Vol. 42, no 08
27 octobre 2011
CRLA - appel à communications pour le deuxième volet d’un colloque international
Le Centre de recherche en linguistique appliquée de l’Université de Moncton et CoDiRe & IRFFLE de l’Université de Nantes organisent le deuxième volet d’un colloque international, avec comme thème « La construction discursive du “locuteur francophone” en milieu minoritaire. Problématiques, méthodes et enjeux », les 4, 5 et 6 octobre 2012 au campus de Moncton.

Il est organisé en collaboration avec le projet « Le français à la mesure d’un continent », dirigé par France Martineau de l’Université d’Ottawa et subventionné par le Conseil de recherches en sciences du Canada dans le cadre des Grands travaux de recherche concertée, et du Centre d’études françaises et francophones de la Louisiana State University de Bâton Rouge.

Le premier volet de ce double colloque, intitulé « Sens et signification dans les espaces francophones », se déroulera à Nantes du 19 au 21 avril 2012. Un troisième volet est prévu autour de la thématique générale de ce double colloque en octobre 2013 à Bruxelles. Ce troisième colloque sera organisé dans le cadre de la plateforme internationale de recherche GRAMM-R, par Vrije Universiteit Brussel, l’Université Libre de Bruxelles, l’Université de Liège et l’Université de Nantes.

L’objectif du colloque est d’interroger les concepts et les discours qui ont servi à la construction du « francophone », considéré souvent comme le même partout dans la francophonie, sans tenir compte de l’hétérogénéité et de la diversité qui le constituent. Jugés à l’aune d’un français unique, les francophones des milieux minoritaires ou périphériques se voient parfois remis en doute dans leur qualité même de locuteurs du français.

Par ailleurs, le discours sur la diversité devenu dominant depuis les années 1980 n’a pas pour autant réglé le problème. Le francophone est maintenu à l’intérieur de frontières territoriales et identitaires étroites, ce qui donne lieu à une multitude d’identités régionales rattachées à des « langues locales » et qui reproduisent, dans certains cas, le schéma ancien d’une langue et d’une culture liées à un lieu spécifique, comme c’est le cas en Amérique du Nord.

Ce processus a été accéléré par la nouvelle économie mondialisée où le tourisme culturel a notamment misé sur le culte des différences. Dans la foulée de cet élan pour les « cultures locales », les travaux sur la langue du francophone ont, dans le meilleur des cas, montré la pluralité des formes que peut prendre sa langue, mais dans certaines limites (sur le plan phonétique et lexical surtout); dans le pire des cas, ils ont figé cette langue dans l’exotisme linguistique qui mène à la stéréotypie. Le francophone ne devient plus qu’un diversifié - un Acadien, un Québécois, un Wallon, enfermé dans une catégorie stérile dont il a du mal à se défaire. Certes, la situation est différente en Afrique où le plurilinguisme des locuteurs est maintenant perçu comme libérateur, mais l’impact des discours essentialistes provenant de l’Europe (surtout de la France) n’est pas non plus à négliger.

Ces nouvelles reconfigurations locales répondent souvent à des impératifs culturels et économiques (les deux étant liés) qui tentent d’afficher l’authenticité des cultures et des langues dans une francophonie qui peine à montrer sa diversité (Heller et Labrie 2003). Mais l’hétérogénéité constitutive des francophones continue d’être niée dans ces nouveaux schémas, le folklore s’étant substitué à l’homogène pour faire place à une essentialisation des langues et des cultures qui n’en est que renforcée.

On dira ainsi que les Suisses francophones sont et parlent de telle façon, les Québécois de telle autre, les Acadiens aussi et ainsi de suite. Rattachées à l’imaginaire du même, les catégories sociales naguère créées à partir de ceux qui « parlent bien » et de ceux qui « parlent mal » rivalisent avec celles créées à partir de la vision idéalisée de la diversité tous azimuts qui renvoie à une nouvelle compartimentation (Canut et Duchêne 2011), fondée cette fois sur de nouvelles hiérarchisations linguistiques (maternelle / nationale, nationale / internationale, minoritaire / nationale) (Ibid : 7).

Appréhender la question du locuteur francophone en milieu minoritaire nécessite de s’interroger sur le poids des idéologies linguistiques véhiculées dans les discours depuis les premiers mouvements d’expansion du français et d’analyser les méthodes et les concepts qui ont favorisé une vision microscopique des phénomènes linguistiques souvent au détriment d’une vision d’ensemble de la situation. L’hyperspécialisation dans certains courants de la linguistique et la compartimentation des savoirs qui en résulte ont fait en sorte d’exclure les explications d’ordre politique et social des phénomènes linguistiques et ont mis au rancart les idéologies linguistiques à la base de leur construction.

Il s’agira donc dans ce colloque de poursuivre l’interrogation suscitée par « Le français dans l’espace francophone » (Robillard et Beniamino 1993) et « L’Insécurité linguistique dans les communautés francophones périphériques » (Francard et alii 1993). Les deux ouvrages publiés la même année mettaient l’accent sur la pluralité des espaces francophones, sur les différentes façons de se concevoir comme francophones et appelaient (indirectement) à une sociolinguistique de la périphérie, en écho aux textes de Robert Lafont publiés à partir de 1952.

Quels discours les scientifiques ont-ils produits sur les « francophones » et leurs langues en milieu minoritaire ? Comment ces discours ont-ils été relayés dans le grand public ? Que veut dire le terme « francophone » pour les locuteurs des régions périphériques ? Est-il lié à une identité quelconque ? Quels sont les discours des locuteurs eux-mêmes au sujet de leurs pratiques et de celles des autres ? Quelles sont les stratégies les plus couramment en usage pour se positionner entre uniformisation et différenciation ? Comment ces discours sont–ils liés aux discours institutionnels de la francophonie ? Quels sont les rapports de pouvoir qui s’exercent et comment se manifestent-ils ? Même si tous les francophones vivant dans les milieux périphériques n’ont pas été colonisés au sens propre, leur imaginaire n’a-t-il pas été façonné dans un rapport de type colonial ? Ce sont ces questions et à d’autres encore sur lesquelles on vous invite à réfléchir dans le cadre de ce colloque international.

Date limite pour soumettre des propositions
La date limite pour la soumission des propositions de communication est le 31 mars 2012. Ces propositions (résumé ne dépassant pas 350 mots hors références bibliographiques éventuelles, correspondant à une communication de 20 minutes) devront être adressées sous présentation anonyme en annexe à un courriel spécifiant nom, affiliation de l’auteur de même que le titre de la communication, à l’adresse du Centre de recherche en linguistique appliquée : crla@umoncton.ca. Les frais d’inscription au colloque (incluant les repas du midi et les pauses santé) sont de 100 $ par participant, et sans frais pour les étudiants et étudiantes.

Le comité d'organisation général des deux colloques est le suivant : Laurence Arrighi (Université de Moncton), Abdelhadi Bellachhab (CoDiRe, Université de Nantes et Université Lille 3), Annette Boudreau (Université de Moncton), Benoît Bourque (Université de Moncton), Loïc Fravalo (Université de Nantes), Olga Galatanu (Université de Nantes), Tracy Heranic (Université de Nantes), Matthieu LeBlanc (Université de Moncton), Virginie Marie (CoDiRe – CERCI, Université de Nantes), Christophe Traisnel (Université de Moncton & Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques), Isabelle Violette (Université de Moncton), Ana Maria Cozma (CoDiRe, Université de Nantes et Université de Turku).

Quant au comité scientifique général des deux colloques, il est composé d’Annette Boudreau (Université de Moncton), Olga Galatanu (Université de Nantes), Mourad Ali-Khodja (Université de Moncton), Sylvie Dubois (Centre d'études françaises et francophones, Université de LSU, Louisiane) , Loïc Fravalo (Université de Nantes), Françoise Le Jeune (Université de Nantes), France Martineau (Université d'Ottawa), Michel Pierrard (VUB), Jane Smith (University of Maine), Christophe Traisnel (Université de Moncton & Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques) et Dan Van Raemdonck (ULB).

Renseignements : 506-858-4057.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, assis : Roger Bourque, éméritat en administration des affaires; l’écrivain et essayiste John Ralston Saul, doctorat d’honneur ès lettres; Catalina Ferrer, éméritat en sciences de l’éducation; et Réal Allard, éméritat en sciences de l’éducation; debout : Lynne Castonguay, secrétaire générale; Yvon Fontaine, recteur et vice-chancelier; Louis R. Comeau, chancelier; et André G. Richard, président du Conseil des gouverneurs.
Grades honorifiques lors de la collation des diplômes d'automne
L’Université de Moncton a décerné un doctorat honorifique et trois éméritats lors de la 59e cérémonie de collation des diplômes, qui a eu lieu le 21 octobre dans le gymnase du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton.
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Dans la photo, Stéphanie est accompagnée, à gauche, d’André Richard, président du Conseil des gouverneurs, et d’Yvon Fontaine, recteur et vice-chancelier, et, à droite, du chancelier Louis R. Comeau.
Porte-parole des finissants et des finissantes
Stéphanie Ward, diplômée au baccalauréat en nutrition, a prononcé le discours d'adieu au nom de ses pairs lors de la 59e collation des diplômes de l'Université de Moncton, qui a eu lieu le 21 octobre dans le gymnase du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton. Dans son allocution, Stéphanie a voulu transmettre un message de détermination et de persévérance à ses collègues finissants. « Il y aura toujours des obstacles dans la vie, des moments de doute, de questionnement, dit-elle. Il est important d'avoir confiance en nos habiletés, de foncer et de ne pas nous laisser paralyser par nos doutes. Il ne faut pas avoir peur de prendre les chemins les moins fréquentés. » Stéphanie a entrepris des études de deuxième cycle en sciences cliniques de type recherche avec spécialisation en santé communautaire.
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Réjean Laflamme.
Septième forum de concertation portant sur le développement coopératif en Acadie
Un septième forum de concertation portant sur le développement coopératif en Acadie, organisé conjointement par la Coopérative de développement régional - Acadie (CDR-Acadie) et la Chaire des caisses populaires acadiennes en gestion des coopératives de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton, aura lieu les 4 et 5 novembre à l’hôtel Atlantic Host de Bathurst.

La conférence d’ouverture sera prononcée par Réjean Laflamme, directeur général par intérim du Conseil canadien de la coopération et de la mutualité, et portera sur l’Année internationale des coopératives en 2012.

Très impliqué dans le mouvement coopératif, M. Laflamme est président de la Coopérative funéraire de l’Outaouais, président de la Fédération des coopératives funéraires du Québec, administrateur de SOCODEVI et vice-président du Groupe de ressources techniques en habitation Loge-Action Outaouais. Il siège également au conseil d’administration de la coopérative d’assurance Co-operators.

La conférence d’ouverture est d’un intérêt particulier pour tout intervenant oeuvrant au développement économique et communautaire. Le thème de l’année internationale des coopératives étant « Les coopératives, pour un monde meilleur », M. Laflamme est un intervenant tout indiqué pour traiter de la question.

Le samedi 5 novembre à compter de 10 h 30, le modèle de l’École des jeunes créateurs de coopératives sera à l’étude lors d’un atelier conférence présenté par Janelle Comeau, agente de développement coopératif pour la CDR-Acadie. L’objectif de cet atelier est de vérifier s’il était possible d’implanter cette école en Acadie dont le mandat est de favoriser la relève au sein du mouvement coopératif.

En après-midi, une table ronde ayant pour thème « Produits forestiers non ligneux, une richesse à découvrir » complétera les activités du forum. Les personnes ressources seront Robert Ritchie, de la Coopérative forestière du Nord-Ouest, Martin Gagnon, directeur général de la Coopérative de développement régional du Bas St-Laurent, et Francine Ouellet, directrice générale de la Coopérative de solidarité les Basques. Les personnes participantes auront un bon aperçu de la richesse que recèlent nos forêts en matière de produits forestiers non ligneux, produits dont l’exploitation a été organisée sous une forme coopérative dans certaines régions du pays.

L’assemblée générale de la CDR-Acadie ainsi que l’assemblée générale du Fonds intercoopératif de développement – Acadie auront lieu pendant ce forum, le samedi matin de 8 heures à 10 h 15.

Les frais d’inscription sont de 125 $ pour les membres de la CDR-Acadie et de 150 $ pour les non-membres. L’inscription est sans frais pour les étudiants et étudiantes.

Renseignements et inscription : (506) 727-6377 / melvin.doiron@cdracadie.ca ou (506) 737-5193 / andre.leclerc@umce.ca
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Marie-Thérèse Seguin, professeure au Département de science politique; Lise Savoie, professeure à l’École de travail social; Maurice Rainville, professeur retraité; Anne Decerf, professeure associée à l’Université de Moncton; le recteur, Yvon Fontaine; Beatriz Carneiro Dos Santos, postdoctorante à l’Université Paris7; Lise Dubois, doyenne de la Faculté des études supérieures et de la recherche et vice-rectrice adjointe à la recherche; Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; et Marie-Andrée Pelland, professeure au Département de sociologie.
L’importance des enjeux théoriques que soulève la question de la différence des sexes
Le Laboratoire de recherche en éthique et dans les organisations de l’Université de Moncton a organisé un colloque international, intitulé « Penser la différence des sexes : que proposent les théories ? », qui a regroupé quelque 80 personnes au campus de Moncton.

Conscients de l’importance des enjeux théoriques que la question de la différence des sexes soulève, plusieurs chercheuses et chercheurs d’ici et d’ailleurs se sont réunis pour susciter une réflexion collective qui a voulu saisir ce que précisément les théories en disent. Comment l’interprètent-elles ? Quel rôle lui font-elles jouer dans la construction des psychismes et des sociétés ? Quelle fonction lui attribuent-elles dans la mise en scène du pouvoir politique ? Quelle efficacité lui découvrent-elles dans la structuration des mentalités ?

Le colloque s’est donc intéressé aux discours que les théories du lien tiennent sur cette différence essentielle, la plus fondamentale sans doute, qui impose à tout être entrant dans le monde d’y rencontrer, outre son semblable, un autre sexuellement différent capable d’attiser en lui la haine aussi bien que le désir.
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Isabelle McKee-Allain est nommée directrice par intérim de l’Institut d’études acadiennes
Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche, a annoncé la nomination d’Isabelle McKee-Allain au poste de directrice par intérim de l’Institut d’études acadiennes (IEA) de l’Université de Moncton, fonction qu’elle occupe depuis le 1er septembre.
L’IEA, dont le mandat est de promouvoir les recherches et les publications en études acadiennes au Canada et à l’international, est situé à la maison Massey au campus de Moncton.

Isabelle McKee-Allain était jusqu’en juin dernier doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales depuis 2001. Professeure titulaire au Département de sociologie, elle possède le doctorat en sociologie de l’Université de Montréal. Elle est spécialiste en études acadiennes et auteure d’une quarantaine de publications et de nombreuses communications scientifiques portant sur les groupes minoritaires, les rapports sociaux de sexes et la sociologie de l’éducation. Elle a été impliquée au sein de plusieurs comités de rédaction de revues, dont la revue internationale Recherches féministes, la revue Atlantis et la revue Égalité, en plus d’avoir été membre du premier Comité externe du Fonds de recherche en matière de politiques de Condition féminine Canada.

Membre de plusieurs comités, dont le conseil d’administration de l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques et le bureau de direction de l’Institut d’études acadiennes, ses nombreux engagements ont été soulignés par le Who’s Who of Canadian Women et le Canadian Who’s Who depuis le milieu des années 1990.
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Bernard LeBlanc reçoit le Prix de mérite de l’Association des musées du Nouveau-Brunswick
Bernard LeBlanc, conservateur au Musée acadien de l’Université de Moncton, est le récipiendaire du Prix de mérite 2011 de l’Association des Musées du Nouveau-Brunswick.

Ceux et celles qui côtoient Bernard LeBlanc connaissent très bien son intérêt pour le patrimoine et surtout son engagement pour la sauvegarde du patrimoine acadien. L’importance d’un objet ou d’un bâtiment par exemple est pour lui d’une très grande valeur. La petite histoire qui révèle tous les secrets d’un objet le passionne.

Tous s’accordent pour dire que le dévouement dont il a fait preuve depuis plus de 40 ans maintenant en ce qui a trait au patrimoine acadien est inestimable. Ses connaissances et ses élans de passion rendent tout un chacun heureux de le côtoyer ou encore de travailler avec lui.

Au fil des ans, l’artiste en lui a su créer de belles et riches expositions au Musée acadien. Et sa profonde connaissance de la collection du Musée est très précieuse pour le personnel avec qui il travaille au quotidien.
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Le professeur Donald Violette.
Une première édition des camps mathématiques de l’Acadie du Nouveau-Brunswick aura lieu à l’été 2012
L'hiver dernier, Donald Violette, professeur au Département de mathématiques et de statistique de l’Université de Moncton, a créé le Concours de mathématiques Poincaré, concours annuel de calibre national qui s'adresse aux élèves des écoles secondaires francophones du Nouveau-Brunswick qui sont inscrits dans le cours de mathématiques avancées. La première édition a eu lieu le jeudi 21 avril dernier et a connu un vif succès. Le concours consiste en un examen de trois heures comportant six questions à développement axées sur le raisonnement, l'imagination, l'originalité et la créativité. Il vise les élèves doués en mathématiques.

Phénomène unique, c'est un concours créé uniquement pour les francophones de la province. L'objectif principal est de promouvoir les mathématiques et d'encourager l'excellence chez les jeunes, tout en essayant d'implanter et de maintenir une culture mathématique en Acadie.

De plus, le Concours Poincaré sert de catalyseur à la mise sur pied de camps mathématiques annuels qui permettront aux dix meilleurs concurrents de faire des mathématiques pendant une fin de semaine avec des mathématiciens chevronnés. Pour l'instant au Canada, seuls les francophones du Nouveau-Brunswick n'ont pas accès à des camps mathématiques dans leur langue. Mais ceci va changer car le professeur Violette vient tout juste de recevoir une subvention par l’entremise de la ministre Martine Coulombe, du ministère de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail. Avec également une participation financière du privé, le professeur Violette confirme la tenue de la première édition des camps mathématiques de l'Acadie à l'été 2012. « C'est une excellente nouvelle et je suis très heureux et ravi car c'est un rêve que je caresse depuis longtemps, dit-il. De plus, ces deux projets (le Concours Poincaré et les camps mathématiques de l'Acadie) sont mes bébés car j'ai accompli seul tout le travail que de tels projets demandent. »

Ces camps s'adresseront aux élèves francophones du Nouveau-Brunswick qui sont doués en mathématiques et devraient les inciter à faire des études universitaires dans ce domaine. « Le manque d'une culture mathématique en Acadie a des conséquences négatives pour ne pas dire désastreuses sur le recrutement d'étudiants dans les programmes de mathématiques, ajoute le professeur Violette. En effet, ne pas connaître la profession de mathématicien et l'importance et l'utilité des mathématiques dans notre société contemporaine font en sorte que les jeunes qui sont doués ne sont pas incités et encouragés à se diriger en mathématiques. »

« La très grande majorité de cette clientèle est redirigée en physique, en génie ou encore en économie, ajoute M. Violette. Plusieurs conseillers en orientation ignorent qu'il y a des emplois en mathématiques à part le métier traditionnel d'enseignant à l'école secondaire. Il faut absolument changer les mentalités, renverser la vapeur et montrer aux jeunes doués que si les mathématiques les rendent heureux, alors il y a un nombre infini de possibilités dans ce domaine. C'est ce que je tente de faire depuis une vingtaine d'années en prononçant des conférences dans les écoles (près de 300 jusqu'à présent). J'ai mis tous les efforts possibles pour créer le Concours Poincaré et maintenant les camps de mathématiques. La tenue de ces camps sur une base annuelle devrait résoudre en partie ce problème particulièrement aigu en Acadie du Nouveau-Brunswick. »

Le camp devrait prendre la forme suivante : pendant une fin de semaine, une dizaine de jeunes qui aiment les mathématiques auront la chance d'assister à des conférences prononcées par des mathématiciens qui sont des professeurs d'université ou qui travaillent dans des entreprises, de participer à des jeux mathématiques, de faire des observations astronomiques, tout ceci accompagnées d'activités sociales (visite du campus, du Musée acadien, de la Galerie d'art, piscine, spectacles…). Il n'en coûtera absolument rien aux participants puisque tout sera pris en charge (logement, déplacement, repas, aucun frais d'inscription) par le professeur Violette. Des chandails avec le logo des camps et des certificats de participation seront remis à nos jeunes mathématiciens en herbe.

Professeur titulaire au Département de mathématiques et de statistique, Donald Violette est originaire de Saint-Quentin. Depuis 2001, il remet la bourse (600 $) et la médaille Dr Donald Violette d'excellence en mathématiques à l'élève de l’école secondaire A.-J.-Savoie qui obtient la plus haute note dans le cours de mathématiques avancées.

Renseignements : 858-4325 ou 4298 / donald.violette@umoncton.ca
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Contribution de deux chapitres du professeur Mohamed Touaibia dans un livre de chimie organique
Mohamed Touaibia, professeur au Département de chimie et biochimie de l’Université de Moncton, participe avec deux chapitres dans un livre consacré aux méthodologies de synthèse des carbohydrates.

Ce livre est le premier volume d’une série, intitulée « Carbohydrate chemistry : proven methods ». Il est publié chez CRC Press et édité par un professeur du National Institute of Health.

En plus d’une évaluation par les pairs, les méthodes de préparation proposées dans chaque contribution sont reproduites par des laboratoires indépendants pour tester leur efficacité. Le premier volume est disponible en librairie depuis septembre dernier (ISNB : 9781439866894).

La réalisation des méthodes de préparation des carbohydrates proposées par le professeur Touaibia a été rendue possible grâce au soutien financier de la Fondation d’innovation du Nouveau-Brunswick et du Département de chimie et biochimie de l’Université de Moncton.
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Astronomie
Il y aura une séance d'observation astronomique, le mardi 1er novembre de 19 heures à 20 heures à l’Observatoire de l’Université de Moncton situé sur le toit du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

La planète Jupiter sera visible.

Cette activité est organisée par le Département de physique et d'astronomie. Venez en grand nombre.

Renseignements : 858-4339.
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Nouvelle génération d'interfaces multimodales pour le support des systèmes de gestion des énergies renouvelables
Un nouveau projet, initié dans le cadre du partenariat Québec/Nouveau-Brunswick par le laboratoire LARIHS du campus de Shippagan et le laboratoire Synchromédia de l’École de technologie supérieure du Québec, vise à fédérer les efforts d’équipes de recherche pour offrir une nouvelle génération d’interfaces multimodales permettant un accès rapide et efficace aux systèmes de gestion de l’information énergétique.

Il répondra ainsi aux besoins de formation du personnel hautement compétent oeuvrant dans les domaines de pointe qui préfigurent l’environnement technologique à venir, celui fondé sur la prestation de services de technologie de l’information et des communications vertes.

À terme, les deux équipes veulent inclure le LARIHS dans le réseau pancanadien de l’École de technologie supérieure du Québec qui permet d’utiliser les technologies de l’information à faible empreinte de carbone. L’idée est d’exploiter la virtualisation et l’informatique infonuagique pour téléporter les traitements gourmands en énergie sur des serveurs canadiens alimentés par l’énergie verte.

Pour plus de renseignements concernant ce projet, communiquez avec Sid-Ahmed Selouani, professeur en gestion de l’information au campus de Shippagan, au 506-336-3625.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Jean-François Brown, de l’école Sainte-Anne de Fredericton ; Rebecca Hutt-Lefort, du Centre scolaire Étoile de l'Acadie, de Sydney, en Nouvelle-Écosse; Juliette Belliveau, adjointe administrative au Bureau du recrutement étudiant du campus de Moncton; et Chris Gallant, de l’école François-Buote, de Park Hillsborough, à l’Ile-du-Prince-Édouard.
Journées portes ouvertes pour les élèves du secondaire
Dans le cadre de ses activités de recrutement, l’Université de Moncton organise chaque année des journées portes ouvertes à l’intention des élèves de 12e année des écoles secondaires francophones du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse et de l’Ile-du-Prince-Édouard.

La journée comprend, en plus de l’accueil dans le gymnase du Ceps Louis.-J.-Robichaud, des cours, des activités diverses et une visite guidée du campus de Moncton en fonction de l’horaire de la faculté ou de l’école choisie par l’élève. Les jeunes sont aussi invités à se rendre au Centre étudiant pour y visiter des stands d’information portant sur les services universitaires.

Cette année, quelque 800 élèves ont visité le campus de Moncton pendant ces deux jours.
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CNFS : faciliter la prise de décision difficile en éthique clinique
Dans le cadre de son programme d’excellence professionnelle, le Consortium national de formation en santé - volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS - volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéoconférence en direct de l’hôpital Montfort, à Ottawa. Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux personnes professionnelles de la santé.

La troisième vidéoconférence de la programmation d’automne aura lieu le jeudi 27 octobre de 12 h 30 à 14 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois. La conférence, intitulée « Faciliter la prise de décision difficile en éthique clinique », sera présentée par Pierrette Fortin, doyenne adjointe des études et professeure titulaire de philosophie.

Les problèmes en éthique clinique portent sur les incertitudes et les conflits de valeurs qui relèvent d’un cas particulier. Ils peuvent surgir par exemple lorsqu’il y a une incertitude sur la nécessité ou non du traitement à prodiguer, lorsque l’équipe médicale conseille un traitement, mais que le patient ou la famille le refuse, ou encore lorsque le patient refuse un traitement mais la famille désire qu’il le reçoive. Il y a une décision difficile à prendre également lorsqu’on ne connait pas les volontés du patient concernant ses soins de fin de vie ou lorsque les membres de l’équipe médicale ne s’entendent pas entre eux (par exemple l’un considère que le traitement est nécessaire tandis que l’autre considère qu’il ne l’est pas).

Afin de minimiser les conséquences négatives associées à de telles décisions, il importe de les identifier rapidement pour ensuite les aborder sous l’angle de l’éthique clinique. Des indicateurs cognitifs, affectifs et comportementaux nous aident à les déceler, tandis qu’un processus décisionnel en éthique clinique constitue un outil facilitant la prise de décision et minimisant les conséquences négatives.

Pour s’inscrire à la vidéoconférence ou obtenir plus de renseignements, il faut communiquer avec Melissa Richard ou Stéphanie Collin, cnfs@umoncton.ca / 858-4655.

Les places sont limitées.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, le vice-président de l’Institut de l’énergie éolienne du Canada, Yves Gagnon, et le directeur général, Scott Harper, recevant le Prix R.-J.-Templin du président de l’ACEE, Robert Hornung. (AEEC).
Le prix national R.-J.-Templin a été remis à l'Institut de l’énergie éolienne du Canada
L’Institut de l’énergie éolienne du Canada (IEEC) est le récipiendaire du prix R.-J.-Templin, remis par l’Association canadienne de l’énergie éolienne (AEEC).

À titre de vice-président de l’Institut, Yves Gagnon, professeur au campus d’Edmundston et titulaire de la Chaire K.-C.-Irving en développement durable de l’Université de Moncton, a reçu ce prix en présence du directeur général, Scott Harper, lors de la réunion annuelle de l’ACEE tenue à Vancouver.

Le Prix R.-J.-Templin est décerné à une personne ou à un organisme qui a réalisé des travaux scientifiques ou techniques, ou encore des travaux sur le plan du génie et des politiques qui ont contribué de manière significative à l’avancement du secteur de l’énergie éolienne au Canada.

En plus de remplir son mandat de faire avancer le développement de l’énergie éolienne à l’échelle du pays par le biais de recherches et de démonstrations, d’essais en vue de l’homologation, de formation et d’éducation du public et de collaboration, l’Institut construit actuellement une centrale éolienne de recherche de 10 MW, qui inclura un système de stockage d’énergie branché au réseau électrique de l’Île-du-Prince-Édouard.

« Ce projet de 25 millions de dollars sera une infrastructure de recherche unique au Canada et l’une des seules du genre à l’échelle de la planète », mentionne le professeur Gagnon.

En plus de la contribution du professeur Gagnon à l’IEEC, son conseil d’administration comprend le professeur Truong Vo-Van, anciennement vice-recteur à l’enseignement et à la recherche à l’Université de Moncton, et Aldéa Landry, récipiendaire de nombreux doctorats honorifiques dont un de l’Université de Moncton.

Établi à North Cape à Île-du-Prince-Édouard, l’Institut de l’énergie éolienne du Canada est un institut indépendant de recherche et d’essai sans but lucratif. Sa mission est de faire avancer le développement de l’énergie éolienne à l’échelle du Canada par le biais de recherches et de démonstrations, d’essais en vue de l’homologation, de formation et d’éducation du public et de collaboration.

L’emplacement de l’Institut et son accès à une ressource éolienne à différentes saisons en font un excellent choix pour mettre à l’essai des systèmes éoliens de toute taille.
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Herménégilde Chiasson sera le président du jury du 25e Festival international du cinéma francophone en Acadie
Le cinéaste et artiste multidisciplinaire Herménégilde Chiasson sera le président du jury du 25e Festival international du cinéma francophone en Acadie.

M. Chiasson est considéré comme l'un des plus importants représentants de l'Acadie moderne. Il possède le baccalauréat des universités de Moncton et de Mount Allison University, le master de la State University of New York et le doctorat en esthétique de l'Université Paris I (Sorbonne). Il a été recherchiste, journaliste et réalisateur à la radio et à la télévision de Radio Canada. Il est présentement professeur d'histoire de l'art à l'Université de Moncton. Il a publié plus de 25 livres, écrit 30 pièces de théâtre, réalisé plus de 15 films et exposé son travail dans quelque 150 expositions solo ou de groupe.

Président et fondateur de plusieurs organismes culturels au Nouveau Brunswick, il a reçu plusieurs prix et distinctions pour son travail dont, tout récemment, le Prix Molson du Conseil des arts du Canada. De 2003 à 2009 il a été le 29e lieutenant gouverneur du Nouveau Brunswick.

Il sera accompagné dans sa tâche de la réalisatrice québécoise Myriam Verreault (À l'ouest de Pluton, Ma tribu c'est ma vie), du producteur belge Denis Delcampe (fondateur et directeur de NEED Productions), du producteur et réalisateur Richard Brouillette (L'encerclement La démocratie dans les rets du néo libéralisme) et du réalisateur acadien Paul Arsenault (Le Matois ou L'effet Laurie Henri, Kedgwick et Hasroun).

Le jury accordera les prix La vague dans les catégories Meilleur long métrage de fiction international, Meilleur long métrage de fiction canadien, Meilleur documentaire moyen et long métrage et Meilleure oeuvre acadienne moyen et long métrage.

Pour une première fois cette année, le FICFA aura aussi un jury pour les courts métrages, sous la présidence de Félize Frappier. Évoluant dans le milieu de la distribution en tant qu'agente de vente pour Max Films International depuis 2003, Félize Frappier s’est occupée à distribuer à l'étranger des films tels que « La Grande séduction », « La Face cachée de la lune », « Borderline » et « À l'origine d'un cri ». En 2010, elle a fait le saut en production et a joint l'équipe de Max Films pour produire le premier long métrage de Guy Édoin, « Marécages ». Le film a été présenté en première mondiale pendant la prestigieuse Mostra de Venise en compétition officielle et a été présenté en ouverture de la section Canada First du Festival international de Toronto de cette année pour sa première nord américaine.

métrage canadien, Meilleur court métrage international et Meilleure oeuvre acadienne court métrage. Mme Frappier sera assistée dans son travail par le directeur photo québécois François Gamache et par le réalisateur français Michaël Barocas (Un lit près de la fenêtre).

Le FICFA est organisé par Film Zone Inc., un organisme sans but lucratif qui a pour mission de promouvoir et de rendre accessible le cinéma de la Francophonie internationale aux francophones et francophiles de l'Atlantique tout en faisant connaître le cinéma acadien en Acadie et dans la Francophonie.

Renseignements : Audrey Rétho, au 855 6050 / communications@ficfa.com
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Jessica Zaragoza, étudiante à la maîtrise à l’UAUEH; Natalie Carrier, directrice de l’ESANEF; Amanda Peña Irecta, professeure à l’UAEH; Paul-Émile Bourque, doyen de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires; Lita Villalon, professeure à l’ESANEF; et Teresita de Jesús Saucedo Molina, professeure à l’UAEH. Benoît Bourque, directeur du Bureau des relations internationales, était absent lorsque la photo a été prise.
Lita Villalon reçoit deux professeures et une étudiante de 2e cycle de l’Université autonome de l’État d’Hidalgo
Dans le cadre d’une entente entre l’Université de Moncton et l’Université autonome de l’État d’Hidalgo au Mexique, deux professeures chercheuses de l’UAEH sont en stage de perfectionnement en recherche avec Lita Villalon, professeure à l’École des sciences des aliments de nutrition et d’études familiales au campus de Moncton. Benoît Bourque, directeur du Bureau des relations internationales, a joué un rôle important dans la signature de cette entente entre les deux universités.

Les deux professeures, Teresita de Jesús Saucedo Molina et Amanda Peña Irecta, enseignent aux programmes de nutrition de premier et deuxième cycles de l’Institut des sciences de la santé de l’UAEH. Leur séjour de trois mois est financé grâce à une bourse octroyée conjointement par le Consortium des universités mexicaines et l’UAEH.

D’autre part, Jessica Zaragoza, étudiante à la maîtrise en sciences biomédicales et de la santé, fait aussi un stage en recherche de trois mois à l’ESANEF, financé par le Conseil national des sciences et technologie du Mexique. Le programme d’étude de cette étudiante est dirigé par Dr Saucedo, en collaboration avec la professeure Villalon. Pendant son séjour, Dr. Saucedo dirigera, toujours en collaboration avec Mme Villalon, la collecte des données de l’étudiante à Moncton et fera l’analyse des données obtenues à Hidalgo du projet « Facteurs de risque associés aux problèmes de comportement alimentaire : étude comparative entre les étudiants universitaires de Moncton et d’Hidalgo ».

Pour sa part, Amanda Peña Irecta fera, en collaboration avec Lita Villalon et Teresita Saucedo, l’analyse de données du projet « Alimentation, activité physique et ostéoporose chez les personnes âgées autonomes à domicile de la région du Grand Moncton » et participera aussi à la collecte de données effectuée présentement à Moncton.

Il est important de souligner qu’il existe des activités de recherche entre l’Institut des sciences de la santé et l’ESANEF depuis trois ans, ce qui a permis un échange d’étudiante à la maîtrise entre les deux pays et la réalisation de deux projets de recherche.

Les résultats attendus de cette collaboration sont trois manuscrits issus des données obtenues à Hidalgo et à Moncton, trois présentations scientifiques à des congrès internationaux et deux thèses de maîtrise, une d'une étudiante de l’Université de Moncton et l’autre de l’Université autonome de l’État d’Hidalgo, au Mexique.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Nicole A. LeBlanc, secrétaire administrative; Bernard LeBlanc, conservateur; Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales; Alain Roberge, directeur par intérim; et Jeanne Mance Cormier, conservatrice.
Réception pour souligner le 125e anniversaire du Musée acadien
Lors d’une réception le 12 octobre dernier, les personnes invitées ont célébré le 125e anniversaire du Musée acadien de l’Université de Moncton.

On a profité de l’occasion pour rappeler des projets du Musée acadien, notamment de nouveaux rayons amovibles pour la collection, de même que les expositions qui ont été réalisées au cours de l’année : « L’Art du conte en Acadie », « Vue sur la Réserve » et « Une couverture toute unique! », ainsi que les nombreuses activités publiques qui ont été présentées, que ce soit des conférences ou encore des ateliers pédagogiques offerts aux écoles du Nouveau-Brunswick.

Lors de cette soirée qui a eu lieu au pavillon Clément-Cormier, le Musée acadien a reçu un don important de Deborah Robichaud, qui a été guide-interprète et directrice et qui est une amie fidèle du Musée depuis de nombreuses années. Elle a offert plus de 80 objets à l’effigie d’Évangéline, que ce soit dans le domaine de l’art, de la littérature, de la musique, du tourisme ou encore du commerce.

Renseignements : 858-4088 / jeanne-mance.cormier@umoncton.ca
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Semaine de la thérapie respiratoire du 24 au 28 octobre
Cette semaine souligne les personnes professionnelles de la santé que sont les thérapeutes respiratoires.

Mais au fait qui sont les thérapeutes respiratoires? Ce sont des professionnels de la santé hautement compétents qui ont une expertise médicale spécialisée servant à l’évaluation, le traitement et le maintien de la fonction cardiopulmonaire (du cœur et des poumons). Les thérapeutes respiratoires utilisent une technologie médicale avancée pour améliorer et maintenir la fonction respiratoire de tous, à partir des nouveau-nés jusqu’aux personnes âgées.

La plupart des thérapeutes respiratoires travaillent en milieu hospitalier, notamment dans les zones à risque élevé, dont les soins intensifs adultes et néonataux, l’urgence, la salle d’opération et les unités de soins généraux. Ils peuvent aussi travailler dans les cliniques pulmonaires et du sommeil, les soins à domicile, les centres de thérapie hyperbare, les compagnies privées et les centres de formation.

La thérapie respiratoire est l’un des programmes de baccalauréat appliqué et il est offert au Centre hospitalier universitaire Dr-G.-L.-Dumont. Il existe depuis 2004.

Le 24 novembre, un stand d’information portant sur la profession sera présenté de 10 heures à 14 heures dans la Rotonde de la Faculté des sciences au pavillon Rémi-Rossignol.

Julie H. Cyr, chef du département de santé au CCNB - campus de Dieppe, profite de l’occasion pour souhaiter à tous les enseignants du programme, qui sont aussi des thérapeutes respiratoires enregistrés, ainsi qu’aux étudiants et étudiantes et futurs thérapeutes une très belle semaine de la thérapie respiratoire.
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Biographie de Roméo LeBlanc proposée par Naomi Griffiths
La vie de l’ancien gouverneur général du Canada et ancien chancelier de l’Université de Moncton, Roméo LeBlanc, fait l’objet d’un livre de l’auteure Naomi S. Griffiths, intitulé « The Golden Age of Liberalism, A portrait of Roméo LeBlanc ».

Historienne, Mme Griffiths a consacré sa carrière professionnelle ainsi que de nombreuses publications à l’histoire de l’Acadie coloniale. Elle a aussi été chercheuse associée à l’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques qui lui a d’ailleurs rendu hommage en 2006 en collaboration avec les Études acadiennes de l’Université de Moncton.

Ancienne professeur d’histoire à l’Université Carleton d’Ottawa, Mme Griffiths est une amie de longue date de M. LeBlanc. Elle a d’ailleurs passé de nombreuses années à préparer cet ouvrage. Dans ses recherches, elle a étudié les archives personnelles de M. LeBlanc en plus de bénéficier de la collaboration de sa famille et de ses amis.

Roméo LeBlanc est né à Memramcook en 1927. Il a entrepris sa carrière comme enseignant avant de s'orienter vers le journalisme. Puis, il a accepté de faire le saut en politique à titre de secrétaire de presse du premier ministre libéral Lester B. Person dans les années 1960. Il a occupé le même poste sous l'administration de Pierre-Eliott Trudeau de 1968 à 1972.

En 1972, il est élu à la Chambre des communes en tant que député de la circonscription de Westmorland-Kent. Il deviendra par la suite ministre des Pêches. En 1983, M. LeBlanc est nommé sénateur et dix ans plus tard, il occupera le poste de président du Sénat. En 1995, il devient le premier acadien à être nommé au poste de gouverneur général du Canada, un poste qu’il occupera pendant quatre ans.

M. LeBlanc est décédé en 2009 à la suite d'une longue maladie.

Cet ouvrage, dont la préface est signée par Jean Chrétien, couvre toute la vie professionnelle de M. LeBlanc, en commençant par ses années en tant que jeune journaliste, en passant par ses premiers pas comme député dans le gouvernement Trudeau et le temps qu'il a passé à Rideau Hall comme gouverneur général. Il décrit le travail en coulisses des gouvernements libéraux de Pearson, Trudeau et Chrétien grâce à des expériences vécues par M. Leblanc. L’auteure porte une attention particulière à l’héritage acadien de M. LeBlanc comme motivation à tout ce qu’il a accompli.

Le livre de Naomi Griffiths sera bientôt disponible à la Librairie acadienne du campus de Moncton.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Gaëtane Nadeau, Gilles G. Nadeau, Neil Michaud, Conrad Coughlan, le recteur Yvon Fontaine, Martin Waltz, Bernard Poirier et Richard Boulanger, directeur du Département de musique de l'Université de Moncton.
Le Choeur Neil-Michaud fait un don de 25 000 $ au Fonds de bourses Neil-Michaud
Le Choeur Neil-Michaud a ajouté une contribution de 25 000 $ au Fonds de bourses Neil-Michaud, une somme qui bénéficiera grandement aux étudiantes et étudiants du Département de musique au campus de Moncton.

En 1990 lors de retrouvailles d’anciens choristes ayant œuvré sous la direction de Neil Michaud, un projet a été mis sur pied pour aider financièrement des étudiantes et étudiants inscrits au Département de musique de l’Université de Moncton, tout en rendant hommage à Neil Michaud pour son dévouement envers la musique et le chant choral. Le Fonds de bourses Neil-Michaud était créé.

Une partie des recettes provenant des enregistrements réalisés depuis par le Chœur Neil-Michaud est versée au Fonds de bourses Neil-Michaud et des bourses sont accordées annuellement.

Pour souligner le 20e anniversaire de ce fonds de bourses, le Chœur Neil-Michaud a choisi cette année le recteur et vice-recteur de l’Université de Moncton, Yvon Fontaine, comme la personnalité honorée lors de son « bien cuit » annuel qui a eu lieu en avril dernier. L’objectif visé était d’augmenter substantiellement le Fonds de bourses Neil-Michaud et grâce à la générosité des personnes présentes à la soirée du « bien cuit » et à la généreuse contribution d’amis du Chœur Neil-Michaud, un montant de 25 000 $ a été remis au Fonds de bourses Neil-Michaud qui est administré par l’Université de Moncton.

Le Fonds de bourses Neil-Michaud est un fonds en dotation, c'est-à-dire que le capital est conservé et investi à perpétuité et seulement les intérêts sont accordés en bourses. Depuis 1994-1995, des bourses variant entre 500 $ et 1 600 $ ont été accordées pour permettre à des jeunes de se préparer à une carrière en musique et en chant.

Ce don au Fonds de bourses Neil-Michaud permettra à d’autres jeunes talents prometteurs de se faire connaître et ainsi, la tradition d’excellence si chère à Neil Michaud se poursuivra.
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Quatre nouveaux diplômes au programme de la maîtrise en études de l’environnement
Lors de la cérémonie de collation des diplômes qui a eu lieu le 21 octobre, l’Université de Moncton a décerné quatre diplômes à des finissantes et finissants du programme de la maîtrise en études de l’environnement : Maryse Cousineau, David Dussault, Corinne Guindon et Nicolas Tartibu.

Selon Céline Surette, directrice du programme, depuis 1997, quelque 85 personnes ont obtenu leur diplôme à la MEE, une moyenne de 5,7 finissants et finissantes par année. « Ce programme interdisciplinaire est innovateur à l’Université de Moncton parce qu’il regroupe des étudiants et étudiantes provenant de tous les champs disciplinaires et de toutes les facultés en plus d’un corps professoral des trois campus », dit-elle.

Les finissants et les finissantes de la MEE trouvent des emplois dans des milieux aussi variés qu’Énergie NB, Radio-Canada, l’Éco Centre Irving, le ministère de l’Agriculture et de l’Aquaculture, le ministère des Pêches et des Océans, Environnement Canada, plusieurs ONGE, les entreprises de recyclage, les usines de traitement de l’eau potable et des eaux usagées, les municipalités, les universités, les collègues communautaires ainsi que les firmes de consultants en environnement.

Renseignements : 858-4498.
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Exercice pédagogique du Département d’art dramatique
Dans le cadre de son prochain exercice pédagogique, le Département d’art dramatique de l’Université de Moncton présente « Cul de sac », de l’auteur canadien Daniel MacIvor dans une traduction de l’auteure québécoise Fanny Britt, du vendredi 2 au mardi 6 décembre à 20 heures au studio théâtre La Grange du campus de Moncton.

Originaire du Cap Breton et domicilié à Toronto, Daniel MacIvor est sans doute l’un des auteurs les plus surprenants de la dramaturgie canadienne avec certains textes écrits pour un seul acteur et que lui-même interprète avec brio. « Cul de sac » s’inscrit dans cette démarche solo et, comme la plupart de ses œuvres, raconte une histoire éclatée dont la trame se tisse et se précise au fur et à mesure que la pièce avance.

« Une nuit pluvieuse. À 2 h 2 du matin, on entend un son, un son étrange et sourd, un son pas très familier mais un son très, très humain qui provient du voisinage et passe à travers la chambre de Joy et Eddy qui se chamaillent; le toit de la diva Virginia, le mur de béton de la forteresse du sous-sol de Madison qui a 13 ans, respirant le mécontentement et à travers l’esprit drogué et rageur d’Éric, jeune gigolo en visite de l’autre côté de la ville. Leonard, le conteur de l’histoire, nous emmène à travers ce récit jusqu’à ses derniers moments sur Terre. »

Troisième texte solo pour la scène de Daniel MacIvor, « Cul de sac » nous montre une fois de plus la virtuosité avec laquelle l'auteur recrée tout un univers, une trame dramatique et des dialogues tout à fait éblouissants. Spectacle solo, tragi-comédie et tour de force d’interprétation, « Cul de Sac » met en scène toute une série de personnages interprétés par Ludger Beaulieu. La mise en scène est signée par la professeure Marcia Babineau.

Le prix des billets est de 10 $ ou 5 $ pour les étudiants. On peut se les procurer à la Librairie acadienne et au guichet du théâtre avant chaque représentation.

Réservations : 858-4404 ou 858-4471.
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Exposition sur l’Arménie à la Bibliothèque Champlain
Une exposition, intitulée « Mosaïque de l'Arménie médiévale à travers l'artiste Paradjanov, le poète Sayat Nova » est en montre jusqu’au 6 novembre dans le sous-sol de la Bibliothèque Champlain.

Cette exposition a été réalisée en collaboration avec la professeure Sylvia Kasparian, présidente et directrice artistique du Festival arménien de Moncton.

Visitez l'Arménie en prenant connaissance des objets et des documents célébrant la richesse et la diversité de sa culture et de son histoire.





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Dans la photo, Dominique Fontaine est accompagnée de Robert L. LeBlanc, vice-doyen de la Faculté de droit, à gauche, et de Luc J. Elsliger, avocat chez Stewart McKelvey à Moncton. Benjamin Curties était absent lorsque la photo a été prise.
Prix Stewart McKelvey
Dominique Fontaine, de Shediac, et Benjamin Curties, de Calgary en Alberta, ont remporté le Prix Stewart McKelvey pour l’année universitaire 2010-2011, attribué par le cabinet Stewart McKelvey à l’étudiant ou étudiante de l’Université de Moncton qui obtient la note la plus élevée dans le cours « Sociétés commerciales ». Exceptionnellement cette année, ce prix est accordé à deux personnes.
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Fondation symphonique de Moncton
La prochaine réunion ordinaire de Moncton Symphony Foundation\la Fondation symphonique de Moncton inc. aura lieu le mardi 15 novembre à 16 h 30. C'est un organisme sans but lucratif qui soutient la Symphonie du Nouveau-Brunswick, l'Orchestre des jeunes du Nouveau-Brunswick et la musique classique dans la grande région de Moncton.

Ce groupe de bénévoles consacre également ses activités à la musique dans les écoles et à l’attribution de bourses d'études en musique destinées aux finissants et finissantes des écoles secondaires.

Pour plus de renseignements, communiquez avec Holly Waltz, présidente de Moncton Symphony Foundation Inc.\la Fondation symphonique de Moncton Inc., au 372-5386.

On dîne en ville
La Fondation symphonique de Moncton offre encore cette année le livret Dining Out\On dîne en ville, qui contient des offres de deux repas pour le prix d’un à d’excellents restaurants dans la région. Quel beau cadeau à offrir à quelqu’un de spécial. Tous les profits de la vente des livrets sont consacrés au soutien de plusieurs activités musicales de la région, notamment la Symphonie du Nouveau-Brunswick et l’attribution de bourses aux finissants et finissantes des écoles secondaires de la région.
Pour obtenir plus de renseignements ou encore vous procurer des livrets : 372-5386, 389-8265,862-1082 ou 382-8598.
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Christian Gaudet et Marie-Pier Arsenault sont choisis athlètes de la semaine
Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton de l’Université de Moncton a choisi les hockeyeurs d’une première saison universitaire Christian Gaudet, de Memramcook, et Marie-Pier Arsenault, de Bonaventure, au Québec, comme les athlètes Antonio’s Pizza de la semaine pour la période du 17 au 23 octobre.

La recrue Christian Gaudet a connu toute une fin de semaine lors des deux victoires des Aigles Bleus aux dépens des Axemen d’Acadia University et des Tigers de Dalhousie University. Joueur plutôt défensif, Gaudet a récolté trois buts et autant de passes lors des deux rencontres. Il a également remporté 80 pour cent de ses mises en jeu, une efficacité qui a été déterminante lors des deux gains de siens.

La recrue Marie-Pier Arsenault a marqué quatre buts à sa première partie en carrière universitaire dans la victoire des Aigles Bleues aux dépens les Tommies de St. Thomas University dimanche. Elle en a réussi trois dans une période dont un en avantage numérique. Elle a dominé sur la glace avec ses coéquipières Natalie Cormier et Johannie Thibeault. Elle avait raté la partie inaugurale et la plupart de matches en saison préparatoire en raison d’une blessure.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, assis : Jonathan Chiasson, de Saint-Simon, 2e année, bourse de mérite de 2 500 $; Marie-Pierre Dionne, d’Edmundston, 2e année, bourse de mérite de 2 000 $; Tim Bell, de Moncton, 3e année, bourse de mérite de 2 000 $; Monica Plourde, d’Edmundston, 2e année, bourse de mérite de 5 000 $; Alexandra Savoie, de Balmoral, 3e année, bourse de mérite de 5 000 $; et Marie-Josée Ouellette, de Grand-Sault, 3e année, bourse de mérite de 2 500 $; 2e rangée : Pierre-Luc Chiasson, de Bas-Caraquet, 1re année, bourse de recrutement de 6 000 $; Marie-Chantale Benoit, de Baie du Petit-Pokemouche, 1re année, bourse de recrutement de 1 000 $; Émilie Godbout-Beaulieu, de Moncton, 1re année, bourse de recrutement de 5 000 $; Maryse Nadeau, d’Edmundston, 1re année, bourse de recrutement de 8 000 $; Pierre-André Thériault, de Moncton, 3e année, bourse de mérite de 3 000 $; Karine Le Breton, de Petit-Rocher, 1re année, bourse de recrutement de 2 000 $; Johannie Doiron Robichaud, de Pont-Lafrance, 2e année, bourse de mérite de 3 000 $; Me Christa Bourque, représentante de la Fondation pour l’avancement du droit au Nouveau-Brunswick; Brittany Sullivan, de Miramichi, 1re année, bourse de recrutement de 1 000 $; Sarah Reardon, de Saint-Jean, 1re année, bourse de recrutement de 2 000 $; Janik Collette, de Bouctouche, 1re année, bourse de recrutement de 1 000 $; Cinthia Jean, de Saint-Léolin, 1re année, bourse de recrutement de 10 000 $; Gabrielle Doucette, de Moncton, 1re année, bourse de recrutement de 1 000 $; et Robert L. LeBlanc, vice-doyen de la Faculté de droit.
Bourses de la Fondation pour l'avancement du droit au Nouveau-Brunswick
La Fondation pour l’avancement du droit au Nouveau-Brunswick a offert des bourses de mérite et de recrutement d’une valeur de 62 000 $ à 18 étudiantes et étudiants de la Faculté de droit de l’Université de Moncton.
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Conférence des éducateurs et éducatrices de l’Atlantique
Du 27 au 29 octobre, la Faculté des sciences de l’éducation est l’hôte de la Conférence des éducateurs et éducatrices de l’Atlantique. Ayant pour thème « Relever les défis de la diversité dans nos salles de classe », cette conférence permettra d’amorcer un dialogue portant sur la diversité dans son ensemble et en ciblant différents facteurs dont les problèmes d'apprentissage, l’inclusion scolaire ou encore les défis qui se présentent dans les écoles pour les nouveaux immigrants et immigrantes.
Les conférenciers d’honneur sont Kate Tilleczek, titulaire d’une chaire de recherche en éducation à la University of Prince Edward Island, et le professeur Viktor Freiman, de la Faculté des sciences de l’éducation du campus de Moncton.
Le comité organisateur est composé des professeurs Mireille Leblanc, Nicole Lirette-Pitre et Robert Baudouin et du doyen Jean-François Richard.
Renseignements : 858-4400.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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CRDE : entre injonction globale et réalisation locale – vers l’inclusion scolaire dans le canton de Vaud en Suisse
Le Centre de recherche et de développement en éducation vous invite à assister à une causerie-midi présentée par Serge Ramel et Patrick Bonvin, tous deux professeurs formateurs à la Haute École pédagogique de Vaud en Suisse, le mardi 1er novembre entre midi et 13 h 15 dans le local B-119 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

En Suisse comme ailleurs, le mouvement vers l’inclusion scolaire ne cesse de prendre de l’ampleur, tant sur la scène politique que dans les pratiques de terrain. Cette évolution ne se fait pas sans questionnements, sans heurts et sans contradictions.

Lors de la causerie, cette évolution sera retracée dans le cas du canton de Vaud (province de Suisse francophone), en proposant tout d’abord le contexte « macrologique » dans lequel se développe une injonction plus ou moins claire vers l’inclusion scolaire, au travers des réformes actuelles tant au niveau national que cantonal.

Ce processus - tout comme ses aspects contradictoires - est notamment rendu visible par l’évolution terminologique (textes de loi) : leurs implications possibles pour les pratiques de formation des enseignants et d’enseignement.

Dans un deuxième temps, on examinera les initiatives actuelles de mise en œuvre de l’inclusion dans les établissements du canton, l’évolution des pratiques dans un contexte de contraintes structurelles et les questions qu’elles posent. On fera état de projets de recherche-action ou d’accompagnement d’établissements actuellement en cours ou en projet. Enfin, on discutera des implications pour la recherche, la formation des enseignants et la mise en oeuvre de l’inclusion, tant au niveau des établissements que politique.

Renseignements : 858-4277 / www.umoncton.ca/crde
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