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Lundi 15 Avril 2013

Lundi 15 Avril 2013

Ann Beaton est la chercheuse du mois de la Fondation pour la recherche en santé au Nouveau-Brunswick

Ann Beaton, professeure à l'École de psychologie de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires de l'Université de Moncton et titulaire de la Chaire de recherche du Canada niveau 2 en relations intergroupes, nouvellement renouvelée pour cinq ans, est la chercheuse du mois de la Fondation pour la recherche en santé du Nouveau-Brunswick.



La Fondation souligne ainsi l’excellence et le leadership d’une de nos chercheuses dans le domaine de la recherche en santé qui sont axés sur le patient, la médecine appliquée et l’innovation.



La professeure Beaton a obtenu le baccalauréat et le doctorat de l'Université d'Ottawa avant d'aller faire de la recherche postdoctorale au Center for Research in Group Processess de l'University of Kent, au Royaume-Uni. Elle enseigne à l'Université de Moncton depuis 1996.



Sa Chaire de recherche du Canada en relations intergroupes a comme grand objectif d'examiner les rapports entre différents groupes sociaux pour mieux comprendre les facteurs qui entravent et qui facilitent l'inclusion sociale. Le programme de recherche veut élargir notre compréhension des réactions à l'adversité liée à la stigmatisation sociale et à découvrir comment ces réactions transforment les individus et leur environnement social.



Ces questions sont examinées pour trois populations différentes ayant des défis uniques à relever du point de vue des études et du marché du travail : les personnes handicapées qui essaient de se tailler une place sur le marché du travail, les femmes qui font face à de l'adversité dans les domaines de travail non traditionnels, et les jeunes Autochtones qui développent de la résilience pour améliorer leurs résultats scolaires.



L'exclusion sociale de membres de groupes minoritaires prive une société de leur contribution aux niveaux économique, culturel et intellectuel. Ces conséquences sont coûteuses pour une petite province comme le Nouveau-Brunswick appelée à relever les défis que pose l'économie mondialisée du savoir. Non seulement l'exclusion sociale nuit à la qualité et aux conditions de vie des individus, elle menace la santé, tout en diminuant la satisfaction et l'engagement au travail.



Par conséquent, la recherche est effectuée en étroite collaboration avec des organismes à but non lucratif, des employeurs et des intervenants du domaine de la santé communautaire afin de contribuer à la formulation de politiques publiques et à l'élaboration de programmes axés sur la santé et la prévention. L'écoute et l'échange de connaissances dans un contexte participatif constituent une étape importante dans le cheminement vers une société qui se veut inclusive.



Au cours des 12 dernières années, la professeure Beaton a reçu plus de 1,5 million de dollars en fonds de recherche d'organismes tels que le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, la Fondation canadienne pour l'innovation et les Instituts de recherche en santé du Canada. Elle a formé et mentoré quelque 40 étudiants diplômés et a fait une contribution de plus de 75 articles/chapitres d'ouvrage, rapports et exposés à des congrès nationaux et internationaux.



En attirant des chercheurs talentueux comme Mme Beaton au Nouveau-Brunswick, nous contribuons à l'effort mondial déployé pour promouvoir un mode de vie sain et à offrir des services de santé préventifs efficaces. Nous créons également un milieu de recherche dynamique qui permet de former nos étudiants pour faire d'eux les chercheurs en santé exceptionnels de demain.





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