Vol. 42, no 06
13 octobre 2011
L’Université de Moncton décernera quatre grades honorifiques lors de la 59e cérémonie de Collation des diplômes
L’Université de Moncton décernera un doctorat honorifique et trois éméritats à des personnes qui se sont distinguées grâce à un apport exceptionnel à leur domaine respectif. Les titres honorifiques seront remis lors de la cérémonie de Collation des diplômes qui aura lieu le vendredi 21 octobre à 14 heures au gymnase du Ceps Louis-J.-Robichaud au Campus de Moncton.

Yvon Fontaine, recteur et vice-chancelier, remettra un doctorat d’honneur ès lettres à l’écrivain et essayiste John Ralston Saul. Réal Allard et Catalina Ferrer deviendront professeur et professeure émérites en sciences de l’éducation alors que Roger Bourque recevra un éméritat en administration des affaires.
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John Ralston
John Ralston Saul devient docteur d’honneur ès lettres
Né à Ottawa, John Ralston Saul est un écrivain, essayiste et philosophe bien connu au Canada et à l’étranger. Il a étudié à l'Université McGill et au King's College de Londres où il a obtenu le doctorat.

Fervent défenseur de la liberté d'expression, monsieur Saul est considéré comme l’un des grands intellectuels du Canada. Il a exercé une influence croissante sur la pensée politique et économique contemporaine. Il a signé une dizaine d’essais portant sur des questions philosophiques, culturelles et linguistiques. Il est également l’auteur de cinq romans et ses œuvres ont été traduites dans plus de 20 langues dans 30 pays. Ses travaux lui ont d’ailleurs valu de nombreuses récompenses nationales et internationales.
De tous ses livres, c’est sa trilogie philosophique qui est la mieux connue : « Les bâtards de Voltaire : La dictature de la raison en Occident » (1992); « Le Compagnon du doute » (1994) et « La civilisation inconsciente » (1995). Il a par la suite publié une réflexion sur cette trilogie, « Vers l'équilibre : six qualités du nouvel humanisme » (2001).

Dans l’un de ses livres les plus récents, « Mon pays métis » (2008), il poursuit son exploration de la psyché canadienne. Il défend dans cet essai l’idée que nous formons une société métisse, construite sur les principes amérindiens de paix, de justice et de bon gouvernement.
Monsieur Saul est directeur de la collection Extraordinary Canadians, publiée chez Penguin, une série de 18 biographies de grands personnages canadiens écrites par des auteurs contemporains de renom. Son dernier livre, une biographie de Louis-Hippolyte LaFontaine et Robert Baldwin, est sa contribution à cette collection.

John Ralston Saul est l’un des principaux catalyseurs de la création du Festival Frye, le seul festival littéraire international bilingue au Canada et avec lequel l’Université de Moncton et la Faculté des arts et des sciences sociales ont développé des relations fructueuses.

Il siège au sein de nombreux organismes nationaux et internationaux. Il est notamment fondateur et président honoraire de « Le Français pour l'Avenir / French for the future », un organisme qui fait la promotion du français auprès des élèves du secondaire, et fondateur et président du conseil consultatif de la série de conférences LaFontaine-Baldwin, qui encourage le débat sur une approche égalitaire et inclusive de notre démocratie. Il est Compagnon de l'Ordre du Canada et Chevalier des arts et des lettres de France.
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Réal Allard devient professeur émérite en sciences de l’éducation
Possédant le Doctorat en psychologie de l’Université de Montréal, la Maîtrise en psychologie, le Baccalauréat en éducation et le Baccalauréat ès arts de l’Université d’Ottawa, Réal Allard fait figure de pionnier à la Faculté des sciences de l’éducation.
Monsieur Allard a joint le corps professoral de l’Université de Moncton en 1969. Professeur titulaire à la Faculté des sciences de l’éducation depuis 1989, il a joué un rôle déterminant dans le développement de la recherche en éducation au Nouveau-Brunswick. Il a été directeur du Centre de recherche et de développement en éducation pendant plus de dix ans et il a été aux premières loges lors de la création du doctorat en éducation.

Très actif en recherche, il a signé plus de 40 articles arbitrés, 25 chapitres de livres et près d’une quarantaine de monographies. De plus, il a agi comme arbitre pour plusieurs revues savantes, canadiennes et internationales. La majorité de ses recherches ont été réalisées dans quatre champs d’études, le développement bilingue en milieu minoritaire, l’insertion socioprofessionnelle des jeunes, l’intention de devenir entrepreneur et les projets postsecondaires des élèves des communautés de langue officielle (francophone et anglophone) en situation minoritaire.

Dans chacun de ces domaines, il a participé à l’élaboration de modèles théoriques, soit le Modèle des déterminants du bilinguisme additif et du bilinguisme soustractif, le Modèle macroscopique des facteurs déterminants de l’insertion socioprofessionnelle des jeunes, et le Modèle macroscopique des déterminants sociaux et psychologiques de l’intention de devenir entrepreneur. Le quatrième modèle développé étudie les relations entre les vécus familiaux, scolaires et communautaires et les intentions de poursuivre des études postsecondaires.

Véritable sommité des questions relatives à l’éducation en milieu minoritaire francophone, l’expertise de monsieur Allard a été reconnue tant à l’échelle régionale que nationale et internationale. Il a été invité à présenter plus d’une centaine de communications scientifiques aux quatre coins du monde au cours des trois dernières décennies.

On reconnaît chez monsieur Allard une curiosité et un désir de perfectionnement constants. Ces caractéristiques essentielles d’un excellent formateur se sont manifestées tout au long de sa carrière. Exigeant, il incite ses étudiantes et ses étudiants à se dépasser. Sa capacité à favoriser l’éclosion d’un esprit critique du corps étudiant constitue l’une de ses principales forces, particulièrement dans les cours du troisième cycle.

Le professeur Allard a été membre du conseil de la Faculté des études supérieures et de la recherche, président du conseil d’administration du CRDE, membre du Comité des études supérieures (doctorat) en éducation et membre du Comité des études supérieures et de la recherche de la Faculté des sciences de l’éducation. Il a siégé à de nombreux comités facultaires, départementaux et syndicaux. Il a agi comme consultant sur des dossiers spécifiques auprès du vice-recteur à l’enseignement et à la recherche et du vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines.

Il a été membre fondateur du Conseil de l’aménagement linguistique du Nouveau-Brunswick, du groupe Solidarité Acadie-Québec et du Réseau d’appui à l’intégration des enfants des ayants droit au système éducatif francophone.

En tant que professeur associé depuis 1998, il est toujours un contributeur important aux études supérieures en éducation et en orientation. Il codirige actuellement cinq thèses de doctorat, dirige la revue Minorités linguistiques et société et il est chercheur associé au CRDE et à l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques.
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Catalina Ferrer devient professeure émérite en sciences de l’éducation
La professeure Catalina Ferrer possède le Baccalauréat en éducation préscolaire de l’Université du Chili et la Maîtrise ès arts (mention psychopédagogie) de l’Université Laval. Elle a fait des études de 3e cycle en éducation à la Universidad Academia Humanismo Cristiano au Chili.

À la suite du coup d’État au Chili en 1973, elle immigre au Canada où elle a poursuivi ses études avant de devenir chargée de cours et assistante de recherche à l’Université Laval.

C’est en 1979 qu’elle joint le corps professoral de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton. Elle enseignera principalement au niveau du Baccalauréat en éducation préscolaire et du Baccalauréat en éducation primaire et secondaire. Elle donnera aussi des cours au niveau de la maîtrise. Depuis 2005, elle est professeure associée.

Guidée par sa passion pour l’éducation, la professeure Ferrer est devenue une pionnière dans le domaine de l’éducation préscolaire au Nouveau-Brunswick et une chef de file dans le domaine de la pédagogie jouissant d’une renommée internationale. Pendant plus de 30 ans, elle a pu transmettre sa passion inébranlable pour l’éducation à plusieurs générations d’étudiantes et d’étudiants, tout comme sa foi en la vie et en la possibilité d’un monde meilleur ainsi que sa conviction profonde dans notre pouvoir de la transformer ensemble.

À la Faculté des sciences de l’éducation, elle a non seulement donné plus de 20 différents cours, elle en a développé de nouveaux en matière d’éducation aux droits de la personne et d’éducation à la citoyenneté.

Elle a été responsable du Groupe de recherche sur l’éducation dans une perspective mondiale pendant 13 ans. Elle a été l’instigatrice du Centre de documentation en éducation planétaire et dans l’élaboration d’un projet éducatif de la Faculté, soit la pédagogie actualisante.

Madame Ferrer a réalisé l’ensemble de ses projets de recherche dans le but de contribuer à la transformation de l’éducation universitaire, scolaire et préscolaire. Dans cet esprit, elle a conçu deux modèles théoriques-pratiques : le modèle d’éducation à la citoyenneté démocratique dans une perspective planétaire pour la formation universitaire, et le modèle d’éducation pour les droits humains et la paix à l’école, du préscolaire à la 12e année.

Elle est l’auteure de plus d’une cinquantaine de publications arbitrées et de deux guides pédagogiques pour l’école.

Oratrice appréciée, la professeure Ferrer a donné une centaine de communications scientifiques et de nombreuses conférences en Atlantique, en Ontario et au Québec ainsi que sur la scène internationale, en Bolivie, au Chili en Espagne et en France. Elle a aussi animé plusieurs stages de perfectionnement organisés par l’Association canadienne d’éducation de langue française. Elle est l’instigatrice de nombreux colloques portant sur les défis en éducation et elle a collaboré étroitement avec le ministère de l’Éducation du Nouveau-Brunswick et d’autres organismes à vocation éducative.

Sa contribution professionnelle en enseignement et en recherche a été soulignée dans trois ouvrages majeurs dont « Femmes pédagogues du 20e et du 21e siècle ». Ce livre, publié en France sous la direction de Jean Houssaye, consacre un chapitre à l’œuvre de madame Ferrer.

Elle a été très active auprès d’organismes œuvrant dans le domaine de l’éducation et des droits humains, notamment la Coalition pour les droits des enfants et des jeunes au N.-B., le Réseau acadien de solidarité internationale, le Centre atlantique des droits humains, le Conseil francophone d’éducation interculturelle, Développement et Paix ou encore Solidarité avec les peuples de l’Amérique latine.

Catalina Ferrer a été une très grande éducatrice au sens le plus noble de la fonction d’éduquer, soit celle de conduire, d’élever et de former.
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Roger Bourque devient professeur émérite en administration des affaires
Pendant plus de 30 ans, Roger Bourque a fait preuve d’excellence en enseignement et a contribué au rayonnement de l’Université de Moncton en occupant des fonctions administratives et en s’impliquant au sein de sa communauté.

Il a notamment été directeur du Département de comptabilité pendant deux mandats et vice-doyen de la Faculté d’administration pendant deux mandats également. Tout au long de sa brillante carrière, il a démontré une capacité de conseiller et de guider les étudiantes et les étudiants, de même qu’un intérêt marqué pour leur réussite.

Il a été pour plusieurs un véritable modèle et un mentor. Plusieurs étudiantes et étudiants n’hésitent pas à dire qu’ ils ont reçu le titre de comptable général accrédité grâce à son encouragement et à son encadrement.

Le professeur Bourque a été coauteur du livre « Posséder mon entreprise : une approche dynamique à la création d'une entreprise » et du guide pour réaliser le plan d’affaires ainsi que du manuel d’évaluation utilisé dans le cours « Posséder mon entreprise ». Il a d’ailleurs joué un rôle clé dans la mise sur pied de ce cours fort apprécié, diffusé à la télévision au Canada atlantique et qui a été suivi par plus de 6 000 personnes. Ce projet majeur, réalisé en collaboration avec l’Université Laval, avait alors obtenu un financement de 500 000 $ des instances gouvernementales.

Monsieur Bourque a été l’instigateur des premiers projets de mobilité étudiante internationale de la Faculté d’administration, en collaboration avec l’Université de Poitiers. En 1992, il a mis sur pied un programme d’échange étudiant pour des stages en entreprise. Il a également instauré un programme d’échange étudiant similaire avec Saint-Pierre-et-Miquelon.

Soucieux de la réussite des étudiantes et des étudiants, il s’est fortement impliqué dans le programme de bachotage de l’Association des comptables généraux accrédités du Canada. Conséquemment, le taux de réussite à l’examen national des CGA a été de 100 % pour de nombreuses années. Grâce à sa participation active au sein l’Association des comptables généraux accrédités du Nouveau-Brunswick, il a favorisé le développement de la Faculté d’administration. Il a été un ardent défenseur du français en affaires et en comptabilité au Nouveau-Brunswick.

Très actif au sein de sa Faculté, il a notamment été secrétaire du Conseil de la Faculté d’administration et secrétaire du Département de comptabilité, tout comme responsable du comité social, membre du comité de la bibliothèque, responsable du comité CGA, responsable des relations avec les associations comptables CA et CMA et membre du Comité de recrutement étudiant.

Le professeur Bourque a été très impliqué au sein de son association professionnelle. Il a été membre du conseil d’administration de l’Association des comptables généraux accrédités du Nouveau-Brunswick de 1981 à 1985 avant de prendre la présidence en 1986. Il a également été membre du Comité national de recherche de CGA Canada en 1984 et a siégé au Comité de formation professionnelle de CGA Canada en 1986. Il a été membre du conseil d’administration et de l’exécutif de CGA Atlantique en 1987 et a siégé au sein du Comité des normes comptables de CGA Canada la même année.

En 1990, sa contribution exemplaire a été soulignée formellement par l’Association des comptables généraux accrédités du Canada qui lui a décerné la désignation FCGA (Fellow), attribuée à l’échelle nationale aux personnes ayant contribué de façon exceptionnelle au développement de la profession comptable au Canada. Il a été nommé membre à vie en 2002.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : Rémi Gaudet, président de l’Association des étudiantes et étudiants de la Faculté d’administration; Michelyne Paulin, directrice régionale en Atlantique au ministère des Affaires étrangères et du commerce international; Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales; et Lucille Landry, responsable du Service de la mobilité internationale ; 2e rangée : Benoît Bourque, directeur du Bureau de relations internationales, Omar Meftah El Khair, président de l’Association des étudiantes et étudiants internationaux; Roger Boulay, directeur des Services aux étudiants et étudiantes; Ghislain LeBlanc, président de la Fédération étudiante du campus de Moncton; Olivier Doiron, vice-président aux activités sociales au sein de la Féécum.
Lancement du programme de Passeport international à l’Université de Moncton
Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, a procédé au lancement du programme de Passeport international de l’Université de Moncton dans le cadre des 5e Journées du commerce international qui ont eu lieu du 4 au 6 octobre à la Faculté d’administration du campus de Moncton.

« Ce programme de passeport international a comme objectif d’enrichir le programme d’études des étudiants et étudiantes en leur apportant des connaissances, compétences et habiletés en interculturel et à l’international qui leur permettront d’améliorer leur communication interculturelle, leur sensibilité aux autres cultures, ainsi que leur employabilité, estime Mme Lord. Toutes les activités constituant le programme auront donc une saveur internationale. »

Ce programme est offert aux étudiants et étudiantes de tous les cycles et des trois campus et peut être complété tout au long de leur séjour de l’Université de Moncton. Il consiste à accumuler des points au moyen d’ateliers, de conférences, de présentations, de bénévolat, de séjour à l’international ou encore d’activités d’intégration internationale qui permettront à l’étudiant ou étudiante d’obtenir un certificat attestant qu’il ou elle a acquis des connaissances et des compétences en interculturel lors de ses études.

Cette présentation de Mme Lord a été précédée d’un défilé des drapeaux des communautés internationales présentes à l’Université de Moncton et suivie d’une conférence de Michelyne Paulin, directrice régionale en Atlantique, qui a parlé des programmes et activités du ministère des Affaires étrangères et du commerce international.

Renseignements : 858-4455 / vraei@umoncton.ca
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Stéphanie Ward sera la porte-parole des finissantes et finissants
Stéphanie Ward, finissante au baccalauréat en nutrition, a été choisie porte-parole des finissants et finissantes lors de la 59e Collation des diplômes de l’Université de Moncton, qui aura lieu le vendredi 21 octobre dans le gymnase du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton.

« C’est un grand honneur et je me sens très privilégiée d’avoir été choisie pour remplir cette fonction », dit-elle.

Dans son allocution, Stéphanie souhaite transmettre un message de détermination et de persévérance à ses collègues finissants. « Il y aura toujours des obstacles dans la vie, des moments de doute, de questionnement. Il est important d'avoir confiance en nos habiletés, de foncer et de ne pas nous laisser paralyser par nos doutes. Il ne faut pas avoir peur de prendre les chemins les moins fréquentés. »
Avide de connaissances et passionnée du travail en santé communautaire, Stéphanie a participé à de nombreux ateliers portant sur la nutrition offerts dans la communauté parallèlement à ses études, qu’il s’agisse du traitement des désordres alimentaires, de l’obésité chez les enfants ou encore de la nutrition sportive.

Au cours de ses études de baccalauréat, Stéphanie a été très engagée dans la vie étudiante. Elle a été étudiante mentor dans le cadre du Programme d’appui à la réussite et coordonnatrice au campus de Collège Frontière, un organisme national d’alphabétisation. Elle a été ambassadrice du programme de nutrition du Consortium national de formation en santé et membre du comité organisateur du Mois de la nutrition.

Elle a également été l'une des instigatrices du comité Mondial solidarité dont l’objectif est de donner la chance à des étudiantes et étudiants universitaires de participer à un projet humanitaire à l'international. En 2010, Stéphanie a elle-même pris part à une mission humanitaire à Cuzco, au Pérou.

Grande sportive, Stéphanie a pris part à plusieurs demi-marathons, dont un à Reykjavik en Islande, une expérience qui lui a permis de combiner sa passion de la course et celle du voyage.

L’Université de Moncton a souligné son engagement exemplaire en lui attribuant la Bourse d’excellence Roméo-LeBlanc et la Bourse de leadership.

Stéphanie a entrepris des études de deuxième cycle en sciences cliniques de type recherche avec spécialisation en santé communautaire.
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La photo, prise lors du départ du Centre étudiant, nous fait notamment voir, de gauche à droite, à l’avant : Ghislain LeBlanc, président de la Fédération étudiante du campus de Moncton; Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales; le professeur Egbert McGraw, directeur du Centre de commercialisation internationale; Rémi Gaudet, président de l’Association des étudiantes et étudiants de la Faculté d’administration; et Mohamed Taha Maarous, vice-président interne de l'Association des étudiantes et étudiants de la Faculté d'administration.
Défilé des drapeaux
Dans le cadre des 5e Journées du commerce international qui ont eu lieu du 4 au 6 octobre au campus de Moncton, le Centre de commercialisation internationale de la Faculté d’administration a organisé une série de conférences et d’activités dont un défilé des drapeaux des communautés internationales présentes à la Faculté d’administration.
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Une subvention de 293 000 $ obtenue des IRSC
Une subvention de fonctionnement de 293 000 $ des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) a été accordée à France Rioux, professeure en sciences de la nutrition à l’Université d’Ottawa et ancienne professeure de l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales de l’Université de Moncton, Sylvain Fiset, professeur titulaire de psychologie au campus d’Edmundston, et Marc Surette, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en métabolisme cellulaire des lipides et professeur titulaire au Département de chimie et biochimie du campus de Moncton.

Cette subvention qui sera gérée à l’Université d’Ottawa est le renouvellement d’une subvention de 240 000 $ obtenu par ces trois professeurs en 2006.

L’équipe se propose de poursuivre ses travaux de recherche portant sur l’impact de la déficience en fer maternelle sur le développement du système nerveux central (SNC) de la progéniture. Les enfants qui souffrent d’une déficience en fer après la naissance sont plus à risque de développer des problèmes d’apprentissage et de comportement. Cependant l’impact de la déficience en fer durant la grossesse sur le développement du SNC est moins connu.

Un modèle animal, le cochon d’inde, est utilisé pour ces études expérimentales. Comme chez l’humain, le développement du cerveau du cochon d’inde connaît une croissance rapide pendant la période gestationnelle, ce qui permet d’étudier l’impact des manipulations nutritionnelles sur le développement du SNC de la progéniture dans un modèle qui se rapproche à l’humain. Ce groupe de recherche a démontré qu’une carence maternelle en fer a un impact sur le comportement de la progéniture puisque les nouveau-nés de mères carencées en fer sont plus actifs. De plus, les capacités auditives des petits mesurées par la conduction électrique cérébrale sont modifiées et ce malgré un apport adéquat en fer après la naissance. Ces conséquences d’une carence maternelle en fer ont aussi été associées avec des changements au métabolisme lipidique du cerveau.

L’objectif de ce projet sera d’étudier l’impact de l’alimentation en acides gras essentiels sur les conséquences d’une carence en fer maternelle. Le comportement, les capacités auditives et le métabolisme lipidique de la progéniture seront mesurés à court et à long terme afin de déterminer si les conséquences de l’alimentation maternelle se maintiennent jusqu’à l’âge adulte. Les résultats obtenus permettront de mieux comprendre les effets potentiellement néfastes de la déficience en fer maternelle sur le développement du SNC de la progéniture, et s’il y a des liens avec l’alimentation et le métabolisme des acides gras essentiels.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Gaston LeBlanc, doyen de la Faculté d’administration; l’étudiante Mélanie LeBlanc; le vice-premier ministre Paul Robichaud, conférencier; l’étudiante Rachelle Gauvin; Richard Saillant, vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines; et le professeur Egbert McGraw, directeur du Centre de commercialisation internationale.
Stimuler le développement économique
Dans le cadre des 5e Journées du commerce international, le Centre de commercialisation internationale de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton a organisé une série de conférences et d’activités portant sur les problèmes et les défis des entreprises exportatrices du Nouveau-Brunswick. Parmi les personnes ressources invitées, il y avait Paul Robichaud, vice-premier ministre et ministre du Développement économique et d’Entreprises Nouveau-Brunswick, qui a prononcé une conférence devant une salle comble qui portait sur les efforts de son gouvernement pour stimuler le développement économique dans la province.
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Ouvrage portant sur les pratiques d’histoires de vie
Yves de Champlain, professeur en éducation au campus de Shippagan, Danielle Nolin, du campus de Moncton, Pascal Galvani et Gabrielle Dubé, de l’Université du Québec à Rimouski, sont les coordonnateurs de l’ouvrage « Moments de formation et mise en sens de soi » publié aux Éditions Le Harmattan.

En octobre 2010, le 17e symposium du Réseau québécois pour la pratique des histoires de vie a eu lieu à la base de plein air de Pohénégamook. Par la suite, les quatre coordonnateurs, qui étaient aussi les organisateurs du symposium, ont alors récupéré les actes en plus d’obtenir d’autres textes provenant de diverses sources leur permettant ainsi de créer cet ouvrage et de tenter de répondre à ces multiples questions : Quels sont les moments décisifs de mise en forme et en sens de soi tout au long de la vie? Quelle est la relation entre ces moments formateurs et l’histoire de vie? Toute histoire de vie est composée de multiples moments décisifs et signifiants. Mais qu’en faisons-nous? De quelle manière et avec quelles méthodes sont-ils abordés dans les pratiques d’histoires de vie?

La question des moments dans les pratiques d’histoires de vie se pose dans une double problématique temporelle. D’une part, elle pose la question de l’échelle temporelle pertinente : si l’histoire de vie se caractérise par la chronologie et une temporalité du long terme à grande échelle, le moment au contraire fait signe vers l’événement dans une échelle temporelle à court terme. Mais d’autre part, la question des moments ouvre aussi la problématique de la continuité et des discontinuités dans le cours de la vie : moments de naissance, moments de mise en forme et en sens de soi, moments de transformation et de bifurcation dans le cours d’une vie.

Renseignements : Danielle Nolin, au 858-4014.
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Le Prix France-Acadie est attribué à Marjorie Pedneault
Le jury du Prix France-Acadie, décerné par les Amitiés Acadiennes depuis 1979, s’est réuni en séance plénière sous la présidence d’Alain Dubos pour délibérer et procéder au choix de la personne lauréate de cette année.

Le Prix France-Acadie a été attribué à Marjorie Pedneault, étudiante de deuxième année au programme de baccalauréat en traduction (programme accéléré) à l’Université de Moncton, pour son livre « Un coup de coeur s’est fait entendre », publié aux Éditions de la Francophonie.

Ce prix lui sera remis le 25 novembre au Centre culturel canadien à Paris.

Rappelons que dans un but de simplification, le jury a décidé de décerner le prix en alternance à un ouvrage de sciences humaines ou à un ouvrage de création littéraire. Ainsi les éditeurs pourront-ils avec du temps (deux ans au lieu d’un) réunir un maximum d’oeuvres dans chacun de ces domaines et les proposer aux membres du jury.

La Société Nationale de l’Acadie s’occupe de la coordination en Acadie du Prix France-Acadie en assurant notamment la réception et l’envoi des oeuvres.

Renseignements : 853-0404
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Grands Explorateurs - Galápagos, ces îles enchantées
Le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton présente un premier documentaire de la série Les Grands Explorateurs, « Galápagos, les îles enchantées » de Maxime Jean, le vendredi 14 octobre à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Partez à la découverte d’un monde mystérieux où la nature a su trouver son propre chemin pour se perpétuer.

Tout au long de ce reportage, vous entrerez dans le quotidien des habitants de cette magnifique terre de contraste. Découvrez la capitale San Cristobal qui abrite le Parc national des Galápagos, mais aussi l’île Isabella, plus grande terre de l’archipel reconnue pour la variété de sa flore et de sa faune. Laissez-vous transporter ensuite à Santa Cruz, principale métropole touristique, tout aussi notoire par la diversité de sa faune qui se laisse volontairement approcher.

Cette ciné-conférence vous invite à vous questionner sur la conciliation entre le développement touristique et la conservation de l’environnement naturel qui règne dans cet écosystème.

Aventurier de nature, Maxime Jean a fièrement quitté le monde des affaires pour se consacrer à la découverte de notre Terre. Son aventure commence en 2004 lorsqu’il atteint le sommet du Mont Everest. Cette excursion lui a permis de réaliser le film « Everest, atteindre le sommet » ainsi que le livre « Everest : rêve ou destin? »

En 2005 et 2006, il se lance à l’assaut des mythiques Cho Oyu et K2. Il raconte cette dernière aventure dans le film « K2, la montagne sauvage », présenté dans le cadre de la série Les Grands Explorateurs. Sa passion pour le film et son amour pour la nature l’emmène en 2010 à la découverte d’un paysage d’une extraordinaire beauté : les îles Galápagos.

Les billets sont en vente, 10,50 $ pour les étudiants et étudiantes et 17,50 $ pour les autres, dans le réseau de la billetterie de Moncton. Vous pouvez aussi acheter votre billet par téléphone au 854-4554 ou encore au 1-800-363-8336.

Renseignements : 863-2008 / ems8117@umoncton.ca
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ONF en Acadie : Le Grand Jack d’Herménégilde Chiasson, un docufiction sur Jack Kerouac
Jack Kerouac et la route sont les prochains thèmes abordés par les Rendez vous de l’ONF en Acadie. Tenant à la fois du documentaire et de la fiction, « Le Grand Jack » nous fait découvrir l'oeuvre et la vie d’un des grands auteurs américains du 20e siècle qui a influencé, et influence toujours, plusieurs générations d’artistes. Le film (1987, 55 minutes) est une réalisation d’Herménégilde Chiasson, artiste multidisciplinaire acadien. Il sera projeté le lundi 17 octobre à 19 heures dans la salle 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard.

La projection principale sera précédée du court métrage d’animation « Sur la route », d’Anita Lebeau (2011, 9 minutes). Ce routard d’animation est l’histoire d’une traversée en famille des Prairies canadiennes pendant les années 1970.

Le Grand Jack
Tenant à la fois du documentaire et de la fiction, ce film nous fait découvrir l'œuvre et la vie de Jack Kerouac, un écrivain américain d'origine canadienne-française qui fut l'un des plus importants de sa génération. À l'aide de films d'archives, de photos, d'entrevues et d'une habile reconstitution d'époque, « Le Grand Jack » décortique le mythe du héros et remonte jusqu'à l'enfance d'un auteur dont l'œuvre et la vie ont largement contribué à la révolution culturelle, sexuelle et sociale des années 1960.

Herménégilde Chiasson
Né en 1946 à Saint-Simon, le cinéaste Herménégilde Chiasson, possédant le doctorat en esthétique de la Sorbonne, est également écrivain et artiste visuel. Peintre et photographe, il a participé à de nombreuses expositions, tant au pays qu'à l'étranger. Auteur prolifique, il a aussi œuvré en tant que dramaturge et scénariste pour le théâtre, la radio, le cinéma et la télévision. De 2003 à 2009, il a occupé la fonction de lieutenant gouverneur du Nouveau-Brunswick.
Sa filmographie, récente dans la collection ONF, comprend « Ceux qui attendent » (2002), « Photographies » (1999) et « Épopée » (1996).

Pour obtenir la liste complète des films au programme et tous les détails, visitez le site Internet ci-dessous.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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L’ABPPUM répond aux affirmations du recteur
L’ABPPUM a appris l’abandon de la requête en révision judiciaire contre l’Université de Moncton et selon son président, Michel Cardin, c’est la fin choisie par les deux plaignants. « Serge Rousselle a expliqué ce qui a motivé leur geste : l’inégalité des ressources et le temps », dit-il.

Le président de l’ABPPUM estime que cet arrêt de la poursuite ne résout pas un problème structurel, systémique et endémique, celui de la sélection des cadres supérieurs et du respect du processus établi à cette fin. « La situation est d’autant plus préoccupante à la veille de la sélection/nomination du nouveau recteur ou de la nouvelle rectrice », dit-il.

« Cette affaire a suscité parmi les membres de l’ABPPUM un sentiment profond d’insatisfaction auquel succède maintenant l’indignation, poursuit M. Cardin. Dans nos interventions, nous avons à maintes reprises affirmé vouloir ne porter en aucun cas préjudice à notre collègue Marie-Linda Lord, qui n’avait rien à voir avec ces remous administratifs et qui jouit toujours de l’estime marquée de ses collègues. »

« Devons-nous rappeler haut et fort que l’ABPPUM est là depuis 35 ans, et constamment réitérer qu’elle a toujours eu et aura toujours à cœur « l’intérêt supérieur de l’Université » ? », conclut M. Cardin. Renseignements : 858-4509.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, l’artiste Jean-Denis Boudreau; Nisk Imbeault, directrice/conservatrice; et les artistes Maryse Arseneault et Stefan St-Laurent.

Une résidence d’artistes autour de l’identité acadienne a eu lieu à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen

En septembre, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen du campus de Moncton a accueilli trois artistes en résidence d’origine acadienne, Maryse Arseneault et Jean-Denis Boudreau, de Moncton, et Stefan St-Laurent, d’Ottawa, qui ont réalisé chacun une oeuvre posant un regard sur l’Acadie et son histoire.



Depuis 1997 et à l’initiative de son directeur de l’époque, Luc A. Charette, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen donne son appui à la réalisation d’oeuvres par des artistes acadiens sur le thème d’Évangeline. Figure mythique ayant fortement marqué la société acadienne, le personnage d’Évangeline est en réalité une fabrication issue de l’imaginaire de l’auteur américain, H.W. Longfellow. Le projet Évangeline pose ainsi la question : Où se situe l’identité acadienne contemporaine face à l’image historique et traditionnelle transmise? Grâce à la démarche de trois artistes, le projet cherche à revoir cette identité « romantique », revisitant l’histoire afin de définir une identité plus complexe et actuelle.



Par le biais du projet entamé lors de cette résidence, Maryse Arseneault dénonce la prépondérance historique de la culture acadienne par rapport à celle des peuples autochtones des Maritimes. L’artiste questionne l’agenda nationaliste qui, pour le bien de la cause, a fait fi de la présence et de l’apport culturel des premiers habitants de ce territoire « acadien ». Elle s’inspire du motif de l’étoile à huit pointes tel qu’utilisé dans la fabrication des couvertures piquées mais dont les origines sont issues des décorations traditionnelles autochtones.



Au cours de sa résidence, Jean-Denis Boudreau a tenté de fabriquer une machine qui sert à communiquer un signe de détresse en code morse, soit le « SOS ». Inspiré par la saga d’Évangeline qui, dans le conte de Longfellow, parcourt de grandes distances à la recherche de son amant Gabriel, son projet joue sur la multiplication des moyens de communication à distance. Mêlant les techniques anciennes des peuples autochtones avec l’intérêt pour les technologies lo-fi, il conçoit et fabrique une machine qui communique par l’entremise de signaux de fumée.



Dans une nouvelle série d’oeuvres intitulée « Ne me quitte pas », Stefan St-Laurent a exploré les liens culturels et familiaux qui ont rapproché les Acadiens et les Mi’kmaq de la côte est, des rapprochements historiques qui ne sont d’ailleurs que très rarement acceptés et encore moins célébrés. Il est intervenu avec du perlage autochtone sur un objet de la collection du Musée acadien présenté à même l’exposition permanente et qui fait écho au métissage présent dans l’ensemble de ses oeuvres.



L’artiste a aussi fait une intervention dans le Musée acadien qui a été présentée pendant le vernissage, et a collaboré avec l’artiste Cri-des-plaines/Wolastoqiyik, Ned Bear (nation Ekpahag, N.-B.), pour produire une oeuvre sculpturale gravée dans des sabots de bois. Cette série d’oeuvres cherche à démontrer la beauté intrinsèque de la collaboration interculturelle et des échanges, tant aujourd’hui qu'à travers l'histoire.



L’exposition « À l’ombre d’Évangeline » est en montre jusqu’au 30 octobre.



Renseignements : Nisk Imbeault, au 858-4687 / nisk.imbeault@moncton.ca


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La 15e FrancoFête en Acadie aura lieu du 2 au 6 novembre à Moncton
L’édition de cette année de la FrancoFête en Acadie aura lieu du mercredi 2 au dimanche 6 novembre à Moncton. Ce sera l’occasion également de célébrer le 10e anniversaire du Réseau atlantique de diffusion des arts de la scène (RADARTS), organisme qui produit la FrancoFête en Acadie.

Depuis maintenant 15 ans, la FrancoFête en Acadie est devenue l’événement pluridisciplinaire le plus important du Canada atlantique, consacré entièrement à la promotion, à la diffusion et à la mise en valeur du produit culturel francophone. En 15 ans, la FrancoFête en Acadie a accueilli plus de 6 500 délégués canadiens et internationaux (producteurs, artistes, journalistes, diffuseurs...), 14 cercles d’auteurs-compositeurs SOCAN, 85 Oiseaux de nuit, 15 Salons-contacts et 455 vitrines, ainsi que de nombreux intervenants du milieu culturel francophone des provinces de l’Atlantique.
La directrice générale de RADARTS, Jacinthe Comeau, indique que la 15e édition de la FrancoFête en Acadie sera remplie de surprises autant pour le public que pour les délégués et membres de l’industrie. « Le slogan est bien choisi pour cette année : La FrancoFête en Acadie fait la scène !, dit-elle. On offre une scène aux artistes et une scène de découvertes pour les diffuseurs. C’est également une façon de dire qu’on fait la fête pour souligner ces anniversaires. L’événement est toujours un moment de célébration des arts de la scène, mais cette année, nous avons tenu à le souligner de façon mémorable. De plus, RADARTS a été officiellement créé lors de l’édition 2001 de la FrancoFête. C’est donc de mise que les célébrations soient jumelées. »

Mme Comeau souligne l’apport important de la FrancoFête en Acadie ainsi que de RADARTS à l’industrie des arts de la scène en Atlantique. « On a aidé les artistes à développer leurs marchés, créé un carrefour de rencontres professionnelles, stimulé l’intérêt du public envers les arts de la scène et offert des spectacles francophones de qualité », ajoute-t-elle.

L’ouverture officielle de la 15e FrancoFête en Acadie aura lieu le mercredi 2 novembre à 19 h au Théâtre Capitol (811, rue Main) et sera précédée d’un cocktail de bienvenue. On procédera également à la remise des prix RADARTS 2011 aux diffuseurs membres de l’organisme.

Les vitrines 2011
Une grande variété de vitrines artistiques permettra au public de découvrir des extraits de spectacles d’artistes du milieu musical, de la danse, du conte, du théâtre et de la variété. Certains artistes entament leur parcours et d’autres sont bien ancrés dans la profession.

Mercredi 2 novembre
Le mercredi 2 novembre, les premières vitrines auront lieu tout de suite après l’ouverture officielle au Théâtre Capitol, de 20 heures à 23 heures. Lors de ces vitrines chanson et musique, les délégués et le public pourront entendre la musique festive de Tradition, la chanteuse pop Ingrid St-Pierre, le chanteur country Laurie LeBlanc, le chanteur folk pop Francis d’Octobre, le son country rock de George Belliveau et la poésie mélodique de MORAN.

Jeudi 3 novembre
Le jeudi 3 novembre dès 16 heures au Théâtre Capitol, le public aura l’occasion de découvrir des artistes d’univers différents : le pianiste jazz cubain Rafael Zaldivar, l’auteure-compositrice-interprète de la Suisse Loraine Félix, et le chansonnier québécois Stéphane Côté.

Vendredi 4 novembre
Le vendredi 4 novembre, on propose des vitrines mariant musique et conte dès 15 heures à la salle Empress (ruelle Robinson). Le duo composé d’Isabelle Cyr et Yves Marchand partira le bal. Ils seront suivis du chanteur folk Dominic Clément, du conteur Dominique Breau et du chansonnier madelinot, Claude Cormier. La personne récipiendaire du prix RADARTS-ROSEQ y présentera également une vitrine.

En soirée, dès 19 h 30 au Théâtre Capitol, place à la musique du monde de Sagapool et au jazz de Lina Boudreau. Des plaines du Manitoba, Geneviève Toupin en duo avec Émilie Proulx, qui seront suivies du pop indie d’Hôtel Morphée, du chansonnier pop Matt Mallet et de Manon Bédard et Blou.

Samedi 5 novembre
Le samedi 5 novembre, de 13 heures à 14 h 30 au Théâtre Capitol, trois vitrines danse/art du cirque seront présentées. La danseuse Julie Duguay présentera un extrait de « Mez’elles… sois belle et tais-toi! » La troupe Labokracboom racontera les « Chroniques du Laboratoire Unik ». Finalement, la troupe Fleuve-Espace danse présentera un extrait de « Comme une odeur de varech ».

Les dernières vitrines officielles seront présentées au Théâtre Capitol de 19 h 30 à 22 h 45 avec le Manitobain Daniel Roa, le trio Musika Mundi, le chansonnier acadien Mario LeBreton, l’albertaine Mireille Moquin, le folk de Luc Tardif de la Nouvelle-Écosse et la slammeuse Queen Ka qui arrive du Québec.

>Une collaboration fructueuse
Plusieurs de ces artistes présentent des vitrines à la FrancoFête grâce à des prix nés de la collaboration entre RADARTS et d’autres réseaux de diffusion au Canada. Le prix RADARTS-Rideau a été décerné cette année à Rafael Zaldivar, un pianiste de jazz originaire de Cuba. Le prix RADARTS-Granby a été remis au groupe indie folk pop Hôtel Morphée, de Montréal. Le Manitobain Daniel Roa est récipiendaire du Prix RADARTS-Réseau des Grands espaces (RGE). La troupe Théâtre jeunesse en tête a reçu le Prix Acadie-Réseau Ontario pour sa pièce « Le P’tit Rien et la madame pas fine ». Finalement, à la mi-octobre, un artiste des rencontres d’automne du ROSEQ sera choisi pour participer à la FrancoFête en Acadie.

Le cercle d’auteur-compositeurs SOCAN
Une tradition depuis plusieurs années, le Cercle d’auteurs-compositeurs SOCAN offre des moments inattendus et inoubliables pour les artistes et le public. Isabelle Thériault animera cette soirée au Théâtre Capitol le jeudi 3 novembre à 20 h 30. Elle sera entourée des auteurs compositeurs Dumas, Jonathan Painchaud, Jean-François Breau et Alain Comeau. Ces derniers parleront de leurs inspirations, ce qui les pousse à créer et offriront des prestations improvisées.

Oiseaux de nuit
Pour ceux et celles qui aiment veiller tard, des soirées rythmées avec les Oiseaux de nuit sont encore au programme cette année. On y retrouve des artistes professionnels et émergents, principalement de l’Atlantique, dans le cadre d’une plateforme nocturne leur permettant de présenter des extraits de leur spectacle dans une ambiance un peu plus décontractée. Ces soirées auront lieu à la salle Empress.

Julie Aubé, de Dieppe, sera la première à prendre la scène, le mercredi 2 novembre dès 23 h 30. Elle sera suivie de Kevin McIntyre. Le jeudi 3 novembre, dès 23 heures, ce sera le tour de Vivianne Roy, Oumou Soumaré et le groupe de party acadien Entoucas.

Le vendredi 4 novembre, dès 23 heures, la soirée sera électrique avec les Païens, les Hôtesse d’Hilaire ainsi que Joseph Edgar. Des moments inoubliables sont à l’horaire le samedi 5 novembre avec Denis Michel Haché, Duane et Dwayne, Pascal Lejeune et Colin Grant.

Le dimanche 6 novembre, le fameux Jam de la SPAASI clôturera les festivités de la 15e FrancoFête en Acadie au Crowne Plaza, dans la salle de bal (1005, rue Main).

Vitrines jeune public
Deux séries de vitrines pour le jeune public seront présentées le vendredi 4 novembre à la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton. De 10 h à 11 h 30, les enfants des écoles primaires auront droit à des extraits de la pièce « Peigne… était une fois », à la cantatrice Natalie Choquette et la troupe Théâtre jeunesse en tête. Ensuite, de 13 h à 14 h 30, ce sera le tour des élèves du secondaire d’assister aux vitrines de Naïve, Shawn Jobin ainsi que la formation rythmée Triolet d’Nord. Les vitrines jeune public sont sans frais mais les places sont toutefois limitées.

Volet professionnel
La FrancoFête en Acadie rassemble plusieurs événements et activités complémentaires pour les membres de l’industrie : salon-contact, activités de formation et occasions de réseautage. Des collaborateurs de l’industrie vont à l’occasion greffer leurs événements à la programmation officielle de la FrancoFête en Acadie.

Lancement du Centre de ressources internationales de la SPAASI
Le jeudi 3 novembre, de 13 h 30 à 15 heures, la Stratégie de promotion des artistes acadiens sur la scène internationale (SPAASI) en profitera pour lancer son Centre de ressources internationales, un guichet unique qui regroupe tous les renseignements pertinents quant aux structures et au fonctionnement des divers réseaux qui composent l’ensemble des marchés des différentes industries culturelles européennes et acadiennes.

Billets
Les billets sont présentement en vente. Il est possible de s’en procurer pour les différents spectacles dans le réseau de billetterie du Grand Moncton (Théâtre Capitol, théâtre l’Escaouette, Centre étudiant de l’Université de Moncton et Frank’s Music, Centre des arts et de la culture de Dieppe et le Monument Lefebvre, à Memramcook), par téléphone au 506-856-4379 ou 1-800-567-1922 ou sur Internet à www.admission.com.

Les billets seront également disponibles à l’entrée le soir du spectacle à moins qu’il ne soit à guichet fermé. Pour les soirées Oiseaux de nuit, il en coûte 8 $, à l’entrée seulement.
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Jeanne d'Arc Gaudet
CRDE : renforcer les capacités institutionnelles et universitaires dans le domaine de l'éducation en Haïti
Le Centre de recherche et de développement en éducation (CRDE) vous invite à assister à sa première causerie-midi de l'année en compagnie de la professeure Jeanne d'Arc Gaudet, qui parlera d’un projet pour renforcer les capacités institutionnelles et universitaires dans le domaine de l'éducation en Haïti, le mardi 18 octobre entre midi et 13 heures dans le local B-047 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Après le séisme de janvier 2010, la communauté internationale - et plus particulièrement le Canada - a été sensibilisée par les besoins formulés par Haïti dans le secteur de l’éducation. Ce pays reconnaît que son développement passe par la mise en oeuvre d'un système d’éducation capable d'offrir un plus grand accès aux jeunes. Pour y arriver, il devient impératif d'améliorer les compétences et les connaissances des divers personnels en éducation.

Dans le cadre d'une demande de financement auprès de l'Agence canadienne de développement international, la Faculté des sciences de l'éducation de l'Université de Moncton a joint un consortium d'universités canadiennes et haïtiennes pour élaborer un projet qui apporte un soutien aux collègues haïtiens dans la formation des formateurs et formatrices en éducation.

L'Université de Moncton a été invitée à devenir « porteuse du dossier » avec le mandat de coordonner la demande de financement. Lors de cette causerie/discussion, les principaux volets de ce projet seront présentés en détail.
Apportez votre goûter.

Renseignements : 858-4277
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Série de séminaires de recherche en santé Vitalité
Dans le cadre d’une série de séminaires de recherche en santé Vitalité, Sandra Turcotte, professeure au Département de chimie et biochimie de l’Université de Moncton, prononcera une conférence, intitulée « Cibler l’inactivation du gène de suppression tumoral von Hippel-Lindau en induisant l’autophagie pour le développement d’une thérapie anticancéreuse des tumeurs rénales », le vendredi 14 octobre de 12 h 30 à 13 h 30 dans la salle de vidéoconférence (2e étage) du Centre d’oncologie Dr-Léon-Richard de Moncton et, par vidéoconférence, à l’hôpital régional Chaleur (salle 372), à l’hôpital régional de Campbellton (amphithéâtre MacPherson) et à l’hôpital régional d’Edmundston (amphithéâtre).

Les tumeurs rénales sont les plus létales du système urologique et représentent trois pour cent des tumeurs solides. C’est la sixième cause de mortalité par cancer dû au manque de traitement pour les carcinomes rénaux (RCC) de stade avancé ou métastatique.

Les RCC représentent 80 pour cent des tumeurs rénales lesquelles sont très vascularisées et généralement résistantes aux radiations et aux traitements de chimiothérapie conventionnelle. L’inactivation du gène de suppression tumoral von Hippel-Lindau est un événement précoce et commun à la majorité des RCC.

On a récemment démontré que cibler l’inactivation de VHL pourrait mener à une stratégie thérapeutique prometteuse. Par une étude de criblage à haut débit, on a identifié le STF-62247, une nouvelle petite molécule qui démontre une cytotoxicité sélective pour les cellules dont VHL est inactif comparativement aux cellules avec un gène VHL fonctionnel. La toxicité du STF-62247 est accompagnée par une forte induction de l’autophagie, un processus de dégradation lysosomale qui permet à la cellule de maintenir une bonne homéostasie.

Les récents résultats révèlent que la sensibilité des cellules déficientes en VHL en réponse au STF-62247 est associée à un défaut du processus autophagique impliquant la maturation des autophagosomes et la dégradation lysosomale provoquant ainsi la mort de la cellule. Un défaut de ce procédé dynamique a été associé à plusieurs maladies dont le cancer. Les études pourraient ainsi mener au développement d’un nouveau type de thérapie ciblée pour le traitement des carcinomes rénaux.

Le séminaire se déroulera en français.

Renseignements : 869 2827 / brigitte.sonier ferguson@vitalitenb.ca
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Spectacle de Cosán au pavillon Jeanne-de-Valois
Du violon, du piano, de la guitare, de la flûte irlandaise, du bohran, des chansons et de la danse! Voilà le groupe de musique traditionnelle celtique irlandais Cosán, qui sera en spectacle le samedi 15 octobre à 20 h 30 dans la salle A-119 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Le trio de l’Île-du-Prince-Édouard qui est ensemble depuis cinq ans maintenant est composé de trois talentueuses demoiselles francophones qui font revivre la pureté du son et du rythme traditionnel celtique et irlandais.

Cosán, c’est aussi des chansons interprétées en gaélique ou a capella. Le spectacle comprend aussi quelques pas de danse irlandaise. C’est un spectacle musicalement intéressant et aux rythmes entraînants. Le répertoire est varié et sait plaire à tous les publics.

L’entrée est de 15 $ et les billets sont en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton (858-4554).

Pour en connaître davantage sur le groupe Cosán, visitez le site Internet ci-dessous.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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La photo nous fait voir quelques étudiantes qui étaient présentes à la conférence. Il s’agit, de gauche à droite, de Myriam Thériault et Stéphanie Jalbert; le conférencier, Mathieu Gingras; Nathalie Gagnon, Jenna LeBlanc et Janik Aubé.
Les valeurs familiales
L’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales a organisé une conférence en compagnie de Mathieu Gingras, du Bureau du recrutement étudiant du campus de Moncton, qui a discuté avec enthousiasme de valeurs familiales, le thème de cette année de la Semaine nationale de la famille.
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Monique Richard
Concert présenté par le Choeur Louisbourg
Le Choeur Louisbourg, sous la direction de Monique Richard, présentera un concert en l’église Saint-Anselme de Dieppe, le dimanche 16 octobre à 19 heures.

Au programme, vous pourrez entendre des œuvres de Monteverdi, Bach et Pergolèse.

Le chœur sera accompagné par un petit ensemble baroque formé de six musiciens jouant avec des instruments d’époque.

Monique Richard est professeure au Département de musique du campus de Moncton où elle est responsable des cours d’éducation musicale et de direction, en plus de diriger les ensembles vocaux et l’atelier d’opéra avec orchestre.

Les billets sont en vente au Théâtre Capitol et au Centre des arts et de la culture de Dieppe.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Journées portes ouvertes pour les élèves du secondaire
Dans le cadre des activités de recrutement, l’Université de Moncton organise chaque année des journées portes ouvertes à l’intention des élèves de 12e année des écoles secondaires francophones du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse et de l’Ile-du-Prince-Édouard, qui auront lieu les mardi et jeudi 18 et 20 octobre.

La journée comprendra, en plus de l’accueil dans le gymnase du Ceps Louis.-J.-Robichaud, des cours, des activités diverses et une visite guidée du campus de Moncton en fonction de l’horaire de la faculté ou de l’école choisie par l’élève. En début d’après-midi, les jeunes seront invités à se rendre au Centre étudiant pour y visiter des stands d’information portant sur les services universitaires.

Quelque 900 élèves visiteront le campus de Moncton pendant ces deux jours et plusieurs d’entre eux seront nos étudiants et étudiantes l’an prochain. Alors, le recteur, Yvon Fontaine, vous invite à les accueillir très chaleureusement. Un geste amical pourrait avoir une influence très favorable sur le choix de chacun lorsque viendra le temps de choisir une institution d’enseignement postsecondaire.

Voici les écoles participantes du mardi 18 octobre :
Centre Le fontaine, Centre scolaire Étoile de l’Acadie, École acadienne de Pomquet, École acadienne de Truro, Beau-Port, Évangéline, François-Buote, Grande-Rivière, L’Odyssée, La-Belle-Cloche, Louis-J.-Robichaud, Mathieu-Martin, Sainte-Anne, Secondaire de Clare, Thomas-Albert, Baie-Ste-Anne et Népisiguit.

Voici les écoles participantes du jeudi 20 octobre :
CCNB-Dieppe, Centre scolaire Samuel-de-Champlain, Aux-Quatre-Vents, Clément-Cormier, École du Carrefour, Carrefour Beausoleil, Marie-Gaétane, N.D.A., A.-J.-Savoie, Louis-Mailloux, Mgr-M.-F.-Richard, Roland Pépin, W.-A.-Losier et Secondaire Assomption.

Renseignements : Juliette Belliveau, secrétaire au Bureau de liaison, au 858-4443.
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Nouvel article de Greg Allain portant sur les Acadiens et la croissance de Moncton
Le professeur Greg Allain, du Département de sociologie, vient de publier, avec le professeur Guy Chiasson, de l’Université du Québec en Outaouais, un article dans le dernier numéro de la revue Francophonies d’Amérique (numéro 30, automne 2010) portant sur ‘« Réinventer l’engagement communautaire’ ».

Le texte s’intitule « La communauté acadienne et la gouvernance du développement économique dans une micrométropole émergente : Moncton, Nouveau-Brunswick ». Dans le sillage de la forte croissance démographique francophone dans le Grand Moncton depuis une vingtaine d’années, les auteurs analysent le rôle important des Acadiens de Moncton et de Dieppe au plan de la gouvernance du développement économique de ces deux villes et des stratégies parfois différentielles qui en découlent.

Ce texte fait partie d’une recherche plus vaste des auteurs portant sur la vitalité des communautés francophones minoritaires en milieu urbain (particulièrement dans les villes de taille moyenne) et sur leur réappropriation de l’espace économique, politique et culturel.
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225 936 $ sont offerts en bourses au campus de Shippagan
Cette année, le campus de Shippagan, en collaboration avec l’Association des anciens, anciennes et ami(e)s (AAUMCS), a remis 225 936 $ en bourses à 149 étudiantes et étudiants. C’est plus d’un étudiant sur trois qui reçoit une bourse.

De ce montant, 151 100 $ sont attribués en bourses d’accueil offertes aux étudiants et étudiantes qui ont maintenu une moyenne de 80 pour cent en 11e année et à la première session de la 12e année du secondaire. Le deuxième montant de 74 863 $ est offert en bourses de mérite aux étudiants et étudiantes qui réussissent à maintenir une moyenne de 3,5 à l’Université. Ceux et celles qui maintiennent une moyenne de 3,8 bénéficient d’un renouvellement de leur bourse d’accueil.

L’AAUMCS contribue largement au programme de bourses du campus de Shippagan. Effectivement, plus de 90 000 $ proviennent de généreux donateurs et donatrices. C’est d’ailleurs pourquoi les Services aux étudiants et du Recrutement organisent annuellement une remise officielle des bourses où les bénéficiaires ont l’occasion de rencontrer et de remercier en personne leur donatrice ou leur donateur. Cette année, cette rencontre a eu lieu le 5 octobre à la cafétéria du campus.

La vice-rectrice, Jocelyne Roy Vienneau, a d’ailleurs profité de cette occasion pour remercier chaleureusement les nombreux donateurs et donatrices et leur rappeler combien leur généreuse contribution fait une différence dans l’expérience universitaire des étudiants et étudiantes. « Il n’y a pas de petits dons, a-t-elle spécifié, il n’y a que des dons qui s’ajoutent les uns aux autres pour faire un fonds de bourses très appréciable pour un petit campus ».

Le président de l’AAUMCS, Raymond L. Lanteigne, a tenu à féliciter les nombreux bénéficiaires de bourses et à rappeler combien ils sont nombreux ceux et celles qui ont profité de la présence du campus de Shippagan pour la poursuite de leurs études.

De plus, le campus de Shippagan accueille cette année cinq bénéficiaires de la bourse d’excellence Roméo-Leblanc d’une valeur de 4 000 $ par année et renouvelable pour la durée du programme. Il s’agit de Charles Albert et Michèle Doiron, de l’école secondaire Louis-Mailloux de Caraquet, Thierry Arseneau, de l’école secondaire Népisiguit, Annie Paulin, de l’école secondaire Marie-Esther de Shippagan, et Jérémie Haché, de l’école secondaire W.-Arthur-Losier de Tracadie-Sheila.
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Un nouveau service de courrier électronique est prévu pour le personnel des trois campus
En raison du déclin graduel de l'offre technologique des produits Novell, la Direction générale des technologies (DGT) complétera cet automne, avec le système de messagerie électronique des employés, une migration des divers produits Novell au campus.

Le nouveau service de courrier électronique Outlook 2010 vous sera passablement familier puisqu'il aura le même aspect que les logiciels de bureautique Microsoft Office que vous utilisez déjà. Il présentera une intégration à vos produits de bureautique (Word, Excel, PowerPoint, Access); une capacité accrue de stockage de courriels (3,5 GO incluant les archives alors que la moyenne de stockage actuelle des utilisateurs est de 0,350 GO); un même système et carnet d'adresses pour les trois campus; le partage de calendrier inter-campus et Internet; la possibilité de recevoir les courriels sur mobile pour ceux et celles qui ont des mobiles (iPhone iOS, Android, Windows Phone) de l'U de M; la possibilité d'écouter les messages vocaux du système de téléphonie IP du campus à même votre boîte aux lettres; et une architecture permettant la continuité des opérations de tous les campus advenant un désastre dans l'une ou l'autre des constituantes.

En préparation de cette migration, des séances de formation sont offertes au personnel à compter d’aujourd’hui, jeudi 13 octobre. On vous invite à vous inscrire dès maintenant à l'adresse http://www.umoncton.ca/umcm-dgt/node/118

Ceux et celles qui n'auront pas assisté aux formations pourront se référer aux vidéos pédagogiques d'aide d’Outlook présentant les fonctionnalités principales après la migration au système Outlook.

La migration des services de courrier électronique de GroupWise à Outlook commencera en novembre après les séances de formation. Vos unités organisationnelles seront alors avisées des dates de migration prévues et les préparatifs nécessaires seront instaurés en collaboration avec vos unités respectives.

C'est un moment opportun pour procéder à un nettoyage de votre boîte aux lettres et de vos archives; on vous invite à en profiter avant la migration à votre nouveau système de courrier électronique.

Si vous avez des questions sur l'un ou l'autre de ces services, vous pouvez joindre le Service à la clientèle de la Direction générale des technologies, au 863-2100 ou à l'adresse dgt@umoncton.ca.
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Le Musée acadien fête son 125e anniversaire
Le Musée acadien de l’Université de Moncton fête cette année son 125e anniversaire. Cette institution vénérable a été fondée en 1886 au Collège Saint-Joseph à Memramcook par le père Camille Lefebvre, supérieur. La création du Musée cadre bien dans le mouvement nationaliste de la Renaissance acadienne de la fin du 19e et du début du 20e siècle.

Dans un article publié dans le journal Le Moniteur Acadien en 1886 (12 octobre), on lançait un appel patriotique auprès du public pour la contribution « d’objets relatifs aux sciences naturelles et à l’histoire de l’Acadie ». Ainsi, pendant ses premières années, la collection du Musée était très éclectique – ce qui reflétait la nature des petits musées de l’époque. C’est à compter des années 1940 que le Musée a pris une orientation décidément acadienne grâce aux efforts du père Clément Cormier, préfet des études à l'Université Saint-Joseph et recteur de 1948 à 1953.

Lorsqu’une partie des effectifs de l’Université Saint-Joseph a été transférée à Moncton en 1953, on y déménagea également la collection du Musée. Faute d’espace, cette collection resta remisée pendant une vingtaine d’années jusqu’à la réouverture du Musée au nouveau campus de l’Université de Moncton dont la fondation remonte à 1963.

D’abord logé au sous-sol de la Bibliothèque Champlain, le Musée s’installe dans le nouveau pavillon Clément-Cormier en 1980. Construit selon les normes muséales, cet édifice de 1 700 mètres carrés abrite également la Galerie d’art de l’Université.

Aujourd’hui, la collection du Musée compte plus de 40 000 objets et photographies. Certaines pièces ont une grande valeur historique dont une brique de l’Habitation de l’Île Sainte-Croix (1604), la pierre angulaire de Beaubassin (1723), des outils du poste de traite à Miscou du marchand Nicolas Denys (1647-1649), le calice de Beaubassin (v 1735) et le drapeau acadien original (1884).

Étant toujours dans l’actualité, le Musée collectionne activement des objets de l’Acadie contemporaine. On y trouve des pièces de la visite du Pape Jean-Paul II au Nouveau-Brunswick en 1984, du premier Congrès mondial acadien en 1994 et du 8e Sommet de la Francophonie à Moncton en 1999. Il y a aussi des pièces qui reflètent la vitalité de la vie culturelle acadienne telles que des affiches et programmes de festivals, de concerts et de pièces de théâtre.

La nouvelle exposition permanente du Musée qui date de 2005 présente un survol sur l’histoire et la culture matérielle acadiennes tout en y incorporant des postes d’écouteurs et de vidéos. Une salle réservée à des expositions temporaires permet la présentation de divers objets de la vaste collection du Musée ainsi que la présentation d’expositions itinérantes.
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Jérémie Pellerin et Geneviève Dostaler ont été choisis les athlètes de la semaine
Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton de l’Université de Moncton a choisi les coureurs Jérémie Pellerin, de Cocagne, et Geneviève Dostaler, de Kingston, en Ontario, comme athlètes Antonio’s Pizza de la semaine pour la période du 3 au 9 octobre.

Pellerin en est à sa première année sur le circuit universitaire de cross-country. Il a terminé au 5e rang dans la course de 8 km (27m33s40c), à 39 secondes du meneur, lors de la 29e Classique de cross-country de l’Université de Moncton qui a eu lieu samedi. Il n’a pas couru son plein potentiel et c’était une première course qui comportait un terrain avec pentes cette saison.

Pour les femmes, Geneviève Dostaler a été la 19e coureuse à traverser la ligne d’arrivée sur la distance de 5 km. Malgré la douleur aux jambes, elle a foncé et a obtenu un excellent résultat de 22m12s50c.
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Patinage pour le personnel à l’aréna J.-Louis-Lévesque
Jusqu’au 31 mars, il y a patinage destiné aux membres du personnel, le samedi de 11 h 30 à 12 h 30 à l'aréna J.-Louis-Lévesque.

Il sera cependant annulé le samedi 19 novembre et le samedi 3 décembre.

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