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Mercredi 18 Mai 2011

Mercredi 18 Mai 2011

Contribution du professeur Ruben Sandapen au Jefferson Lab

Ruben Sandapen, professeur au Département de physique et d’astronomie du campus de Moncton, a prononcé une conférence dans le cadre du 19e colloque international Deep-Inelastic Scattering and Related Subjects (DIS 2011), qui a eu lieu au Thomas Jefferson National Accelerator Facility, un laboratoire de physique nucléaire situé à Newport News, en Virginie.

La conférence du professeur Sandapen, intitulée « Phenomenology of Distribution Amplitudes for the p meson », présentait ses plus récents résultats de recherche portant sur la structure d’une particule appelée le méson p. Ce méson est l’assemblage d’un quark et d’un antiquark. Selon la physique moderne, ces quarks (et antiquarks) sont les constituants ultimes de la matière. Ils interagissent entre eux en échangeant des gluons, un peu comme des joueurs de hockey qui s’échangent la rondelle pendant un match. La théorie de la chromodynamique quantique (QCD) décrit bien cette interaction entre quarks lorsque la distance qui les sépare est faible, c’est-à-dire lorsqu’elle est très inférieure à la taille d’un proton, environ un millionième d’un nanomètre (10-15 mètres).

Toutefois, lorsque la distance entre les quarks croît, l’intensité de l’interaction augmente et la situation se complique. La théorie QCD perd de son pouvoir prédictif et la modélisation est indispensable. C’est en analysant numériquement les données expérimentales provenant du collisionneur électron-proton HERA à Hambourg, en Allemagne, que le professeur Sandapen a pu extraire de nouvelles informations sur l’interaction entre le quark et l’antiquark qui constituent le méson p.

Depuis environ une dizaine d’années, M. Sandapen collabore avec des chercheurs basés à l’Université de Manchester, en Grande-Bretagne, et à l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN), à la frontière franco-suisse où se trouve le Large Hadron Collider (LHC).

Son domaine de spécialisation est l’interaction forte, c’est-à-dire la force qui agit entre les quarks et dont les gluons sont les messagers. C’est cette même force qui, à plus grande échelle, lie les protons et les neutrons dans le minuscule noyau atomique. Cette force est l’une des quatre forces fondamentales de la nature, les trois autres étant l’interaction faible, la force électromagnétique et la gravité. Ces deux dernières nous sont familières et relativement bien comprises. Par contre, notre compréhension de l’interaction forte est encore incomplète et est toujours un sujet de recherche contemporain.

La communication du professeur Sandapen est disponible à l’adresse Internet ci-dessous.

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Renseignements : ruben.sandapen@umoncton.ca



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