristes et des instrumentistes à vent de tous les niveaux. Cette
soirée mettra en vedette des étudiants et des étudiantes en interprétation.
L’entrée est libre. Bienvenue à toutes et à tous. Renseignements : 858-4041. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12310 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Jacques Poitras, de la CBC; François Giroux, responsable du Programme d’information-communication ; Donald Arseneault, député libéral provincial de Dalhousie-Restigouche-Est; Pascal Raiche-Nogue, président intérimaire de l’AAJ; Paul Robichaud, vice-premier ministre du Nouveau-Brunswick; Mathieu Roy-Comeau, secrétaire de l’AAJ; et Michel Corriveau, de Radio-Canada Acadie. |
L’interaction entre politiciens provinciaux et journalistes L’Association acadienne des journalistes (AAJ), en collaboration avec le Programme
d’information-communication de l’Université de Moncton, a organisé au campus de
Moncton une table ronde portant sur l’interaction entre les politiciens provinciaux et
les journalistes.
Les courriéristes parlementaires Jacques Poitras, de la CBC, et Michel Corriveau, de
Radio-Canada Acadie, ont discuté de leur travail quotidien et de ses défis en compagnie
du vice-premier ministre Paul Robichaud et du député libéral Donald Arseneault. Ils ont
abordé les différentes facettes de la relation souvent conflictuelle entre élus et
journalistes, donnant ainsi au public un coup d’œil inédit sur les coulisses du
journalisme politique.
Cette table ronde a également fait l’objet d’une webdiffusion en direct à partir du
blogue de l’Association acadienne des journalistes.
L’AAJ est un groupe sans but lucratif dont l’objectif est de favoriser l’unité des
journalistes des médias francophones des provinces de l’Atlantique sur toutes les
questions d’ordre professionnel. Le Programme d’information-communication forme de
futurs journalistes et communicateurs. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=12309 | |
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Image no 1 : Première contribution faite au fonds de bourses Clément-Cormier par l’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton, février 1978. De gauche à droite : George Bouchard, président de l’AAAUM, Jean Cadieux, recteur, Médard Collette, vice-recteur à l’administration, et Victor Ross, recteur adjoint. (Archives de l’Université de Moncton, campus de Moncton, B31-P1631)
Image no 2 : Le père Clément Cormier entouré de récipiendaires de bourses du fonds Clément-Cormier durant les années 1980. (Archives de l’Université de Moncton, campus de Moncton, UM-835)
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Le fonds de bourses le plus important à l’Université de Moncton
Parmi les 471 fonds de bourses existant à l’Université de Moncton, le fonds de bourses Clément-Cormier, créé en 1977 par l’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton (AAAUM), est le plus important. Il possède un capital qui dépasse aujourd’hui 3 millions de dollars. Depuis 1977, plus de 1 000 étudiantes et étudiants ont pu bénéficier d’une bourse de ce fonds pour une valeur totalisant plus de 2 millions de dollars. Clément Cormier, recteur- fondateur de l’Université, avait lui-même fait un don de 100 000 dollars à ce fonds de bourses en 1981.
Créé en 1903, la Société mutuelle l’Assomption, aujourd’hui Assomption Vie, fut l’une des premières institutions acadiennes à décerner des bourses d’études supérieures. Les deux premiers récipiendaires furent Alfred Gallant et Clifford Vienneau en 1904, deux Acadiens habitant Waltham, au Massachusetts, où la Société avait été fondée. Grâce à ces bourses d’une valeur de 100 dollars chacune, Gallant poursuivit ses études au Collège Sainte-Anne à Pointe-de-l’Église en Nouvelle-Écosse, alors que Vienneau s’inscrivit à l’Université du Collège Saint-Joseph à Memramcook (voir Euclide Daigle, Petite histoire d’une grande idée : Assomption Compagnie mutuelle d’assurance-vie, 1903-1978, Moncton, Imprimerie Acadienne Ltée, 1978, p. 58).
Institut d’études acadiennes
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