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Dimanche 21 Mai 2017

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Première cohorte de diplômés en aménagement des forêts à l’UMCE!


Les étudiantes et étudiants des programmes d’études de l’École de foresterie constituent une famille tissée serrée. Les membres du personnel et du corps professoral participent à leur succès comme en témoigne cette photo. De gauche à droite, Daniel Gautreau, agent de liaison et responsable des programmes coopératifs de l’UMCE, Issa Coulibaly, d’Abidjan, Côte d’Ivoire (maitrise ès sciences forestières), Guyôm Cheval, de Sherbrooke, au Québec (baccalauréat en aménagement des forêts), François Bellavance, de Chibougamau, au Québec (baccalauréat en aménagement des forêts), Hector Guy Adégbidi (professeur), Joëlle Deschênes, de Rimouski, au Québec (baccalauréat en aménagement des forêts, récipiendaire du prix d’excellence de son programme et de la médaille d’or de l’Institut forestier du Canada), Richard Barry (professeur), Sihoué Diédhiou, de Cap Skirring, au Sénégal (maitrise ès sciences forestières), Stephen Wyatt (professeur), Roby Martel, de Kedgwick (baccalauréat en sciences forestières), et Roger Roy (directeur de l’École de foresterie). Absents : Ognel Pierre Louis, de Jérémie, en Haïti (maitrise ès sciences forestières), et les bacheliers en aménagement des forêts, Francis Barriault, de Carleton, au Québec, Alexandre Gendron, de Québec, et Pierre-Louis Harton, de Québec. (Photo Michel Carrier, MPA)
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L’École de foresterie de l’Université de Moncton, campus d’Edmundston (UMCE), effectue un retour en force!

Il y a quelques années, le programme avait peine à recruter de nouvelles étudiantes et de nouveaux étudiants. Aujourd’hui, avec un contexte économique plus favorable et la multiplication des ententes et des liens plus étroits avec des collèges québécois offrant la technique forestière, l’avenir est de plus en plus florissant!

Et l’École de foresterie récolte les fruits d’une cure de jouvence amorcée en septembre 2014 quand elle accueillait ses premières étudiantes et premiers étudiants au programme de baccalauréat en aménagement des forêts. Samedi, l’étudiante et les cinq étudiants de cette première cohorte recevait leur diplôme. Et la moisson pour la foresterie ne s’arrêtait pas là car on a également décerné un diplôme à un étudiant en sciences forestières et à trois autres de la maitrise ès sciences forestières.

François Bellavance est âgé de 23 ans. Il habite Chibougamau, une ville du Nord québécois de 7 500 habitants. Habitué des longs déplacements, il a obtenu son diplôme d’études collégiales (DEC) au cégep de Chicoutimi, localité située à quatre heures de route de Chibougamau. Après une année sur le marché du travail, il replonge dans les études et opte pour le tout nouveau baccalauréat en aménagement des forêts offert à l’UMCE dès la rentrée automnale de 2014.

« En venant à Edmundston, cela m’a permis de réduire le temps de mes études d’une année. Je vous dirais que mes trois années ici ont passé comme un clin d’œil.. », a constaté François Bellavance.

Les cinq autres bacheliers en aménagement des forêts proviennent du Québec car ce sont des cégépiens ayant reçu une équivalence d’une année lors de leur inscription à l’UMCE il y a trois ans.

« Nous étions un peu plus âgés que ceux qui entreprenaient leurs études comme nous à Edmundston. Mais graduellement, nous avons développé des liens d’amitié avec toutes les étudiantes et tous les étudiants du programme. Nous formions une belle famille. Ce qui est particulier, c’est que chacun pouvait compter sur tout le monde. Quand c’était le temps d’étudier, nous étions sérieux, et quand l’esprit était à la fête, tout le monde participait », a expliqué François Bellavance qui travaille aujourd’hui dans l’entreprise Les Chantiers Chibougamau, une usine de transformation de bois qui a notamment comme client l’usine Boise Cascade du quartier Saint-Jacques d’Edmundston où travaille Sihoué Diédhiou qui a reçu samedi la maitrise ès sciences forestières.

Qu’ils portent le titre d’ingénieur forestier (au Québec) ou de forestier professionnel (au Nouveau-Brunswick), les diplômés de la grande famille de l’École de foresterie de l’UMCE se recroisent bien souvent une fois sur le marché du travail, même si la distance les sépare de plus de huit heures comme c’est le cas entre Sihoué et François.

Sihoué Diédhiou est âgé de 28 ans. Il est originaire de Cap Skirring, au Sénégal, une ville touristique de 1 800 habitants du Sénégal aux superbes plages sablonneuses du littoral atlantique. Il a complété ses études de maitrise en sciences forestières en septembre 2016. Depuis novembre dernier, il occupe le poste de contrôleur de qualité chez Boise Cascade de Saint-Jacques.

« C’est un bon travail et j’œuvre dans un bel environnement. Il est drôle de constater que François et moi travaillons aujourd’hui dans deux entreprises éloignées à la fois compétitrices et dans un contexte où l’une approvisionne l’autre », a analysé Sihoué, sourire en coin.

Après avoir obtenu un baccalauréat en agroforesterie dans son pays, Sihoué prend la grande décision de venir au Canada afin d’y poursuivre ses études.

« J’ai choisi Edmundston car l’agent de recrutement au Sénégal, un ancien de l’Université de Moncton, m’a dit qu’Edmundston était la meilleure destination en raison de son emplacement dans une zone forestière », a mentionné Sihoué qui, depuis son arrivée au Nouveau-Brunswick, en septembre 2013, a travaillé dans la forêt chaque été.

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Source : Hugues Chiasson, coordonnateur des communications (506 737-5034 – b)


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