Vol. 48, no 04
05 octobre 2017
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, à l’avant, Raymond Théberge, recteur et vice chancelier et Jason Shannon, président directeur de l’exploitation, Shannex Inc. À l’arrière, Suzanne Dupuis-Blanchard, titulaire de la Chaire de recherche en santé CNFS-Université de Moncton sur le vieillissement des populations, directrice du Centre d’études du vieillissement et professeure agrégée de l’École de science infirmière et Christina Cormier, directrice générale du Faubourg du Mascaret.
Signature du protocole d’entente entre l’Université de Moncton et Shannex Inc.
L’Université de Moncton et l’entreprise Shannex Inc. ont conclu aujourd’hui un protocole d’entente.

Le protocole d’entente permettra, entre autres , aux étudiantes et étudiants de l’Université de Moncton de profiter du Centre collaboratif d’apprentissage sur le vieillissement, un partenariat entre l’Université de Moncton et Shannex, afin de bonifier leur formation universitaire. Cette entente permettra également aux chercheures et aux chercheurs de bénéficier de ce partenariat pour des projets de recherche sur des thématiques relatives à la santé et au vieillissement.

Cette entente entre en vigueur dès sa signature et se poursuit pour une durée de cinq années après quoi l’entente sera révisée par les deux parties.
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La photo nous fait voir la classe de maître de luth.
Le professeur Michel Cardin au Japon
Le professeur Michel Cardin, du Département de musique de la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de Moncton, a été conjointement invité par le Tokyo Art Museum et la Société de luth Japonaise à donner deux concerts à ce musée ainsi qu’une classe de maître au Conservatoire de Chofu-Tokyo.

Les prestations ont eu lieu les 9, 10 et 11 septembre dernier. C’était la deuxième visite de M. Cardin au Japon et il a pu constater que l’engouement pour la musique de luth y était toujours aussi présent.

Pour ces concerts, il a joué en duo avec la flûtiste japonaise réputée Risa Kawabata. C’est une riche collaboration qui pourrait se répéter dans un futur proche, le Tokyo Art Museum ayant souhaité que le duo se produise à nouveau dans une prochaine série de concerts. Le succès des disques de luth en solo de Michel Cardin ne se dément pas non plus. On peut toujours les voir dans les magasins de disques de Tokyo, comme à leur sortie il y a maintenant une vingtaine d’années déjà. La série Weiss de 12 albums de Michel Cardin a été republiée par la maison Brilliant Classics en 2015 et est disponible partout sur la planète.
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Sur la photo, on voit Jessica Bernier, recevant le roman Herr Brechbühl sucht eine Katze de l’écrivain suisse allemand Tim Krohn, publié aux éditions Galiani-Berlin en 2017. De gauche à droite : Julie Arsenault, directrice du Département de traduction et des langues ; Jean-François Thibault, doyen de la Faculté des arts et des sciences sociales ; Michel Mallet, professeur d’allemand au Département de traduction et des langues ; et Jessica Bernier, la lauréate.
Remise du Prix de l’ambassade de Suisse
Le Département de traduction et des langues de la Faculté des arts et des sciences sociales a remis le Prix de l’ambassade de Suisse à Jessica Bernier, finissante au baccalauréat en traduction à l’Université de Moncton. Elle s’est distinguée dans les cours d’allemand, une des quatre langues officielles de la Confédération helvétique.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Angélie Essiembre Guitard, Naorën Vernouillet, Chanel Brideau, Maëlly Haché Chiasson et Jocelyn Landry.
Cours intensifs d’allemand et de traduction à la Hochschule Augsburg, en Allemagne
Le 2 mai dernier, après avoir passé sept mois à organiser des activités mensuelles de collecte de fonds et à préparer leur voyage, quatre étudiantes et un étudiant de la Faculté des arts et des sciences sociales sont partis pour l’Europe. Ils ont d’abord fait un séjour touristique de trois jours à Prague qui leur a permis de découvrir l’architecture magnifique et l’héritage historique à la fois germanophone et slave de la capitale de la République tchèque. Puis, ils sont partis pour Augsbourg, en Allemagne, la principale destination de leur voyage. Durant deux semaines, ils ont suivi deux cours intensifs à la Hochschule Augsburg : un cours d’allemand axé sur le tourisme et le commerce, dispensé par le professeur Michel Mallet; un cours de traduction commerciale centré sur le domaine de l’automobile, donné par la professeure Julie Arsenault.

C’est grâce à une initiative du professeur Mallet et de sa collègue Marie-Hélène Lamarche, professeure de français à la Hochschule Augsburg, que ce projet de nature expérientielle a vu le jour. Cette initiative, qui a mené à la signature d’une entente entre les deux institutions, a permis aux professeurs Arsenault et Mallet du Département de traduction et des langues d’utiliser les locaux de le Hochschule Augsburg pour donner leurs cours. Or, sans le soutien des différentes instances subventionnaires, à savoir le Décanat de la Faculté des arts et des sciences sociales, le Vice-rectorat à l’enseignement et à la recherche, le Service de mobilité internationale, et le Bureau des diplômés et de L’alUMni, le projet novateur qui a eu d’importantes retombées positives n’aurait pas pu se concrétiser.

Les professeurs Lamarche et Mallet ont également travaillé en collaboration afin d’organiser des activités culturelles qui ont mis en contact les étudiantes et l’étudiant de l’Université de Moncton avec celles et ceux de la Hochschule Augsburg. La visite d’une brasserie suivie d’un repas traditionnel dans l’établissement, la soirée au restaurant de l’hôtel de ville d’Augsbourg qui offre une carte de plats typiques, le verre pris sur la terrasse du toit d’un immeuble du centre-ville, le tour de bateau sur l’un des nombreux canaux de la ville et le tour de ville à vélo ont été autant d’occasions pour les étudiantes et l’étudiant de parler allemand, de nouer de nouvelles amitiés et de découvrir de nouvelles facettes de la culture germanophone dans des contextes variés et stimulants.

Elles et il ont enrichi leur connaissance de la culture germanophone et ont multiplié les occasions de pratiquer leur allemand lorsqu’elles et il se sont rendus à Salzbourg en Autriche pour passer la fin de semaine qui a suivi leur première semaine de cours, mais également lorsque, une fois leurs cours terminés, elles et il ont découvert deux autres villes d’Allemagne, Heidelberg et Stuttgart, et la ville de Luxembourg. La visite des musées des grands constructeurs automobiles que sont Mercedes et Porsche à Stuttgart a été une belle façon de conclure les deux semaines de cours.

Il n’y a aucun doute, les voyages forment la jeunesse. La visite de quatre pays en trois semaines et deux semaines de cours intensifs à la Hochschule Augsburg ont permis aux quatre étudiantes et à l’étudiant d’acquérir de nouvelles connaissances académiques et culturelles, et de gagner en autonomie, mais également de développer leur capacité à travailler en équipe et à se débrouiller.
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Tenue du Congrès annuel de l’Association des politologues des provinces de l’Atlantique
Les 14 et 15 octobre 2017, le Congrès annuel de l’Association des politologues des provinces de l’Atlantique se tiendra au pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton de l’Université de Moncton.

Tous les membres de la communauté universitaire sont invités à assister, gratuitement, aux activités scientifiques du Congrès.

Il y aura une table ronde qui proposera un regard critique sur les grands enjeux de l’Acadie d’aujourd’hui. Participeront à cette table ronde : Mathieu Wade, Joel Belliveau, Michelle Landry, Maurice Basque et Roger Ouellette. Cet événement aura lieu le samedi 14 octobre au local 434 du pavillon Léopold-Taillon, de 14 h 30 à 16 h 30.

Le programme détaillé est disponible en ligne.

Pour de plus amples renseignements, prière d’envoyer un courriel à l’adresse appsa2017@gmail.com.
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Dans la rangée du haut, la photo nous fait voir, de gauche à droite, Véronique Landry, chargée d’enseignement clinique; Vickie Noël, étudiante; Gina Lavallée, étudiante; Éva Cormier-Langford, étudiante; et Stéphanie Ouellette, étudiante. Dans la rangée du bas, de gauche à droite, Céline Michaud, étudiante; Marisol Beaudry, étudiante; et Linda Arseneault, chargée d’enseignement clinique.
Conférence du groupe d’intérêt des infirmières praticiennes du Nouveau-Brunswick
Les 21 et 22 septembre dernier, un groupe d’étudiantes inscrites au programme de maîtrise en science infirmière - infirmières et infirmiers praticiens est allé à la dixième conférence du groupe d’intérêt des infirmières praticiennes du Nouveau-Brunswick.

Cette conférence a permis aux étudiantes d’en apprendre davantage sur les nouveautés dans la pratique comme l’aide médicale à mourir, les soins de fin de vie, la crise des opioïdes, la santé des transgenres, etc. De plus, les étudiantes ont eu la chance de faire du réseautage avec l’ensemble des infirmières praticiennes du Nouveau-Brunswick.
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Tenue de la conférence Du « choc des civilisations » au racisme décomplexé
Le Cercle philo du Département de philosophie de l’Université de Moncton invite la communauté universitaire à la présentation de la conférence Du « choc des civilisations » au racisme décomplexé, par Siegfried Mathelet, chercheur de la Chaire UNESCO d’études des fondements philosophiques de la justice et de la société démocratique à l’Université du Québec à Montréal. Cette conférence aura lieu le jeudi 12 octobre 2017 à 16 h 30, au local 178 de la Bibliothèque Champlain du campus de Moncton.
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L’islamophobie contemporaine au Québec : de la banalisation au surgissement des extrêmes et de la violence
Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) tiendra une conférence-atelier intitulée L’islamophobie contemporaine au Québec : de la banalisation au surgissement des extrêmes et de la violence avec Siegfried Mathelet, chercheur de la Chaire UNESCO d’études des fondements philosophiques de la justice et de la société démocratique, UQAM et Ibrahim Ouattara, professeur de philosophie à Université de Moncton. L’événement aura lieu le vendredi 13 octobre 2017, de 15 h à 17 h, au local 178 de la Bibliothèque Champlain du campus de Moncton.

On y proposera de revenir sur le processus de progression de l’islamophobie au Québec amorcé lors de la « crise » des accommodements raisonnables et précipité pendant le débat sur la Charte de la laïcité (2013-14). Un processus qui donne lieu à l’activation militante de groupes d’extrême droite, dont plusieurs de création récente ; ainsi qu’à une augmentation des crimes contre des institutions ou des personnes en vertu de leur appartenance réelle ou alléguée à l’islam ; dont l’attentat au Centre culturel islamique de Québec (CCIQ). On y plaidera donc que les schèmes idéologiques liés à l’islamophobie furent d’abord portés au centre du débat politique québécois, avant de se radicaliser vers les extrêmes ou de se traduire par une augmentation de violences verbales ou physiques. La première partie de l’exposé portera sur la phase de banalisation, le deuxième sur la phase de radicalisation.

Après avoir défini et explicité les origines du concept d’islamophobie, la première partie examinera les principaux schèmes idéologiques qui ont participé à son développement contemporain au Québec. On y verra que l’idée centrale à cette forme de (néo)racisme, aussi dit « différentialiste », soit l’incompatibilité entre les personnes pratiquant l’islam et les cultures nationales d’ascendance européenne, s’est installée à droite comme à gauche de l’échiquier politique. À la faveur du débat sur un projet de loi aux aspects discriminatoires qui présentait la laïcité comme rempart pour protéger la culture nationale, l’islamophobie s’est passablement banalisée dans le discours public et politique.

Dans la deuxième partie, on reviendra rapidement sur le concept de radicalisation et le processus menant à la violence, avant d’aborder le développement des extrêmes droites et la situation des crimes islamophobes. Les extrêmes droites, déjà alimentées par une « fachospère » mondialisée, ont profité du contexte de banalisation pour se mobiliser sous diverses bannières. Parallèlement, les données rejoignent les témoignages et montrent une augmentation des crimes islamophobes depuis 2014. La clé de compréhension de ce phénomène social de radicalisation, plaidera-t-on, ne réside pas tant dans l’idéologie, que dans le fait qu’il s’alimente aux mêmes causes socioéconomiques que le développement de l’idéologie islamophobe.

Dans un contexte de subordination du politique à l’économique, de perte relative de pouvoir des parlements comme des individus et d’appauvrissement des classes moyennes et populaires, le tout fond de conflits incessants au Moyen-Orient et de progression du terrorisme lié au djihadisme salafiste : l’idéologie islamophobe répond à la quête de sens d’individus pouvant par ailleurs être psychologiquement disposés à la violence et leur fournit une cible, alors que l’extrême droite véhicule ce sens, l’exulte et est susceptible de leur apporter un réseau social renforçant leurs motivations envers des expressions violentes. Heureusement, le groupe social peut également contenir la violence. Si c’est le cas d’une extrême droite en quête de normalisation, ce n’est pas généralisé chez elle. Le danger actuel est donc que la radicalisation continue de progresser dans ce bassin pour se diriger vers une violence dirigée contre les musulmans qui, si elle n’était organisée, serait sciemment cultivée.
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Vidéoconférence PEP : L’influence du contexte sur le développement des enfants d’âge préscolaire : résultats d’une recherche-intervention
Dans le cadre de son Programme d’excellence professionnelle (PEP), le Consortium national de formation en santé (CNFS) - Volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS - Volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéo, en direct de l’Hôpital Montfort, à Ottawa.

Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux professionnelles et professionnels de la santé.

La deuxième conférence de la programmation Automne 2017 aura lieu le jeudi 12 octobre 2017 de 13 h à 14 h. Elle s’intitule L’influence du contexte sur le développement des enfants d’âge préscolaire : résultats d’une recherche-intervention et sera présentée par Louise Legault, chercheure associée à la Société de recherche sociale appliquée à Ottawa.

Devenir francophone est l’aboutissement d’un processus de socialisation prenant place dans les milieux familial, préscolaire, scolaire et socio-institutionnel. Or, la réalité d’un contexte minoritaire fait en sorte que les enfants d’âge préscolaire sont exposés à deux cultures à un moment où leur identité se définit et leurs habiletés langagières sont en développement. D’où l’importance de les exposer au français dans l’ensemble des contextes sociaux dès la petite enfance. C’est dans cet esprit que le projet Capacité d’apprentissage a évalué rigoureusement un programme visant à influencer les principaux milieux – garderie et foyer – dans lesquels l’enfant grandit, avec une attention particulière au développement des compétences langagières, de l’identité et du sentiment d’appartenance envers la communauté francophone, en plus de l’acquisition de compétences associées à la réussite scolaire. Au-delà de ces retombées, cette stratégie est l’une parmi d’autres sur laquelle comptent les communautés francophones minoritaires pour assurer leur vitalité ethnolinguistique.

À noter que cette conférence est diffusée en mode webinaire (de votre poste de travail). Toutefois, il est possible de réserver une salle médiatisée pour diffuser la conférence pour les groupes d’au minimum huit personnes qui en feront la demande au moins une semaine avant la diffusion.

Pour obtenir le lien permettant de visionner la conférence ou pour plus de renseignements, prière de communiquer avec Myriam Cormier ou Rachelle Lanteigne au CNFS - Volet Université de Moncton : cnfs@umoncton.ca/858-4655.


La programmation complète est disponible en ligne.
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L’équipe CONNECT à l’Expo 2017 sur l’autisme à Dieppe
L’Expo 2017 sur l’autisme à Dieppe, tenue le dimanche 1er octobre, fut un succès. Première exposition de ce genre au Nouveau-Brunswick, l’Expo 2017 a été organisée par le Centre de ressources sur l’Autisme et a permis de rassembler les organisations offrant des services aux familles touchées par l’autisme. L’équipe CONNECT était sur place.

Les bénévoles ont distribué et promu l’enquête CONNECT sur l’évaluation des besoins des adultes autistes et le Sommet sur les adultes autistes de novembre. Dre Caroline Jose, chercheuse à l’Unité de SUPPORT SRAP des Maritimes (USSM) et à l’Université de Moncton, était l’une des conférencières. Elle a présenté le projet CONNECT devant une salle bondée de parents, de professionnelles et de professionnels avides d’en apprendre davantage sur les services pour les adultes autistes au Nouveau-Brunswick.

D’excellentes conférences ont été données tout au long de la journée. Entre autres, Louise Tardif d’Autism Connections Fredericton a mis de l’avant les dix raisons essentielles pour lesquelles les autistes doivent faire partie du récit entourant les services et la recherche en autisme.

Pour en apprendre davantage sur le projet CONNECT et ce premier sommet interprovincial sur les adultes autistes, veuillez consulter le site Web ou envoyer un courriel à connect@mssu.ca.
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S’épanouir sous la pression : La résilience au travail
Pour souligner la Journée mondiale de la santé mentale 2017, le Comité Mieux-être universitaire, en collaboration avec le Service des ressources humaines et le programme d’aide aux employés et la famille Shepell, vous invite à son premier dîner-causerie, nommé S’épanouir sous la pression : La résilience au travail.

Cet atelier enseigne aux participantes et participants qu’une meilleure connaissance de soi et de la pratique les aideront à renforcer leur résilience lorsqu’elles et ils sont aux prises avec des situations difficiles. L’atelier a comme objectifs de comprendre pourquoi certaines personnes gèrent facilement des situations difficiles tandis que d’autres en sont accablées, de reconnaître que l’attitude, les gestes et les choix ont des répercussions sur la résilience, de comprendre le lien qui existe entre l’esprit et le corps et son effet sur la résilience et de mettre en œuvre des stratégies pour s’épanouir sous pression.

Cet atelier d’une heure, animée par Stéphanie Maillet, se déroulera au local 250 du CEPS Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton le mardi 10 octobre 2017. Un léger goûter sera servi. L’inscription est gratuite, mais vous devez vous inscrire avant le vendredi 6 octobre 2017.
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Lorsque l’art en dit plus que les mots
Dre Jalila Jbilou et son équipe de recherche, de l’Université de Moncton et du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB) mènent le projet Mind The Heart/Cœur à l’Esprit. Ce projet vise à faire la promotion et la sensibilisation du bien-être mental ainsi qu’à encourager l’adoption de pratiques saines et positives chez les personnes ayant vécu un événement cardiaque grave. Ce projet de recherche-action se penche sur le lien entre la dépression, l’anxiété et le syndrome post-traumatique avec les maladies cardiaques, en particulier chez les hommes. Une série d’interventions novatrices, intitulées InfoCardio, ont été développées en collaboration avec les patients et les professionnels de la santé du Programme Coeur en santé.

Le lundi 25 septembre 2017, plus d’une trentaine de personnes ont participé à l’exposition Des photos, des peintures, au-delà des mots. Les participants aux sessions PhotoVoice et PaintNight ont eu l’occasion d’y exposer leurs oeuvres et d’en discuter avec les invités. Ces interventions, développées sous la direction de Dre Jbilou, font partie d’une série d’activités artistiques de groupe menées au sein du programme Coeur en santé. Ces interventions reposent sur l’échange d’expériences, la discussion des défis ainsi que des stratégies d’adaptation positives en suite à un événement cardiaque grave. De plus, l’exposition a permis le lancement de capsules vidéo de sensibilisation sur les besoins psychologiques des hommes ayant vécu un événement cardiaque grave. Ces vidéos mettent en vedette des participants du programme Coeur en santé.

L’équipe Mind The Heart/Cœur à l’Esprit tient à remercier les artistes, les membres de la communauté qui ont assisté à cette exposition ainsi que Monique Dufour Doiron et Michèle Cormier, du programme Coeur en santé, pour leur précieuse collaboration.

Une entrevue, menée par Radio-Canada, a été faite avec Dre Jbilou.

Pour de plus amples renseignements, prière de communiquer avec Rana Sughayar, coordonnatrice nationale du projet, par téléphone au (506) 858-4721 ou par courriel à l’adresse rana.sughayar@umoncton.ca.
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Cours donné à l’amphithéâtre extérieur de la Bibliothèque Champlain
En septembre, Michel J. Johnson, professeur à l’École de kinésiologie et de loisir du campus de Moncton, a donné son cours d’Introduction à la kinésiologie à l’amphithéâtre extérieur de la Bibliothèque Champlain. M. Johnson a donné à ses étudiantes et étudiants un cours sur les Jeux olympiques et a décidé de faire un retour dans le temps de la Grèce antique et de réunir son groupe dans l’amphithéâtre. M. Johnson prévoit en refaire l’expérience dans les années à venir.
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Maëlle Rioux
La recrue Maëlle Rioux des Aigles Bleues s’alignera avec l’équipe de hockey de France
L’attaquante recrue des Aigles Bleues de l’Université de Moncton au hockey féminin, Maëlle Rioux, s’alignera avec l’équipe nationale féminine de la France pour le Tournoi de la Coupe des quatre nations, en Hongrie, du 6 au 13 novembre, à Miskolc.

Rioux a appris la nouvelle cette semaine. « C’est une expérience que je ne peux pas manquer, a dit la joueuse de 5 pieds et 2 pouces. C’est un nouveau départ pour moi. L’entraîneur-chef de l’équipe me donne une chance et je dois performer. »

Il y aura environ 22 filles qui y seront invitées et Rioux va tout mettre de son côté pour jouer. En 2013, elle avait été membre de l’équipe nationale -18 ans au Championnat du monde. Elle a aussi été convoquée à deux autres occasions, en Suisse et en Allemagne avec la formation française.

« J’ai bien joué et j’ai été rappelée, a-t-elle ajouté. Je suis excitée d’y aller et j’ai hâte. C’est une fierté de représenter mon pays. Je suis née en France et j’y ai vécu plusieurs années, tout comme au Canada. C’est important pour moi de représenter mon pays de naissance. »

La force de Rioux est sa vision du jeu. Elle est capable d’ouvrir le jeu, de faire de bonnes passes, de faire preuve d’intelligente avec la rondelle et de ne pas faire trop d’erreurs. La Hongrie, la France, le Danemark et la Corée du Sud seront du tournoi des quatre nations.

L’entraîneur des Aigles Bleues, Denis Ross, se dit heureux de cette chance pour sa joueuse, même s’il va la perdre pour quelques parties. « C’est un honneur pour notre programme de hockey, a dit Ross. Je suis bien heureux qu’elle puisse jouer sur la scène mondiale et acquérir cette expérience. »
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Serge LeBlanc
Serge LeBlanc vivra l’expérience olympique
Serge LeBlanc, préposé à l’équipement de l’Université de Moncton, de Grande-Digue, va vivre sa première expérience olympique. Ayant accepté un des deux postes de gérant de l’équipement de l’équipe canadienne de hockey sénior féminin, il participera aux Jeux olympiques de Pyeongchang, en Corée du Sud, en février.

LeBlanc a débuté son emploi à Calgary lundi et sera de retour au campus de Moncton le 2 avril 2018. L’équipe canadienne a un calendrier bien chargé au cours des prochains mois pour bien se préparer aux Jeux olympiques. La formation va disputer des rencontres face à des équipes masculines de catégorie midget AAA en Alberta, en plus de six matchs contre la formation américaine un peu partout en Amérique du Nord. L’équipe se rendra en Floride, en novembre, pour le tournoi des quatre nations. Les Jeux olympiques seront présentés en février 2018.

« J’ai accepté le poste de gérant d’équipement avec une autre personne, a dit LeBlanc avant son départ. On s’occupe de toute la logistique reliée à l’équipement des joueuses lors des voyages. On prépare le vestiaire et on veut éliminer tous soucis des athlètes en ce qui concerne leur équipement afin qu’elles puissent se concentrer sur leur tâche sur la glace. C’est ma première expérience avec l’équipe nationale séniore. J’ai travaillé avec l’équipe canadienne des -18 ans pendant deux saisons. J’aime aider les athlètes à se rendre au plus haut niveau possible dans leur sport. J’aime bien travailler avec la crème de la crème et j’ai hâte de commencer. C’était une très grande surprise d’avoir eu l’appel. Le fait qu’ils m’ont approché est un signe que j’ai fait quelque chose de bien dans mon domaine. »

Serge LeBlanc travaille avec le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton depuis cinq ans. « Je suis heureux que Serge LeBlanc puisse vivre cette expérience, a dit le directeur Marc Boudreau. C’est une expérience unique qui saura l’aider dans ses tâches avec nos équipes. Je lui souhaite, ainsi qu’à toute l’équipe, le meilleur des succès. »

L’équipe canadienne accueillera ses grandes rivales américaines le 22 octobre, à Québec, lors d’un rendez-vous préolympique. Elles en découdront également le 25 octobre à Boston, le 3 décembre à St. Paul, au Minnesota, le 5 décembre à Winnipeg et le 15 décembre à San Jose. Il reste à confirmer une troisième date pour un match au Canada. Les États-Unis, le Canada, la Suède et la Finlande s’affronteront du 5 au 12 novembre à Tampa, en Floride, dans le cadre de la Coupe des quatre nations.

Le Canada a gagné quatre médailles d’or olympiques d’affilée en hockey féminin, mais les Américaines ont remporté sept des huit derniers titres mondiaux. Vingt-huit joueuses canadiennes sont actuellement réunies à Calgary pour se préparer en vue des Jeux. Les Américaines font de même avec 23 hockeyeuses rassemblées à Tampa.
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Catherine Dupuis et Alexandre Thériault
Catherine Dupuis et Alexandre Thériault sont les athlètes de la semaine
Catherine Dupuis, joueuse de soccer de St-Mathias, et Alexandre Thériault, joueur de soccer de Dieppe, sont les athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed du 25 septembre au 1er octobre 2017. Ils ont été sélectionnés par le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton de l’Université de Moncton.

Au soccer féminin, l’attaquante Catherine Dupuis a marqué deux buts et effectué une passe dans la victoire de 4 à 0 des Aigles Bleues sur les Mounties de Mount Allison University, dimanche. Elle a pris 11 bottés, dont cinq bien cadrés au but. Son jeu offensif a grandement contribué aux efforts du Bleu et Or. Elle a marqué les deuxième et quatrième filets de son équipe en deuxième demie. Elle a été nommée joueuse Subway du match. Elle est étudiante au baccalauréat en gestion du loisir, sport et tourisme.

Au soccer masculin, le capitaine Alexandre Thériault a été un joueur clé dans le blanchissage de 8 à 0 des Aigles Bleus sur les Mounties. Le défenseur a été à l’origine de plusieurs montées en attaque pour les Aigles. Il a travaillé d’arrache-pied pour limiter le nombre de bottés vers son but et seulement un seul a atteint le gardien. Il est étudiant au baccalauréat en sciences sociales-criminologie.
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