Vol. 43, no 21
14 février 2013
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La photo nous fait voir Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton, et Liane Roy, présidente-directrice générale du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick (CCNB), au moment de signer l’entente cadre. Debout, de gauche à droite, on voit Haoua Seyni, étudiante de deuxième année au programme Administration des affaires – planification financière au CCNB; Gaston LeBlanc, doyen de la Faculté d’administration de l’U de M; Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche de l’U de M; Jean-Jacques Doucet, vice-président à la Formation et à la Réussite étudiante du CCNB; Claude Allard, directeur du CCNB - Campus de Dieppe; et Denis Cormier, étudiant de deuxième année au programme Administration des affaires – planification financière au CCNB.
L’Université de Moncton et le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick concluent une entente de collaboration
Le recteur et vice-chancelier de l’Université de Moncton, Raymond Théberge, et la présidente-directrice générale du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick (CCNB), Liane Roy, s’engagent dans une démarche de rapprochement entre les deux institutions.

Lors d’une conférence de presse tenue au CCNB - campus de Dieppe, les deux dirigeants ont signé une entente cadre, dévoilé un plan d’action et lancé le nouveau programme de baccalauréat appliqué en gestion des services financiers.

« Nous sommes heureux de ce partenariat grandissant avec le Collège communautaire, souligne M. Théberge. Cette mise en commun de nos efforts favorise ainsi l’accès aux études universitaires, bonifie la formation offerte aux francophones du Nouveau-Brunswick et répond du même coup aux besoins du marché de l’emploi. »

« Les ententes avec l’Université de Moncton comme celles d’aujourd’hui illustrent bien l’importance de la complémentarité sur le plan de la formation postsecondaire pour nos deux institutions, rappelle Mme Roy. Le plan d’action qui est dévoilé mise sur des priorités et des efforts conjoints, notamment la valorisation des études postsecondaires, le recrutement, la recherche et l’innovation, la réussite étudiante, la mobilité interinstitutionnelle, la planification académique et bien entendu, les activités étudiantes conjointes. »

L’entente cadre prévoit une plus grande collaboration entre l’Université de Moncton et le CCNB afin d’augmenter le niveau d’éducation au Nouveau-Brunswick et de favoriser l’accès aux études postsecondaires. Cette collaboration comprend le partage de ressources entre les deux institutions et l’élaboration de projets conjoints. Parmi les objectifs de l’entente, on vise une plus grande intégration des programmes de formation et l’augmentation de la mobilité étudiante entre les deux établissements.

Nouveau programme conjoint
Le nouveau baccalauréat appliqué en gestion des services financiers (B. APPL. G.S.F.) est maintenant offert au campus de Moncton de l’Université de Moncton aux personnes diplômées du programme Administration des affaires - planification financière du CCNB. Le programme jumelle la formation collégiale en finance personnelle à la formation universitaire en finance corporative; il offre donc une excellente formation en gestion des services financiers.

La formation du baccalauréat appliqué en gestion des services financiers peut déboucher sur des carrières de conseiller en planification financière ou en investissement, d’agent d’assurance-vie et de biens, de directeur de comptes et de courtier en valeurs mobilières.

Pour l’étudiante ou l’étudiant du CCNB qui a complété un programme de deux ans, la durée du nouveau programme menant au baccalauréat est de deux années universitaires. Pour inciter les anciens étudiants et étudiantes du CCNB à s’inscrire, l’Université de Moncton offre une bourse d’accueil de 1 000 $ à celui ou celle qui s’inscrira en septembre prochain.
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Le professeur Michel Johnson est le chercheur du mois de la Fondation pour la recherche en santé du Nouveau-Brunswick
Michel Johnson, professeur adjoint à l’École de kinésiologie et de récréologie de l’Université de Moncton, directeur des Groupes de recherche en conduite sécuritaire et directeur de recherche du programme Coeur en santé, est le chercheur du mois de la Fondation pour la recherche en santé du Nouveau-Brunswick. La FRSNB souligne ainsi l’excellence et le leadership de l’un de nos chercheurs dans le domaine de la recherche en santé qui sont axés sur le patient, la médecine appliquée et l’innovation.

Le programme de recherche du professeur Johnson est surtout centré sur l’élaboration de modèles psychobiologiques de la conduite incorporant la fonction autonome, des mesures cognitives et de la performance de conduite au sein de populations asymptomatique et symptomatique.

Il y a environ une dizaine d’années, il a entrepris ses études à titre de cochercheur dans deux initiatives nationales, soit le projet AUTO21, mené dans le cadre du programme des Réseaux de centres d’excellence du Canada (www.auto21.ca) et appuyé par au-delà de 200 partenaires des secteurs de l’industrie, du gouvernement et des établissements, et le projet Canadian Driving Research Initiative for Vehicular Safety in the Elderly (www.candrive.ca), financé par les Instituts de recherche en santé du Canada et l’Institut de recherche de l’hôpital d’Ottawa. Il a occupé le poste de professeur adjoint aux universités Lakehead et Nipissing.

Le professeur Johnson a réussi à obtenir plus de 2,5 millions de dollars pour le financement de la recherche depuis qu’il est à l’emploi de l’Université de Moncton il y a maintenant trois ans. Cette somme provient en grande partie du Fonds d'innovation de l'Atlantique (FIA) de l'Agence de promotion économique du Canada Atlantique (APÉCA). Il a participé à d’autres projets dont la valeur s’élève à huit millions de dollars. Il a formé et a agi comme mentor pour une douzaine d’étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs de diverses universités, a apporté sa contribution à plus d’une vingtaine d’articles et de rapports, et a présenté de nombreux exposés à des congrès nationaux et internationaux. En plus de ses travaux en laboratoire, il dirige une étude visant à proposer des stratégies pour renforcer la participation de la population aux soins de santé (Voix des patients) et à étudier des façons novatrices d’offrir des soins de santé aux patients du Nouveau-Brunswick souffrant d’une maladie chronique ou à risque d’en souffrir (Connected Voices).

En attirant des chercheurs talentueux comme le professeur Johnson au Nouveau-Brunswick, la FRSNB estime que « nous contribuons à l’effort de la communauté internationale qui vise à promouvoir un mode de vie sain et à offrir des services de santé efficaces. Nous créons également un milieu de recherche dynamique qui permet de former nos étudiants et étudiantes pour faire d’eux les chercheurs en santé talentueux de demain. Joignez-vous à nous pour rendre hommage à M. Johnson dont les travaux visent à améliorer la santé et l’autonomie des Néo-brunswickois et des Néo-brunswickoises. »

Michel Johnson a obtenu le baccalauréat ès arts de l’Université de Moncton avant de poursuivre ses études de maîtrise ès sciences à l’Université Laval et de Ph.D. en kinésiologie à l’University of Western Ontario.

Renseignements : 858-4811 / michel.johnson@umoncton.ca
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Les 8es Jeux de la traduction auront lieu du 15 au 17 mars à l’Université de Moncton
Dans le cadre du 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton, le Département de traduction et des langues organise les 8es Jeux de la traduction qui auront lieu du 15 au 17 mars. Depuis ses débuts, cet évènement unique s'est taillé une place de choix au sein de la communauté des étudiantes et étudiants en traduction au pays. Aujourd’hui, il s’agit à la fois d’un point de rencontre prisé et d’une expérience inoubliable pour toutes les personnes participantes.

Les Jeux de la traduction visent avant tout à réunir les étudiants et étudiantes en traduction des différentes universités pour leur permettre de mieux se connaître et de créer des liens entre eux. Le corps professoral du Département de traduction soutient fortement cette activité et aide les étudiants et étudiantes en faisant des séances de « coaching » en dehors des cours.

L’Université de Moncton a toujours aligné une équipe depuis les premiers Jeux en 2006. D’ailleurs, l’équipe de Moncton a remporté les grands honneurs et la coupe des Jeux lors des éditions de 2007 et 2008 et elle s’est classée au deuxième rang lors des Jeux de 2012. Il va sans dire que cet évènement remporte un vif succès auprès des participants et participantes qui se créent des amitiés et qui vivent une expérience enrichissante. Ainsi, nous pouvons compter sur une tradition déjà bien établie, sur le succès de nos prédécesseurs et sur le réseau sans cesse grandissant de la communauté des Jeux.

Pour plus de renseignements, vous pouvez communiquer avec Pascale Routhier LeBlanc, membre du comité organisateur des Jeux de la traduction 2013, au 506-227-8635 / epr1501@umoncton.ca
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, la professeure Monique Lévesque, Sélassi Aholou, Ashley Aubie, Wielfrid Boris N’Guessan, Aurélie Juste, Debbie Boulay, Sophie Breau, Gerlinde Agoua, Tahara Diallo, Samuel Charron et Edgar Léger, professeur à la retraite. Absents dans la photo : le professeur Philippe McGraw et l’étudiante Annie Finn.
La 43e édition du Projet-impôt aura lieu du 22 au 24 mars au campus de Moncton
Pendant trois jours consécutifs en mars, des étudiants et étudiantes de troisième et quatrième années de la Faculté d'administration de l'Université de Moncton rempliront sans frais des déclarations de revenus qui sont inférieures à 30 000 $ et dont la situation financière est simple.

Pour cette 43e édition du Projet-impôt, le service sera offert le vendredi 22 mars de 13 heures à 19 h 30, le samedi 23 mars de 10 heures à 16 heures, et le dimanche 24 mars de 11 heures à 15 h 30 au pavillon Jean-Cadieux du campus de Moncton.

Afin de faciliter leur tâche, les étudiants et étudiantes utiliseront encore une fois un logiciel informatique fiscal.

Les étudiants et étudiantes bénévoles ne rempliront cependant pas les déclarations de revenus et de prestations pour les personnes décédées, pour les particuliers en faillite ou encore pour ceux et celles qui ont des gains en capital/pertes ou des revenus et dépenses d'entreprise ou de location et des revenus de placement de plus de 1 000 $.

Grâce à un accord conclu entre la Faculté d'administration et l'Agence du revenu du Canada, ce projet s'inscrit à l'intérieur d'un programme communautaire de personnes bénévoles en matière d'impôt avec le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick à Moncton et certains clubs d'âge d'or de la région.

Comme par le passé, les étudiants et étudiantes de la Faculté d'administration accepteront pendant le mois de mars de remplir des déclarations de revenus pour les personnes habitant des foyers de soins.

Les dons reçus seront remis à des organismes de charité ou utilisés pour des projets étudiants.

Depuis les 43 dernières années, le Projet-Impôt a permis à 1 800 étudiants et étudiantes de remplir au-delà de 32 000 déclarations de revenus.

Vous pouvez obtenir d'autres renseignements au 858-4273 ou encore au 858-4383.
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La Semaine internationale se poursuit jusqu’au 17 février au campus de Moncton
Sous le thème « Regard sur le monde… à travers les yeux de l’autre », la Semaine internationale au campus de Moncton se poursuit jusqu’au 17 février. Voilà l’occasion de faire connaître les différents pays d’où sont originaires les étudiantes et étudiants internationaux fréquentant l’Université de Moncton ainsi que leurs cultures et leurs traditions.

Le Burkina Faso est à l’honneur le jeudi 14 février. Des représentants du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick présenteront divers projets internationaux en cours, à 10 h 30 dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon. À 15 heures dans le même local, les professeures Carole Tranchant et Lise Savoie présenteront le projet d’Appui aux écoles pratiques d’agriculture du Burkina Faso.

Un spectacle présenté à titre gracieux du conteur Kientenga Pingdéwindé, originaire du Burkina Faso, sera présenté jeudi toujours à 19 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois, tandis que le Ciné-campus présentera le film « Rebelle », du réalisateur Kim Nguyen, en nomination dans la catégorie meilleur film étranger aux Oscars, les jeudi et vendredi 14 et 15 février à 20 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard.

Le vendredi 15 février, le pays à l’honneur sera le Mali. À 11 h 15, le professeur Ibrahim Ouattara présentera quelques réflexions portant sur la crise actuelle dans ce pays, dans la salle 136 du pavillon Léopold-Taillon.

La 37e Soirée internationale de l’AEEIUM aura lieu le samedi 16 février au Ceps Louis-J.-Robichaud. Un Village international sera installé dans le gymnase du Ceps dès 15 heures et le grand public pourra y visiter sans frais le Souk international ainsi que des stands de commerce équitable de l’organisme Dix Mille Villages. Un repas à saveur internationale sera servi dès 17 heures dans le stade et sera suivi d’un spectacle multiculturel riche en couleurs. Les billets pour la soirée sont en vente à la billetterie du Centre étudiant, 15 $ pour les étudiants, 20 $ pour les adultes et 8 $ pour les enfants de 12 ans et moins.

La Semaine internationale prendra fin avec un spectacle de l’humoriste ivoirien Le Grand Maître, le dimanche 17 février à 19 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois. Les billets, 5 $ pour les étudiants et 7 $ tarif ordinaire, sont en vente à la billetterie du Centre étudiant.
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Le Service aux étudiantes et étudiants internationaux lance un guide d’adaptation interculturelle
Le Service aux étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton vient de faire paraître un guide d’adaptation interculturelle, intitulé « À la rencontre de soi et de l’autre ».

D’abord destiné à la clientèle étudiante internationale, ce guide s’adresse aussi aux étudiantes et étudiants canadiens de même qu’à tous les membres de la communauté universitaire. Il a été publié grâce à une contribution financière du ministère de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail du Nouveau-Brunswick.

« Ce projet a été réalisé dans le but de favoriser la compréhension entre les cultures, souligne le recteur et vice-chancelier Raymond Théberge. Alors que l’Université de Moncton célèbre son 50e anniversaire de fondation, la présence internationale qui s’est bâtie au fil des ans au sein de nos trois campus est aussi à célébrer. Avec la publication de ce guide, l’Université de Moncton démontre qu’elle prend en compte la diversité culturelle qui l’habite et cherche à faciliter les échanges et la communication à même cette diversité. »

« Ce guide est un outil précieux pour développer une meilleure appréciation de la richesse et des défis de l’interculturel, explique Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales. Je tiens par ailleurs à souligner l’excellent travail du responsable du projet, Hermel Deschênes, conseiller aux étudiantes et étudiants internationaux, et de la rédactrice Isabelle Violette, professeure de linguistique à la Faculté des arts et des sciences sociales, qui ont très bien réussi à transmettre la démarche d’adaptation interculturelle. »

Le guide a été développé en trois parties. La première partie est consacrée à la définition de la notion de « culture » dans une perspective anthropologique. Elle permet d’élargir notre compréhension de la culture en abordant le choc culturel ainsi que d’autres mécanismes de défense qui constituent des réactions normales et spontanées face à la différence.

La deuxième partie fait ressortir certains malentendus qui relèvent des différences culturelles au niveau des normes communicationnelles et des valeurs sociales. Dans cette perspective, elle présente également un ensemble de compétences interculturelles à mettre en pratique par toute personne qui souhaite s’adapter à un nouveau milieu culturel et surmonter la période de désorientation qui accompagne ce processus.

La troisième et dernière partie consiste à donner des points de repère culturels pour celles et ceux qui arrivent en sol canadien et plus particulièrement en milieu universitaire acadien. Il s’agit de présenter les divers savoir-faire qui ont cours dans le nouveau milieu d’accueil allant de la façon de saluer, d’entamer une conversation, de naviguer dans le système universitaire acadien, de reconnaître et de comprendre les particularités linguistiques du français acadien. De plus, ce guide comprend un lexique qui regroupe les principales notions employées dans la littérature interculturelle.

Disponible aux Services aux étudiantes et aux étudiants des trois campus de l’Université de Moncton, ce guide est aussi publié en format électronique à l’adresse www.umoncton.ca/umcm-saee/node/276.

Pour de plus amples renseignements, prière de communiquer avec Hermel Deschênes, conseiller aux étudiantes et étudiants internationaux au campus de Moncton, au 506-858-3713 ou par courriel à l’adresse hermel.deschenes@umoncton.ca.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Mélissa Clavette et Myriam Duff
Mélissa Clavette et Myriam Duff coordonnent la venue de l’organisme Dix Mille Villages au campus de Moncton
Depuis plusieurs semaines, deux étudiantes de troisième année en travail social, Mélissa Clavette et Myriam Duff, travaillent d’arrache-pied pour que l’événement soit un succès. Elles sont les organisatrices de la vente de produits de commerce équitable qui aura lieu le samedi 16 février de 15 heures à 18 heures dans le gymnase du Ceps Louis-J.Robichaud.

Cette activité fait partie du projet Justice sociale, qui existe depuis quelques années à l’École de travail social de l’Université de Moncton. Si les thématiques mises de l’avant sont différentes chaque année, les objectifs restent les mêmes. Il s’agit de sensibiliser les futurs travailleurs sociaux aux questions d’inégalités et d’injustices sociales qui risquent d’être au cœur de leur future profession.

Mélissa et Myriam ont choisi de se porter volontaire pour sensibiliser les gens à la cause du commerce équitable. « Au départ, je voulais m’impliquer dans ce projet pour que les gens soient davantage au courant de ce qu’est réellement le commerce équitable, affirme Myriam. C’est un sujet qui est encore méconnu, moi-même j’en ai appris beaucoup en travaillant à l’organisation. »

L’organisme Dix Mille Villages a pour objectif d’offrir un revenu aux artisans de pays en développement grâce à la commercialisation de leurs produits. L’organisme a déjà visité le campus de Moncton l’an dernier, à l’invitation de l’École de travail social. À la suite du succès obtenu, des démarches ont été entreprises pour que l’organisme revienne, mais cette fois dans le cadre de la Semaine internationale. Les membres de la communauté universitaire et les gens de la région pourront ainsi visiter les nombreux stands de l’organisme et se procurer divers objets, qu’il s’agisse de vêtements, de bijoux ou d’œuvres d’art.

Toute la logistique entourant l’organisation d’un événement de cette envergure a constitué un beau défi pour les deux étudiantes. « La promotion et le recrutement de bénévoles ont été parmi les tâches les plus difficiles, mais cela nous a permis de mettre en pratique notre sens de l’organisation, ajoute Mélissa. C’est la première fois que l’on organise un événement de cette ampleur et ce n’était pas toujours évident parce qu’il y avait énormément de gens à contacter. »

Les deux étudiantes espèrent que les gens qui visiteront les différents stands de Dix Mille Villages en apprendront davantage sur le trajet habituellement effectué par les différents objets de consommation, comparé aux objets provenant du commerce équitable qui requièrent beaucoup moins d’intermédiaires et qui permettent aux producteurs de recevoir une rémunération beaucoup plus juste. Elles souhaitent que les gens aient ainsi davantage conscience de la valeur réelle de chaque dollar, et qu’ils réalisent qu’il existe très souvent un équivalent équitable pour chaque objet de consommation courante et à un prix abordable.

Justice Sociale : un projet très populaire
Cette année, une trentaine d’étudiants et étudiantes ont souhaité participer au projet Justice Sociale. Cinq thématiques ont été choisies par le groupe : la diversité culturelle, la sécurité alimentaire, le commerce équitable, l’intimidation à l’université et le bénévolat. Pour chacun des thèmes choisis, les étudiants et étudiantes organisent diverses activités de sensibilisation tout au cours de l’année universitaire.

Grâce à leur participation à ce projet, les étudiants et étudiantes ont ainsi l’occasion de mettre en pratique les principes théoriques qu’ils apprennent en classe et à agir de façon concrète pour contribuer à rétablir la justice sociale.
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Programme de coopération universitaire en matière d'enseignement supérieur et de recherche entre le Québec et le Nouveau-Brunswick
Une somme globale de 70 000 $ sera investie par les gouvernements du Québec et du Nouveau-Brunswick afin d'encourager la coopération entre les universitaires des deux provinces.

Ce programme de coopération s'applique à tous les domaines de recherche scientifique. Il s’adresse au corps professoral, aux étudiants et étudiantes et comprend les volets recherche et formation.

Les directives et les formulaires de demande concernant la soumission des projets pour l'année 2013-2014 sont disponibles à l'adresse Internet ci-dessous.

Les dates limites internes sont les suivantes : soumission des demandes à la FESR : le lundi 18 février à 16 h 30 (l'original plus une copie pour la FESR); soumission des rapports d'activité et des états financiers à la FESR (pour les projets subventionnés l'année précédente), le 15 avril (l'original plus une copie pour la FESR).

Renseignements : FESR, au 858-4310 / fesr@umoncton.ca

http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/ education _postsecondaire_formation_et_travail /postsecondaire/content/ recherche_et_innovation/ cooperation_universitaireenmati eredenseignementsuperieuretderech.html
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11931
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Isabelle McKee-Allain, directrice de l’Institut d’études acadiennes; le recteur et vice-chancelier Raymond Théberge; Denis Bourque, directeur du Groupe de recherche en édition critique de l’Université de Moncton; l’auteure France Daigle; la professeure Monika Boehringer, de Mount Allison University, auteure de l’édition critique; le recteur et vice-chancelier de Mount Allison University Robert Campbell; et Amélie Giroux, coordonnatrice des collections à l’Institut d’études acadiennes.
Lancement de l’édition critique du livre « Sans jamais parler du vent : roman de crainte et d’espoir que la mort arrive à temps » de France Daigle
Le lancement de l’édition critique du livre « Sans jamais parler du vent : roman de crainte et d’espoir que la mort arrive à temps », de l’auteure France Daigle, a eu lieu le 7 février au campus de Moncton.

Cette édition critique a été établie par la professeure Monika Boehringer, de Mount Allison University de Sackville. C’est le premier titre de la collection « Bibliothèque acadienne » de l’Institut d’études acadiennes et du Groupe de recherche en édition critique de l’Université de Moncton qui réunit en éditions critiques les textes fondamentaux de la littérature acadienne.

« Dans le contexte de la littérature franco-canadienne, France Daigle n’a plus à établir sa renommée : son œuvre est étudiée en Amérique du Nord et en Europe. Elle a une douzaine de romans à son actif dont plusieurs ont été couronnés par des prix nationaux et internationaux. Son dernier roman, l’œuvre magistrale « Pour sûr », a notamment remporté le Prix littéraire du Gouverneur général du Canada en 2012. Or, lors de la parution de son premier roman, « Sans jamais parler du vent », en 1983, personne ne pouvait encore savoir que Mme Daigle laisserait une marque indélébile sur la littérature acadienne. »

« Résolument moderne, ce premier roman présente une facture expérimentale devenue l’une des caractéristiques de l’écriture daiglienne. Depuis longtemps épuisé, il fallait le rendre de nouveau accessible : chacun pourra ainsi mesurer toute la trajectoire de l’auteure, de ses débuts jusqu’à l’opus magnum le plus récent. La présente édition critique de « Sans jamais parler du vent » présente non seulement les variantes, mais aussi un choix de fragments textuels qui permet d’en retracer la genèse. Ainsi, on saisira mieux la valeur de ce texte dont la relecture seule fait ressentir tous ses effets polysémiques. »

Ce lancement a été organisé dans le cadre des activités entourant le 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton.

Renseignements : 506-858-4726 / maurice.basque@umoncton.ca
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Festival del cine : découvrir le cinéma espagnol et hispano-américain
Les cinéphiles amoureux de culture hispanique seront comblés avec le premier festival de films en espagnol à Moncton ce mois-ci. Le samedi 23 et le dimanche 24 février, le Festival Del Cine prendra l’affiche dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard. En tout, cinq films seront projetés au grand écran devant public en version originale espagnole avec sous-titres en anglais.

Le Festival del cine est présenté en collaboration avec le Service des loisirs socioculturels du campus de Moncton.

Une première au campus
Depuis plusieurs années, l’idée d’un festival de films en espagnol trotte dans la tête de celle qui est à la tête du projet, Cynthia Potvin, professeure d’espagnol au Département de traduction et des langues de l’Université de Moncton. Elle souhaite faire découvrir les réalités socioculturelles, historiques et linguistiques du monde hispanique. « Quand on va en voyage, on revient généralement la tête pleine de beaux paysages, de plages au sable blanc, de soleil, mais on ne constate pas toujours l’envers de la médaille : la réalité sociale et le quotidien des gens qui y habitent. »

C’est cette réalité qui sera projetée à l’écran lors du premier Festival del cine et qui aborde le thème des défis à relever du monde hispanique dans son évolution. « Tous les sujets dont font l’objet les films à l’affiche peuvent nous toucher de près ou de loin, avance Mme Potvin. On invite les gens à découvrir et à réfléchir à ces enjeux à travers la loupe hispanique ». Celle qui espère voir plusieurs éditions du Festival del cine défiler à l’écran au fil des ans, souligne que l’idée d’un thème sera ancrée dans le projet. « C’est un bon point de départ pour découvrir la culture hispanique. Pour les prochaines éditions, on pourrait se concentrer sur d’autres facettes comme la culture, la famille, etc. »

Des films primés à l’affiche pour une première fois à Moncton
D’excellents films qui ont remporté plusieurs honneurs sont à l’affiche lors de ce premier Festival del cine dont le coup d’envoi aura lieu le samedi 23 février à 15 heures. C’est « También la Lluvia » (Even the Rain), d’Icíar Bollaín (2011), film mettant en vedette Gael García Bernal, qui lancera le bal. Le film dont l’intrigue se passe en Bolivie a récolté 13 nominations aux Prix Goya (l’équivalent des Oscars en Espagne) en 2011 et a remporté le prix du public pour meilleur film de fiction au Berlin International Film Festival (2011). « Tambien la Lluvia » permet également de voir à l’écran le talent de Luis Tosar et Carlos Aduviri.

Une occasion à ne pas manquer, « La Yuma » (Florence Jaugey, 2011) est la première réalisation du Nicaragua depuis 20 ans. Le film prendra l’affiche le samedi 23 février à 18 heures. Incarnant une jeune fille qui rêve de quitter son village et devenir boxeuse, la comédienne principale, Alma Blanco, a remporté la palme de la meilleure actrice au Festival de films de Cartagena de Indias en Colombie (2010). Le film met également en vedette les comédiens Gabriel Benavides et Rigoberto Mayorga.

« Contracorriente » (Undertow) (Javier Fuentes León, 2010), drame romantique qui traite de l’homosexualité, a remporté six nominations et neuf prix depuis sa sortie dont le prix du public au Chicago Latino Film Festival et au Festival de films latino-américains de Lima en 2010. La projection est à l’horaire le samedi 23 février à 20 heures. Les cinéphiles pourront découvrir le jeu du trio d’acteurs Cristian Mercado, Manolo Cardona et Tatiana Astengo.

« El Hombre de Al Lado » (The Man Next Door) (Mariano Cohn et Gastón Duprat, 2010) prendra l’affiche le dimanche 24 février à 18 heures. Cette comédie noire qui traite des différences entre les classes sociales a été honorée de six récompenses de l’Academy of Motion Picture Arts and Sciences of Argentina en 2010 (en plus de trois autres nominations) dont meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur acteur principal et meilleur scénario. Le film met en vedette Rafael Spregelburg, Daniel Araoz et Eugenia Alonso.

Un sujet qui a capté l’attention sur la scène internationale il y a de cela quelques années clôturera le Festival le dimanche 24 février à 20 heures grâce au documentaire « La Muerte de Pinochet » (The Death of Pinochet), de Bettina Perut et Ivan Osnovikoff (2011). Un portrait entre le tragique et le comique qui décrit incroyablement bien la société du Chili. Le film met en vedette Otilia Carrillo, Juan González, Manuel Castro et Manuel Carrillo.

Billets
Les billets pour les projections sont en vente au coût de 5 $ pour chaque entrée (tarif ordinaire) et 2 $ (tarif étudiant). Il est possible de se procurer un laissez-passer pour les cinq projections au coût de 20 $ (ordinaire) et 8 $ (étudiant). Les laissez-passer sont en vente à la billetterie du Centre étudiant, au 858-3738. Les billets individuels seront en vente à l’entrée seulement.

Une aide précieuse
Les films présentés ont été choisis parmi la sélection offerte par le Spanish Film Club, ce qui a permis aux organisateurs de mettre la main sur des films primés jamais encore diffusés dans la région. Les séries Spanish Film Club existent grâce à l’appui de Pragda, du secrétariat de la Culture de l’Espagne ainsi que du Programme de coopération culturelle entre le ministère de la Culture de l’Espagne et les universités américaines.

Pour mener à terme le projet du Festival del cine, Cynthia Potvin bénéficie de l’aide précieuse du Comité d’étudiantes et d’étudiants volontaires en espagnol. Le Comité compte des étudiants d’espagnol des niveaux supérieurs et des étudiants ayant terminé leur formation en espagnol.

Plusieurs activités promotionnelles ont lieu tout au long de l’année universitaire afin de sensibiliser et familiariser la population à certains aspects culturels, historiques et sociaux du monde hispanique en guise de promotion pour le festival.

Les collaborateurs et partenaires pour cette édition 2013 du Festival del cine sont le Spanish Film Club de PRAGDA, Louis Doucet et le Service des loisirs socioculturels de l’Université de Moncton, Maurice Oviedo et le Festival international du film ethnographique du Québec (FIFEQ), Paul Arseneau, réalisateur indépendant, et Brenda Comeau, graphiste.

Le Festival del cine tient également à remercier ses généreux commanditaires et donateurs : la Faculté des études supérieures et de la recherche, la Faculté des arts et des sciences sociales, le Département de traduction et des langues et le Conseil étudiant du Département de traduction et des langues.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Marc Duhamel, chercheur principal à l’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques; le conférencier, Dany Brouillette, d’Industrie Canada; Ronald C. LeBlanc et Michel Deslierres, respectivement professeur et directeur du Département d’économie à la Faculté des arts et des sciences sociales de l’Université de Moncton.
ECO-ICRPAP : les déterminants de l’innovation des entreprises au Canada en compagnie de l’économiste Dany Brouillette
À l’invitation conjointe du Département d’économie de l’Université de Moncton et de l’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques, l’économiste Dany Brouillette a prononcé une conférence au campus de Moncton le 31 janvier dernier qui portait sur les déterminants de l’innovation et la performance des entreprises au Canada.

Comme en témoigne le discours sur l’état de la province prononcé le soir même par le premier ministre David Alward, l’innovation est au cœur des enjeux de politiques publiques au Nouveau-Brunswick et « la clé pour augmenter la productivité de chaque secteur, depuis la fabrication industrielle jusqu’à la mise en valeur des ressources naturelles. » Le séminaire portait ainsi sur l’un des enjeux majeurs du gouvernement qui cherche à stimuler la croissance de l’économie du Nouveau-Brunswick et la création d’emplois.

M. Brouillette utilise un nouvel environnement de données de Statistique Canada pour démontrer la complexité des stratégies d’innovation mises en œuvre par les entreprises au Canada depuis 2005 : les entreprises innovantes n’effectuent pas exclusivement de la recherche-développement (R.-D.) qui vise les innovations de procédés et de produits, mais procèdent également à des innovations organisationnelles et de marketing. Les résultats présentés à l’auditoire présent composé d’une quinzaine d’étudiants, de fonctionnaires de l’APÉCA et de professeurs d’économie et des sciences de la gestion, suggèrent qu’un soutien gouvernemental principalement axé sur la R.-D. pourrait être inefficace. Puisque le processus d'innovation des entreprises est beaucoup plus complexe, favoriser la complémentarité entre les différentes formes d’innovation pourrait améliorer le rendement de l’innovation en ce qui a trait à la productivité du travail des entreprises.
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France Daigle
« Pour sûr » : séance de signature de l’auteure France Daigle à la Librairie acadienne
La Librairie acadienne du campus de Moncton reçoit l’auteure France Daigle, le jeudi 28 février de 11 h 30 à 13 h 30 pour une séance de signature de son dernier roman « Pour sûr », lauréat en 2012 d’un prix littéraire du gouverneur général du Canada et publié aux Éditions Boréal.

Cette activité consiste à rencontrer l’auteure et à offrir une grande visibilité au livre qui a été primé ainsi qu’à ses ouvrages précédents. L’auteure en profitera pour discuter de son processus d’écriture ainsi que de son cheminement littéraire. Cet événement correspond avec la parution de « Pour sûr » en livre de poche.

L’animation sera assurée par Mireille Thériault, libraire à la Librairie acadienne, et il reviendra à Monika Boehringer, auteure de l’édition critique du livre « Sans jamais parler du vent : roman de crainte et d’espoir que la mort arrive à temps » de France Daigle, de présenter l’auteure.

Un léger goûter et des boissons seront servis.

Renseignements : Mireille Thériault, au 858-4140.

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Ibtissam Nkaili préside l’Association des étudiantes et des étudiants internationaux de l’Université de Moncton
Originaire du Maroc, Ibtissam Nkaili est présidente de l’Association des étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton (AEEIUM) depuis avril 2012.

À sa cinquième année à l’U de M, elle terminera sous peu son mandat avec la satisfaction d’avoir contribué à offrir une très bonne représentation des étudiantes et des étudiants internationaux.

L’étudiante de 4e année au baccalauréat en comptabilité, régime coopératif, a toujours été très impliquée dans la vie étudiante. Depuis le tout début de son séjour à l’U de M, elle a organisé une manifestation pour la paix au Moyen-Orient et a participé à chacune des soirées internationales, à la fois comme participante au défilé et au spectacle, animatrice de stand ou maîtresse de cérémonie. Elle a également été membre du conseil étudiant de la Faculté d’administration et du conseil d’administration de l’AEEIUM et a participé à deux reprises aux Jeux du commerce. Son engagement dépasse la sphère universitaire puisqu’elle s’est également impliquée auprès du YMCA, du YWCA et de Centraide. Mme Nkaili complète actuellement un stage au sein de la firme comptable Boudreau Porter Hétu et associés. Elle souhaite par la suite poursuivre des études pour obtenir sa certification de comptable agréée.

Elle a souhaité jouer un rôle au sein de l’AEEIUM pour apporter des changements et mettre son potentiel au profit de la communauté internationale. Au cours de son mandat, elle a organisé un mariage culturel pour l’intégration, un banquet pour les finissants internationaux et le 35e anniversaire de l’AEEIUM, en plus de participer à l’accueil des nouveaux étudiants et étudiantes. Elle a également créé plusieurs partenariats entre l’AEEIUM et des organismes de la région tels que le Centre d'accueil et d'accompagnement francophone des immigrants du sud-est du Nouveau-Brunswick (CAFI).

Son mandat comme présidente de l’association a permis de continuer le travail déjà entamé au cours des années précédentes, surtout en ce qui a trait à l’intégration des étudiantes et des étudiants. Un comité de concertation a été mis en place pour aborder cette question, même si elle estime qu’il reste encore du travail à faire.

« Il est parfois difficile d’encourager les étudiants internationaux et canadiens à se mêler entre eux, dit-elle. On le voit souvent dans le cadre de travaux d’équipe dans les cours, les étudiants restent souvent chacun de leur côté sans se mêler entre Canadiens et étudiants internationaux. Il faut continuer à améliorer la communication et à éliminer les préjugés pour que les étudiants de toutes origines se sentent à l’aise de se côtoyer et d’échanger entre eux. »

Bien que son mandat se termine dans quelques mois, elle souhaite que l’AEEIUM continue à grandir et à se développer, question de jouer un plus grand rôle encore au sein du campus. Un poste officiel de représentant des étudiants internationaux au sein de l’exécutif de la Féécum pourrait même être une bonne idée selon elle, permettant ainsi à l’association d’avoir un plus grand impact, d’autant plus que le nombre d’étudiants internationaux au campus est en constante évolution.

Une soirée internationale qui promet
La 37e soirée internationale, qui aura lieu le samedi 16 février au Ceps Louis-J.-Robichaud, sera des plus authentiques selon Mme Nkaili. Elle espère que les gens vivront une expérience qu’ils n’oublieront pas. « La soirée sera encore plus diversifiée que par le passé avec la participation de divers groupes culturels de la communauté. Beaucoup de pays seront représentés, à la fois dans le menu du repas et dans le spectacle. »

Pour la première fois cette année, l’organisme Dix Mille Villages sera présent pour faire la promotion du commerce équitable. De nombreux stands offrant des produits artisanaux équitables seront installés dans le gymnase qui sera transformé pour l’occasion en immense Souk permettant aux gens d’interagir avec les exposants et d’obtenir des renseignements sur divers commerces locaux et plusieurs organismes multiculturels.
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Le film « Le peuple de la rivière Kattawapiskak » prend l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie

Le film « Le peuple de la rivière Kattawapiskak » (2012, 50 minutes) prendra l’affiche aux Rendez-vous de l’ONF en Acadie, le lundi 18 février à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est libre.



Ce film, réalisé et produit par Alanis Obomsawin à l’ONF, brosse le portrait d’une terrible crise du logement en 2011 et de la pauvreté grandissante des Cris du nord de l’Ontario. Des images choc de froidure et de cambuses font écho aux discours politiques sans effet. Malgré la situation désastreuse, l’espoir renaîtra-t-il un jour pour cette communauté?



La projection principale sera suivie de deux courts métrages complémentaires portant sur les suites de la crise du logement à Kattawapiskak, réalisés par Alanis Obomsawin : « Le peuple de la rivière Kattawapiskak - six mois plus tard » (2012, 6 minutes) et « Audience de la Cour fédérale » (2012, 19 minutes).



Le peuple de la rivière Kattawapiskak



Kattawapiskak, ou « place entre deux rochers » en cri, est un village de 1 700 habitants situé au nord de l’Ontario et dont personne n’avait entendu parler avant l’automne 2011. Mieux connu sous le nom de d’Attawapiskat, ce village fait alors la une des médias quand la chef de bande Theresa Spence doit déclarer l’état d’urgence et demander à la Croix-Rouge canadienne d’intervenir pour aider la communauté à régler la terrible crise du logement qui sévit dans cette agglomération subarctique.



Le documentaire « Le peuple de la rivière Kattawapiskak » nous plonge au centre de cette communauté crie de la Baie James dont les conditions de vie sont comparables à celles qui prévalent dans un bidonville, située pourtant dans l’un des pays les plus riches du monde. La réalisatrice Alanis Obomsawin œuvre depuis 40 ans pour la reconnaissance de la culture des Amérindiens du Canada et retrace ici l’histoire et les causes de cette crise du logement.



Dès les premières images, le débat est lancé à la Chambre des communes. Des centaines de familles cries vivent dans des « shacks » délabrés sans eau courante ni électricité et à moins de 40 °C. John Duncan, ministre des Affaires autochtones, déplore la situation mais rien ne semble avancer pour autant, malgré les protestations de la chef de bande, Theresa Spence.



Alanis Obomsawin



Alanis Obomsawin, membre de la nation abénaquise, est l’une des plus éminentes documentaristes du Canada. Elle a réalisé avec l’Office national du film du Canada 37 documentaires relatant la vie et les préoccupations des Premières Nations. Cinéaste militante, elle est poussée par le désir de donner une tribune aux peuples autochtones du pays.



Toute sa filmographie en témoigne. Depuis « Christmas at Moose Factory » (1971), qui montre la vie d’un village cri de la Baie James racontée à travers des dessins d’enfants, à « Quand toutes les feuilles seront tombées » (2010), qui explore la puissance du rêve et la force de l’esprit humain, la cinéaste n’a eu de cesse de montrer l’importance de ses origines et la force des liens intergénérationnels pour préserver la culture amérindiennes au Canada. Avec « La Couronne cherche-t-elle à nous faire la guerre? » (2002), elle jette un regard intense sur le conflit entre les Mi’gmaqs et leurs voisins Acadiens au sujet des droits de pêche à Burnt Church au Nouveau-Brunswick. En 2010, Alanis Obomsawin a été intronisée au Temple de la renommée du cinéma et de la télévision du Canada.



Bientôt à l’affiche



Ce sera l’occasion de revivre le 75e de l’Orchestre symphonique de Montréal avec le maestro Kent Nagano et le film « Montréal Symphonie » bientôt à l’affiche des Rendez-vous de l’ONF en Acadie pendant la semaine du 24 février. Pour souligner cet anniversaire important de l’OSM, le maestro a prévu un programme mémorable. Le film de Bettina Ehrhardt (2010, 98 minutes) témoigne des temps forts de cette saison.


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Une quatrième conférence pour souligner l’Année internationale de la statistique
Dans le cadre des célébrations soulignant l’Année internationale de la statistique et à l’invitation du Département de mathématiques et de statistique, les professeurs Viktor Freiman et Jimmy Bourque, de la Faculté des sciences de l’éducation, prononceront une conférence, intitulée «Les jeux sont faits : un simulateur de jeux de hasard pour l’enseignement des probabilités », le jeudi 21 février à 13 h 30 dans le local A-102 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.

Les jeux de hasard gagnent actuellement en popularité, surtout auprès des jeunes, à la suite notamment de la multiplication des casinos en ligne. Or, les jeunes présentent régulièrement des conceptions erronées mais durables relatives aux probabilités réelles associées aux jeux de hasard. Ainsi, ils tendent à sous-estimer le rôle de la chance, à surestimer le rôle de l’habileté et à surestimer les probabilités de gain.

Dans le cadre d’une recherche financée par le FQRSC et dirigée par le professeur François Larose, l’équipe de recherche a conçu un simulateur de jeux de hasard en ligne lié aux concepts probabilistes présents dans les programmes d’études de mathématiques du secondaire et pouvant servir d’outil didactique. En permettant un grand nombre d’essais, le simulateur aide les utilisateurs de prendre conscience des probabilités réelles de gain pour plusieurs types de jeux que l’on retrouve dans les casinos.

Bienvenue à toutes et tous. Du café et des beignes seront servis après la conférence.
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Conférence publique de Jacques Dubé prononcée dans le cadre de la Semaine de kinésiologie et de récréologie
Dans le cadre de la Semaine de kinésiologie et de récréologie et du cours RETO3002 Design en récréo-tourisme, l’École de kinésiologie et de récréologie de l’Université de Moncton reçoit Jacques Dubé, directeur général de la ville de Moncton, qui prononcera une conférence publique, intitulée « Le processus menant à la construction d’un nouveau Colisée à Moncton », le jeudi 21 février à 11 h 30 dans la salle 226 du Ceps Louis-J. Robichaud au campus de Moncton.

La conférence portera notamment sur le processus de consultation, le choix du site, le budget, l’ébauche et les défis entourant la réalisation d’un tel projet.

Jacques Dubé compte à son actif plus de 25 ans d’expérience au niveau de la haute direction des trois ordres de gouvernement : municipal, provincial et fédéral. Il a agi comme représentant des services municipaux du comté de Gloucester pendant sept ans, comme directeur des services municipaux à St. Andrews pendant cinq ans, comme premier président de la Corporation de développement économique du Grand Fredericton desservant 14 municipalités pendant cinq ans, comme sous-ministre au sein du gouvernement du Nouveau-Brunswick pendant cinq ans; et comme chef de cabinet du ministre fédéral des Anciens combattants siégeant à Ottawa et du ministre régional du Nouveau-Brunswick pendant plus de trois ans.

C’est une conférence d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4165.
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Le campus de Shippagan signe une entente de coopération internationale avec l’Université Bretagne-Sud en France
Le campus de Shippagan a signé une entente de coopération internationale avec l’Université de Bretagne-Sud en France qui permet aux étudiantes et étudiants inscrits au baccalauréat en gestion intégrée des zones côtières de remplacer une ou deux sessions de leur troisième ou quatrième année en suivant des cours du master 1 en aménagement et développement des territoires maritimes et littoraux donnés par l’Université de Bretagne-Sud.

De leur côté, les étudiantes et étudiants inscrits au master de l’Université de Bretagne-Sud pourront remplacer un semestre de leur master 1 en suivant des cours de la troisième et/ou de la quatrième année du baccalauréat en gestion intégrée des zones côtières donnés par le campus de Shippagan. Il sera également possible pour eux de faire un stage obligatoire (trois mois en master 1) au Nouveau-Brunswick.

À titre d’exemple, Johane Gillet, étudiante de master 2, est à Shippagan pour un stage de cinq mois avec la professeure Julie Guillemot pour travailler sur le projet ARUC-DCC : adaptation aux changements climatiques.
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Colloque des jeunes chercheurs : il faut soumettre le formulaire d’inscription d’ici le 18 février
Le Comité organisateur invite les étudiantes et étudiants universitaires des provinces atlantiques à participer au 24e Colloque des jeunes chercheures et chercheurs, qui aura lieu le mercredi 20 mars à l’Université de Moncton.

Le comité incite également les membres du corps professoral à encourager leurs étudiantes et étudiants à soumettre leur candidature dans l’une des catégories suivantes : sciences humaines et sociales - 1er cycle ou cycles supérieurs, et sciences naturelles et génie - 1er cycle ou cycles supérieurs.

Comme par le passé, les étudiantes et étudiants présenteront leurs résultats de recherche par l’entremise d’exposés oraux. Tenant à encourager ceux et celles qui préfèrent la diffusion des résultats en utilisant une affiche, le comité organisateur a aussi prévu une vitrine consacrée à cette forme de diffusion savante.

La date limite pour soumettre le formulaire d’inscription est le 18 février à 16 heures. La transmission du formulaire d’inscription doit être faite par courriel en utilisant l’adresse cjcc@umoncton.ca. Les formulaires d’inscription reçus en retard ne seront pas acceptés.

Vous trouverez le formulaire d’inscription sur le site Web de la Faculté des études supérieures et de la recherche (www.umoncton.ca/fesr).

Pour de plus amples renseignements, vous pouvez consulter le site Web de la FESR sous la rubrique « Colloque des jeunes chercheures et chercheurs ». Vous pouvez aussi composer le numéro 858-4310.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Nisk Imbeault, directrice-conservatrice de la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen; l’artiste Natalie Morin; et Geneviève Sivret, artiste ayant performé dans la chorégraphie de Natalie Morin présentée lors du vernissage de « Lollipops and Rainbows : dessins, peintures et films de Natalie Morin ».
Une exposition d’oeuvres récentes de Natalie Morin est en montre jusqu’au 28 mars à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen
Jusqu’au 28 mars, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen présente « Lollipops and Rainbows : dessins, peintures et films de Natalie Morin », une exposition d’oeuvres récentes réalisées dans le cadre d’une résidence d’artiste de quatre mois à l’été et à l’automne 2012.

Formée en danse, Natalie Morin réalise aussi des dessins, des peintures et des films super 8 qui s’imbriquent dans sa pratique performative. Dotée d’un plus grand espace, la résidence lui a permis de travailler en grand format, réalisant une série d’oeuvres monumentales sur toile et sur papier. Ses oeuvres sont issues de l’observation et de la documentation de son quotidien qui est peuplé de personnages colorés et d’environnements enchantés. « Lollipops and Rainbows » regroupe aussi une série d’oeuvres de nature théâtrale qui sont inspirées des répertoires classiques, dont la Divine comédie de Dante et les Ballets modernes de Stravinsky.

Née à Kinston, en Ontario, elle a reçu sa formation en danse à l'Atelier de danse moderne de Montréal. De 1986 à 1992, elle a dansé avec la compagnie O'Vertigo un peu partout dans le monde, notamment au Centre national des arts à Ottawa, au Centre Harbourfront à Toronto, au Lincoln Center à New York et au Centre Pompidou à Paris, tout en passant par Londres, Madrid et Grenade.

Installée à Moncton depuis 2000, elle collabore avec de nombreux artistes et a présenté des projets de performance indépendants à Moncton, New York, Montréal et Terre Neuve. Depuis 2005, elle a participé à diverses expositions en solo ou de groupe. Au cours de sa carrière, elle a reçu de nombreuses bourses de création, notamment du Conseil des arts et des lettres du Québec et du Conseil des arts du Canada.

La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen est située au pavillon Clément-Cormier au campus de Moncton. Les visites sont libres et la galerie est ouverte de 13 heures à 16 h 30 du mardi au vendredi et de 13 heures à 16 heures le samedi et le dimanche.

Renseignements : 858-4088 / galrc@umoncton.ca / www.umoncton.ca/umcm-ga.
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Il est temps de s’inscrire au Symposium francophone 2013
Les associations de la profession enseignante des provinces de l’Atlantique (AEFNB, NSTU, PEITF et NLTA), la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Moncton et la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants vous invitent à participer au Symposium francophone 2013, avec comme thème cette année « Célébrons nos progrès : assurons notre succès ».

L’inscription à cette activité de formation d’envergure nationale, qui se déroulera les 2 et 3 mai au pavillon Jeanne-de-Valois du campus de Moncton, est maintenant ouverte.

Vous pouvez accéder au formulaire d’inscription à partir du site Web grand public de l’AEFNB (www.aefnb.ca) sous la rubrique « Nouvelles » à la gauche de la page. Le programme officiel, les descriptions d’ateliers et les biographies des personnes ressources s’y trouvent aussi.

Pour obtenir d’autres renseignements, il faut communiquer avec Gilles Saulnier ou Nadia Roze : gilles.saulnier@aefnb.ca ou nadia.roze@aefnb.ca, ou par téléphone au 506-452-1729.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Julien Daigle
La famille de Julien Daigle remercie la communauté universitaire
M. Raymond Théberge, recteur et vice-chancelier, votre geste respectueux en l’honneur de notre fils bien-aimé, Julien Daigle, de mettre les drapeaux des trois campus en berne jusqu’après les funérailles, nous a profondément touchés. Merci à toute la communauté universitaire d’avoir appuyé les étudiants et étudiantes, les amis et amies de Julien, et de leur avoir permis de partager leur peine ainsi que leurs mots d’amour et d’affection à son égard et avec nous.

À la Faculté d’ingénierie, au doyen, M. Paul Chiasson, au corps professoral, aux membres du personnel, merci d’avoir si bien accueilli Julien à la faculté. Merci pour les fleurs, vos visites, vos pensées et vos prières ainsi que pour le soutien apporté aux étudiants et étudiantes pendant cette période si difficile. Julien avait vraiment hâte de devenir diplômé, ingénieur civil. Nous, la famille, pensons qu’avec ses qualités, il aurait fait honneur à l’Université de Moncton partout où il serait passé.

À ses chers amis et chères amies de la faculté, Julien avait tissé avec vous des liens d’amitié qui auraient duré longtemps, mais la vie en a décidé autrement. À toute la communauté universitaire et à tous ses amis et amies de toutes les facultés, merci de toutes vos gentillesses, de vos gestes d’amitié et de votre grande générosité. Tous ces gestes de respect et d’amitié pour Julien resteront gravés à tout jamais dans nos cœurs.

Julien, nous l’avons beaucoup aimé, nous l’aimons plus que jamais et nous l’aimerons toujours.

Avec le plus grand respect et toute notre considération,
La famille de Julien, Patrice, Roberte (Gibbs), Louise et Jean-François.
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L’Université de Moncton est ouverte sur le monde depuis 50 ans
Avec les semaines internationales tenues à l’Université de Moncton ce mois-ci, les trois campus sont vibrants d’activités qui mettent en valeur la diversité culturelle qui les habite. En cette année où l’Université de Moncton célèbre son 50e anniversaire de fondation, il est tout à fait de mise de rappeler son cheminement au fil des ans en matière internationale et de jeter un regard sur son avenir.

Chose certaine, l’Université de Moncton a eu un souci pour l’international dès sa création en 1963. À ses débuts, l’institution souhaitait surtout répondre à un besoin urgent d’enseignement supérieur de langue française en Acadie. Mais étant jeune, l’Université n’avait pas ici toutes les ressources nécessaires pour former son corps professoral. Elle s’est donc naturellement tournée vers l’international pour recruter de nombreux professeures et professeurs. Dotée d’un corps professoral provenant de divers coins du monde, l’Université de Moncton fait toujours figure de proue en Acadie avec une pratique d’embauche faisant preuve d’ouverture sur le monde.

Marie-Thérèse Seguin est professeure titulaire au Département de science politique de la Faculté des arts et des sciences sociales depuis 1983. Possédant une longue expérience en coopération internationale, la professeure Seguin a été au cœur des réflexions et des discussions entourant la place de l’international à l’Université de Moncton. « L’Université de Moncton est d’abord et avant tout acadienne et au service de la communauté acadienne, mais elle a dû se redéfinir avec le temps, explique-t-elle. Un comité formé dans les années 1980 avait d’ailleurs permis de conclure que l’Université devait être ouverte sur le monde et ses démarches en ce sens devaient se faire progressivement. »

La présence de professeures et professeurs provenant de tous les continents avait déjà permis de créer et de nourrir des liens avec l’international, autant dans le domaine de la recherche, des conférences et colloques que des échanges étudiants. Au départ, ces projets étaient davantage le fruit d’initiatives personnelles de la part de professeures et professeurs. La communauté universitaire s’est rapidement rendu compte de la richesse de ces échanges interculturels.

« C’est au début des années 1990 que l’Université s’ouvre institutionnellement vers le monde. À la même époque, explique Mme Seguin, le gouvernement du Nouveau-Brunswick faisait aussi des efforts dans le domaine de la coopération et cherchait à inscrire sa présence à l’international. Des projets de coopération ont vu le jour dont un projet de coopération avec les femmes fumeuses de poisson en Guinée-Conakry en 1993, financé par le gouvernement du Nouveau-Brunswick, ainsi qu'un important projet de sécurité alimentaire en Haïti, financé par l’Agence canadienne de développement international.»

Avec le développement du volet international, un besoin de structure et de financement s’est fait sentir. C’est donc en 1997 que le Bureau de la coopération et des relations internationales a vu le jour. Les années qui ont suivi ont permis de définir son mandat et ses priorités. Ainsi, il a développé trois champs d’action principaux, soit celui de la coopération internationale grâce à des projets financés entre autres par l’ACDI, l’élaboration d’ententes avec d’autres universités afin d’encourager la mobilité étudiante à l’étranger et la réalisation de travaux de recherche au niveau international.

À cette même époque, la tenue du 8e Sommet de la Francophonie en 1999 à Moncton a donné un élan significatif à l’Université de Moncton. En plus de contribuer au rayonnement de l’institution et de l’Acadie sur la scène nationale et internationale, cet événement a aussi généré une plus grande ouverture sur le monde au sein de la communauté universitaire.

Aujourd’hui, les partenariats entre l’Université de Moncton et d’autres établissements d’enseignement et de recherche se multiplient et se diversifient : projets de la Faculté des sciences de l’éducation en Haïti, de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires au Burkina Faso, de la Faculté des sciences au Vietnam, de la Faculté d’administration en France, pour n’en nommer que quelques-uns. L’Université joue aussi un rôle de premier plan au sein de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) présidée par son ancien recteur, Yvon Fontaine.

Sur le plan du recrutement, les efforts se sont intensifiés au fil des ans faisant en sorte qu’aujourd’hui, en se promenant à l’un ou l’autre des campus de l’Université, on constate rapidement la présence internationale. Alors que l’Université de Moncton ne comptait qu’une soixantaine d’étudiantes et étudiants internationaux en 1980, aujourd’hui, c’est 800 étudiantes et étudiantes, soit 16,8 pour cent de la population étudiante, qui proviennent de plus d’une quarantaine de pays.

« Cette présence internationale crée un milieu d’apprentissage très enrichissant, explique le recteur et vice-chancelier, Raymond Théberge. De plus, le fait de côtoyer des gens de diverses cultures pendant les études universitaires donne une longueur d’avance aux étudiants lorsqu’ils entrent sur le marché du travail. Ils font déjà preuve d’adaptation interculturelle, une compétence de plus en plus recherchée dans le monde d’aujourd’hui. »

« Face au cheminement de l’Université de Moncton en matière internationale, nous pouvons être fiers de notre institution qui a taillé sa place et celle de l’Acadie dans la Francophonie internationale, dit-il. Quant à l’avenir, l’Université de Moncton continuera d’être au diapason de ce que devient l’humanité, où l’international occupe une place de choix. L’Université a prouvé qu’elle est de son temps et elle continuera de l’être. »

Selon Marie-Linda Lord, vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, l’Université demeurera ouverte sur le monde et ne perdra pas de vue l’essence même de l’international qui réside dans la coopération. « Parmi nos objectifs, dit-elle, il y a le recrutement aux cycles supérieurs et l’augmentation de la mobilité internationale, tant chez les étudiants que chez les professeurs, et bien sûr, la coopération internationale. Tout ça, dit-elle, se réalise grâce à l’appui et l’accompagnement qu’offre le Bureau des relations internationales et à l’engagement collaboratif de nos professeures et professeurs. »

Mme Lord conclut en rappelant le caractère visionnaire et audacieux de l’Université de Moncton qui s’est montrée à l’avant-garde dans de nombreux projets et qui continuera de l’être. Par exemple, mentionnons le championnat mondial féminin de la FIFA (Fédération internationale de football association) qui aura lieu à l’Université de Moncton en 2014 faisant de Moncton la plus petite ville à accueillir cet événement sportif de grande d’envergure. L’Université de Moncton démontre encore une fois qu’elle a sa place parmi les grands.
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La 37e Soirée internationale de l’AEEIUM a lieu ce samedi 16 février
L’Association des étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton (AEEIUM) présente la 37e édition de la Soirée internationale, le samedi 16 février dans le stade du Ceps Louis-J.-Robichaud au campus de Moncton. Le thème cette année : « Regard sur le monde… à travers les yeux de l’autre ».

L’animation commencera dès 15 heures dans le gymnase alors que le public pourra visiter sans frais le village international regroupant plusieurs stands animés et interactifs qui permettront d’en apprendre davantage sur les différentes cultures. L’organisme de commerces équitables Dix Mille Villages sera présent et les gens pourront voir, découvrir et possiblement acheter des articles fabriqués par des artisans des quatre coins de la planète.

Pour assister au souper et le spectacle, les frais sont de 20 $ tarif ordinaire, l5 $ pour étudiants et 8 $ pour les enfants de 12 ans et moins. Les billets sont présentement en vente à la billetterie du Centre étudiant (858-4554). Le souper sera servi à compter de 18 heures et le spectacle commencera à 19 heures.

Chaque édition de la Soirée internationale reçoit plus de 1 400 personnes.
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« Rebelle » prend l’affiche au Ciné-Campus
Le film canadien « Rebelle » (drame, 2012, 1 h 30), du réalisateur Kim Nguyen, prend l’affiche au Ciné-Campus le jeudi 14 février et le vendredi 15 février à 20 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

La distribution est composée de Rachel Mwanza, Alain Lino Mic Eli Bastien, Serge Kanyinda et Ralph Prosper. « Rebelle » est en lice pour l'Oscar 2013 du meilleur film étranger. Projeté au Festival international du cinéma francophone en Acadie, il il a remporté la Vague du meilleur long métrage fiction canadien en novembre dernier.

Rebelle
En pleine guerre civile en Afrique sub-saharienne, Komona, une jeune fille de 14 ans, raconte au bébé qui grandit dans son ventre les événements qui ont mené à son implication comme enfant-soldat dans le conflit armé. Enlevée à 12 ans, forcée d'abattre ses parents à bout portant et considérée comme une sorcière par les chefs de la cellule, Komona se bat contre l'armée nationale. Elle fait la rencontre de Magicien, un jeune soldat de son âge qui a la ferme intention de l'épouser. Ensemble, ils désertent afin de vivre paisiblement, tant qu'ils le pourront, leur bonheur.

L’entrée est de 5 $ pour les étudiants et 7 $ tarif ordinaire.

Programmation hiver 2013 du Ciné-Campus
21 et 22 février : Camion
23 et 24 février : Festival del Cine
28 février et 1er mars : Et si on vivait tous ensemble
14 et 15 mars : Un bonheur n’arrive jamais seul
21 et 22 mars : De rouille et d’os

Programmation du Ciné-Campus : 858-3738
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Conférence de Jean-Pierre Le Glaunec dans le cadre du Mois de l'histoire des Noirs
Dans le cadre du Mois de l'histoire des Noirs, Jean-Pierre Le Glaunec, professeur d’histoire à l’Université de Sherbrooke, prononcera une conférence, intitulée « Tant qu'il resterait un nègre : de la destruction de l'Autre pendant la guerre d'indépendance haïtienne, 1802-1803 », le vendredi 15 février de 13 h 30 à 15 h 30 dans le local 143-A de l’édifice des arts au campus de Moncton.

Cette conférence d’intérêt général est organisée par le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC). Bienvenue à tous et à toutes.
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Invitation à prendre un café en compagnie du recteur
Le recteur et vice-chancelier Raymond Théberge invite les membres de la communauté universitaire à prendre le café en sa compagnie dans le cadre de la série de « cafés-rencontres » qui se tiendront à différents endroits au campus au cours des prochaines semaines.

Les dates choisies sont les suivantes :

Le mercredi 20 février de 10 heures à 10 h 45 à l’étage du Ceps Louis-J.-Robichaud (près de la cantine).
Le jeudi 21 février de 10 heures à 10 h 45 à l’étage (mezzanine) du Centre des technologies et des sciences de la santé.
Le lundi 25 février de 10 heures à 10 h 45 au café-étudiant Le Coude au Centre étudiant.
Le mardi 26 février de 10 heures à 10 h 45 dans le local 178 de la Bibliothèque Champlain.

Renseignements : 858-4129.
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Féécum : une première campagne des finissants et finissantes de l’Université de Moncton
Dans le cadre du 50e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton, la Féécum lance la première Campagne des finissantes et finissants de l’Université de Moncton qui offre toute une gamme de produits commémoratifs à la classe de 2013 du campus de Moncton qui arborent fièrement le nouveau logo « Université de Moncton Classe de 2013 ».

Les profits de la vente des produits commémoratifs serviront à améliorer l’aménagement paysager du campus en y plaçant un banc de parc avec une plaque commémorative remerciant la cohorte de 2013, leur donnant ainsi la chance de léguer quelque chose de permanent aux étudiantes et étudiants de l’avenir. Tous les fonds amassés en plus du coût de ce banc public iront dans un fonds en fiducie pour des bourses à être octroyées l’année suivante. Les parents et amis qui désirent contribuer sont également invités à participer à la campagne grâce à un formulaire de don en ligne (https://www.umoncton.ca/udem-php-anciensetamis/Donations_classe2013.htm).

« La Fédération étudiante du campus de Moncton et les conseils des facultés sont heureux de lancer cette toute première campagne, mentionne Karina Langis, vice-présidente interne de la Féécum. Elle sera en quelque sorte un héritage pour ceux et celles qui suivront mais servira aussi à montrer notre fierté envers notre université ».

La campagne a été organisée en collaboration avec le bureau de Développement philanthropique de l’Université et la Libraire acadienne. Tous les objets promotionnels seront en vente à la Librairie acadienne.

Renseignements : 858-4484 / comfee@umoncton.ca
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Conférence de Paul Deguire pour la première Fête des mathématiques au Nouveau-Brunswick francophone
Dans le cadre de la première Fête des maths au Nouveau-Brunswick francophone qui a lieu le mardi 19 février, le Club de mathématiques vous invite à assister à une conférence publique en compagnie de Paul Deguire, directeur du Département de mathématiques et de statistique, qui parlera des trois grands problèmes de l’Antiquité », à compter de 15 heures dans le local A-002 du pavillon Rémi-Rossignol au campus de Moncton.

Pour dire qu’une chose est impossible on dit souvent que c’est comme la quadrature du cercle. On pourrait aussi bien dire que c’est comme la trisection de l’angle ou la duplication du cube. Ensemble, ces trois questions forment les trois grands problèmes de l’Antiquité. La nature des problèmes étant de réaliser les constructions mentionnées en respectant certaines règles. Le livre le plus important de l’histoire des mathématiques et des sciences, les Éléments d’Euclide, définit les règles du jeu : ces constructions doivent être faites à la règle et au compas. Les trois grands problèmes de l’Antiquité n’ont été résolus qu’au 19e siècle en utilisant des outils mathématiques bien plus sophistiqués que ce dont les grecs disposaient.

Dans cette conférence, le professeur Deguire établira d’abord les outils élémentaires qui nous permettront de bien comprendre ces problèmes. Il fera des constructions qui permettent de résoudre des problèmes apparentés plus simples et il présentera les outils mathématiques développés aux 17e et 19e siècles qui ont permis de résoudre ces problèmes. Ça vous rappellera quelques souvenirs même si votre niveau mathématique ne dépasse pas l’école secondaire.

On présentera également des solutions sans respecter les règles du jeu. En d’autres termes, pour les résoudre, on trichera, suivant en cela l’exemple des grecs anciens qui eux-mêmes trichaient régulièrement à ce sujet, mais qui sont quand même toujours restés conscients qu’ils trichaient et que les vraies solutions leurs échappaient.

C’est une conférence d’intérêt général. Bienvenue à tous et à toutes.

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Le théâtre l’Escaouette présente « Le Magnolia »
Février est le mois de l’amour et l’Escaouette présente « Le Magnolia », une pièce dans laquelle l’amour est conjugué au pluriel. Cette toute nouvelle production du Théâtre populaire d’Acadie prendra l’affiche à Moncton le 21 février à 20 heures.

Quatre jeunes interprètes de la relève acadienne se partage la scène dans cette comédie de moeurs de l’auteur belge Jacques De Decker dans une mise en scène de Maurice Arsenault.

Marie-Hélène McGraw interprète Marie-Antoinette, une jeune fille qui fréquente simultanément deux amoureux. L’un, incarné par Kevin Doyle, est architecte de jardin et habite la campagne et l’autre, joué par Frédéric Melanson, est historien et vit dans un petit appartement du centre-ville. Comme elle le confie à son amie Joséphine-Charlotte, interprétée par Audrey Blanchard, il lui est trop difficile de faire un choix. Elle préfère donc garder les deux hommes dans sa vie. Heureusement, ceux-ci paraissent naviguer aux antipodes. Mais, c'est évidemment sans compter sur les hasards de la vie… Derrière la farce, Jacques De Decker nous offre un texte subtil, tout en douceur malgré les quelques belles réparties et les petites pointes d’humour qui l’émaillent.

Luc Rondeau signe les décors; Jean-François Mallet la bande sonore originale et Mathieu-Julien Duguay les éclairages.

Vous pouvez vous procurer des billets au guichet du théâtre l’Escaouette situé au 170, rue Botsford ou en composant le 506-855-0001, poste 207. Les billets sont aussi en vente au Centre étudiant du campus de Moncton.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Loisirs thérapeutiques
Loisirs thérapeutiques : la zoothérapie et la musique thérapeutique, vous connaissez ?
Maurice Henri, photographe de renom et concepteur du projet « Caméra pour guérir », a parlé de ses aventures en Afrique et en Haïti dans le cadre du cours RETO 2301, loisirs thérapeutiques.

Une étudiante du cours, Angèle Boudreau, en dit ceci : « Pendant sa présentation, j’ai été extrêmement intéressée tant par son organisation que par ses voyages et sa photographie, dit-elle. Sa présentation et ses histoires étaient touchantes et m’incite à vouloir aller vers les gens qui vivent dans les pays où il travaille. »

« M. Henri a été une inspiration pour moi, ajoute-t-elle. Grâce à sa présentation, il a su démontrer que certaines personnes ont surtout besoin de notre aide. J’ai toujours voulu offrir mon expérience et mon aide dans des pays en voie de développement et, après avoir écouté sa présentation, je me sens prête à aider. »

« Merci Maurice Henri d’avoir partagé aventures et histoires avec nous. Votre photographie est extraordinaire et elle aide surtout à changer le monde. »

La page Facebook du projet Caméras pour guérir de Maurice Henri : https://www.facebook.com/camerasforhealingcanada

Deux autres personnes aussi inspirantes seront invitées dans le cadre du cours portant sur les loisirs thérapeutiques et des places sont encore disponibles. Alors si vous êtes étudiantes ou étudiants en travail social ou en science infirmière et que vous souhaitez en savoir davantage sur ce type de thérapie, il faut communiquer avec la professeure Selma Zaiane-Ghalia (selma.zaiane-ghalia@umoncton.ca), à l’École de kinésiologie et de récréologie.

Les prochaines dates sont les suivantes :

Le mercredi 20 février à 10 heures, de la zoothérapie avec Paula J Sears, bénévole auprès de l’organisme Therapeutic Paws of Canada à Moncton (http://tpoc.ca/contact/team-leaders/ ), qui sera accompagnée de son caniche croisé Beau de trois ans qui possède une certification de chien thérapeute. Elle sera peut-être accompagnée également de la première personne à Moncton possédant une certification pour la thérapie avec le chat.

La page FB de l’organisation à Moncton : https://www.facebook.com/TheraputicPawsOfCanadaMonctonNb

Le lundi 8 avril à midi, de la musique thérapeutique avec la harpiste et thérapeute Laurence Marie. Elle présentera les bienfaits de la musique en thérapie à travers les cordes d’une de ses harpes. Pour en savoir davantage, visites le site http://harpsylon.ca/

La page Facebook est de la Harpe thérapeutique : https://www.facebook.com/therapeutic.harp
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Tirage hebdomadaire 50/50 des Amis des Aigles
Le public et les anciens et amis de l’Université de Moncton sont invités à participer au tirage hebdomadaire 50/50 des Amis des Aigles Bleu.es.

Ce tirage, organisé par l’organisme de soutien aux programmes de hockey masculin et féminin, destine ses profits à l’encadrement des deux équipes de hockey du campus de Moncton. Le coût est de 1 $ par semaine et il est possible de payer sa cotisation jusqu’à 52 semaines à l’avance.

Pour participer au tirage hebdomadaire 50/50 des Aigles Bleu.es, il suffit d’envoyer un courriel à amisdesaigles5050@gmail.com avec votre nom, adresse, courriel et numéro de téléphone ainsi que le nombre de semaines de participation. Un membre de l’organisation vous communiquera un numéro de participation. Vous pourrez ensuite faire parvenir votre paiement par la poste à l'adresse suivante : Les Amis(es) des Aigles, C.P. 27037, Dieppe, N.-B., E1A 6V3.

Pour toute question ou commentaire concernant ce tirage hebdomadaire 50/50 des Aigles Bleu.es, faire parvenir un courriel à
amisdesaigles5050@gmail.com ou composez le 506-866-3258.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11533
Véronique Carroll et Christian Gaudet sont les athlètes de la semaine
Le Service de l’activité physique et sportive du campus de Moncton a choisi la passeuse Véronique Carroll, de Moncton, et l’attaquant Christian Gaudet, de Memramcook, comme athlètes de la semaine Physiothérapie Sportmed pour la période du 4 au 10 février à l’Université de Moncton.

Au hockey masculin, Christian Gaudet s’est distingué à la défensive malgré une défaite des Aigles Bleus contre les Varsity Reds. Le Bleu et Or a terminé la saison ordinaire au 6e rang du classement et jouera contre les Axemen d’Acadia University en quart de final à compter de mercredi soir. Capitaine de l’équipe, Gaudet est appelé à jouer un rôle important lors des séries. Il est étudiant au programme libre.

Véronique Carroll a repris ses forces à la suite d’une absence de deux mois en raison d’une blessure; elle a été tenace malgré deux défaites des Aigles Bleues au volleyball féminin, jeudi et vendredi contre les Tigers de Dalhousie University et les Huskies de Saint Mary’s University. Les Aigles complètent le calendrier ordinaire au troisième rang et participeront au championnat de Sport universitaire de l’Atlantique à compter de vendredi à St John’s, Terre-Neuve et Labrador. Elle est étudiante en kinésiologie.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=11923


Image no 1 : Annuaire de l’Université de Moncton, 1968-1969, [p. 313], Archives de l’Université de Moncton, campus de Moncton.
Image no 2 : Annuaire de l’Université de Moncton, 1969-1970, [p. 301], Archives de l’Université de Moncton, campus de Moncton.
Images no 3, 4 et 5 : Revue de l’Université de Moncton, 6e année, no 2 (mai 1973).
De grandes ambitions
En feuilletant les premiers annuaires de l’Université de Moncton, on découvre de bien intéressantes représentations de ce que ses dirigeants concevaient comme développement potentiel de l’institution. Ainsi, dans l’annuaire de 1968-1969, une carte du campus n’indique pas seulement les pavillons existants, mais aussi ceux qui, éventuellement, devaient abriter de nouvelles facultés et résidences. L’année suivante, soit en 1969-1970, l’annuaire présente la photo d’une maquette presque futuriste illustrant un campus de Moncton avec mini gratte-ciels, dans un aménagement pouvant réellement porter le titre de cité universitaire. Même la Revue de l’Université de Moncton ne se prive pas de proposer des articles projetant ses lecteurs dans l’avenir. En mai 1973, elle publiait un Spécial Acadie 2055 dans lequel le professeur de philosophie Serge Morin, directeur de la revue, y signait une présentation qu’il faut lire pour bien saisir le zeitgeist monctonien de ces années d’effervescence.
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