Vol. 43, no 30
18 avril 2013
L'Université de Moncton adopte un budget de fonctionnement de 115 millions de dollars pour l’année financière 2013-2014
Le Conseil des gouverneurs a adopté le samedi 13 avril un budget de fonctionnement qui prévoit des revenus de 115 112 000 $ pour l'année financière 2013-2014 qui commence le 1er mai et des dépenses de 115 354 000 $, ce qui représente un déficit anticipé de 242 000 $.

Dans la préparation de son budget de fonctionnement, la direction de l’Université de Moncton examine rigoureusement l’ensemble de ses dépenses afin de réaliser des économies sans compromettre la qualité de l’enseignement et l’expérience étudiante. C’est ainsi, par exemple, qu’elle arrive à maintenir ses dépenses administratives à un niveau inférieur de 25 pour cent à la moyenne canadienne.

Cette année, ce processus d’examen continu a permis d’identifier des économies totalisant au-delà de 600 000 $. Malgré cela, le budget 2013-2014 prévoit que les dépenses de l’Université de Moncton augmenteront de 4 369 000 $ par rapport au budget 2012-2013, une hausse de 3,9 pour cent. Les augmentations salariales inscrites dans les conventions collectives existantes sont le principal facteur expliquant cette hausse prévue des dépenses.

« Le processus budgétaire interne est rigoureux et tient compte de tous les facteurs internes et externes auxquels l’Université est confrontée, mentionne le recteur Raymond Théberge. La situation financière du gouvernement provincial et ses récentes annonces budgétaires ont certes affecté les décisions que nous avons dû prendre. »

À la suite d’une proposition du représentant étudiant du campus d’Edmundston, Patrick Lavoie, et en guise de solidarité envers les étudiants et étudiantes, le Conseil des gouverneurs a choisi de diminuer d’un dollar la hausse des droits de scolarité qui avaient été prévues à 150 $ et 1 000 $ respectivement.

Ainsi, le budget adopté par le Conseil des gouverneurs prévoit une hausse des droits de scolarité de 149 $ pour les étudiantes et étudiants canadiens inscrits à temps complet au premier cycle et une hausse équivalente en pourcentage (soit 2,8 pour cent) pour les autres catégories d’étudiantes et étudiants canadiens.

Il y aura également une hausse de 999 $ des droits de scolarité pour les étudiantes et étudiants internationaux inscrits au premier cycle à temps complet et une hausse équivalente en pourcentage (soit 11,1 pour cent) pour les autres étudiantes et étudiants internationaux. Malgré cette hausse, les droits de scolarité payés par les étudiantes et étudiants internationaux demeureront de loin les plus faibles au Nouveau-Brunswick et parmi les plus faibles au pays.

« L’Université de Moncton ne reçoit aucune subvention gouvernementale pour les étudiantes et étudiants internationaux inscrits au 1er cycle, rappele le recteur pour expliquer la hausse. Même avec la hausse adoptée aujourd’hui, les droits de scolarité pour les étudiantes et étudiants internationaux à l’Université de Moncton se comparent fort avantageusement à ceux de nos principales concurrentes. En effet, les droits de scolarité des étudiantes et étudiants internationaux se situent à environ 50 pour cent de la moyenne canadienne. »

Dans un tel contexte, il est clair que l’Université de Moncton continuera d’être fort attrayante pour les étudiants internationaux. Avec des droits de scolarité internationaux et un ratio professeur/étudiant parmi les plus faibles au pays, elle continue d’offrir un excellent rapport qualité/prix et une expérience tout à fait exceptionnelle.

Le budget global des bourses destinées aux étudiants et étudiantes des trois campus augmentera de 2,8 pour cent, soit l’équivalent de l’augmentation des droits de scolarité des étudiantes et étudiants canadiens.
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Ann Beaton est la chercheuse du mois de la Fondation pour la recherche en santé au Nouveau-Brunswick

Ann Beaton, professeure à l'École de psychologie de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires de l'Université de Moncton et titulaire de la Chaire de recherche du Canada niveau 2 en relations intergroupes, nouvellement renouvelée pour cinq ans, est la chercheuse du mois de la Fondation pour la recherche en santé du Nouveau-Brunswick.



La Fondation souligne ainsi l’excellence et le leadership d’une de nos chercheuses dans le domaine de la recherche en santé qui sont axés sur le patient, la médecine appliquée et l’innovation.



La professeure Beaton a obtenu le baccalauréat et le doctorat de l'Université d'Ottawa avant d'aller faire de la recherche postdoctorale au Center for Research in Group Processess de l'University of Kent, au Royaume-Uni. Elle enseigne à l'Université de Moncton depuis 1996.



Sa Chaire de recherche du Canada en relations intergroupes a comme grand objectif d'examiner les rapports entre différents groupes sociaux pour mieux comprendre les facteurs qui entravent et qui facilitent l'inclusion sociale. Le programme de recherche veut élargir notre compréhension des réactions à l'adversité liée à la stigmatisation sociale et à découvrir comment ces réactions transforment les individus et leur environnement social.



Ces questions sont examinées pour trois populations différentes ayant des défis uniques à relever du point de vue des études et du marché du travail : les personnes handicapées qui essaient de se tailler une place sur le marché du travail, les femmes qui font face à de l'adversité dans les domaines de travail non traditionnels, et les jeunes Autochtones qui développent de la résilience pour améliorer leurs résultats scolaires.



L'exclusion sociale de membres de groupes minoritaires prive une société de leur contribution aux niveaux économique, culturel et intellectuel. Ces conséquences sont coûteuses pour une petite province comme le Nouveau-Brunswick appelée à relever les défis que pose l'économie mondialisée du savoir. Non seulement l'exclusion sociale nuit à la qualité et aux conditions de vie des individus, elle menace la santé, tout en diminuant la satisfaction et l'engagement au travail.



Par conséquent, la recherche est effectuée en étroite collaboration avec des organismes à but non lucratif, des employeurs et des intervenants du domaine de la santé communautaire afin de contribuer à la formulation de politiques publiques et à l'élaboration de programmes axés sur la santé et la prévention. L'écoute et l'échange de connaissances dans un contexte participatif constituent une étape importante dans le cheminement vers une société qui se veut inclusive.



Au cours des 12 dernières années, la professeure Beaton a reçu plus de 1,5 million de dollars en fonds de recherche d'organismes tels que le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, la Fondation canadienne pour l'innovation et les Instituts de recherche en santé du Canada. Elle a formé et mentoré quelque 40 étudiants diplômés et a fait une contribution de plus de 75 articles/chapitres d'ouvrage, rapports et exposés à des congrès nationaux et internationaux.



En attirant des chercheurs talentueux comme Mme Beaton au Nouveau-Brunswick, nous contribuons à l'effort mondial déployé pour promouvoir un mode de vie sain et à offrir des services de santé préventifs efficaces. Nous créons également un milieu de recherche dynamique qui permet de former nos étudiants pour faire d'eux les chercheurs en santé exceptionnels de demain.


Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Le présent et l’avenir de l’Université de Moncton
Le recteur et vice-chancelier Raymond Théberge était le conférencier lors du Déjeuner du 2e mardi, qui a eu lieu au restaurant L'Igloo à Moncton.

Ce groupe comprend des personnes retraitées, des membres du corps enseignant et du corps professoral, des anciens et anciennes de l'Université de Moncton, des fonctionnaires, conseillers, médecins, juges, avocats et gens d'affaires. Le Déjeuner était présidé par le secrétaire, Bernard Poirier.

Le recteur Théberge a profité de l’occasion pour parler du présent et de l’avenir de l’Université de Moncton et de son impact au sein de la société acadienne et néo-brunswickoise, tout comme sur la scène nationale et internationale. Il a aussi discuté des enjeux de notre institution, de ses possibilités, de son enseignement et sa recherche, de ses services à la collectivité, ainsi que le processus de consultation de l’exercice de planification stratégique.

Une cinquantaine de personnes ont assisté à ce Déjeuner du 2e mardi.

Renseignements : 383-4421 / bernpoir33@hotmail.com
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Sébastien Deschênes DBA, CA, CFA, directeur du Département de comptabilité; l’étudiante et les étudiants Vanessa Léger, Daniel Robichaud, Julien Gagnon et Maxime Brosseau-Guénette, qui ont à la fois participé au projet et reçu une bourse d’une valeur d’environ 1 000 $ pour écrire le premier des trois examens menant au titre d’analyste financier (CFA); et François Boudreau, CFA, professeur de finance au campus d’Edmundston.
Une année académique réussie pour le portefeuille de placements étudiants Louisbourg
Le fonds de placements étudiants Louisbourg a enregistré un rendement de 9,53 pour cent pour la période de 12 mois se terminant le 31 mars dernier.

Il s’agit d’un rendement de 3,42 pour cent supérieur à l’indice S&P/TSX qui pour la même période a progressé de 6,11 pour cent. Le fonds, qui fait suite à un partenariat entre la Faculté d’administration de l’Université de Moncton et placements Louisbourg, a été créé en novembre 2009 avec l’injection d’une somme de 100 000 $. Depuis ce temps, les étudiants et étudiantes suivant le cours « États financiers et placements » font une gestion active de ces fonds de telle sorte que malgré les conditions économiques difficiles, le portefeuille affiche maintenant une valeur de 133 014 $. C’est donc dire que sur une base annualisée, les étudiants ont réalisé en moyenne un rendement de 8,87 pour cent, ce qui est bien supérieur à l’indice 5,20 pour cent. La valeur ajoutée de 3,67 pour cent a été obtenu dans un contexte d’une gestion prudente où les fonds étaient investis dans tous les secteurs de l’économie et pratiquement exclusivement dans les 60 plus grandes capitalisations canadiennes.

Les étudiants en finance de la Faculté d’administration ont réalisé ces rendements en utilisant une méthodologie rigoureuse de sélection de titres basée sur l’approche « Top-Down ». Selon cette stratégie, sous la supervision de leurs professeurs Sébastien Deschênes CFA et François Boudreau CFA, ils doivent successivement analyser l’économie, le secteur dont ils ont la charge, les entreprises qui composent ces secteurs et les états financiers des entreprises retenues pour enfin pouvoir appliquer des modèles d’évaluation d’actions.

Dans le cadre du cours, les étudiants devaient analyser quatre entreprises d’un secteur, soit deux entreprises déjà comprises dans le portefeuille et deux entreprises susceptibles d’être acquises. Pour ce travail, ils ont eu accès à la salle des marchés de la Faculté d’administration, à la fine pointe de la technologie, leur permettant d’avoir une véritable expérience dans la gestion de portefeuille. Cette année, le fonds a pris de nouvelles positions dans Barrick Gold, Gold Corp, Agrium, Major Drilling, Saputo et Rogers.

Vous pouvez consulter la composition détaillée du portefeuille étudiant Louisbourg à l’adresse http://www.umoncton.ca/umcm-administration/node/55.

Renseignements : Sébastien Deschênes, au 858-4230.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Robert Pichette, historien; Stéphane Robichaud, président de l’AAAUM; Isabelle McKee-Allain, directrice de l’Institut d’études acadiennes; Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton; Louise Imbeault, ancienne journaliste et directrice de Radio-Canada Acadie; Fernand Arsenault, ancien de l’Université St-Joseph et professeur émérite de l’Université de Moncton; Marc Robichaud, chercheur à l’Institut d’études acadiennes et historien. Absente sur la photo : Aldéa Landry, ancienne du Collège Jésus-Marie de Shippagan et docteure d’honneur de l’Université de Moncton.
Réflexion portant sur le recteur-fondateur, le père Clément Cormier
Quelque 70 personnes ont participé à une réflexion portant sur le recteur-fondateur, le père Clément Cormier, par le biais de témoignages de personnes qui l’ont connu et côtoyé à différents moments de sa vie.

« À la rencontre de Clément Cormier - souvenir et témoignages » était un événement présenté conjointement par l’Association des anciens, anciennes et amis (AAAUM) et l’Institut d’études acadiennes, et s’inscrivait dans le cadre des fêtes entourant le 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton.

Louise Imbeault, B.A. 1968, B. Ed. A. 1970, Marc Robichaud, B. A. 1994, M. Arts. 1998, Aldéa Landry, B. A. 1966, et Fernand Arsenault, B. A. 1951, ont évoqué de nombreux faits intéressants, drôles et émouvants.

Après le dîner-conférence, Robert Pichette a fait l’éloge à son tour du visionnaire qu’était Clément Cormier en lui rendant hommage.
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La photo nous fait voir les 39 mentors accompagnés de Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, Carole Essiembre qui coordonne le programme d’appui à la réussite (à droite), et Chantal DeGrâce, qui coordonne le programme de mentorat étudiant depuis 2007 (à gauche).
Souper de reconnaissance pour les mentors 2012-2013 au campus de Moncton
L’équipe des 39 étudiantes et étudiants-mentors de l'Université de Moncton, campus de Moncton, ont été conviés à un souper de reconnaissance afin de souligner leur engagement à faciliter l'adaptation des nouveaux étudiants et étudiantes depuis le tout début de l’année universitaire.

En plus de recevoir une bourse de leadership universitaire, l'Université a remis un certificat de reconnaissance à chacun et à chacune. La vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, Marie-Linda Lord, était présente pour cette occasion.

L’équipe des étudiantes et étudiants-mentors était composé des personnes suivantes :

Administration
Alima Layale Bamba, gestion des opérations-coop; Gabrielle DeLuca, gestion des opérations-coop; Iris Gloria Hessou, comptabilité-coop; Sabrina Lapierre, comptabilité; Ablavi Laetitia Mahinou, comptabilité; et Daniel Saulnier, marketing.

Art et sciences sociales
Jessica Breau, travail social; Delaney Clarke, traduction; Zoé Gagnon, travail social; Stéfani Tieri George, science politique; Adeline Gnoumou, économie; Carmen LeBlanc, musique; Christine LeBlanc, anglais; Chérifatou Limane, traduction; Mélanie Morin, histoire; et Pascale Routhier-LeBlanc, traduction-coop.

Droit
Melissa Sullivan, droit.

Éducation
Natasha Doiron, éducation primaire, et Cynthia Thériault, éducation primaire

Groupe Pont (français langue seconde)
Natalie Chapman, D.S.S.

Ingénierie
Wazy Bayoro, génie-civil-coop; Denise Couture, génie civil; Émilie Pellerin, génie civil; Dominick Tardif, génie électrique; et Royata Amadou Sidibé, génie civil.

Santé /services communautaires
Tina Albert, science infirmière; Marie-Ève Cloutier, nutrition; Marc-André Comeau, récréologie; Caroline Lagacé, kinésiologie; Frédérique Cyr, science infirmière; et Danielle Thériault, psychologie.

Sciences
Adèle Bourgeois, mathématiques; Rym-Dalia Bouhamdani, D.S.S.; Alexandre Coholan, biochimie; Andrew Kilpatrick, D.S.S.; Maxime Levesque, B.Sc.-B.Ed. (biologie); Danielle Richard, D.S.S.; Fatoumata Banel Thiam, biochimie-coop; et Marie Alfred Joëlle Vaval, biochimie.

Renseignements : 858-3716 / chantal.degrace@umoncton.ca
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CNFS : portrait et déterminants de la santé de familles francophones en situation minoritaire qui donnent naissance dans la région d’Ottawa
Dans le cadre de son programme d’excellence professionnelle, le Consortium national de formation en santé - volet Université d’Ottawa présente, en partenariat avec le CNFS - volet Université de Moncton, une série de conférences qui sont retransmises par vidéoconférence en direct de l’hôpital Montfort, à Ottawa. Ces conférences se veulent une activité de formation continue multidisciplinaire destinée aux personnes professionnelles de la santé.

La dernière vidéoconférence de la programmation de ce semestre aura lieu le mardi 30 avril de 12 h 30 à 14 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton. La conférence, intitulée « Portrait et déterminants de la santé de familles francophones en situation minoritaire qui donnent naissance dans la région d’Ottawa », sera présentée par Viola Polomeno et Denise Moreau, professeures agrégées à l’École de sciences infirmières à l’Université d’Ottawa et chercheuses à l’IRHM.

On présentera les résultats préliminaires d’une enquête portant sur la santé des couples parentaux francophones en situation minoritaire dans la région d’Ottawa. Cette étude vise à tracer le profil de ces couples, à identifier les déterminants de la santé et à caractériser l’accès et les types de services de santé utilisés dans la transition à la parentalité.

Pour s’inscrire à la vidéoconférence ou obtenir plus de renseignements : cnfs@umoncton.ca / 858-4655. Les places sont limitées.

Cette conférence est également disponible en mode Web-conférence.
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Être et devenir « Canadien » et « francophone » chez les immigrants africains en milieu minoritaire
Dans le cadre du séminaire LING7980 Langue, pouvoir et nation, la professeure Amal Madibbo a prononcé une conférence ayant pour titre Être et devenir « Canadien » et « francophone » chez les immigrants africains en milieu minoritaire.

Mme Madibbo est professeure au Département de sociologie de l’University of Calgary.

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Audrey Roy-Côté, Yannick Nganhou, Isabelle Violette, professeure du séminaire; Natacha Pominville, Amal Madibbo, conférencière; Charlène Ava Éléonore Yao, Émilie Urbain et Samuel Vernet.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : les étudiants Rachelle Comeau, récipiendaire du Prix du Département d’études françaises, Danielle Bilodeau, du programme d’information-communication, Caroline Roy, du Département d’études françaises et Gabriel Côté, Département de philosophie et sciences religieuses; et Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; 2e rangée : les étudiants Normand d’Entremont, du programme d’information-communication, Patrick-Olivier Meunier, du Département d’histoire et de géographie, Xavier Lord-Giroux, du Département d’art dramatique, Ricky McIntyre, récipiendaire du Prix d’excellence de l’École de travail social, et Madeleine Arseneau, du Département de science politique. Absences dans la photo : les étudiantes Danika Caron, du Département d’anglais, et Delaney Clarke, du Département de traduction et des langues.
Remise des certificats d’excellence Pascal à la Faculté des arts et des sciences sociales
Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de Moncton, a tenu à féliciter les finissants et finissantes qui se sont particulièrement distingués grâce à un rendement académique supérieur et à une participation marquée à la vie facultaire, universitaire ou auprès de la communauté en général. Les récipiendaires se sont vus décerner le certificat d’excellence Pascal.

La doyenne a souligné l’apport des finissantes et des finissants au rayonnement de la Faculté mais aussi de l’impact qu’ils auront dans la société. « Toutes les disciplines enseignées à la Faculté des arts et des sciences sociales forment des femmes et des hommes comme vous qui contribuent réellement au développement de la société et du bien-être de leurs concitoyens », a-t-elle dit.

Le certificat d’excellence Pascal, tradition de longue date à la Faculté des arts et des sciences sociales, est nommé ainsi en la mémoire de Pascal Poirier (1852-1933), grand défenseur de la langue et des droits des Acadiennes et Acadiens et premier Acadien à accéder au Sénat.
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La photo nous fait voir les membres de l’équipe championne du campus d’Edmundston lors de la Simulation boursière à la criée universitaire de l’Université de Moncton présentée au campus de Moncton. Il s’agit, de gauche à droite, de Kurt Pelletier, Jérémie Ouellette, Alex Martin et Julien Levesque.
Simulation boursière à la criée : les étudiants du campus d’Edmundston sont les maitres en Atlantique
Le programme d’administration des affaires du campus d’Edmundston a une fois de plus frappé un grand coup dans l’univers fascinant de la simulation boursière.

Ses deux équipes ont terminé aux premier et deuxième rangs lors de la Simulation boursière à la criée universitaire de l’Université de Moncton, présentée au campus de Moncton et organisée par le Centre de gestion financière Banque Nationale de l’Université de Moncton.

L’équipe formée de Kurt Pelletier (analyste), Jérémie Ouellette (courtier), Alex Martin (analyste) et Julien Levesque (courtier) a raflé les grands honneurs parmi les huit quatuors participants. Les étudiants en administration ont complété la journée avec un portefeuille totalisant 430 000 $ après une mise de départ de 100 000 $. Évidemment, ce sont des sommes fictives. Leur brio leur a toutefois valu une récompense, réelle celle-là, de 1 000 $.

Quant au groupe de Marc-André Gauvin (analyste), Marc-André Laforge (courtier), Sébastien Guay (analyste) et Jessy Nadeau (courtier), il a terminé en deuxième position avec un portefeuille de 290 000 $. Les étudiants ont remporté la somme de 500 $.

Activité unique dans les Maritimes, ce concours mettait aux prises des étudiantes et étudiants en administration des universités du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse. Le campus de Moncton était représenté par quatre équipes, les autres provenant de l’University of New Brunswick (Fredericton) et de Dalhousie University (Halifax). Chaque équipe était composée de quatre étudiants, soit deux analystes et deux courtiers.

Le but de cette simulation est de mettre en compétition plusieurs équipes d’étudiants universitaires. Cette compétition fait appel à leurs compétences et leurs capacités à évaluer des titres boursiers dans un contexte économique réaliste.

La simulation boursière est d’une durée de quatre trimestres (en mode accéléré). À chaque trimestre, plusieurs nouvelles économiques, tant macroéconomiques que microéconomiques, viennent perturber le marché des capitaux et donc la valeur des actions en circulation.

Chaque équipe a dû au préalable concevoir un modèle mathématique et financier sur un chiffrier électronique afin de faciliter l’analyse des informations financières et économiques.

Les analystes de chaque équipe évaluent les nouvelles économiques et leur impact sur la valeur des actions de leur portefeuille et transmettent les recommandations à leurs courtiers respectifs.

Les courtiers doivent transiger à la criée (à haute voix) sur un parquet de bourse (pit) virtuel où se trouve l’ensemble des courtiers et deux mainteneurs de marchés professionnels. Cette simulation permet de vivre l'ambiance fébrile d’un parquet de bourse.

Chaque équipe tente de faire fructifier au maximum leur portefeuille de départ de 100 000 $. Le logiciel utilisé pour la simulation a été conçu par l’Université Laval.
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La photo nous fait voir les boursiers et boursières. Sauf indication contraire, les bourses proviennent du PRSLC. 1re rangée : Tanya Sotsky (1re année, 5 660 $), Jolaine Arseneau (3e année, 4 550 $), Marie-Julie Bourque (3e année, 5 000 $), Lise L’Anglais (2e année, programme accéléré, 6 000 $), Camille Goguen (3e année, 5 000 $), Catherine Boulet (3e année, 5 000 $), et Lise Landry, coordonnatrice du programme des bourses; 2e rangée : Carole Hachey, secrétaire du Département de traduction et des langues; Éric Dow (3e année, 5 000 $), Janou-Caroline Bacon (3e année, 5 000 $), Marie-France Paré (4e année, 5 714 $), Jean-Sébastien Landry (2e année, 4 550 $), Jennifer Henry (2e année, 4 550 $) et Denise Merkle, directrice du Département de traduction et des langues; 3e rangée : Marc-André Haché (2e année, programme accéléré, 4 550 $), Chad Comeau (4e année, 5 714 $), Matthieu LeBlanc, professeur au Département de traduction et des langues; et Justin Robichaud (4e année, 5 714 $). Absences dans la photo : Josée Arsenault, Priscilla Belliveau, Rosiane Comeau, Nicole Drouin, Stéphanie Frenette, Marie-Claude Hébert, Karine Lauzon (bourse offerte par le ministère des Affaires intergouvernementales), Paul Pitre, Marc-André Bouchard, Julie Boulianne, Sarah MacNeil, Julie Malchow, Chloé Perreault, Jolène Robichaud, Delaney Clarke, Richard Dignard (bourse offerte par Traduction NB), Vanessa Godin, Marc Landry, Ariel LeBlanc, Marie-Ève Lord, Tressy Ouellet, Élise Pelletier (bourse PRSLC et bourse offerte par l’Université de Moncton), Monyse Robichaud, Stacy Bossé, Zoé Fournier, Marie-Julie Girouard, Marie-Ève Cyr (bourse offerte par l’Université de Moncton), Élisabeth Marchand-Proud (bourse offerte par l’Université de Moncton) et Marie-Hélène Lapierre.
Bénéficiaires de bourses au Département de traduction et des langues
Grâce à un accord conclu entre l’Université de Moncton et le ministère des Travaux publics et des Services gouvernementaux du Canada (Programme de renforcement du secteur langagier au Canada, PRSLC), 43 étudiantes et étudiants du Département de traduction et des langues se sont vu accorder des bourses d’études pour l’année universitaire 2012-2013.

La valeur globale des bourses offertes dans le cadre du PRSLC s’élève à 180 000 $ pour l’année universitaire 2012-2013. À cela s’ajoutent des contributions supplémentaires de l’Université de Moncton, de Traduction NB et du ministère des Affaires intergouvernementales qui s’élèvent à 12 500 $, à 5 000 $ et à 6 000 $ respectivement.

La valeur totale du programme de bourses (PRSLC), qui s’échelonne sur quatre ans (2009-2010 à 2012-2013), est de 767 000 $.
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Dre Jalila Jbilou est cochercheuse d’une recherche génomique sur le cancer du sein
Dre Jalila Jbilou, chercheuse au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB), participera en tant que cochercheuse à un projet de recherche portant sur la « Stratification personnalisée des risques pour la prévention et la détection précoce du cancer du sein ».

Ce projet est financé par Génome Canada, dans le cadre de son programme Projets de recherche appliquée à grande échelle, et par les Instituts de recherche en santé du Canada grâce à une subvention du gouvernement du Canada.

C’est une recherche très complexe qui vise l’identification de données probantes pour une meilleure prévention et un dépistage précoce du cancer du sein chez les femmes à risque. « La particularité de cette recherche est qu’elle s’intéresse à tous les volets d’un continuum allant de la recherche génétique jusqu’à l’utilisation des tests et des outils, qui en découlent, dans les bureaux de médecin ainsi que leur acceptabilité par les patientes, explique Dre Jbilou. Nous étudierons également les aspects organisationnels et les avantages sociaux et économiques de ces tests et nous nous interrogeons aussi grandement sur la portée éthique de nos découvertes. »

La chercheuse du CFMNB travaille sur différents volets du projet : évaluation des avantages sociaux et économiques, transfert de connaissances, composante clinique et analyse organisationnelle. « C’est un projet qui a commencé il y a déjà un moment. La phase dans laquelle nous nous trouvons devrait prendre fin en 2017, » ajoute-t-elle.

Pour le Centre de formation médicale, avoir une chercheuse qui participe à ce projet d’envergure a des avantages certains. « Ce projet aura deux portées pour nous. Il sera une occasion d’exposer nos étudiants en médecine à une équipe de chercheurs de renommée internationale et de les initier à la recherche clinique et la recherche en analyse organisationnelle du système de santé. De plus, il nous permettra d’explorer les possibilités d’implanter ce projet au Nouveau-Brunswick dans le futur, » poursuit la chercheuse.

Le CFMNB investit et soutient de plus en plus les projets de recherche explorant les déterminants de la santé et les interventions cliniques et populationnelles. Les divers projets de recherche qui y sont menés ont pour but d’aider les médecins et les futurs médecins à mieux comprendre ce qui influence la santé des populations et d’être à l’affut des percées dans les divers domaines de la médecine. Ils contribuent aussi au développement des données probantes pouvant renseigner les processus décisionnels et politiques en santé.

Renseignements : 858-4931 / jalila.jbilou@umoncton.ca
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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La photo nous fait voir, de gauche à droite, assis : Sophie Gaudet, coordonnatrice des stages et membre du comité organisateur; Denis Savoie, gestionnaire au ministère du Développement social et coprésident du comité organisateur; Véronique Roy-Guitard, animatrice; Ricky McIntyre, animateur; et Marie-Lyne Caron, adjointe à la coordination des stages et membre du comité organisateur; debout : Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; Jean-Denis Bernard, travailleur social et conférencier; Sophie Castonguay, gestionnaire de programme au ministère du Développement social; Pierrette Diamond, travailleuse sociale et conférencière; Suzanne Thériault-Savoie, étudiante de 4e année et coproductrice du montage vidéo; Jean-Raphaël Lavoie, étudiant de 5e année et coproducteur du montage vidéo; Chantal Bourassa, professeure et membre du comité organisateur; Catherine Plante, étudiante de 4e année et coproductrice du montage vidéo; et Hélène Albert, directrice de l’École de travail social et coprésidente du comité organisateur. Absence dans la photo : Vanessa Diotte, étudiante de 3e année, conférencière.
Journées d’échange de l’École de travail social et du ministère du Développement social
Les 21 et 22 mars, l’École de travail social, en partenariat avec le ministère du Développement social, a tenu la 12e édition de ses journées d’échange. Cette activité a réuni plus de 150 personnes participantes dont des professionnels du travail social, des étudiantes et étudiants ainsi que les membres de l’équipe pédagogique de l’École de travail social.

Le thème des échanges cette année était « Logement sécuritaire et travail social : Comment composer avec ses valeurs et celles des autres ? »

En guise d’amorce aux discussions, un montage vidéo a été conçu et réalisé par trois étudiants, Jean-Raphaël Lavoie, Catherine Plante et Suzanne Thériault-Savoie, sous la direction de Marie-Lyne Caron.

Cette journée a, une fois de plus, permis de réaliser de riches échanges et discussions entre des intervenantes et intervenants du milieu professionnel et des membres du corps professoral et étudiant de l’École de travail social autour d’un thème rassembleur. Cette activité est, d’une année à l’autre, fort appréciée par les participantes et participants.
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Dans la photo, la bénéficiaire, Josée Haché, est accompagnée de Paul Maurice, président du Club Rotary de Dieppe.
Bourse du Club Rotary de Dieppe
La bourse du Club Rotary de Dieppe d’une valeur de 1 000 $ a été octroyée à Josée Haché, de Moncton, étudiante au programme B.A.-B.Ed avec majeure anglais.

Cette bourse est offerte aux étudiants et étudiantes qui habitent dans la grande région de Moncton, qui ont un besoin financier et qui possèdent un bon rendement académique.

Le Fonds de bourses Club Rotary de Dieppe a été créé en 1996 pour venir en aide à ceux et celles qui se distinguent dans leurs études et qui ont besoin d’un coup de pouce financier alors qu’ils fréquentent l’Université de Moncton.
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Concert du Chœur Louisbourg le 30 avril
Le Chœur Louisbourg, sous la direction de Monique Richard, présentera un concert en l’église St. James United, 75, rue Alma, à Moncton, le mardi 30 avril à 19 h 30.

Au programme, vous pourrez entendre des œuvres de Mendelssohn-Bartholdy, Brahms et Lauridsen. De plus, le chœur reprendra la composition du professeur Richard Gibson, « Alla luna », qu’il a interprété lors du concert soulignant le 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton.

Monique Richard est professeure au Département de musique de l’Université de Moncton où elle est responsable des cours d’éducation musicale et de direction, en plus de diriger les ensembles vocaux et l’atelier d’opéra avec orchestre. Elle est la directrice artistique du Chœur Louisbourg depuis huit ans.

Gayle h. Martin accompagnera le chœur à l’orgue.

Les billets sont en vente au Centre des arts et de la culture de Dieppe et à la billetterie du Centre étudiant au campus de Moncton.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Séminaire de recherche en santé en compagnie du Dre Miroslava Cusera
Un séminaire de recherche en santé, intitulé « Métabolomique, épigénomique métabolique et métabolisme du cancer : There and Back », sera présentée par Dre Miroslava Cusera, agente de recherche principale à l’Institut de technologie de l’information du CNRC, le vendredi 19 avril de 12 h 30 à 13 h 30 dans la salle de vidéoconférence situé au 2e étage du Centre d’oncologie Dr-Léon-Richard de Moncton.

L'analyse des métabolites fait partie de la recherche en sciences de la vie depuis des siècles. La métabolomique, définie comme l'étude à haut débit des métabolites, dispose d'une base solide dans les premières études en métabolisme ainsi que dans la conception d'outils d'analyse et de calcul. La métabolomique offre les plus grandes possibilités dans l'analyse des systèmes biologiques puisque les métabolites montrent les processus de définition de phénotypes.

Le profil des métabolites peut être établi à partir de tissus, de cellules, de liquides organiques et d’échantillons d’haleine, à la fois in vivo et ex vivo, et il offre les plus grandes possibilités de diverses applications cliniques.

Les membres du groupe ont pris part à un grand nombre de ces différents types d'analyses en vue d’élaborer des applications cliniques. Le métabolisme des tumeurs est extrêmement différent de celui des cellules et des tissus normaux analogues. Les changements métaboliques sont déclenchés par des oncogènes et sont nécessaires aux transformations malignes permettant aux cellules cancéreuses de résister à certains signaux de mort cellulaire, tout en produisant de l'énergie et en répondant à leurs besoins biosynthétiques avec des ressources limitées.

Le phénotype métabolique distinct des cancers offre une possibilité intéressante en ce qui a trait au diagnostic et aux traitements. La métabolomique associée à la biologie des systèmes est un moyen idéal d'analyse du phénotype métabolique du cancer et il offre de nombreuses applications possibles en recherche contre le cancer et en applications cliniques.

L’exposé comprendra des exemples des travaux de recherche et de développement effectués par le groupe, démontrant le sous-typage inédit du cancer du sein et du glioblastome multiforme et l’examen des différents inhibiteurs d’enzyme comme d’éventuels agents anticancéreux. En outre, les derniers résultats concernant le métabolisme et les changements épigénétiques seront présentés. Le séminaire se déroulera en anglais.

Renseignements : 758-5951 / brigitte.sonier-ferguson@vitalitenb.ca
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Banquet de l’École de psychologie
La photo, prise lors du banquet annuel de l’École de psychologie, nous fait voir, de gauche à droite, Marianne Bourgeois, Hélène Robichaud, Karine Roy, Myriam Pâquet, Paul-Émile Bourque, doyen de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires; Guy LeBoeuf, Pierre Nadeau Marchand, Tiffany Raymond, Joanie Gagnon, Valérie Mallard et Katherine Guérard.
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ABC : bourses d’excellence en droit
La Division du Nouveau-Brunswick de l’Association du Barreau canadien a offert des bourses d’excellence de 1 500 $ chacune à deux étudiants de la Faculté de droit de l’Université de Moncton.

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Me Thomas Raffy, représentant de l’Association du Barreau canadien - Division du Nouveau-Brunswick; André Carroll, étudiant de 3e année; et Robert L. LeBlanc, vice-doyen de la Faculté de droit.

Samuel LeBlanc, étudiant de 1re année, était absent lorsque la photo a été prise.
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Valois Robichaud prononcera une conférence en Israël
Valois Robichaud, professeur-chercheur au campus de Shippagan, prononcera une conférence, intitulée « Pour un cognitivisme relationnel », dans le cadre de la conférence internationale portant sur la modifiabilité cognitive et la neuroscience, qui se tiendra du 2 au 5 juin à Jérusalem, en Israël, sous les auspices de l'Institut Feurestein, fondé en 1965 par le professeur Reuven Feuerstein.

Les observations empiriques, à même la salle de cours au campus de Shippagan au cours des 20 dernières années, ont permis au professeur Robichaud d'observer que le processus d'apprentissage est grandement facilité par les trois attitudes fondamentales du maitre : l'empathie, le regard positif inconditionnel et la congruence, toutes trois développées et appliquées par le psychologue américain Carl Rogers. L'approche relationnelle en enseignement-apprentissage fait appel au fonctionnement global du cerveau primitif, limbique et supérieur (néo-cortex) en des phases successives.
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La photo nous fait voir le premier ministre David Alward en compagnie des étudiants François Boucher et Alexandre Nadeau.
David Alward fait à nouveau connaissance avec les étudiants en administration du campus d’Edmundston
Pour une deuxième année consécutive, les étudiantes et étudiants en administration des affaires du campus d’Edmundston ont eu la chance de rencontrer le premier ministre du Nouveau-Brunswick, David Alward, lors du souper d’affaires de la Chambre de commerce de la région d’Edmundston, qui a eu lieu au Palais des congrès.

M. Alward était invité à faire connaitre les grandes lignes du dernier budget provincial présenté le 26 mars à l’Assemblée législative de Fredericton.

Comme l’an dernier, le premier ministre a tenu à s’entretenir avec les 27 étudiants et étudiantes en administration du campus d’Edmundston. Dans son discours, il n’a d’ailleurs pas manqué de souligner leur présence à ce repas.
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Bourses du Barreau du Nouveau-Brunswick
Le Barreau du Nouveau-Brunswick a octroyé des bourses d’une valeur de 1 500 $ chacune à trois étudiants de la Faculté de droit de l’Université de Moncton.

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Robert L. LeBlanc, vice-doyen de la Faculté de droit; Jean-Rémi Godin, étudiant de 1re année; Me Marc L. Richard, directeur général du Barreau du Nouveau-Brunswick; Michael Sinclair, étudiant de 2e année; et Benjamin Nkana Bassi, étudiant de 3e année.
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La dramaturgie acadienne est à l’honneur au Festival à haute voix
Le théâtre l’Escaouette présente la septième édition de son Festival à haute voix, du 18 au 21 avril.

Le Festival à haute voix a été créé en 2001 afin d’encourager le développement de l’écriture pour la scène et par conséquent, d’une nouvelle dramaturgie en Acadie. Cette activité bisannuelle constitue une formidable vitrine sur la dramaturgie acadienne où le public peut assister à de premières lectures de textes dramatiques d’auteurs établis et de la relève. Pour les auteurs, il s’agit également d’un banc d’essai formidable.

Pendant les quatre jours du Festival, le public aura la chance d’assister à la mise en lecture d’une dizaine de textes des auteurs Caroline Bélisle, Marilyn Bouchard, Gracia Couturier, Mélanie Daigle, Alain Doom, Matthieu Girard, Johanne Parent et Gabriel Robichaud.

Pour la première fois cette année, le Festival à haute voix s’est associé au Festival Frye pour présenter les textes dramatiques des récipiendaires d’un concours de rédaction dans les écoles secondaires du Nouveau-Brunswick : Ashley Beaudin, de l’école secondaire Mathieu Martin de Dieppe, et Adam Godlewski, du Saint John High School.

La mise en lecture des textes est assurée par des interprètes et des metteurs en scène professionnels. Marcia Babineau signe la direction artistique de cette septième édition, appuyée de Gabriel Robichaud, coordonnateur de l’événement et stagiaire à la direction artistique. Après chaque lecture, le journaliste David Lonergan animera une discussion de 15 minutes entre le public et l’auteur.

Par ailleurs, le Festival à haute voix étend son rayonnement au-delà des frontières de la région, grâce à sa collaboration avec le Conseil des arts de l’Ontario et la Chaire de recherche sur la francophonie canadienne de l’Université d’Ottawa et son directeur, Joël Beddows, qui prendra part au Festival.

Le Festival a lieu au théâtre l’Escaouette. Laissez-passer pour toutes les lectures : 35 $. Le prix d’admission pour une lecture est de 5 $. (855-0001).
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Don de Stewart McKelvey
Dans le cadre de la Campagne Excellence de l’Université de Moncton, le cabinet Stewart McKelvey s’est engagé à fournir à titre gracieux les Règles de procédure du Nouveau-Brunswick et le Formulaire y afférant aux étudiants et étudiantes de la Faculté de droit inscrits au cours Procédure civile.

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Robert L. LeBlanc, vice-doyen de la Faculté de droit; l’étudiante Julie Bourassa; Me Chantal A. Thibodeau, du cabinet Stewart McKelvey de Moncton; l’étudiante Melissa Sullivan; et Me James E. Lockyer, professeur du cours Procédure civile.
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Annie LeBlanc joint l’équipe des Aigles Bleues au volleyball
L'entraîneuse des Aigles Bleues de l'Université de Moncton au volleyball, Monette Boudreau-Carroll, a laissé savoir qu'Annie LeBlanc, de Shédiac, joindra son équipe pour la saison 2013-2014.

Étudiante de 12e année à l'école secondaire Louis-J.-Robichaud de Shédiac, LeBlanc est inscrite en science politique au campus de Moncton en septembre. « Je suis heureuse qu'Annie ait décidé de joindre l’équipe des Aigles Bleues, mentionne Boudreau-Carroll. Elle fait partie du programme de sports/études et son avenir est prometteur. »

« J'ai choisi les Aigles Bleues parce que le campus est proche de chez-moi et j’assiste aux parties depuis quelques années déjà, mentionne LeBlanc. De plus, je connais la majorité des joueuses des Aigles Bleues, ayant joué avec elles dans le programme Bleu et Or ou avec le programme de sports/études en volleyball. Je suis heureuse d'avoir la chance de jouer devant mes parents et mes amis. »

LeBlanc évolue au volleyball depuis sa sixième année scolaire alors que ses amies avaient décidé de joindre une équipe. Sa progression lui a permis d'évoluer avec plusieurs équipes élites de la région. Elle tente actuellement de décrocher un poste au sein de l'équipe qui représentera la province aux Jeux du Canada en août à Sherbrooke.

« J’aurai un été assez chargé avec divers entraînements et la possibilité de jouer avec l'équipe des Jeux du Canada, ajoute la joueuse qui évolue au poste hors-terrain et qui mesure cinq pieds et 10 pouces. Je termine le programme sports/études cette année et que j'ai beaucoup apprécié depuis trois ans. J'aime bien la position d'attaquante de côté parce qu'il y a toujours de l'action, que ce soit bloquer, attaquer ou participer à la réception du ballon. Le plus excitant, c’est lorsque tu réussis à bloquer un smash de l'équipe adverse ou encore marquer un point sur un smash. »

Le volleyball est un sport exigent pour les joueuses, autant physiquement que mentalement. Annie LeBlanc rappelle qu'il faut toujours rester alerte et déterminée afin d'appuyer ses coéquipières pendant toute la partie, ce qui n'est pas toujours facile.


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Soutenance de thèse de maîtrise de Janelle McLaughlin en études de l'environnement
Les personnes intéressées sont invitées à assister à la soutenance de thèse de maîtrise en études de l’environnement de Janelle McLaughlin, intitulée « Conditions d’établissement d’une espèce envahissante Ciona intestinalis (Linnaeus, 1767) : Étude comparative des bassins versants de la baie d’Orwell et des rivières Brudenell et Montague, Île-du-Prince-Édouard, Canada », le jeudi 25 avril à 9 heures dans le local B-015 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.

La thèse est effectuée sous la direction de Guillaume Fortin, professeur au Département d’histoire et de géographie. Les autres membres du jury sont Daniel Bourque, biologiste en sciences aquatiques à Pêches et Océans Canada, évaluateur externe; Chris McKindsey, chercheur au ministère de Pêches et Océans Canada, évaluateur externe; Gilles Miron, professeur au Département de biologie à l’Université de Moncton, évaluateur interne; et Céline Surette, directrice du programme de la maîtrise en études de l’environnement, présidente du jury.

Bienvenue à toutes et à tous.

Renseignement: 858-4498.
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