Lundi 19 Décembre 2011
L’influence du contexte sociolinguistique majoritaire/minoritaire sur le maintien à domicile d’aînés en perte d’autonomie
La photo nous fait voir, de gauche à droite, assises : Odette Gould, Suzanne Dupuis-Blanchard et Lita Villalon; debout : Majella Simard et Jean-Luc Bélanger (AAFANB). Absences dans la photo : Sophie Éthier et Anne Leis.
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L’étude tentera de mieux comprendre l’influence de la langue sur les moyens mis en place ou utilisés par les personnes aînées pour demeurer à domicile malgré leurs incapacités. Par le biais d’entretiens réalisés auprès d’aînés francophones et anglophones vivant tant en milieu rural qu’urbain et appartenant à différents groupes d’âge, l’équipe développera une liste des moyens utilisés par eux afin de favoriser le maintien à domicile. Elle rencontrera aussi les membres de la famille pour discuter du maintien à domicile.
Les autres membres de l’équipe sont, de l’Université de Moncton : Majella Simard, professeur au Département de géographie, et Lita Villalon, professeure à l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales; Odette Gould, professeure au Département de psychologie de Mount Allison University; Anne Leis, professeure au Département de santé publique et d’épidémiologie de l’University of Saskatchewan; et Sophie Éthier, professeure au Département de travail social du Collègue universitaire de Saint-Boniface.
Notons aussi la collaboration de l’Association acadienne et francophone des aînées et aînés du Nouveau-Brunswick (AAFANB) comme partenaire communautaire.
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