La cérémonie d’installation de Raymond Théberge à titre de recteur et vice-chancelier a eu lieu lors la collation des diplômes d’automne

La cérémonie d’installation de Raymond Théberge à titre de recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton a précédé la collation des diplômes d’automne, qui a eu lieu le 26 octobre dans le stade Vance-Toner du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton.

M. Théberge est en fonction depuis 1er juin dernier.

Dans la photo, M. Théberge, au centre, est accompagné du chancelier, Louis R. Comeau, et de la secrétaire générale, Lynne Castonguay.

CRDE : Manon Jolicoeur est récipiendaire de la quatrième édition du prix Allard-Landry

Le Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE) de l’Université de Moncton a remis la quatrième édition du prix Allard-Landry à Manon Jolicoeur, doctorante en éducation originaire de la ville de L'Assomption, au Québec.

Le prix Allard-Landry récompense le meilleur article scientifique portant sur l’éducation, rédigé par une étudiante, un étudiant ou des étudiants inscrits au 2e ou au 3e cycle à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton, ou possédant un diplôme de l’Université de Moncton et poursuivant des études supérieures en éducation dans une autre université. La personne lauréate reçoit une aide financière d’un maximum de 1 000 $ pour aller présenter son article dans une conférence de son choix.

Pour obtenir ce prix, Mme Jolicoeur a présenté un article, intitulé « Du patin aux bouquins : l’expérience d’un cercle de lecture au sein d’une équipe de hockey de garçons francophones de 9 et 10 ans du Nouveau-Brunswick ».

Cette recherche collaborative visait à décrire et comprendre l’expérience d’un dispositif de cercle de lecture au sein d’une équipe de hockey de garçons francophones de 9 et 10 ans du Nouveau-Brunswick. L’étude s’est penchée particulièrement sur le vécu des lecteurs désengagés à travers ce projet. L’analyse qualitative des données recueillies lors d’entretiens, de questionnaires et d’observations démontre que la motivation a été constante et généralisée pendant toute la tenue du cercle de lecture. En ce qui concerne les lecteurs désengagés, leur dynamique motivationnelle a évolué vers l’engagement.

Tout en félicitant Manon Jolicoeur, le CRDE invite les personnes intéressées à participer au prochain concours du prix Allard-Landry (voir les détails à www.umoncton.ca/crde).

Trois nouveaux professeurs émérites à l’Université de Moncton

L’Université de Moncton a attribué trois éméritats lors de la cérémonie de collation des diplômes d'automne, qui a eu lieu le 26 octobre dans le stade Vance-Toner du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton.

Cet éméritat est accordé à des professeurs à la retraite qui se sont distingués en enseignement, en recherche et en services à la collectivité.

Un éméritat en ingénierie a été attribué à Noyan Turkkan alors que Normand Gionet est devenu professeur émérite en kinésiologie et Georges Wybouw professeur émérite en administration des affaires.

La psychologue Anne Decerf prononcera trois conférences au campus de Moncton

Le Département de science politique et le Laboratoire de recherche en éthique dans les organisations (LAREO), avec le soutien de la Faculté des arts et des sciences sociales, proposent une série de trois conférences au campus de Moncton en compagnie de la psychologue Anne Decerf, chercheuse associée à l'Université de Moncton.

La première conférence portera sur « Le métier de chercheuse / chercheur », le mardi 13 novembre à 9 heures dans le local 436 du pavillon Léopold-Taillon.

Auteure de plusieurs essais scientifiques publiés en France et au Canada, lauréate au concours d’écriture organisé par Le Monde et France-Culture en remportant en 1993 le Prix du Jury, Mme Decerf saura intéresser un large auditoire animé par le désir d’en savoir plus sur les exigences du métier de chercheuse et de chercheur et sur celles de l’écriture.

Le mardi 13 novembre à midi, Mme Decerf parlera de « La mixité hommes/femmes dans l’espace politique » dans le local 458 du pavillon Léopold-Taillon.

Alors qu’elle étudie depuis de nombreuses années les questions relatives aux identités féminines et masculines, Mme Decerf analyse aussi l’effet structurant de la différence des sexes et des genres dans la construction de l’espace politique. Rappelons qu’en 2011, elle a présidé un colloque international à l’Université de Moncton portant sur le thème « La différence des sexes, que proposent les théories ? ». Aujourd’hui, elle poursuit, en collaboration avec la professeure Marie-Thérèse Seguin, une importante recherche portant sur la présence des femmes dans le champ politique. Nul doute qu’elle saura intéresser un large public préoccupé par l’affirmation de la citoyenneté des femmes et par la construction de la mixité dans l’espace politique.

Mme Decerf abordera un troisième thème, intitulé « Autour de la pensée de Marcel Gauchet, La démocratie contre elle-même », le jeudi 15 novembre à 10 heures dans le local 436 du pavillon Léopold-Taillon.

Possédant le doctorat en psychologie, Mme Decerf a suivi une longue formation en philosophie politique. Elle a notamment participé pendant une année aux séminaires offerts par Marcel Gauchet, au Centre de recherche Raymond Aron de Paris. En lien épistolaire avec lui, elle l’a reçu dans le séminaire qu’elle a organisé à Liège autour du thème de la dépression dans nos sociétés postmodernes. Dans le cadre de cette conférence publique, elle exposera les réflexions sur la démocratie que Marcel Gauchet a rassemblées dans son livre, « La démocratie contre elle-même ».

Toutes les personnes intéressées par les rebondissements de la logique démocratique sont invitées à cette troisième conférence.

Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : Marie-Thérèse Seguin, au 858-4193 / marie-therese.seguin@umoncton.ca

Science politique : les enjeux et les défis du multiculturalisme en Occident

Le Département de science politique organise une conférence publique portant sur les débats autour du multiculturalisme au Canada et en Europe de l'Ouest, le jeudi 15 novembre à 16 h 30 dans la salle 436 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton. Les professeurs Chedly Belkhodja et Jean-François Caron présenteront leurs réflexions sur le sujet.

Ces dernières années aux yeux de certains observateurs, les sociétés démocratiques paraissent moins lisibles qu’auparavant et, par conséquent, plus difficiles à représenter. Devant la montée de soi-disant nouvelles menaces, notamment le terrorisme et le fondamentalisme religieux musulman mais aussi les demandes d’accommodement répétées de groupes ethnoculturels, le sentiment de vivre en harmonie, la fameux « vivre-ensemble », dans une culture commune, fondement de l’appartenance à l’État-nation, paraît de plus en plus fragilisé et surtout, remis en question.

Dans ce contexte, un discours plus ouvertement critique souligne que les politiques du multiculturalisme sont allées trop loin en acceptant trop facilement les valeurs et coutumes des nouveaux arrivants sans pour autant définir les bases d’une identité commune.

Cette conférence propose d'examiner les formes que peuvent prendre cette réaction « conservatrice » aux valeurs des sociétés pluralistes au Canda et en Europe de l'Ouest.

Renseignements : Chedly Belkhodja, au 858-3749.

Joanie Mallet était la porte-parole étudiante lors de la collation des diplômes d’automne

Joanie Mallet, de Shippagan, était la porte-parole des finissants et finissantes lors de la collation des diplômes d’automne de l’Université de Moncton, qui a lieu le 26 octobre dans le stade Vance-Toner du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton.

Joanie est finissante au baccalauréat en nutrition avec internat intégré. Pendant son séjour à l’Université de Moncton, elle a reçu de nombreuses bourses à la suite d’excellents résultats académiques et de son engagement para-académique.

Quelque 206 diplômes ont été délivrés et environ 77 finissants et finissantes ont assisté à la cérémonie.

Maurice Basque et Amélie Giroux contribuent à un livre portant sur l’histoire des Acadiens de la Louisiane

Les Presses de l’Université de la Louisiane à Lafayette ont lancé récemment un ouvrage pédagogique, intitulé « Histoire des Acadiennes et des Acadiens de la Louisiane », cosigné par Zachary Richard, Sylvain Godin et Maurice Basque, conseiller scientifique de l’Institut d’études acadiennes de l’Université de Moncton.

Ce livre sera utilisé par les quelque 4 000 élèves louisianais inscrits aux cours d’immersion française de cet État américain.

Faisant suite au livre « Histoire des Acadiens et des Acadiennes du Nouveau-Brunswick », des auteurs Sylvain Godin et Maurice Basque, publié aux Éditions La Grande Marée en 2007, ce nouvel outil pédagogique a reçu le soutien du gouvernement du Nouveau-Brunswick et a été coordonné par l’auteur-compositeur-interprète bien connu Zachary Richard.

La coordonnatrice des collections à l’Institut d’études acadiennes, Amélie Giroux, a également participé à la production de ces deux ouvrages.

Les défis éthiques contemporains en compagnie de Melchior Mbonimpa

Le Département de philosophie et sciences religieuses, en collaboration avec la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de Moncton et le Salon du livre de Dieppe, a présenté une conférence portant sur les défis éthiques contemporains, en compagnie de Melchior Mbonimpa, professeur titulaire au Département de sciences religieuses de l’Université de Sudbury.

Canadien d’origine burundaise, Melchior Mbonimpa possède le doctorat en philosophie et le doctorat en théologie. Après l’école primaire et secondaire dans son pays d’origine, il a fait ses études supérieures dans trois continents (Afrique, Europe, Amérique du Nord) et dans plusieurs pays (Rwanda, Zaïre, Zambie, Italie, Kenya et au Canada).

Depuis 1991, il enseigne au Département des sciences religieuses à l’Université de Sudbury. Les religions du monde constituent son secteur principal d’enseignement. Il a publié des livres et articles savants aussi bien dans les domaines de sa formation universitaire et de ses occupations professionnelles (philosophie, théologie, sciences religieuses), que sur l’histoire immédiate et la politique en Afrique, particulièrement sur sa région d’origine, l’Afrique des Grands Lacs.

En 1999, ses publications sur l’Afrique des Grands Lacs lui ont valu d’être cité à comparaître en tant que « témoin expert » au Tribunal pénal international pour le Rwanda, à Arusha en Tanzanie.

En 2000, M. Mbonimpa a été invité à Wolfvenhof, en Hollande, pour participer à trois ateliers portant sur la lutte pour la paix au Burundi. Après ces ateliers, il a accepté la charge de rédiger le livre, intitulé « Scénarios pour le Burundi », qui correspond à un rapport officiel des discussions et des conclusions de ces journées d’intense réflexion.

En novembre 2010, Melchior Mbonimpa a été invité comme conférencier expert lors d’un symposium des conférences épiscopales catholiques des pays de l’Afrique des Grands Lacs (Burundi, Kenya, Ouganda, République démocratique du Congo, Rwanda, Tanzanie). Cette rencontre portait sur les moyens à mettre en œuvre pour instaurer une paix durable dans cette région troublée.

Depuis quelques années, en plus de ses publications savantes, Melchior Mbonimpa consacre son temps libre à la fiction. Il a publié jusqu’à maintenant cinq romans, tous publiés à la même maison d’édition, Prise de parole à Sudbury.

Une aventure formidable et périlleuse de l’évolution humaine est présentée aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie

Après avoir été présenté dans plusieurs pays du monde comme l’Italie, la France, les Pays-Bas, l’Australie, l’Argentine et les États-Unis, en passant par Toronto et Montréal, le film « Survivre au progrès », de Mathieu Roy et Harold Crooks (2011, 87 minutes) prend l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie, le lundi 5 novembre à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est libre.

Cet excellent film dépeint l’évolution humaine comme une aventure à la fois admirable et périlleuse et met en scène des intervenants captivants, dont l’auteure Margaret Atwood, la primatologue Jane Goodall, le physicien-théoricien Stephen Hawking et le généticien et militant David Suzuki.

Une aventure formidable et périlleuse
« Survivre au progrès » est inspiré du succès de librairie « Brève histoire du progrès », de Ronald Wright, qui, dans son livre, explique de quelle manière les civilisations sont détruites les unes après les autres par les « pièges du progrès », ces technologies irrésistibles qui répondent à des besoins immédiats mais hypothèquent l’avenir. Le film révèle le risque que l’humain encoure à traiter les données logicielles du 21e siècle (son savoir-faire) dans son cerveau de primate, une machine qui n’a fait l’objet d’aucune mise à jour depuis 50 000 ans.

« Survivre au progrès » fait entendre des chercheurs qui ont étudié l’évolution humaine depuis les primates jusqu’à l’homme d’aujourd’hui. Certains reprennent le cri d’alarme de Wright, alors que d’autres ont confiance en ce même progrès qui nous menace mais qui est aussi à leurs yeux la clé de notre survie.

Ce film est une coproduction de Cinémaginaire, Big Picture Media Corporation et de l’ONF, produite par Daniel Louis et Denise Robert (Cinémaginaire) ainsi que Gerry Flahive (ONF). Les producteurs exécutifs sont Mark Achbar et Betsy Carson (Big Picture Media Corporation), Silva Basmajian (ONF), Martin Scorsese et Emma Tillinger Koskoff.

Bientôt à l’affiche
Dès la semaine du 11 novembre, le film « L’homme aux cellules d’or » (2007, 53 minutes), de Florence Martin-Kessler, prendra l’affiche aux RDV de l’ONF en Acadie. Le documentaire explore le procès controversé que John Moore intenta à son médecin, un procès qui marqua la naissance et l’ascension des biotechnologies. Le corps humain peut-il être réduit à un terrain d’expérimentation pour la recherche scientifique ?

La programmation complète de la saison peut être consultée à http://blogue.onf.ca/category/les-rendez-vous-de-lonf-en-acadie/

Renseignements : 384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca

Un ensemble de cartes montrant les sources de biomasse pour la cogénération d'énergie est rendu public

Un ensemble de cartes et un rapport présentant les sources potentielles de biomasse pour la cogénération d'énergie dans la province viennent d’être rendus publics.

« Le gouvernement provincial s'est engagé à ce que 40 pour cent de l'énergie produite provienne de sources renouvelables d'ici 2020, comme l'indique le Plan directeur de l'énergie du Nouveau-Brunswick, rappelle le ministre de l'Énergie et des Mines, Craig Leonard. En rendant ces cartes publiques, nous donnons aux collectivités, aux exploitants et à l'industrie les meilleurs outils pour exploiter et utiliser cette ressource. Ces cartes contribueront grandement à la promotion et à l'atteinte de nos objectifs en matière d'énergie renouvelable. »

Les cartes sont regroupées dans un atlas qui met en relief l'énergie potentielle que représentent les forêts de la province. Le document, intitulé « Atlas de la ressource énergétique de la biomasse forestière au Nouveau-Brunswick », a été produit par la Chaire K.-C.-Irving en développement durable de l'Université de Moncton en partenariat avec le ministère de l'Énergie et des Mines. Il met en évidence l'énergie potentielle annuelle de la biomasse forestière.

« Au Nouveau-Brunswick, la biomasse forestière est une ressource indigène renouvelable qui offre d'excellentes possibilités pour la production d'énergie et la croissance économique dans les régions rurales de la province », affirme le titulaire de la Chaire K.-C.-Irving, le professeur Yves Gagnon.

Basée sur les données relatives aux coupes annuelles permises de l'industrie forestière, sur des équations allométriques et sur les facteurs liés à l'expansion de la biomasse, l'étude évalue la quantité de biomasse résiduelle et d'écorce provenant des activités forestières qui pourraient être utilisées annuellement pour la cogénération d'énergie. Les résidus de biomasse et l'écorce convertis pourraient servir à générer 463 MW d'électricité et plus de 1 100 MW de chaleur dans 17 régions de la province.

Les nouvelles cartes, qui viennent s'ajouter à celles sur l'hydroélectricité, l'énergie solaire et l'énergie éolienne, se trouvent, tout comme le rapport, sur le site Web du ministère de l'Énergie et des Mines.

« En mettant davantage en valeur nos ressources naturelles, nous utiliserons moins de combustibles fossiles et nous diminuerons notre empreinte carbone, ajoute le ministre Leonard. Bref, nous devons exploiter nos sources de biomasse non seulement pour leur intérêt sur le plan écologique, mais également pour les avantages sociaux et économiques qu'elles procureront aux résidents de la province. »

L'ensemble des atlas des énergies renouvelables produits par la Chaire K.-C.-Irving en développement durable sont disponibles à web.umoncton.ca/chairedd.

Renseignements : Yves Gagnon, au 858-4077.

Corinne Gallant reçoit l’Ordre de Moncton

Corinne Gallant, professeure émérite de l’Université de Moncton, recevra l’Ordre de Moncton lors d’une cérémonie qui a lieu ce jeudi 1er novembre à l’hôtel de ville de Moncton. Ce prix récompense des personnes qui ont excellé dans leur domaine et dont l’influence fait rayonner la communauté.

Mme Gallant est également l’une des récipiendaires de l’édition 2012 des Prix du Gouverneur général en commémoration de l’affaire «personne». Elle a reçu son prix à Rideau Hall le 18 octobre dernier, en présence du gouverneur général David Johnston. Chaque année, ce prix rend hommage à des personnes qui contribuent à l’avancement de l’égalité des femmes.

Corinne Gallant a enseigné la philosophie à l’Université de Moncton pendant plusieurs années, en plus d’être vice-doyenne de la Faculté des arts. Ardente féministe, sa carrière a été marquée par de nombreux engagements visant à faire avancer la cause des femmes. Elle a ainsi créé l’un des premiers cours au pays portant sur la condition féminine. Elle a également coprésidé le comité de travail ayant mené à la création du Conseil consultatif sur la condition de la femme au Nouveau-Brunswick, tout en participant activement aux travaux de recherche de l’Institut canadien de recherches sur les femmes. Ses écrits ont été publiés dans de nombreuses revues et dans plusieurs journaux au Canada.

Mme Gallant a été décorée de l’Ordre du Canada en 1989 ainsi que de la Médaille du Jubilé de la Reine.

Bernard Haché soutient avec succès sa thèse de doctorat en études françaises

Bernard Haché a soutenu avec succès sa thèse de doctorat au Département d’études françaises de l’Université de Moncton, intitulée « Les feuilletons littéraires dans les journaux acadiens (1867-1900) ».

« Les feuilletons littéraires dans les journaux acadiens » constituent la première étude de grande envergure sur plus de 200 romans feuilletons, surtout d'origine française, parus dans les journaux acadiens entre 1867 et 1900.

Grâce à la presse – le premier journal acadien est fondé en 1867 – les Acadiens reçoivent des nouvelles mais aussi des textes littéraires en tous genres de partout dans le monde. Les éditeurs se servent de ces œuvres pour attirer les lecteurs et mousser la vente des journaux; en France on assiste alors à l'expansion phénoménale du roman populaire qui fait la part belle aux aventures extraordinaires, aux récits larmoyants, aux scènes de vie de la haute bourgeoise comme des classes ouvrières. Cette nouvelle littérature circule à travers le monde et atteint l’Acadie où la presse locale en assure la diffusion.

Les éditeurs acadiens se servent aussi de la page du feuilleton pour appuyer, grâce à des textes-clés comme « Évangéline », de Longfellow, et « Jacques et Marie », de Napoléon Bourassa, le projet d'une nation acadienne renaissante. Cette nouvelle idéologie est fondée sur une vision à la fois tragique et héroïque du passé acadien, et conçoit aussi un avenir axé sur la religion, l'éducation, la langue, l'agriculture et la colonisation. Ainsi, le corpus feuilletonesque s'acadianise et se distingue de ce qu’on peut retrouver ailleurs dans la presse au Canada français.

La thèse de M. Haché explore en détail la façon dont ces œuvres parviennent jusqu'en Acadie, notamment grâce au réseau des institutions religieuses qui cherchent à filtrer les romans de manière à en garantir la bonne tenue morale. Plusieurs de ces textes transitent par le Québec où les éditeurs ne respectent pas toujours les consignes de l’Église catholique. Ainsi, le lectorat acadien est initié à des oeuvres où les figures de saints martyrs et de héros légendaires se mêlent aux drames de familles riches et nobles, aux déboires de femmes délaissées ou encore aux drames sanglants de la Révolution française. L'Acadie a donc accès pour la première fois à un imaginaire très contrasté, de même qu’aux nouvelles formes de culture populaire qui sont en train de se répandre à travers le monde.

Après avoir exploré le rôle idéologique que les journaux cherchent à faire jouer à ces feuilletons, notamment en mêlant dans leurs pages ces œuvres de fiction à des textes aux propos plus politiques ou religieux, la thèse cherche à comprendre comment les lecteurs acadiens ordinaires ont pu réagir face à ce nouveau phénomène. De nombreux romans contiennent des scènes qui ne sont pas sans rappeler les scènes douloureuses de 1755, encore présents dans la mémoire collective. Cependant, et à un niveau moins conscient, c’est l'image de la femme, très présente à la fois dans l'imaginaire collectif acadien – on songe à Évangéline et à ses variantes – ainsi que dans toute la littérature populaire de cette époque qui fait le pont entre ce corpus d'oeuvres étrangères et le lectorat acadien.

La thèse est conçue pour servir d’outil de travail aux recherches à venir. Elle propose une vue d'ensemble très documentée des feuilletons littéraires parus dans la presse acadienne de 1867 à 1900. Elle comprend également plusieurs annexes, des listes bibliographiques, 640 notes de bas de page et des renseignements inédits sur les textes anonymes, les pseudonymes et le rôle des femmes de lettres dans la littérature populaire au 19e siècle.

Renseignements : 858-4050.

Le spectacle « Les rencontres qui chantent » fait un arrêt à Moncton le 6 novembre

Dans le cadre de la série Coup de coeur francophone, le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton présente le spectacle « Les rencontres qui chantent », mettant en vedette d’excellents artistes émergents du Canada et de la France, le mardi 6 novembre à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Les Rencontres qui chantent
Sous la direction artistique de Marcel Aymar et la direction musicale de François Émond, « Les rencontres qui chantent » rassembleront sur scène neuf auteurs-compositeurs-interprètes francophones : Caroline Savoie (Nouveau-Brunswick), Joey Robin Haché (Nouveau-Brunswick), Céline Pruvost (France), Valérian Renault (France), Joël Lavoie (Alberta), Gabrielle Goulet (Ontario), Bastien Vaultier (Ontario), Jimmy Rouleau (Québec) et Éric Dion (Gaspésie).

« Les rencontres qui chantent » est un projet de résidences de création qui mise sur les échanges et les rencontres artistiques entre des auteurs des auteurs-compositeurs-interprètes de la francophonie canadienne, du Québec et de la France. Chaque année, le projet prend son envol lors du Festival en chanson de Petite-Vallée. Cette première phase favorise la créativité des artistes et leur permet de raffiner leur écriture chansonnière. La seconde phase, la conception du spectacle, présente le résultat des échanges créatifs entre les artistes. Le spectacle, qui sera présenté dans le cadre du Coup de coeur francophone en préouverture de la FrancoFête en Acadie 2012, est l'aboutissement de ces deux semaines de résidence artistique.

Un retour aux sources
Cette résidence à Moncton est en quelque sorte un retour aux sources pour le projet « Les rencontres qui chantent » puisque son tout premier spectacle a été présenté dans le cadre du Coup de coeur francophone lors de la FrancoFête en Acadie en 2006. Le projet, né d'une collaboration entre l'Alliance nationale de l'industrie musicale et le Festival en chanson de Petite-Vallée, a permis à plus de 70 artistes d'enrichir leur pratique artistique auprès de créateurs chevronnés, de se créer un excellent réseau de contacts et de se produire partout dans la francophonie canadienne.

La présidente de l’Alliance nationale de l’industrie musicale, Natalie Bernardin, affirme qu’elle est très heureuse de cette collaboration avec le Service des loisirs socioculturels qui permettra à des jeunes auteurs-compositeurs de présenter aux gens de Moncton le résultat de deux résidences de création artistique, dont la première a eu lieu pendant le Festival en chanson de Petite-Vallée à la fin de juin. « Au cours des dernières années, dit-elle, « Les rencontres qui chantent », ont contribué au parcours artistique d’artistes comme Lisa LeBlanc, Christian Kit Goguen, Marie-Philippe Bergeron et de beaucoup d’autres. Cette année encore, « Les rencontres qui chantent », promettent la découverte d’artistes de grand talent. »

La société Radio-Canada sera présente sur les lieux et suivra le projet de près afin de réaliser une émission spéciale pour diffusion ultérieure. Le tout est une présentation du Service des loisirs socioculturels dans le cadre de sa 21e série Coup de coeur francophone en Acadie.

Coup de coeur francophone à Moncton
Toujours dans le cadre de la série Coup de coeur francophone, le Service des loisirs socioculturels reçoit les auteurs-compositeurs-interprètes Lisa LeBlanc (Acadie), Daniel Roa et Marijosée (Manitoba) le 14 novembre; Caroline Savoie et Razzia (Acadie) le 17 novembre; Vincent Vallières et Ingrid St-Pierre (Québec) le 24 novembre; Shawn Jobin (Saskatchewan) et Sébastien Belzile le 1er décembre; Ginette Ahier (Acadie) et Gaële (France) le 6 décembre. Tous les spectacles (sauf « Les Rencontres qui chantent ») auront lieu au bar Le Coude, situé dans le Centre étudiant du campus de Moncton et commenceront à 21 heures. Les billets sont en vente au Centre étudiant au coût de 8 $ pour les étudiants et 18 $ tarif ordinaire (taxes et frais compris).

Les billets pour le spectacle « Les rencontres qui chantent » sont présentement en vente au Centre étudiant au coût de 8 $ pour les étudiants et 18 $ tarif ordinaire (taxes et frais compris). Le public peut également les obtenir aux points de vente suivants (des frais de services peuvent s’appliquer) : Centre des arts et de la culture de Dieppe, théâtre l’Escaouette, Frank’s Music et Monument Lefebvre de Memramcook.

Pour plus de détails sur la programmation du Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton, visitez le www.umoncton.ca/umcm-sls ou consultez la page Facebook à www.facebook.com/slsmoncton.

Renseignements : 850-7830 / melissa.thibodeau.com@gmail.com

Mise sur pied d’un groupe d’action sur les mathématiques au Nouveau-Brunswick francophone

La 4e Journée mathématique du Nouveau-Brunswick francophone a eu lieu le 20 octobre à l’Université de Moncton. Ces journées mathématiques permettent aux membres de la communauté mathématique du Nouveau-Brunswick francophone de se rencontrer une fois l’an pour discuter du développement des mathématiques en Acadie.

Lors de cette rencontre, les personnes participantes ont pu découvrir de nombreuses ressources mathématiques sur le Web, présentées par le professeur Viktor Freiman, de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton. Par la suite, Laurie Landry, agent pédagogique provincial, a présenté les nouveaux programmes en développement au ministère de l’Éducation et de la petite enfance, et il a fait part des succès récents des francophones du Nouveau-Brunswick sur la scène nationale.

Par la suite, les participants et participantes ont organisé un atelier de discussion pour décider d’activités à suggérer aux écoles en 2012-2013 et pour mettre sur pied un groupe d’action sur les mathématiques au Nouveau-Brunswick francophone.

Le premier groupe d’action a été créé et il sera composé de Paul Deguire, directeur du Département de mathématiques et de statistique de l’Université de Moncton, coordonnateur du groupe d’action; Laurie Landry, agent pédagogique provincial; Viktor Freiman et Manon LeBlanc, de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton; Thu-Pham-Gia, professeur associé au Département de mathématiques et de statistique de l’Université de Moncton; Diane Dupuis, enseignante au secondaire à l’école Mathieu-Martin de Dieppe; Léonie Aubut, enseignante au secondaire à l’école Marie-Esther de Shippagan; et Guylaine Roy, enseignante au primaire à l’école Marée-Montante de Saint-Louis-de-Kent.

Le mandat de ce premier groupe d’action sera d’organiser des activités mathématiques dans les écoles de la province en 2012-2013, en incluant notamment une journée spéciale le 19 février qu’on appellera « La fête des maths ».

En fait le groupe d’action aura pour tâche principale de faire le suivi des journées mathématiques et de concrétiser les décisions qui y sont prises annuellement. Il devra aussi préparer la 5e Journée mathématique du Nouveau-Brunswick francophone qui aura lieu en octobre 2013.

Parmi les thèmes prévus pour 2012-2013, mentionnons les mathématiques dans le monde des métiers et professions et l’Année internationale des statistiques en 2013.

Le groupe d'action invite les personnes intéressées aux mathématiques et à leur développement en Acadie de le joindre au 506-858-4298 ou de laisser leurs coordonnées en écrivant à martine.arsenault@umoncton.ca.

Renseignements : Paul Deguire, au 858-4155.

Le prix d’excellence académique Thu-Pham-Gia est décerné à Céleste Vautour

Cette année, le prix d’excellence académique Thu-Pham-Gia est décerné à Céleste Vautour, de Cap-Pelé, nouvelle diplômée au Département de mathématiques et de statistique, qui a maintenu une moyenne cumulative de 4,19 pendant ses études à l’Université de Moncton.

Ce prix d’excellence académique a été créé en 2011 à l’initiative du professeur Donald Violette et suite au désir du professeur Pham-Gia de laisser une contribution au Département de mathématiques et de statistique. Il a également été créé pour souligner les nombreux et loyaux services que le professeur Pham-Gia a rendus au Département de mathématiques et de statistique pendant plus de 37 ans.

« On espère que ce prix sera une source de motivation pour nos étudiants et étudiantes et une autre façon pour les professeurs du Département de promouvoir et d’encourager l’excellence en mathématiques », mentionne le professeur Violette.

Renseignements : 858-4325 / donald.violette@umoncton.ca

Une septième thèse de doctorat dirigée par le professeur Christophe Jankowski

Le 27 septembre, Sandrine Wahu a soutenu avec succès une thèse de doctorat à l’Université de Pierre et Marie Curie, Paris VI (Jussieu).

Cette thèse, intitulée « Synthèse et évaluation des propriétés compléxantes et éxtractantes de diamides pour la partition de U / Pu (uranium et plutonium) », a été effectuée sous la direction du professeur Christophe Jankowski, de la Faculté des sciences de l’U de M (professeur Gérard Cote, codirecteur), et a été réalisée au Centre d’études nucléaires de Saclay, en France. Le sujet concernait le retraitement des combustibles nucléaires usés.

C’est la septième thèse de doctorat dirigée par le professeur Jankowski.

Suzanne Dupuis-Blanchard est élue au conseil d’administration de l’Association canadienne de gérontologie

À sa réunion annuelle tenue du 18 au 20 octobre à Vancouver, l’Association canadienne de gérontologie a élu à son conseil d’administration Suzanne Dupuis-Blanchard, professeure à l’École de science infirmière et directrice du Centre d’études du vieillissement de l’Université de Moncton. Mme Dupuis-Blanchard sera responsable de la section gérontologie éducative pour un mandat de deux ans.

Fondée en 1971, l’Association canadienne de gérontologie est une association nationale, multidisciplinaire, scientifique et éducative qui a été créée en vue d'assurer le leadership en matière du vieillissement de la population. La professeure se dit ravie de participer à l’avancement de la mission de l’ACG.

Mme Dupuis-Blanchard siège actuellement à d’autres conseils d’administration dont l’Association des infirmières et infirmiers en gérontologie du Nouveau-Brunswick et l’Institut atlantique du vieillissement. Elle considère que sa participation au niveau national sera bénéfique pour ces différents organismes et pour l’avancement des progrès dans le domaine du vieillissement.

La prochaine rencontre scientifique et éducative aura lieu à Halifax en octobre 2013.

Consultez le site Web de l’Association canadienne de gérontologie pour obtenir de plus amples renseignements : http://www.acgcag.ca/

Le premier Jeudi de la Librairie est consacré à « Cri de terre », de Raymond Guy LeBlanc

La première de la saison 2012-2013 des Jeudis de la Librairie a été consacrée à « Cri de terre », de Raymond Guy LeBlanc, recueil de poèmes réédité cette année par les Éditions Perce-Neige.

Y participaient également, Gabriel Robichaud, comédien, poète et auteur de « La Promenade des ignorés », paru aux Éditions Perce-Neige en 2011, et Jean-Philippe Raîche, poète et auteur de deux recueils de poésie, « Une lettre au bout du monde » et « Ne réveillez pas l'amour avant qu'elle ne le veuille », parus tous deux aux Éditions Perce-Neige en 2011 et 2007 respectivement.

Cette activité littéraire est organisée par la Librairie acadienne et le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de la Faculté des arts et des sciences sociales.

Renseignements : Mireille Thériault, au 858-4140.

Une nouvelle exposition de l’artiste visuel Luc A. Charette est en montre au Théâtre Capitol

L’artiste visuel Luc A. Charette présente une exposition dans le foyer du Théâtre Capitol de Moncton du 31 octobre au 28 décembre. Le public est invité à assister au vernissage, le mardi 6 novembre de 17 heures à 19 heures. L’entrée est libre.

Luc A. Charette est diplômé de l’Université de Moncton en arts et en éducation. Il possède aussi le certificat en photographie publicitaire de la School of Modern Photography (Montréal, 1974) et le diplôme d’études supérieures en technologies de l’information de l’Université de Moncton. Il a étudié les arts visuels à l’Université du Québec à Montréal et à l’Université de Moncton (BAV, 1985). Il a obtenu la maîtrise ès arts avec distinction (arts médiatiques) de l’École des arts visuels de l’Université Laval (2003).

M. Charette a été un précurseur de la publication Web à l’Université de Moncton. Depuis en tant qu’artiste visuel, il s’intéresse sérieusement aux rouages de l’Internet, des arts médiatiques et des Web émissions. Dans sa recherche multidisciplinaire, il explore les espaces réels (installations artistiques), les espaces visuels (images) et les espaces virtuels (Internet), tout en s’intéressant aux liens entre le temps, la durée, les systèmes langagiers, l’identité, la représentation et l’interactivité.

Depuis 1980, il a monté plus d’une trentaine d’expositions et performances individuelles et a participé à plus de 45 expositions de groupe. Il a reçu plusieurs distinctions : Artiste de l’année en arts visuels des prix Éloizes en 2004, gagnant du concours pour la création du Monument commémoratif Honorable Louis J. Robichaud en 2006, et en 2009, finaliste pour le projet de sculptures du Jardin de sculptures 50e anniversaire de la Galerie d’art Beaverbrook, ainsi que pour le prix Strathbutler 2009.

Depuis l’année dernière, il se consacre uniquement à la création artistique, oeuvrant principalement en peinture contemporaine.

Renseignements : 380-5742 / luc.charette@bellaliant.net

Ciné-Campus présente la comédie sentimentale « Liverpool »

Ciné-Campus présente « Liverpool », une comédie sentimentale de Manon Briand avec Stéphanie Lapointe, Charles-Alexandre Dubé et Louis Morissette, le jeudi 1er et vendredi 2 novembre à 20 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

Émilie est préposée au vestiaire du bar Le Liverpool. Elle est un jour bouleversée par la mort d'une cliente du bar, victime d'une surdose. En essayant d'en apprendre plus sur elle, Émilie découvre une machination qui vise à protéger l'héritage du fils d'un riche chef d'entreprise en phase terminale, dont la véritable fille a été enlevée par des motards criminalisés.

Avec l'aide de Thomas, qui a du mal à lui avouer son amour, Émilie mène l'enquête afin de faire la lumière sur toute cette histoire et sauver la jeune fille.

L’entrée est de 5 $ pour les étudiants et 7 $ tarif ordinaire.

Renseignements : www.umoncton.ca/umcm-sls / 858-3738

La GSN présente « Une coupe de cheveux pour la fin du monde », une installation et projection vidéo de Maryse Arseneault

Du 2 novembre du 7 décembre, la Galerie Sans Nom présente « Une coupe de cheveux pour la fin du monde », une installation et projection vidéo de Maryse Arseneault, bachelière en arts visuels de l’Université de Moncton en 2006.

Piété et luxure viennent s'opposer dans ce tout récent effort de Maryse Arseneault, une installation participative avec projections vidéo traitant du rituel dans l'art. Champs qu'on brûle au printemps, cheveux qu'on coupe à la pleine lune, telle une respiration constante de l'univers. La matière délaissée sert de palimpseste pour l'artiste qui travaille toujours couche sur couche, questionnant ainsi la mémoire de l'objet. Elle propose ici une prière collective, un mantra qui nous consolera, advenant une éventuelle fin du monde.

Maryse Arseneault travaille la peinture, l'estampe et le multimédia. Depuis 2005, elle produit des expositions en solo et participe à divers projets collectifs. Elle fait présentement une maîtrise en art imprimé à l'Université Concordia.

L’entrée est libre et la GSN est ouverte du mardi au vendredi de 11 heures à 17 heures, le jeudi jusqu’à 20 heures, et le samedi de 10 heures à 14 heures. Elle est située au Centre culturel Aberdeen, 140, rue Botsford, à Moncton.

Renseignements : amanda@galeriesansnom.org / 854-5381

Jérémie Pellerin et Josée LeBlanc sont les athlètes de la semaine

Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a choisi le coureur Jérémie Pellerin, de Cocagne, et la joueuse de soccer Josée LeBlanc, de Grande-Digue, comme athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 22 au 28 octobre à l’Université de Moncton.

Jérémie Pellerin a terminé au quatrième rang du championnat de cross-country de Sport universitaire de l’Atlantique (SUA), à 13 secondes seulement d’une place sur le podium. À sa deuxième campagne avec les Aigles Bleus, Pellerin a été constant cette saison terminant parmi les premiers dans chacune des compétitions. Il a complété la course avec un temps de 33m06s sur la distance de 8 km. Il a été choisi au sein de l’équipe étoile de SUA et s’est qualifié pour le championnat de Sport interuniversitaire canadien le 10 novembre à London, en Ontario. Il est étudiant en administration.

La capitaine des Aigles Bleues, Josée LeBlanc, a su mener les siennes à deux victoires en fin de semaine, ce qui a permis à l’équipe de se qualifier pour le championnat de SUA. Elle a été choisie joueuse du match samedi. Elle termine de belle façon sa cinquième et dernière année d’admissibilité dans les sports universitaires. L’équipe a terminé la saison ordinaire à la quatrième position au classement, le meilleur rendement depuis une décennie. Elle est étudiante en biochimie.

Communautés et loisir Nouveau-Brunswick rend hommage à Hermel J. Couturier

Dans le cadre de son congrès annuel tenu à Dieppe, Communautés et loisir Nouveau-Brunswick (CLNB) a rendu hommage à Hermel J. Couturier, professeur en loisir pendant plus de 25 ans à l’Université de Moncton, en annonçant la création d’un prix qui portera son nom.

Ce prix sera remis annuellement à un intervenant ou une intervenante en loisir, en sport et en tourisme, membre de CLNB, qui s’est distingué grâce à son engagement auprès de sa communauté.

Maintenant à la retraite, M. Couturier a grandement contribué au développement du loisir, du sport et du tourisme.

Renseignements : Pauline Gallant, au 858-4831.

Jonathan Chiasson et Jean-Marc Benoit remportent le Prix McInnes Cooper à la Faculté de droit

Jonathan Chiasson, de Saint-Simon, et Jean-Marc Benoit, de Gauvreau, ont remporté le Prix McInnes Cooper pour l’année universitaire 2011-2012 à la Faculté de droit de l’Université de Moncton.

Ce prix est attribué par le cabinet McInnes Cooper à l’étudiant ou à l’étudiante qui obtient la note la plus élevée dans le cours Droit fiscal I. Exceptionnellement cette année, ce prix est accordé à deux personnes.

Une session de zumba

À la suite d’une activité organisée par le Comité de mieux-être le 16 octobre, une vingtaine de membres du personnel se sont réunis pour participer à une session de zumba.

La responsabilité sociale et citoyenne des entreprises

Les membres de la communauté universitaire sont invités à assister à une conférence portant sur la responsabilité sociale et citoyenne des entreprises en compagnie de Claudette Bradshaw, le mercredi 7 novembre de 11 h 30 à 12 h 30 dans le local 273 du pavillon Jean-Cadieux au campus de Moncton.

Cette conférence s’inscrit dans le cadre des activités entourant l’inauguration de la nouvelle Salle de conférence de la Faculté d’administration.

Un léger goûter sera servi. Bienvenue à toutes et à tous.

Renseignements : Nicole Brun, au 863-2082.

Un recteur aux intérêts multiples