Vol. 43, no 15
13 décembre 2012
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Les chercheuses Hélène Savoie, assistante de recherche, et Jeanne Mance Cormier, conservatrice-recherchiste, au Musée acadien.
Une visite au musée a une influence sur la conscience historique des élèves au primaire
Une visite au Musée acadien de l’Université de Moncton semble avoir d’excellentes répercussions sur la rétention des connaissances historiques des élèves francophones du Nouveau-Brunswick.

C’est ce que révèlent les conclusions d’une recherche menée en 2009-2010 par Jeanne Mance Cormier et Hélène Savoie, respectivement conservatrice-recherchiste et assistante de recherche au Musée acadien. Cette étude a été entreprise dans le cadre du projet « Les Canadiens et leurs passés », une alliance de recherche universités-communauté (ARUC) financée par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada.

Jeanne Mance Cormier rappelle que le but de cette étude était d’étudier la connaissance de l’histoire acadienne chez les jeunes Acadiens et francophones du Nouveau-Brunswick afin de savoir si les visites de musées et de lieux patrimoniaux contribuent favorablement à l’apprentissage de l’histoire. L’enquête a nécessité la participation des élèves de 5e année provenant de différentes régions urbaines et rurales du Nouveau-Brunswick francophone (districts scolaires 1 et 9) et vivant dans différents environnements socioéconomiques et culturels.

Une méthode de recherche simple et divisée en trois phases a été utilisée. La première phase de l’enquête a eu lieu à l’automne 2009 et était constituée de visites en salle de classe par Mmes Cormier et Savoie. La deuxième consistait en une excursion des classes au Musée acadien afin de déterminer si la muséologie pouvait contribuer à une meilleure compréhension de l’histoire. L’excursion comprenait le visionnement d’un court métrage et une visite guidée de l’exposition permanente du musée. Quant à la troisième phase, elle a eu lieu à l’hiver et au printemps 2010 et était essentiellement constitué d’une deuxième visite en salle de classe par les deux chercheuses.

Lors des visites en classe, les élèves étaient invités à répondre à l’une des questions suivantes, soit par un texte ou un dessin : « Raconte ce que tu connais de l’histoire de l’Acadie à ta cousine ou à ton cousin en visite au Nouveau-Brunswick » et « Dessine ce que tu connais de l’Acadie à ta cousine ou à ton cousin en visite au Nouveau-Brunswick ». Cet exercice d’une durée approximative de 30 minutes était sous la supervision des deux chercheuses. Une analyse a ensuite été faite pour classer les renseignements obtenus par les participants et participantes.

Un aperçu des résultats permet de comprendre les effets d’une visite au musée. Lors de la phase 1, les cinq regroupements thématiques les plus fréquemment abordés par les élèves ont été les suivants : « drapeau acadien » (26 pour cent), « déportation et guerre » (14 pour cent), « musique » (12 pour cent), « célébration » (10 pour cent) et « références aux vieilles choses » (5 pour cent). Lors de la phase 3, les cinq regroupements thématiques les plus fréquemment mentionnés ont été « déportation et guerre » (28 pour cent), « drapeau » (16,5 pour cent), « personnages historiques » (6,2 pour cent), « références aux vieilles choses » (6,2 pour cent) et « musique » (5,7 pour cent).

Après la visite guidée au Musée acadien (phase 2), l’importance des thèmes a considérablement changé. Le thème « déportation et guerre » s’est retrouvé en première place avec plus de 28 pour cent des réponses reçues. D’autre part, le thème générique du « drapeau » a perdu de l’importance auprès des élèves participant à l’étude. Le regroupement des personnages historiques était pratiquement inexistant lors de la première collecte de données mais gagne en importance dans la troisième phase du projet. Le regroupement thématique, intitulé « Références aux vieilles choses », a connu une légère augmentation. Enfin, concernant le regroupement thématique portant sur la musique, l’association de la musique avec la saison estivale et les vacances a fait place à la musique dans le contexte d’activités familiales et scolaires.

« Certaines limites doivent être prises en compte mais les résultats de cette recherche permettent de constater que l’expérience vécue lors d’une visite muséale a un impact favorable sur l’apprentissage des élèves du primaire, ajoute Mme Cormier. Pour la nouvelle génération, qui est habituée à un environnement hautement technologique et stimulant, le concret et le dynamisme que l’on retrouve lors d’une visite au Musée acadien semblent avoir des répercussions directes sur la rétention des connaissances. »

Par ailleurs, la portée de cette analyse ne se limite pas uniquement au Musée acadien, mais bien à l’ensemble des diverses ressources externes disponibles pour les écoles, comme des visites de lieux patrimoniaux ou des visites de musiciens acadiens en milieu scolaire.

« En conclusion, pense-t-elle, il semble nécessaire et souhaitable de solidifier le partenariat entre les musées et le milieu scolaire. Il est important d’encourager les sorties éducatives puisqu’elles complémentent l’enseignement en salle de classe et enrichissent les connaissances des élèves. »

Rappelons que Jeanne Mance Cormier est employée par le Musée acadien de l’Université de Moncton depuis 24 ans et qu’elle occupe le poste de conservatrice depuis 20 ans. Ses intérêts professionnels s’orientent principalement en gestion muséale, à l’éducation aux adultes et en interprétation. Au cours des dernières années, elle a créé et collaboré à plusieurs projets de création médiatique pédagogique en lien avec la culture matérielle acadienne. Son intérêt pour l’interprétation muséale l’amène également à développer de nouveaux éléments d’interprétation pour les expositions.

Quant à Hélène Savoie, est une conseillère en orientation et possède le baccalauréat en éducation secondaire de l’Université de Moncton. Son expérience de travail est diverse; elle a été impliquée dans le milieu de l’éducation en tant qu’enseignante d’anglais, conseillère en éducation au Collège communautaire du Nouveau-Brunswick et coordonnatrice coop au Bureau de l’enseignement coopératif de l’Université de Moncton. Elle a également été assistante de recherche au Musée acadien de l’Université de Moncton. Pendant ses études, elle a travaillé au Musée en tant que guide interprète, puis elle a continué à collaborer en tant qu’assistante en recherche lorsqu’une chance de participer à un projet sur le terrain s’est présentée, ce qui lui a permis de se consacrer à sa passion pour l’histoire acadienne.

Le projet de recherche du Musée acadien, « De l’influence d’une visite au musée sur la conscience historique des élèves du primaire », vient d’être publié dans Canadian Journal for Social Research. (http://www.acs-aec.ca/en/publications/canadian-journal-social-research/ ).

Renseignements : 506-858-4088 / jeanne-mance.cormier@umoncton.ca
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Sarah Leblanc, directrice générale du Regroupement féministe francophone du Nouveau-Brunswick; Paulette Sonier-Rioux, présidente sortante de l'Alliance canadienne des femmes francophones; Jeanne d'Arc Gaudet, récipiendaire; Marie-Claude Michaud, organisatrice de la soirée et stagiaire au Regroupement féministe; et Sylvie Morin, présidente du Regroupement féministe francophone du Nouveau-Brunswick.
Jeanne d'Arc Gaudet est la «Femme remarquable 2012» de l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne
L’Alliance des femmes de la francophonie canadienne a remis le prix «Femme remarquable» 2012 à Jeanne d’Arc Gaudet, professeure au Département d’enseignement au secondaire et des ressources humaines de la Faculté des sciences de l’éducation, le vendredi 7 décembre lors d’une cérémonie organisée à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen du campus de Moncton.

La remise de ce prix de l’AFFC, qui s’est fait par l’entremise de son association membre, Le Regroupement féministe du Nouveau-Brunswick, a eu lieu sous la présidence de Sylvie Morin.

Depuis plusieurs décennies déjà, Jeanne d’Arc Gaudet est reconnue pour son engagement et son militantisme envers la cause des femmes. Figure dominante en matières d’études féministes grâce à de nombreux projets de recherche, elle exerce également un rôle de leadership, de mentor et de directrice de thèse auprès de plusieurs jeunes femmes étudiantes auxquelles elle enseigne. Son engagement se poursuit encore, notamment dans la défense des droits des Acadiennes et des Acadiens de l’Acadie du Nouveau-Brunswick. Elle est actuellement vice-présidente de la Société de l’Acadie du Nouveau-Brunswick.

Dans le passé, Mme Gaudet a occupé le poste de présidente du Réseau national d’éducation femmes, celui de présidente du Conseil consultatif sur la condition de la femme du Nouveau-Brunswick ainsi que celui de présidente-organisatrice de plusieurs colloques en tant que professeure. Elle est également une activiste reconnue dans la lutte pour vaincre le cancer du sein.

Les femmes présentes à Ottawa lors de l’Assemblée générale annuelle de l’AFFC en septembre dernier n’ont pu que saluer l’attribution de cette distinction hautement méritée à Mme Gaudet qui était, on se souviendra, une personne ressource importante lors de l’amalgame en 2005 de trois groupes nationaux dans le but de fonder l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne.

L'Alliance des femmes de la francophonie canadienne rassemble les groupes de femmes francophones du Canada en situation minoritaire. Elle revendique leurs droits et soutient les actions menant à leur épanouissement et au développement de leurs communautés.

Renseignements : Manon Beaulieu, au 1-866-535-9422 / info@affc.ca
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales; Roger Boulay, directeur des Services aux étudiantes et étudiants; Danny Cormier, gestionnaire aux Technologies de l’apprentissage à la Direction générale des technologies; Jean-Marie Thériault, chargé d’enseignement au Département d’enseignement au primaire et de psychopédagogie à la Faculté des sciences de l’éducation; Josée Nadeau, boursière au Département d’enseignement au primaire et de psychopédagogie; Matthieu LeBlanc, professeur au Département de traduction et des langues; Cynthia Potvin, professeure au Département de traduction et des langues; Carole Essiembre, coordonnatrice du Programme d’appui à la réussite des études; et Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche.
Formation médiatisée portant sur l’enseignement universitaire aux étudiants en situation de handicap ou présentant un trouble d’apprentissage
Le lancement officiel d’une formation médiatisée, intitulée « Enseignement universitaire aux étudiantes et aux étudiants en situation de handicap ou présentant un trouble d’apprentissage » a eu lieu le 7 décembre.

Accessible sur la plateforme Clic, cette formation destinée principalement au corps professoral comprend dix modules. Le module d’introduction permet notamment de se familiariser avec la situation actuelle de l'inclusion scolaire au Nouveau-Brunswick, de connaître la politique et le règlement universitaire relatifs aux étudiantes et aux étudiants ayant un handicap ou présentant un trouble d'apprentissage, d’explorer les mesures d’adaptation possibles et de se renseigner sur les services offerts aux étudiantes et aux étudiants de même qu’aux professeures et professeurs.

Les neuf autres modules portent respectivement sur un trouble d’apprentissage ou un handicap particulier, dont la dyslexie, la dyscalculie, la dysorthographie, la déficience visuelle, la déficience auditive, le déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité, le trouble envahissant du développement (Syndrome d’Asperger), la déficience motrice et la condition médicale chronique. Chacun des modules présente une définition du handicap ou du trouble d’apprentissage, résume les causes, décrit les principales manifestations et explorent les implications pédagogiques en terme de mesures d’adaptation possibles. Les différents modules contiennent également des vidéoclips présentant des témoignages de professeurs, d’étudiants et autres personnes ressources.

La formation a été réalisée grâce au soutien financier du gouvernement du Nouveau-Brunswick. Les partenaires qui ont collaboré à la conception et l’élaboration de ce projet sont le Groupe des technologies de l’apprentissage, la Faculté des sciences de l’éducation (dont les professeurs Josée Nadeau et Jean-Marie Thériault qui ont agi à titre d’experts de contenu), le Programme d’appui à la réussite des études, le Service d’animation et de soutien à l’enseignement (SASE) et le Service aux étudiantes et aux étudiants ayant un handicap. Des membres du corps professoral des trois campus ont aussi participé à sa conception.

Renseignements : 506-858-4387 / anne.daigle@umoncton.ca
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L’Observatoire international des droits linguistiques est coorganisateur d’un colloque en Thaïlande
L’Observatoire international des droits linguistiques de la Faculté de droit de l’Université de Moncton est l’un des coorganisateurs du 13e colloque bisannuel de l’Académie internationale de droit linguistique.

Le colloque, intitulé « Droits linguistiques, inclusion et la prévention des conflits ethniques », a lieu du 13 au 17 décembre à Chiang Mai, en Thaïlande, et réunira environ 100 experts en matière de droits linguistiques provenant des quatre coins du monde.

L’Observatoire international des droits linguistiques et la Faculté de droit y seront également bien représentés. Le directeur de l’Observatoire, Michel Doucet, présentera « L’État, la démocratie et la reconnaissance du groupe linguistique minoritaire »; Me Michel Bastarache, membre du comité de gestion de l’Observatoire et professeur associé de la Faculté de droit, présentera « Les garanties linguistiques : droits humains ou instruments d’intégration sociale au Canada »; Serge Rousselle, professeur à la Faculté de droit, présentera « Justification et moyens de mise en œuvre des droits linguistiques et culturels des minorités dans une démocratie libérale »; et Fernand de Varennes, conseiller scientifique de l’Observatoire, en est l’organisateur principal.

Renseignements : Michel Doucet, au 863-2136.
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Dans la photo, Louis R. Comeau et son épouse Clarisse, à gauche, sont accompagnés d’André G. Richard, président du Conseil des gouverneurs, et du recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge.
Le Conseil des gouverneurs rend hommage au chancelier Louis R. Comeau
À sa dernière réunion, le Conseil des gouverneurs a rendu hommage à Louis R. Comeau qui mettra fin à son mandat de chancelier de l’Université de Moncton le 31 décembre prochain.

En décembre 2004, M. Comeau a succédé à Roméo LeBlanc, ancien gouverneur général du Canada, à titre de septième chancelier de l'Université de Moncton. Il a entamé son deuxième mandat de cinq ans le 1er janvier 2010.

Natif de Meteghan, en Nouvelle-Écosse, M. Comeau a oeuvré dans les domaines de l'éducation, de la politique, de l'administration publique et des affaires. Il a notamment été le premier recteur laïc de l'Université Sainte-Anne et a occupé pendant 13 ans les fonctions de président et de chef de la direction de la Société d'énergie de la Nouvelle-Écosse.
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L’Atelier d’opéra de l’Université de Moncton présente Cendrillon au Théâtre Capitol
L’Atelier d’opéra de l’Université de Moncton, en collaboration avec le Théâtre Capitol, présente « Cendrillon », de Jules Massenet, le samedi 26 janvier à 19 h 30 et le dimanche 27 janvier à 14 heures.

Cette production rassemble principalement sur une même scène les étudiants du Département de musique de l’Université de Moncton, les danseurs de ballet de l’Académie de ballet classique et de danses modernes ainsi que des membres de la communauté. Cet opéra est chanté en français avec des surtitres en anglais.

Quand le fantastique rencontre le théâtral
Inspiré du conte de Charles Perrault, « Cendrillon » est un opéra en quatre actes et six tableaux, de type conte de fée et composé par Jules Massenet sur un livret d'Henri Cain et de Paul Collin. L'oeuvre a été composée en 1894-1895 et présentée pour la première fois à l'Opéra-comique de Paris le 24 mai 1899 où il a connu un grand succès. « Cendrillon » figure parmi les opéras de Massenet les plus souvent mis en scène avec « Manon et Werther ». (Wikipedia)

L’Atelier d’opéra de l’Université de Moncton s’attaque pour une première fois à ce populaire conte de fée. « En observant les étudiants de la classe de chant, nous savions que nous avions de bons acteurs pour interpréter les rôles de cet opéra, estime Monette Gould, directrice artistique et professeure de chant à l’Université de Moncton. Il s’agit d’une histoire connue de tous sur une superbe musique de Massenet. Cet opéra saura plaire aux petits comme aux plus grands. »

René Poirier, qui signe la mise en scène et la scénographie, souligne que la musique de Massenet l’a énormément inspiré. Il a voulu présenter les deux univers présents dans cet opéra : « D’un côté, il y a l’univers féérique et fantastique de Cendrillon et de l’autre, il y a le monde plus théâtral, voire burlesque, de la méchante belle-mère et des demi-sœurs. La scénographie s’appuie sur le foyer comme objet symbolique qui est en quelque sorte la porte d’entrée entre l’univers fantastique et le monde réel. Même au niveau des costumes, nous avons opté pour une esthétique plutôt classique, mais qui en même temps appartient à un univers intemporel. C’est un bel opéra qui fera rêver bien des gens. »

L’équipe de production
Monique Richard s’ajoute à l’équipe de production; elle dirige l’orchestre composé d’étudiants du Département de musique de l’Université de Moncton et de musiciens professionnels. Les autres membres de l’équipe sont Sébastien Leclerc, pianiste-accompagnateur, Bernice Losier, assistante à la mise en scène, Annik Landry, à la régie et assistante à la scénographie, Louise Lemieux, conceptrice de l’éclairage, et Lynn Losier, Bernice Goguen et Nicole Gallant, à la conception des costumes.

La distribution est composée d’étudiants en chant ainsi que du Département de musique en général, des gens de la communauté universitaire et de la région de Moncton en plus de danseurs de l’Académie de ballet classique et de danses modernes.

Les billets sont présentement en vente à la billetterie du Théâtre Capitol au coût de 19 $ à 25 $ (frais compris). Cette production est présentée par Taylor Printing Group Inc. dans le cadre de la saison 2012-2013 du Théâtre Capitol présenté par Molson M.

Renseignements : 856-4379 / 1-800-567-1922 / www.capitol.nb.ca
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Corinne Gallant
Corinne Gallant est une pionnière du féminisme en Acadie
Le recteur, Raymond Théberge, et Isabelle McKee-Allain, directrice de l’Institut d’études acadiennes, vous invitent au lancement du livre « Corinne Gallant : une pionnière du féminisme en Acadie », de Simone LeBlanc-Rainville, le mardi 18 décembre à 16 heures dans la salle Richelieu du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Le lancement de cet ouvrage, premier titre de la collection « Mémoire biographique » de l’Institut d’études acadiennes, est présenté dans le cadre des activités entourant le 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton. Cette collection est consacrée aux paroles d’Acadiennes et d’Acadiens qui ont contribué au développement de leur société.

Il faut confirmer votre présence au plus tard le vendredi 14 décembre en communiquant avec Gisèle Brun, au 858-4883, ou par courriel à relationsuniversitaires@umoncton.ca
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Louis LaPierre
Louis LaPierre est décoré de l’Ordre du Canada
Louis LaPierre, professeur émérite en biologie à l’Université de Moncton, a été nommé membre de l’Ordre du Canada lors d’une cérémonie à Rideau Hall le 23 novembre, en reconnaissance de sa contribution à la protection et à la préservation de l'environnement tant à l’échelle locale que sur la scène provinciale et nationale.

Le professeur Lapierre a été professeur d’écologie et d’aménagement de la faune à l’Université de Moncton de 1970 à 1999. Pendant ses années d’enseignement, il a dirigé le programme de maîtrise en études de l’environnement ainsi que le Centre de recherche en études de l’environnement. Il a également été titulaire de la Chaire d’études K.C Irving en développement durable pendant huit ans.

M. Lapierre a siégé à de nombreux comités et a participé à de nombreuses tables rondes et consultations sur la scène provinciale, nationale et internationale. Il a par ailleurs participé aux commissions d’examens environnementaux et depuis 2001, il est réviseur pour la Loi canadienne sur la protection de l’environnement.

Sa contribution importante à la protection de l’environnement a été soulignée par de nombreuses distinctions reçues tout au long de sa carrière. Il a reçu le Prix écotouristique de la British Ariways en reconnaissance de son travail sur le développement du projet écotouristique de la dune de Bouctouche. Il est également récipiendaire de deux prix de service professionnel, le premier remis par la compagnie Jacques Whitford Environmental et le second par l’Agence d’évaluation environnementale canadienne.

L’Université Sainte-Anne de la Nouvelle-Écosse lui a décerné en 2001 un doctorat honorifique ès sciences, et l’Université de Moncton l’a nommé professeur émérite en biologie en 2003.

Depuis 1996, M. Lapierre est le président et directeur général de l’Institut pour la surveillance et la recherche environnementales, un organisme qui a pour but de surveiller les incidences environnementales des vols d'entraînement des forces aériennes alliées effectués au-dessus des régions du Labrador et du nord-est du Québec.
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La photo nous fait voir de gauche à droite, 1re rangée : Donald N. Plett (Manitoba); Percy Mockler, président (Nouveau-Brunswick); et Fernand Robichaud, vice-président (Nouveau-Brunswick); 2e rangée : Pascal Audet, directeur du Centre de recherche sur les aliments; Marc Surette, professeur au Département de chimie et biochimie; Paul E. Bourque, doyen de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires; Terry M. Mercer (Nouvelle-Écosse); Natalie Carrier, directrice de l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales; Ghislain Maltais (Québec); Denyse LeBlanc, Agriculture et agroalimentaire Canada; et Michel Rivard (Québec).
Le Comité sénatorial permanent de l’agriculture et des forêts était de passage à l’Université de Moncton
Dans le cadre de sa tournée nationale, le Comité sénatorial permanent de l’agriculture et des forêts, avec à sa présidence le sénateur Percy Mockler du Nouveau-Brunswick, était de passage à l’Université de Moncton le 27 novembre dernier.

Le Sénat du Canada a saisi le Comité sénatorial du mandat d’étudier le développement de nouveaux marchés sur la scène nationale et internationale, le renforcement de la viabilité agricole, et l’amélioration de la diversité, de la sécurité, de la salubrité et de l’innovation alimentaires.

La visite au campus de Moncton comprenait un déjeuner-causerie avec des membres du corps professoral de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires et de la Faculté des sciences, ainsi qu’une visite du Centre des technologies et des sciences de la santé. La directrice, Natalie Carrier, en a profité pour présenter les activités de l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales et du Centre de recherche des aliments. Le professeur Marc Surette, du Département de chimie et biochimie, a présenté quant à lui son projet de recherche traitant du développement de produits naturels.
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Écrire, lire et apprendre à l’âge adulte
Vient de paraître « Écrire, lire et apprendre à l’âge adulte », sous la direction de Rachel Bélisle, avec un soutien à la réalisation du Centre d’études et de recherches sur les transitions et l'apprentissage (CERTA) de l’Université de Sherbrooke.

Alors que pendant longtemps, écriture et lecture ont été associées à des activités scolaires, les recherches sur les pratiques sociales de l’écrit montrent que ces pratiques soutiennent souvent l’apprentissage expérientiel, l’apprentissage dans la vie de tous les jours ou l’apprentissage informel, qu’il soit fait au travail ou ailleurs.

Compte tenu de l’importance accordée, dans la perspective contemporaine de l’apprentissage tout au long de la vie, à l’apprentissage réalisé à l’âge adulte et à la reconnaissance des acquis et des compétences développées en dehors de programmes scolaires, il paraît fructueux de retracer la présence de l’écrit dans la vie quotidienne des adultes et des jeunes adultes pour mieux appréhender l’apprentissage qu’ils y font ou pourraient y faire. Cette attention est d’autant plus importante quand il s’agit de mieux comprendre l’apprentissage informel des jeunes adultes et des adultes n’ayant pas de diplôme d’études secondaires qui ont, moins que les autres, accès aux activités de formation les plus structurées offertes par les établissements d’enseignement ou les entreprises.

À partir de deux groupes de travaux de recherche, le premier sur les pratiques sociales de l’écrit, le deuxième sur l’apprentissage expérientiel, informel, au travail ou dans la vie de tous les jours, cet ouvrage permet de mieux comprendre le rôle que joue l’écrit dans l’apprentissage à l’extérieur de l’école et à l’âge adulte de personnes qui sont souvent sans premier diplôme du secondaire.

Les auteures de ce collectif font état de leurs travaux au Québec, en Grande-Bretagne et au Mali. L’ouvrage fait appel à la contribution d’universitaires du Québec (UQAM, Université de Sherbrooke), du Nouveau-Brunswick (Université de Moncton), de Grande-Bretagne (Lancaster University) et de France (École des hautes études en sciences sociales de Paris).

Les textes sont de Rachel Bélisle, Uta Papen, Aïssatou Mbodj, Marie Cardinal-Picard, Danielle Desmarais, Ève Lamoureux, Virginie Thériault, Chantal Ouellet, Isabelle Rioux ainsi que la professeure Johanne Barrette, coordonnatrice des programmes en éducation des adultes au Département d’enseignement au secondaire et des ressources humaines à la Faculté des sciences de l’éducation du campus de Moncton.

Cet ouvrage est disponible en librairie ou sur commande à www.pulaval.com
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Jamie Fitzel, étudiante du premier cycle; Sylvia Kasparian, professeure en linguistique; Jean-Christophe Leclerc, étudiant du premier cycle; Martin Momha, postdoctorant hébergé au Laboratoire d’analyse de données textuelles, travaillant sous la direction de la professeure Sylvia Kasparian; Natalie Chiasson-Albert, étudiante du troisième cycle; Natacha Pominville, étudiante du deuxième cycle; Caroline Roy, étudiante du premier cycle; Line Losier, étudiante du troisième cycle; Yannick Nganhou, étudiant au deuxième cycle; et Awa Diakhate, étudiante au deuxième cycle.
Mini-colloque des étudiants et des étudiantes des cours de linguistique
Le mini-colloque des étudiants des cours de linguistique LING 4990 - Méthodologie de la recherche et LING 7820 - Analyse conversationnelle, de la professeure Sylvia Kasparian, a eu lieu le vendredi 7 décembre.

Lors de ce colloque, les étudiants et étudiantes des trois cycles ont présenté des communications aussi variées que « L’intégration des mots anglais dans les chansons acadiennes » (Jamie Fitzel), « Le sexisme par le genre dans le dialecte acadien », (Jean-Christophe Leclerc), « La prise de pouvoir dans le débat télévisé l’Antichambre » (Caroline Roy), « Les rituels de politesse dans les relations entre chef religieux et son disciple au sein de la communauté mouride au Sénégal », (Awa Diakhate), « Le Canadien poli et l’Américain impoli : étude de la politesse stéréotypée dans le film Due South » (Natacha Pominville), « Les insultes dans la conversation au Cameroun » (Yannick Nganhou), « Violence verbale dans les montées en tension » (Natalie Chiasson-Albert), et « L’impolitesse rituelle chez les adolescents : le cas des étudiants en techniques correctionnelles » (Line Losier).
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La photo nous fait voir le nouveau conseil d’administration. Il s’agit, de gauche à droite, Jeanne Farrah, B. Sc. Soc. 1988, M.A.P. 1991, directrice des Anciens et amis; Michel Rivard, B.A. 1974, conseiller; Suzanne Drapeau-McNally, D.S.S. 1997, conseillère; Luc Gaudet, B.A.A. 1992, secrétaire-trésorier; Marc-Antoine Chiasson, L.L.B. 1997, 1er vice-président; Stéphane Robichaud, B. Sc. Soc. 1992, M.B.A. 2009, président; Marie-France Doucet, B.A.A. 1994, M.B.A. 2003, présidente sortante; Mathieu Bourque, B.A.A. 1999, M.B.A. 2005, conseiller; Michelyne Paulin, B.A.A. 1978, 2e vice-présidente; Adélard Cormier, B.A. 1970, B. Ed. 1976, M. Ed. 1988, représentant des anciens présidents. Absences dans la photo : Claude Gallant, B.S.A. 1984, représentant Aigles Bleus; Pascal Robichaud, B. Sc. Soc. 1992, M.A.P. 1993, représentant de l’Université de Moncton; et Joëlle Martin, représentante étudiante.
AAAUM : une programmation diversifiée et des partenariats fructueux
L’Association des anciens, anciennes et amis de l'Université de Moncton, campus de Moncton (AAAUM) a tenu son assemblée générale annuelle le 22 novembre dernier.

En présence d’une trentaine de membres, l’Association a présenté son rapport annuel 2011-2012 qui retrace les grandes réalisations entreprises dans le cadre de son plan stratégique. On a connu pendant l’année beaucoup de collaborations et de partenariats qui ont permis à l’AAAUM de poursuivre ses objectifs qui sont de contribuer à la vie étudiante, maintenir des liens privilégiés avec les finissants et instituer auprès des diplômés une culture d’appartenance à leur alma mater.

Le recteur, Raymond Théberge, en était à sa première participation à l’assemblée annuelle et en a profité pour souligner le rôle important des diplômés envers l’Université de Moncton. Il a rappelé la chance pour notre Université de pouvoir encore bénéficier 50 ans plus tard de la présence de celles et ceux qui l’ont vue naître et qui continuent de prendre fait et cause pour elle aujourd’hui.

Lors de cette même réunion, l’AAAUM a procédé à l’élection d’un nouvel exécutif. Après avoir siégé au conseil d’administration pendant trois ans, Stéphane Robichaud a été élu à la présidence pour un mandat de deux ans. M. Robichaud est le directeur général du Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick depuis mars 2008. Il a précédemment oeuvré pendant un an comme vice-président planification et opération avec l’ancienne régie régionale de la santé Beauséjour. Avant de joindre la régie, il était vice-président Atlantique de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante.

« Je suis honoré qu’on m’ait confié la responsabilité de présider cette association qui a comme mission de créer des liens entre l’Université de Moncton et les différentes générations qui l’ont côtoyée, mentionne-t-il. Les nombreuses initiatives mises de l’avant au cours des dernières années reflètent l’intérêt des diplômés envers leur institution, ce qui me réjouit et m’interpelle à poursuivre dans cette même lancée tout en mettant aussi l’accent sur la façon dont l’Association peut contribuer à enrichir l’expérience étudiante. »

Marie-France Doucet restera en poste pendant un an à titre de présidente sortante. Marc-Antoine Chiasson et Michelyne Paulin ont été respectivement élus pour un mandat de deux ans à titre de premier vice-président et deuxième vice-présidente. Luc Gaudet a été réélu pour un nouveau mandat de deux ans à titre de secrétaire-trésorier. Michel Rivard, Suzanne Drapeau McNally et Mathieu Bourque agiront comme conseillers pour un mandat d’un an. Le conseil est également composé de représentants des comités de l’AAAUM, soit celui des anciens présidents et anciennes présidentes représenté par Adélard Cormier et des Aigles Bleus représenté par Claude Gallant. La présidente de la FÉÉCUM, Joëlle Martin, ainsi que le représentant de l’Université de Moncton, Pascal Robichaud, complètent ce conseil d’administration.

Au cours de la prochaine année, l’Association organisera deux conférences dans le cadre des festivités entourant le 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton, en plus de mener un sondage auprès des diplômés afin d’évaluer le sentiment d’appartenance en posant des questions spécifiques sur les communications, la programmation et la révision du nom de l’AAAUM.

L’AAAUM, un organisme à but non lucratif qui regroupe plus de 45 000 personnes, a pour mandat d’assurer des liens entre les diplômées, diplômés et amis de l'Université de Moncton et leur alma mater.

Pour consulter le rapport annuel 2011-2012, visitez le www.umoncton.ca/umcm-anciens

Renseignements : Jeanne Farrah, au 858-4130.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11591
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La photo, prise lors de la remise d’un prix de reconnaissance à Lita Villalon pour sa participation au Forum, nous fait voir, de gauche à droite, Dr. Eliezer Zamarripa, coordonnateur du programme de maîtrise en ciencias biomédicas y de la Salud; Mme Villalon; et Dr. Teresita Saucedo-Molina, professeure chercheuse.
Lita Villalon est conférencière à l’Université de l’État d’Hidalgo au Mexique
Le deuxième Forum de recherche en sciences biomédicales et de la santé a eu lieu du 6 au 10 novembre à l’Institut de sciences de la santé (ISS) de l’Université de l’État d’Hidalgo (UAEH), au Mexique.

Des professeurs chercheurs en médecine, nutrition, science infirmière, pharmacie, psychologie et odontologie ont participé à ce Forum pendant lequel on a présenté des travaux de recherche des étudiantes et étudiants de deuxième cycle de l’ISS.

Deux chercheurs internationaux, le spécialiste Mitchel J. Doktycz (nanoscale systems), de l’Oak Ridge National Laboratory, et Lita Villalon, professeure à l’École de sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales de l’Université de Moncton, ont été invités à prononcer une conférence portant sur leurs projets de recherche afin d’inspirer les étudiants de deuxième cycle dans leur future carrière en recherche, et de faciliter diverses collaborations internationales en recherche entre académiciens et chercheurs.

La professeure Villalon a prononcé la conférence plénière, intitulée « Études sur la malnutrition et le risque nutritionnel chez les personnes âgées au Nouveau-Brunswick ». Une soixantaine des personnes ont assisté à la présentation d’une heure qui a été suivie d’une période de questions d’une quinzaine de minutes.

Lors de son passage à l’UAEH, Mme Villalon a assisté, à titre de codirectrice de thèse, à la soutenance de maîtrise en sciences biomédicales et de la santé de Jessica Zaragoza Cortés. Le titre de son projet de recherche était « Factores de Riesgo Asociados a Trastornos de la Conducta Alimentaria. Estudio Comparativo entre Estudiantes Francófonos de la Universidad de Moncton, Canadá y Estudiantes Hispanos de la Universidad Autónoma del Estado de Hidalgo, México ». La directrice de thèse était Dr Teresita de Jésus Saucedo-Molina.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11589
Soutenance de thèse de maîtrise d’Amy Pelletier en psychologie
Il y aura une soutenance de thèse de maîtrise en psychologie d’Amy Pelletier, intitulée « Est-ce que les enfants autistes performent mieux sur une tâche de recherche globale/locale que les enfants à développement normal ? », le mercredi 19 décembre à 10 h 30 dans le local 536 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

La directrice de la thèse est la professeure Sarah Pakzad.

Renseignements : 858-4864.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11588
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La photo, prise lors du lancement, nous fait voir, de gauche à droite, Denis Saulnier, des Éditions de la Francophonie; Janelle Misner, Martin Brideau, la professeure Danielle Nolin, Lisa Freiman et Sylvain Lebrun.
« Du banc d’école à enseignant », un collectif publié sous la direction de Danielle Nolin
Le lancement du livre « Du banc d’école à enseignant - des histoires de vie », un collectif sous la direction de Danielle Nolin, chargée d’enseignement à l’École de travail social de l’Université de Moncton, a eu lieu le 7 décembre au campus de Moncton.

Dans cet ouvrage paru aux Éditions de la Francophonie, 49 étudiantes et étudiants inscrits au baccalauréat en éducation à l’Université de Moncton nous livrent leur vision, leurs expériences et leurs espoirs par rapport au monde de l’enseignement. Ils nous entraînent dans des récits parfois drôles, parfois tristes, mais toujours touchants puisque c’est de l’avenir de nos enfants dont il est question.

Le projet qui a donné naissance à ce livre avait un double but; d’abord, proposer aux étudiants et étudiantes de porter un regard sur le métier d’enseignant et enseignante, et ensuite les amener à élaborer une réflexion critique sur la profession dans une perspective qui va au-delà des disciplines et des niveaux d’enseignement, tout en étant ancrée dans la réalité francophone du Nouveau-Brunswick.

Le résultat est un matériel pédagogique riche tant pour les futurs enseignants et enseignantes que pour les enseignants et les parents qui s’interrogent sur l’avenir de l’éducation.

Mme Nolin est professeure à l’Université de Moncton depuis 2009, d’abord au Département d’enseignement au secondaire et des ressources humaines de la Faculté des sciences de l’éducation. Elle est reconnue pour ses pratiques pédagogiques novatrices basées sur le théâtre d’intervention, l’écriture et les histoires de vie en formation d’adulte.

Voici les étudiants et étudiantes qui ont participé à ce collectif :
Israël Guay « Guide de survie »
Jasmine Manuel « Motiver les jeunes à atteindre leur plein potentiel »
Mélanie Durepos « Madame Micheline Durepos »
Renée-Claude Bérubé « Estime de soi »
Iselle Manuel « Comment étudier quand on ne l’a jamais fait »
Lisa Freiman « Créativité. Passion… Les clés de l’avenir »
Martin Brideau « Le harcèlement ou comment apprendre à pêcher »
Kim Saulnier « Ce n’est pas facile, mais c’est possible »
Mathieu Robichaud « Un bibliophile autoproclamé discute de l’amour de la lecture »
Pierre-Luc Ladrie « L’importance de l’activité physique »
Amanda Brown « Chère Ange »
Sonia LeBlanc « Il y a toi et ensuite… moi »
Jean-Michel Dupuis « Cher élève du secondaire »
Jonathan Martin « Bonjour, mon ami Roger »
Deanna Whalen « Sois informé ! »
Rébécca Éthier « Chers élèves »
Sylvain LeBrun « Bonjour à toi »
Véronique Breau « Chère idée préconçue »
Tanya Bellefleur « La lune de miel de l’enseignant »
Alexandre Richard « Éducation physique : un domaine pour tous ? »
Alexa-Maude Mallais « Cher concepteur de programme d’études »
Carl-André Devost « Monsieur Jody Carr »
Jolaine Lajoie « Mes chers élèves »
Mélanie Rachel Basque « Crois en toi et va au bout de tes rêves »
Kevin Lavigne « Aux futurs enseignants qui terminent un stage en éducation »
Zoé Gauvin « Bonjour, Annie »
Véronique Michaud « Futurs stagiaires »
Josée Haché « Kaleb »
Mélissa Mercier « Bonjour, chers enseignants, chères enseignantes »
Janelle Misner « Chère enseignant associée »
Tanya LeBreton « Cher Samuel »
Josée Martin « Chers enseignants qui voulez changer le monde »
Julie Henri « Bonjour, chers futurs collègues de travail »
Mélissa Gallagher « Bonjour, futurs enseignants »
Kyle Bishop « Cher Alex »
Tania Allard « Les enfants oubliés »
Valérie Blanchette « Chers enseignants exceptionnels qui avez su marquer mon passé »
Vanessa Léger « Cher M. Desjardins »
Geneviève LeMay « Les facteurs reliés à la motivation scolaire »
Guy Savoie Power « Un petit geste suffit pour changer les choses… »
Jessie Jean « Bonjour, M. Labonté »
Lee-Ann Miller « De la tradition à l’innovation : n’ayez pas peur de changer de route… »
Jolène Léger « Aux enseignants et aux enseignantes qui ont oublié… »
Mindy Gagné « À la peur qui m’habite »
Renelle Levesque « Chère Yvette »
Sarah Trombetta « Quel sens donner à l’évaluation en éducation ? »
Tracy DeGroot «Cher Olivier »
François Crépault « Le jeu d’échecs »
Ghislain Haché « Cher masqué »

Ce livre est en vente à la Librairie acadienne du campus de Moncton.

Renseignements : Danielle Nolin, au 506-850-5576 / www.editionsfrancophonie.com
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11587
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Hector Alvarez, chef des services publics de la Bibliothèque Champlain, Christophe Traisnel, codirecteur du domaine Communautés accueillantes de Métropolis Atlantique et professeur au Département de science politique, Donna Augustine, ainée de la réserve Elsipogtog (Big Cove); Sylvia Kasparian, codirectrice du Domaine Communautés accueillante de Métropolis Atlantique, professeure au Département d’études françaises et directrice du numéro spécial; et Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales de l’U de M.

Revue Thèmes Canadiens : numéro spécial portant sur les relations Autochtones-immigrants aujourd’hui

Le lancement du numéro spécial de la revue Thèmes Canadiens, été 2012, consacré aux relations Autochtones –immigrants, a eu lieu à la Bibliothèque Champlain au campus de Moncton le vendredi 30 novembre dernier.



Sous la direction de Sylvia Kasparian, codirectrice du domaine Communautés accueillantes de Métropolis Atlantique et professeure au Département d’études françaises de l’Université de Moncton, cette publication est une première qui aborde l’immigration d’un point de vue novateur celui des relations Amérindiens-immigrants.



L’immigration gagne de l’intérêt depuis plus d’une vingtaine d’années. Différents aspects ont été traités et revisités dans le souci d’améliorer le recrutement, l’accueil, l’intégration et la rétention des immigrants. Toutefois, cette réflexion de fond sur l’immigration et l’intégration des immigrants au Canada a toujours mis en perspective, presqu’exclusivement la relation entre les immigrants et le groupe dominant. Il y a peu ou quasiment aucune mention de la relation des immigrants avec les Autochtones dans les écrits ou discussions liés aux immigrants.



Pourtant les Autochtones ont été les premières communautés accueillantes du Canada. Nous avons certainement beaucoup à apprendre d’elles lors de nos réflexions concernant les communautés d’accueil et l’immigration au Canada. En effet, elles ne sont pas invitées à participer aux réflexions et aux décisions concernant l’orientation des politiques d’immigration. Cependant, leurs témoignages dans ce numéro montrent bien leur désir de s’impliquer dans ce dossier et la conviction que leur expérience comme première communauté d’accueil contribuerait significativement à l’amélioration des politiques d’immigration, ainsi qu’à éviter la répétition des erreurs du passé.



Quels sont les différents types de relations, de cohabitation et quelles sont les représentations réciproques qui se développent entre les groupes autochtones et immigrants, compte tenu des réalités propres à chacun, parfois différentes et parfois similaires? Quelles actions sont entreprises et pourquoi? Quelles sont les similitudes et les spécificités de chaque groupe dans les différentes provinces du Canada? Dans quelle mesure l’étude de ce volet de l’immigration peut-elle servir à la construction d’une société réellement multiculturelle et intégrée? Que peut-on proposer aux politiciens?



Voici quelques questions auxquelles tente de répondre ce numéro spécial par le biais de 11 articles donnant voix à la fois à des chercheurs, des membres de la communauté autochtone, des ONG, des immigrants ainsi qu’à des représentants de municipalités.



Renseignements : 858 4045 ou 853 6031 / Sylvia.kasparian@umoncton.ca


Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11581
La joie de vivre en français au Canada
Depuis 15 ans, les Rendez-vous de la Francophonie (RVF) sont une occasion annuelle pour toutes les composantes de la société de célébrer l’amour de la langue française au Canada. Pendant les RVF, près de dix millions de personnes font vivre et rayonner la langue française par le biais d’un millier d’activités organisées d’un bout à l’autre du pays.

La thématique de la 15e édition étant « La Joie de vivre», les RVF se sont associés à Juste pour Rire pour développer une série d’activités incluant une tournée d’humour mettant en vedette son porte-parole, Boucar Diouf, ainsi que des humoristes francophones en provenance de plusieurs provinces canadiennes.

Bien que les Rendez-vous de la Francophonie se déroulent officiellement du 8 au 24 mars 2013, cette tournée pancanadienne s’amorcera plus tôt et sera de passage à Moncton le 2 février à 21 heures au Théâtre Capitol dans le cadre du volet francophone du Festival de l’humour Hub Cap, coprésenté avec Juste pour rire. Du 30 janvier au 2 février, les communautés francophones et acadienne du Canada atlantique pourront assister à dix spectacles mettant en vedette des humoristes professionnels et amateurs du Québec et de l’Acadie. Il s’agit de la plus grande programmation francophone de l’histoire du festival.

Les billets (15 $ à 35 $) sont en vente dès maintenant à www.hubcapcomedyfestival.ca.

Les Rendez-vous de la Francophonie font partie des manifestations entourant la Journée internationale de la Francophonie (20 mars), organisée chaque année partout dans le monde pour promouvoir la langue française et ses multiples expressions culturelles. Depuis 2005, les RVF sont chapeautés par La Fondation canadienne pour le dialogue des cultures, qui vise à promouvoir et à soutenir le dialogue et le rapprochement entre les communautés francophones et acadienne et toutes les collectivités de la société canadienne.

Renseignements sur les Rendez-vous de la Francophonie : www.rvf.ca
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11578
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La photo nous fait voir trois de ces étudiants diplômés, Francis Roby, Julie Ouellette et Christien LeBlanc.
Comptabilité : six diplômés ont réussi l’évaluation finale uniforme de l’Institut canadien des comptables agréés
Le Département de comptabilité de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton tient à féliciter ses étudiants diplômés, Luc Gauvin, à l’emploi de Nadeau Picard de Grand-Sault, Christien LeBlanc, à l’emploi de Grath Thornton de Moncton, Jérémy Mallais, à l’emploi de Deloitte de Saint-Jean, et Julie Ouellette, Jany Robichaud et Francis Roby, à l’emploi d’Ernst & Young de Dieppe, pour avoir réussi l’Évaluation finale uniforme (EFU) 2012 de l’Institut canadien des comptables agréés.

Tous ces diplômés du programme de baccalauréat en administration des affaires - concentration sciences comptables - de l’Université de Moncton ont écrit l’EFU après avoir simultanément fait au minimum une année de stage dans un cabinet comptable et suivi la formation à distance donnée par Atlantic School of Chartered Accountancy (ASCA) (six diplômés) ou par le truchement du diplôme de deuxièmes cycle en comptabilité financière donné par les universités québécoises (une diplômée).

La performance des cinq personnes diplômées ayant suivi la formation à distance de l’ASCA est d’autant plus remarquable étant donné qu’elles ont dû franchir la barrière de la langue ayant fait leurs études en français alors que le programme de l’ASCA ne se donne qu’en anglais.

L’EFU est l’une des composantes les plus importantes du programme menant à l’obtention de la désignation reconnue à l’échelle internationale de comptable agréé. Il s’agit d’un examen des plus exigeants.

Renseignements : Sébastien Deschênes, au 858-4230.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11570
Séminaire de recherche en santé
Un séminaire de recherche en santé aura lieu le vendredi 14 décembre de 12 h 30 à 13 h 30 dans la salle de vidéoconférence (2e étage) du Centre d’oncologie Dr-Léon-Richard, à Moncton.

La conférence portera sur la conception de nouvelles molécules avec des activités antibactériennes et anti-inflammatoires, et sera donnée par Mohamed Touaibia, professeur au Département de chimie et biochimie de l’Université de Moncton.

Les maladies infectieuses et inflammatoires affectent des millions de personnes à travers le monde. La surconsommation d'antibiotiques a produit de nouvelles souches de bactéries résistantes, rendant plus difficile le traitement de certaines maladies infectieuses. Par conséquent, il y a un besoin de nouvelles stratégies antibactériennes.

Les maladies inflammatoires sont de plus en plus courantes dans nos sociétés. Lorsque la réponse inflammatoire devient excessive, des maladies caractérisées par des niveaux élevés de métabolites inflammatoires peuvent survenir. L’une des stratégies thérapeutiques ciblant les enzymes qui produisent ces métabolites peut s'avérer efficace comme approche.

Inspirés par des produits naturels, des composés ont été préparés et leurs activités antibactériennes et anti-inflammatoires ont été évaluées. Les stratégies utilisées pour la préparation de ces molécules ainsi que des résultats biologiques seront présentés.

Le séminaire sera également présenté par vidéoconférence à l’hôpital régional Chaleur, à l’hôpital régional de Campbellton et à l’hôpital régional d’Edmundston.

Renseignements : Brigitte Sonier Ferguson, au 758-5951 / brigitte.sonier-ferguson@vitalitenb.ca
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11569
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La photo nous fait voir, de gauche à droite : Hélène Albert, directrice de l’École de travail social et responsable du programme de maîtrise; Élide Doiron, diplômé du programme de maîtrise, personne ressource; Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; Wilkie Darismé, professeur à l’École de travail social, maître de cérémonie; Kimberly Savoie, Mario Bourgoin et Marie-Josée Anglehart-Fortin, diplômés du programme de maîtrise, personnes ressources; Paul Grell, professeur associé, conférencier pour le mot d’ouverture; et Gisèle Maillet, diplômée du programme de maîtrise, personne ressource.
25e anniversaire de la maîtrise en travail social
C’est le 9 novembre dernier que l’École de travail social de l’Université de Moncton a célébré le 25e anniversaire de son programme de maîtrise.

Cette activité a réuni une quarantaine de personnes - étudiants, diplômés, corps professoral actuel, à la retraite ou associé, la doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales, Lisa Roy, le vice-recteur à l’enseignement et à la recherche, Neil Boucher, ainsi que des membres du comité consultatif portant sur la formation en travail social.

Les propos de Paul Grell, qui a prononcé la conférence d’ouverture, ainsi que ceux des personnes ressources ont favorisé de riches échanges et des réflexions portant sur les apports du programme de maîtrise en travail social pour les individus qui y sont passés et pour la communauté qui bénéficie de leur contribution.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11571
« Terre et chocolat » est à l’affiche des Rendez-vous de l’ONF en Acadie
Le film « Terre et chocolat «, du cinéaste Rahon Fernando (2010, 70 minutes), prendra l’affiche des Rendez-vous de l’ONF en Acadie, le lundi 17 décembre à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

Au sud du Belize, le cultivateur de cacao Eladio Pop exploite sa plantation selon la tradition de ses ancêtres mayas, en gardien et protecteur de la terre. Le réalisateur nous convie à un luxuriant périple cinématographique d’un an pendant lequel il oriente son objectif sur le quotidien d’une famille qui lutte pour préserver ses valeurs dans un univers en butte à de profonds bouleversements.

La projection principale sera précédée du court métrage d’animation « Le paysagiste », de Jacques Drouin (1976, 8 minutes). Ce film sans paroles et d’une grande sensibilité convie le spectateur à puiser parmi les symboles énoncés ceux qui déclencheront en lui une prise de conscience des forces du subconscient jouant sur la réalité de toute son existence.

« Sans la terre, nous cesserons d’exister. » – Eladio Pop
Le réalisateur Rohan Fernando raconte ici une histoire remplie de tendresse et d’émotion, celle de la famille Pop. Fondamental et particulièrement à propos, le film « Terre et chocolat » met en question nos présomptions les plus tenaces sur le progrès et prend la forme d’une complainte sur la disparition des cultures.

À propos du réalisateur
Le réalisateur et cinéaste lauréat Rohan Fernando est originaire du Sri Lanka et a immigré au Canada. Au nombre de ses productions, on compte le long métrage documentaire « Cecil's Journey », finaliste aux prix Gémeaux (Festival Filmi des films d'Asie du Sud; deux prix au Festival du film de l'Atlantique); de nombreux épisodes de la série télévisée très prisée « Past Lives », réalisés pour Global Television, ainsi que les longs métrages documentaires « Trudeau's Other Children » et « Blood and Water ».

Renseignements : 384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11590
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Lise Dubois, doyenne de la Faculté des études supérieures et de la recherche et vice-rectrice adjointe à la recherche; Jacques Lévesque, conférencier; Jean-François Thibault, vice-doyen de la Faculté des arts et des sciences sociales et professeur au Département de science politique; Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; et Herménégilde Chiasson.
La Russie et sa quête d’une nouvelle place dans l’ordre mondial
Dans le cadre de la série de Conférences du Gouverneur général de la Société royale du Canada 2012, Jacques Lévesque, professeur de science politique à l’Université du Québec à Montréal, a prononcé une conférence au campus de Moncton, intitulée « Après la fin de l’URSS : la Russie et sa quête d’une nouvelle place dans l’ordre mondial ».

Le professeur Lévesque a passé en revue les réalisations et les limites des efforts de Moscou et leurs perspectives pour l’avenir. Sur cette base, il a évalué également les opportunités et les contraintes pour les « nouveaux commencements » des relations de la Russie avec les États-Unis, comme voulu par l’administration Obama.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11562
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : les étudiantes Danielle Bilodeau et Stéphie Rebmann; Jason Ouellette; et l’étudiant Jean-Luc Thériault; 2e rangée : les étudiants Karine Martel, Simon Delattre et Anthony Godin; et le professeur François Giroux.
Visite de Jason Ouellette en information-communication
Le directeur de l’information de Radio Beauséjour, Jason Ouellette, a rencontré la classe de journalisme radio du Programme d’information-communication à l’Université de Moncton. Il a alors présenté les particularités du travail d’un journaliste dans une radio communautaire.

Les étudiants et étudiantes ont pu discuter avec lui du travail journalistique dans une salle de nouvelles de dimension réduite, mais dont les bulletins d’information sont les plus écoutés par la population francophone du Sud-Est via les antennes de CJSE et de BO-FM.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11572
Soutenance de thèse de maitrise de Jessie Fortin en psychologie
Il y aura soutenance d’une thèse de maitrise en psychologie de Jessie Fortin, intitulée « Relations amoureuses chez l’adulte en émergence : un examen de l’influence des expériences dans la famille d’origine », le vendredi 14 décembre à 9 h 30 dans la salle Gérard-Cormier (504) du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

La directrice de la thèse est la professeure Geneviève Bouchard.

Renseignements : 858-4864.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11579
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, François Giroux, responsable du Programme et membre du jury; les étudiantes et étudiants Maguette Niang, Jean-Luc Thériault, Mélanie Haché, Normand d’Entremont, Véronique Wade, Sébastien Beauregard, Raénath Badirou, Mathieu Plourde-Turcotte et Monica Doiron; Ibrahim Ouattara, professeur de philosophie et membre du jury; Danielle Bilodeau, étudiante; Abbé Lanteigne, professeur de journalisme; Stéphie Rebmann, étudiante; Gervais Mbarga, professeur responsable du séminaire et membre du jury; et Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales. Absence dans la photo : l’étudiante Karine Martel.
Colloque en Info-com sur la couverture médiatique de l’université
Douze étudiantes et étudiants ont présenté leurs communications sur le thème « Le discours des autorisés et le discours des autorités : la couverture médiatique de l’université », le 30 novembre dernier au colloque public présenté chaque année dans le cadre du séminaire du Programme d’information-communication de l’Université de Moncton.

Leurs recherches portaient notamment sur le choix des sources et des experts dans les médias, l’importance de la couverture de l’Université de Moncton, particulièrement celle des Aigles Bleus et Bleues, la couverture médiatique de la recherche universitaire, celle des étudiants internationaux, ainsi que celle sur la récente grève des étudiants au Québec.

Ce séminaire conclut la préparation de futurs journalistes et relationnistes au marché du travail ou à des études en maîtrise.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11565
Premier prix au Défilé du Père Noël du Grand Moncton
L’Université de Moncton a remporté le premier prix dans la catégorie des collèges lors du Défilé Majesta du Père Noël du Grand Moncton, la 45e édition annuelle qui a eu lieu au centreville.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11576
Trois expositions sont présentées à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen
Jusqu’au 20 janvier, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen du campus de Moncton présente trois expositions dans le cadre du volet Arts médiatiques du Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA).

Rappelons cependant que la Galerie d’art sera fermée du 24 décembre au 1er janvier inclusivement pour la période des Fêtes.

Liés à l’attente et à l’anticipation, les oeuvres de Jennifer Bélanger, Jean-François Caissy et Frédéric Lavoie sont composées de dispositifs médiatiques qui occupent l’espace, invitant le spectateur et la spectatrice à entrer dans l’oeuvre.

Le volet Arts médiatiques est une programmation composée par la commissaire Angèle Cormier qui met de l’avant la diversité de l’expression artistique axée sur les nouvelles technologies, en plus d’encourager la production d’oeuvres médiatiques par des artistes de la région.

Renseignements : 858-4088.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11577
Observation astronomique
Il y a une séance d'observation astronomique, le mardi 18 décembre de 18 h 30 à 19 h 30 à l’Observatoire de l’Université de Moncton situé sur le toit du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton. Si le ciel est nuagueux,la séance sera annulée.

La planète Jupiter sera visible.

Cette activité est organisée par le Département de physique et d'astronomie. Venez en grand nombre.

Renseignements : 858-4339.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11583


Article (« Les universitaires ont lancé… ») : L’Évangéline, 7 décembre 1963, p. 3
Photo du maire Jones : L’Évangéline, 9 décembre 1963, p. 3
Le premier Noël à l’Université de Moncton
La période des Fêtes est l’un des moments de l’année où l’ensemble de la communauté universitaire se mobilise pour venir en aide aux nombreux organismes de bienfaisance et groupes d’appui œuvrant dans la région. Cet esprit d’entraide et de solidarité remonte aux toutes premières heures de l’Université de Moncton. Ainsi, en décembre 1963, les étudiants de l’Université organisent une vente d’arbres de Noël au centre-ville de Moncton dans le but, entre autres, d’appuyer les jeunes du monde pour qui les études post-secondaires ne constituent encore qu’un rêve. Outre un défilé et un petit concert, le début officiel de la collecte de fonds comprend aussi la remise d’un arbre de Noël, par les étudiants, au maire de l’époque, Leonard C. Jones.
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