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Mercredi 22 Octobre 2003

Mercredi 22 Octobre 2003

Nous sommes tous responsables

J'aimerais pousser un peu plus loin la réflexion sur le problème posé par l’incinérateur de déchets toxiques de Bennett Environmental. Il faut bien admettre que, par notre mode de vie, nous sommes tous responsables de l’existence des incinérateurs Bennett et autres installations du même genre. Nous brûlons essence et huile dans nos moteurs, achetons et jetons du plastique en quantité, utilisons des piles électriques au cadmium et au mercure. Tous ces produits de la civilisation, d’usage tellement courant qu’ils en semblent anodins, cachent derrière eux des processus de production polluants et finissent, lorsque nous en avons terminé, dans les dépotoirs, dans la terre, dans l’eau. Nous, nord-américains, produisons une quantité astronomique de déchets, dont il faut bien se débarrasser. Évidemment, il n’est pas question de retourner au mode de vie des hommes (et des femmes!) des cavernes. Cependant, nous pouvons apporter de petits changements simples à nos habitudes de vie, qui, en s’additionnant, peuvent diminuer significativement l’apport de substances toxiques dans notre milieu. Arrêtons de faire chauffer le moteur de notre automobile dix minutes avant de partir travailler, c’est autant d’hydrocarbures en moins qui seront brûlés. D’accord, nous aurons un peu froid pendant les cinq premières minutes : est-ce dramatique? Pourquoi ces automobiles stationnées côte à côte, moteurs tournant allègrement, et passagers bavardant d’un véhicule à l’autre pendant des heures? Ne serait-ce pas plus confortable dans un café ou un restaurant? En utilisant des sacs à provisions réutilisables en coton, vendus dans certaines épiceries, nous diminuerons de façon notable l’utilisation du plastique (et en plus, ces sacs sont beaucoup plus solides et ne répandront pas les boîtes de conserves sur le trottoir!). Cessons de jeter nos déchets sur la plage et de les y brûler et utilisons le service de ramassage d’ordures pour lequel nous payons des taxes. Et bien entendu, cessons de faire brûler des bateaux et des usines, avec tout le cortège de dioxines, hydrocarbures, butyl-étains, etc. que cela envoie dans l’atmosphère!

Elise Mayrand


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