Geneviève David et Dean Ouellet sont les athlètes de l’année

La capitaine au hockey féminin, Geneviève David, de New Richmond (Québec), et le capitaine au hockey masculin, Dean Ouellet, d'Edmundston, sont les athlètes de l’année pour la saison 2011-2012 à l’Université de Moncton, campus de Moncton.

Les étudiants-athlètes membres des Aigles Bleues/Aigles Bleus ont été honorés lors du Gala annuel qui a eu lieu le mercredi 4 avril au Delta Beauséjour, de Moncton.

La hockeyeuse Marie-Pier Arsenault, de Bonaventure (Québec), et le hockeyeur Samuel Groulx, de Gatineau (Québec), sont respectivement les recrues féminine et masculine de l’année.

Serge Bourgeois, au hockey masculin, a été nommé entraîneur de l’année.

Geneviève David est étudiante de 4e année au baccalauréat en travail social. Elle a été la meilleure compteuse de Sport universitaire de l'Atlantique (SUA) et troisième de Sport interuniversitaire canadien (SIC) chez les défenseures avec 23 points en 2011-2012. Elle a été choisie au sein de la première équipe d'étoiles de SUA.

Étudiant de 4e année en administration, Dean Ouellet en était à sa deuxième saison comme capitaine des Aigles Bleus. Il a été le meilleur compteur des siens avec six buts et 28 passes pour 34 points. Il a effectué 123 tirs au but, soit le deuxième meilleur total du circuit. Il a été choisi quatre fois à titre d’athlète de la semaine en plus d’avoir été choisi le gentilhomme de SUA, membre de la première équipe d'étoiles de SUA et de la deuxième de SIC.

Marie-Pier Arsenault, étudiante de 1re année en éducation physique, est joueuse d'attaque. Sa présence a été remarquée sur la patinoire. Elle a été nommée recrue de l'année de SUA, membre de l'équipe des recrues de SUA et de SIC. Elle a également été choisie au sein de la deuxième équipe d'étoiles et a été nommée athlète de la semaine de SUA. Elle a marqué sept buts en avantage numérique pendant la saison, le meilleur total de SUA.

Samuel Groulx est étudiant de 1re année au baccalauréat en éducation physique. Il s’est illustré à sa première saison avec les Aigles Bleus en jouant contre les meilleurs joueurs des autres équipes. Il a fait preuve de leadership et était le deuxième compteur des défenseurs de sa formation avec deux buts et huit passes. Il a été choisi membre de l'équipe des recrus de SUA. Il a terminé la saison avec un ratio de +18.

A sa troisième saison à la barre des Aigles Bleus au hockey masculin, Serge Bourgeois a su conduire ses joueurs au tournoi du Championnat de hockey masculin de Sport interuniversitaire canadien. Les Aigles ont cumulé un bilan de 18 victoires, neuf défaites et une partie nulle pour 37 points en saison ordinaire. L'équipe a éliminé les X-Men de St. Francis Xavier University et les Huskies de St. Mary's University avant de s'incliner en finale de SUA. Il a été choisi entraîneur de l'année de SUA et de SIC.

Le Prix du Recteur a été attribué au gardien de but Pierre-Alexandre Marion en raison de son rendement académique et de ses exploits sportifs. Ce prix est attribué à un ou une athlète qui a su combiner l'excellence académique, le leadership et l'excellence athlétique (présence à une compétition nationale). L'athlète doit être en année terminale ou à sa 5e année d'admissibilité.

Marion, qui a été nommé deux fois athlète de la semaine, est l’une des vedettes sur le plan académique de SIC et a été nommé au sein de la deuxième équipe étoile de SUA cette saison. Il a été un atout important pour son équipe qui s’est rendue au championnat de SIC et qui a été présente au classement national pendant la majeure partie de la saison.

Le Prix de reconnaissance a été remis à Danny O'Carroll, ancien directeur des sports universitaires, professeur et entraîneur. Il a passé 28 ans auprès des jeunes athlètes scolaires et universitaires, surtout comme entraîneur de volleyball au campus de Moncton.

Le Prix James Bayer est remis à un ou une athlète qui s’est distingué dans ses études, qui a excellé comme athlète, qui démontre des qualités de leadership, d’esprit sportif et qui contribue à sa communauté. Ce Prix, offert par Sport universitaire de l’Atlantique, a été accordé à la volleyeuse Sigourney Stott.

La direction du Service de l’activité physique et sportive a choisi de remettre le prix Méridia au journal Times&Transcript. Les journalistes de ce quotidien ont régulièrement rédigé des textes au sujet des exploits des équipes des Aigles Bleus/Bleues tout au long de l'année sportive.

Les athlètes les plus utiles à leur équipe sont Alexa-Maude Mallais et Jason MacKenzie (athlétisme), Geneviève Dostaler et Jérémie Pellerin (cross country), Johannie Thibeault et Dean Ouellet (hockey), Josée LeBlanc et Bourama Simpara (soccer) et Véronique Carroll (volleyball féminin).

Plus de 200 personnes assistent au lancement du livre La cathédrale Notre-Dame-de l’Assomption : Monument de la Reconnaissance

À l’invitation de l’Université de Moncton et de la Chaire de recherche en études acadiennes, plus de 200 personnes ont assisté au lancement du livre « La cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption : Monument de la Reconnaissance », le 2 avril en la chapelle Notre-Dame-d’Acadie au campus de Moncton.

Ce livre présente un récit historique de la cathédrale de Moncton écrit par l’écrivain et journaliste Robert Pichette. Il retrace l’historique de la fondation de la paroisse et de l’archidiocèse afin de situer la cathédrale dans son contexte originel. En plus de la décrire dans toute sa beauté esthétique, il donne quelques repères chronologiques depuis sa construction, sans omettre les divers embellissements et changements qu’elle subit au cours des décennies. De grand format avec reliure cousue caisse, ce très bel ouvrage contient 350 photos anciennes et récentes (60 photos et documents d’archives en noir et blanc et 290 photos en couleur, la plupart inédites et exclusives à ce livre).

Publié par la Chaire de recherche en études acadiennes, il a été conçu et dirigé par Marie-Linda Lord, assistée d’Élizabeth Blanchard en collaboration avec une équipe très attentionnée, particulièrement Marc Blanchard et Maurice Fournier dont les centaines de photos illustrent la cathédrale et ses trésors dans une iconographie étonnante.

« À la Chaire, le projet a commencé quand Robert Pichette est venu me voir au cours de l’automne 2010 pour me présenter son manuscrit, rappelle Mme Lord. Je l’ai lu et j’ai accepté que la Chaire se lance dans ce projet qui a pris, disons-le, de l’ampleur en cours de production. »

« J’avais alors le privilège de compter sur une coordonnatrice de projets exceptionnelle, Elizabeth Blanchard, qui m’a secondée en tout dans ce projet, ajoute Mme Lord. Pendant que nous travaillions à la conception de ce livre, mon équipe et moi avions connaissance, comme vous tous, d’événements entourant la cathédrale dont entre autres la fermeture de son sous-sol et la nécessité de plus en plus pressante de travaux de rénovation majeurs à l’ensemble de l’édifice. C’est dans cet esprit que le livre a pris forme : il m’apparaissait impératif qu’en plus de raconter son histoire méconnue, il fallait la présenter, voire même la dévoiler, telle qu’elle est et comme nous ne l’avions jamais vue avant, même si nous y avions tous déjà mis les pieds. »

Nous avons tous fréquenté la cathédrale un jour ou l’autre. Nous l’avons tous vue, de l’extérieur et de l’intérieur, mais avons-nous pris le temps de bien la regarder et de l’admirer dans toute sa beauté ? Et c’est comme ça qu’a commencé la démarche de photographier la cathédrale dans ses moindres détails avec Marc Blanchard et Maurice Fournier qui ont littéralement passé des heures dans la cathédrale à prendre des milliers de photos; et en grande partie, ce sont leurs magnifiques photos qui accompagnent le récit historique de Robert Pichette. Mme Lord souligne aussi l’apport d’autres photographes qui ont permis de reproduire quelques-unes de leurs photos de la cathédrale dont Maurice Henri, Clarence Nowlan, Daniel Dugas, Peter J. Gergely et Juergen Weiland.

De plus, il est bon de rappeler que la cinéaste Ginette Pellerin, d’Amérika Productions, prépare un documentaire sur la cathédrale qui sera diffusé éventuellement sur les ondes de Radio-Canada Acadie.
On remercie également les artistes qui ont permis de reproduire leurs œuvres d’art dans le livre : Georgette Bourgeois dont le tableau, intitulé « Notre-Dame-de-l’Assomption » accompagne un poème de Napoléon Landry, intitulé « La Cathédrale » aux pages 30 et 31, ainsi que l’artiste Claude Roussel, à qui on rend hommage pour sa contribution à la cathédrale aux pages 220 à 225 où sont photographiées les quatre sculptures en marbre blanc de Carrare d’Italie placées entre les majestueux confessionnaux en chêne, dont l’une des sculptures est en couverture du livre, ainsi que les deux mosaïques du transept, celle de sainte Anne, patronne des Mi’kmaq, et celle de la vie de la Vierge Marie.

Au cours de ces 18 derniers mois, plusieurs personnes ont travaillé à ce livre et Mme Lord leur exprime toute son appréciation. « D’abord trois collègues qui ont accepté de nous faire bénéficier de leur expertise respective, le titulaire de la Chaire de recherche McCain en ethnologie acadienne, Ronald Labelle, qui a rédigé le texte de l’annexe 8 qui rend hommage aux tailleurs de pierre de Shédiac. Ce texte est accompagné de 12 photos d’époque; le professeur Pierre-Marin Boucher, du programme de sciences religieuses, qui nous a secondé dans la rédaction de certaines vignettes de photo qui nécessitait une connaissance experte des termes liturgiques; et le conseiller scientifique de l’Institut d’études acadiennes, Maurice Basque, qui a lu le manuscrit en sa qualité d’historien. »

La Chaire de recherche en études acadiennes a retenu les services de diverses personnes dont l’étudiant en maîtrise en histoire André Duguay, qui a travaillé étroitement avec Elizabeth Blanchard et Mme Lord et qui a cumulé multiples tâches dont celle en tant qu’apprenti historien, de faire de très nombreuses vérifications de dates, de noms, de documents dans les archives; la réviseure linguistique Mélanie LeBlanc qui a lu le livre à plusieurs reprises avec grand soin et minutie; et le graphiste Raymond Thériault qui a compris le livre que Mme Lord voulait faire et qui a accepté, « tel un complice, qu’Elizabeth et moi s’assoyons à côté de lui pendant certaines séances de montage. »

« Vous l’aurez compris, Elizabeth Blanchard a énormément contribué à ce livre. Elizabeth et moi, nous l’avons porté ensemble et j’ai pu, à tout moment, compter sur son dévouement généreux et son appui indéfectible. Merci merci Elizabeth », ajoute Mme Lord.

« Je veux également dire aujourd’hui à l’auteur du récit historique, Robert Pichette, merci d’être venu me voir à la Chaire et de m’avoir fait confiance. Ce livre est plus qu’un livre : il nous rappelle, certes, comme je l’ai écrit en quatrième de couverture du livre, que la cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption est une profession de foi. Elle a été construite en un temps record de 1939 à 1940, après une période économique difficile et au début d’un conflit mondial. Elle est le fruit de l’audace de visionnaires, de l’aumône du peuple, du travail ardu d’homme et de femmes qui croyaient en l’avenir, en leur force collective, en un idéal… »

Telle que Notre-Dame de Paris sur les bords de la Seine et Notre-Dame de Montréal sur les bords sur Saint-Laurent, Notre-Dame-de-l’Assomption domine majestueusement les bords de la Petitcodiac et la ligne d’horizon de Moncton depuis 70 ans. Elle est à l’image de l’Acadie : elle est œuvre de résilience.

En terminant, Mme Lord attire votre attention au sous-titre du livre qui est « Monument de la Reconnaissance », tel que l’avait désignée dès 1938 Mgr Arthur Melanson, avant même que la cathédrale soit érigée. « Voilà ce qu’est la cathédrale, au-delà du lieu de culte,
c’est le Monument de la reconnaissance de la survivance, de la vitalité et de la résilience acadiennes. Peut-être est-ce sur cette voie que la communauté acadienne pourrait s’engager pour sauver ce monument dont l’avenir est incertain.

« Ce Monument de la Reconnaissance, ne serait-t-il pas le lieu tout indiqué pour abriter, un jour, un musée de la résilience ? », conclut Mme Lord.

Cet ouvrage est en vente à la Librairie acadienne du campus de Moncton (858-4140).

Renseignements : 858-4455.

Projet-impôt : 634 déclarations de revenus ont été complétées par les étudiants de la Faculté d’administration

En mars, des étudiants et étudiantes de troisième et quatrième années de la Faculté d’administration de l’Université de Moncton, campus de Moncton, ont rempli sans frais les déclarations de revenus de 634 contribuables ayant un revenu annuel inférieur à 30 000 $ et dont la situation financière était simple. C’est 12 déclarations de moins que l’année précédente.

Les étudiants et étudiantes ont rempli 400 déclarations de revenus entre le 23 et le 25 mars. Ils ont également rempli 196 déclarations de revenus dans des foyers et institutions et ont fait trois visites à domicile pour des personnes ayant un handicap. Enfin, 35 autres déclarations de revenus ont été complétées sur rendez-vous à la Faculté d’administration.

Le comité de cette 42e édition du Projet-impôt était composé, à la coordination, de Nelly Nezerwe, coordonnatrice; Dave Clavette, Koffi Nango N’Djore, Sarata Zallé, Debbie Boulay, Karine Comeau, Annie Finn, Serge Cormier et Wilfried Boris N’guessan; des professeurs Edgar Léger maintenant à la retraite, Monique Levesque, Egbert McGraw et Philippe McGraw; des collaborateurs externes Julie Ouellette, Nathalie Wybouw et Stéphanie Thibeault (Ernst & Young), Nicole L. Légère, Todd MacIntosh, Carol-Ann Comeau et Patrick Boudreau (KPMG), Christian Girouard (avocat) et Monique Blaquière (fonction publique).

Le Projet-impôt a aussi obtenu le soutien technique de Gaston LeBlanc, doyen de la Faculté d’administration; Linda Coulombe, adjointe administrative; André Léger et Manuel Brun, techniciens; Natalie Allain et Jeannette Gaudet, secrétariat de la Faculté d’administration; et Michel Saulnier, de l’Agence du revenu du Canada.

L’Université de Moncton inaugure le Centre des technologies et des sciences de la santé

L’Université de Moncton a procédé le 10 avril à l’inauguration du Centre des technologies et des sciences de la santé (CTSS) à son campus de Moncton en présence du recteur Yvon Fontaine, du député fédéral de la circonscription de Moncton/Riverview/Dieppe, Robert Goguen, et de la ministre provinciale de l’Éducation postsecondaire, Formation et Travail, Martine Coulombe.

Le nouvel immeuble de 3 000 mètres carrés construit à proximité des facultés d’ingénierie et des sciences de la santé et des services communautaires comprend des laboratoires de recherche et d’enseignement à la fine pointe de la technologie. Relié à la Faculté d’ingénierie, au pavillon Jacqueline-Bouchard et à l’édifice des arts, il permet au campus de Moncton d’accroître ses activités de recherche et de développement dans les domaines de l’ingénierie, de la nutrition et des sciences familiales.

La construction du Centre des technologies et des sciences de la santé et la modernisation des installations à la Faculté d’ingénierie et au pavillon Jacqueline-Bouchard l’an dernier représentent un investissement de 12,8 millions de dollars attribués dans le cadre du Programme d’infrastructure du savoir. Ce programme est une composante clé du Plan d’action économique du gouvernement fédéral. Le gouvernement du Nouveau-Brunswick a pour sa part octroyé une somme de 6 855 720 dollars à ces projets tandis que la part de l’investissement du gouvernement fédéral se chiffre 5 985 435 dollars.

« Ces investissements renforcent les capacités de recherche et de formation avancée, en plus d’attirer davantage d’étudiants et étudiantes au campus de Moncton et d’offrir une meilleure expérience éducative, précise la ministre néo-brunswickoise de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail, Martine Coulombe. L'économie du savoir est un élément essentiel au développement économique et elle crée des avantages concurrentiels pour le Nouveau-Brunswick. »

« L’économie demeure au premier rang des priorités de notre gouvernement, affirme Robert Goguen, député fédéral de la circonscription Moncton/Riverview/Dieppe. Par l’entremise du Plan d’action économique du Canada, notre gouvernement a investi dans les centres de recherche et de formation des campus partout au pays pour créer des emplois, contribuer au redressement rapide de notre économie et améliorer la qualité de vie des Canadiens. En plus d’avoir créé des emplois dans la région, cet investissement a contribué à améliorer l’infrastructure de l’Université de Moncton, ce dont elle profitera dès maintenant et pendant de nombreuses années.

« Nous sommes très reconnaissants envers le gouvernement du Canada et le gouvernement du Nouveau-Brunswick pour cette belle collaboration que représente le Programme d’infrastructure du savoir, a souligné le recteur Yvon Fontaine. Ce nouveau Centre des technologies et des sciences de la santé a permis à l’Université de Moncton de bonifier ses laboratoires de recherche et d’enseignement, établissant ainsi un environnement propice à l’apprentissage de nos étudiants et étudiantes. »

Après la traditionnelle coupe du ruban, la ministre provinciale et le député fédéral ont profité de l’occasion pour faire une visite guidée des nouveaux laboratoires du Centre de technologies et des sciences de la santé.

Soutenance de thèse de maîtrise en histoire

Le Département d’histoire et de géographie vous invite à assister à la soutenance de thèse de maîtrise ès arts en histoire de Sophie Doucette, intitulée « Marcel-François Richard et la colonisation de Rogersville, 1874-1921 » le mardi 24 avril à 10 heures dans la salle A-244 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

La composition du jury est la suivante : Jeremy Hayhoe, président et Phyllis E. LeBlanc, directrice de la thèse, tous deux professeurs au Département d’histoire et de géographie de l’Université de Moncton; Nicolas Landry, professeur d’histoire au campus de Shippagan, évaluateur interne; et Sheila Andrew, professeure associée à St. Thomas University, évaluatrice externe. Bienvenue à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4065 / dianne.leblanc@umoncton.ca

Exposition annuelle des finissants et finissantes en arts visuels

Du 13 avril au 27 mai, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen de l’Université de Moncton présente l’exposition annuelle des finissants et finissantes du Département des arts visuels. Le vernissage aura lieu le vendredi 13 avril de 19 heures à 21 heures en présence des étudiantes et étudiants finissants.

Dix étudiants et étudiantes présenteront leur travail de fin d’études.

Alisa Arsenault, de Moncton, explore la (dé/re)construction de l’identité par l’entremise de la photographie, la vidéo, l’art audio, l’installation et des pratiques artisanales.

Valérie Aucoin-Laflamme, de Péninsule/Dieppe, présente le « quotidien avec un twist » dans ses photographies.

À partir de sculptures en céramique, Vanessa Bezeau, de Petit-Shippagan, aborde des questions de santé physique et environnementale.

Cynthia Gagnon, de Grand-Barachois, présente en sculpture divers états psychiques de l’être humain.

Joey Robin Haché, de Bathurst/Moncton, est un musicien qui s’intéresse aussi à la peinture, à l’estampe et au dessin.

En sculpture, Mario LeBlanc, de Saint-Antoine, crée « des espaces contemplatifs qui se veulent un miroir de la société actuelle ».

Dans ses photographies et sculptures, Renée-Claude Marquis, d’Edmundston, s’intéresse à la nature et aux effets de l’industrialisation.

Françoise Morin, de Shippagan, compose des transcriptions de partitions musicales par des formes et des couleurs.

Christine Pitre, de Bathurst, réfléchit à la société et à la marque que chacun laisse de son passage.

Enfin, Geneviève Sivret, de Ste-Marie-St-Raphaël, est guidée par le principe qui veut que « l’homme est un animal social » dans ses photographies et estampes.

La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen est située au 405 avenue de l’Université dans le pavillon Clément-Cormier au campus de Moncton. Elle est ouverte de 13 heures à 16 h 30 du mardi au vendredi et de 13 heures à 16 heures le samedi et le dimanche. L’entrée est libre.

Renseignements : 858-4088 / galrc@umoncton.ca

Discussion portant sur la diversité, la pluralité et l'immigration en compagnie de Chedly Belkhodja et Monia Mazigh

En collaboration avec le Festival Frye, le Centre Métropolis atlantique vous invite à assister à une discussion portant sur la diversité, la pluralité et l'immigration, en compagnie de Chedly Belkhodja, professeur au Département de science politique de l'Université de Moncton, et Monia Mazigh, d’origine tunisienne qui a immigré au Canada en 1991, le mercredi 25 avril à 19 heures au Centre culturel Aberdeen de Moncton.

Le point de départ de cette conversation, intitulée « Composer avec la diversité de l'Autre », est la rencontre de deux auteurs et l'envie de dialoguer sur une série de questions d'actualité ici et ailleurs : l'immigration, la femme musulmane en Occident, le port du voile, l'islam et les valeurs occidentales, la culture arabo-musulmane ou encore les événements politiques du monde arabe.

Trilingue, Monia Mazigh parle couramment l'arabe, le français et l'anglais et possède le doctorat en finance de l'Université McGill. Elle est devenue célèbre aux yeux du public en 2002 quand son mari Maher Arar a été déporté en Syrie où il a été détenu sans aucune accusation et torturé pendant plus d'un an.

Pendant ce temps, Mme Mazigh a livré un combat inlassable pour faire libérer son mari et a lutté sans relâche pour rétablir sa réputation et demander réparation. Depuis, elle a publié un livre, intitulé « Les larmes emprisonnées », qui raconte son expérience après l'arrestation de son mari et sa lutte pour rétablir sa réputation. Plus récemment, elle a publié son premier roman, « Miroirs et mirages, aux éditions l'Interligne, 2011.

Les recherches de Chedly Belkhodja portent sur les questions de l'immigration dans les villes de taille moyenne et dans les régions de faible immigration, et sur les discours et représentations de la diversité culturelle, religieuse et ethnique. Depuis 2006 il assume les fonctions de directeur du Centre Métropolis atlantique. Il vient de publier un essai portant sur l'immigration au Nouveau-Brunswick (D'ici et d'ailleurs, Perce-Neige, 2011). En parallèle, il a réalisé deux films produits par l'Office national du film du Canada.

L'entrée est libre.

Renseignements : Chedly Belkhodja, au 858-3749.

Des certificats de mérite sont présentés à quatre finissants

L’Université de Moncton et la Fédération étudiante du campus de Moncton ont rendu hommage à quatre finissants en leur décernant un certificat de mérite en guise de reconnaissance pour le leadership et le dévouement dont ils ont fait preuve pendant leurs études.

Leur engagement au sein d’un conseil étudiant, lors d’activités socioculturelles ou sportives, grâce à une participation à divers comités étudiants ou encore comme bénévoles auprès de la communauté a grandement permis d’améliorer la vie étudiante.

AMCE : Richard Gibson recevra samedi le Prix de distinction honorifique d’un musicien

Dans le cadre de la Semaine de la musique de la côte Est qui a lieu à Moncton jusqu’au 15 avril, l’Association de la musique de la côte Est (AMCE) remettra le Prix de distinction honorifique d’un musicien à Richard Gibson, professeur au Département de musique de l’Université de Moncton, ce samedi 14 avril à 20 heures au théâtre Capitol lors du National Bank’s A Sound Celebration.

Parmi l’oeuvre musicale du professeur Gibson, il y a des compositions pour tous genres d’instruments et de voix, passant de pièces pour guitare solo à des arrangements d’envergure pour orchestre et chorale.

Récipiendaire de nombreux prix, dont le prix SOCAN pour le jeune compositeur canadien de l’année (1983), le prix Robert Flemming et le Prix du lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick pour l’excellence dans le domaine des arts, Richard Gibson a étudié avec Steve Tittle, Peter Paul Koprowski et plus récemment, David Lumsdaine avec lequel il a terminé ses études doctorales au King’s College, à Londres.

Il enseigne présentement la théorie et la composition musicales au Département de musique du campus de Moncton. Contrebassiste de jazz, il enregistre également de la musique classique et aide des professeurs de musique à développer des curriculums pour les salles de classe.

« M. Gibson a contribué de façon exceptionnelle au développement de l’industrie de la musique de la côte Est, rappelle Su Hutchinson, directrice générale de l’AMCE. Il nous fait plaisir de couronner son succès pendant la Semaine de la musique de la côte Est 2012 ».

Plus de 150 artistes seront sur scène. La programmation de cette année met en valeur le grand talent des artistes francophones et anglophones de notre région et leur permet de collaborer avec des artistes invités provenant d’ailleurs au pays.

Pour connaître la programmation complète des vitrines et l’horaire des prestations lors du Gala de remise des prix, consultez le site www.ecma.com.

Travail social : journées d’échange avec le ministère du Développement social

L’École de travail social a accueilli plus de 150 personnes à ses journées d’échange avec le ministère du Développement social. Cette activité annuelle permet aux étudiants et membres de l’équipe professorale et professionnelle de l’École d’échanger avec des travailleuses et travailleurs sociaux des huit régions administratives du ministère et du bureau central sur des enjeux qui touchent la pratique du travail social.

Cette année, les discussions ont porté sur le thème « Éthique, travail social et technologie : réfléchir pour mieux choisir ».

Le théâtre au service de la formation en travail social

À l’Université de Moncton, il n’y a pas que le Département d’art dramatique qui amène les étudiantes et les étudiants à monter sur les planches au théâtre. Dans le cadre du baccalauréat en travail social, les étudiantes et les étudiants sont aussi appelés à découvrir cette forme d’art.

Le programme de travail social qui vise à former des personnes capables de comprendre les problèmes sociaux, notamment les processus d’appauvrissement et de précarité des individus, des groupes et des communautés, pour mieux intervenir, fait appel au théâtre comme outil d’apprentissage dans le cadre du cours Art et Intervention.

Offert cette année par la professeure Danielle Nolin, ce cours amène les étudiantes et les étudiants en travail social à développer une approche en intervention avec les arts et plus précisément avec le théâtre. Cette approche qui vient des écoles de pensée de Paolo Freire, Jonathan Fox et Augusto Boal vise à sensibiliser les personnes participantes aux phénomènes sociaux et, du même coup, permet aux spectateurs et aux étudiants devenus acteurs de vivre une expérience commune par l’entremise d’une manifestation artistique.

De cet apprentissage d’un moyen d’intervention, de cette exploration et confrontation à soi, les étudiants - nommé pour l’occasion les ts en action - ont choisi de monter une pièce de théâtre qui saura certainement rejoindre les gens de tous âges et de tous horizons par son approche directe et révélatrice. Intitulée « Sous ma peau », cette pièce est un espace privilégié et intime dans lequel tous et toutes peuvent se retrouver; on y trouve un éventail de moments marquants du passage de l’enfance à la vie adulte. « Sous ma peau » lève le voile à la fois sur les défis et la complexité qui font parfois trébucher, parfois chavirer, tout au long de notre parcours de vie.

La pièce « Sous ma peau », fruit de la démarche des étudiantes et des étudiants du cours Art et Intervention, est présentée ce vendredi 13 avril à 20 heures dans la salle multifonctionnelle du Centre étudiant. L’entrée est de 5 $ pour les étudiants et 10 $ pour les autres. Tous les fonds amassés seront versés au Centre de jeunes QUEST.

Le Centre de jeunes QUEST est un programme communautaire de Foyers de la jeunesse de Moncton inc. Il vient en aide aux jeunes sans-abri âgés de 16 à 24 ans de la grande région de Moncton. La halte-accueil du Centre a ouvert ses portes en 2006 et depuis, il offre plusieurs services (douches, buanderie, formations professionnelles, préparatoires à l’emploi, rattrapage scolaire, plans d’orientation individuels et programmes artistiques et récréatifs).

Renseignements : 858-4014 / danielle.nolin@umoncton.ca

Bouton d’or Acadie apporte sa contribution à la Mission humanitaire Haïti 2012 de l’Université de Moncton

La maison d’édition Bouton d’or Acadie de Moncton, vouée à la littérature jeunesse, a décidé de participer à sa façon à la Mission humanitaire Haïti 2012 de l’Université de Moncton en offrant 240 exemplaires du populaire conte « Modo et la lune » en traduction créole.

Le texte de « Modo et la lune / Modo ak lalin nan » est présenté en français et en créole sur chacune des pages. Ce conte de la regrettée Judith Hamel a été traduit en créole par Arthur Jean-Baptiste, un Haïtien du Nord, et est illustré par Lisa Lévesque.

Du 28 avril au 10 mai, une quarantaine d’étudiants et étudiantes de l’Université de Moncton et des professionnels de la communauté se rendront en Haïti pour venir en aide à des enfants. Ils offriront des ateliers et des jeux éducatifs dans plusieurs écoles de la région de Port-Salut. En plus d’apporter et de distribuer plus de deux tonnes d’équipement sportif et médical, le groupe participera à la construction d’un dispensaire à l’hôpital de référence communautaire de la région de Port-Salut.

Renseignements : Jocelyne Maurice, au 866-5410

Conférence du professeur Ruben Sandapen

Ruben Sandapen, professeur au Département de physique et d’astronomie de l’Université de Moncton, prononcera une conférence, intitulée « Le hadron serait-il l’hologramme d’une corde vibrante dans une cinquième dimension ? », ce vendredi 13 avril à 10 heures dans la salle 214 de l’édifice des arts au campus de Moncton.

En exploitant une correspondance holographique entre la théorie des cordes dans un espace-temps courbe à cinq dimensions et la chromodynamique quantique (théorie de l’interaction forte) dans l’espace-temps ordinaire, on calcule le taux de production exclusive du méson r (un type d’hadron) à très haute énergie. L’accord entre les prédictions théoriques et les données expérimentales collectées au collisionneur électron-proton HERA (Allemagne) est impressionnante.

Ruben Sandapen est chercheur en physique théorique des particules. En octobre 2011, il a présenté les résultats préliminaires de la présente recherche à l’Institute for Nuclear Theory (INT) de l’Université de Washington dans le cadre du colloque international « Frontiers of QCD ,AdS/CFT and applications to QCD, gauge theory, and other strongly interacting systems ». En mars dernier, il a présenté les résultats finaux de cette recherche à l’Université de Bonn en Allemagne lors du 20e colloque international « Deep Inelastic Scattering and Related Subjects (DIS 2012) ».

Les diapositives de ses deux communications peuvent être visionnées à http://indico.cern.ch/getFile.py/access?contribId=265&sessionId=9&resId=0&materialId=slides&confId=153252 et à http://www.int.washington.edu/talks/WorkShops/int_11_3/People/Sandapen_R/Sandapen.pdf

Le professeur Sandapen a bénéficié du soutien financier de la Faculté des études supérieures et de la recherche et de la Faculté des sciences de l’Université de Moncton pour participer à ces colloques.

La présente conférence se propose d’être moins technique que celles présentées lors des congrès spécialisés mentionnés ci-haut sans pour autant perdre la quintessence des idées physiques sous-jacentes à cette recherche.

Renseignements : 858-4099.

Journée de recherches interdisciplinaires en santé

La 4e édition de la Journée de recherches interdisciplinaires en santé (JRIS) à la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires de l’Université de Moncton a été une excellente occasion pour permettre des échanges scientifiques enrichissants entre les mondes clinique et académique.

Le programme proposé s’adressait au corps professoral, aux chercheurs et chercheuses, aux cliniciens et aux étudiants et étudiantes, ainsi qu’à tous ceux et celles qui s’intéressent à la recherche dans le domaine de la santé.

Cette journée de réflexion a donc permis de porter un regard interdisciplinaire sur les problèmes actuels cliniques et communautaires en santé.

Autre photo prise lors de la Journée de recheches interdisciplinaires en santé

La photo nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : John Tivendell, professeur titulaire à l’École de psychologie de l’U de M; Cynthia Black, directrice générale de BUILT Network Moncton; Mai Savoie, coordonnatrice régionale du CNFS volet Université de Moncton; Monique Langis, directrice de la société santé et mieux être en français (Moncton); Danielle Charbonneau, professeure de psychologie au Collège militaire d’Ottawa (conférencière); Sarah Pakzad, professeure agrégée à l’École de psychologie de l’U de M et responsable de la JRIS; 2e rangée : Paul Bourque, doyen de la Faculté des sciences de la santé et des services communautaires de l’U de M; Gilles Courregelongue, consul général de France dans les provinces atlantiques; David Gallson, président de Mood disorder of Canada; Roger Cole, codirecteur général de la Fondation de recherche en santé du Nouveau-Brunswick (FRSNB); et Bruno Battistini, codirecteur général de la FRSNB.

Rendez-vous de la Francophonie : une 14e édition sous le signe de l’humour et du dialogue

L’heure est au bilan pour les organisateurs des Rendez-vous de la Francophonie (RVF) qui ont eu lieu du 9 au 25 mars. Partout au Canada, 9,5 millions de francophones s’étaient donné rendez-vous pour célébrer le fait français par le biais de plus de 1 000 activités ou événements, dont 158 projections de films dans 62 villes dans toutes les provinces et territoires. Il s’agit du plus grand nombre d’activités jamais répertorié dans le cadre des RVF, ce qui est un bon indicateur du dynamisme des communautés francophones d’un bout à l’autre du pays.

Au Nouveau-Brunswick, ce sont plus de 30 activités et 40 projections des films de l’ONF qui ont eu lieu aux quatre coins de la province.

Le directeur général de la Fondation canadienne pour le dialogue des cultures, Guy Matte, instigateur des Rendez-vous de la Francophonie, s’est dit très satisfait de cette 14e édition. « Ce qui me réjouit le plus, c’est le dynamisme grandissant des communautés francophones et des associations francophiles d’un bout à l’autre du pays, et leur intérêt envers cette campagne nationale, dit-il. Par le biais de nos porte-parole et par l’usage de l’humour pour faire passer nos messages, nous avons réussi à doubler l’achalandage sur notre site Web et en quelques semaines, nous sommes passés de 800 à 12 800 adeptes de notre page Facebook. Autant de bonnes nouvelles pour le dialogue entre les communautés francophones et la promotion de la francophonie au Canada. »

Les Rendez-vous de la Francophonie ne pourraient exister sans la contribution essentielle de ses précieux partenaires. Un merci particulier à Patrimoine Canada, au Secrétariat aux affaires intergouvernementales canadiennes du Québec, à Air Canada, NAV Canada, l’Office national du film, l’Office des affaires francophones en Ontario, l’ACELF, le Centre de la francophonie des Amériques, la Banque de développement du Canada, Parcs Canada, VIA Rail, l’Université d’Ottawa, La Cité collégiale, le Conseil national de formation en santé, le Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique, SRC, TFO, TV5 et aux conseils scolaires et associations francophones et francophiles du Canada.

La prochaine édition des Rendez-vous de la francophonie se déroulera du 8 au 24 mars 2013.

Renseignements : 384-6897 / madoblan@nbnet.nb.ca

Événements hydrologiques extrêmes et changements climatiques lors du congrès de l’Acfas

Salaheddine El Adlouni, professeur au Département de mathématiques et de statistique de l'Université de Moncton, avec le soutien du directeur du département, Paul Deguire, organise un colloque, intitulé « Événements hydrologiques extrêmes et changements climatiques » lors du 80e congrès de l’Acfas qui aura lieu à Montréal le 10 mai prochain.

Neuf conférenciers participeront à ce colloque pour présenter leurs travaux portant sur la modélisation des événements extrêmes et l’évaluation des effets du climat sur les extrêmes hydrologiques.

Le programme détaillé de ce colloque est disponible à l’adresse Internet ci-dessous.

Renseignements : 858-4253.

Le 12e congrès de l’APTICA aura lieu au pavillon Jeanne-de-Valois

Le 12e congrès de l’Association pour l’avancement pédagogique des technologies de l'information et de la communication en Atlantique (APTICA), avec comme thème « Littératie numérique : pour accompagner la génération de demain », aura lieu les 10, 11 et 12 mai à la Faculté des sciences de l’éducation au campus de Moncton.

Le comité de publicité tient à vous rappeler que l’inscription à ce congrès est présentement disponible à l’adresse ci-dessous.

Il en coûte 200 $ pour assister au congrès ou encore 175 $ si votre inscription est payée avant le 15 avril, ce qui comprend l’inscription aux deux conférences, le choix de 35 ateliers différents (voir programme des ateliers sur site Web), la soirée sociale (vendredi après le dernier atelier), l’assemblée annuelle de l’APTICA, les petits goûters et de gros prix de présence.

Renseignements : 506-382-3301 / info@aptica.ca

Des étudiants du campus d’Edmundston rencontrent le premier ministre David Alward

Trente-cinq étudiantes et étudiants du campus d’Edmundston, dont 29 du Secteur administration des affaires, ont assisté à la conférence du premier ministre David Alward lors du souper d’affaires de la Chambre de commerce de la région d’Edmundston.

La présentation du premier ministre portait principalement sur le budget provincial 2012-2013 déposé le 27 mars dernier. L’activité s’est révélée très formatrice pour les étudiantes et étudiants du cours de fiscalité donné par le professeur Jean-François Saucier.

La présence étudiante a été soulignée à maintes reprises pendant la soirée à laquelle participaient environ 200 personnes. Les membres du bureau de direction de l’Association générale des étudiants et étudiantes du campus d’Edmundston figuraient également parmi les convives.

La présence d’un si grand nombre d’étudiants et étudiantes a été rendue possible grâce à la générosité de trois entreprises de la région qui ont fait une contribution de 200 $ chacune. Il s’agit des entreprises Les Productions agricoles Ouellet, Beaulieu Plumbing & Mechanical et Raymond Chabot Grant Thornton.

Trois bourses d’études sont offertes pour des études universitaires en France

Dans le cadre de l’entente France-Acadie conclue entre le Consulat général de France dans les provinces atlantiques et la Société Nationale de l’Acadie, trois bourses d’études sont offertes à des Acadiens et Acadiennes souhaitant faire une année d’études universitaires en France.

Pour la deuxième fois, les bourses France-Acadie ont une marraine d’honneur en la personne de Renée Blanchar, cinéaste de Caraquet bien connue notamment pour la télésérie Belle-Baie. La marraine des bourses France-Acadie soutient la promotion des bourses pour l’année en cours, mais surtout agira à titre de conseillère pour les bénéficiaires de bourses qui iront étudier en France.

Bénéficiaire d’une bourse France-Acadie de 1986 à 1990, Mme Blanchar a accepté avec enthousiasme d’être la marraine de l’édition 2012 des bourses France-Acadie. « L’obtention de la bourse France-Acadie a été déterminante pour moi, dit-elle. Cette bourse a changé ma vie puisqu'elle m'a permis de poursuivre mes études dans une grande école en France. J’ai pu non seulement approfondir mon travail de cinéaste mais également profiter de l’expérience unique de vivre dans un autre pays. »

« Les Bourses France-Acadie permettent de maintenir des liens d’excellence entre l’Acadie et la France, ajoute Gilles Courrègelongue, consul général de France dans les provinces atlantiques. Cette année, Renée Blanchar, l’une des anciennes boursières qui fait la fierté de ce programme, a accepté de devenir marraine d’honneur. Elle est le parfait exemple de ce que ces bourses peuvent faire pour l'avancement d'une brillante carrière comme la sienne. »

Selon la présidente de la Société Nationale de l’Acadie, Françoise Enguehard, l'Acadie a plus que jamais besoin d'une jeunesse bien formée et ouverte sur le monde, qui profite de toutes les chances qui lui sont offertes de partir étudier pour ensuite revenir au pays et pleinement contribuer à l'avenir collectif. « Dans ce contexte, les bourses France-Acadie sont une chance unique à ne pas manquer », conclut-elle.

Les personnes intéressées par ces bourses d’études devront être originaires des provinces atlantiques ou y résider depuis cinq ans, être âgées de plus de 18 ans au moment du départ en France, avoir accompli au moment du départ au minimum de trois années d’études universitaires, être préinscrites dans une université en France pour la rentrée 2011-2012, et démontrer leur volonté de contribuer au développement de la société acadienne.

Cette année, un maximum de trois bourses d'un montant de 2 500€ chacune par semestre seront octroyées. Les étudiants ou étudiantes intéressés à poser leur candidature ont jusqu'à 14 mai prochain pour soumettre le formulaire dûment rempli. Vous pourrez télécharger le formulaire de candidature sur l’un des sites suivants :
www.snacadie.org ou http://consulfrance-moncton.org

Renseignements : 853-4253 / marco.morency@snacadie.org