Vol. 42, no 27
05 avril 2012
Le professeur Pandurang Ashrit est honoré par la Fondation de l'innovation du Nouveau-Brunswick
La Fondation de l'innovation du Nouveau-Brunswick (FINB) a rendu hommage à trois chercheurs qui se distinguent dans leur domaine d’expertise par la qualité de leurs projets de recherche appliquée au Nouveau-Brunswick. Le professeur Pandurang Ashrit, du Département de physique et astronomie de la Faculté des sciences de l’Université de Moncton, est au nombre des chercheurs qui ont été honorés par la FINB lors d’une réception tenue récemment à Fredericton.

Directeur du Groupe de recherche sur les couches minces et la photonique (GCMP) de l’Université de Moncton, le professeur Ashrit travaille notamment au développement et au perfectionnement de couches minces pour fenêtres et pare-brise. Ces pellicules ont la propriété de repousser la chaleur à haute température ou de la laisser passer à basse température.

Dès que le verre atteint environ 40ºC, la couche mince développée par le professeur Ashrit reflète toute la lumière infrarouge qui transforme en four l’intérieur de votre voiture lors des journées chaudes et ensoleillées de l’été. Cette couche peut être appliquée sur pratiquement toutes les surfaces et utilisée ailleurs que dans l’automobile, notamment dans les satellites.

Lorsqu’ils font face au soleil, les satellites peuvent atteindre des températures allant jusqu’à 150ºC, ce qui nécessite des systèmes de refroidissement encombrants. En utilisant la couche mince, on éliminerait le besoin de tels systèmes, ce qui rendrait les satellites plus légers et libérerait les compartiments de charge inutile.

Une autre invention impressionnante du professeur Ashrit consiste en un cristal photonique accordable breveté en 2010, qui donne un nouveau souffle à l’industrie des télécommunications. En bref, cela permettrait de séparer la lumière par laquelle les données circulent présentement, en « canaux de couleurs », ce qui serait extrêmement efficace et permettrait de se libérer de la bande passante.

Le professeur Ashrit possède le doctorat en physique des solides de l’Université Karnataka en Inde et il est professeur et chercheur à l’Université de Moncton depuis 1982.

La FINB est une société indépendante qui soutient le développement de l’innovation au Nouveau-Brunswick. Son mandat consiste à renforcer les capacités d’innovation de la province en investissant dans la recherche appliquée et dans de nouvelles entreprises axées sur la croissance. Depuis sa création en 2003, elle a investi au-delà de 25 millions $ et obtenu un financement extérieur de 182 millions $ de plus à l’appui de l’innovation au Nouveau-Brunswick.
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Métropolis atlantique : conférence de Luc Thériault
Le centre Métropolis atlantique vous invite à assister à deux présentations de Luc Thériault, professeur au Département de sociologie à l'University of New Brunswick à Fredericton, la première à l’Université de Moncton, intitulée « Tiers secteur et établissement des immigrants au Nouveau-Brunswick : répondre à l'appel pour la croissance démographique? », le jeudi 3 mai à 15 heures dans la salle 458 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton, et la deuxième à UNB Fredericton, intitulée «Non-profit Immigrant Settlement Agencies in New Brunswick: Answering the Call for Population Growth? », le vendredi 4 mai à 15 heures au pavillon Tilley 5.

Le professeur Thériault présentera les résultats d'une enquête portant sur les organismes sans but lucratif travaillant à l’établissement des immigrants au Nouveau-Brunswick. À une époque où la province a besoin d'immigration pour empêcher la décroissance démographique, ces organismes travaillent en partenariat avec les gouvernements pour offrir des services qui sont d'une importance clé pour l'établissement des nouveaux arrivants, y compris dans les communautés non urbaines.

Basée sur des entretiens semi-structurés avec 21 informateurs clés travaillant dans 18 organisations, la recherche dresse un portrait des services offerts par les agences et des clients de celles-ci. La recherche décrit ensuite les ressources disponibles pour ces organismes et les mécanismes de gouvernance qu'ils utilisent pour remplir leurs fonctions de manière responsable et transparente.

Après avoir porté une attention particulière à certaines questions liées au genre, l’auteur résumera les principaux défis rapportés par les agences. Il soulignera également que l'établissement des nouveaux arrivants est souvent influencé par les dynamiques locales. Cependant, les agences d'établissement peuvent compter sur un certain nombre d'avantages comparatifs pour remplir leur mission. Une brève discussion est offerte sur certaines questions de politique publique avant de conclure sur la tension observée dans la relation entre les gouvernements et le secteur sans but lucratif dans la prestation de services d'établissement. Des recommandations pratiques sont extraites de l'étude.

Luc Thériault possède le doctorat en sociologie de l'Université de Toronto. Son domaine d'expertise est la politique sociale et les études du tiers secteur avec un accent sur les interactions entre les gouvernements et les organismes d'économie sociale impliqués dans la prestation de services aux personnes.

Il possède également une expérience considérable dans l’étude du secteur sans but lucratif et des coopératives au Canada. À UNB, il enseigne dans divers domaines, y compris les méthodes de recherche, l'évaluation de programme, la société canadienne, la sociologie économique, ainsi que la politique familiale et sociale.
Un goûter léger sera servi. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : Jennifer Godin, au 858-4529 / metropolis@umoncton.ca
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Paul Chiasson, doyen de la Faculté d’ingénierie; Mathew Ward, finissant de la promotion 2012; Roland LeBlanc, conférencier d’honneur et ancien de l’année; Simonne LeBlanc, qui a obtenu le meilleur rendement académique en 2012; et Julien Leblanc, récipiendaire du prix CANCAM ’81 et également du prix Victor-Ross.
Roland LeBlanc est l’ancien de l’année à la Faculté d’ingénierie
La Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton a choisi Roland LeBlanc (génie civil, 1989) comme ancien de l’année 2012, soulignant ainsi l’excellence dont il fait preuve dans sa carrière en ingénierie.

M. LeBlanc est directeur de la succursale de Moncton, Services EXP (ancien Groupe ADI), ingénieurs-conseils et président d’Acadia Consultants & Inspectors Ltd.

Il était également le conférencier d’honneur lors du banquet annuel de la Faculté d’ingénierie qui a eu lieu à l’hôtel Ramada du Palais Crystal de Dieppe en présence de quelque 120 personnes.

Renseignements : 858-4300 / ingenierie@umoncton.ca
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Dans la photo, Karine Hachey, étudiante en science infirmière et gagnante d’un cadre pour diplôme, à gauche, est accompagnée de Marie-France Doucet, présidente de l’AAAUM.
AAAUM : la soirée champagne et chocolat a connu un grand succès
Les finissantes et finissants de l’Université de Moncton de cette année ont répondu en grand nombre à l’invitation de l’Association des anciens, anciennes et amis (AAAUM) à participer une réception pour célébrer leurs succès et leurs réalisations.

Près de 130 étudiantes et étudiants qui recevront leur diplôme de fin d’études en mai ont pris part à la Soirée champagne et chocolat, qui s’est déroulée le 15 mars sous le signe de la convivialité au Café Osmose du campus de Moncton. Il s’agissait de la deuxième édition de cette activité sociale organisée par l’AAAUM.

Sa présidente, Marie-France Doucet, a réitéré aux participantes et participants l’importance de maintenir des liens avec leur alma mater après leur départ de l’Université. « Vous pouvez être fiers de ce que vous avez accompli pendant vos études et j’espère que cette fierté vous habitera au fil des années et qu’elle constituera votre lien avec votre alma mater, même après votre départ », a-t-elle indiqué.

D’autre part, l’AAAUM a profité de cette soirée pour procéder au tirage de prix de participation parmi les étudiantes et étudiants qui ont accepté de garder le contact avec leur alma mater en remplissant un formulaire en ligne.

Jessica Brideau, étudiante en éducation (majeure en études familiales) a remporté le premier prix, un iPod nano de 8 go. Karine Hachey, étudiante en science infirmière, a gagné le deuxième prix, un cadre pour diplôme d'une valeur de 100 $, et Erin Carson, étudiante en arts et sciences sociales, est repartie avec le troisième prix, un chèque-cadeau d’une valeur de 50 $ de la Librairie acadienne.

L'AAAUM a pour mission de favoriser la promotion, le développement et le rayonnement de l'Université de Moncton et, par le fait même, de ses anciens, anciennes et amis.

Renseignements : Jeanne Farrah, au 858-4130.
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Dans la photo, Cécile Guéguen est accompagnée, à gauche, d’une étudiante qui n’a pu être identifiée et du professeur Olivier Clarisse et, à droite, de l’étudiant Jason Michaud.
Les sables bitumineux et la qualité des eaux de surface de la rivière Athabasca
À l’invitation du Département de chimie et biochimie, Cécile Guéguen, du Département de chimie de Trent University, en Ontario, a prononcé une conférence portant sur les sables bitumineux et la qualité des eaux de surface de la rivière Athabasca, en Alberta.

La qualité des eaux naturelles de surface est traditionnellement basée sur des analyses des espèces chimiques présentes dans les eaux brutes et/ou filtrées. Des études récentes ont démontré que la forme métallique potentiellement la plus biodisponible est l’ion libre.

Dans ce contexte, la détermination de la fraction biologiquement disponible peut constituer un outil important pour évaluer les risques biogéochimiques associés aux métaux dans les systèmes aquatiques. La nouvelle technologie basée sur le dispositif de gradient de diffusion en couche mince (DGT) permet de mesurer in situ la fraction biologiquement active des métaux.

Dans ce projet, les DGT ont été utilisés dans un bassin versant influencé par l’extraction des sables bitumineux, la rivière Athabasca. Les résultats de l’étude sont comparés avec les données historiques afin d’évaluer les conséquences à plus long terme des sables bitumineux sur la qualité des eaux de la rivière Athabasca.

Renseignements : 858-4331.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Julie Forgues, professeure de photographie au Département des arts visuels; l’artiste-photographe Yves Arcand; et André Lapointe, directeur du Département des arts visuels.
Conférence d’Yves Arcand portant sur la photographie
L’artiste-photographe Yves Arcand a prononcé une conférence publique portant sur la photographie au pavillon des Beaux-arts du campus de Moncton.

Le travail photographique de M. Arcand prend ses sources au cœur de la tradition de photographie de paysage à caractère topographique. Cependant, le but premier n’est pas la documentation rigoureuse afin de traiter des questions d’ordre sociologique, politique ou personnel. C’est à travers des paysages de différentes natures qu’il interroge notre relation inévitable avec le territoire. À partir de différentes stratégies, il pose son regard sur des environnements urbains ou ruraux et questionne l’influence de l’être humain sur la construction de nos espaces.

Yves Arcand vit et travaille à Rimouski au Québec. Il enseigne la photographie au Cégep de Matane depuis 2002 et a enseigné à temps partiel dans plusieurs cégeps et universités du Québec.

Son travail photographique a été présenté lors d’une douzaine d’expositions individuelles. Et il a participé à plusieurs expositions de groupe au Canada, aux États-Unis et en France.

Sa venue dans la région a été rendue possible grâce à une collaboration entre le Département des arts visuels de l’U de M, la Faculté des arts et des sciences sociales et Patrimoine Canada.

Renseignements : André Lapointe, au 858-4375.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Penelopia Iancu, professeure à l’École de travail social, personne ressource; Denis Savoie, gestionnaire au ministère du Développement social, Restigouche, mot de clôture; Jessica Dufour, étudiante de 1re année, coanimatrice; Sophie Gaudet, coordonnatrice des stages à l’École de travail social, personne ressource; Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; Gaby Lyness, étudiant de 3e année, coanimateur; Charles Gaucher, directeur adjoint de l’École de travail social, animateur de la table ronde; Mario Bourgoin, travailleur social au ministère du Développement social, Restigouche, conférencier d’ouverture; Marie-Lyne Caron, adjointe à la coordination des stages à l’École de travail social; Charles Fournier, président du conseil étudiant de l’École de travail social, personne ressource; Annie Rickett, registraire à l’ATSNB, personne ressource; Hélène Albert, directrice de l’École de travail social; et Denise Landry, travailleuse sociale au ministère du Développement social, personne ressource.
Une 11e édition des Journées d’échange entre l’École de travail social et le ministère du Développement social
L’École de travail social de l’Université de Moncton a accueilli plus de 150 personnes à ses journées d’échange avec le ministère du Développement social.

Cette activité annuelle permet aux étudiants et membres de l’équipe professorale et professionnelle de l’École d’échanger avec des travailleuses et travailleurs sociaux des huit régions administratives du ministère et du bureau central sur des enjeux qui touchent la pratique du travail social.

Cette année, les discussions ont porté sur le thème « Éthique, travail social et technologie : réfléchir pour mieux choisir ». La richesse et le contenu des échanges ont permis aux participants et participantes de produire un manifeste dans lequel des positions communes ont été formulées. Des représentants du ministère ont choisi d’amener le manifeste pour continuer l’échange avec les membres de leurs équipes qui n’ont pu être libérés pour cette activité.

L’École de travail social estime ce partenariat avec le ministère et plus particulièrement l’organisation cette rencontre annuelle qui est fort appréciée de tous.
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Les conséquences du changement climatique sur la toundra de l'Arctique canadien
Au début mars, l’Agence spatiale canadienne a accordé un contrat de recherche d’environ un demi-million de dollars à un groupe de chercheurs provenant de trois universités canadiennes à propos des conséquences du changement climatique sur la toundra de l'Arctique canadien.

Armand LaRocque, chargé de cours au Département d’histoire et de géographie du campus de Moncton, sera responsable de la cartographie des variations en superficie du pergélisol et des formes périglaciaires associées à partir de séries temporelles d’images provenant de la télédétection par satellite, notamment des images provenant du satellite canadien Radarsat-2.

Les trois sites étudiés se trouvent au delta du Mackenzie (Territoire du Nord-Ouest), au Parc national Ukkusiksalik (Nunavut) et dans le nord de l’Ontario.

Ce projet de recherche d’une durée de trois ans sera réalisé en collaboration avec le Centre canadien de télédétection, Parcs Canada et Forêt Canada.
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Raymond Blanchard
Raymond Blanchard est le récipiendaire du Prix Vo-Van
La Faculté des études supérieures et de la recherche a attribué le Prix Vo-Van de la meilleure thèse de l'année 2011 à Raymond Blanchard pour sa thèse de maîtrise en histoire, intitulée « D'allié à ennemi : stéréotypes et représentations des combattants russes dans les magazines illustrés français de la Première Guerre mondiale (1914-1919) », lors d'une séance publique tenue récemment pendant laquelle le récipiendaire a fait une présentation de ses travaux de recherche.

M. Blanchard a complété cette thèse sous la direction de la professeure Joceline Chabot. Elle a été financée grâce à une bourse du CRSH et a obtenu la mention unanime « excellence » du jury. Elle se distingue notamment par l'utilisation originale des sources et de l'analyse.

« L'image souvent controversée de la Russie soviétique m'a encouragé à remonter au moment de sa création afin de voir, à partir de sources françaises, de quelle manière l'« ennemi » russe a pu être représenté dès l'origine par l’un de ses anciens alliés, explique M. Blanchard. De fait, c'est à partir de l'image d'un allié que se détache celle du russe Rouge, ennemi de l'occident. Le processus par lequel cette mutation s'est opérée dans la presse illustrée française m'a paru être un objet d'étude particulièrement stimulant et intéressant », dit-il.

« Je ressens évidemment un grande fierté pour ce prix qui m'a été décerné par la FESR et qui représente véritablement la couronnement de deux années de travail, ajoute le récipiendaire. Le fait de savoir que ma thèse de maîtrise ait été choisie par un comité de sélection ayant examiné des soumissions venues de toutes les facultés de l'Université de Moncton, deuxième et troisième cycle confondus, est un réel honneur. »

Pour le moment, Raymond Blanchard conduit des travaux de recherche et écrit des articles scientifiques en partenariat avec l'Université de Moncton.

Renseignements : FESR, au 858-4310.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Marc-Antoine Chiasson, de McInnes Cooper; Aldéa Landry, qui a présenté le conférencier; Thomas Raffy, de McInnes Cooper; Bernard Richard, conférencier; Timothy Bell, président du conseil étudiant de la Faculté de droit; et Robert LeBlanc, vice-doyen de la Faculté de droit.
Droits de l’enfant : défis internationaux et solutions d’ici
Bernard Richard, premier Défenseur des enfants et de la jeunesse du Nouveau-Brunswick, a prononcé la septième Conférence J.-Fernand-Landry, intitulée « Les droits de l’enfant : des défis internationaux, des solutions d’ici ».

Inaugurée en 2004, la série de Conférences J.-Fernand-Landry est organisée par la Faculté de droit de l’Université de Moncton grâce au soutien financier de la firme d’avocats et d’avocates McInnes Cooper et de nombreux donateurs et donatrices. Elle veut souligner à sa juste valeur et de façon permanente l’inestimable contribution de Fernand Landry à la création de la Faculté de droit et à son développement.
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Dans la photo, Philippe Rousselle, de Saint-Quentin, explique son travail de recherche, intitulé « Structure factorielle et version courte de la traduction française de l’échelle d’impulsivité de Barratt (BIS-15), à François Vigneau, professeur du cours « Mémoire de psychologie ».
Dix-sept travaux de recherche étudiants ont été présentés à l’École de psychologie
Les étudiants et étudiantes de 4e année au baccalauréat ès arts avec spécialisation en psychologie de l’Université de Moncton ont présenté leurs travaux de recherche réalisés dans le cadre du cours intitulé « Mémoire de psychologie ».

Cet exercice annuel, qui regroupait 17 affiches présentées dans la salle multifonctionnelle du Centre étudiant au campus de Moncton, permet de mettre en pratique les connaissances acquises pendant la formation universitaire, qu’il s’agisse de statistiques, de méthodologie ou encore de théories en psychologie.

Ces recherches pilotes constituent également une démarche essentielle pour les étudiants et étudiantes qui prévoient entreprendre des études aux cycles supérieurs.

Renseignements : 858-4203.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : Jill Atkinson, du Bureau d’éthique commerciale; Sophie Léger, de l’Agence du revenu du Canada; Krystal Gauthier, de Medavie; Kléo Richard et Magali Berthiaume, des Services aux victimes; Monique St-Pierre, de Medavie; Marissa Rignanesi, de la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick; et Tania Morris, responsable par intérim de la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière; 2e rangée : Allan Paquet, de la Banque du Canada; Tim Goucher et Tim Rissesco, du Bureau de la concurrence Canada, Michael Olson de l’Agence de la consommation en matière financière du Canada; Howard Foley, de Medavie; Guy-Paul Larocque, de la GRC; et Mathieu Ouellette, du Centre de gestion financière.
Scam Jam : comment éviter d’être victime de la fraude financière ?
Dans le cadre de la Semaine portant sur la lutte contre la fraude, la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière a invité la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick à organiser un « Scam Jam » à la Faculté d’administration de l’Université de Moncton.

Pour cette activité, une dizaine d’organismes - le Bureau d’éthique commerciale, l’Agence du revenu du Canada, Medavie, les Services aux victimes, la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick, la Banque du Canada, le Bureau de la concurrence Canada, l’Agence de la consommation en matière financière du Canada, la GRC et le Centre de gestion financière - ont proposé des stands d’information à l’entrée de la Faculté d’administration.

Lors de cet évènement, plusieurs étudiants et membres du corps professoral ont pu discuter avec ces différents intervenants afin de mieux comprendre les enjeux relatifs à la fraude financière, en plus d’identifier des moyens permettant de mieux s’en protéger.

Une table ronde a suivi portant sur la fraude financière avec la participation de plus d’une soixantaine d’étudiantes et étudiants et membres de la communauté universitaire.
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Travail dirigé en mathématiques
Dans le cadre de son travail dirigé (MATH4021), Céleste Vautour, étudiante de quatrième année à la majeure en mathématiques, fera un exposé portant sur l’analyse multivoque, le jeudi 5 avril à 15 heures dans le local A-002 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.

On introduira tout d’abord l’analyse multivoque en définissant les notions de semi-continuité des applications multivoques et en donnant les propriétés importantes qui en découlent. Ensuite, on présentera une application en théorie du point fixe, à savoir une forme affaiblie du théorème de point fixe de Kakutani qui généralise le théorème de point fixe de Brouwer pour les applications univoques.

Ce travail est dirigé par le professeur Donald Violette. Bienvenue à toutes et à tous.

Renseignements : 858-4325.
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La ville d’Edmundston a accueilli six représentants officiels qui ont signé le livre d’or de la municipalité. On peut voir, de gauche à droite, Jean-Guy Marquis, conseiller de la ville d’Edmundston; Marc Michaud, directeur général de la ville d’Edmundston; Juan Manuel Toro Lara, agent de développement de projets en immigration avec le Consortium national de formation en santé; Ibrahim Trad, représentant officiel pour le Liban; Mohamed Dicko, représentant officiel pour le Burkina Faso; Telesphore Bizimana, représentant officiel pour le Rwanda; Sadou Diallo, assis, représentant officiel pour la Guinée; Hicham El Harras, représentant officiel pour le Maroc; Lujan Saintil, représentant officiel pour Haïti; Mathieu Gingras, conseiller en recrutement et promotion - représentation internationale à l’Université de Moncton; Françoise Clavette, coordonnatrice du Centre de ressources pour nouveaux arrivants au Nord-Ouest; et François Pelletier, directeur des Services aux étudiantes et étudiants au campus d’Edmundston.
Les représentants officiels de l’Université de Moncton signent le livre d’or de la ville d’Edmundston
Six représentants officiels de l’Université de Moncton à l’extérieur du Canada ont été accueillis par la ville d’Edmundston qui les a invités à signer le livre d’or de la municipalité.

Les représentants officiels ont rencontré la direction du campus d’Edmundston et participé à de nombreuses activités, dont la populaire Semaine internationale.

En plus de la visite des installations du campus d’Edmundston et d’avoir participé au souper international et à un match amical de foot, les représentants officiels ont également rencontré le personnel de l’Office du tourisme Edmundston Madawaska et du Centre de ressources pour nouveaux arrivants au Nord-Ouest.

L’Université de Moncton compte des représentants officiels dans 18 pays. Leur mandat est de faire connaitre l’Université et de recruter de futurs étudiants et étudiantes. Au campus d’Edmundston, 24 pays sont représentés par les étudiants et membres du personnel.
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L’art dramatique présente « Cinq NÔ modernes », de l’auteur japonais Yukio Mishima
Dans le cadre du prochain exercice pédagogique du Département d’art dramatique, les étudiantes et étudiants de troisième et quatrième années présentent la pièce « Cinq NÔ modernes », de l’auteur japonais Yukio Mishima dans une traduction de Marguerite Yourcenar avec la collaboration de Jun Shiragi, du 10 au 14 avril à 20 heures au studio-théâtre La Grange du campus de Moncton.

L’un des plus populaires auteurs et dramaturges japonais en Occident, Yukio Mishima, né en 1925 et qui se donne la mort par « seppuku » en 1970 à l’âge de 45 ans, nous a laissé une oeuvre impressionnante par sa prodigalité, sa diversité et par l’intensité des situations et des personnages qui y évoluent. Il a écrit une quarantaine de romans, une vingtaine de pièces de théâtre et une vingtaine de nouvelles et d’essais. Il a aussi joué des rôles au cinéma, il a réalisé un film et mis en scène des pièces de théâtre. Dans toute son œuvre, on retrouve les thèmes de la beauté, de l’érotisme et de la mort.

Les « Cinq NÔ modernes », cinq très courtes pièces mais d’une rare densité et dont les sujets sont complètement différents, ont en commun la confrontation entre un monde matérialiste et un autre qui se caractérise par l’aspiration vers l’absolu. Écrites en prenant comme référence le NÔ traditionnel japonais, théâtre sacré à forme et structure fixes, s’exprimant en codes comme un rite où les fantômes hantent le monde des vivants pour trouver finalement la paix, les pièces de M. Mishima semblent s’inscrire en faux dans cette tradition. Leur structure dramaturgique est de facture très moderne, non conventionnelle même, et la réconciliation entre le monde des esprits ou plutôt de la spiritualité et le monde d’aujourd’hui semble impossible.

Les « Cinq NÔ modernes » illustrent en fait la crise morale et sociale du Japon après la Deuxième Guerre mondiale et l’enfer du bombardement atomique suivis par l’occupation américaine et l’avènement de la société moderne de consommation. D’une efficacité théâtrale inégalable, les cinq courtes pièces nous font connaitre des histoires situées à la frontière de la poésie et de l’horreur, pleines d’érotisme, d’ambiguïté et d’une quête forcenée d’absolu.

C’est une mise en scène du professeur Andréi Zaharia. Le spectacle réunit sur scène le finissant Ludger Beaulieu avec ses collègues de troisième année, Isabelle Bartkowiak, Carole Belliveau, Stéphan Bénard, Marilyn Bouchard, Solange LeBlanc, Sébastien Leclerc, Xavier Lord-Giroux, Bianca Richard, Joannie Thomas et Myriam Vaudry.

Les billets sont en vente à la Librairie acadienne et à l’entrée du théâtre les soirs de représentation, 10 $ tarif ordinaire et 5 $ pour les étudiants et étudiantes. Il faut rappeler que les comédiens fument sur scène.

Renseignements : 858-4444.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Alain Roberge, directeur par intérim du CEAAC; J. Raymond Roy; et Régis Brun, archiviste contractuel du CEAAC.
Don au Centre d’études acadiennes Anselme-Chiasson
Le 28 mars dernier, J. Raymond Roy, natif de Moncton, ex-ambassadeur canadien - le premier Acadien à être nommé à ce poste - a fait don au Centre d’études acadiennes Anselme-Chiasson (CEAAC) de l’Université de Moncton des archives de sa cousine, Raymonde Léger (1931-2011) d’Ottawa. Elle était la fille de Raymond Léger (1883-1934), pharmacien de Moncton et de Shediac.

Le CEAAC possède déjà les archives de cette pharmacie.

Renseignements : 858-4085 / cea-um@umoncton.ca
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Janice Lizotte-Duguay est nommée Ancienne de l’année de la FSSSC
Janice Lizotte-Duguay a reçu le titre d’Ancienne de l’année de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires (FSSSC) lors d’une soirée des mérites présentée récemment par la Faculté.

Mme Lizotte-Duguay, native de Shippagan, possède le baccalauréat en psychologie et la maîtrise en psychologie avec des concentrations en psychologie clinique et en psychologie industrielle/sociale.

En recevant son prix, la récipiendaire a exprimé son appréciation pour cet honneur qui lui a été rendu. « De plus, dit-elle, je peux affirmer avec fierté que je suis autant passionnée par la psychologie aujourd’hui que lorsque j’ai choisi ce domaine d’études il y a 29 ans. Tout le monde a quelque chose qui le passionne dans la vie. Je suis parmi ceux et celles qui ont la chance d’en faire un métier. »

« Je suis reconnaissante envers l’Université de Moncton qui m’a donné les connaissances et les notions cliniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi la capacité de discuter et de questionner ces notions, a-t-elle souligné. C’est aussi à l’Université que j’ai rencontré d’autres personnes qui partagent cette même passion pour la psychologie. »

Mme Lizotte-Duguay a entrepris sa carrière en 1989 comme psychologue scolaire du district scolaire 9 de la Péninsule acadienne où elle a été très impliquée dans le mouvement d’entraide jeunesse ainsi que dans le développement d’outils de prévention du suicide.

De 2003 à 2006, elle a agi à titre de coordonnatrice du Comité communautaire de prévention du suicide au Centre de santé mentale de la Péninsule acadienne. Puis, de 2006 à 2008, elle a occupé le poste de responsable provinciale des programmes de prévention en santé mentale et résilience au sein du ministère du Mieux-être, de la Culture et du Sport.

Elle est présentement directrice des services de santé mentale et de traitement des dépendances pour l’ensemble du réseau de santé Vitalité au Nouveau-Brunswick qui comprend 500 employés œuvrant dans quatre unités psychiatriques, trois centres de traitement des dépendances et 11 centres communautaires de santé mentale.

En plus de ses fonctions professionnelles, elle est aussi connue comme auteure et productrice de l’ouvrage de prévention « Moi, c’est Moi », qui lui a valu le prix de reconnaissance pour la prévention du crime au Nouveau-Brunswick en 2004. Ce documentaire et outil de travail voué à contrer l’homophobie est utilisé par diverses écoles et universités à travers le Canada. Pour réaliser ce projet, elle a fondé sa propre compagnie nommée Productions La Différence, dont l’objectif est de faire une différence dans la vie des gens en développant du matériel d’éducation et de sensibilisation.

La soirée des mérites de la FSSSC a aussi permis de souligner le travail des étudiantes et des étudiants qui se sont distingués grâce à leur rendement académique et leur implication auprès de la communauté étudiante, que ce soit dans le domaine des sports ou comme personne bénévole.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, assis : Mourad Ali-Khodja, directeur du GRICC; Leyla Sall, professeur au Département de sociologie; et Chedly Belkhodja, directeur par intérim du Département de science politique; debout : Jeremy Hayhoe, membre du Comité de coordination du GRICC et directeur du Département d’histoire-géographie, et Andrea Cabajsky, membre du Comité de coordination du GRICC et directrice par intérim du Département d’anglais.
Atelier portant sur l’immigration en Acadie
Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) a organisé un atelier portant sur « L’immigration en Acadie : un état des problématiques » avec la participation du professeur Chedly Belkhodja, du Département de science politique, « Du terrain à la théorie. Regards sur la recherche en immigration », et du professeur Leyla Sall, du Département de sociologie, « Les logiques de l’entrepreneuriat des Africains à Paris et au Nouveau-Brunswick ».
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Les lauréats et lauréates du Gala para-académique
Voici la liste des lauréats et des lauréates qui ont été récompensés lors du 12e Gala para-académique annuel, organisé le 30 mars par la Fédération étudiante du campus de Moncton et les Services aux étudiantes et aux étudiants.

Recrue de l'année
Nadhir Salem, bénévole émérite au Salon Carrière, à la vente de livres usagés, à la Soirée internationale et aux activités de l’AEFAUM et du CAFI; tuteur pour les étudiants ayant un handicap et prochain vice-président exécutif de l’AEFAUM.

Politicien de l'année
Alexis Couture, président de la Fédération de la jeunesse canadienne-française, organisateur et fréquent participant à divers Parlements jeunesse, chroniqueur au journal l’Étoile et personne engagée sur toutes les questions de politique étudiante.

Étudiant international de l'année
Pape Ousmane Sine, gestionnaire des Médias acadiens universitaires, vice-président aux communications des Jeux du Commerce, vice-président production du banquet de la Faculté d’administration, coordonnateur du Salon Carrière, maître de cérémonie au banquet de la Faculé d'administration et de la Soirée internationale, bénévole au CAFI et à la Rentrée universitaire; il a aussi publié dans l’Étoile et l’Acadie Nouvelle et sera le porte-parole des finissants et finissantes à la collation des diplômes en mai.

Bénévoles de chaque faculté/école de l'année
Mathieu Ouellette en administration; Mylène Ouellette aux arts; Melissa Sullivan en droit; Marie-Claude Paulin en éducation; Laurie-Anne Patenaude à l’ESANEF; François d’Entremont en ingénierie; Charles Tousignant en kinésiologie et récréologie; Isabelle Cormier en médecine; Francesca Turgeon en psychologie; Samir Farhloul en sciences; Jérémy Roy-Léger en science infirmière; et Luc Bourgeois en sciences sociales.

Prix SAR
Mohamed Taha Maarous, responsable du soccer mixte.

Impliqué MAUI de l'année
Pape Ousmane Sine, gestionnaire des MAUI responsable d’assurer une santé financière aux médias universitaires, le renouvellement d’équipement, le réaménagement des locaux et le bon moral de l’équipe.

Artiste de l'année
Ludger Beaulieu, comédien, improvisateur, cinéaste, graphiste et monteur pour le journal Le Front; son moment le plus percutant est sans doute la pièce « Cul-de-Sac » dans laquelle il jouait à lui seul tous les personnages.

Professeur de l'année
Sébastien Deschênes, de la Faculté d’administration, pour son soutien au Centre de gestion financière et son mentorat pour plusieurs équipes étudiantes, dont celles des Jeux du commerce et de simulation boursière, cette dernière décrochant une première participation à la renommée Rothman International Trading Competition.

Événement de l'année
Le mariage étudiant, organisé par le comité externe du conseil d’administration de la Féécum (événement qui a fait réfléchir la population étudiante et la communauté néo-brunswickoise sur l’absurdité de la contribution parentale dans le calcul des prêts étudiants.

Nouvelle initiative de l'année
UdeMan, une initiative du Bureau de recrutement de l’Université de Moncton (avec dix épisodes à ce jour sur la chaine You-Tube AventuresUdeMan; UdeMan est un superhéros (ou pas) au campus de Moncton qui veut vivre l’expérience étudiante à fond.

Concours d'initiatives environnementales de Symbiose
Recy-Campus.

Avancement de la cause étudiante (non-étudiant)
Mélanie Clériot, coordinatrice socioculturelle à la Féécum qui, en plus de son implication à CKUM, le SAR et la Soirée internationale, a réalisé des projets tels les P’tit Explorateurs et la projection de football européen au Café Osmose.

Délégation étudiante de l'année
Shawn LeBlanc et Patrick Lanteigne, participants à la compétition Red Bull Racing Can dont la voiture téléguidée a remporté le premier rang au Canada, leur valant une place lors de la compétition internationale tenue en Angleterre.

Ambassadeur de l'année
Marc André LeBlanc, analyste-chroniqueur à l’émission Le Club des Ex à RDI, conseiller jeunesse et membre du bureau de direction de la SNA, participant et membre du comité organisateur du Parlement Jeunesse, représentant jeunesse au Comité atlantique sur l’immigration francophone, membre du conseil d’administration de la section Acadie de l’Union de la presse francophone et journaliste au journal Le Front et aux radios CKUM, CJSE et BoFM.

Impliquée de l'année
Brunia Doiron, vice-présidente externe du conseil étudiant de kinésiologie et récréologie, membre du comité exécutif de Right to Play, du comité externe du conseil d’administration de la Féécum et du comité du 40e anniversaire de CKUM, participante aux Jeux de la communication où son équipe a remporté le coup de cœur du jury en communication événementielle, et bénévole émérite autant au campus avec la Rentrée universitaire, les portes ouvertes et la dégustation de bière de la FSSSC, qu’à l’extérieur avec le Festival Northrop Frye, le FICFA et Communautés et Loisirs Nouveau-Brunswick.

Certificats de mérite
Justin Guitard, Ghislain LeBlanc, Marc-André LeBlanc et Pape Ousmane Sine.
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Appel aux candidatures pour la Fête de la musique à Moncton
Musiciens amateurs ou professionnels, cet appel est pour vous. Participez à la Fête de la musique 2012, le samedi 23 juin à Moncton. Les musiciens sont invités à se produire bénévolement lors de cette journée dont le succès ne cesse d’augmenter chaque année. Les musiciens ont jusqu’au 8 avril pour soumettre leur candidature.

Tous les genres sont acceptés. Du chant choral au djembe, du saxophone aux platines du DJ : la scène est inclusive pour tous les musiciens désirant prendre part aux festivités.

Les personnes intéressées peuvent remplir le formulaire d’inscription en utilisant le lien suivant : http://bit.ly/zgnIkS. Les postulants retenus recevront une réponse par courriel à la mi-avril. Une fois choisis, les musiciens s'engagent à jouer à titre gracieux le samedi 23 juin à Moncton. La Fête de la musique à Moncton offre aux artistes une visibilité importante, l’occasion d'exprimer leur talent sur scène devant une foule enthousiaste et friande de musique.

À propos de la Fête de la musique
La Fête de la musique a été lancée en France en 1982. Depuis, elle est célébrée chaque année le 21 juin dans plus de 100 pays. Les principes fondateurs sont la gratuité, la participation bénévole des musiciens, la diversité des genres musicaux et la mise en musique de lieux de patrimoine et d’espace publique. Elle mêle tous les genres musicaux et s'adresse à tous les publics, avec pour objectif de populariser la pratique musicale et de familiariser jeunes et moins jeunes de toutes conditions sociales à toutes les expressions musicales. Visitez le site http://www.fetedelamusiquenb.ca.

Renseignements : Alexandre Gerez, au 387- 5056 / culturel@afmoncton.ca
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Sylvie Doiron (travail social), Noëlline LeBel (science infirmière), Jenny Robinson (gestion des services de santé), Joanne Savoie (nutrition), Lucie Couturier (animatrice, CNFS - volet Université d’Ottawa), Jean-Patrick Lanctôt (psychologie), Dominique Cardinal (animatrice, CNFS - volet Université d’Ottawa) et Stéphanie Collin (coordonnatrice adjointe, CNFS - volet Université de Moncton).
L’art de superviser des stagiaires
Un atelier avancé portant sur l’art de superviser des stagiaires a été offert au campus de Moncton par le Consortium national de formation en santé - volet Université d’Ottawa en partenariat avec le CNFS – volet Université de Moncton.

Vingt-sept superviseurs de stage de diverses disciplines - gestion des services de santé, nutrition, psychologie, science infirmière et travail social - ont participé à cette journée.
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Budget fédéral : l'Acfas souligne l'effort du gouvernement dans le soutien à la recherche et à l'innovation
L’Association francophone pour le savoir - Acfas salue la décision du gouvernement fédéral de maintenir les budgets alloués à la recherche et à l'innovation et d'y accorder des investissements supplémentaires, dans un contexte de compressions budgétaires de l'ordre de 6,9 pour cent.

Dans ce budget, le gouvernement reconnaît le rôle clé de la recherche et de l'innovation dans le développement économique et octroie aux entreprises canadiennes un avantage concurrentiel de niveau international. Cependant, la recherche est un système complexe que ces investissements, strictement dédiés à la recherche orientée vers les besoins des entreprises, risquent de déséquilibrer.

Premièrement, les prochains enjeux sociaux auxquels les Canadiens seront confrontés, tels que la démographie ou l'intégration des nouveaux arrivants pour ne citer que ces deux exemples, ne bénéficient pas des sommes annoncées, alors que les recherches et les innovations sociales peuvent elles aussi générer des économies financières considérables.

Deuxièmement, il est capital d'investir dans la recherche fondamentale. « Si la recherche appliquée est l'arbre qui produit les fruits de la croissance économique, la recherche fondamentale est le terreau qui les nourrit. Ne pas investir dans la recherche fondamentale revient à appauvrir notre société, à long terme » rappelle Louise Dandurand, membre du conseil d'administration de l'Acfas.

Par ailleurs, l'Acfas constate que la plupart des recommandations du rapport « Innovation Canada : Le pouvoir d'agir, dit Rapport Jenkins », seront appliquées. Publié en octobre dernier, ce rapport proposait six recommandations pour améliorer le soutien de la recherche et développement au Canada.

Enfin, l'Acfas salue les montants alloués à la Fondation canadienne pour l'innovation et souhaite qu’ils soient bonifiés lorsque les finances du gouvernement le permettront. « Nos universités, nos hôpitaux et nos collèges doivent bénéficier des infrastructures et des équipements de pointe nécessaires pour effectuer une recherche de calibre international », ajoute Mme Dandurand.

Toutefois force est de reconnaître que ce budget traduit un net changement de culture en proposant une gestion de la recherche entièrement axée sur l'atteinte d'objectifs économiques à court terme. Cette perception revêt de nombreux effets pervers. « Dans l'avenir, nous ne pourrons nous passer du soutien à la recherche fondamentale et à tous les domaines de recherche si nous souhaitons comprendre les prochains enjeux sociaux du Canada et améliorer notre qualité de vie » de conclure Louise Dandurand.

Créée en 1923, l’Acfas s'attache à promouvoir l'activité scientifique, à stimuler la recherche et à favoriser la diffusion du savoir. Établie au Québec, l’Association regroupe quelque 6 000 scientifiques de tous les secteurs de la connaissance.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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La photo nous fait voir, de gauche à droite, le professeur Claude DesRochers, directeur du Département d'administration; les étudiants Catherine Stymiest et Hatim Ouhbi; Marc-André Alary, cofondateur de l'entreprise Direcsys Inc.; et le professeur Salem Y. Lakhal, président du Comité pédagogique du programme de gestion des opérations.
Bénéficiaires de bourses de DirecSys Inc.
L’entreprise DirecSys Inc. a octroyé deux bourses d’une valeur de 1 000 $ chacune aux étudiants Catherine Stymiest et Hatim Ouhbi qui poursuivent leurs études dans le programme de gestion des opérations à la Faculté d’administration de l’Université de Moncton. Direcsys Inc. assiste les entreprises dans le domaine de l’amélioration du processus opérationnel, et l’objectif de ces bourses est de permettre à des étudiants de faire des études en français en gestion des opérations et de la chaîne logistique, un domaine qui évolue constamment pour l’atteinte d’un niveau de compétence permettant aux entreprises de viser les marchés mondiaux. Le principal critère utilisé auprès des bénéficiaires porte sur les résultats académiques.
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CMU : session nutritive pour les membres du personnel
Le Comité de mieux-être universitaire (CMU) organise une session nutritive, intitulée « Boîte à lunch » et destinée aux membres du personnel intéressés à y participer, le mardi 10 avril de midi à 13 heures dans le local 086 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.
Lors de cette session, deux étudiantes en nutrition proposeront des idées originales concernant des goûter santé et faciles à préparer. Vous pouvez vous inscrire à l’aide du Doodle http://www.doodle.com/dny96ktgumpf9qqd.
On vous encourage à participer en apportant votre goûter mais le CMU fournit des fruits et des légumes. Il sera possible également de vérifier votre tension artérielle et de connaître votre pourcentage de gras corporel.

Quelques petits rappels
Le CMU vous fera parvenir sous peu un petit sondage concernant l’une de ses initiatives : Esprit sain qui touche le mieux-être psycho-socio-culturel…

Il y a du patinage pour tous les membres du personnel le samedi de 11 h 30 à 12 h 30 à l’aréna Louis.-J.-Levesque. C’est sans frais. Et le dimanche, de 13 heures à 14 h 20, la piscine au Ceps Louis-J.-Robichaud est ouverte.


Renseignements : 858-4342 / 858-4382 / suzanne.harrison@umoncton.ca
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