Le Département d’histoire et de géographie sera l’hôte de la réunion annuelle de l’Association canadienne des géographes – section Atlantique

Du 18 au 20 octobre, le Département d’histoire et de géographie de l’Université de Moncton sera l’hôte de la prochaine réunion annuelle de l’Association canadienne des géographes de la section de l’Atlantique (ACGA).

Cette rencontre est l’occasion pour les géographes et « géophiles » de l’Atlantique de présenter leurs travaux couvrant les volets humain, physique et technique propres à la discipline géographique.

Des présentations orales et par affiches, en français et en anglais, auront lieu tout au long de la journée du samedi 19 octobre. Une sortie sur le terrain portant sur les défis de l’aménagement aura lieu à Dieppe le dimanche avant-midi 20 octobre.

Ce colloque est ouvert à l’ensemble de la communauté. Il n’y a pas de frais d’inscription pour les étudiants et étudiantes mais l’inscription est obligatoire pour participer aux activités.

La date limite pour soumettre un résumé pour une communication orale ou par affiche est le lundi 30 septembre. La deuxième circulaire ainsi que le formulaire d’inscription sont disponibles sur le site de l’ACGA (http://community.smu.ca/acag/).

Pour obtenir plus de renseignements, vous pouvez visiter le site internet de l’ACGA à l’adresse Internet ci-dessous ou joindre le professeur Guillaume Fortin, directeur adjoint du Département d’histoire et de géographie, au 858-4364.

Colloque international portant sur les variétés de français au Canada

La 5e édition de « Les français d’ici », colloque international portant sur les variétés de français au Canada, aura lieu les 12, 13 et 14 juin 2014 à l’Université de Moncton.

Organisé par le Centre de recherche en linguistique appliquée de l’Université de Moncton et le projet « Le français à la mesure d’un continent : un patrimoine en partage » (directrice France Martineau), ce colloque est subventionné par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada dans le cadre du programme des Grands Travaux de recherche concertée.

Le colloque bisannuel « Les français d’ici » offre aux chercheuses et chercheurs intéressés à la francité canadienne une occasion de partager leurs travaux et réflexions en la matière, quelles que soient les options théoriques et méthodologiques mobilisées par leurs recherches. On invite en conséquent toute proposition rendant compte de travaux variés pour une communication de 20 minutes, suivie d’une période de discussion de 10 minutes. La proposition ne doit pas dépasser 400 mots (sans les références). Le nombre de propositions pouvant être soumis par la même personne (seule ou en coprésentation) est limité à deux.

Par ailleurs, comme c’était le cas aux éditions précédentes, ce colloque, ouvert aux diverses approches et aux contributions sur des thèmes variés, met en lumière une orientation particulière, non limitative. À l’occasion de la 5e édition, la première en Acadie, une attention spéciale sera consacrée aux idéologiques linguistiques sur les français d’ici dont on invite à envisager la circulation, la réactualisation mais aussi la contestation telles qu’elles se manifestent en discours.

La langue du colloque est le français mais les propositions en anglais seront prises en considération. Les communications doivent être des contributions à la recherche dans le domaine linguistique (toutes approches confondues) mais aussi dans d’autres champs des sciences humaines et sociales. Portant prioritairement mais non exclusivement sur le Canada, elles peuvent adopter diverses perspectives et rappelons-le ne doivent pas nécessairement se limiter à la thématique mise de l’avant. Chaque proposition sera évaluée de façon anonyme par un comité scientifique conjoint comprenant à la fois l’équipe des « Français d’ici » et les organisateurs locaux.

Les résumés doivent parvenir par courrier électronique au plus tard le 15 janvier 2014 à l’adresse suivante : crla@umoncton.ca. Chaque proposition de communication doit être remise dans deux versions : une version anonyme et une comprenant les coordonnées complètes de ou des auteurs qui seront informés le 15 février 2014 de l’acceptation ou du refus de leur proposition. À partir de là, les personnes participantes recevront divers renseignements pratiques leur permettant de planifier leur séjour en Acadie, séjour que l’organisation locale visera à faciliter autant que faire se peut.

Les conférencières et le conférencier sont Michel Francard (Université de Louvain-la-Neuve, Belgique), Alexandra Jaffe (California State University, Long Beach, Californie, États-Unis) et Marie-Ève Perrot (Université d’Orléans, France).

Renseignements : Centre de recherche en linguistique appliquée, au 858-4057 / crla@umoncton.ca

Nouvelle équipe des étudiantes et étudiants-mentors

La formation suivie par la nouvelle équipe des étudiantes et étudiants-mentors a eu lieu les 26 et 27 août et ils sont plus que prêts à accompagner ceux et celles qui commencent une première année universitaire.

Dès leur arrivée à l’Université de Moncton, les nouveaux étudiants et étudiantes sont automatiquement jumelés à un étudiant ou étudiante-mentor de leur faculté. Pendant toute l'année, les mentors communiquent régulièrement avec eux soit par téléphone, par courriel ou lors de rencontres dans le but d’écouter leurs besoins, de répondre à leurs questions, de leur transmettre des renseignements ou encore en les orientant vers les ressources et les services appropriés.

La connaissance du milieu universitaire que possèdent les étudiantes et étudiants-mentors de même que leur expérience en ce qui a trait aux défis à surmonter à l’Université leur permettent d’offrir de l’aide pour faciliter l’intégration des nouveaux aux différents volets de la vie universitaire, que ce soit au plan académique, social, personnel ou communautaire.

Le Programme de mentorat étudiant cherche donc à offrir un soutien plus personnalisé aux nouveaux étudiants et étudiantes pour leur permettre de vivre une première année universitaire agréable et enrichissante.

Équipe des mentors 2013-2014

Administration
Alima Layale Bamba, gestion des opérations-coop; Gabrielle DeLuca, gestion des opérations-coop; Iris Gloria Hessou, comptabilité-coop; Patrick Ouellette; et Christine Vautour, gestion internationale.

Art et sciences sociales
Jolaine Arseneau, traduction ; Tommy Bulger, musique; Danielle Daley, travail social; Guillaume Deschênes-Thériault, science politique; Stefani Tieri Georges, science politique; Vincent Lagacé, travail social; Chérifatou Limane, traduction; Élise Pelletier, traduction; et Jenna Tremblay-Léger, linguistique.

Droit
Céline Haché, droit.

Éducation
Natasha Doiron, éducation primaire.

Groupe pont (français langue seconde)
Natalie Chapman, D.S.S.; et Marissa VanWiechen, éducation secondaire.

Ingénierie
Dominique Bordage, génie civil; Félix Dupuis, génie mécanique-coop; Jonathan Robichaud, génie mécanique-coop; et Royata Amadou Sidibé, génie civil.

Santé /services communautaires
Marianne Bourgeois, psychologie; Carmen Breau, nutrition; Céleste Bourque, science infirmière; Stéphanie Chiasson, gestion loisir, sport et tourisme; Frédérique Cyr, science infirmière; et Pierre-Philippe Ouellet, kinésiologie.

Sciences
Janique Allain, D.S.S.; Adèle Bourgeois, mathématiques; Alexandre Coholan, biochimie; Yann Landry, informatique appliquée; Daniel Maillet, D.S.S.; Marie Alfred Joëlle Vaval, biochimie; et Benjamin Weka, D.S.S.

Renseignements : 858-3716 / chantal.degrace@umoncton.ca

Le professeur Gregory Kennedy a publié un article et donné une conférence portant sur la colonisation des marais en Acadie et au Poitou

Gregory Kennedy, professeur adjoint au Département d’histoire et de géographie au campus de Moncton, a publié un article et donné une conférence portant sur la colonisation des marais en Acadie et au Poitou.

L’article, intitulé « Marshland Colonization in Acadia and Poitou during the 17th Century », a paru dans la revue scientifique Acadiensis (volume 42, 1 Winter/Spring 2013, pp 37-66). Il compare les tentatives fructueuses effectuées à Port Royal, en Acadie, et dans le Marais poitevin, en France, en vue de coloniser les marais. Malgré les objectifs bien différents qu’ils poursuivaient et les défis différents posés par l’environnement, les deux groupes organisèrent leurs activités avec efficacité et firent preuve d’innovation en adaptant de vieilles techniques. Ce qui fit la particularité de la culture des marais en Acadie, c’est sa petite échelle et son caractère dispersé et décentralisé. Les deux initiatives démontrent comment la colonisation des terres marécageuses était une entreprise profondément locale.

Pendant une mission officielle à l’Université de Poitiers grâce à une bourse de mobilité du Bureau de relations internationales de l’Université de Moncton, le professeur Kennedy a également eu l’occasion de présenter ses résultats de recherche lors d’une conférence publique au Service historique de la défense à Rochefort. À l’invitation de l’Université Populaire du Littoral Charentais, il s’est penché sur « Les enjeux de l’histoire environnementale et la colonisation des marais en Acadie et au Poitou. » Un vaste public composé d’historiens, d’archivistes et de membres de la communauté a assisté à la conférence.

Un compte rendu de la conférence est disponible à l’adresse web ci-dessous.

Renseignements : 858-4063 / gregory.kennedy@umoncton.ca

La nouvelle réalité de l’immigration temporaire au Canada atlantique sera discutée lors d’une journée d’étude

Le Groupe de recherche sur l’immigration temporaire organise une activité publique portant sur la nouvelle réalité de l’immigration temporaire au Nouveau-Brunswick, le vendredi 18 octobre de 10 heures à 15 heures dans le local 328 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

La journée se déroulera en compagnie de deux conférenciers, Delphine Nakache, professeure à l’École de développement international et mondialisation de l’Université d’Ottawa, et Yanick Noiseux, professeur au Département de sociologie de l’Université de Montréal et chercheur postdoctoral au Tata Institute of Social Science (Mumbai, Inde), ainsi que des intervenants locaux.

Delphine Nakache enseigne dans les domaines du droit international public et du droit de l’immigration et des réfugiés. Auteure de nombreux articles scientifiques, elle a publié, avec François Crépeau et Idil Atak, « Les migrations internationales contemporaines : une dynamique complexe au cœur de la globalisation » (Montréal : PUM, 2009). Les travaux actuels de Yanick Noiseux portent sur le syndicalisme, l’organisation collective des travailleurs atypiques, les politiques sociales liées au travail et la gouvernance globale du travail. Il vient de publier dans la revue Recherches sociodémographiques (Vol. 54, no. 2, 2012) « Mondialisation, travail et précarisation : le travail migrant temporaire au cœur de la dynamique de centrifugation de l’emploi vers les marchés périphériques du travail ».

Depuis quelques années, le Canada cible les migrants à partir des besoins spécifiques du marché de l’emploi, ce qui a donné lieu à une augmentation importante des flux de migration temporaire. Le Canada atlantique, une région historiquement moins marquée par la diversité des flux migratoires, n’échappe pas à cette nouvelle tendance en recevant un nombre plus important de migrants temporaires : étudiants internationaux et travailleurs temporaires. Cette nouvelle caractéristique de l’immigration au Canada atlantique s’inscrit aussi dans un débat public plus crispé par l’inquiétude de nombreuses communautés locales devant les réformes du programme de l’assurance emploi, et d’une sorte d’incompréhension devant l’arrivée de travailleurs étrangers dans plusieurs endroits caractérisés par une rareté d’emplois.

Cette journée d’étude propose d’examiner les formes et les implications de cette nouvelle réalité qu’est l’immigration temporaire.

Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : Chedly Belkhodja, au 858-3749 / Éric Thomas, au 858 4529

Monique Savoie soutient avec succès une thèse de doctorat en psychologie

Monique Savoie, de Saint-Antoine, a soutenu avec succès une thèse de doctorat en psychologie à l’Université de Moncton, intitulée « L’échelle «Multidimensional Pain Readiness to Change Questionnaire » : un examen de sa structure factorielle et de son utilité clinique en réadaptation physique ».

Des représentants de l’Association interparlementaire Canada-France étaient de passage à Moncton pour discuter de mobilité étudiante

Dans le cadre de la visite d’une délégation de l’Association interparlementaire Canada-France, le Consulat général de France pour les provinces atlantiques, la Société Nationale de l’Acadie et l’Université de Moncton ont tenu une conférence à Moncton portant sur la mobilité des étudiants et des jeunes travailleurs.

Pour l’occasion, les représentants des institutions organisatrices, les députés et sénateurs français et canadiens ont discuté des pistes à suivre afin de renforcer la mobilité pour les jeunes du Canada et de la France, que ce soit pour les occasions d’études, de stages ou encore de travail. Des jeunes ayant vécu la mobilité France-Canada étaient également présents à cette rencontre pour témoigner de leurs expériences.

« Je me réjouis du passage en Acadie, au Nouveau-Brunswick, de l’importante délégation de l’Association interparlementaire France-Canada du 1er au 6 septembre, a mentionné le consul général de France dans les provinces atlantiques, Vincent Hommeril. J’ai suivi avec beaucoup d’intérêt les débats que nous avons eu au Consulat général avec l’aide de l’Université de Moncton et de la SNA sur la mobilité des étudiants et des jeunes travailleurs, secteur tout à fait stratégique pour les provinces de l’Atlantique ».

Pour le président de la SNA, René Légère, ces expériences de mobilité étaient d’une grande importance pour la jeunesse acadienne. « Ces expériences d’études, de stages et de travail continuent de contribuer au développement et à l’enrichissement de la jeunesse acadienne, dit-il. Nous sommes ravis de nous entretenir avec ces interlocuteurs privilégiés pour déterminer comment nous pouvons continuer d’offrir des expériences pertinentes à nos jeunes. Grâce à ce projet, l’Office de la mobilité internationale en Acadie pourra ainsi agir plus précisément sur cette entente signée entre le Canada et la France voulant accroitre la mobilité des jeunes entre nos deux pays ».

« Depuis sa fondation en 1963, l’Université de Moncton a toujours valorisé les expériences de mobilité internationale, rappelle le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge. Aujourd’hui, nous cherchons encore à bonifier nos programmes de mobilité en multipliant et en améliorant les ententes interinstitutionnelles. Nous avons beaucoup apprécié cette rencontre avec des représentants de l’Association interparlementaire Canada-France, du Consulat général de France pour les provinces atlantiques et de la Société Nationale de l’Acadie qui a permis d’explorer de nouvelles possibilités dans ce secteur qui est à la fois une source d’enrichissement pour la jeunesse et de rayonnement pour l’Université de Moncton. »

L’Association interparlementaires Canada-France vise notamment à promouvoir les occasions de partenariats entre les deux pays dans les domaines politique, économique, social, culturel et parlementaire. Composée de parlementaires de la France et du Canada, elle tient deux rencontres par année, successivement dans un pays puis dans l’autre et ce depuis 1966. La dernière réunion remonte à avril dernier et se tenait à Bordeaux en France.

Renseignements : 858 4826 / dominique.gagne@umoncton.ca

Soutenance de thèse de doctorat de Marie McLaughlin en psychologie

En juin, Marie McLaughlin a soutenu avec succès une thèse de doctorat en psychologie à l’Université de Moncton, intitulée « L’influence des habiletés en lecture sur l’effet de la lettre omise ». Il s’agissait de la première étudiante du programme de doctorat professionnel en psychologie (D.Psy.) à soutenir son mémoire doctoral.

Activités de découverte organisées par le secteur de géographie

Cet automne, le secteur de géographie prépare une série d’activités pour mieux faire connaître cette discipline.

Ces activités sont destinées à toute la communauté et elles couvriront divers aspects de la géographie. Une activité par mois sera proposée.

Voici une liste sommaire des activités à venir :

Septembre : sortie organisée le samedi 21 septembre. Visite de sites d’intérêt géologique dans le secteur de Joggins et Parrsboro (Nouvelle-Écosse). Cela comprendra une visite aux falaises de Joggins (site de l’UNESCO pour les fossiles) et une autre au Fundy Geological Museum à Parrsboro. Il y aura des frais d’entrée pour ces deux activités. Le déplacement se fera en covoiturage. Une rencontre préparatoire pour les personnes intéressées aura lieu le mercredi 18 septembre à 11 h 30 dans le local 149 de l’édifice des arts.

Octobre : du 18 au 20 octobre, colloque à Moncton de la division Atlantique de l’Association canadienne des géographes.

Novembre : sortie de spéléologie (visite de plusieurs grottes) dans la région d’Hillsborough.

Décembre : midi-conférence portant sur la contribution de l’économie sociale au Bas Saint-Laurent.

Renseignements : Guillaume Fortin, au 858-4364.

Nouvelle communauté de pratique qui s’intéresse à la promotion du mieux-être en milieu de travail au Nouveau-Brunswick

La Communauté de pratique du mieux être en milieu de travail du Nouveau Brunswick a été mise sur pied formée en 2012. Des représentants de petites, moyennes et grandes organisations des secteurs public et privé se réunissent pour soutenir une approche globale du mieux être en milieu de travail.

Elle compte une quarantaine de membres qui font du réseautage afin de mettre en commun des ressources et des données, et de multiplier les occasions d’apprentissage en vue de promouvoir des lieux de travail sains.

Suzanne Harrison, présidente du Comité de mieux-être universitaire (CMU), est l’une des membres fondateurs de cette communauté de pratique. Elle représente l’Université de Moncton au sein du comité et aide à l’organisation d’ateliers de formation, dont la première a eu lieu en avril dernier et la prochaine le 7 novembre à Fredericton. Ces ateliers sont offerts à titre gracieux et le thème de cette année porte sur le mieux-être psychologique en milieu de travail.

En plus d’offrir des ateliers de formation, la communauté de pratique souhaite augmenter les chances de réseautage ainsi que le partage d’idées et d’expertises. Le site Web de la communauté contient beaucoup de renseignements touchant la promotion du mieux-être en milieu de travail grâce à quatre grands piliers d’action : alimentation saine, activité physique, vie sans tabac et santé psychologique. Il y a aussi des liens à d’autres organismes ou programmes touchant le mieux-être en milieu de travail, notamment un à Travail sécuritaire N.-B., au Mieux-être N.-B. (joindre le mouvement) ainsi qu’au programme de reconnaissance : Le mieux-être à cœur de la Fondation des maladies du coeur du Nouveau-Brunswick.

Si vous souhaitez en apprendre davantage sur cette communauté de pratique, communiquez avec Anne Cullihall (anne.cullihall@gnb.ca) ou Suzanne Harrison (cmu@umoncton.ca).

Publication d'un article d’Élise Mayrand et Omer Chouinard dans la revue Vertigo

Une équipe de recherche interdisciplinaire de l’Université de Moncton a publié un article scientifique dans le dernier numéro de la revue Vertigo.

Élise Mayrand et Omer Chouinard ont mis en commun leur expertise de biologiste et de sociologue pour superviser le stage de Vincent Stervinou, étudiant de master en sciences de l’environnement de l’Université de La Rochelle.

Cette collaboration a mené à la publication de l’article, intitulé « La perception des changements environnementaux : le cas de la collectivité côtière de Shippagan, Nouveau-Brunswick », avec la participation d’Alida Nadège Thiombiano, étudiante de la maitrise en études de l’environnement de l’Université de Moncton. Il est disponible sur Internet à l’adresse ci-dessous.

Les résultats de cette étude sont analysés, notamment dans un contexte de gestion intégrée des zones côtières et plus largement, de développement durable.

Revue Communication & Organisation

Monica Mallowan, professeure en gestion de l'information au campus de Shippagan, vient de publier un article dans le dernier numéro de la revue Communication & Organisation.

Sous le titre « Intelligence et transculture de l’information », sa contribution aborde, selon un angle systémique et transdisciplinaire, la problématique de l’intelligence informationnelle à l’ère de la postinformation. Cette parution de la revue porte sur la thématique de la communication en tant que dimension de l’intelligence économique, et regroupe au-delà d’une vingtaine de textes rédigés par des chercheurs du domaine des sciences de l’information et de la communication.

Seule revue scientifique francophone dédiée à la communication organisationnelle, Communication & Organisation, fondée en 1991, est publiée par le Laboratoire de recherche Médiations, Information, Communications, Arts (MICA) de l’Université Michel de Montaigne – Bordeaux III, en France.

Apprendre pour enseigner : une tradition bien ancrée en pédagogie universitaire

La formation annuelle « Apprendre pour enseigner » a été dispensée du 20 au 22 aout. Ces trois jours d’ateliers suivis de deux demi-journées pendant l’année universitaire sont offerts par la Service d’animation et de soutien à l’enseignement (SASE) depuis 2006.

La photo nous fait voir, de gauche à droite, assis : Sylvie Blain, directrice du SASE et professeure à la Faculté des sciences de l’éducation; Gaston Aubé, chargé de cours à la Faculté d’administration; Lucie Ouellette, professeure à la Faculté d’administration; Michelle LeBlanc, bibliothécaire; Julie Lynne Drisdelle, chargé de cours à la Faculté des arts et des sciences sociales; et Serge Dupuis, professeur à la Faculté d’ingénierie; debout, 1re rangée : Malaïka Bacon-Dussault, professeure à la Faculté de droit; Michel Peters, professeur au secteur Sciences du campus d’Edmundston; Innocent Tamptse, professeur au secteur Sciences du campus d’Edmundston; Éric Trudel, professeur au secteur Éducation et lettres du campus d’Edmundston; Éric Mathieu Doucet, doctorant de l’Université de Poitiers et bénéficiaire d'une bourse de recrutement de l’École de kinésiologie et de récréologie; Julie Bergeron, du Bureau des relations internationales; Luc Ringuette, chargé de cours à la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires; et Myriam Lemire, professeure au Secteur sciences au campus d’Edmundston; 2e rangée debout : Jean Labelle, animateur et professeur à la Faculté des sciences de l’éducation; Anne LeGresley, animatrice et professeure à la Faculté des sciences de l’éducation; Osako Michel Omalosanga, chargé de cours à la Faculté des sciences de l’éducation; et Novona Rakotomanga, professeur à la Faculté d’ingénierie.

Les personnes suivantes ont aussi participé à la formation mais étaient absentes au moment de la prise de photo : Jean-François Richard, animateur et doyen de la Faculté des sciences de l’éducation; Johanne Blanchard, chargée de cours à la Faculté des arts et des sciences sociales ; Étienne Paulin, Christine C. Paulin et Matthieu LeBlanc, professeurs à la Faculté des arts et des sciences sociales; Daniel Daigle, chargé de cours à la Faculté d’administration; Marie-Josée Guérette et Georges Jabbour, professeurs à la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires.

La description détaillée des activités se trouve sur le site du SASE à http://www.umoncton.ca/sase/node/2/

« Jeremiah Bancroft at Fort Beauséjour and Grand-Pré » : lancement et séance de dédicace au Musée acadien

Le lancement de l’ouvrage « Jeremiah Bancroft at Fort Beauséjour and Grand-Pré » avec séance de dédicace aura lieu le jeudi 19 septembre à 19 heures au Musée acadien du campus de Moncton.

La déportation des Acadiens est qualifiée « d’événement d’importance nationale » au Canada. Pour le peuple acadien, elle est à la fois le point le plus sombre de sa vie collective et la clé de voûte de sa mémoire nationale.

Une nouvelle publication de Gaspereau Press, « Jeremiah Bancroft at Fort Beauséjour and Grand-Pré », abondamment annotée et commentée par Jonathan Fowler et Earle Lockerby, nous offre une nouvelle perspective sur la déportation à Grand-Pré. Le livre est fondé sur le journal intime d’un jeune soldat de la Nouvelle-Angleterre, Jeremiah Bancroft, qui a pris les armes en 1755 pour lutter contre l’empire français en Amérique du Nord. Il s’embarqua à Boston en avril 1755 avec 2 000 de ses compatriotes dans le but de capturer le Fort Beauséjour situé sur la frontière actuelle entre le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse. Bancroft raconte dans son journal la rapide capitulation du fort puis le redéploiement des forces de la Nouvelle-Angleterre contre la population civile de l’Acadie, offrant ainsi la confirmation de la déportation à Grand-Pré par un témoin oculaire.

« En découvrant le journal intime de Jeremiah Bancroft dans les Archives de la Nouvelle-Écosse, explique M. Lockerby, j’ai compris immédiatement son importance pour l’histoire de l’Acadie et j’étais persuadé de la nécessité de le publier. On ne connaît qu’un seul autre journal intime concernant la déportation des Acadiens à Grand-Pré, celui de John Winslow qui avait la responsabilité de compléter la déportation à cet endroit. Bancroft nous donne de nouvelles précisions sur ce qui s’y est passé en 1755 et comment un chapitre tragique de l’histoire du Canada s’est déroulé. »

Des généalogistes et des associations de familles commémorent activement la déportation acadienne, des historiens, politicologues, archéologues, artistes et anthropologues l’étudient afin de mieux comprendre l’impérialisme, la violence ethnique, l’identité, la culture matérielle et la migration forcée. Par conséquent, la déportation perdure en tant que sujet de fascination pour un vaste auditoire. Le fait qu’elle fasse toujours l’objet de discussions et de débats deux siècles et demi plus tard démontre l’importance que ce livre occupe dans le domaine de l’histoire canadienne.

Cet ouvrage est en vente à la Libraire acadienne du campus de Moncton. Une libraire sera d’ailleurs sur place lors du lancement.

Renseignements : 902-678-6002 /

On vous invite à participer à la Marche de la vie pour la réadaptation cardiaque

Une marche/course pour amasser des fonds pour le programme de réadaptation cardiaque Coeur en santé aura lieu le samedi 5 octobre au stade extérieur du campus de Moncton.

Il y aura une marche de trois kilomètres, une course de cinq kilomètres et une nouveauté, une course de 400 mètres et d’un kilomètre pour les enfants.

L'inscription se fera sur place à compter de 8 h 30 et la course commencera à 9 h 45 pour les enfants et 10 heures pour les adultes. Vous pouvez vous inscrire dès maintenant à l’adresse www.coeurensante.org

Le coût d'inscription est de 30 $ par personne et de 5 $ pour les enfants âgés de 14 ans et moins.

Si vous ne pouvez participer mais que vous êtes intéressé de faire une contribution au programme, vous pouvez le faire en visitant le site www.fondationdumont.ca. Vous devez inscrire « Cœur en santé » dans la case « Message/instruction ». Vous pouvez aussi faire votre contribution en personne en vous présentant au local 136 du Ceps Louis-J.-Robichaud entre 7 heures et 15 heures du lundi au vendredi ou par la poste à l'adresse Programme Coeur en santé, Ceps, local 136, Université de Moncton, Moncton, N.-B., E1A 3E9.

Des reçus pour usage fiscale seront remis pour une contribution de 10 $ ou plus.

Venez en grand nombre et courez la chance de remporter l’un des prix de présence. Les 125 premières personnes à s’inscrire recevront un t-shirt.

Renseignements : Sophie ou Sylvie au 858-3779.

Une exposition alternative est présentée à Moncton

Des artistes émergeants de la région présentent « Une exposition alternative : exposition & encan silencieux » à Moncton.

Dix artistes ont des œuvres en montre au Café C’est La Vie jusqu’ au 14 septembre : Alisa Arsenault, Jared Betts, Josée Bolduc, Christine Comeau, Noémie DesRoches, Mario LeBlanc, Patrick Mcfarlane, Blake Michel Morin, Annie France Noël et Angie Richard.

L’exposition, organisée par Angie Richard et Christine Comeau, met en valeur le talent de jeunes artistes émergeant de la région qui s’adonnent à divers procédés artistiques.

L’encan silencieux est commencé en ligne à l’adresse www.encanlavie.blogspot.com. Les mises sont acceptées jusqu’à 23 heures le vendredi 13 septembre. L'encan se poursuivra le samedi 14 septembre lors d’une rencontre entre 17 heures à 19 heures au Café C’est la Vie. Le public aura alors une chance de faire une dernière mise. Toutefois, si vous n’avez pas la chance de vous rendre sur place, un formulaire de mises maximales est disponible sur le site Web de l’encan.

Le Café C’est la Vie est ouvert lundi au samedi de 7 heures à 18 heures et est situé au 785, rue Main à Moncton. Les œuvres sont présentement en montre pendant les heures d’ouverture du Café C’est La Vie ou encore sur le site www.encanlavie.blogspot.com.

Pour de plus amples renseignements, il faut communiquer avec Angie Richard, au 506-530-0505 / art.icitte@gmail.com

Musée acadien - 50 ans de vie étudiante à l’Université de Moncton

Jusqu’au dimanche 29 septembre inclusivement, le Musée acadien présente l’exposition « La vie étudiante – 50 ans de vie étudiante à l’Université de Moncton ».

Le vernissage aura lieu le mercredi 18 septembre de 17 heures à 19 heures.

L’exposition retrace l’historique de cette vie étudiante grâce aux événements qui l’ont marquée et influencée. Toujours impliqués dans cette vie estudiantine qu’elle soit associative, sociale et/ou sportive, les étudiants ont très peu changé au fil de ces 50 ans. On remarque rapidement que les revendications ne datent pas d’hier, mais l’exposition nous fait apprécier toutes ses réflexions sociétales que l’étudiant au cœur même de son entité revendique et exprime.

Au fil des ans, le Musée acadien a acquis passablement de matériel, que ce soit des affiches, des macarons ou des vêtements, ou encore des pièces du club Le Kacho qui agrémente l’exposition. La vie étudiante se retrouve aussi bien dans les riches collections du Centre d’études acadiennes Anselme-Chiasson.

Que vous soyez un étudiant ou une étudiante mélancolique des fameuses soirées Kacho ou encore un fidèle auditeur de la radio étudiante CKUM, vous ne serez pas déçu de votre visite.

Conjointement, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen présente l’Exposition des miroirs, rappelant l’exposition « Bav Bave 76 » qui regroupe pour la plupart des oeuvres originales et des documents d’archives.

Renseignements : jeanne-mance.cormier@umoncton.ca / 858-4088 / 858-4690.

Soutenance de mémoire doctoral en psychologie de Margaret Priemer

Il y aura présentation de soutenance de mémoire doctoral en psychologie de Margaret Priemer, ayant comme titre «Une version autogérée de la thérapie des schémas peut-elle réduire la détresse psychologique? », le vendredi 13 septembre à 10 heures dans le local 504 du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

La directrice du mémoire doctoral est la professeure France Talbot.

Renseignements : 858-4200.

Mission humanitaire en Haïti - session d'information et d'inscription

Il y aura une session d'information et d'inscription pour la Mission humanitaire Haïti U de M 2013-2014, le jeudi 12 septembre à 19 heures dans le local 226 du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton.

Cette présentation s’adresse au grand public. Venez en grand nombre.

Renseignements : Alexandre Mallet, eam7281@umoncton.ca / 506-875-6402.

Le Nouveau-Brunswick célébrera la Fête de la culture les 27, 28 et 29 septembre

Le Nouveau-Brunswick prendra part à la 4e édition de la Fête de la culture qui aura lieu partout au pays les 27, 28 et 29 septembre.

On encourage les gens qui désirent prendre part aux célébrations d’inscrire leurs activités dès aujourd’hui sur le site web de la Fête de la culture à www.fetedelaculture.ca. Les activités proposées sont sans frais et accessibles au public.

L’originalité est au rendez-vous. Des activités peuvent être proposées dans divers domaines allant des arts visuels à la musique, le patrimoine, la danse, l’artisanat, l’histoire, les jardins... L’année dernière, plus de 90 activités proposées à titre gracieux ont été présentées un peu partout dans la province.

Cette année, la Fête de la culture promet d’être encore plus spectaculaire et elle invitera les gens à profiter des nombreuses activités qui auront lieu dans leurs communautés partout dans la province. Les réseaux sociaux seront également très actifs autour de la Fête de la culture et comprendront un concours provincial invitant le public à démontrer leur amour envers les arts et la culture.

Comité provincial de la Fête de la culture
Les évènements de la Fête de la culture peuvent être organisés par des organismes culturels, des municipalités, des artistes, des groupes ou des individus partout au pays. Le comité de la Fête de la culture, composé de nombreux bénévoles de la communauté des arts et de la culture de partout dans la province, aide les organisateurs en leur offrant une plateforme pour faire la promotion de leurs évènements (site Web officiel, médias sociaux et autres moyens promotionnels). Plusieurs documents peuvent aussi être téléchargés sans frais depuis le site http://www.fetedelaculture.ca/.

Le comité de la Fête de la culture au Nouveau-Brunswick souligne le soutien de Trevor Holder, ministre du Tourisme, de la Culture et du Patrimoine. Le comité remercie aussi Brian MacDonald, député de Fredericton-Silverwood.

Cette année, les coprésidentes de la Fête de la culture au Nouveau-Brunswick sont Jeanne Mance Cormier, conservatrice du Musée acadien de l’Université de Moncton, et Nadia Khoury, présidente de la Fondation des arts du Nouveau-Brunswick.

Jeanne Mance Cormier est employée par le Musée acadien de l’Université de Moncton depuis 25 ans et elle y occupe le poste de conservatrice depuis 1992. Ses intérêts professionnels s’orientent principalement en recherche de la culture matérielle, l’interprétation, la gestion muséale et l’éducation aux adultes.

Au cours des dernières années, elle a créé et collaboré à plusieurs projets de créations pédagogiques en lien avec la culture matérielle acadienne. Son intérêt pour l’interprétation muséale l’amène également à développer de nouveaux éléments d’interprétation aux expositions et à poursuivre des recherches sur le terrain et en salle de classe.

Elle est très active dans le monde muséal au Nouveau-Brunswick et au Canada, s’impliquant au sein d’associations provinciales et nationales depuis le début de sa carrière. Elle a été membre du groupe de travail qui a participé à l’élaboration de la politique culturelle du Nouveau-Brunswick. Elle est également coordinatrice pour la Zone Sud-Est (francophone) des musées du Nouveau-Brunswick.

Son intérêt dans les communications fait en sorte qu’elle est très active dans l’organisme international Toastmasters. De plus, elle s’occupe des relations avec les médias pour la Randonnée de l’espoir Cancer de l’ovaire Riverview/Moncton depuis trois ans.

Née au Liban, Nadia Khoury a immigré à Fredericton en 1977. C’est dans cette ville qu'elle et son mari, l'artiste Michael Khoury, ont géré avec succès trois boutiques de vêtements pour femmes et enfants pendant plus de 22 ans. Pendant ces années, ils ont aussi élevé quatre enfants, ce dont elle est la plus fière.

Aujourd'hui, en plus d’un poste de direction au sein du gouvernement, elle est directrice de la Michael Khoury Fine Art Gallery à Fredericton et bénévole active au sein de plusieurs organismes et comités des arts et de la culture. Elle est la présidente de la Fondation des arts du Nouveau-Brunswick et coprésidente du mouvement populaire de la Fête de la culture au Nouveau-Brunswick. Elle est aussi présidente de divers comités de collecte de fonds pour la Galerie d'art Beaverbrook.

En plus de son amour pour la cuisine, elle est une grande admiratrice des arts. L’un de ses passe-temps favoris est de se promener dans les galeries d'art, appréciant tout particulièrement les beaux-arts l’époque classique et romantique. Elle a un profond respect pour l'architecture, admirant l’intérieur et l’extérieur des anciens bâtiments.

Elle est passionnée du jardinage, cultivant des fleurs souvent à partir de graines. Son appréciation pour la composition des fleurs exotiques, des motifs et des couleurs présente une plateforme pour la méditation et représente une affirmation de l'existence et de la propagation continue de la beauté aléatoire. Elle apprécie toute la végétation et aime tout particulièrement les arbres.

Au sujet de la Fête de la culture
La Fête de la culture est un mouvement collaboratif qui vise la sensibilisation, l’accessibilité, la participation et l’engagement de tous les Canadiens et Canadiennes à la vie artistique et culturelle des communautés.

Avec le soutien du comité national et des comités de bénévoles dans chaque province et territoire, des artistes, travailleurs culturels, organismes, groupes, bénévoles, défenseurs et alliés se mobilisent chaque année pour organiser des activités sans frais qui encouragent la participation du public et qui ont lieu dans des centaines de villes et villages partout au pays au cours de la dernière fin de semaine de septembre.

Cette 4e édition de la Fête de la culture au Nouveau-Brunswick mettra en lumière des centaines d'activités partout dans la province qui inciteront le public à découvrir le monde des artistes, créateurs, historiens, architectes, conservateurs de musée, concepteurs et autres artisans dans leurs communautés.

Renseignements : Nathalie Landry, au 506-874-6298 / echoactions@gmail.com

Pont payant aux trois entrées du campus de Moncton

Il y aura un pont payant aux trois entrées du campus de Moncton, le jeudi 19 septembre de 8 h 40 à 16 h 20.

Les fonds amassés serviront à financer les divers comités étudiants de la Faculté d’ingénierie qui représentent l’Université à plusieurs compétitions interuniversitaires.

Quatre-vingt-deux étudiantes et étudiants sont inscrits au 35e Palmarès du Doyen de la Faculté d’ingénierie

La Faculté d’ingénierie souligne l’excellence académique de 82 de ses étudiantes et étudiants de premier cycle en leur remettant un certificat de mérite. Leurs noms figurent au Tableau d’honneur de la faculté pour la session d’hiver 2013.

Bathurst High
Kyle Girouard, 5e année, génie civil.

Centre scolaire Samuel-de-Champlain (Saint-Jean)
Natasha Daigle, 5e année, génie civil.

École du Carrefour (N.-É.)
Jasmin Boisvert, 5e année, génie civil.

École Cité des Jeunes A.-M.-Sormany (Edmundston)
Salim Benlamlih, 2e année, génie civil.

École Grande Rivière (Saint-Léonard)
Dominick Tardif, 5e année, génie électrique.

École L’Odyssée (Moncton)
Katuscya Gauvin, 4e année, génie civil; Catherine Guitard, 1re année, génie civil; Kayla LeBlanc, 1re année, génie civil; Renée LeBlanc, 2e année, génie civil; Sylvie LeBlanc, 3e année, génie mécanique – régime coopératif; Maxime Lecanelier, 2e année, génie mécanique; Éric Léger, 1re année, génie électrique; et Joël Vallée, 5e année, génie civil – régime coopératif.

École Aux-Quatre-Vents (Dalhousie)
Cloé Doucet, 5e année, génie civil; et Dominic Savoie, 2e année, génie électrique – régime coopératif.

École Clément-Cormier (Bouctouche)
Jérémie Daigle, 5e année, génie civil; Gabriel Goguen, 1re année, génie civil; Julie Maillet, 3e année, génie électrique; Martin Maillet, 1re année, génie électrique; et Emilie Pellerin, 5e année, génie civil.

École Louis-J.-Robichaud (Shédiac)
Julien Caissie, 5e année, génie civil.

École Louis-Mailloux (Caraquet)
Guillaume Landry, 3e année, génie civil.

École Marie-Esther (Shippagan)
Vicki-Anne Ferron, 5e année, génie civil; et Frédérik Jones, 3e année, génie civil – régime coopératif.

École Mathieu-Martin (Dieppe)
Alexandre Arseneau, 2e année, génie électrique – régime coopératif; Denise Couture, 5e année, génie civil; Joshua Dennis, 1re année, génie civil; Mark-André Deslauriers, 3e année, génie mécanique; Jean-Luc Dupuis, 1re année, génie civil; Jonathan Dupuis, 2e année, génie mécanique; Mathieu Dupuis, 2e année, génie électrique; Patrick Gaudet, 1re année, génie civil; Pierre Gautreau, 3e année, génie mécanique – régime coopératif; Benoît LeBlanc, 3e année, génie mécanique; Jason LeBlanc, 4e année, génie civil; Jérémie Léger, 5e année, génie mécanique – régime coopératif; Martin Alphonse Phinney, 5e année, génie mécanique; et Marc-André Richard, 1re année, génie électrique.

École Mgr-M.-F.-Richard (Saint-Louis-de-Kent)
Samuel Finnigan, 3e année, génie mécanique`et Alexandre Gosselin, 5e année, génie mécanique – régime coopératif.

École Roland-Pépin (Campbellton)
Gino Allard, 2e année, génie mécanique.

École W.-Arthur-Losier (Tracadie)
Guillaume Arseneau, 1re année, génie civil; Maxime David Arseneault, 5e génie civil; Frédéric Comeau, 2e année, génie civil – régime coopératif; et Andrew Hall, 5e année, génie civil; Jeff Richardson, 2e année, génie civil.

École Rose-des-Vents (Greenwood, N.-É.)
Emmanuel Benjamin Thompson, 2e année, génie électrique – régime coopératif.

École Sainte-Anne (Fredericton)
Guillaume Demers, 1re année, génie mécanique.

École Népisiguit (Bathurst)
Patrick Boudreau, 1re année, génie civil; Mathieu Doucet, 3e année, génie électrique; Alain Fournier, 4e année, génie civil; Jean-Pierre Fournier, 4e année, génie civil – régime coopératif; Rémi Noël, 3e année, génie électrique; Jérémie Roy, 3e année, génie civil; Karine Roy, 4e année, génie civil; Maxime Thériault, 3e année, génie électrique – régime coopératif.

École secondaire du Québec
Fabienne Trudel, 3e année, génie civil.

Écoles secondaires de l'extérieur du Canada
Agonman Boladé Marylin Gandonou, 2e année, génie civil; Cheick-Oumar Dembele, 1re année, génie civil; Raoul Irakoze, 5e année, génie électrique – régime coopératif; Murekezi Diane Kampire, 3e année, génie électrique; Didier Kitio, 1re année, génie civil; Assa Kourouma, 1re année, génie civil; Fatoumata Kouyate, 1re année, génie électrique; Dany Yaya Loua, 1re année, génie civil; Morimoussou Hawa Sekou Maiga, 1re année, génie civil; Abdourahamane Mamane Illo, 1re année, génie mécanique; Norelice Mboutou, 4e année, génie électrique
Mohamed Daouda Nsangou, 1re année, génie électrique; Ianis Ouedraogo, 1re année, génie civil; Alix Patricia Ramde, 1re année, génie mécanique; Donya Salomon-Ali, 1re année, génie civil; Mawaba Sangam, 3e année, génie électrique; Abdallah Sani Aliou, 1re année, génie civil; Stephane Khalil Traore, 1re année, génie civil; Roselyne Tuyizere, 1re année, génie mécanique; Ilyass Zadouani, 3e année, génie électrique; et Roth Jacksy Zamouangana Banimba, 1re année, génie électrique.

Harrison Trimble High
Matthew Cooling, 5e année, génie civil; et Sigourney Stott, 4e année, génie mécanique.

Le professeur Chedly Belkhodja participe à une recherche portant sur le marché du travail

Greg Rickford, ministre d’État (Sciences et Technologie, et Initiative fédérale de développement économique pour le Nord de l’Ontario), a annoncé un investissement de recherche qui permettra de mieux comprendre le marché du travail canadien.

Le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) a attribué 16 subventions de synthèse de connaissances à des chercheurs d’établissement d’enseignement postsecondaire de partout au Canada. Ces subventions visent à permettre de combiner ou de « synthétiser » des connaissances universitaires nouvelles et existantes ainsi que de les rendre accessibles à un plus vaste public.

Parmi les projets de recherche qui sont financés, i l y a celui du professeur Chedly Belkhodja, du Département de science politique de l’Université de Moncton, qui collaborera avec des partenaires de la Western University et des World Education Services afin d’étudier la façon dont le Canada peut recruter et conserver certains des plus brillants esprits du monde ainsi que les facteurs qui contribuent à une intégration réussie d’étudiants étrangers au le marché du travail canadien.

« Notre gouvernement continue à respecter son engagement envers les intérêts des Canadiens, c’est-à-dire créer des emplois, poursuivre la croissance économique du pays et favoriser sa prospérité à long terme, a indiqué le ministre Rickford. Le fait de mieux comprendre les enjeux du marché du travail canadien permet aux employeurs et aux citoyens de mieux définir les compétences dont a besoin la main-d’œuvre, et de créer de nouvelles possibilités d’emploi qui favorisent la croissance économique tout en consolidant l’avantage du Canada sur le plan de la recherche. »

En tout, plus de 375 000 $ sont offerts pour les subventions de synthèse de connaissances du CRSH dans le cadre de 16 projets réalisés au sein d’établissements d’enseignement postsecondaire de tout le pays. Ces projets impliquent la participation de collaborateurs canadiens et étrangers des secteurs universitaire, public, privé et sans but lucratif qui feront progresser les connaissances sur l’un des deux sujets suivants : la demande de compétences du marché du travail canadien de demain ainsi que l’offre et le développement de compétences pour ce marché du travail. Les subventions de synthèse de connaissances du CRSH visent à soutenir l’analyse de connaissances existantes et la détermination de leurs lacunes. Les résultats, qui sont présentés sous une forme étant accessible à un vaste public, visent à favoriser la collaboration entre les chercheurs universitaires, les intervenants de l’industrie et les responsables gouvernementaux de l’élaboration de politiques afin qu’ils abordent les futurs défis du marché du travail canadien.

« Les investissements réalisés par le Canada dans la recherche en sciences humaines mènent à des perspectives novatrices qui apportent une nouvelle valeur aux entreprises, aux gouvernements, aux communautés et aux personnes, a ajouté Chad Gaffield, président du CRSH. Plus particulièrement, le fait de mieux comprendre l’offre et la demande de compétences essentielles à la main-d’œuvre canadienne ainsi que d’améliorer l’échange de renseignements entre les universités et d’autres secteurs de la société favorise la création d’emplois, accroît la productivité et contribue à une économie résiliente au profit de tous les Canadiens. »

Somme record de 27 400 $ amassée lors du 19e tournoi-bénéfice de golf de la Fondation Saint-Louis-Maillet

L’heure était aux réjouissances samedi dernier lors du 19e tournoi-bénéfice de golf de la Fondation Saint-Louis-Maillet qui a eu lieu au Club de golf Fraser Edmundston.

D’une part, le comité organisateur a remis la somme record de 27 400 $ à la Fondation pour un total global de 300 400 $ depuis la création du tournoi en 1995. D’autre part, le premier trou d’un coup de l’histoire de cette classique annuelle a été réalisé au trou numéro 12 à normale 3 par Maxime Cyr, un étudiant d’Edmundston inscrit en deuxième année au diplôme des sciences de la santé.

Chaque année, les profits du tournoi sont versés à la Fondation Saint-Louis-Maillet qui accorde des bourses aux étudiantes et étudiants qui s’inscrivent au campus d’Edmundston.

Près de 110 joueurs répartis dans 27 équipes ont parcouru les allées du magnifique terrain d’Edmundston. Les étudiants et étudiantes étaient bien représentés avec la participation de quatre équipes.

Le précédent record de 26 750 $ remontait au tournoi-bénéfice de l’an dernier. Les préparatifs sont déjà entamés en vue de la 20e classique en 2014.

Quarante-cinq commanditaires ont participé à la réussite de ce tournoi, la plupart d’entre eux consentant une somme de 500 $ chacun. Le comité organisateur tient à remercier tous ses donateurs et commanditaires, notamment la Financière Sun Life qui a versé une somme considérable en plus d’organiser de nombreux jeux sur le terrain fort appréciés des golfeuses et golfeurs.

Le comité organisateur a également dévoilé les noms des neuf commanditaires de trous qui deviennent les donateurs de bourses officiels pour l’année universitaire 2014-2015 : L’Acadie Nouvelle-Boston Pizza, Congrès mondial acadien 2014, Me Claude Voyer–Productions Rouj, Nadeau Soucy Ellis architectes, Caisses populaires Trois Rives, J & L Warehousing, Dr Paul Cloutier-Clinique dentaire Aucoin, Financière Sun Life et Me Anik Bossé.

Les gouvernements du Canada et du Nouveau-Brunswick investissent dans la rénovation du stade de Moncton

Le ministre d’État de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA), Rob Moore, et le vice-premier ministre et ministre du Développement économique du Nouveau-Brunswick, Paul Robichaud, se sont joints au secrétaire parlementaire du ministre de la Justice et député de Moncton-Riverview-Dieppe, Robert Goguen, et à des représentants de la ville de Moncton, pour annoncer le financement de travaux de rénovation du stade de Moncton.

« La grande priorité de notre gouvernement, c’est la création d’emplois, la croissance et la prospérité à long terme, a mentionné le ministre Moore. Le stade de Moncton a su se mettre en évidence et faire connaître la région dans le cadre d’activités internationales et nationales de haut niveau; nous sommes convaincus que l’investissement dans l’amélioration de son infrastructure que nous annonçons contribuera à faire en sorte que l’histoire se répète. »

« Au fil des ans, Moncton s’est bâti une renommée de plaque tournante du Nouveau-Brunswick dans le domaine sportif en attirant des événements internationaux au stade et nous devons en tirer profit afin d’aider à rebâtir notre économie, a ajouté le vice-premier ministre Robichaud. « Moncton accueillera la Coupe du monde féminine U-20 de la FIFA, Canada 2014 et la Coupe du monde féminine de la FIFA, Canada 2015TM et l’investissement assurera que les infrastructures appropriées seront en place pour les accueillir. »

Le gouvernement du Canada, par l’entremise de l’APECA, accorde une contribution de 137 000 $ dans le cadre du Fonds d’amélioration de l’infrastructure communautaire pour la réalisation des travaux, tandis que le gouvernement du Nouveau-Brunswick investit 120 000 $ dans le projet par l’entremise de la Société de développement régional. La ville de Moncton et l’Université de Moncton investit également 80 174 $ pour les travaux.

« Le Stade de Moncton est un élément clé pour faire de la ville de Moncton la capitale du sport et du divertissement au Canada atlantique, a souligné le maire de Moncton, George LeBlanc. Ces améliorations à l’infrastructure contribueront à attirer de grands évènements nationaux et internationaux dans notre région. »

Le projet comprend l’ajout de deux vestiaires avec douches et toilettes séparées au stade de Moncton. Grâce à ces améliorations, l’installation pourra tenir un plus large éventail d’activités sportives d’envergure.

Pour obtenir des renseignements sur les programmes de l’APECA : http://www.acoa-apeca.gc.ca.

Les Caisses populaires acadiennes sont commanditaires platine des équipes sportives de l’Université de Moncton

Les Caisses populaires acadiennes (CPA) sont commanditaires des équipes sportives de l’Université de Moncton depuis de nombreuses années. Elles ont renouvelé leur soutien aux sports universitaires en 2011 grâce à une entente prévoyant une commandite d’un montant de 43 500 $ sur une période de trois ans.

A titre de commanditaire platine, les CPA ont été invitées à lancer officiellement la saison du sport universitaire à l’Université de Moncton. Le président du conseil d’administration de la Caisse populaire Beauséjour et directeur du Département de comptabilité au campus de Moncton, Sébastien Deschênes, a fait le botté d’envoi protocolaire lors du premier match de l’équipe de soccer.

Les Caisses populaires acadiennes sont heureuses de servir leurs membres au campus de Moncton grâce à un nouveau service offert au pavillon Léopold-Taillon depuis août. Elles sont heureuses également de soutenir la jeunesse par l’entremise des sports universitaires. Que cette saison permette aux athlètes d’aller plus haut, plus loin, ensemble !

L‘AAAUM accorde son soutien à des projets étudiants

Grâce à un partenariat fructueux avec la Fédération étudiante du campus de Moncton, le conseil d’administration de l'Association des anciens, anciennes et amis de l'Université de Moncton, campus de Moncton (AAAUM), a renouvelé son engagement auprès des étudiants et étudiantes en offrant un soutien financier de 8 000 $ au Fonds d’initiative étudiante.

Ce fonds, entièrement géré par la Féécum, a permis cette année de soutenir deux projets : une serre au campus de Moncton et l’équipe de water-polo. Philippe Rousselle, responsable du projet de la serre, précise qu’il poursuit sa recherche de fonds pour permettre à ce projet de voir le jour afin que les étudiants et étudiantes du campus en profitent dès que possible. Grâce au montant accordé par l’AAAUM, l’équipe de water-polo a pu s’équiper de casques neufs qui, nous n’en doutons pas, lui permettra de faire bonne figure.

Par l’entremise de cette initiative, l’AAAUM souhaite appuyer la vie étudiante au campus de Moncton.

Renseignements : Jeanne Farrah, au 858-4130 / Kevin Arseneau, au 858-4484.

La Journée de mobilité internationale aura lieu le 18 septembre

Le Service de mobilité internationale a annoncé que la Journée de la mobilité internationale aura lieu le mercredi 18 septembre de 10 heures à 15 heures dans la salle 149B du Centre étudiant au campus de Moncton.

Le Service de mobilité internationale est un centre de ressources pour les étudiants et étudiantes de l’Université de Moncton et la communauté universitaire dans son ensemble. On y trouve les renseignements et les outils nécessaires pour satisfaire aux intérêts et aux besoins des étudiants et étudiantes et du corps professoral qui désirent séjourner à l’international dans le cadre de leurs activités académiques.

Lors de cette journée, les étudiants et étudiantes auront la chance de voir ce que les institutions partenaires ont à offrir : programmes d’immersion, semestres d’études et stages à l’international. Ils pourront également y voir un vaste choix de possibilités qui s’offrent à eux à l’international.

Il y aura plusieurs stands d’information portant sur les universités partenaires et sur les différents services. Venez-vous renseigner sur les études à l’international et sur les bourses qui sont offertes par l’Université de Moncton.

Le concours de bourses pour le semestre d’hiver 2014 est maintenant lancé : www.umoncton.ca/smi/node/45. Vous avez jusqu’au 11 octobre pour postuler.

Les gardiens de but Geneviève Lévesque et Samuel Charron sont les athlètes de la semaine

Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a choisi les gardiens de but au soccer Geneviève Lévesque, de Saint-Alexandre au Québec, et Samuel Charron, de Gatineau au Québec, comme athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 2 au 8 septembre à l’Université de Moncton.

Étudiante de première année au baccalauréat en gestion du loisir, sport et tourisme, Geneviève Lévesque s’est distinguée comme gardienne de but lors des matchs contre St Francis Xavier University samedi et Dalhousie University dimanche. Les Aigles Bleues ont perdu 2 à 1 samedi et gagné 1 à 0 dimanche. Elle a d’ailleurs joué pendant les 90 minutes de la partie de dimanche et effectué cinq arrêts.

Pour sa part, le gardien de but Samuel Charron, étudiant de première année à la maîtrise en administration des affaires, en est à sa cinquième saison avec l’équipe de soccer masculin. Il a joué pendant toute la durée des deux matchs contre St Francis Xavier University samedi et Dalhousie University dimanche. Lors des deux parties qui se sont soldées par un pointage nul, il a effectué deux arrêts samedi et trois dimanche alors qu’il a laissé passer le ballon lors du match de samedi.