Jeudi 19 Juin 2014
Vers une meilleure collaboration entre chercheuses, chercheurs et Premières Nations
La photo nous fait voir, de gauche à droite, Jennifer Godin, du Réseau de recherche sur les politiques sociales du Nouveau-Brunswick; Bernard Richard, ancien ombudsman et défenseur des enfants et de la jeunesse du N.-B.; Andre Bear Nicholas, du Département d'études autochtones de la St Thomas University; Christian Whalen, du Bureau du défenseur des enfants et de la jeunesse; Verlé Harrop, du Centre de recherche en Atlantique du Réseau de connaissances des autochtones en milieu urbain; Norman Bossé, défenseur des enfants et de la jeunesse; Judy Levi, Service de bien-être à l'enfance et à la jeunesse du ministère du Développement social, et Etienne Paulin, de l’École de travail social de l'Université de Moncton. Laurel Lewey, du programme Mi'kmaq/Maliseet Bachelor of Social Work, St Thomas University, et Denis Leblanc, consultant en développement organisationnel et communautaire, étaient absents au moment où la photo fut prise.
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Cette activité était organisée par l’École de travail social de l’Université de Moncton et le Réseau de recherche sur les politiques sociales du Nouveau-Brunswick en partenariat avec le Bureau du défenseur des enfants et de la jeunesse.
Elle avait comme objectif de répondre à des questions portant sur le rôle que peut jouer le milieu de la recherche et sur les pratiques à adopter par les chercheuses et les chercheurs afin d’effectuer des recherches responsables. On s’est aussi interrogé sur les moyens de promouvoir une meilleure collaboration entre chercheuses, chercheurs et membres des Premières Nations dans l’espoir de mieux identifier les causes profondes des enjeux qui touchent les Premières Nations et de développer de nouvelles approches en matière d’intervention.
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