Le film « Les chevaux de la seconde chance » est présenté aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie

Le film « Les chevaux de la seconde chance », de John Zaritsky (2007, 53 minutes), prend l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie, le lundi 7 octobre à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. Le réalisateur oscarisé John Zaritsky braque sa lentille sur des criminels endurcis qui s’appliquent à dompter des mustangs sauvages.

Le court métrage « Un cheval à toute vapeur », de Kaj Pindal (1973, 8 minutes) précédera la présentation principale. L’entrée est libre.

Les chevaux de la seconde chance
Dans une prison des contreforts des montagnes Rocheuses dans le désert du Colorado, des criminels endurcis à qui on enseigne les méthodes de dressage de « ceux qui savent parler aux chevaux » disposent de 90 jours pour dompter des mustangs sauvages provenant des troupeaux qui vivent sur les terres publiques. Alors que l’échec signifie une autre défaite pour le détenu, la réussite pourrait bien sauver la vie de l’homme et celle de l’animal. La plupart des détenus inscrits volontairement à ce programme de réhabilitation unique n’ont jamais monté un cheval auparavant. C’est une production de Terence McKeown.

Un cheval à toute vapeur
Humoristique, plein de trouvailles inimaginables, ce court métrage d'animation de Kaj Pindal invite le spectateur à suivre les cabrioles d'un cheval qui tente d'acquérir une force équivalente à celle d'un cheval-vapeur. Le directeur de l'Institut, James Watt, le conseille sagement et lui rend la dignité que lui avait léguée Centaure, son illustre ancêtre.

Bientôt à l’affiche
Dans la semaine du 13 au 17 octobre, le film « YUL 871 », du réalisateur Jacques Godbout (1966, 70 minutes), prendra l’affiche. L’œuvre de fiction raconte l’histoire d’un ingénieur européen de passage à Montréal qui doit attendre deux jours avant un rendez-vous d'affaires et qui, pour tuer le temps, se promène dans les rues à la recherche de ses parents, dont la guerre l'a séparé à l'âge de quatre ans.


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