Mardi 24 Novembre 2015
Le professeur Pier Jr Morin obtient une subvention de la SLA
La photo nous fait voir, de gauche à droite, Francis LeBlanc, doyen de la Faculté des sciences; Rodney Ouellette, directeur de l’Institut atlantique de recherche sur le cancer; Kimberly Carter, présidente et directrice générale de la SLA du N.-B. et de la N.-É.; et Pier Jr. Morin, professeur au Département de chimie et biochimie.
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« La subvention de recherche octroyée par SLA Canada et Brain Canada, s’élevant à 100 000 $ sur 2 ans, contribuera sans aucun doute à soutenir les efforts de cliniciens et chercheurs de haut niveau dans la province et visera à développer des approches novatrices qui permettront d’identifier des pistes diagnostiques nouvelles pour les gens atteints de la SLA. L’isolation et la quantification d’ARNs non-codants dans des échantillons circulant via une technique d’isolation de pointe développée à Moncton présentent une avenue excitante qui mènera à l’identification de biomarqueurs à caractère diagnostique et pronostique pour la SLA », a mentionné le professeur Morin.
La SLA, également appelée maladie de Lou Gehrig, est une maladie neuromusculaire dont l’évolution est rapide et l’issue, fatale. Elle se caractérise par une dégénérescence d’un ensemble précis de cellules nerveuses et de voies de signalisation dans le cerveau et la moelle épinière, entraînant une paralysie progressive des muscles. Entre 2 500 et 3 000 Canadiennes et Canadiens vivent présentement avec la SLA et la durée de vie moyenne est de deux à cinq ans après le diagnostic.
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