Une équipe étudiante en génie électrique mène un projet pour Michelin

Photo prise sur le site de Michelin à Waterville, N.-É.

De gauche à droite: Yassine Bouslimani, professeur titulaire au Département de génie électrique, Ibrahim Kadri, doctorant et assistant de recherche au laboratoire REI 4.0, Maguette Leye, étudiante en 5e année en génie électrique, Jacob Moreau, étudiant en 5e année en génie électrique (COOP), Hippolyte Muaka Mvuezolo, étudiant en 5e année en génie électrique, Ryan LeBlanc, ingénieur de recherche au laboratoire R.E.I. 4.0, puis Reda Errahali, ingénieur en automatisation chez Michelin et ancien de l’Université de Moncton.

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Dans le cadre du projet de fin d'études du cours GELE5700 – Projet de fin d'études, trois personnes finissantes du programme de génie électrique réalisent un projet de conception pour le groupe Michelin.

Leur travail aborde la mise à jour d’une ligne de production et l’implémentation de nouveaux protocoles de sécurité. Le projet sera réalisé entre le mois de novembre 2022 et le mois d’avril 2023. Une entente de partenariat a été signée à ce sujet entre la Faculté d’ingénierie de l’Université de Moncton et Michelin North America inc.

« Je me réjouis que nos étudiantes et étudiants en génie électrique aient cette opportunité intéressante de développer leur capacité à résoudre des problèmes d’ingénierie complexes et évolutifs afin de répondre aux besoins d’une entreprise mondiale d’une grande envergure comme Michelin. », a souligné le professeur Mohsen Ghribi, directeur du Département de génie électrique.

L’équipe étudiante est composée de Maguette Leye, étudiante en 5e année en génie électrique, Jacob Moreau, étudiant en 5e année en génie électrique (COOP) et Hippolyte Muaka Mvuezolo, étudiant en 5e année du programme de génie électrique. Elle sera supervisée par le Yassine Bouslimani, professeur titulaire au Département de génie électrique. Deux chercheurs du laboratoire de robotique, électronique et industrie 4.0 (REI 4.0), soit Ryan LeBlanc, ingénieur de recherche, et Ibrahim Kadri, doctorant, participeront également au projet en apportant un soutien additionnel.