Vol. 42, no 24
15 mars 2012
JESR : le professeur Ruben Sandapen prononcera la Conférence de la FESR
Dans le cadre des Journées des études supérieures et de la recherche qui auront lieu du 19 au 23 mars à l’Université de Moncton, le professeur Ruben Sandapen, du Département de physique et d’astronomie de la Faculté des sciences, prononcera une conférence, intitulée « Les neutrinos ont-ils vraiment défié Einstein? », le mardi 20 mars à 15 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois.

En septembre dernier, les chercheurs de la collaboration internationale OPERA ont annoncé une anomalie dans la mesure de la vitesse de propagation des neutrinos, des particules élémentaires qui sont produits au CERN à la frontière franco-suisse et détectés 732 km plus loin au laboratoire Gran Sasso, en Italie. Ces neutrinos auraient une vitesse qui surpasserait d’environ 7,4 km/s celle de la lumière dans le vide. Pendant l’effervescence médiatique suivant la communication d’OPERA, des conclusions ont rapidement été tirées, la plupart remettant en question la relativité d’Einstein qui, nous dit-on, ne permet à aucun objet d’aller plus vite que la lumière. La conférence du professeur Sandapen propose d’explorer et de préciser dans quelle mesure cette remise en question d’Einstein est légitime.

Professeur au Département de physique et d’astronomie depuis 2004, M. Sandapen est chercheur en physique des particules élémentaires. Il est chercheur invité annuellement à l’Université de Manchester en Grande-Bretagne depuis 2006 et à l’Institute for Nuclear Theory de l’Université de Washington aux États-Unis depuis 2010.

Il collabore depuis une dizaine d’années avec des chercheurs de l’Université de Manchester qui sont également associés à l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) où se situe le Large Hadron Collider. Il participe régulièrement à des conférences nationales et internationales, sa plus récente contribution étant à la 19e conférence «Deep-Inelastic Scattering and Related Subjects (DIS2011)» qui s’est tenue au Thomas Jefferson National Accelerator Facility (Jefferson Lab) en Virginie, aux États-Unis en avril 2011. Le professeur Sandapen participe ce mois-ci à la 20e conférence du même nom (DIS2012) qui se tiendra à l’Université de Bonn en Allemagne où il présentera ses plus récents résultats de recherche. Il enseigne notamment la relativité d’Einstein au campus de Moncton.

Renseignements : remi.noel@umoncton.caruben.sandapen@umoncton.ca
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Table ronde : comment éviter d’être victime de la fraude financière
La Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton, en collaboration avec la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick, organise une table ronde, intitulée « Apprendre comment éviter d’être victime de la fraude financière », le lundi 19 mars de 13 h 30 à 15 heures dans le local 272 du pavillon Jean-Cadieux au campus de Moncton.

Lors de cette table ronde, la Banque du Canada, le Programme non à la Fraude, la Gendarmerie royale du Canada, l’Agence de la consommation en matière financière du Canada et la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick aborderont divers thèmes relatifs à la fraude financière comme la fabrication de fausse monnaie, le vol d’identité ou encore la fraude en ligne.

Pour en apprendre davantage sur les façons d’éviter d’être victime de la fraude financière, les personnes intéressées pourront également se rendre à la Faculté d’administration, le lundi 19 mars entre 11 h 30 et 13 h 30 pour y visiter les stands suivants : la Banque du Canada, le Programme non à la Fraude, la Gendarmerie royale du Canada, l’Agence de la consommation en matière financière du Canada, la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick, le Centre de gestion financière, la Banque Royale, l’Agence du revenu du Canada, le Bureau de la concurrence Canada, la Croix Bleue Medavie et le Better Business Bureau.

L’entrée est libre. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : Tania Morris, au 858-4218.
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Dans la photo, les conférencières Tina LeBlanc (à gauche) et Julie-Lynne Drisdelle sont accompagnées d’André Lapointe, directeur du Département des arts visuels.
Femmes artistes du passé et féminisme du présent
Julie-Lynne Drisdelle et Tina LeBlanc ont prononcé une conférence publique, intitulée « Femmes artistes du passé et féminisme du présent : expositions, collections et études par Julie-Lynne Drisdelle, et Musées, cultures et le public par Tina Leblanc », à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen du campus de Moncton.

Julie Lynne Drisdelle, originaire de Moncton, étudie présentement au programme de doctorat en histoire de l’art à l’Université du Québec à Montréal. Elle possède la maitrise en histoire de l’art de l’Université Laval, le baccalauréat en arts visuels avec double majeure en histoire de l’art et en arts visuels de Mount Allison University et a complété deux années au baccalauréat en arts visuels à l’Université de Moncton. Tina LeBlanc, de Moncton également, possède le diplôme en gestion des ressources culturelles de l’University of Victoria, en Colombie-Britannique et le baccalauréat ès arts de l’Université de Moncton avec spécialisation en arts visuels : estampe et photographie.

Pendant plusieurs siècles, des femmes artistes ont réussi pendant leur vie à obtenir un succès considérable; elles enseignaient, étaient membres d’académies, étaient incluses dans des textes tels les « Vies » de Vasari, et leurs oeuvres faisaient partie de collections et d’expositions importantes. Malgré cela, elles furent plus tard marginalisées par le canon. La société perdit donc la présence d’artistes « héroïnes », et la soi-disant absence de femmes artistes dans le passé fut utilisée pour nier l’existence des femmes artistes du présent.

Dès les années 1970, le féminisme questionna la définition de l’art, de l’artiste et du génie, ainsi que la marginalisation d’artistes considérés « autres » dans la société. Grâce à leurs efforts, plusieurs femmes artistes ont été ramenées à l’attention du public.

Les musées et l’évolution de leur relation avec le public
Les musées ont toujours eu une fonction de servitude envers le public. Cependant, il y a eu un changement de paradigme au cours des dernières décennies qui a chevauché leur idéologie de base et qui a reversé la place et le rôle qu’ils accordent au public. Les musées cherchent un rôle plus actif dans la communauté qui leur est souvent imposé par le gouvernement afin de justifier les montants qui leur sont accordés par les fonds publics. Malgré que leur nom porte à confusion à cause des connotations écologiques, les écomusées sont définis comme étant des musées impliqués et parfois nécessaires au fonctionnement des communautés qu’ils servent. Le lieu, la conservation in situ, les pratiques traditionnelles ainsi que le patrimoine immatériel prennent une place centrale dans les écomusées.

Cette présentation a été rendue possible grâce à une collaboration entre le Département des arts visuels, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen, la Faculté des arts et des sciences sociales ainsi que de Patrimoine Canada.

Renseignements : André Lapointe, au 506-858-4375.
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L’Église et la communication en compagnie du professeur Frédéric Antoine
À l’invitation de la Chaire Roméo-LeBlanc en journalisme, Frédéric Antoine, professeur de communication à l’Université catholique de Louvain, en Belgique, prononcera une conférence, intitulée « L’Église et la communication : proclamer pour le chœur ou murmurer sur le parvis ? », le vendredi 16 mars à 19 heures dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Communiquer est désormais devenu un élément essentiel de la présence des institutions religieuses dans le monde. L’Église catholique sait-elle vraiment communiquer ? Ne confond-elle pas « proclamation » et « communication » ? Et n’a-t-elle pas un peu rapidement clôturé la question en investissant de manière importante dans des formes de communication sans s’interroger sur leur contenu, et surtout sur l’identité de ceux à qui elle s’adresse ?

À l’heure où le fossé entre les institutions religieuses et la société s’agrandit au risque de devenir infranchissable, le choix semble avoir été fait de miser sur un type de communication qui abandonne le « vaste monde du parvis » pour se replier sur le « cercle du chœur », dont la taille ne cesse de restreindre. Est-ce le bon moyen d’être au monde ? Ne peut-on chercher à communiquer autrement ?

Se fondant à la fois sur son observation de la communication religieuse, sa connaissance du fonctionnement médiatique et son expérience en tant que rédacteur en chef du magazine chrétien indépendant belge L’appel, le professeur Antoine donnera sa perception de la situation actuelle de la communication de l’Église et proposera des pistes pour un nouveau dialogue entre religion, culture, médias et sociétés.

Renseignements : 858-4149 / francois.giroux@umoncton.ca
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Des idées plein la tête : de jeunes chercheurs présentent leurs recherches à l’Université de Moncton
Plus d’une quarantaine d’étudiantes et d’étudiants du premier cycle et des cycles supérieurs présenteront le fruit de leurs recherches, le mercredi 21 mars à l’édifice des arts du campus de Moncton dans le cadre du 23e concours annuel des jeunes chercheuses et chercheurs de la Faculté des études supérieures et de la recherche (FESR).

Pour Jérémie Doiron, étudiant de deuxième année à la maîtrise ès sciences (chimie) et gagnant de la deuxième place de ce concours en 2010 dans la catégorie Sciences naturelles et génie, il s’agit d’une excellente occasion de s’initier aux communications scientifiques dans une atmosphère de compétition amicale. « Je m’étais inscrit à ce concours pour acquérir de l’expérience en communication orale, explique-t-il. Comme les scientifiques sont souvent appelés à présenter les résultats de leurs recherches au public ou à la communauté scientifique, il me semblait essentiel d’y participer. Depuis, j’ai poursuivi des études à la maîtrise et j’ai fait des présentations dans plusieurs congrès régionaux et nationaux. Je suis convaincu que mes débuts au concours des jeunes chercheurs m’ont donné une bonne base pour réussir dans cette voie. »

Les objectifs du concours sont d’assurer un rayonnement des activités de recherche à l’Université de Moncton, de fournir aux étudiantes et étudiants une tribune pour exercer leur compétence en communication et de promouvoir les études supérieures. Le concours est d’ailleurs présenté dans le cadre des Journées des études supérieures et de la recherche (JESR) qui se déroulent du 19 au 23 mars.

« La participation est considérable cette année avec une quarantaine de présentations, souligne le professeur Luc Tremblay, président du comité organisateur du concours. Maintenant, nous souhaitons augmenter le nombre de personnes qui assistent aux présentations. Pour la communauté universitaire, cette journée de conférences est d’ailleurs la seule occasion de prendre connaissance des diverses activités de recherche et de création effectuées par les étudiantes et les étudiants. »

Lors du Gala présenté à 17 h 30, 12 prix seront décernés dans les diverses catégories du concours. De plus, cinq prestations artistiques seront offertes par des étudiantes et étudiants inscrits dans les disciplines artistiques, permettant ainsi à la communauté universitaire et au grand public de découvrir la création artistique qui se fait au campus.

« Comme vous le savez, ce genre de concours peut avoir un impact décisif sur les choix d’avenir des participants et participantes. Cet exercice de vulgarisation et de présentation de recherches scientifiques est aussi l’occasion pour l’Université de Moncton de cibler d’excellents candidats pour les études supérieures. J’invite donc les membres du public et de la communauté universitaire à s’ouvrir à cette expérience et à appuyer cette richesse : nos chercheurs en herbe qui ont, comme le décrit bien le thème du concours, des idées plein la tête », conclut le professeur Tremblay.

Pour obtenir plus de détails au sujet du concours et pour connaître l’horaire des présentations, consultez la page www.umoncton.ca/fesr ou communiquez avec le professeur Luc Tremblay à l’adresse luc.tremblay@umoncton.ca ou par téléphone au 858-4333.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Des cartes portant sur l'énergie renouvelable précisent le potentiel solaire et hydroélectrique de la province
Deux nouveaux atlas des énergies renouvelables illustrant les meilleurs emplacements dans la province pour aménager de petites centrales hydroélectriques et des installations solaires ont été dévoilés à Fredericton. Ils ont été produits par le ministère de l'Énergie, en collaboration avec la Chaire K.-C.-Irving en développement durable de l'Université de Moncton.

« Dans le Plan directeur de l'énergie du Nouveau-Brunswick, notre gouvernement s'est fixé l'objectif clair et ambitieux de faire en sorte que 40 pour cent de la production d'électricité de la province provienne de sources d'énergie renouvelable d’ici 2020, rappelle le ministre de l'Énergie, Craig Leonard. Nous voulons que cela soit facile pour l'industrie, les entrepreneurs, les collectivités et les propriétaires de maison et de chalet d'obtenir les renseignements dont ils ont besoin. C'est pourquoi nous leur fournissons maintenant les meilleurs emplacements pour ce type de ressources. Ces cartes deviendront un outil important afin de promouvoir l'énergie renouvelable. »

L’un des atlas illustre le potentiel de la ressource pour les petites centrales hydroélectriques dans la province, que ce soit selon le modèle traditionnel de barrage hydroélectrique ou celui de la production au fil de l'eau. Le second atlas représente un ensemble de cartes portant sur le rayonnement solaire qui montre que la ressource solaire, au Nouveau-Brunswick varie grandement selon la saison et l'emplacement géographique. Les cartes sont placées sur le site Web du ministère de l'Énergie.

Selon le nouvel atlas sur la ressource des petites centrales hydroélectriques, les ressources énergétiques classiques du Nouveau-Brunswick seraient de 352 mégawatts à 695 emplacements dans toutes les régions de la province. La quantité d'électricité future à en tirer varie de 92 kilowatts à 15 mégawatts, selon l'emplacement.

« Puisque l'utilisation des sources d'énergie verte devient de plus en plus prioritaire, l'atlas indique que la ressource des petites centrales hydroélectriques offre de bonnes possibilités au Nouveau-Brunswick, lesquelles pourraient être mises en valeur pour leurs avantages environnementaux et socioéconomiques pour les résidents », estime le titulaire de la Chaire K.-C.-Irving en développement durable de l'Université de Moncton, le professeur Yves Gagnon.

Les cartes de la ressource en énergie solaire indiquent que la moyenne annuelle d'énergie la plus élevée dans la province est de 3,72 kilowattheures par mètre carré par jour (kWh/m2/jour). Par comparaison, le rayonnement solaire annuel moyen de l'Allemagne, dont la capacité solaire installée est la plus élevée au monde, est de 2,8 kWh/m2/jour. L'Ontario est la province canadienne où l'industrie solaire est la plus développée; le rayonnement solaire annuel moyen y est de 3,7 kWh/m2/jour.

« Les cartes de la ressource en énergie solaire indiquent que les Néo-Brunswickois auront dans l'avenir la possibilité d'exploiter les débouchés qu'offre cette source d'énergie renouvelable, ajoute M. Gagnon. Même si pour le moment l'équipement nécessaire pour produire de l'énergie solaire est encore très coûteux, nous espérons que dans un proche avenir cette option sera beaucoup plus abordable pour les particuliers. »

Les deux atlas des énergies renouvelables s'ajoutent aux cartes de la ressource éolienne du Nouveau-Brunswick qui ont également été produites en collaboration avec la Chaire K.-C.-Irving en développement durable. Le grand public a accès à ces cartes depuis l'an dernier.

« La décision de mettre en valeur nos ressources hydroélectriques et de biomasse et nos autres ressources renouvelables au fil des années a permis à notre province de se hisser en tête de peloton des producteurs d'énergie diversifiée, propre et renouvelable en Amérique du Nord, affirme M. Leonard. Nous sommes déterminés à continuer de faire preuve de leadership dans ce domaine, tout en assurant des tarifs d'électricité stables et concurrentiels aux gens du Nouveau-Brunswick. »
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L’AAAUM sollicite des candidatures pour l’Ordre du mérite et le prix Émergence
L'Association des anciens, anciennes et amis de l'Université de Moncton, campus de Moncton, invite les membres de la communauté à soumettre des candidatures pour l'Ordre du mérite des diplômés et diplômées de l’Université de Moncton et le prix Émergence.
Depuis 1998, l’Ordre du mérite remplace le titre d’Ancien ou Ancienne de l’année dont la tradition remonte à 1973. L’AAAUM veut ainsi souligner la contribution exceptionnelle d’un de ses membres qui fait honneur à son alma mater et à sa profession.

Institué en 2008, le prix Émergence récompense une jeune personne diplômée de l’Université de Moncton de 35 ans ou moins qui se distingue grâce à son leadership, pour ses réalisations en début de carrière et pour sa contribution à la société.

Grâce à ces prix, l’AAAUM souhaite souligner les réalisations exemplaires de deux diplômés de l'Université de Moncton qui contribuent au rayonnement de leur alma mater.

Les récipiendaires seront honorés lors d’une soirée qui aura lieu cet automne. La date limite pour proposer une candidature est le 30 mars à 16 heures.

Les formulaires de mise en candidature sont disponibles sur le site Internet de l’Association à ci-dessous.

Renseignements : Jeanne Farrah, au 858-4130.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10310
La mission humanitaire Haïti 2012 de l’Université de Moncton accueille l’ex-hockeyeur Georges Laraque
La mission humanitaire Haïti 2012 de l’Université de Moncton reçoit un soutien important dans la promotion de son prochain voyage humanitaire qui aura lieu en mai prochain.

L’ancien ailier droit du Canadien de Montréal, Georges Laraque, a répondu à l’invitation du groupe et sera de passage à Moncton les 16 et 17 mars.

Aujourd'hui retraité du circuit professionnel, Georges Laraque est très actif dans les médias. Leader adjoint du Parti vert du Canada, il s'investit également dans diverses causes humanitaires.

L’automne dernier, il a publié « La force d’y croire », une autobiographie à son image, franche et directe. Le racisme, la violence, la religion, la famille, la politique... aucun sujet n'y est tabou. L'athlète raconte comment il est parvenu à se frayer un chemin dans un monde où les préjugés et la discrimination faisaient loi.

Se tournant maintenant vers l'avenir, l'ancien hockeyeur dévoile tout de ses convictions profondes, de sa découverte du végétalisme, de ses nombreux projets humanitaires, de ses prises de position écologiques. Une version anglaise, « The Story of the NHL’s Unlikeliest Tough Guy », vient aussi de paraître.

Pendant son séjour dans la région de Moncton, M. Laraque prendra part à plusieurs activités dont une réception-bénéfice, le vendredi 16 mars à 19 heures au Café l’Osmose du campus de Moncton. Lors de cette activité qui se déroulera dans une atmosphère conviviale, le public aura la chance de rencontrer et d’assister à une présentation de l’athlète qui a joué dans la Ligue nationale de hockey pendant 13 saisons, dont deux avec les Canadiens de Montréal. La présentation sera suivie d’une période de questions. Des amuse-gueules seront servis et de nombreux prix seront tirés. Les billets pour cet événement-bénéfice sont en vente à la Librairie acadienne au coût de 50 $.

Le 16 mars de 11 heures à 13 h 30, il participera à une séance de signature dans la salle multifonctionnelle du Centre étudiant. La Librairie acadienne sera sur place pour vendre les livres.

Le 17 mars de 9 h 30 à 11 h 30, il sera aussi au Marché de Dieppe pour rencontrer le public et signer des livres. Et le 17 mars toujours, de 13 heures à 15 heures, il prendra part à une séance de signature à la librairie Chapter’s de Dieppe.

Haïti 2012 de l’Université de Moncton
Du 28 avril au 10 mai, une quarantaine d’étudiants et étudiantes de l’Université de Moncton et des professionnels de la communauté se rendront en Haïti pour venir en aide à des enfants. Ils offriront des ateliers et des jeux éducatifs dans plusieurs écoles de la région de Port-Salut.

En plus d’apporter et de distribuer plus de deux tonnes d’équipement sportif et médical, le groupe participera à la construction d’un dispensaire à l’hôpital de référence communautaire de la région de Port-Salut.

Renseignements : Françoise Roy, au 862-4221 / Jocelyne Maurice, au 866-5410 / Roger G. LeBlanc, coordonnateur de la mission, au 858- 4967.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10311
Journées des études supérieures et de la recherche - Semaine du 19 au 23 mars
Programme des activités
Campus de Moncton


Le lundi 19 mars

Faculté des sciences de la santé et des services communautaires - École de science infirmière :
entrée de l’édifice et salon étudiant, pavillon Jacqueline-Bouchard
Présentations affichées des travaux des étudiantes et étudiants dans le cadre du cours SINF4013 Recherche : science infirmière, sous la direction de la professeure Ann Rhéaume.

14 heures à 17 heures dans le local 196 du pavillon Jacqueline-Bouchard : présentation par les étudiantes et étudiants en science infirmière de leur projet d’accompagnement d’une « personne-famille » aux prises avec une problématique de santé de nature chronique dans le processus d’autogestion de la santé, dans le cadre du cours SINF4573 - Thèmes en santé communautaire, sous la direction de la professeure Danielle Charron.

Le mardi 20 mars
Faculté des sciences de la santé et des services communautaires - École de science infirmière :
entrée de l’édifice et salon étudiant, pavillon Jacqueline-Bouchard
Présentations affichées des travaux des étudiantes et étudiants, dans le cadre du cours SINF4013 Recherche : science infirmière, sous la direction de la professeure Ann Rhéaume.

Faculté d’ingénierie
11 h 30 à 13 h 30 dans le local 152G1 de la Faculté d’ingénierie : table ronde sur les études supérieures en ingénierie avec des anciens et anciennes du programme de la M.Sc.A.; session d’information sur le programme de M.Sc.A.; et présentations sur les principales thématiques de recherche à la Faculté d’ingénierie.

Faculté des études supérieures et de la recherche
15 heures dans la salle A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois (vidéoconférence aux campus de Shippagan et d’Edmundston) : 15e Conférence de la FESR avec Ruben Sandapen, professeur au Département de physique et d’astronomie, « Les neutrinos ont-ils vraiment défié Einstein? ».

Faculté des arts et des sciences sociales – Département d’études françaises
15 heures à 15 h 30 dans le local 217A de l’édifice des arts : présentations des recherches dans le cadre du cours LITT1403 Introduction aux études littéraires : Janie Mallet, étudiante de maîtrise en études littéraires; Joël Boilard, doctorant en études littéraires; Louis-Martin Savard, doctorant en études littéraires; et David Décarie, professeur au Département d’études françaises.

Faculté des sciences de l’éducation
16 heures dans le local A-119 du pavillon Jeanne-de-Valois : lancement du site intitulé « Réussir sa profession : outils pour nos premières années en enseignement », sous la direction de Jeanne d’Arc Gaudet et Jimmy Bourque.

Le mercredi 21 mars

Faculté des études supérieures et de la recherche

8 h 30 à 15 h 30 dans les locaux 106, 114, 206 et 214 de l’édifice des arts : 23e Concours des jeunes chercheures et chercheurs
Programme : www.umoncton.ca/fesr/, rubrique « Concours des jeunes chercheures et chercheurs »

16 h à 17 h 15 dans la salle A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois : Table ronde « Jeux et enjeux de l’exploitation des ressources naturelles ».

17 h 30 dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois : Gala de remise des prix du 23e Concours des jeunes chercheures et chercheurs.

Faculté des sciences de la santé et des services communautaires - École de science infirmière : entrée de l’édifice et salon étudiant, pavillon Jacqueline-Bouchard
Présentations affichées des travaux des étudiantes et étudiants dans le cadre du cours SINF4013 Recherche : science infirmière, sous la direction de la professeure Ann Rhéaume.

Faculté des sciences de l’éducation
12 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois : rencontre avec les étudiantes et les étudiants finissants en éducation. Le doyen et la vice-doyenne, accompagnés des responsables de programmes et d’étudiants présentement inscrits à la maîtrise en éducation (trois mentions), à la maîtrise en orientation et au doctorat en éducation, feront une brève présentation des programmes d’études aux cycles supérieurs offerts à la faculté. Une période de question suivra la présentation.

Le jeudi 22 mars

Faculté des arts et des sciences sociales - Département d’études françaises

10 h 30 à 11 h 15 dans le local 217A de l’édifice des arts : présentations des recherches dans le cadre du cours LING3940 Sociolinguistique : Isabelle LeBlanc et Émilie Urbain, doctorantes en sciences du langage.

Faculté des sciences de l’éducation
12 heures dans le local B-119 du pavillon Jeanne-de-Valois, rencontre avec les étudiantes et les étudiants finissants en éducation. Le doyen et la vice-doyenne, accompagnés des responsables de programmes et d’étudiants présentement inscrits à la maîtrise en éducation (trois mentions), à la maîtrise en orientation et au doctorat en éducation, feront une brève présentation des programmes d’études aux cycles supérieurs offerts à la faculté. Une période de question suivra la présentation.

15 heures dans le local B-119 du pavillon Jeanne-de-Valois, rencontre avec les étudiantes et les étudiants finissants en éducation. Le doyen et la vice-doyenne, accompagnés des responsables de programmes et d’étudiants présentement inscrits à la maîtrise en éducation (trois mentions), à la maîtrise en orientation et au doctorat en éducation, feront une brève présentation des programmes d’études aux cycles supérieurs offerts à la faculté. Une période de question suivra la présentation.

Le vendredi 23 mars

Faculté d’administration

local 307 du pavillon Jean-Cadieux : conférences de recherche :

9 h à 9 h 30 Monique Levesque, professeure au Département de comptabilité, « La formation professionnelle selon une approche par compétences »;

9 h 30 à 10 h Gilles Marcoux, Izold Guihur et Vivi Koffi, professeurs au Département d’administration, « L’engagement des employés pour le successeur d’entreprise familiale : état des connaissances »;

10 h à 10 h 30 Sébastien Deschênes, professeur au Département de comptabilité, « L’estimation des pertes liées aux prêts commerciaux d’une institution financière coopérative, gestion de l’information et coût d’agence »;

10 h 45 à 11 h 15 Gérard Fillion, professeur au Département de comptabilité, « L’intégration des TIC à l’Université de Moncton : ce que les étudiants en ligne et en classe en pensent »;

11 h 15 à 11 h 45 Donatien Avelé, professeur au Département de comptabilité, « La problématique de l’imputation des coûts conjoints en comptabilité de gestion dans les organisations : une relecture à partir d’un état de l’art ».

Faculté des arts et des sciences sociales - Département d’études françaises
10 heures à 14 heures dans le local 219A de l’édifice des arts, journée portes ouvertes du Centre de recherche en linguistique appliquée.

Faculté des études supérieures et de la recherche conjointement avec le Comité d’éthique de la recherche avec les êtres humains
13 h 30 à 15 h 30, salle Richelieu du pavillon Léopold-Taillon, table ronde « L’influence des Comités d’éthique sur la recherche ». Will C. Van den Hoonaard, professeur émérite au Département de sociologie de l’University of New Brunswick et auteur de « The Seduction of Ethics : Transforming the Social Sciences »; Jimmy Bourque, professeur agrégé, directeur du Centre de recherche et de développement en éducation; Marie-Andrée Pelland, professeure adjointe au Département de sociologie; et Jalila Jbilou, professeure adjointe au Département d’administration publique.

Campus d’Edmundston

Faculté de foresterie

Salon vert du pavillon de la Faculté de foresterie et babillards électroniques, présentation des projets de recherche réalisés par les étudiantes et étudiants et le personnel de la Faculté de foresterie.

Classes et laboratoires de premier cycle en foresterie et en sciences, campus d’Edmundston.
Promotion des études de deuxième cycle en sciences forestières.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10332
Exposition d’Herménégilde Chiasson à la Galerie 12
L’artiste Herménégilde Chiasson inaugure une nouvelle exposition, « L’Acadie immobile », à la Galerie 12 du Centre culturel Aberdeen de Moncton.

Cette exposition, qui est en montre jusqu’au mercredi 21 mars, regroupe 35 tableaux que l’artiste a réalisés depuis le début de l'année.

Renseignements : 961-6254
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10318
Atelier portant sur l’immigration en Acadie
Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) organise un atelier portant sur le thème « L’immigration en Acadie : un état des problématiques » avec la participation de Chedly Belkhodja, du Département de science politique, « Du terrain à la théorie. Regards sur la recherche en immigration », et Leyla Sall, du Département de sociologie, « Les logiques de l’entrepreneuriat des Africains à Paris et au Nouveau-Brunswick », le jeudi 15 mars de 16 h 30 à 17 h 45 dans le local 458 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Cet atelier est d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : GRICC, au 858-4553.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10316
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Edmond P. Blanchard, juge en chef de la Cour d'appel de la cour martiale du Canada et juge de la Cour fédérale; les étudiantes Michèle Poirier et Nadia Michaud; Louis LeBel, juge de la Cour suprême du Canada; et Jean-Marc Labrosse, juge retraité de la Cour d'appel de l'Ontario.
L'équipe de la Faculté de droit remporte la Coupe Ottawa-Moncton
L'équipe de la Faculté de droit de l'Université de Moncton, composée de Nadia Michaud et Michèle Poirier, a remporté la Coupe Ottawa-Moncton lors du 30e concours annuel de plaidoirie. Michèle Poirier a également remporté le prix de la meilleure plaideuse.

Cette année, le concours avait lieu à l'Université d’Ottawa et portait sur un arrêt de la Cour d’appel de l’Ontario concernant l’enregistrement audio des examens médicaux indépendants.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10317
Exercice pédagogique au Département d’art dramatique
Dans le cadre de leur prochain exercice pédagogique, les étudiantes et étudiants de troisième et quatrième années du Département d’art dramatique de l’Université de Moncton présentent la pièce « Cinq NÔ modernes », de l’auteur japonais Yukio Mishima dans une traduction de Marguerite Yourcenar avec la collaboration de Jun Shiragi, du 10 au 14 avril à 20 heures au studio-théâtre La Grange du campus de Moncton.

L’un des plus populaires auteurs et dramaturges japonais en Occident, Yukio Mishima, né en 1925 et qui se donne la mort par « seppuku » en 1970 à l’âge de 45 ans, nous a laissé une œuvre impressionnante par sa prodigalité, sa diversité et par l’intensité des situations et des personnages qui y évoluent. Il a écrit une quarantaine de romans, une vingtaine de pièces de théâtre et une vingtaine de nouvelles et d’essais. Il a aussi joué des rôles au cinéma, il a réalisé un film et mis en scène des pièces de théâtre. Dans toute son œuvre, on retrouve les thèmes de la beauté, de l’érotisme et de la mort.

Les « Cinq NÔ modernes », cinq très courtes pièces mais d’une rare densité et dont les sujets sont complètement différents, ont en commun la confrontation entre un monde matérialiste et un autre qui se caractérise par l’aspiration vers l’absolu. Écrites en prenant comme référence le NÔ traditionnel japonais, théâtre sacré à forme et structure fixes, s’exprimant en codes comme un rite où les fantômes hantent le monde des vivants pour trouver finalement la paix, les pièces de M. Mishima semblent s’inscrire en faux dans cette tradition. Leur structure dramaturgique est de facture très moderne, non conventionnelle même, et la réconciliation entre le monde des esprits ou plutôt de la spiritualité et le monde d’aujourd’hui semble impossible.

Les « Cinq NÔ modernes » illustrent en fait la crise morale et sociale du Japon après la Deuxième Guerre mondiale et l’enfer du bombardement atomique suivis par l’occupation américaine et l’avènement de la société moderne de consommation.

D’une efficacité théâtrale inégalable, les cinq courtes pièces nous font connaitre des histoires situées à la frontière de la poésie et de l’horreur, pleines d’érotisme, d’ambiguïté et d’une quête forcenée d’absolu.

Dans une mise en scène du professeur Andréi Zaharia, le spectacle réunit sur scène le finissant Ludger Beaulieu, que certains ont eu le plaisir de voir dans la production de l’automne « Cul de sac », de Daniel McIvor, avec ses collègues de troisième année, Isabelle Bartkowiak, Carole Belliveau, Stéphan Bénard, Marilyn Bouchard, Solange LeBlanc, Sébastien Leclerc, Xavier Lord-Giroux, Bianca Richard, Joannie Thomas et Myriam Vaudry.

Les billets seront en vente à la Librairie acadienne et à l’entrée du théâtre les soirs de représentation, 10 $ tarif ordinaire et 5 $ pour les étudiants et étudiantes. (Les comédiens fument sur scène).

Renseignements : 858-4444.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, la boursière Josette Martin, de Saint-Ignace; Rose-Mai Roussel, animatrice de pastorale; la boursière Gloria Hessou, du Bénin; la boursière Carmen LeBlanc, de Sydney en Nouvelle-Écosse; la boursière Christiane Raïssa Diatta, du Sénégal; et le père Paul Breau, aumônier de la paroisse Notre-Dame d’Acadie au campus de Moncton.
Bénéficiaires de bourses Notre-Dame d’Acadie
Quatre étudiantes de l’Université de Moncton sont les bénéficiaires de bourses Notre-Dame d’Acadie d’une valeur de 500 $ chacune.
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Clémence Talbot
Concours de plaidoirie : une expérience tout à fait exceptionnelle pour Clémence Talbot
Championnes du concours régional de plaidoirie de première instance de la Coupe McKelvey, Clémence Talbot et sa coéquipière Ludmilla Jarda sont à Ottawa cette semaine pour prendre part au concours national de la Coupe Sopinka qui a lieu les 16 et 17 mars.

Il s’agit d’une expérience tout à fait exceptionnelle pour Clémence Talbot, d’origine française et étudiante au programme d’échange avec l’Université de Poitiers. « Jamais je n’aurais imaginé participer à un concours de plaidoirie de ce genre au Canada, confie-t-elle. À l’Université de Poitiers, nous étions 500 étudiants à poursuivre des études en droit un peu dans l’anonymat. Plutôt théorique et magistrale, la formation ne permettait pas ce genre de concours. Je suis donc très heureuse de pouvoir vivre l’expérience pratique que permettent les concours de plaidoirie. »

« J’ai toujours été intéressée par le droit pénal, mais en France il y a très peu de travail dans ce domaine, mentionne-t-elle. Je m’étais donc spécialisée en droit publique en raison des possibilités d’emploi. Le concours McKelvey m’a permis de retrouver cette passion que j’ai pour le droit pénal. Lors de la Coupe McKelvey, nous représentions la défense tandis que nous représenterons la Couronne lors du concours d’Ottawa. C’est fascinant comme exercice! »

« Je remercie le professeur James Lockyer qui m’a choisie pour participer à ce concours, ajoute-t-elle. À la suite de cette expérience, je considère sérieusement de poursuivre des études en droit à l’Université de Moncton. J’envisage même de faire ma vie ici pour pratiquer le droit. Qui sait, ma participation aux concours de plaidoirie changera peut-être le cours de ma vie. »

Pour sa part, le professeur Lockyer qui lui a enseigné les techniques de droit pénal souligne la force de l’étudiante qui a aussi gagné le prix du meilleur exposé final dans le cadre de la Coupe McKelvey. « Clémence possède une impressionnante force de persuasion qui amène les gens à l’écouter, dit-il. Malgré sa petite taille et sa candeur, le professeur souligne sa détermination et sa force de caractère. »

Étudiante à l’Université de Moncton depuis septembre, Clémence est heureuse de son expérience en Acadie où elle a tissé de bons liens d’amitié. « Pendant mon séjour à l’Université de Moncton, loin de mes parents, loin de la France, j’ai beaucoup appris sur moi-même, dit-elle. J’ai gagné en assurance et en maturité. Je suis curieuse de nature et j’ai toujours voulu faire ma vie à l’étranger. Enfin, le bilan de mon année passée à l’Université de Moncton est très positif », conclut-elle.
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Camps mathématiques de l'Acadie - conférence de presse
Donald Violette, professeur titulaire au Département de mathématiques et de statistique de l’Université de Moncton, vous invite à assister à une conférence de presse qui portera sur le lancement des Camps mathématiques de l'Acadie, le jeudi 15 mars à 11 h 20 dans le local A-102 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.

Le professeur Violette, fondateur de ces camps mathématiques, rappelle qu’ils s'adressent aux élèves francophones de la 12e année des 22 écoles secondaires francophones du Nouveau-Brunswick qui triompheront au Concours de mathématiques Poincaré. Ils permettront aux mathématiciens en herbe de faire des mathématiques dans un climat propice à l'apprentissage avec des mathématiciens chevronnés. En plus d'aider à créer et maintenir une culture mathématique en Acadie, ces camps ont été créés spécialement pour les jeunes Acadiens doués en mathématiques. Ils représentent l'une des rares activités conçues spécialement pour les meilleurs dans ce domaine. La première édition aura lieu en juillet prochain.

Bienvenue à toute la communauté universitaire. Des gilets (t-shirts) seront lancés dans l'assistance.

Renseignements : 858-4325 / donald.violette@umoncton.ca
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Semaine de sensibilisation à la diversité sexuelle
Une Semaine de sensibilisation à la diversité sexuelle organisée par l’association Un sur Dix aura lieu du 19 au 23 mars au campus de Moncton.

La Semaine commencera le lundi 19 mars avec la levée du drapeau de la fierté LGBT, à 11 h 30 à l'entrée du stade, en compagnie d’Hugo Lavoie, vice-président de l’association Un sur Dix, Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, et Jean-Roch Savoie, président de l’association Un sur Dix. Il s'agira de la toute première levée du drapeau de la fierté LGBT au campus de Moncton.

Le mardi 20 mars de 11 h 20 à 11 h 50, une marche portant sur la diversité sexuelle est organisée au campus et elle commencera au pavillon Léopold-Taillon. Les participants et participantes marcheront avec leur bannière et distribueront des affiches à ceux et celles qui voudront bien les tenir. Le trajet anticipé est le suivant : Léopold-Taillon, Centre étudiant, Jean-Cadieux, Rémi-Rossignol, Centre étudiant et Léopold-Taillon.

Le mercredi 21 mars, on célébrera la journée des alliés, c’est-à-dire ces personnes qui indépendamment de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre, défendent les droits humains, les droits civils et les droits sexuels des minorités sexuelles. C’est à 11 h 30 dans la salle multifonctionnelle du Centre étudiant. En plus d’un mot de bienvenue où il sera question de l’importance de ces personnes alliées, il y aura une courte allocution de la directrice de l'École de travail social, Hélène Albert, et d'une étudiante alliée de l'Université de Moncton, Cynthia. On vous invitera à manger du gâteau pour souligner l'importance fort appréciée de ces personnes alliées.

Le jeudi 22 mars, vous pourrez assister à la projection du film « Prayers for Bobby » à 18 h 30 dans le local 206 de l’édifice des arts.

Un ruban de six couleurs sera donné à tous ceux et celles qui voudront le porter en guise de soutien à cette Semaine. Vous pouvez l’obtenir aux stands d’information d'Un sur Dix pendant la semaine du 12 au 16 mars dans les différents édifices du campus.

Renseignements : unsurdix@umoncton.ca
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Le drame français « L’autre Dumas » est à l'affiche au Ciné-Campus
Le film « L’autre Dumas », de Safy Nebbou et mettant en vedette Benoit Poelvoorde, Gérard Depardieu et Mélanie Thierry, sera à l'affiche du Ciné-Campus, les jeudi 22 et vendredi 23 mars à 20 heures dans l'amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

Alors qu'Alexandre Dumas et Auguste Maquet, son nègre littéraire, sont au sommet de leur collaboration, Maquet décide de se faire passer pour Dumas afin de séduire Charlotte, une admiratrice de l'illustre écrivain. Entre les deux hommes, l'affrontement est inévitable. Dans Paris, la Révolution de 1848 se prépare.

Le Ciné-Campus est présenté par le Service des loisirs socioculturels. Les billets sont en vente à l’entrée le jour de la présentation du film, 5 $ pour les étudiants et de 7 $ tarif ordinaire.

Rendez-vous de l’ONF en Acadie :
Le lundi 26 mars, les Rendez-vous de l'ONF en Acadie présentent « Meurtre au sein de la famille » (95 minutes). Lorsque leur fils est accusé du meurtre de sa sœur, un père et une mère se trouvent devant la décision la plus déchirante qui soit pour un parent : couper les ponts avec leur enfant ou le réintégrer dans la famille. Avec des images saisissantes tournées sur une décennie, des minutes qui ont suivi la perpétration du crime jusqu’au temps présent, le film relate l’évolution des relations familiales.

La projection commence à 19 heures dans l'amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard et l’entrée est libre.

Pour en connaître davantage sur la programmation des Rendez-vous de L'ONF en Acadie ou pour visionner les bandes-annonces : www.onf.ca/rendez-vous.

Renseignements : 863-2008
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10320
Les « fantaisies » de l’Ensemble de percussion prendront vie sur scène
Depuis plusieurs années, le Département de musique de l’Université de Moncton offre la chance à son Ensemble de percussion de présenter son travail à la communauté universitaire et à la population de la grande région de Moncton. Le samedi 17 mars, 11 étudiants et étudiantes en percussion vous proposeront leur savoir-faire à compter de 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Le concert de cette année, intitulé « Fantaisies », promet de belles surprises et des sons intéressants. Le public pourra entendre certaines pièces impliquant jusqu’à 11 musiciens sur scène qui utiliseront les marimbas, les vibraphones, les timbales, la batterie et bien d’autres instruments. Le spectacle vous amène en voyage dans différents univers passant par l’Afrique, l’Allemagne, la France, l’Amérique et même la planète Mars avec « Martian Tribes », d’Emmanuel Séjourné. Comme chaque année, le concert de l’ensemble vous promet une très belle soirée riche en couleurs et en énergie.

Les billets sont en vente à la billetterie du Centre étudiant du campus de Moncton, 8 $ pour les étudiants et 15 $ tarif ordinaire, frais compris. Les personnes intéressées peuvent aussi s’en procurer par téléphone au 506-858-4554 ou au 1-800-363-8336. Les billets seront aussi en vente à l’entrée le jour du spectacle, une heure avant la présentation.

Renseignements : 863-2008 / ems8117@umoncton.ca
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La Semaine nationale de l’enseignement coopératif a lieu du 19 au 23 mars
La Semaine nationale de l’enseignement coopératif aura lieu du 19 au 23 mars. Et le régime coopératif à l’Université de Moncton est à l’honneur.

Cet événement souligne la participation des étudiants et étudiantes au régime coopératif, des employeurs qui les embauchent et les forment pendant leurs stages rémunérés, et des universités qui les forment pendant leurs études.

En plus des stages coop, les étudiants et étudiantes développent leurs profils d’employabilité en assistant à plusieurs ateliers préparatoires. Cette complémentarité entre les stages coop en milieu de travail et le développement continu des étudiants et étudiantes dans les ateliers coop fait en sorte que les finissants et finissantes sont prêts pour le marché du travail dès la fin de leurs études et les employeurs-recruteurs sont amplement satisfaits des stagiaires provenant de l’Université de Moncton.

Certains étudiants et étudiantes font un stage pendant la session d’hiver tandis que d’autres le font à la session du printemps-été. Les employeurs qui les accueillent proviennent d’entreprises privées, des gouvernements fédéral et provincial, d’organismes et même d’universités; et les occasions varient d’une année à l’autre selon l’offre et la demande.

En plus de leurs tâches respectives, les responsables des 17 programmes coop collaborent avec le Bureau de l’enseignement coopératif. Ainsi, on tient à remercier Edgar Robichaud, vice-recteur adjoint à l’enseignement; Louise Girard, sciences; Gilles Robichaud, biochimie; Stéphan Reebs, biologie; Chadia Moghrabi, informatique appliquée; Paul Deguire, mathématiques; Nha Nguyen, maîtrise en administration des affaires; Claude Desrochers, Salem Lakhal, Izold Guihur et Lova Rajaobelina, gestion des opérations, gestion internationale et marketing; Sébastien Deschênes, Jean-Pierre Booto Ekionea et Gérard Fillion, comptabilité et systèmes d’information organisationnels; Gilles C. Roy, ingénierie; et Matthieu LeBlanc et Denise Merkle, traduction; campus d’Edmundston : sciences forestières, administration et sciences; campus de Shippagan : BGI, BGIZC, administration et sciences.

L’équipe du Bureau de l’enseignement coopératif est composée de Claude Lavoie, directeur; Manon Cormier-Viel, Conrad Melanson et Hélène Savoie, coordonnateurs coop; Annette M. Cormier et Joline Larade, secrétaires; campus d’Edmundston : François Pelletier et Roger Roy, coordonnateur coop; campus de Shippagan : Marie-France Breau, coordonnatrice coop.

À titre d’information, le quotidien L’Acadie Nouvelle publiera un article portant sur l’enseignement coopératif ce samedi 17 mars; et il y aura des journées présentant des stands coop dans les facultés pendant la Semaine nationale de l’enseignement coopératif.
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ONF en Acadie : cinq courts métrages qui célèbrent la beauté du corps en mouvement
À l’affiche bientôt aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie, cinq courts métrages qui nous plongent dans le merveilleux univers de la danse. Deux films de Philippe Baylaucq, « Lodela » et «ORA », « Source », de la réalisatrice Pepita Ferrari, ainsi que les films « Pas de deux » et « Ballet adagio », de Norman McLaren, sont au programme. La présentation aura lieu le lundi 19 mars à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est libre.

Lodela (1996, 26 minutes)
Pour ouvrir ce programme sur la danse, le film « Lodela » est une allégorie qui rappelle le voyage de l'âme en dévoilant les mouvements du corps sous des angles nouveaux et étonnants. Évocation des origines du monde, le film célèbre la beauté du corps et du mouvement dans une métaphore de la vie et de la mort. Il a été produit par Iolande Cadrin-Rossignol (ONF).

ORA (2011, 15 minutes)
L’univers du chorégraphe José Navas rencontre celui du cinéaste Philippe Baylaucq pour créer des images qui ne ressemblent à aucune autre. Utilisant pour la première fois la thermographie 3D, le film met en scène six danseurs aux corps incandescents, partis à la découverte d’un monde qu’ils marquent de leur propre chaleur. Philippe Baylaucq propose une allégorie dansée qui entraîne le spectateur au coeur de l’espace mouvant où évoluent les danseurs. Il a été produit par René Chénier (ONF).

Philippe Baylaucq
Né à Kingston (Ontario) en 1958, Philippe Baylaucq étudie à Londres avant de se faire connaître au cours de la décennie 1980, aussi bien par son travail vidéographique que cinématographique. Son œuvre est dominée par une constante recherche formelle, un goût pour l’innovation technologique et un intérêt manifeste pour les différentes disciplines artistiques : architecture, peinture et danse. Ses films ont été maintes fois primés. Il est le réalisateur du film « Le magicien de Kaboul » (2008) et du long métrage collectif « Un cri au bonheur » (2007) en hommage à la poésie québécoise.

Source (6 minutes)
« Source » souligne le travail exceptionnel de Margie Gillis, formidable artiste de la danse, chorégraphe et professeure. Sur l’écran, Margie Gillis s'avance dans la lumière, lève les bras et fait tournoyer son extraordinaire crinière. Celle dont la remarquable carrière s'étend sur quatre décennies est un modèle de compassion et de créativité, qui excelle à inventer la beauté dans un monde où il en manque toujours. Des caméras ultrarapides captent la joie subtile et sauvage de l'Isadora Duncan canadienne. Pepita Ferrari (L’art du réel : le cinéma documentaire) signe la réalisation du film qui a été produit afin de rendre hommage à la lauréate d’un prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle - la plus haute distinction accordée dans le domaine des arts du spectacle au pays. Il a été produit par Kat Baulu (ONF).

Pas de deux (1968, 13 minutes)
« Pas de deux » est une sorte de miroir magique de la danse. Margaret Mercier et Vincent Warren, deux étoiles des Grands Ballets canadiens évoluent sur un pas de deux. McLaren capte l'harmonie de leurs mouvements et la fait sienne, en multipliant l'image au moyen de l'imprimerie optique. Le tournage s'est fait dans un studio où murs et sol étaient peints en noir. Un éclairage latéral et arrière ne laisse voir que les silhouettes des danseurs vêtus de blanc. Ce film est l'œuvre d'un chercheur autant que d'un créateur. C’est un film sans paroles.

Ballet Adagio (1972, 10 minutes)
Éblouissante démonstration de la technique de l’adagio du pas de deux sur la musique de l’« Adagio d’Albinoni ». « Ballet Adagio » tourné au ralenti souligne la maîtrise des danseurs, la précision de leurs gestes, l’équilibre de chaque pirouette, arabesque ou jeté, et révèle aux spectateurs une dimension inconnue du ballet.

Prochainement à l’affiche
Dès la semaine du 25 mars, le public pourra assister à la projection du film dérangeant « Meurtre au sein de la famille », de John Kastner (2010, 95 minutes). Lorsque leur fils est accusé du meurtre de sa sœur, des parents se trouvent devant la décision la plus déchirante qui soit : couper les ponts avec leur enfant ou le réintégrer dans la famille. Tourné sur une décennie, le film relate avec des images saisissantes l’évolution des relations familiales.

Pour obtenir la liste complète des films au programme et tous les détails, visitez le site onf.ca/rendez-vous.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Création d’un réseau canadien sur les histoires de vie
Quinze professeurs et membres de la communauté francophone se sont rencontrés au campus St-Jean de l’Université de l’Alberta à Edmonton dans le but de partager l’initiative de la création d’un réseau canadien sur les histoires de vie.

À la suite d’un accueil chaleureux de la part d’Yvette D’Entremont, directrice des programmes de maîtrise au campus Saint-Jean et une mise au point de l’historique de la création de ce réseau par Lucille Mandin, directrice du Groupe de recherche en éducation et citoyenneté(s), Yves de Champlain, professeur en éducation au campus de Shippagan, a présenté les origines du concept des histoires de vies ainsi que ses orientations : recherche, formation et intervention.

René Blais, professeur de géographie au campus d’Edmundston, a ensuite présenté un atelier portant sur le cadrage terminologique et conceptuel de ce nouveau réseau. Il souligne que le principal thème d’étude porte sur l’identité et inclura deux dimensions : la mémoire et les lieux. Une attention particulière est portée aux phénomènes entourant les réalités des francophones minoritaires au Canada.

À la suite de ces présentations, Claire Desrochers, professeure à l’Université de l’Alberta, et Sonia Houle, doctorante au programme du Department of Elementary Education, ont partagé la perspective et l’expérience de l’approche de recherche de l’enquête narrative telle que conçue par Clandinin et Connelly.

Cette démarche a comme point de départ l’expérience vécue. L’enquête narrative tient compte des circonstances sociales, culturelles et institutionnelles d’une situation particulière. L’enquête narrative est une méthode de recherche à caractère relationnel. C’est l’étude de gens en relation qui étudient les expériences des gens en relation. Les participants ont ensuite eu l’occasion de participer à un dialogue leur permettant de mettre en lumière les similarités et les différences concernant les dimensions possibles des histoires de vie dans le milieu universitaire et communautaire.

Danielle Nolin, professeure en travail social au campus de Moncton, a animé des ateliers portant sur le schéma relationnel et sur l’exploration de moments afin de concrétiser les démarches possibles avec les histoires de vie pouvant être utilisées comme outil de recherche, de formation et d’intervention.

Le lendemain, la rencontre du comité de pilotage du réseau a mené à la création officielle du Réseau canadien des histoires de vie.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Christine Pitre, François McLaughlin, Marie-France Robichaud, Angie Richard, Melissa Rogers, Renée-Claude Marquis, Josette Martin et Noémie Desroches.
Arts visuels : encan d’œuvres d’art et exposition étudiante
Les étudiants et étudiantes du Département des arts visuels ont présenté un encan d’œuvres d’art dans la salle Neil-Michaud du pavillon des Beaux-arts au campus de Moncton. Les œuvres, en montre à la Galerie triangle située à proximité, étaient des créations des étudiants et étudiantes en peinture, estampe, céramique, sculpture et photographie. Il était donc possible de faire l’acquisition d’une œuvre originale d’un artiste de la relève. L’encan d’œuvres d’art et l’exposition étudiante étaient organisées par le comité étudiant du Département des arts visuels.
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FESR : les jeunes chercheurs de l’Atlantique seront en compétition
La Faculté des études supérieures et de la recherche de l’Université de Moncton organise le 23e concours des jeunes chercheuses et chercheurs, le mercredi 21 mars à l’édifice des arts du campus de Moncton.

Ce concours est destiné aux étudiantes et étudiants des premier, deuxième et troisième cycles des universités de l’Atlantique qui souhaitent présenter leurs travaux de recherche en français dans le cadre d’un congrès étudiant. Les communications appartiennent à l’une des quatre catégories suivantes : sciences humaines et sociales, 1er cycle; sciences humaines et sociales, cycles supérieurs; sciences naturelles et génie, 1er cycle; et sciences naturelles et génie, cycles supérieurs. Dans chaque catégorie, le concours remet un premier prix d’un montant de 500 $.

Cette année, plus d’une quarantaine de communications seront présentées par les étudiants et étudiantes et porteront sur des thèmes variés.

Table ronde
Une table ronde ayant comme thème « Jeux et enjeux de l’exploitation des ressources naturelles » est prévue au programme (pavillon Jeanne-de-Valois, salle A-231). Des personnes ressources débattront des conséquences environnementales et sociales de l’exploitation des ressources naturelles à l’heure des grands projets miniers, pétroliers ou gaziers.

La journée du concours sera clôturée par un gala de remise des prix agrémenté par des prestations artistiques dans la salle A-119 du pavillon Jeanne-de-Valois.

Renseignements : 858 4333 / luc.tremblay.@umoncton.ca

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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Marc Boudreau, directeur du Service de l'activité physique et sportive; Marie-Pier Arsenault, Marie-Michelle Poirier, Geneviève David, Kathy Desjardins et Denis Ross.
Marie-Pier Arsenault est choisie recrue de l’année de SUA
L’attaquante Marie-Pier Arsenault des Aigles Bleues a été choisie recrue de l’année 2011-2012 au hockey féminin de Sport universitaire de l’Atlantique lors du petit déjeuner des Prix qui a eu lieu à Halifax. Marie-Pier a également été nommée au sein de l’équipe étoile des recrues et de la deuxième équipe étoile du circuit.

La joueuse d’avant Marie-Michelle Poirier et la défenseure Geneviève David ont été nommées au sein de la première équipe étoile, et la gardienne Kathy Desjardins au sein de la deuxième.

« Je ne m’y attendais pas, a mentionné Marie-Pier Arsenault. C’est une belle surprise et un tout un honneur de recevoir cette reconnaissance qui vient couronner ma saison.»
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Pont payant du groupe Mondiale Solidarité
Le groupe Mondiale Solidarité, avec la collaboration de la Fédération étudiante du campus de Moncton, organise un pont payant le lundi 26 mars aux trois entrées du campus. L’argent amassé ira au groupe qui fera un voyage humanitaire de trois semaines en mai dans un orphelinat au Kenya. On sollicite donc votre soutien à ce projet.

S’il y a tempête hivernale, le pont payant sera remis au mercredi 28 mars.

Renseignements : Marilyne St-Laurent, au 863-4096 / ems8156@umoncton.ca
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SAEE : visite des nouvelles installations
L’équipe des Services aux étudiantes et étudiants invite la communauté universitaire à visiter ses nouvelles installations, aménagées pour mieux répondre aux besoins de la clientèle étudiante, le vendredi 23 mars de midi à 13 h 15 dans le local C-101 du Centre étudiant.

Le personnel sera sur place pour vous accueillir dans une ambiance d'échange et de convivialité. Une coupe de gâteau aura lieu à 12 h 30 et quelques surprises vous attendent.

Bienvenue à tous et à toutes.
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Symphonie Nouveau-Brunswick présente Vignettes Musicales
Grâce à la collaboration entre Symphonie Nouveau-Brunswick et l'Université de Moncton, un nouveau quintette à vents professionnel a vu le jour dans la région. Cet ensemble s'est produit dans une vingtaine d'écoles de la région depuis janvier, au plus grand plaisir des étudiants âgés de 5 à 18 ans. En plus d'un mini concert, le groupe a offert des cliniques aux élèves de musique.

Cette fin de semaine marque la première performance publique de l'ensemble avec des concerts à Fredericton, Saint-Jean et Moncton. La première représentation a lieu ce vendredi 16 mars à 19 h 30 au Charlotte Street Arts Centre de Fredericton. Le concert sera ensuite présenté le samedi 17 mars à 14 heures au Saint John Arts Centre, et le dimanche 18 mars à 14 heures en l'église Mount Royal United de Moncton.

Le groupe se compose de Karin Aurell, à la flûte, et Jean-Guy Boisvert, à la clarinette, tous deux professeurs à l'Université de Moncton; Patrick Bolduc, basson, et Christie Goodwin, hautbois, nouvellement arrivés au Nouveau-Brunswick pour développer une série de concerts pour Symphonie Nouveau-Brunswick; et Ulises Aragon, récemment arrivé du Venezuela et enseignant au programme Sistema NB de Moncton. Chacun des cinq membres du groupe apporte une grande expérience orchestrale et de chambre, en plus de couvrir trois continents et de parler quatre langues maternelles différentes.

« Vignettes Musicales » est un intéressant mélange de nouveau et d'ancien avec un thème sous-jacent de musique folklorique. Le programme s'ouvre avec un arrangement de « Variations on a Folksong », de Jan Pieters Sweelinck, avec un thème vieux de plus de 500 ans. Suivront des œuvres du compositeur anglais Malcolm Arnold, des compositeurs hongrois Ferenc Farkas et Györgi Ligeti, des compositeurs français Jacques Ibert et Darius Milhaud, et du compositeur et bassoniste montréalais Mathieu Lussier.

Les billets sont en vente à l'entrée, 25 $ pour les adultes, 20 $ pour les personnes aînées et 10 $ pour les étudiants et étudiantes.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=10342
Dean Ouellet est choisi athlète de la semaine
Le Service de l’activité physique et sportive a choisi le hockeyeur Dean Ouellet, d’Edmundston, comme athlète Antonio’s Pizza de la semaine pour la période du 5 au 11 mars à l’Université de Moncton.

Capitaine de l’équipe, Dean Ouellet en est à sa dernière saison avec le Bleu et Or. Il a marqué un but et récolté deux passes lors des trois parties de son équipe en finale du hockey masculin de Sport universitaire de l’Atlantique. Il a joué régulièrement et au sein d’autres trios. Il est étudiant en administration.
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