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Vol. 42, no 29
19 avril 2012
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Raymond Théberge sera le prochain recteur et vice-chancelier de l'Université de Moncton Le Conseil des gouverneurs a accepté le samedi 14 avril la nomination de Raymond
Théberge à titre de recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton. La
décision a été unanime.
Originaire de Saint-Boniface, au Manitoba, M. Théberge est actuellement sous-ministre
adjoint, Division de l'éducation en langue française, de l'éducation des Autochtones et
de la recherche au ministère de l'Éducation et ministère de la Formation, des Collèges
et Universités de l’Ontario.
Le candidat s’est dit très heureux de sa nomination. « Je suis honoré d’avoir été
choisi pour diriger la destinée de l’Université de Moncton au cours des cinq
prochaines années, a-t-il déclaré. J’envisage avec beaucoup d’enthousiasme mon
entrée en fonction prochaine qui me permettra de me pencher sur les questions qui font
vibrer les divers intervenants de l’institution alors qu’elle s’apprête à fêter
son 50e anniversaire de fondation. »
On se rappellera que le processus de sélection du rectorat avait débuté en janvier 2011
avec la nomination d’un comité consultatif de sélection.
Depuis lors, le processus a suivi son cours et s’est soldé aujourd’hui par la
recommandation au Conseil de la nomination de M. Théberge. « Le comité consultatif de
sélection a fait un énorme travail depuis sa création en janvier 2011, a déclaré le
président du Conseil et président du comité, Me André Richard. Je tiens à remercier
les membres qui ont siégé avec moi pour leur dévouement et leur rigueur qui ont mené
à cette nomination dont nous pouvons tous être fiers. »
La nomination de M. Théberge a suivi la recommandation de sa candidature par le comité
consultatif de sélection. Il entrera en fonction le 1er juin prochain.
Autres faits saillants de la réunion du Conseil des gouverneurs :
Le Conseil a approuvé un budget de fonctionnement qui prévoit des revenus de 110 702 000
$ pour l'année financière 2012-2013 qui commence le 1er mai et des dépenses de 110 795
000 $, ce qui représente un léger déficit projeté de 93 000 $.
Les étudiantes et étudiants canadiens qui s'inscriront au premier cycle à temps complet
verront une augmentation équivalant à 3,4 pour cent de leurs droits de scolarité, soit
175 $. Ce pourcentage d’augmentation est maintenu pour tous les autres droits de
scolarité. Par ailleurs, le budget total de bourses aux étudiants et étudiantes des
trois campus financé à partir du fonds de fonctionnement, augmentera également de 3,4
pour cent.
Le Conseil des gouverneurs a également procédé à des nominations académiques qui
entreront en vigueur le 1er juillet :
- Le professeur Jean-François Richard a été nommé doyen de la Faculté des sciences de
l’éducation pour un deuxième mandat de cinq ans;
- Le professeur Paul-Émile Bourque a été nommé doyen de la Faculté des sciences de la
santé et des services communautaires pour un deuxième mandat de cinq ans; et
- Le professeur Sid-Ahmed Selouani a été nommé doyen des Études au campus de Shippagan
pour un premier mandat de cinq ans.
Enfin, le Conseil des Gouverneurs a tenu à féliciter et à remercier le recteur et
vice-chancelier sortant, Yvon Fontaine, pour ses précieux services à l’Université de
Moncton au cours des 12 dernières années. Sous sa tutelle, notre Université a connu une
croissance fulgurante à plusieurs niveaux et est maintenant reconnue à l'échelle
internationale. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10505 | | Chedly Belkhodja est le lauréat du Prix Champlain 2012 Chedly Belkhodja, professeur au Département de science politique de l’Université de
Moncton, est le lauréat du Prix Champlain 2012 dans la catégorie « Ouvrage
savant-érudition » pour son essai « D’ici et d’ailleurs : Regards croisés sur
l’immigration », publié aux Éditions Perce-Neige.
M. Belkhodja a reçu son prix le 12 avril lors d’une cérémonie de remise de prix
littéraires au Salon international du livre de Québec.
Au nom des membres du jury, la présidente, Estelle Dansereau s’est exprimée ainsi : «
Les membres du jury ont souligné le traitement sensible et très actuel qu’offre cet
ouvrage d’un sujet pressant de notre 21e siècle, l’immigration comprise comme
phénomène global ainsi que projet de société pour les communautés moins peuplées au
Canada. Appuyé à la fois par une grande rigueur intellectuelle, des synthèses
théoriques pertinentes et l’expérience personnelle, cet essai invite les lecteurs et
lectrices à comprendre les défis auxquels les sociétés d’accueil devront répondre
à l’avenir - l’ouverture à la diversité, l’intégration de l’Autre et la
définition du lieu habité - et à imaginer de nouvelles dynamiques sociales. Chedly
Belkhodja connait à fond son sujet, écrit avec souplesse et limpidité, et rend vivants
ses propos par des récits de situations migratoires représentatives de diverses régions
canadiennes. »
L'immigration est un sujet d'actualité qui suscite beaucoup de questionnement et de
prises de position dans le contexte de la mondialisation au 21e siècle. On entend parler
des phénomènes migratoires dans les grandes métropoles mondiales et nationales, mais
qu'en est-il des flux migratoires dans les régions moins peuplées et particulièrement
dans les petites provinces canadiennes ?
Chedly Belkhodja propose une sorte de va-et-vient entre des travaux de recherche menés
depuis une dizaine d'années et des observations personnelles, en passant par son
engagement communautaire et sa tra¬jectoire identitaire comme Acadien et immi¬grant de
seconde génération. Voilà surtout un bilan critique né d'un besoin d'écrire plus
librement, sur un ton moins marqué par les contraintes du métier universitaire.
Créé en 1956 par le Conseil de la vie française en Amérique dans le but d’encourager
la production littéraire chez les francophones vivant à l’extérieur du Québec et en
Amérique
du Nord, le Prix Champlain a également pour objectif de susciter chez les Québécois un
intérêt particulier à l’endroit des autres francophones d’Amérique.
Le Prix Champlain est décerné chaque année aux meilleurs ouvrages de langue française
dans chacune des deux catégories suivantes : un ouvrage d’érudition dit « savant »
(recueil d’articles, étude ou essai relevant du domaine des sciences humaines) et une
œuvre de création (roman, fiction, recueil de poésie, de nouvelles et de pièces de
théâtre, biographie, littérature jeunesse).
Chedly Belkhodja est le 12e auteur d’Acadie à être honoré par ce prestigieux prix.
Les autres personnes lauréates sont Antonine Maillet (1961), Anselme Chiasson (1963),
Michel Roy (1983), Georges Arsenault (1989), Claude Lebouthillier (1990), Alexandre-J.
Boudreau (1995); Zachary Richard (1998), Léonard Forest (1999), Louis Haché (2004),
Nicolas Landry (2007) et Herménégilde Chiasson (2008). | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10507 | | L’Université de Moncton participe à un projet de formation des dirigeants universitaires haïtiens L’Université de Moncton fait partie d’un consortium d’universités canadiennes
créé pour offrir une aide aux universités haïtiennes. Composé également des
universités Laval, d’Ottawa et de Sherbrooke, il a organisé le premier séminaire du
Programme de formation en gestion universitaire pour les établissements haïtiens offert
en partenariat avec l’Association catalane des universités publiques.
Le registraire de l’Université de Moncton, Pascal Robichaud, était au nombre des
formateurs à prendre part à ce premier séminaire tenu en février, auquel ont
participé quelque 30 représentants d’universités membres de la Conférence des
recteurs, présidents et dirigeants d’institutions d'enseignement supérieur
haïtiennes, et des représentants du ministère de l’Éducation nationale et de la
Formation professionnelle d’Haïti.
Selon M. Robichaud, il est du devoir des universités canadiennes françaises d’offrir
une aide en développement aux universités d’Haïti. « Cette démarche s’inscrit
dans le cadre de notre rôle comme universitaire d’aider au développement de
l’enseignement postsecondaire, particulièrement dans les pays en voie de
développement, dit-il. De plus, nous avons un devoir envers Haïti avec qui l’Acadie et
l’Université de Moncton partagent des liens privilégiés depuis de nombreuses années.
Parmi les partenariats avec Haïti, celui-ci à son importance puisqu’il s’intéresse
aux fondements même des universités : à l’administration et aux services. »
« Pendant le séminaire, j’avais la responsabilité d’apporter une expertise et des
compétences en gestion des registres, ajoute M. Robichaud. Je leur ai expliqué notre
système de gestion de crédits, un système basé sur des charges de temps égales
accordées à des cours ayant le même nombre de crédits. J’ai aussi expliqué les
avantages et les raisons derrière l’utilisation d’un système de gestion des données
comme le nôtre. Il faut garder à l’esprit que plusieurs des universités haïtiennes
ne sont pas dotées d’équipement informatique, alors la gestion des dossiers est
d’autant plus difficile. »
Le programme de formation est divisé en quatre blocs thématiques consacrés aux aspects
les plus importants de la gestion universitaire : les politiques et les orientations, les
missions de l’université, la direction et les outils de gestion et l’avenir des
universités. Ces blocs thématiques comprennent plusieurs modules de formation qui sont
offerts cette année dans le cadre de quatre séminaires de formation en Haïti et d’un
séminaire de formation d’une semaine à Barcelone, en Espagne. De plus, les
participants bénéficieront d’une assistance professionnelle individuelle pour
concevoir, planifier et élaborer un plan d’action personnel dans le but de mettre sur
pied des projets concrets dans leurs établissements respectifs. »
M. Robichaud est satisfait du premier séminaire qui a été bien accueilli par les
participants haïtiens. Tout comme ses collègues du consortium, il a insisté sur la mise
en commun des ressources. « En Haïti, il y a beaucoup de petites universités qui
n’ont pas les ressources nécessaires pour fonctionner de façon complètement autonome;
il faut donc travailler ensemble », dit-il.
« En fait de suivi, j’aimerais inviter des universitaires haïtiens à l’Université
de Moncton afin qu’ils puissent vivre l’expérience du fonctionnement de notre
Registrariat. De plus, l’Institut de formation des cadres d’Haïti s’est montré
intéressé à établir un partenariat avec le Département d’administration publique
afin de monter un programme de formation des cadres, une initiative qui me motive beaucoup
comme je suis aussi chargé de cours au Département d’administration publique de notre
Université », conclut M. Robichaud. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10508 | | Steve LeBlanc est nommé entraîneur de l'équipe du Nouveau-Brunswick pour les Jeux de la Francophonie Athlétisme Nouveau-Brunswick (ANB) a annoncé la nomination de Steve LeBlanc à titre
d’entraîneur-chef de l'équipe d’athlétisme du Nouveau-Brunswick, qui prendra part
aux 7es Jeux de la Francophonie internationale, du 6 au 15 septembre 2013 à Nice en
France.
Présentement entraîneur de l’équipe d’athlétisme de l’Université de Moncton,
Steve LeBlanc est aussi coordonnateur du programme de haute performance d’ANB. «
C’est avec beaucoup de fierté que j’accepte mes nouvelles fonctions, dit-il. Les Jeux
de la Francophonie sont une excellente occasion pour nos meilleurs athlètes d'acquérir
une expérience internationale. Je me réjouis de travailler avec les athlètes et les
entraîneurs de toute la province afin de développer la meilleure équipe possible en vue
de cette compétition d’envergure. »
Les Jeux de la Francophonie rassemblent tous les quatre ans près de 3 000 athlètes et
artistes issus de la Francophonie. En 2013, on prévoit plus de 3 000 participantes et
participants provenant de 48 délégations. Ils sont uniques puisqu’ils sont les seuls
à présenter des activités sportives et culturelles dans un contexte de compétition.
Les Jeux de la Francophonie ont été créés en 1987 à Québec lors du Sommet de la
Francophonie. Le comité international des Jeux (CIJF), qui relève de l’Organisation
internationale de la Francophonie (OIF), a pour mandat d’assurer la supervision
générale de l’organisation des Jeux confiée au pays hôte.
Depuis le début de ces Jeux, le Canada envoie une délégation formée de trois équipes,
soit l’Équipe-Canada, l’Équipe Canada-Nouveau-Brunswick et l’Équipe
Canada-Québec. Cette triple représentation incarne la volonté de participation du
Canada et de ces deux provinces canadiennes. Elle témoigne également de l’importance
historique et traditionnelle qu’accordent ces deux provinces à leurs origines
francophones.
Les athlètes sont choisis selon un processus de sélection déterminé par les
organisations nationales sportives en fonction des critères d’excellence propres à
chacune, tout en respectant le processus établi par le CIJF. Quant aux artistes, ils sont
choisis par l’entremise de concours culturels. Le choix final des artistes relève
d’un jury international nommé par le CIJF et appuyé par l’OIF.
Équipe-Canada sélectionne les membres de son équipe dans l’ensemble du pays, tandis
que les membres des équipes du Québec et du Nouveau Brunswick sont issus de ces deux
provinces. La sélection est basée sur l’excellence et non sur l’appartenance
linguistique. Des athlètes et des artistes dont la langue première est autre que le
français et qui ne parlent pas le français peuvent participer aux Jeux de la
Francophonie. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10509 | | Le Tournoi Ultimate a connu cette année encore un véritable succès Le Tournoi Ultimate 2012 de l’Université de Moncton a connu cette année encore un
véritable succès.
Grâce à la participation de la communauté étudiante et de la population de la grande
région de Moncton, cette activité a permis d’amasser plus de 10 000 $ qui sont
destinés à la cause de l’organisme mondial Right To Play. Plus de 200 enfants seront
scolarisés, nourris et vêtus pour toute une année dans plus de 24 pays.
L’équipe OQπ a été couronnée championne du tournoi qui comptait 32 équipes et plus
de 600 participantes et participants.
Mathieu Babineau a remporté le prix de 1 500 $ pour l’individu ayant amassé le plus
d’argent, l’équipe des G2 pour le plus d’argent amassé collectivement, 1 450 $,
les Flying V de UNB, meilleur esprit d’équipe, Charles Tousignant - Frisbee Toss et
Stéphanie Thériault - concours de danse.
Les étudiants et étudiantes du cours de dynamique communautaire de l’Université de
Moncton et les membres du Club Right To Play de l’Université de Moncton désirent
remercier tous ceux et celles qui ont participé au tournoi et qui ont permis de faire de
cet événement une expérience inoubliable. Ils remercient spécialement les entreprises
de la région et les donateurs qui ont participé financièrement au projet.
Renseignements : Pape Ousmane Sine, eos7158@umoncton.ca / 227-8095 | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10515 | | Santé mentale : série de cinq conférences Le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick et la Direction générale de
l’Éducation permanente de l’Université de Moncton, en collaboration avec la Faculté
de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke et ses
partenaires et le Centre d’expertise en santé de Sherbrooke, proposent à l’ensemble
de la population francophone un nouveau programme de formation populaire en santé.
La série de cinq conférences est offerte dans les communautés de Bathurst, Campbellton,
Edmundston, Moncton et Shippagan. Les ateliers auront lieu de 19 heures à 21 heures en
direct du campus de Moncton et par visioconférence dans les autres régions. Il en coûte
50 $ par personne pour les cinq conférences et 25 $ pour les étudiants et étudiantes.
Il est possible de s’inscrire en visitant le site Internet ci-dessous.
Voici les dates et les titres des conférences :
« Introduction à la maladie mentale », le mardi 1er mai avec le Dr Marc Vautour,
psychiatre.
« Les troubles de l’humeur », le mardi 8 mai avec le Dr Jean-Marc Chianetta,
psychiatre.
« Les troubles anxieux », le mardi 15 mai avec la Dre Mylène Poirier, psychiatre.
Les troubles psychotiques », le mardi 22 mai avec le Dr Patrick Marcotte, psychiatre.
« L’histoire et l’avenir thérapeutique », le mardi 29 mai avec le Dr Michael Kemp,
pharmacien.
Renseignements : Julie Albert, au 506-858-4122 http://www.umoncton.ca/edperm/pp-horaire | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10526 | | Agrandir l'imageLa photo, prise lors de l’activité qui a lieu au campus de Moncton, nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : Marie-Linda Lord, vice rectrice aux affaires étudiantes et internationales; Lise Rodrigue, professeure et responsable secteur langue du Département d’études françaises; Rock Babin, médaillé de l’école secondaire Aux-Quatre-Vents et étudiant en sciences de la santé; Jessica Girouard, médaillée de l’école secondaire Clément-Cormier et étudiante en sciences de laboratoire médical; Karine Bourgeois, médaillée de l’école secondaire Louis-J.-Robichaud et étudiante au baccalauréat multidisciplinaire; Kaitlyn Morris, médaillée de l’école secondaire Carrefour Beausoleil et étudiante en design intérieur; et Sylvie Robichaud-Ekstrand, directrice de l’École réseau de science infirmière; 2e rangée : Abdelaziz Nait Ajjou, directeur par intérim du Département de chimie et biochimie; Gino Allard, médaillé de l’école secondaire Roland-Pépin et étudiant en génie mécanique; Roger Boudreau, directeur du Département de génie mécanique; Stephan G. Reebs, professeur du Département de biologie; André J. Lapointe, directeur du Département des arts visuels; François-Guillaume Landry, médaillé du l’école secondaire Mathieu-Martin et étudiant en sciences de la santé; et Lucie Sippley, médaillée de l’école régionale de Baie Ste-Anne et étudiante en science infirmière. Absences dans la photo : Alexandre Coholan, médaillé de l’école secondaire L’Odyssée et étudiant en biochimie; Stéphanie Doiron, médaillée de l’école secondaire Assomption et étudiante en administration des affaires avec concentration en gestion des opérations; et Pierre-Alexandre Hébert, médaillé de l’école secondaire Mgr-Marcel-François-Richard et étudiant en sciences de la santé.
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Activité de reconnaissance pour les récipiendaires de la médaille académique du Gouverneur général En mars, une activité de reconnaissance a eu lieu aux trois campus pour les
récipiendaires de la médaille académique du Gouverneur général qui ont choisi
d’étudier à l’Université de Moncton.
Ce sont 18 des 22 étudiants et étudiantes francophones du Nouveau-Brunswick qui ont
reçu la médaille académique en juin 2011 qui ont choisi d’étudier à l’Université
de Moncton. La plaque qui leur a été présentée se lisait comme suit : « Les meilleurs
vont à l’Université de Moncton. Ces 18 jeunes ont obtenu la meilleure moyenne
académique de leur école, remportant la Médaille académique du Gouverneur général au
mois de juin 2011. En septembre 2011, elles et ils se sont inscrits dans une université
qui leur ressemble : jeune, ambitieuse, pleine d’avenir. L’Université de Moncton est
la destination de choix pour les étudiantes et étudiants du Nouveau-Brunswick, du Canada
et de la Francophonie. »
Reconnaissance académique au campus d’Edmundston
Dans la région du Nord-Ouest, cinq étudiants et étudiantes qui ont reçu cette
médaille académique ont choisi de poursuivre leurs études au campus d’Edmundston.
Reconnaissance académique au campus de Shippagan
Dans la région du Nord-Est, trois étudiants médaillés fréquentent actuellement le
campus de Shippagan. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10511 | | Agrandir l'imageIl s’agit, de gauche à droite, de Raphaël Rousselle (B.Sc. chimie B.Ed), médaillé de l’école secondaire Marie-Gaétane; Caroline Couturier (DSS1), médaillée de la Cité des Jeunes A.-M.-Sormany d’Edmundston; Franceska Thériault (DSS), médaillée de l’école secondaire A.-J.-Savoie; Michelle Daigle (DSS), médaillée de l’école secondaire Thomas-Albert; Kim Caron (BAA), médaillée de l’école Grande-Rivière.
Ils sont accompagnés, à gauche, de Jacques Paul Couturier, doyen des études au campus d’Edmundston. |
Reconnaissance académique au campus d’Edmundston Dans la région du Nord-Ouest, cinq étudiants et étudiantes qui ont reçu cette
médaille académique ont choisi de poursuivre leurs études au campus d’Edmundston.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10535 | | Agrandir l'imageDans la photo, ils sont accompagnés, à gauche, de Jocelyne Roy Vienneau, vice-rectrice du campus de Shippagan, et, à droite, de Marthe Robichaud, doyenne des études par intérim. |
Reconnaissance académique au campus de Shippagan Dans la région du Nord-Est, trois étudiants médaillés fréquentent actuellement le
campus de Shippagan.
Il s’agit d'Annie Paulin, de l'école secondaire Marie-Esther de Shippagan, inscrite au
baccalauréat en sciences; Thierry Arseneau, de l'école secondaire Népisiguit de
Bathurst, et Charles Albert, de l’école secondaire Louis- Mailloux de Caraquet, tous
deux inscrits au DSS.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10537 | | Jonathan Roy : les études en sciences, c’est ce qui me passionne Jonathan Roy, étudiant de 5e année en génie civil à la Faculté d’ingénierie de
l’Université de Moncton, est le récipiendaire d’un prix en géotechnique après
avoir obtenu les meilleurs résultats académiques dans les cours GCIV3410-Sciences de la
terre, GCIV3420-Mécanique des sols et GCIV4430-Fondations.
« Cette reconnaissance m’a donné un regain d’énergie pour terminer ma dernière
année d’études, dit-il. J’ai appris que j’étais le récipiendaire du prix un peu
par hasard alors qu’en payant mes droits de scolarité, j’ai constaté que j’avais
reçu une bourse supplémentaire. Un peu plus tard, on a fait l’annonce du prix et on
m’a remis officiellement un certificat d’excellence et la bourse de 300 $. »
Jonathan explique son succès académique par un intérêt pour les sciences qu’il a
depuis ses études au secondaire. « J’ai toujours voulu faire des études en sciences,
c’est ce qui me passionne, souligne l’étudiant originaire de Petit-Rocher Nord. Plus
jeune, je rêvais de travailler en médecine nucléaire ou en aéronautique pour la NASA,
mais j’ai choisi le génie civil après avoir travaillé pendant l’été au ministère
des Transports. En plus de la géotechnique, les structures m’intéressent beaucoup,
alors je n’ai jamais regretté mon choix. »
« J’ai l’intention de poursuivre mes études à la maîtrise à l’École
polytechnique de Montréal mais je n’écarte pas pour le moment la possibilité de
travailler pour acquérir de l’expérience sur le marché du travail. Si j’accepte un
emploi, ajoute-t-il, j’ai le sentiment que ce sera pour travailler à l’extérieur.
Avec la réfection des ponts et viaducs au Québec, les ingénieurs civils sont beaucoup
en demande dans cette province. Je trouve motivant le fait de travailler sur des projets
d’envergure de ce genre. »
L’an dernier, Jonathan a travaillé dans une mine d’or située dans le nord de
l’Ontario pour le compte de la compagnie Génivar. Cette expérience de travail lui a
permis de voir différents métiers reliés au génie et d’acquérir de l’expérience
sur le terrain.
Rendu presqu’au terme de ses études de baccalauréat, le bilan de son parcours
universitaire est plutôt favorable. Jonathan Roy tenait à poursuivre des études en
français et se dit reconnaissant d’avoir reçu une formation de qualité à
l’Université de Moncton. De plus, il se souviendra longtemps des liens d’amitié
qu’il a tissés et des activités sportives et récréatives auxquelles il a participé. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10529 | | Soutenance de thèse de maîtrise en histoire Le Département d’histoire et de géographie vous invite à assister à la soutenance de
thèse de maîtrise ès arts en histoire de Sophie Doucette, intitulée «
Marcel-François Richard et la colonisation de Rogersville, 1874-1921 » le mardi 24 avril
à 10 heures dans la salle A-244 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.
La composition du jury est la suivante : Jeremy Hayhoe, président et Phyllis E. LeBlanc,
directrice de la thèse, tous deux professeurs au Département d’histoire et de
géographie de l’Université de Moncton; Nicolas Landry, professeur d’histoire au
campus de Shippagan, évaluateur interne; et Sheila Andrew, professeure associée à St.
Thomas University, évaluatrice externe. Bienvenue à tous et à toutes.
Renseignements : 858-4065 / dianne.leblanc@umoncton.ca
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10528 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir de gauche à droite : Jayson Bergeron, Patrick Savoie et Guillaume Deschênes-Thériault, de l’École Marie-Gaétane; Marie-Linda Lord; et Sara Ghalia, Philippe LeBoeuf et Thierry Fontaine, de l’école Mathieu-Martin. |
Bourses d’entrée pour les six finalistes de la 3e édition du Tournoi provincial de débats des écoles secondaires L’Université de Moncton a offert des bourses d’entrée aux six finalistes de la
troisième édition du Tournoi provincial de débats des écoles secondaires du
Nouveau-Brunswick.
Ce tournoi, qui a eu lieu les 16 et 17 mars à l’école L’Odyssée de Moncton dans le
cadre de la Semaine provinciale de la fierté française, est organisé par
l’Association des enseignantes et des enseignants francophones du Nouveau-Brunswick et
le ministère de l'Éducation et du Développement de la petite enfance en collaboration
avec la Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick et l'Association des
juristes d'expression française du Nouveau-Brunswick.
Les membres de l’équipe gagnante, l’école secondaire Mathieu-Martin de Dieppe, ont
reçu une bourse de 1 500 $ chacun et les trois finalistes de l’école secondaire
Marie-Gaétane de Kedgwick, une bourse de 1000 $ chacun.
Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, a présenté
les bourses aux finalistes. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10531 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; Gaby Lyness, de Moncton, récipiendaire d’un certificat de mérite, étudiant de 3e année au baccalauréat en travail social; Danika Collas, organisatrice du banquet, étudiante de 3e année au baccalauréat en travail social; Lissa Mallais, agente du développement communautaire pour le Nouveau-Brunswick au IWK Health Centre Foundation, conférencière; Danie Comeau, organisatrice du banquet, étudiante de 3e année au baccalauréat en travail social; et Hélène Albert, directrice de l’École de travail social. Absence dans la photo : Vicky Roy, de Rivière-Verte, récipiendaire du prix et du certificat d’excellence, étudiante de 3e année au baccalauréat en travail social. |
Banquet des finissants et finissantes de l’École de travail social Lors du banquet des finissants et des finissantes, l’Association des étudiants et
étudiantes et l’École de travail social de l’Université de Moncton ont présenté
un prix, un certificat d’excellence et un certificat de mérite à deux étudiants en
guise de reconnaissance pour la qualité du rendement académique conjugué à une
participation exceptionnelle à la vie para-académique.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10519 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Todd Bechard, membre du conseil d’administration de CFA Atlantique; Peter Gibson, directeur gestionnaire - Stratégie de portefeuille et recherche quantitative, Recherche sur les actions institutionnelles chez Marchés mondiaux CIBC Inc., conférencier; Tania Morris, professeure de finance et responsable par intérim de la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de la Faculté d’administration; et Mathieu Roy, membre du conseil d’administration de CFA Atlantique. |
Dîner-causerie annuel des analystes financiers certifiés du Canada Atlantique Le dîner-causerie annuel des analystes financiers certifiés (CFA) du Canada atlantique a
eu lieu pour une première fois à Moncton, organisé en collaboration avec la Chaire
d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de l’Université de
Moncton.
Cette activité, qui a regroupé quelque 65 personnes au Centre étudiant du campus de
Moncton, a suscité l’intérêt des gens d’affaires des provinces atlantiques, des
étudiants et étudiantes de la Faculté d’administration et des membres de la
communauté universitaire.
Le conférencier, Peter Gibson, directeur gestionnaire en stratégie de portefeuille et en
recherche quantitative chez Marchés mondiaux CIBC Inc., est une sommité au niveau
national. Il a été nommé 21 fois meilleur analyste quantitatif au Canada par le sondage
annuel de Brendan Wood International effectué auprès des gestionnaires de portefeuille.
Il a également été classé premier relativement à sa stratégie d'investissement, neuf
fois au cours des dernières années.
Lors de sa présentation, M. Gibson a expliqué que depuis quelques années les taux
d’intérêt des titres obligataires sont corrélés de façon positive avec les titres
du marché boursier, et que cela est contraire à la tendance historique alors qu’on
observait plutôt une corrélation négative entre les titres du marché boursier et les
taux obligataires.
À cet effet, M. Gibson indique qu’il est important de suivre l’évolution des taux
obligataires car ils peuvent nous laisser anticiper la tendance des marchés financiers. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10521 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Gaston LeBlanc doyen de la Faculté d’administration; Stéphanie Jones, boursière; Michel Vézina, directeur du Service de l’enseignement des sciences comptables HEC Montréal; Ghislain LeBlanc, boursier; Jacques Fortin, responsable pédagogique du programme du D.E.S.S. en comptabilité publique HEC Montréal; Sousie Lagacé, boursière; Donald French, directeur des programmes LOE à l’U de M; Monique Levesque, professeure de comptabilité à l’U de M; et Sébastien Deschênes, directeur du Département de comptabilité à l’U de M. La boursière Susie Benoit est absente dans la photo. |
Comptables agréés : le Département de comptabilité remet quatre bourses de 10 000 $ à des étudiants qui poursuivront leur formation en français Le Département de comptabilité de la Faculté d’administration de l’Université de
Moncton a remis quatre bourses de 10 000 $ à trois étudiantes et un étudiant de la
concentration comptabilité qui désirent poursuivre leur formation en français aux HEC
Montréal pour devenir comptables agréés.
En vertu de l’entente de principe conclue entre la Faculté d’administration et les
HEC Montréal, ces étudiants suivront la formation de deuxième cycle offerte en
comptabilité publique menant à l’examen d’agrément national de l’Institut des
comptables agréés.
Selon le directeur du Département de comptabilité, Sébastien Deschênes, cette entente
constitue un progrès important qui augmentera sensiblement l’accès aux francophones à
cette profession. Une particularité de l’entente est qu’elle vise la délocalisation
de la majeure partie de la formation des HEC à l’Université de Moncton dans un avenir
rapproché. Rappelons que sans cette entente, les étudiants et étudiantes devaient
étudier un an en anglais auprès de l’Atlantic School of Chartered Accountancy.
Au 31 mars 2010, le Nouveau-Brunswick comptait 1 081 comptables agréés. De ce nombre, 92
pour cent se déclaraient anglophones et seulement huit pour cent francophones. Une
enquête menée auprès des membres a révélé que la rémunération moyenne était de
125 234 $.
Chaque année, environ 35 étudiants et étudiantes en comptabilité reçoivent leur
diplôme de l’Université de Moncton. L’entente est de nature à faciliter l’accès
à cette profession pour les francophones. Renseignements : Sébastien Deschênes, au
858-4230. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10522 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir des étudiantes et étudiants du cours de didactique des arts visuels au primaire (hiver 2012), en compagnie de la directrice du Centre des arts de Dieppe, Nadine Duguay (à gauche dans la photo), de l’artiste Gerry Collins qui termine une résidence au Centre des arts de Dieppe (à droite dans la photo), et de la professeure Lise Robichaud. |
Faire des liens entre la pratique et certaines théories en enseignement des arts visuels au primaire Dans le cadre du cours de didactique des arts visuels au primaire, des étudiantes et
étudiants de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton ont
visité le Centre des arts de Dieppe.
L’artiste de Moncton Gerry Collins a présenté aux trois groupes-cours son exposition
de sculptures en céramique et expliqué son processus de création en arts visuels.
La directrice du Centre, Nadine Duguay, a présenté les résultats de deux projets
Génie-Arts réalisés par des élèves de deux écoles primaires du district scolaire no
1.
Cette sortie sur le terrain a été organisée par la professeure Lise Robichaud. Les
étudiants et étudiantes ont pu faire le lien entre la pratique et certaines théories en
enseignement des arts visuels au primaire.
Renseignements : 858-4461 / Lise.r.robichaud@umoncton.ca | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10524 | | Roch Voisine est le porte-parole du Congrès mondial acadien 2014 Roch Voisine est le porte-parole de la 5e édition du Congrès mondial acadien, qui aura
lieu du 8 au 24 août 2014 dans trois régions voisines, le nord-ouest du
Nouveau-Brunswick, le Maine aux États-Unis et le Témiscouata au Québec.
Émilien Nadeau, président du CMA, rappelle qu’en tant que porte-parole, le chanteur
acadien originaire d’Edmundston (quartier Saint-Basile) participera à divers
événements dans le but de promouvoir le Congrès. Roch Voisine inclura la promotion du
CMA dans ses propres activités artistiques et médiatiques. Il invitera les gens du monde
entier à se joindre à la fête en août 2014 pour visiter sa région natale de
l’Acadie des terres et forêts. »
Roch Voisine sera au Festival interceltique de Lorient en août. Cet évènement est le
plus grand festival de France et l’Acadie y est à l’honneur cette année. Il chantera
lors d’un spectacle présenté le 6 août à l’Espace Marine, une salle de près de 6
000 sièges. Ce spectacle du 6 août à Lorient sera repris le 15 août au Festival
acadien de Caraquet lors de notre Fête nationale.
Parmi les autres tâches qui attendent le porte-parole, il fera notamment partie du jury
qui choisira la chanson thème du CMA 2014. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10530 | | CRDE : simulation d’une crise humanitaire Le Centre de recherche et de développement en éducation vous invite à assister à une
causerie-midi portant sur la simulation d’une crise humanitaire en compagnie de
Jean-François Thibault, professeur au Département de science politique de
l’Université de Moncton, le mercredi 25 avril entre midi et 13 heures dans le local
B-047 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.
La simulation d’événements internationaux et l’utilisation de jeux de rôle
apparaissent comme des méthodes particulièrement bien appropriées pour initier les
étudiantes et étudiants à la complexité des processus impliqués et aux contraintes
que suppose la prise de décision. Ces méthodes permettent notamment d’identifier les
compétences requises pour parvenir à décoder une dynamique d’ensemble et à naviguer
ou négocier, dans le contexte d’un environnement politique complexe, en cherchant à
concilier les positions antagonistes.
De plus, en tant qu’expérience qui demande à ce que les étudiantes et étudiants
soient des participants actifs, le jeu de rôle pousse à la réflexion ainsi qu’aux
échanges et incite les personnes participantes à développer des arguments et
contre-arguments qui soient convaincants. Les étudiantes et étudiants doivent ainsi
comprendre les diverses dimensions d’une situation de crise humanitaire, prendre des
décisions dans un contexte de grande incertitude et réagir aux résultats de leurs
décisions ainsi qu’aux décisions (souvent non-concertées) qui sont prises par
d’autres acteurs.
Enfin, la simulation engage les étudiantes et étudiants à construire des ponts entre la
théorie et la pratique ainsi qu’à mieux apprécier le fait que la réalité
s’interprète souvent à la lumière du bagage de connaissance que l’acteur possède
au préalable. | Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10525 | | Le programme des diplômés internationaux en santé prend de l’expansion au campus d’Edmundston Le campus d’Edmundston a annoncé l’obtention de fonds du ministère de l’Éducation
postsecondaire, de la Formation et du Travail du gouvernement du Nouveau-Brunswick pour
l’expansion du programme d’intégration des diplômés internationaux de la santé
francophones (DIS) dans la province.
Le programme DIS est une initiative qui a été mise sur pied par le Consortium national
de formation en santé (CNFS) en partenariat avec le Secteur de science infirmière du
campus d’Edmundston en 2006. Cette initiative importante du CNFS vise à augmenter le
nombre de diplômés internationaux de la santé francophones pouvant exercer leur
profession dans les communautés francophones en situation minoritaire. « En facilitant
l’intégration socioprofessionnelle de ces DIS, nous pouvons ainsi accroître le nombre
de professionnels francophones de la santé pouvant offrir des services de santé en
français dans nos communautés », précise France L. Marquis, responsable du programme
au Nouveau-Brunswick.
Le programme, financé par le ministère des Ressources humaines et du Développement des
compétences Canada, ciblait initialement la région du nord-ouest de la province. À la
suite de résultats probants, le campus d’Edmundston et le CNFS ont amorcé des
discussions avec le gouvernement du Nouveau-Brunswick pour permettre à d’autres
régions francophones de la province de bénéficier des retombées du programme.
« Par cette initiative, nos régions francophones pourront bénéficier plus facilement
du plein potentiel que représentent les DIS tant pour leur développement économique que
pour le renforcement des services de santé », affirme Jacques-Paul Couturier, doyen des
études au campus d’Edmundston. Pour ce faire, des collaborations sont entretenues avec
le Réseau de santé Vitalité, certaines associations professionnelles provinciales et
des organisations d’aide aux immigrants francophones qui participent à différents
niveaux. D’ailleurs, les responsables du programme souhaitent consolider ces
partenariats au cours des prochaines années et ainsi contribuer à la redynamisation des
communautés francophones en situation minoritaire du Nouveau-Brunswick.
Le gouvernement fédéral collabore actuellement avec le gouvernement du Nouveau-Brunswick
pour la mise en œuvre au plan provincial du Cadre pancanadien d’évaluation et de
reconnaissance des compétences professionnelles acquises à l’étranger, ce qui
constitue un avancement important pour mieux aider les personnes immigrantes à exercer
leur profession dans la province, mais aussi dans l’ensemble du Canada.
Plus en savoir plus sur les activités du CNFS dans le domaine de l’immigration,
consultez le site www.cnfs.net et pour plus de détails concernant le programme DIS au
Nouveau-Brunswick, consultez le site Internet ci-dessous. | Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10534 | | CNFS : la qualité de la vie : un concept mesurable ? Dans le cadre de son programme d’excellence professionnelle, le Consortium national de
formation en santé - volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS
- volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par
vidéoconférence en direct de l’hôpital Montfort, à Ottawa. Ces conférences se
veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux personnes
professionnelles de la santé.
La dernière vidéoconférence de ce semestre aura lieu le mardi 24 avril de 12 h 30 à 14
heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois. La conférence, intitulée « La
qualité de la vie : un concept mesurable? », sera présentée par Raymond Tempier, chef
du Département de psychiatrie à l’hôpital Montfort.
La définition de la santé selon l’OMS stipule qu’elle est un état complet de
bien-être physique, mental et social plutôt que l’absence de maladie. Le bien-être
peut se mesurer par la qualité de vie.
Cette mesure a été introduite dans les années 1970 par l’école de Chicago à un
moment ou le rêve américain consistait encore dans la poursuite du bonheur pour tous.
L’objectif principal de la médecine est passé de la prolongation à l’amélioration
de la vie, confort plutôt que cure pour les maladies chroniques. Et la plupart des
troubles mentaux évoluent vers des conditions qui durent; aussi, la recherche en
psychiatrie s’est intéressée à la vie des patients qui transitaient de l’hôpital
à la communauté dans les années 1980.
Comment mesurer la vie de ceux et celles qui vivent dans la communauté ? La qualité de
vie évalue justement l’impact des troubles, des symptômes et des traitements sur la
vie de tous les jours. Ce concept reste difficile à cerner et on se doit d’améliorer
la mesure de qualité de vie et de mieux en préciser sa définition.
Le but de cette conférence est de renseigner les cliniciens, les intervenants, les
étudiants et chercheurs de l’importance de la qualité de vie et de sa mesure dans les
recherches sur les services de santé et les plans de traitement et de suivis.
Pour s’inscrire ou obtenir plus de renseignements, prière de communiquer avec Melissa
Richard ou Stéphanie Collin : cnfs@umoncton.ca / 858-4655. Les places sont limitées. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10546 | |
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