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Mardi 04 Mars 2014

Mardi 04 Mars 2014

Le cinéma acadien serait sous-exploité


La photo nous fait voir, de gauche à droite, la professeure Andrée Roy du Département de comptabilité; Marc Gauthier, le conférencier; Alice Olive, étudiante, et Egbert McGraw, professeur au Département de comptabilité et directeur du Centre de commercialisation internationale.
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À l’invitation du Centre de commercialisation internationale de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton, Marc Gauthier, directeur général du Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA), a prononcé une conférence intitulée «Sous-développé ou sous-exploité : les défis du cinéma francophone en Acadie».

Cette conférence, présentée dans le cadre de la Semaine internationale du campus de Moncton, a rassemblé plus d’une trentaine de personnes intéressées par les défis de l’industrie cinématographique francophone.

Selon monsieur Gauthier, le Nouveau-Brunswick ne possède pas de moyens de promotion, de distribution et de financement suffisants pour permettre aux films d’ici d’avoir une longue vie.

« Les films acadiens ont une durée de vie relativement courte. Ils sont quelques fois diffusés à la télévision, mais à moins de se démarquer vraiment, ils se retrouvent sur les tablettes. Il y a cependant quelques festivals de cinéma au Québec qui commencent à faire connaître nos œuvres acadiennes », souligne monsieur Gauthier.

Il croit que le court métrage constitue une avenue importante pour développer l’industrie cinématographique acadienne. Au cours de la dernière année, le FICFA en a d’ailleurs produit 15 dans le cadre de diverses activités.


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