Vol. 42, no 12
24 novembre 2011
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, le Dr Aurel Schofield, directeur du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick et doyen associé de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l'Université de Sherbrooke; Martine Coulombe, ministre provinciale de l’Éducation postsecondaire, Formation et Travail; Yvon Fontaine, recteur et vice-chancelier; et Jessy Phillips, de Saint-Quentin, étudiante de troisième année en médecine.
Cérémonie soulignant le début des travaux d’agrandissement du Centre de formation médicale
Le 17 novembre, l’Université de Moncton a tenu une cérémonie soulignant le début des travaux d’agrandissement du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick.
À cette occasion, une première pelletée de terre symbolique a été effectuée en présence du recteur, Yvon Fontaine, et de la ministre de l’Éducation postsecondaire, Formation et Travail du Nouveau-Brunswick, Martine Coulombe.

« L’Université de Moncton est heureuse d’accueillir à son campus des étudiants et étudiantes francophones de l’Acadie qui peuvent poursuivre leurs études en médecine dans leur langue et leur milieu, a souligné le recteur Fontaine. Appuyé de ses partenaires, le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick est en pleine croissance, dit-il. En 2006, les premiers étudiants franchissaient les portes du Centre et déjà, de nouveaux espaces sont en construction afin de bonifier la capacité d’enseignement. Les travaux d’agrandissement permettront d’offrir de nouveaux laboratoires, des salles d’études, un amphithéâtre, des espaces pour la recherche et des espaces pour l’aménagement de bureaux. »

« Ce projet contribuera à assurer l’avenir de l’excellence de l’enseignement de la médecine en français chez nous, a affirmé la ministre Coulombe. Nous sommes engagés à travailler avec l’Université de Moncton afin que le partenariat avec l’Université de Sherbrooke continue de produire des résultats de haute qualité comme ceux des dernières années. »

L’agrandissement est d’une superficie de 1 675 mètres carrés (environ 18 000 pieds carrés) et la fin des travaux est prévue pour août 2012. La nouvelle section rattachée au côté est de l’édifice existant sera donc fonctionnelle pour le rentrée étudiante de septembre prochain.

Le financement de cet édifice s’élevant à 6 966 000 $ provient du ministère de l’Éducation postsecondaire, Formation et Travail.

Situé dans le pavillon J.-Raymond-Frenette au campus de Moncton, le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick a été créé grâce à un projet innovateur entre l’Université de Moncton, la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke et le gouvernement du Nouveau-Brunswick. Jusqu’à 96 étudiantes et étudiants le fréquentent chaque année.
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Un nouveau réseau informatique à haute vitesse soutient la recherche et l’éducation au Nouveau-Brunswick
Les partenaires du Réseau optique régional évolué (RORE) se sont réunis à Fredericton pour présenter la dernière nouveauté du partenariat technologique, un réseau à haute vitesse, et pour célébrer le 40e anniversaire du Réseau informatique éducatif du Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-Prince-Édouard (RIE).

Le RORE est une mesure conjointe entre Canarie inc., le gouvernement du Nouveau-Brunswick, les universités du Nouveau-Brunswick, le Collège de technologie forestière des Maritimes la Commission de l’enseignement supérieur des provinces Maritimes, le Conseil national de recherches du Canada, et ses plus récents partenaires, le New Brunswick Community College et le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick. Ce partenariat est conçu pour fournir à ses membres un réseau à haute vitesse permettant de maximiser leur capacité tout en réduisant leurs coûts d’immobilisation et de fonctionnement afin de favoriser la recherche de pointe et la collaboration à l’échelle régionale et à l’échelle internationale.

Les partenaires ont créé un nouveau réseau de recherche reposant sur l’installation de la fibre optique à grande échelle et de liens redondants partout au Nouveau-Brunswick, l’amélioration de la largeur de la bande passante et l’ajout d’équipement à la fine pointe de la technologie. Le réseau, qui peut s’adapter aux besoins futurs, comprend un modèle de prix prévisible pour les partenaires pour les dix prochaines années au moins, et il garantit une plateforme fiable pour dix ans encore. Grâce à ces améliorations, la capacité du réseau sera décuplée.

« En tant que Néo-Brunswickois, nous bâtissons notre avenir grâce à la grande créativité et à l’ingéniosité de notre main-d’oeuvre compétente. L’annonce d’aujourd’hui permettra à l’industrie des TIC du Nouveau-Brunswick de poursuivre son bilan de croissance et de réalisation remarquables tout en jouant un rôle critique dans la construction de notre province et de notre pays, a déclaré le ministre de Développement économique du Nouveau-Brunswick, Paul Robichaud. C’est un excellent exemple de la façon dont nous pouvons améliorer les perspectives d’avenir grâce à l’innovation et le partenariat. »

« L’existence d’un organisme ayant un mandat national comme Canarie garantit à toutes les régions du Canada l’occasion de profiter de la puissance de la technologie de réseau avancée, explique son président-directeur général, Jim Roche. Nous sommes heureux de faire partie de ce réseau au Nouveau-Brunswick qui soutient la recherche et la découverte, la réalisation de projets éducatifs originaux et l’innovation dans le secteur privé. »

Selon la présidente directrice générale du CCNB, Liane Roy, cette initiative avant-gardiste s’inscrit dans la philosophie et la vision du CCNB : « Nous sommes heureux de participer au Réseau optique régional évolué du Nouveau-Brunswick, dit-elle. Le CCNB valorise l’établissement de partenariats innovateurs qui déboucheront sur des technologies de l’information à la fine pointe et permettront l’intégration de plusieurs outils technopédagogiques en salle de classe. Grâce à ce projet de collaboration, le système d’éducation postsecondaire et les communautés de chercheurs du Nouveau-Brunswick pourront accéder efficacement et rapidement à des réseaux hautement évolués. Le RORE vient appuyer nos moyens de mettre en œuvre une société collégiale novatrice et entrepreneuriale. »

Les partenaires financiers du nouveau réseau sont : Canarie inc., 3 148 000 $; les universités du Nouveau-Brunswick et le CTFM, 3 500 000 $; le NBCC et le CCNB, 3 500 000 $; le CNRC, 350 000 $; et le gouvernement du Nouveau-Brunswick, 500 000 $.

Les partenaires ont profité du lancement du réseau pour célébrer le 40e anniversaire du RIE, qui regroupe les universités publiques du Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-Prince-Édouard, le CTFM, le Holland College et la CESPM. Le principal service fourni par le RIE aux établissements membres est la connectivité entre eux. Il facilite aussi les achats conjoints et les licences conjointes, les services de soutien partagés, le perfectionnement professionnel, la prestation de services axés sur le réseau et l’échange d’information.

« Le Réseau informatique éducatif du Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-Prince-Édouard est un exemple de coopération des plus réussies entre provinces et entre établissements d’études postsecondaires dans le domaine des services de technologie de l’information, a expliqué son président, Yvon Fontaine, recteur de l’Université de Moncton. Depuis 40 ans, nous mettons efficacement à profit nos ressources afin de réduire nos coûts, éliminer les chevauchements inutiles et brancher nos membres sur le monde. »

« Le nouveau réseau étendra les capacités des éducateurs, élèves et étudiants, innovateurs et chercheurs du Nouveau-Brunswick car il leur permettra de collaborer et de participer à des projets de recherche et d’innovation tant dans la région qu’à l’échelle nationale et internationale. Le réseau facilitera la recherche de la prochaine génération et il aura des retombées scientifiques, économiques et culturelles connexes dans la région. »
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Dre Denise Donovan, médecin spécialiste en santé communautaire au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick.
Dre Denise Donovan contribue au développement et au transfert des connaissances sur la scène internationale
Le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB) adresse ses félicitations au Dre Denise Donovan comme coauteure et pour son travail auprès d’un groupe national d'enseignants en santé publique veillant à améliorer la compréhension des principes de santé des populations chez les cliniciens.

« Nous sommes très heureux qu’une professeure du CFMNB puisse contribuer au développement et au transfert des connaissances sur la scène internationale, mentionne le professeur Aurel Schofield. Voilà un bel exemple de la force du partenariat Acadie-Sherbrooke. »

Le groupe a mis sur pied un cybermanuel novateur à l'intention des étudiants et étudiantes en médecine, intitulé « Notions de santé des populations de l'AFMC », qui vient tout juste d'être publié par l'Association des facultés de médecine du Canada. Offert à titre gracieux en ligne (www.phprimer.afmc.ca/index_fr), ce cybermanuel bilingue est utile à toute personne oeuvrant en milieu clinique car il énonce les concepts fondamentaux de la santé publique en faisant valoir leur pertinence pour la médecine clinique.

C'est un objectif important étant donné qu'on reconnaît de plus en plus qu’une prise en charge médicale de haute qualité tient compte du contexte social et du mode de vie de chaque patient, ainsi que de l'organisation du système de soins de santé dans lequel elle opère. Il faut gérer les risques découlant de la maladie, du mode de vie et du contexte social du patient en vue de maîtriser ses problèmes de santé actuels et de prévenir ceux qui pourraient survenir. Les cliniciens jouent aussi un rôle clé en collaborant avec les acteurs du système de santé publique pour protéger les patients et les communautés contre les problèmes de santé évitables.

Cependant, les étudiants n'arrivent généralement pas à comprendre à quel point la santé des populations est pertinente dans leur travail auprès de patients individuels. Ce cybermanuel a été conçu pour les éclairer à ce sujet.

Le cybermanuel est une corédaction du Dre Denise Donovan, du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick affilié à l’Université de Sherbrooke, et d'Ian McDowell, de la Faculté de médecine de l'Université d'Ottawa. Des professeurs en médecine et en santé publique de chacune des facultés de médecine du Canada et des étudiants et étudiantes ont participé à l'élaboration du cybermanuel, lequel bénéficie de l'appui de l'AFMC et de l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC).

Selon l'AFMC et l'ASPC, ce cybermanuel sera également utile à d'autres personnes professionnelles de la santé et à des fins de perfectionnement professionnel continu. « Les notions de santé des populations de l'AFMC touchent à des sujets qui sont pertinents pour tous les cliniciens, indique le Dre Donovan. Nous avons donc voulu offrir le contenu principal tout à fait gratuitement en vertu d'un permis Creative Commons pour que d'autres groupes puissent l'adapter. »

Conçu pour favoriser les échanges en ligne, le cybermanuel est un texte évolutif qui ne cessera de s'améliorer grâce aux réactions et à la participation des utilisateurs. Des exemples à titre d'illustration, des vidéos et d'autres ressources du cybermanuel pouvant servir d'outils pédagogiques seront partagés avec la cybercommunauté d'enseignement en santé publique de la Collaboration pour l'éducation en santé au Canada (http://chec-cesc.ca/community/public-health-education).

Pour de plus amples renseignements, écrivez à publichealth@afmc.ca.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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La photo nous fait voir les étudiants du cours de récréologie « Loisirs et groupes spéciaux RETO2300 » et des résidents participants de ce projet. Il s’agit, de gauche à droite, en avant : Nicolas Légère; Labrador noir*, Corronaria* et Panthère noire*(* les pseudonymes choisis par chaque résident pour cet atelier); en arrière : Cloé Gallant, l’artiste peintre Mario Cyr, Glaphyra Révolus, la professeure Selma Zaiane-Ghalia, Émilie Daigle, Jessika Blaney-Reis, Jessica Haché, Élisa Savoie, Émilie Raymond et Shona Thibodeau. Absence : l’étudiante Catherine Arsenault, qui avait pris part à l’atelier du 8 novembre.
Projet expérimental d’art-thérapie
Dans le cadre d’un projet expérimental d’art-thérapie, dit projet de l’incubateur, une séance de pratique de la peinture abstraite portant sur le thème du « pouvoir de l’amitié » a été proposée à un groupe de la résidence de l’Aboiteau de Dieppe. Ce projet de la peinture abstraite comme loisir thérapeutique auprès de personnes à besoins spéciaux est réalisé par Selma Zaiane-Ghalia, professeure à l’École de kinésiologie et de récréologie de l’Université de Moncton, et l’artiste peintre Mario Cyr, au sein de la résidence de l’Aboiteau.

L’entreprise ArtShack et l’Institut de leadership de l’École de kinésiologie et de récréologie sont aussi des partenaires importants dans la réussite de ce travail de recherche.
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Dans la photo, Mme Griffiths est accompagnée, à gauche, du chancelier Louis R. Comeau et du recteur et vice-chancelier Yvon Fontaine, et, à droite, de Dominic LeBlanc, fils de Roméo LeBlanc et député fédéral de Beauséjour, et André Richard, président du Conseil des gouverneurs.
Plus d’une centaine de personnes ont assisté au lancement de la biographie de Roméo LeBlanc
La vie de Roméo LeBlanc, ancien gouverneur général du Canada et ancien chancelier de l’Université de Moncton, fait l’objet d’un livre, intitulé « The Golden Age of Liberalism, A portrait of Roméo LeBlanc ». Le 16 novembre, plus d’une centaine de personnes ont assisté à son lancement au campus de Moncton en présence de son auteure, Naomi S. Griffiths.

Historienne, Mme Griffiths a consacré sa carrière professionnelle ainsi que de nombreuses publications à l’histoire de l’Acadie coloniale. Elle a aussi été chercheuse associée à l’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques logé au campus de Moncton qui lui a d’ailleurs rendu hommage en 2006 en collaboration avec les Études acadiennes de l’Université de Moncton.

« Avec la publication de cet ouvrage, Mme Griffiths rend un vibrant hommage à la vie et à la carrière prolifiques que furent celles de Roméo LeBlanc, non seulement comme personnalité publique qui a su attirer la sympathie et le respect de tous ses concitoyens, mais également à un ami fidèle qu’elle a côtoyé pendant de nombreuses années, a laissé savoir le recteur Yvon Fontaine. Grâce à des recherches soutenues dans les archives personnelles de M. LeBlanc et à la gracieuse collaboration de la famille et de ses amis, vous proposez un ouvrage à la hauteur de l’homme qu’il était, que ce soit dans sa carrière comme enseignant, en journalisme, secrétaire de presse pour deux premiers ministres canadiens, député de la circonscription de Westmorland-Kent à la Chambre des communes, ministre, sénateur et président du Sénat canadien, et enfin gouverneur général du Canada. Vous imaginez notre grande joie lorsqu’il a accepté de devenir chancelier de l’Université de Moncton, poste qu’il a occupé de 2001 à 2004. »

« La publication de ce livre, dont la préface est signée par l’ancien premier ministre Jean Chrétien, c’est une autre page de son histoire qui s’écrit avec ce lancement », a ajouté M. Fontaine.

Le recteur a profité de l’occasion pour rendre hommage à Mme Griffiths. « L’Acadie vous est reconnaissante pour ce travail colossal que vous faites depuis de très nombreuses années, a-t-il dit. Au nom de nous tous, je vous en remercie. »

Roméo LeBlanc a sans aucun doute laissé son empreinte sur l’Université de Moncton. Dans cette optique, l’Université, lors de sa dernière campagne financière Excellence, a rattaché son nom à un don de la famille Irving pour la création de la Chaire Roméo-LeBlanc en journalisme. De plus, le philanthrope et ami de M. LeBlanc, Richard Carpenter, a fait un don de 100 000 $ pour la création du Fonds de bourses Roméo-LeBlanc. Toujours en guise de reconnaissance envers cet homme exceptionnel, les bourses d’excellence de l’Université de Moncton se nomment depuis avril dernier Bourses d’excellence Roméo-LeBlanc, offertes dans chaque école secondaire francophone du Canada atlantique pour les jeunes qui s’inscrivent pour la première fois en première année à l’un de nos trois campus. L’Université offre environ 35 de ces bourses chaque année.

Rappelons également que l’Université de Moncton l’a honoré en 1977 en lui décernant un doctorat d’honneur en administration des affaires. En 1981, il était nommé Ancien de l’année par l’Association des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton.

Le livre de Naomi Griffiths est en vente à la Librairie acadienne du campus de Moncton.
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Concours Tremplin : la date limite d’inscription est prolongée jusqu’au 21 décembre
Le Studio Acadie de l’Office national du film du Canada (ONF) prolonge la date limite d’inscription du concours Tremplin jusqu’au 21 décembre.

Organisé en collaboration avec la Société Radio-Canada, ce concours s’adresse aux cinéastes émergents issus des communautés francophones en situation minoritaire au Canada et leur permet de réaliser un court métrage documentaire dans des conditions professionnelles. Les personnes lauréates bénéficient également d’ateliers de formation dispensés par des professionnels chevronnés.

Depuis plusieurs années maintenant, Tremplin offre la chance aux cinéastes francophones de la relève de réaliser un premier ou un deuxième film avec une équipe de professionnels de l’ONF. Par cette expérience concrète en réalisation et en production, Tremplin permet à ces jeunes d’acquérir de nouvelles connaissances et de franchir une étape importante dans le démarrage de leur carrière cinématographique.

Les cinéastes souhaitant participer sont invités à soumettre leur candidature d’ici le mercredi 21 décembre à minuit.

Pour tous les détails du concours, visitez le site onf.ca/tremplin.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales ; Sophie Bastien-Daigle, biologiste au ministère des Pêches et Océans; Mike Chadwick, biologiste, ex-directeur des sciences à Pêches et Océans Canada et professeur associé à la maîtrise en études de l’environnement à l’U de M; Omer Chouinard, professeur au Département de sociologie et à la maîtrise en études de l’environnement; Éric Forgues, sociologue et directeur adjoint de l'Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques logé au campus de Moncton; et Céline Surette, du Département de chimie et biochimie et directrice du programme de la maîtrise en études de l’environnement.
Le défi de la gestion intégrée des zones côtières et du changement climatique
Dans le cadre du projet de l’ARUC - Défis des communautés côtières, le lancement du livre, intitulé « Les zones côtières et le changement climatique : le défi de la gestion intégrée », sous la direction d’Omer Chouinard, du Département de sociologie et du programme de maîtrise en études de l’environnement de l’Université de Moncton, Juan Baztan,directeur de Marine Science for Society, et Jean-Paul Vanderlinden, professeur en économie de l’environnement à l’Université Versailles Saint-Quentin en Yvelines, a eu lieu au campus de Moncton en présence d’une trentaine de personnes.

L’approche de la gestion intégrée des zones côtières est apparue en opposition à l’approche unisectorielle de la gestion des ressources afin de pallier aux nombreux stress posés sur les écosystèmes par les activités humaines. Plus de 700 projets de gestion côtière intégrée ont eu lieu aujourd’hui dans différents pays du monde. Malgré cela, la dégradation des milieux côtiers n’a pas été freinée. Elle se poursuit même à un rythme alarmant. Il y a donc urgence de trouver des approches de gestion qui proposent des solutions viables.

Des professeurs des trois campus de l’Université de Moncton participent à cet ARUC.

Les personnes intéressées peuvent se procurer cet ouvrage à la Librairie acadienne du campus de Moncton.

Un lancement est prévu au campus de Shippagan à une date qui reste à déterminer.
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Valois Robichaud
Valois Robichaud participera à un projet de coopération avec la France
Valois Robichaud, professeur en éducation au campus de Shippagan, a reçu une invitation pour participer à un projet de coopération avec la France en tant que thérapeute en relation d’aide rogérien (ANDC) auprès de l’équipe de Patrick Kauffmann, cofondateur du Person-Centered Approach Institute en France. M. Robichaud sera responsable d’accompagner un groupe de personnes professionnelles en formation « résidentielle » à Grenoble.

Une fois sur place, le professeur Robichaud prononcera une conférence lors du 23e Congrès national de l’association Jusqu’à la mort, accompagner la vie (JALMALV) à Marseille.

La thématique de ce congrès est « Chercher l’être au cœur de l’autre ». La conférence du professeur Robichaud sera inspirée de son tout dernier ouvrage, « La peur de vieillir, un pas vers l’euthanasie ».
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Rosemarie Lévesque-Arsenault, Marie-Pier Laforge, Jenna LeBlanc, Émilie Bérubé, Myriam Thériault, Julie Melanson, Sr Auréa Cormier, professeure émérite; Pascal Audet, professeur agrégé; Annie-Pier Désaulniers, Mélanie Richard et Ariane Losier.
Les coûts humains et financiers de la pauvreté
L’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales de l’Université de Moncton a organisé une conférence portant sur les coûts humains et financiers de la pauvreté, en compagnie de Sr Auréa Cormier, professeure émérite de l’Université de Moncton et cofondatrice de l’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales. Sr Cormier a présenté les causes de la pauvreté et ses conséquences sur la vie et les finances des gens qui en souffrent et sur la société. Rappelons que Sr Cormier travaille depuis de nombreuses années au sein du Front commun pour la justice sociale, à la lutte contre la pauvreté et l’insécurité alimentaire que vivent beaucoup de gens démunis au Nouveau-Brunswick.
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Des rendements supérieurs à l’indice pour le portefeuille de placements étudiants Louisbourg
La saine gestion des étudiants de la Faculté d’administration a permis au portefeuille de placements étudiants Louisbourg d’afficher un rendement supérieur à l’indice phare de la Bourse de Toronto (S&P TSX Composite), et ce pour toutes les périodes de références.

En effet, depuis sa création en novembre 2009, le fonds a réalisé un rendement annualisé de 8,64 pour cent, ce qui se compare avantageusement au rendement de l’indice de 6,34 pour cent. Il s’agit d’une valeur ajoutée de 2,29 pour cent. Le portefeuille a aussi bien performé au cours de la dernière année en affichant un rendement de 1,89 pour cent pour la période de 12 mois se terminant le 31 octobre 2011. Pendant cette même période l’indice S&P TSX Composite reculait de 0,83 pour cent. La valeur ajoutée par les étudiants est donc de 2,72 pour cent. Les étudiants en finance de la Faculté d’administration ont réalisé ces rendements en utilisant une méthodologie rigoureuse de sélection de titres basée sur l’approche «Top-Down». Selon cette stratégie, sous la supervision de leurs professeurs Sébastien Deschênes CFA et François Boudreau CFA, ils doivent successivement analyser l’économie, le secteur dont ils ont la charge, les entreprises qui composent ces secteurs et les états financiers des entreprises retenues pour enfin être en mesure d’appliquer des modèles d’évaluation d’actions.

La valeur ajoutée a été réalisée en partie grâce à une lecture juste de l’économie qui est passée d’un vent d’optimisme en début d’année à un état de crise suite à l’imbroglio concernant l’adoption du budget américain et à la situation actuelle concernant l’endettement de certains pays européens. C’est ainsi que les étudiants ont à l’automne 2010 pris une position importante dans First Quantum Mineral (FM) une entreprise productrice de cuivre. Cet investissement a été profitable étant donné que le cuivre est l’un des métaux les plus sensibles au cycle économique. Quand le vent a tourné au printemps, la moitié de l’investissement dans FM a été vendue avant que le titre se déprécie. Outre la vente d’actions de FM, la bonne performance relative des six derniers mois s’explique par les positions défensives dans l’alimentation avec Métro et les communications avec BCE. De plus, le portefeuille a bénéficié de l’appréciation de l’action Valeant pharmaceuticals (VRX) suite au regroupement avec Biovail.

Le portefeuille étudiant Louisbourg est né d’un partenariat entre Placements Louisbourg et la Faculté d’administration de l’Université de Moncton. En novembre 2009, Louisbourg a confié aux étudiants en finance une somme de 100 000 $ à investir. Ces étudiants peuvent ainsi mettre en pratique leurs connaissances théoriques acquises pendant leur formation universitaire. Après maintenant pratiquement deux ans de gestion consciencieuse dans un contexte de marchés financiers difficiles, les étudiants ont réussi à faire fructifier cette somme de belle façon. Le fonds a maintenant une valeur de 117 431 $.

La salle des marchés de la Faculté d’administration procure les outils les plus modernes aux étudiants pour obtenir l’information financière leur permettant de gérer de façon diligente les sommes qui leurs sont confiées. Ce projet vise dans l’ensemble à préparer les étudiants à écrire les examens professionnels pour devenir un analyste financier certifié (CFA) et ainsi devenir des gestionnaires de portefeuilles. Les personnes intéressées à suivre l’évolution du fonds de placements étudiants peuvent le faire à http://www.umoncton.ca/umcm-administration/node/55.

Renseignements : Sébastien Deschênes, au 858-4230 / http://www.umoncton.ca/umcm-administration/node/55
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La photo nous fait voir l'artiste Izra L offrant un spectacle devant la reine Elizabeth II pendant la Fête du Canada à Ottawa.
Spectacle sensationnel avant les Fêtes en compagnie d’Izra L
Izra L, un jeune artiste musicien d'origine tchadienne, présentera un Spectacle sensationnel avant les fêtes, le lundi 19 décembre de 20 heures à 23 heures au Manhattan, au 125, rue Westmorland à Moncton.

Benjamin du groupe H'Sao, Izra L habite actuellement à Montréal. Il est multi-instrumentiste et constitue l'une des forces de ce groupe qui fait parler de lui partout dans le monde. S’il y avait une seule voix, unique, profonde et sincère qui vienne du désert, portée par le vent jusqu’aux terres froides, ce serait la sienne. Et si cette voix chante des mots sortis tout droit du coeur, c’est de ses mains qu’il joue les mélodies de ses tripes… Ses mains qui glissent sur le piano, les mêmes qui grattent les cordes de sa guitare, qui tapotent l’accordéon, qui se promènent sur le dos des percussions et de tout autre instrument qu'il juge susceptible de donner un beau son.

Excellent danseur et auteur-compositeur, Izra L est un chanteur qui a l’art dans l’âme. Il a baigné dans la musique étant tout petit. À six ans déjà, on l'appelait une bête de scène et à neuf ans, il intègre le groupe de ses grands frères H’Sao, dans lequel il acquiert beaucoup d'expérience pendant les multiples tournées à travers le monde ( Australie, Japon, Hong Kong, Afrique du sud France, Suisse , Belgique, Roumanie, États-Unis, Haïti, Hollande, Nouvelle-Zélande etc...).

Enrichi de ces nombreuses expériences, Izra L se lance désormais dans une carrière pop en solo. Tout en conservant ses influences africaines, il laisse la place à beaucoup d’autres styles musicaux tels que la soul, le rnb, le jazz et bien d'autres...
Le coût du billet est de 12 $ et de 15 $ à l’entrée.

Renseignements : Ramadan Lona : 988-2400; Zakaria Taha : 871-1188; Abdoulaye Diallo : 229-2538.
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Concert de Noël en compagnie du Chœur des Aboiteaux et des Voix de l’Acadie
Le Chœur des Aboiteaux, une chorale mixte d’une soixantaine de voix sous la direction de Paula Hébert, professeure à l’Université de Moncton, se joint aux Voix de l’Acadie, un chœur mixte d’une quarantaine de voix, pour présenter un grand concert de Noël qui aura lieu le dimanche 4 décembre à 15 heures en l’église Saint John’s United, située au coin des rues Alma et Victoria à Moncton. Les Voix de l’Acadie est une chorale d’Halifax, sous la direction d’André Mallet.

Les deux chœurs interpréteront chacun une partie de leur répertoire de chants de Noël et uniront leurs voix pour des prestations imposantes de Joy to the World, Belehemu, Le Cantique, de Jean Racine, et Dormi Jesu, de John Rutter, ainsi que quelques chants traditionnels. Un chant réunira les voix féminines des deux chœurs et un autre les voix masculines des deux chœurs. Certaines pièces seront accompagnées au piano par Louisette Godbout, et par un trio de percussionnistes.

Les billets sont en vente, 10 $ auprès des choristes, 12 $ à l’entrée le jour du concert, et sans frais pour les enfants de 10 ans et moins.

Le même concert sera présenté à Halifax le 27 novembre à 15 heures en l’église St. Patrick.

Renseignements : 859-0402.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9769
« Cul de sac », un monologue interprété par le finissant Ludger Beaulieu
Du 2 au 6 décembre à 20 heures au studio-théâtre La Grange, le Département d’art dramatique présente « Cul de sac », de l’auteur Daniel McIvor dans une traduction de Fanny Britt, un monologue interprété par le finissant Ludger Beaulieu.

Créé en 2004, cette pièce pour un seul acteur met en scène huit personnages qui poussent les ressources du comédien à leur maximum. Leonard, le protagoniste de « Cul de sac », croit que nous avons tous une histoire mais qu’il faut plus longtemps à certaines personnes pour raconter la leur. Mais l’histoire de Leonard se transforme en quelque chose de totalement imprévu puisque la pièce raconte sa relation avec plusieurs personnages quelques moments avant sa mort.

Ludger Beaulieu se métamorphose pour interpréter des personnages aussi différents qu’une jeune fille de 12 ans et son père avocat ou deux amateurs de Gilbert and Sullivan ou un vétérinaire à la retraite. C’est un exploit et un défi à ne pas manquer car chaque personnage se retrouve ici avec sa personnalité propre et son identité excentrique. Ces sept personnages, huit en incluant Leonard le personnage central, habitent un cul de sac - d’où le titre - dans un espace urbain. Ces voisins, dans ces récits allant de calme à blasé, proposent un commentaire inquiétant sur l’indifférence qui existe dans une petite communauté. On ne saura jamais si la vie de Leonard a eu une influence sur ses voisins mais il est difficile de rester indifférent à cette pièce d’un auteur dont la renommée s’étend de la scène nationale à l’internationale.

Daniel McIvor est né à Sydney, au Cap-Breton, et a étudié à Dalhousie University avant de se diriger à Toronto où il a fondé la compagnie da dakamera. Il est aussi l’auteur de scénarios de films tournés pour la plupart dans sa province natale de la Nouvelle-Écosse mais il est surtout reconnu pour ses spectacles en solo dont « Cul de sac » qu’il écrit et interprète. Au cours de sa carrière, il a reçu plusieurs récompenses dont le prestigieux prix Simonovitch qui récompense une carrière en théâtre, toutes catégories, techniques et langues confondues.

Dirigée par la professeure Marcia Babineau, « Cul de sac » et son auteur Daniel McIvor s’inscrivent dans l’intérêt qu’elle porte aux auteurs canadiens et à leur mélange d’humour et de vérité.

Les billets, 5 $ pour les étudiants et 10 $ pour le grand public, sont en vente à la Librairie acadienne du campus de Moncton ou au guichet du théâtre avant les représentations.

Renseignements : Sonya Doucet, au 858-4404.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Christian Crête, gestionnaire de portefeuille à la Société de gestion des placements du Nouveau-Brunswick; Luc Gaudet, vice-président et directeur général, chez Placements Louisbourg; Tania Morris, professeure de fiance et responsable par intérim de la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de la Faculté d’administration; Mathieu Roy, vice-président, gestionnaire de portefeuille chez Placement Louisbourg; et Daniel Goguen, vice-président des marchés privés à la Société de gestion des placements du Nouveau-Brunwick.
Le pouls des marchés financiers selon quatre experts en gestion de portefeuille
La table ronde, intitulée « Le pouls des marchés financiers » et organisée par la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière, a été une belle réussite.

Animée par quatre experts en gestion de portefeuille, elle a regroupé plus d’une quarantaine de participantes et de participants.

Lors de son intervention, Christian Crête, gestionnaire de portefeuille à la Société de gestion des placements du Nouveau-Brunswick, a expliqué que la confiance des investisseurs a un impact important sur la performance des marchés financiers. Pour sa part, Luc Gaudet, vice-président et directeur général de Placements Louisbourg, a indiqué qu’il ne s’attend pas à une forte performance du marché obligataire au cours des prochaines années. Par la suite, Mathieu Roy, vice-président, gestionnaire de portefeuille chez Placement Louisbourg, a rappelé que la performance du marché boursier canadien est fortement influencée par le prix et la demande des ressources canadiennes. Enfin, Daniel Goguen, vice-président des marchés privés à la Société de gestion des placements du Nouveau-Brunswick, a indiqué comment accéder aux investissements privés et ce, même pour le petit investisseur.
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André Lapointe et Alex Caroll
L’exposition de photographies et d’installations « De natura » est en montre jusqu’au 30 novembre
L'exposition « De natura », proposée par André Lapointe, directeur du Département des arts visuels de l’Université de Moncton, et Alex Caroll, d’origine française qui vit et travaille au Canada depuis 2009, est en montre jusqu’au 30 novembre à la Galerie 12 du Centre culturel Aberdeen de Moncton.

Cette exposition de photographies et d’installations réunit deux artistes pour qui la nature est un monde chargé de signes et d’empreintes de vie, et dont il convient de souligner la pureté, la grâce formelle. Un hommage particulier cependant puisque le geste consiste ici à recomposer ou à transformer des paysages et des éléments naturels. Esthétique humaine ou naturelle ? Le dialogue est ouvert.

Un catalogue réunit des textes d’André Lapointe, Alex Caroll, Sébastien Émard, Gabriel Robichaud, Marilyn Ruescas et Jean-Marc Dugas.

André Lapointe, originaire de Gaspésie, s’intéresse aux phénomènes naturels des côtes de l'Atlantique. Procédant principalement par la technique de la taille directe et du modelage, incorporant également aux paysages des matériaux trouvés sur les lieux mêmes, il sculpte le végétal et le minéral pour y inscrire le temps. Sculpteur émérite et fortement engagé dans le monde institutionnel, il est l’une des personnalités marquantes du milieu des arts visuels de l’est canadien.

Marquée par ses voyages en Europe, influencée par l’esthétique baroque (Bill Viola, David Lynch) et l’art allemand du 20e siècle, Alex Caroll explore la notion de traces et de transformation des symboles.
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La photo nous fait voir, de gauche à droite, Mourad Ali-Khodja, directeur du GRICC et du Département de sociologie; Leyla Sall, professeur au Département de sociologie; Christophe Traisnel, professeur au Département de science politique; Marie-Noëlle Ryan, professeure au Département de philosophie; Jean-François Thibault, professeur au Département de science politique et vice-doyen de la Faculté des arts et des sciences sociales; et Katharina McEvoy, étudiante finissante en information-communication.
Des révoltes des peuples arabes au mouvement social mondial
Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de la Faculté des arts et des sciences sociales a repris la formule des ateliers-débats qui consiste à s’interroger à chaud sur des questions d’actualité et aux dimensions interculturelles qu’elles recouvrent.

Le GRICC a proposé une table ronde ayant comme thème « Des révoltes des peuples arabes au mouvement social mondial » au campus de Moncton et le prétexte à ce premier atelier-débat était fourni par les mobilisations populaires actuelles. De la révolte du peuple tunisien à l’occupation de la Place Tahrir en Égypte, à celle de la Puerta Del Sol des Indignados en Espagne au mouvement « Occupy Wall Street », il y avait lieu de s’interroger sur leur portée et leur signification, tant du point de vue socioéconomique, politique qu’interculturel et ce, sans pour autant confondre ou assimiler ces mouvements de revendications qui atteignent aujourd’hui plus de 80 pays.

Animée par Jean François Thibault, professeur au Département de science politique et vice-doyen de la Faculté des arts et des sciences sociales, cette table ronde regroupait aussi Katharina McEvoy, étudiante finissante en information-communication et l’une des organisatrices du mouvement « Occupons Moncton »; Marie-Noëlle Ryan, professeure au Département de philosophie et des sciences religieuses; Leyla Sall, professeur au Département de sociologie; et Christophe Traisnel, professeur au Département de science politique.
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Une soirée-bénéfice toute en humour avec Philippe Laprise
Dans le cadre d’une collecte de fonds destinée à l’Arbre de l’espoir, le Service des loisirs socioculturels et l’Association des étudiantes et étudiants des sciences de l’éducation présentent l’humoriste Philippe Laprise, le dimanche 27 novembre à 19 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Dans la tradition du stand-up à l’américaine, le spectacle est à l’image du jovial et loufoque personnage. Ses 15 ans d’improvisation lui confèrent une assurance peu commune sur scène avec un synchronisme et une façon particulièrement ludique de provoquer les gens. Avec le public, Philippe Laprise fait mouche et, sans parfois même ouvrir la bouche, il le fait crouler de rire.

Son premier spectacle solo, « Je peux maintenant mourir », est encensé par la critique. Il est présentement en tournée partout au Québec où on ajoute des supplémentaires à de multiples endroits. Il fait un rare détour au Nouveau-Brunswick le temps d’un spectacle.

Tous les profits du spectacle seront remis à l’Arbre de l’espoir.

Les billets sont en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton. Les personnes intéressées peuvent aussi les obtenir par téléphone au 858-4554 ou 1-800-363-8336.

Renseignements : 863-2008 / ems8117@umoncton.ca
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Dans la photo, Jocelyn Jean, à droite, est accompagné d’André Lapointe, directeur du Département des arts visuels.
L’artiste Jocelyn Jean prononce une conférence portant sur la peinture
L’artiste québéco-acadien Jocelyn Jean, qui vit et travaille à Montréal et à Grande-Anse, a prononcé une conférence publique portant sur la peinture dans la salle Neil-Michaud de l’édifice des beaux-arts au campus de Moncton.

M. Jean est diplômé en design de l’Université du Québec à Montréal (1972) et possède le baccalauréat ès arts de l’Université de Moncton (1970). Depuis 1988, il est professeur à l’École des arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal.

Artiste en arts visuels, il expose régulièrement depuis 1975, que ce soit des expositions individuelles ou une participation fréquente à des expositions collectives. Il est représenté par la Galerie Graff de Montréal. Ses oeuvres font partie de plusieurs collections publiques et privées partout au Canada, dont celles du Musée d’art contemporain de Montréal, du Musée national des beaux-arts du Québec, du Musée d’art de Joliette, de la Banque d’oeuvres d’art du Canada, du Prêt d’oeuvres d’art du Musée national des beaux-arts du Québec, de la Banque d’oeuvres d’art du Nouveau-Brunswick, de l’Université de Moncton et de l’Université du Québec à Montréal.

La venue de l’artiste-peintre a été rendue possible grâce à une collaboration entre le Département des arts visuels et de la Faculté des arts et des sciences sociales de l’U de M et de Patrimoine Canada.

Renseignements : André Lapointe, au 858-4375.
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La photo, prise lors de la présentation, nous fait voir, de gauche à droite, Jocelyn Jean, membre du conseil d’administration et conférencier; Kathryn McCarroll, directrice, et Louie Surette, trésorier, tous deux de la Fondation Sheila Hugh Mackay; Nisk Imbeault et Herménégilde Chiasson, membres du comité du projet de publication « Histoire de l’art acadien ».
Un projet de publication de l’histoire de l’art acadien
Grâce au Fonds pour projets spéciaux de la Fondation Sheila Hugh Mackay, un chèque de 9 000 $ a été remis au comité en guise de soutien à la phase de recherche d’un projet de publication de l’histoire de l’art acadien. Ce comité est composé d’Herménégilde Chiasson, Mario Doucette, Nisk Imbeault, directrice-conservatrice de la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen de l’Université de Moncton, ainsi qu’Isabelle McKee-Allain et Maurice Basque, de l’Institut d’études acadiennes de l’U de M.
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Radio Radio présente « Belmundo Régal » pour une dernière fois au Café Osmose
Radio Radio terminera sa tournée « Belmundo Régal » en décembre mais avant, le groupe hip-hop acadien fera un dernier arrêt à Moncton dans le cadre du Coup de cœur francophone, le samedi 26 novembre à 20 heures au Café Osmose du campus de Moncton.

Le groupe termine sa tournée avant de se lancer dans la production de son prochain album dont la sortie est prévue pour 2012.

Pour l’occasion, les artistes acadiennes Julie Aubé et Vivianne Roy feront la première partie du spectacle. Après des prestations remarquées à la 15e FrancoFête en Acadie, les deux anciennes lauréates du concours Accros de la chanson présenteront sur scène leur univers éclectique.

Depuis son dernier passage à Moncton en août dernier, le trio a fait beaucoup de chemin. Nommé au Gala de l’ADISQ pour les Félix de Groupe de l’année et Metteur en scène de l’année, il a aussi participé au numéro d’ouverture du Gala diffusé sur les ondes de Radio-Canada. L’un de ses derniers projets a été de lancer son tout dernier vidéoclip pour la chanson « Cargué dans ma chaise ».

Les billets sont présentement en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton, 10 $ pour les étudiants et 15 $ pour les autres, frais de service en sus. Les personnes intéressées peuvent aussi les obtenir par téléphone au 858-4554 ou au 1-800-363-8336.

Renseignements : 863-2008 / ems8117@umoncton.ca
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Emili Bellefleur, une diplômée de l’U de M qui fait sa marque
Emili Bellefleur, diplômée en récréologie de l’Université de Moncton, travaille comme directrice du marketing et des communications du Festival du voyageur de Winnipeg, une grande fête de dix jours célébrant la musique, la neige et la culture.

Originaire d’Edmundston, Emili s’intéresse depuis longtemps au domaine des communications et à celui de la récréologie. À sa sortie du secondaire en 2001, elle songe d’abord à s’inscrire au programme d’information-communication mais après réflexion, elle opte pour le baccalauréat en récréologie.

« J’allais m’inscrire en information-communication mais je me suis rendue compte que c’est dans le domaine de l’événementiel que je voulais me ranger. Le hasard a fait que je suis aujourd’hui à la jonction des deux disciplines ».

À la fin de ses études, Emili entreprend sa carrière comme directrice générale de l’Association des travailleurs et des travailleuses en loisir du Nouveau-Brunswick. Après environ un an, elle accepte un contrat à court terme comme adjointe aux communications avec le
Festival du voyageur au Manitoba.

Depuis ses modestes débuts à Saint-Boniface en 1969, le Festival du voyageur est devenu le plus important festival francophone de l’Ouest canadien. Chaque année en février, environ 100 000 visiteurs bravent le froid légendaire de la région de Winnipeg pour rendre hommage à la joie de vivre des voyageurs, fondateurs de la colonie de la rivière Rouge et de la communauté canadienne-française.

« J’ai gravi les échelons et je suis aujourd’hui responsable du marketing et des communications de ce festival, le plus important événement hivernal de l’Ouest canadien. Comme membre de la haute gestion du festival, je participe à la planification de l’événement, je développe les stratégies de promotion, collabore avec des firmes de graphisme et transige avec les principaux médias ».

Emili Bellefleur considère que son baccalauréat en récréologie l’a bien préparée pour son emploi. « On avait l’avantage d’avoir des petites classes et j’ai adoré mes professeurs. À l’Université de Moncton, j’ai pu m’initier à des sujets tels la gestion des ressources humaines et des bénévoles, le développement communautaire, l’organisation d’événements et la gestion financière. J’applique toutes ces connaissances dans mon quotidien ».

L’intégrale de cet article paraît dans l’édition Automne 2011 du Bulletin des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton.
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Les Rendez-vous de l’ONF présentent « Les inséparables », de Daniel Léger
Les Rendez-vous de l’ONF en Acadie proposent de découvrir le tout dernier film de Daniel Léger, « Les inséparables ». Après une première mondiale à succès à l’ouverture du Festival international du cinéma francophone en Acadie à Moncton, ce deuxième film du réalisateur acadien prend la route. Il sera à l’affiche le lundi 28 novembre à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton. L’entrée est libre.

C’est un film touchant et authentique. On entre dans le monde de Jean-Paul et Anne, un couple attachant qui voit le bonheur dans leur quotidien, qui s’occupe de maintenir l’ordre et la joie dans leur foyer. C’est une belle leçon de vie pour tous.

La présentation principale sera précédée du court métrage « Citrouille et vieilles dentelles », de Juliette Loubières. Un photographe recherche « une bonne tête de papi-mamie » pour une publicité. Appareil à la main, il visite une maison de retraite. Mais rien ne se passe comme prévu car ces retraités semblent en avoir long à raconter. Ce film d’animation de marionnettes est un conte moral drôle et sincère qui nous rappelle que la vieillesse est parfois un masque qui cache les trésors de l’âme.

Les inséparables (2011, 52 minutes)
Les inséparables est un documentaire intimiste qui raconte l’histoire d’amour de Jean-Paul et Anne qui sont atteints respectivement de déficience physique et intellectuelle. Agrémentée de grandes déclarations et de petits cadeaux, de plaisanteries et de surnoms affectueux, leur relation amoureuse émeut par son intensité et transcende la différence. Ensemble, ils veillent sur les parents gravement malades de Jean-Paul. Avec un respect profond pour ceux qui se livrent à lui, le réalisateur Daniel Léger propose une inspirante leçon de bonheur. Le film est une production de Murielle Rioux-Poirier, du Studio Acadie de l’ONF.

À propos du réalisateur
Né dans le sud-est du Nouveau-Brunswick, Daniel Léger est documentariste, auteur-compositeur-interprète et globetrotter. Il remporte en 2005 le concours Tremplin de l’ONF qui lui permet de réaliser « Un dimanche à 105 ans ». Présenté par plusieurs festivals, ce premier court métrage documentaire reçoit deux prix au Festival international du cinéma francophone en Acadie (Prix pour la meilleure oeuvre acadienne, court métrage, et Prix du public) ainsi que le prix Coup de coeur du jury au festival Images en vues des Îles-de-la-Madeleine. « Un dimanche à 105 ans » reste à ce jour le film ayant été visionné le plus grand nombre de fois sur l’Espace de visionnage en ligne ONF.ca.
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La photo, prise en compagnie de France Daigle, nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; Émilie Urbain, doctorante en sciences du langage au Département d'études françaises; France Daigle, auteure; Marie-Noëlle Ryan, professeure au Département de philosophie; et Mireille Thériault, libraire; 2e rangée : Mourad Ali-Khodja, directeur du GRICC et du Département de sociologie; Raoul Boudreau, professeur retraité au Département d'études françaises; et Jean-François Thibault, professeur au Département de science politique et vice-doyen de la Faculté des arts et des sciences sociales.
Nouvelle saison des Jeudis de la Librairie en compagnie de France Daigle
Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact de la Faculté des arts et des sciences sociales (GRICC) et la Librairie acadienne proposent une nouvelle saison des Jeudis de la Librairie, cette activité qui consiste à rendre compte et à discuter d’ouvrages récents et qui présentent un intérêt local, national ou international. Cette activité se déroule de la façon suivante : une personne (ou l’auteur) présente brièvement l’ouvrage et une autre en fait un commentaire d’une durée de 15 à 20 minutes. Le premier ouvrage à être discuté cette année a été celui de France Daigle, « Pour sûr », Montréal, Boréal, 2011. Les trois autres à venir sont Tahar Ben Jelloun, « L’Étincelle. Révolte dans les pays arabes », Paris, Gallimard, 2011 (le 19 janvier); Lawrence Hill, « Aminata », traduction de l’anglais par Carole Noël, La Chine, Éditions de la Pleine lune, 2011 (le 23 février); et Achille Mbembe, « Sortir de la grande nuit. Essai sur l’Afrique décolonisée », Paris, La Découverte, 2010 (le 22 mars). Chaque Jeudi de la librairie est suivi d’une réception et tout le monde y est invité.
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Appuyons la campagne de l’Arbre de l’espoir
Chaque année, nombreux sont les membres de la communauté universitaire - étudiants et étudiantes, corps professoral et autres membres du personnel - qui souscrivent à la campagne de l’Arbre de l’espoir au profit du Centre d’oncologie Dr-Léon-Richard de l’Hôpital Dr-Georges-L.-Dumont.

Cette grande générosité se manifeste par l’organisation de collectes de fonds par des groupes étudiants ou par le personnel regroupé dans les divers services et unités académiques des trois campus.

L’Université de Moncton tient à souligner les efforts de ces nombreux groupes et s’engage à verser à la campagne un montant supplémentaire équivalent à dix pour cent de la valeur globale des dons qui seront amassés aux trois campus. Il doit cependant s’agir de dons recueillis dans le cadre d’activités organisées par des groupes de l’Université et versés directement à la campagne de l’Arbre de l’espoir.

Afin de connaître le montant global qui aura été versé à la campagne de cette année par la communauté universitaire, les personnes responsables des activités de groupe sont priées d’informer le Service des ressources humaines de leur campus respectif du montant recueilli au plus tard à 16 h 30 le jeudi 24 novembre, soit la veille du Radiothon de l’Arbre de l’espoir. L’Université pourra à son tour annoncer le montant supplémentaire qu’elle versera à la campagne.

Pour le campus de Moncton, la personne à joindre est Debbie Martin : 858-4136 / debbie.martin@umoncton.ca
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La soprano Suzie LeBlanc donne un concert à Moncton
Le Théâtre Capitol présente le concert de la soprano Suzie LeBlanc, le vendredi 25 novembre à 20 heures.

Suzie LeBlanc personnifie le vieil adage selon lequel la musique coule dans les veines des Acadiens, qu’ils sont musiciens jusqu’au bout des doigts. Après le succès de ses enregistrements « La Mer Jolie » et « Tout Passe », elle nous emmène sur les littoraux de Terre-Neuve, de la Bretagne, du Japon et de son Acadie natale. Accompagnée par David Greenberg au violon et Nick Halley à la percussion et aux claviers, elle réserve à son public une soirée de musique éclectique agrémentée d’un brin de folie.

D’origine acadienne, Suzie LeBlanc fait une carrière internationale grâce à un répertoire baroque et classique, explorant et enregistrant une quantité importante de musiques inédites. Sa soif de nouveaux horizons la mène maintenant vers la mélodie française et le lied, la musique traditionnelle, contemporaine et l’art de l’improvisation avec Helmut Lipsky et Mélosphère. Sa contribution à la culture acadienne avec ses albums, son documentaire « Suzie LeBlanc : A Musical Quest », dirigé par Donald Winkler, et ses prestations de musique ancienne lui ont valu des doctorats honorifiques du King’s College University d’Halifax, Mount Allison University et de l’Université de Moncton.

Son enregistrement d’œuvres d’Olivier Messiaen, « Chants de terre et de ciel » lui a valu le Prix Opus 2009 dans la catégorie Disque de l’année : musique contemporaine. L’album « Tempi con Variazioni », qu’elle a enregistré avec Mélosphère et Helmut Lipsky, a reçu le prix Opus 2010 dans la catégorie Musique du monde.

En concert et à l’opéra, elle s’est produite avec de nombreux ensembles de musique ancienne sur des scènes telles que le Concertgebouw, le Wigmore Hall et le Konzerthaus de Vienne, au Nederlandse Opera, au Festival de Beaune, à l’Opéra de Montréal, au Boston Early Music Festival et au Early Music Vancouver.

Les billets sont en vente dans le réseau de billetterie de Moncton, 18,50 $ et 22,50 $ plus les frais applicables. On peut également se les procurer en téléphonant à la billetterie au 856-4379 ou 1-800-567-1922, ou encore en ligne au www.capitol.nb.ca.

Renseignements : 383-6711 / communications@capitol.nb.ca
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La bibliothèque du campus de Shippagan fait un don de 3 300 livres à l’organisme Cultures à partager
Au cours des derniers mois, la bibliothèque du campus de Shippagan a retiré plusieurs ouvrages de ses collections qui ne répondaient plus aux besoins actuels de ses usagers.

Toutefois, cela ne signifie pas qu’ils soient tous désuets pour autant. Une deuxième vie leur sera donc offerte puisque plus de 3 300 volumes ont été offerts à l’organisme Cultures à partager.

Cultures à partager est un organisme sans but lucratif qui a vu le jour en 1998. Plus d’un million de livres y sont traités annuellement. Ceux reçus par l’organisme sont principalement expédiés à l’étranger dans les pays émergents de la Francophonie. Certains ouvrages sont redistribués au sein du réseau communautaire québécois, vendus à prix modiques ou recyclés s’ils sont désuets.
Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.

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Lancement du quatrième essai de l’auteure Anne Decerf
Le Laboratoire de recherche en éthique dans les organisations (LARÉO) et la Librairie acadienne vous invitent à assister à une conférence de l’auteure Anne Decerf, docteure en psychologie et chercheuse associée au LARÉO, à l’occasion du lancement de son quatrième essai, intitulé « Du rituel autistique à la construction du désir : une nouvelle approche de la vie affective », le jeudi 1er décembre à 16 h 30 dans la salle Richelieu du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.

Une réflexion psychologique novatrice… qui nous fait découvrir que tous les petits humains commencent par être des bébés autistes et que l’entrée en relation est une véritable construction psychique.

Cette réflexion nous fait aussi découvrir une nouvelle approche thérapeutique de l’autisme qui, tout en étant psychodynamique, réussit le pari de se passer du concept de l’Inconscient freudien.

Un vin et fromage sera offert.

Renseignements : 858-4193 ou 858-4140.
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Alexandre Poulin et Patrice Michaud seront en spectacle au Café Osmose
Dans le cadre du Coup de coeur francophone, Alexandre Poulin et Patrice Michaud seront réunis le temps d’un spectacle, le jeudi 1er décembre à 20 heures au Café Osmose du campus de Moncton.

On dit d’Alexandre Poulin qu’il est un conteur de chansons et un chanteur d’histoires et c’est en spectacle que cette expression prend tout son sens. Cet auteur-compositeur-interprète aime être sur scène pour conter, pour se raconter et ainsi permettre aux spectateurs de découvrir l’histoire derrière la chanson, mais aussi le gars derrière le chanteur. Un spectacle d’Alexandre Poulin, c’est un spectacle de musique, d’histoire, d’humour et de poésie. Alexandre est un habitué de la scène du Café Osmose où il présente toujours son spectacle à guichet fermé.

Nouveau venu sur la scène musicale, le chansonneur-conteur gaspésien originaire de Cap-Chat a le vent dans les voiles. Depuis ses débuts, les récompenses ne font que s’accumuler pour Patrice Michaud : Festival en chanson de Petite Vallée, Festival international de la chanson de Granby, Prix au Roseq et prix André «Dédé» Fortin remis par la SPACQ pour n’en nommer que quelques-uns. Patrice s'allie à Michel Faubert à la mise en scène pour présenter un spectacle intimiste où la chanson, le conte et l'humour s'entrecroisent au fil des histoires que nous trimbalons tous, au fond de nous. Paru au printemps dernier, son premier album encensé par la critique a été réalisé par David Brunet (Coeur de pirate, Daniel Boucher).

Les billets, 10 $ pour les étudiants et 15 $ pour les autres, sont en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton. Les intéressés peuvent aussi les obtenir par téléphone au 858-4554 ou au 1-800-363-8336.

Renseignements : 863-2008 / ems8117@umoncton.ca
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L’Université de Moncton fait appel de la suspension imposée à Chris Van Laren
Le Service de l’activité physique et sportive de l’Université de Moncton a décidé d’en appeler de la durée de la sanction imposée au joueur des Tommies de St. Thomas University, Chris Van Laren, à la suite de sa mise en échec contre Christian Gaudet des Aigles Bleus au hockey masculin lors d’un match de Sport universitaire de l’Atlantique qui a eu lieu le 5 novembre à l’aréna J.-Louis-Lévesque.

Le SUA a infligé une suspension additionnelle à Van Laren qui ne pourra jouer avant le vendredi 6 janvier 2012. Il ratera six matches de la saison ordinaire et possiblement une ou plusieurs rencontres hors-concours de son équipe pendant le temps des Fêtes.

« C’est la première fois que nous voyons une suspension basée sur une date et non sur un nombre total de parties, mentionne le directeur de l’activité physique et sportive, Marc Boudreau. Le fait que le joueur fautif ne peut jouer lors des matches hors-concours nous indique que la suspension de six parties ordinaires n’est donc pas suffisante. Le règlement indique qu’une suspension obtenue lors d’une partie du calendrier ordinaire doit être servie lors de matches de la saison ordinaire et non lors de parties hors-concours. Le président du sport peut décider d’ajouter des rencontres hors-concours à sa décision, ce qu’il a fait dans cette situation. »

Le Service se base sur le fait que Sport universitaire de l’Atlantique a décidé à sa rencontre de mai dernier de sévir davantage contre les coups à la tête. Le SUA regroupe des étudiants-étudiantes/athlètes dont les études sont leur première responsabilité. Ils et elles peuvent manquer des cours lorsqu'ils subissent une commotion cérébrale, ce qui peut influencer ou même entraver leur année académique.

Sans vouloir définir un minimum de parties, le Service souligne que ce cas pourrait servir de précédent dans l’avenir et qu’il est important de bien établir les sanctions.

« Je crois que le SUA se doit de faire preuve de leadership dans cette affaire de blessure intentionnelle à la tête et d’imposer une sanction appropriée pour décourager ce genre d’incident dans l’avenir, ajoute M. Boudreau. Notre appel aidera à établir les règles dans d'autres cas éventuels. »

Renseignements : Marc Boudreau, directeur de l’activité physique et sportive, au 858-3773.
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Véronique Carroll et Dean Ouellet sont les athlètes de la semaine
Le Service de l’activité physique et sportive a choisi la volleyeuse Véronique Carroll, de Moncton, et le hockeyeur Dean Ouellet, d’Edmundston, comme athlètes Antonio’s Pizza de la semaine pour la période du 14 au 20 novembre à l’Université de Moncton.

Carroll a connu toute une partie dans une victoire serrée de 3 à 2 des Aigles Bleues dimanche aux dépens des Axewomen d’Acadia University. Elle a récolté cinq services aces, 11 digs et deux blocs comme passeuse. Cette victoire a permis aux Aigles de se hisser au sixième rang du classement. Elle est étudiante en kinésiologie.

Vendredi, Dean Ouellet a récolté deux mentions d’assistance dans la victoire des Aigles Bleus face aux Tommies de St. Thomas University. Il a été un joueur clé malgré une défaite de 2 à 1 des Aigles dimanche contre les Varsity Reds de University of New Brunswick. Il est étudiant en administration.
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Projection additionnelle du film Monsieur Lazhar
Dû au succès des ventes du film de Philippe Falardeau, « Monsieur Lazhar », le Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA) a décidé d’ajouter une projection supplémentaire, le vendredi 25 novembre à 17 heures dans l’amphithéâtre 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.

À Montréal, une enseignante du primaire meurt subitement. Apprenant la nouvelle dans le journal, Bachir Lazhar, un Algérien de 55 ans, frappe à la porte de l'école pour offrir ses services à titre de remplaçant. Rapidement embauché pour combler le vide laissé par la disparue, l'immigrant fait son entrée sur le marché du travail québécois dans un établissement en situation de crise alors qu'il nage lui-même en pleine tragédie personnelle. Dès son arrivée, le fossé culturel entre Bachir et sa classe se dessine alors qu'il propose aux enfants une dictée hors de leur portée, tirée d'Honoré de Balzac.

Peu à peu, Bachir apprend à mieux connaître un groupe d'écoliers aussi ébranlés qu'attachants. Parmi ceux-ci, Alice et Simon, deux élèves charismatiques témoins d'un incident tabou, se révèlent particulièrement atteints par le décès de leur professeur. Pendant que la classe amorce un processus de guérison, personne à l'école ne soupçonne le passé douloureux de Bachir qui risque l'expulsion du pays à tout moment.

Cette excellente comédie dramatique a reçu de nombreux prix au cours des derniers mois dont le Prix du public et le Prix Variety au Festival du film de Locarno, le Prix du public et le Prix spécial du jury au Festival international du film francophone de Namur, ainsi que le Meilleur film canadien au Festival international du film de Toronto.

« Monsieur Lazhar » sera le film représentant le Canada dans la course aux Oscars.

Les billets sont présentement en vente dans toutes les billetteries du festival (Spin-it Video, Librairie acadienne, Cinéma Empire 8 Trinity et pavillon Jacqueline-Bouchard).

Renseignements : communications@ficfa.com / 229-2887.
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Rencontre avec le cinéaste Julien Cadieux
Dans le cadre du cours LITT2900 - Théorie et histoire du cinéma, du professeur Claude Guiguet, il y aura une rencontre avec le cinéaste Julien Cadieux, le mardi 29 novembre de 18 heures à 21 heures dans la salle 214 de l’édifice des arts au campus de Moncton.

Il y aura présentation des quatre films réalisés à ce jour par le jeune cinéaste :

Poussière Bleue, 2009, 9 minutes
La destruction d'une maison ... Des moments de vie qui deviennent des souvenirs ... Entre documentaire et poème.

Habiter la Danse, 2009, 25 minutes
Portrait documentaire de la danseuse et chorégraphe Sylvie Mazerolle. Produit par l'ONF dans le cadre du concours Tremplin Acadie.

Le Vieux Garçon, 2010, 13 minutes
À la mort de sa mère, un homme se retrouve confronté à son propre vide ... Fiction.

Récits d'hyperinflation, 2011, 11 minutes
Quatre scènes pour montrer les difficultés à survivre (ou pas ...) par temps d'hyperinflation ... coréalisé par Karim B. Haroun.

Julien Cadieux évoquera son parcours et sa formation, présentera des extraits de films qu'il aime et répondra aux questions des étudiants et du public.

Bienvenue à ce cours exceptionnellement ouvert à tous et à toutes.

Renseignements : 858-4475 / claude.guiguet@umoncton.ca
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9799
Présentation de l’Opéra Carmen au pavillon Jeanne-de-Valois
Dans le cadre de la tournée des Concerts Desjardins 2011-2012, les Jeunesses musicales de Dieppe présentent l’Opéra Carmen, de Bizet, le mardi 29 novembre à 20 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

Même celui qui ne connaît rien à l’opéra a au moins entendu parler de Carmen. On considère Carmen comme un opéra parfait et pour plusieurs raisons. Ici, rien n’est superflu, chaque numéro, chaque moment est essentiel, significatif, important et parfaitement intégré.
Tchaïkovsky déclara qu’il s’agissait « d’un chef-d’œuvre dans tous les sens du terme », prédisant avec clairvoyance qu’il deviendrait l’opéra le plus populaire au monde. En 1904 à Paris où il avait été créé 29 ans plus tôt, il avait déjà fait l’objet d’un millier de représentations et en 1938, année du centième anniversaire de naissance de Bizet, on avait atteint le cap des 2 000 représentations.

À ce jour, Carmen a été présenté en plusieurs langues dont le serbe, le lithuanien, l’ukrainien, le bulgare, l’hébreu, le russe, le chinois et le japonais, en plus de toutes les langues couramment parlées en Europe.

Le récit dont s’est inspiré Bizet pour cet opéra a été imaginé par l’écrivain français Prosper Mérimée (1803-1870) qui avait séjourné en Espagne. Il y avait même rencontré une bohémienne du nom de Carmencita, s’était passionné pour la tauromachie et avait entendu des récits concernant les gitanes espagnoles, autant d’éléments qu’il avait intégrés à sa nouvelle, Carmen, publiée en 1845.

L’oeuvre est marquée par la violence, la passion et le désir, et met en scène des personnages au tempérament vif, sans foi ni loi. La distribution comprend Carmen, Caroline Bleau - soprano; Don José, Kijong Wi - ténor; Micaëla, Laura Albino - soprano; Escamillo, Alexander Dobson - baryton; Frasquita, Ellen Wieser - soprano; Mercédès, Rachèle Tremblay - mezzo-soprano; et au piano, Janelle Fung. Louise-Andrée Baril assure la direction musicale et Alain Gauthier la mise en scène.

L’entrée est de 30 $.

Renseignements : Martin Waltz, au 372-5386.
Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9800
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