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Jeudi 17 Mars 2011

Jeudi 17 Mars 2011

Essais littéraires : Michèle Hébert, quatrième au Canada


Michèle Hébert
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Michèle Hébert, étudiante de première année à l’Université de Moncton, campus d’Edmundston (UMCE), a remporté la quatrième position du 9e Concours d’essais littéraires Jean-Robert-Gauthier et une somme de 1 000 $. Les prix de ce prestigieux concours étudiant ont été remis le 4 mars dernier dans la capitale nationale, à l’occasion du Gala des Clubs Richelieu de la région d’Ottawa.

Les concurrentes et concurrents étaient invités à rédiger un texte de 1 000 mots sur le thème « Comment une minorité linguistique, comme celle des francophones hors-Québec, peut-elle et surtout doit-elle développer des mécanismes autonomes de prise en charge de sa socioéconomie, si elle veut s’épanouir? »

Le texte de Michèle Hébert s’intitule « Initatives de prise en charge de la socioéconomie des minorités linguistiques ». Selon elle, les composantes clés d’une communauté minoritaire linguistique doivent d’abord être identifiées, puis réunies, avant d’établir un plan d’action dynamique qui assurera son épanouissement et sa pérennité.

Michèle Hébert fait notamment allusion, dans sa dissertation, à l’importance d’organiser des évènements rassembleurs d’envergure misant, ce faisant, sur les talents et produits locaux, de même que sur la participation du plus grand nombre de gens.

Le concours s’adresse annuellement à tout étudiant francophone issu d’un milieu francophone minoritaire au Canada et inscrit à un établissement postsecondaire francophone ou bilingue au Canada. Les quatre meilleurs essayistes se partageaient la somme de 10 000 $ offerte par le Fonds de bourses Jean-Robert-Gauthier, en l’honneur du défunt politicien d’Ottawa hautement décoré et ardent défenseur des langues officielles.

Âgée de 18 ans et originaire d’Edmundston, Michèle Hébert a avoué qu’elle avait été quelque peu surprise d’avoir été sélectionnée.

« J’ai soumis mon texte en janvier. Le temps passait et j’avais pratiquement oublié cette rédaction. Mais j’ai reçu un appel du comité organisateur à la mi-février m’annonçant que je figurais parmi les quatre finalistes au pays. J’étais très contente et très excitée. J’étais seule à la maison quand j’ai reçu la nouvelle. Tout de suite, j’ai appelé mes amis afin de leur partager ma grande joie », a-t-elle raconté.

Michèle Hébert a indiqué que le désir de participer au concours ne s’est pas présenté immédiatement. « Quand l’invitation s’est présentée, a-t-elle évoqué, je ne me suis pas senti interpellé immédiatement. J’ai mis cela de côté. Puis, j’ai reçue les encouragements de ma professeure, Samira Belyazid, qui me disait de tenter ma chance. Alors, je m’y suis plongée. J’ai fait beaucoup de recherche sur le sujet. Avec l’information recueillie, j’ai pu concevoir un plan et composer ».

Selon la jeune lauréate, une cinquantaine de textes ont été soumis aux membres du jury. Elle est la première candidate d’Edmundston à obtenir un si bon classement. Autre fait à souligner, Michèle Hébert emprunte un sentier quelque peu différent de sa passion pour le français puisqu’elle étudie en éducation (B. Sc.-B. Éd.) avec des concentrations en mathématiques et en chimie.

« J’en ai mis du temps à me décider au secondaire à savoir dans quelle discipline étudier. J’adorais également la math et le français. Ce que j’aime du français, c’est la grammaire et sa logique », a commenté celle qui a déjà remporté des concours de dictée PGL à l’école Notre-Dame d’Edmundston, et d’épellation du District scolaire 3 en mars 2005.

Michèle Hébert a une plume remarquable et n’écarte pas la possibilité de s’inscrire à nouveau au Concours d’essais littéraires Jean-Robert-Gauthier ou à d’autres épreuves de français.

Le texte de Michèle Hébert peut être reproduit. Il est disponible en version Word (http://www.umce.ca/communications/ESSAI_concours_Michele_Hebert.docx)ou pdf (http://www.umce.ca/communications/ESSAI_concours_Michele_Hebert.pdf).

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Source : Hugues Chiasson, coordonnateur des communications à l'UMCE (737-5034 - b)

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