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Vol. 42, no 12
24 novembre 2011
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Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, le Dr Aurel Schofield, directeur du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick et doyen associé de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l'Université de Sherbrooke; Martine Coulombe, ministre provinciale de l’Éducation postsecondaire, Formation et Travail; Yvon Fontaine, recteur et vice-chancelier; et Jessy Phillips, de Saint-Quentin, étudiante de troisième année en médecine. |
Cérémonie soulignant le début des travaux d’agrandissement du Centre de formation médicale Le 17 novembre, l’Université de Moncton a tenu une cérémonie soulignant le début des
travaux d’agrandissement du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick.
À cette occasion, une première pelletée de terre symbolique a été effectuée en
présence du recteur, Yvon Fontaine, et de la ministre de l’Éducation postsecondaire,
Formation et Travail du Nouveau-Brunswick, Martine Coulombe.
« L’Université de Moncton est heureuse d’accueillir à son campus des étudiants et
étudiantes francophones de l’Acadie qui peuvent poursuivre leurs études en médecine
dans leur langue et leur milieu, a souligné le recteur Fontaine. Appuyé de ses
partenaires, le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick est en pleine
croissance, dit-il. En 2006, les premiers étudiants franchissaient les portes du Centre
et déjà, de nouveaux espaces sont en construction afin de bonifier la capacité
d’enseignement. Les travaux d’agrandissement permettront d’offrir de nouveaux
laboratoires, des salles d’études, un amphithéâtre, des espaces pour la recherche et
des espaces pour l’aménagement de bureaux. »
« Ce projet contribuera à assurer l’avenir de l’excellence de l’enseignement de la
médecine en français chez nous, a affirmé la ministre Coulombe. Nous sommes engagés à
travailler avec l’Université de Moncton afin que le partenariat avec l’Université de
Sherbrooke continue de produire des résultats de haute qualité comme ceux des dernières
années. »
L’agrandissement est d’une superficie de 1 675 mètres carrés (environ 18 000 pieds
carrés) et la fin des travaux est prévue pour août 2012. La nouvelle section rattachée
au côté est de l’édifice existant sera donc fonctionnelle pour le rentrée étudiante
de septembre prochain.
Le financement de cet édifice s’élevant à 6 966 000 $ provient du ministère de
l’Éducation postsecondaire, Formation et Travail.
Situé dans le pavillon J.-Raymond-Frenette au campus de Moncton, le Centre de formation
médicale du Nouveau-Brunswick a été créé grâce à un projet innovateur entre
l’Université de Moncton, la Faculté de médecine et des sciences de la santé de
l’Université de Sherbrooke et le gouvernement du Nouveau-Brunswick. Jusqu’à 96
étudiantes et étudiants le fréquentent chaque année. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9753 | | Un nouveau réseau informatique à haute vitesse soutient la recherche et l’éducation au Nouveau-Brunswick Les partenaires du Réseau optique régional évolué (RORE) se sont réunis à
Fredericton pour présenter la dernière nouveauté du partenariat technologique, un
réseau à haute vitesse, et pour célébrer le 40e anniversaire du Réseau informatique
éducatif du Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-Prince-Édouard (RIE).
Le RORE est une mesure conjointe entre Canarie inc., le gouvernement du Nouveau-Brunswick,
les universités du Nouveau-Brunswick, le Collège de technologie forestière des
Maritimes la Commission de l’enseignement supérieur des provinces Maritimes, le Conseil
national de recherches du Canada, et ses plus récents partenaires, le New Brunswick
Community College et le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick. Ce partenariat est
conçu pour fournir à ses membres un réseau à haute vitesse permettant de maximiser
leur capacité tout en réduisant leurs coûts d’immobilisation et de fonctionnement
afin de favoriser la recherche de pointe et la collaboration à l’échelle régionale et
à l’échelle internationale.
Les partenaires ont créé un nouveau réseau de recherche reposant sur l’installation
de la fibre optique à grande échelle et de liens redondants partout au
Nouveau-Brunswick, l’amélioration de la largeur de la bande passante et l’ajout
d’équipement à la fine pointe de la technologie. Le réseau, qui peut s’adapter aux
besoins futurs, comprend un modèle de prix prévisible pour les partenaires pour les dix
prochaines années au moins, et il garantit une plateforme fiable pour dix ans encore.
Grâce à ces améliorations, la capacité du réseau sera décuplée.
« En tant que Néo-Brunswickois, nous bâtissons notre avenir grâce à la grande
créativité et à l’ingéniosité de notre main-d’oeuvre compétente. L’annonce
d’aujourd’hui permettra à l’industrie des TIC du Nouveau-Brunswick de poursuivre
son bilan de croissance et de réalisation remarquables tout en jouant un rôle critique
dans la construction de notre province et de notre pays, a déclaré le ministre de
Développement économique du Nouveau-Brunswick, Paul Robichaud. C’est un excellent
exemple de la façon dont nous pouvons améliorer les perspectives d’avenir grâce à
l’innovation et le partenariat. »
« L’existence d’un organisme ayant un mandat national comme Canarie garantit à
toutes les régions du Canada l’occasion de profiter de la puissance de la technologie
de réseau avancée, explique son président-directeur général, Jim Roche. Nous sommes
heureux de faire partie de ce réseau au Nouveau-Brunswick qui soutient la recherche et la
découverte, la réalisation de projets éducatifs originaux et l’innovation dans le
secteur privé. »
Selon la présidente directrice générale du CCNB, Liane Roy, cette initiative
avant-gardiste s’inscrit dans la philosophie et la vision du CCNB : « Nous sommes
heureux de participer au Réseau optique régional évolué du Nouveau-Brunswick,
dit-elle. Le CCNB valorise l’établissement de partenariats innovateurs qui
déboucheront sur des technologies de l’information à la fine pointe et permettront
l’intégration de plusieurs outils technopédagogiques en salle de classe. Grâce à ce
projet de collaboration, le système d’éducation postsecondaire et les communautés de
chercheurs du Nouveau-Brunswick pourront accéder efficacement et rapidement à des
réseaux hautement évolués. Le RORE vient appuyer nos moyens de mettre en œuvre une
société collégiale novatrice et entrepreneuriale. »
Les partenaires financiers du nouveau réseau sont : Canarie inc., 3 148 000 $; les
universités du Nouveau-Brunswick et le CTFM, 3 500 000 $; le NBCC et le CCNB, 3 500 000
$; le CNRC, 350 000 $; et le gouvernement du Nouveau-Brunswick, 500 000 $.
Les partenaires ont profité du lancement du réseau pour célébrer le 40e anniversaire
du RIE, qui regroupe les universités publiques du Nouveau-Brunswick et de
l’Île-du-Prince-Édouard, le CTFM, le Holland College et la CESPM. Le principal service
fourni par le RIE aux établissements membres est la connectivité entre eux. Il facilite
aussi les achats conjoints et les licences conjointes, les services de soutien partagés,
le perfectionnement professionnel, la prestation de services axés sur le réseau et
l’échange d’information.
« Le Réseau informatique éducatif du Nouveau-Brunswick et de
l’Île-du-Prince-Édouard est un exemple de coopération des plus réussies entre
provinces et entre établissements d’études postsecondaires dans le domaine des
services de technologie de l’information, a expliqué son président, Yvon Fontaine,
recteur de l’Université de Moncton. Depuis 40 ans, nous mettons efficacement à profit
nos ressources afin de réduire nos coûts, éliminer les chevauchements inutiles et
brancher nos membres sur le monde. »
« Le nouveau réseau étendra les capacités des éducateurs, élèves et étudiants,
innovateurs et chercheurs du Nouveau-Brunswick car il leur permettra de collaborer et de
participer à des projets de recherche et d’innovation tant dans la région qu’à
l’échelle nationale et internationale. Le réseau facilitera la recherche de la
prochaine génération et il aura des retombées scientifiques, économiques et
culturelles connexes dans la région. » | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9783 | | Agrandir l'imageDre Denise Donovan, médecin spécialiste en santé communautaire au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick. |
Dre Denise Donovan contribue au développement et au transfert des connaissances sur la scène internationale Le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB) adresse ses félicitations
au Dre Denise Donovan comme coauteure et pour son travail auprès d’un groupe national
d'enseignants en santé publique veillant à améliorer la compréhension des principes de
santé des populations chez les cliniciens.
« Nous sommes très heureux qu’une professeure du CFMNB puisse contribuer au
développement et au transfert des connaissances sur la scène internationale, mentionne
le professeur Aurel Schofield. Voilà un bel exemple de la force du partenariat
Acadie-Sherbrooke. »
Le groupe a mis sur pied un cybermanuel novateur à l'intention des étudiants et
étudiantes en médecine, intitulé « Notions de santé des populations de l'AFMC », qui
vient tout juste d'être publié par l'Association des facultés de médecine du Canada.
Offert à titre gracieux en ligne (www.phprimer.afmc.ca/index_fr), ce cybermanuel bilingue
est utile à toute personne oeuvrant en milieu clinique car il énonce les concepts
fondamentaux de la santé publique en faisant valoir leur pertinence pour la médecine
clinique.
C'est un objectif important étant donné qu'on reconnaît de plus en plus qu’une prise
en charge médicale de haute qualité tient compte du contexte social et du mode de vie de
chaque patient, ainsi que de l'organisation du système de soins de santé dans lequel
elle opère. Il faut gérer les risques découlant de la maladie, du mode de vie et du
contexte social du patient en vue de maîtriser ses problèmes de santé actuels et de
prévenir ceux qui pourraient survenir. Les cliniciens jouent aussi un rôle clé en
collaborant avec les acteurs du système de santé publique pour protéger les patients et
les communautés contre les problèmes de santé évitables.
Cependant, les étudiants n'arrivent généralement pas à comprendre à quel point la
santé des populations est pertinente dans leur travail auprès de patients individuels.
Ce cybermanuel a été conçu pour les éclairer à ce sujet.
Le cybermanuel est une corédaction du Dre Denise Donovan, du Centre de formation
médicale du Nouveau-Brunswick affilié à l’Université de Sherbrooke, et d'Ian
McDowell, de la Faculté de médecine de l'Université d'Ottawa. Des professeurs en
médecine et en santé publique de chacune des facultés de médecine du Canada et des
étudiants et étudiantes ont participé à l'élaboration du cybermanuel, lequel
bénéficie de l'appui de l'AFMC et de l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC).
Selon l'AFMC et l'ASPC, ce cybermanuel sera également utile à d'autres personnes
professionnelles de la santé et à des fins de perfectionnement professionnel continu. «
Les notions de santé des populations de l'AFMC touchent à des sujets qui sont pertinents
pour tous les cliniciens, indique le Dre Donovan. Nous avons donc voulu offrir le contenu
principal tout à fait gratuitement en vertu d'un permis Creative Commons pour que
d'autres groupes puissent l'adapter. »
Conçu pour favoriser les échanges en ligne, le cybermanuel est un texte évolutif qui ne
cessera de s'améliorer grâce aux réactions et à la participation des utilisateurs. Des
exemples à titre d'illustration, des vidéos et d'autres ressources du cybermanuel
pouvant servir d'outils pédagogiques seront partagés avec la cybercommunauté
d'enseignement en santé publique de la Collaboration pour l'éducation en santé au
Canada (http://chec-cesc.ca/community/public-health-education).
Pour de plus amples renseignements, écrivez à publichealth@afmc.ca. | Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9779 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir les étudiants du cours de récréologie « Loisirs et groupes spéciaux RETO2300 » et des résidents participants de ce projet. Il s’agit, de gauche à droite, en avant : Nicolas Légère; Labrador noir*, Corronaria* et Panthère noire*(* les pseudonymes choisis par chaque résident pour cet atelier); en arrière : Cloé Gallant, l’artiste peintre Mario Cyr, Glaphyra Révolus, la professeure Selma Zaiane-Ghalia, Émilie Daigle, Jessika Blaney-Reis, Jessica Haché, Élisa Savoie, Émilie Raymond et Shona Thibodeau. Absence : l’étudiante Catherine Arsenault, qui avait pris part à l’atelier du 8 novembre. |
Projet expérimental d’art-thérapie Dans le cadre d’un projet expérimental d’art-thérapie, dit projet de l’incubateur,
une séance de pratique de la peinture abstraite portant sur le thème du « pouvoir de
l’amitié » a été proposée à un groupe de la résidence de l’Aboiteau de Dieppe.
Ce projet de la peinture abstraite comme loisir thérapeutique auprès de personnes à
besoins spéciaux est réalisé par Selma Zaiane-Ghalia, professeure à l’École de
kinésiologie et de récréologie de l’Université de Moncton, et l’artiste peintre
Mario Cyr, au sein de la résidence de l’Aboiteau.
L’entreprise ArtShack et l’Institut de leadership de l’École de kinésiologie et de
récréologie sont aussi des partenaires importants dans la réussite de ce travail de
recherche. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9790 | | Agrandir l'imageDans la photo, Mme Griffiths est accompagnée, à gauche, du chancelier Louis R. Comeau et du recteur et vice-chancelier Yvon Fontaine, et, à droite, de Dominic LeBlanc, fils de Roméo LeBlanc et député fédéral de Beauséjour, et André Richard, président du Conseil des gouverneurs. |
Plus d’une centaine de personnes ont assisté au lancement de la biographie de Roméo LeBlanc La vie de Roméo LeBlanc, ancien gouverneur général du Canada et ancien chancelier de
l’Université de Moncton, fait l’objet d’un livre, intitulé « The Golden Age of
Liberalism, A portrait of Roméo LeBlanc ». Le 16 novembre, plus d’une centaine de
personnes ont assisté à son lancement au campus de Moncton en présence de son auteure,
Naomi S. Griffiths.
Historienne, Mme Griffiths a consacré sa carrière professionnelle ainsi que de
nombreuses publications à l’histoire de l’Acadie coloniale. Elle a aussi été
chercheuse associée à l’Institut canadien de recherche en politiques et administration
publiques logé au campus de Moncton qui lui a d’ailleurs rendu hommage en 2006 en
collaboration avec les Études acadiennes de l’Université de Moncton.
« Avec la publication de cet ouvrage, Mme Griffiths rend un vibrant hommage à la vie et
à la carrière prolifiques que furent celles de Roméo LeBlanc, non seulement comme
personnalité publique qui a su attirer la sympathie et le respect de tous ses
concitoyens, mais également à un ami fidèle qu’elle a côtoyé pendant de nombreuses
années, a laissé savoir le recteur Yvon Fontaine. Grâce à des recherches soutenues
dans les archives personnelles de M. LeBlanc et à la gracieuse collaboration de la
famille et de ses amis, vous proposez un ouvrage à la hauteur de l’homme qu’il
était, que ce soit dans sa carrière comme enseignant, en journalisme, secrétaire de
presse pour deux premiers ministres canadiens, député de la circonscription de
Westmorland-Kent à la Chambre des communes, ministre, sénateur et président du Sénat
canadien, et enfin gouverneur général du Canada. Vous imaginez notre grande joie
lorsqu’il a accepté de devenir chancelier de l’Université de Moncton, poste qu’il
a occupé de 2001 à 2004. »
« La publication de ce livre, dont la préface est signée par l’ancien premier
ministre Jean Chrétien, c’est une autre page de son histoire qui s’écrit avec ce
lancement », a ajouté M. Fontaine.
Le recteur a profité de l’occasion pour rendre hommage à Mme Griffiths. « L’Acadie
vous est reconnaissante pour ce travail colossal que vous faites depuis de très
nombreuses années, a-t-il dit. Au nom de nous tous, je vous en remercie. »
Roméo LeBlanc a sans aucun doute laissé son empreinte sur l’Université de Moncton.
Dans cette optique, l’Université, lors de sa dernière campagne financière Excellence,
a rattaché son nom à un don de la famille Irving pour la création de la Chaire
Roméo-LeBlanc en journalisme. De plus, le philanthrope et ami de M. LeBlanc, Richard
Carpenter, a fait un don de 100 000 $ pour la création du Fonds de bourses
Roméo-LeBlanc. Toujours en guise de reconnaissance envers cet homme exceptionnel, les
bourses d’excellence de l’Université de Moncton se nomment depuis avril dernier
Bourses d’excellence Roméo-LeBlanc, offertes dans chaque école secondaire francophone
du Canada atlantique pour les jeunes qui s’inscrivent pour la première fois en
première année à l’un de nos trois campus. L’Université offre environ 35 de ces
bourses chaque année.
Rappelons également que l’Université de Moncton l’a honoré en 1977 en lui
décernant un doctorat d’honneur en administration des affaires. En 1981, il était
nommé Ancien de l’année par l’Association des anciens, anciennes et amis de
l’Université de Moncton.
Le livre de Naomi Griffiths est en vente à la Librairie acadienne du campus de Moncton. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9764 | | Concours Tremplin : la date limite d’inscription est prolongée jusqu’au 21 décembre Le Studio Acadie de l’Office national du film du Canada (ONF) prolonge la date limite
d’inscription du concours Tremplin jusqu’au 21 décembre.
Organisé en collaboration avec la Société Radio-Canada, ce concours s’adresse aux
cinéastes émergents issus des communautés francophones en situation minoritaire au
Canada et leur permet de réaliser un court métrage documentaire dans des conditions
professionnelles. Les personnes lauréates bénéficient également d’ateliers de
formation dispensés par des professionnels chevronnés.
Depuis plusieurs années maintenant, Tremplin offre la chance aux cinéastes francophones
de la relève de réaliser un premier ou un deuxième film avec une équipe de
professionnels de l’ONF. Par cette expérience concrète en réalisation et en
production, Tremplin permet à ces jeunes d’acquérir de nouvelles connaissances et de
franchir une étape importante dans le démarrage de leur carrière cinématographique.
Les cinéastes souhaitant participer sont invités à soumettre leur candidature d’ici
le mercredi 21 décembre à minuit.
Pour tous les détails du concours, visitez le site onf.ca/tremplin. | Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9786 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales ; Sophie Bastien-Daigle, biologiste au ministère des Pêches et Océans; Mike Chadwick, biologiste, ex-directeur des sciences à Pêches et Océans Canada et professeur associé à la maîtrise en études de l’environnement à l’U de M; Omer Chouinard, professeur au Département de sociologie et à la maîtrise en études de l’environnement; Éric Forgues, sociologue et directeur adjoint de l'Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques logé au campus de Moncton; et Céline Surette, du Département de chimie et biochimie et directrice du programme de la maîtrise en études de l’environnement. |
Le défi de la gestion intégrée des zones côtières et du changement climatique Dans le cadre du projet de l’ARUC - Défis des communautés côtières, le lancement du
livre, intitulé « Les zones côtières et le changement climatique : le défi de la
gestion intégrée », sous la direction d’Omer Chouinard, du Département de sociologie
et du programme de maîtrise en études de l’environnement de l’Université de
Moncton, Juan Baztan,directeur de Marine Science for Society, et Jean-Paul Vanderlinden,
professeur en économie de l’environnement à l’Université Versailles Saint-Quentin
en Yvelines, a eu lieu au campus de Moncton en présence d’une trentaine de
personnes.
L’approche de la gestion intégrée des zones côtières est apparue en opposition à
l’approche unisectorielle de la gestion des ressources afin de pallier aux nombreux
stress posés sur les écosystèmes par les activités humaines. Plus de 700 projets de
gestion côtière intégrée ont eu lieu aujourd’hui dans différents pays du monde.
Malgré cela, la dégradation des milieux côtiers n’a pas été freinée. Elle se
poursuit même à un rythme alarmant. Il y a donc urgence de trouver des approches de
gestion qui proposent des solutions viables.
Des professeurs des trois campus de l’Université de Moncton participent à cet ARUC.
Les personnes intéressées peuvent se procurer cet ouvrage à la Librairie acadienne du
campus de Moncton.
Un lancement est prévu au campus de Shippagan à une date qui reste à déterminer. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9765 | | Valois Robichaud participera à un projet de coopération avec la France Valois Robichaud, professeur en éducation au campus de Shippagan, a reçu une invitation
pour participer à un projet de coopération avec la France en tant que thérapeute en
relation d’aide rogérien (ANDC) auprès de l’équipe de Patrick Kauffmann,
cofondateur du Person-Centered Approach Institute en France. M. Robichaud sera responsable
d’accompagner un groupe de personnes professionnelles en formation « résidentielle »
à Grenoble.
Une fois sur place, le professeur Robichaud prononcera une conférence lors du 23e
Congrès national de l’association Jusqu’à la mort, accompagner la vie (JALMALV) à
Marseille.
La thématique de ce congrès est « Chercher l’être au cœur de l’autre ». La
conférence du professeur Robichaud sera inspirée de son tout dernier ouvrage, « La peur
de vieillir, un pas vers l’euthanasie ». | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9741 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Rosemarie Lévesque-Arsenault, Marie-Pier Laforge, Jenna LeBlanc, Émilie Bérubé, Myriam Thériault, Julie Melanson, Sr Auréa Cormier, professeure émérite; Pascal Audet, professeur agrégé; Annie-Pier Désaulniers, Mélanie Richard et Ariane Losier. |
Les coûts humains et financiers de la pauvreté L’École des sciences des aliments, de nutrition et d’études familiales de
l’Université de Moncton a organisé une conférence portant sur les coûts humains et
financiers de la pauvreté, en compagnie de Sr Auréa Cormier, professeure émérite de
l’Université de Moncton et cofondatrice de l’École des sciences des aliments, de
nutrition et d’études familiales. Sr Cormier a présenté les causes de la pauvreté
et ses conséquences sur la vie et les finances des gens qui en souffrent et sur la
société. Rappelons que Sr Cormier travaille depuis de nombreuses années au sein du
Front commun pour la justice sociale, à la lutte contre la pauvreté et l’insécurité
alimentaire que vivent beaucoup de gens démunis au Nouveau-Brunswick. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9777 | | Des rendements supérieurs à l’indice pour le portefeuille de placements étudiants Louisbourg La saine gestion des étudiants de la Faculté d’administration a permis au portefeuille
de placements étudiants Louisbourg d’afficher un rendement supérieur à l’indice
phare de la Bourse de Toronto (S&P TSX Composite), et ce pour toutes les périodes de
références.
En effet, depuis sa création en novembre 2009, le fonds a réalisé un rendement
annualisé de 8,64 pour cent, ce qui se compare avantageusement au rendement de l’indice
de 6,34 pour cent. Il s’agit d’une valeur ajoutée de 2,29 pour cent. Le portefeuille
a aussi bien performé au cours de la dernière année en affichant un rendement de 1,89
pour cent pour la période de 12 mois se terminant le 31 octobre 2011. Pendant cette même
période l’indice S&P TSX Composite reculait de 0,83 pour cent. La valeur ajoutée par
les étudiants est donc de 2,72 pour cent. Les étudiants en finance de la Faculté
d’administration ont réalisé ces rendements en utilisant une méthodologie rigoureuse
de sélection de titres basée sur l’approche «Top-Down». Selon cette stratégie, sous
la supervision de leurs professeurs Sébastien Deschênes CFA et François Boudreau CFA,
ils doivent successivement analyser l’économie, le secteur dont ils ont la charge, les
entreprises qui composent ces secteurs et les états financiers des entreprises retenues
pour enfin être en mesure d’appliquer des modèles d’évaluation d’actions.
La valeur ajoutée a été réalisée en partie grâce à une lecture juste de
l’économie qui est passée d’un vent d’optimisme en début d’année à un état
de crise suite à l’imbroglio concernant l’adoption du budget américain et à la
situation actuelle concernant l’endettement de certains pays européens. C’est ainsi
que les étudiants ont à l’automne 2010 pris une position importante dans First Quantum
Mineral (FM) une entreprise productrice de cuivre. Cet investissement a été profitable
étant donné que le cuivre est l’un des métaux les plus sensibles au cycle
économique. Quand le vent a tourné au printemps, la moitié de l’investissement dans
FM a été vendue avant que le titre se déprécie. Outre la vente d’actions de FM, la
bonne performance relative des six derniers mois s’explique par les positions
défensives dans l’alimentation avec Métro et les communications avec BCE. De plus, le
portefeuille a bénéficié de l’appréciation de l’action Valeant pharmaceuticals
(VRX) suite au regroupement avec Biovail.
Le portefeuille étudiant Louisbourg est né d’un partenariat entre Placements
Louisbourg et la Faculté d’administration de l’Université de Moncton. En novembre
2009, Louisbourg a confié aux étudiants en finance une somme de 100 000 $ à investir.
Ces étudiants peuvent ainsi mettre en pratique leurs connaissances théoriques acquises
pendant leur formation universitaire. Après maintenant pratiquement deux ans de gestion
consciencieuse dans un contexte de marchés financiers difficiles, les étudiants ont
réussi à faire fructifier cette somme de belle façon. Le fonds a maintenant une valeur
de 117 431 $.
La salle des marchés de la Faculté d’administration procure les outils les plus
modernes aux étudiants pour obtenir l’information financière leur permettant de gérer
de façon diligente les sommes qui leurs sont confiées. Ce projet vise dans l’ensemble
à préparer les étudiants à écrire les examens professionnels pour devenir un analyste
financier certifié (CFA) et ainsi devenir des gestionnaires de portefeuilles. Les
personnes intéressées à suivre l’évolution du fonds de placements étudiants peuvent
le faire à http://www.umoncton.ca/umcm-administration/node/55.
Renseignements : Sébastien Deschênes, au 858-4230 /
http://www.umoncton.ca/umcm-administration/node/55 | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9784 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir l'artiste Izra L offrant un spectacle devant la reine Elizabeth II pendant la Fête du Canada à Ottawa. |
Spectacle sensationnel avant les Fêtes en compagnie d’Izra L Izra L, un jeune artiste musicien d'origine tchadienne, présentera un Spectacle
sensationnel avant les fêtes, le lundi 19 décembre de 20 heures à 23 heures au
Manhattan, au 125, rue Westmorland à Moncton.
Benjamin du groupe H'Sao, Izra L habite actuellement à Montréal. Il est
multi-instrumentiste et constitue l'une des forces de ce groupe qui fait parler de lui
partout dans le monde. S’il y avait une seule voix, unique, profonde et sincère qui
vienne du désert, portée par le vent jusqu’aux terres froides, ce serait la sienne. Et
si cette voix chante des mots sortis tout droit du coeur, c’est de ses mains qu’il
joue les mélodies de ses tripes… Ses mains qui glissent sur le piano, les mêmes qui
grattent les cordes de sa guitare, qui tapotent l’accordéon, qui se promènent sur le
dos des percussions et de tout autre instrument qu'il juge susceptible de donner un beau
son.
Excellent danseur et auteur-compositeur, Izra L est un chanteur qui a l’art dans
l’âme. Il a baigné dans la musique étant tout petit. À six ans déjà, on l'appelait
une bête de scène et à neuf ans, il intègre le groupe de ses grands frères H’Sao,
dans lequel il acquiert beaucoup d'expérience pendant les multiples tournées à travers
le monde ( Australie, Japon, Hong Kong, Afrique du sud France, Suisse , Belgique,
Roumanie, États-Unis, Haïti, Hollande, Nouvelle-Zélande etc...).
Enrichi de ces nombreuses expériences, Izra L se lance désormais dans une carrière pop
en solo. Tout en conservant ses influences africaines, il laisse la place à beaucoup
d’autres styles musicaux tels que la soul, le rnb, le jazz et bien d'autres...
Le coût du billet est de 12 $ et de 15 $ à l’entrée.
Renseignements : Ramadan Lona : 988-2400; Zakaria Taha : 871-1188; Abdoulaye Diallo :
229-2538. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9782 | | Concert de Noël en compagnie du Chœur des Aboiteaux et des Voix de l’Acadie Le Chœur des Aboiteaux, une chorale mixte d’une soixantaine de voix sous la direction
de Paula Hébert, professeure à l’Université de Moncton, se joint aux Voix de
l’Acadie, un chœur mixte d’une quarantaine de voix, pour présenter un grand concert
de Noël qui aura lieu le dimanche 4 décembre à 15 heures en l’église Saint John’s
United, située au coin des rues Alma et Victoria à Moncton. Les Voix de l’Acadie est
une chorale d’Halifax, sous la direction d’André Mallet.
Les deux chœurs interpréteront chacun une partie de leur répertoire de chants de Noël
et uniront leurs voix pour des prestations imposantes de Joy to the World, Belehemu, Le
Cantique, de Jean Racine, et Dormi Jesu, de John Rutter, ainsi que quelques chants
traditionnels. Un chant réunira les voix féminines des deux chœurs et un autre les voix
masculines des deux chœurs. Certaines pièces seront accompagnées au piano par Louisette
Godbout, et par un trio de percussionnistes.
Les billets sont en vente, 10 $ auprès des choristes, 12 $ à l’entrée le jour du
concert, et sans frais pour les enfants de 10 ans et moins.
Le même concert sera présenté à Halifax le 27 novembre à 15 heures en l’église St.
Patrick.
Renseignements : 859-0402. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9769 | | « Cul de sac », un monologue interprété par le finissant Ludger Beaulieu Du 2 au 6 décembre à 20 heures au studio-théâtre La Grange, le Département d’art
dramatique présente « Cul de sac », de l’auteur Daniel McIvor dans une traduction de
Fanny Britt, un monologue interprété par le finissant Ludger Beaulieu.
Créé en 2004, cette pièce pour un seul acteur met en scène huit personnages qui
poussent les ressources du comédien à leur maximum. Leonard, le protagoniste de « Cul
de sac », croit que nous avons tous une histoire mais qu’il faut plus longtemps à
certaines personnes pour raconter la leur. Mais l’histoire de Leonard se transforme en
quelque chose de totalement imprévu puisque la pièce raconte sa relation avec plusieurs
personnages quelques moments avant sa mort.
Ludger Beaulieu se métamorphose pour interpréter des personnages aussi différents
qu’une jeune fille de 12 ans et son père avocat ou deux amateurs de Gilbert and
Sullivan ou un vétérinaire à la retraite. C’est un exploit et un défi à ne pas
manquer car chaque personnage se retrouve ici avec sa personnalité propre et son
identité excentrique. Ces sept personnages, huit en incluant Leonard le personnage
central, habitent un cul de sac - d’où le titre - dans un espace urbain. Ces voisins,
dans ces récits allant de calme à blasé, proposent un commentaire inquiétant sur
l’indifférence qui existe dans une petite communauté. On ne saura jamais si la vie de
Leonard a eu une influence sur ses voisins mais il est difficile de rester indifférent à
cette pièce d’un auteur dont la renommée s’étend de la scène nationale à
l’internationale.
Daniel McIvor est né à Sydney, au Cap-Breton, et a étudié à Dalhousie University
avant de se diriger à Toronto où il a fondé la compagnie da dakamera. Il est aussi
l’auteur de scénarios de films tournés pour la plupart dans sa province natale de la
Nouvelle-Écosse mais il est surtout reconnu pour ses spectacles en solo dont « Cul de
sac » qu’il écrit et interprète. Au cours de sa carrière, il a reçu plusieurs
récompenses dont le prestigieux prix Simonovitch qui récompense une carrière en
théâtre, toutes catégories, techniques et langues confondues.
Dirigée par la professeure Marcia Babineau, « Cul de sac » et son auteur Daniel McIvor
s’inscrivent dans l’intérêt qu’elle porte aux auteurs canadiens et à leur
mélange d’humour et de vérité.
Les billets, 5 $ pour les étudiants et 10 $ pour le grand public, sont en vente à la
Librairie acadienne du campus de Moncton ou au guichet du théâtre avant les
représentations.
Renseignements : Sonya Doucet, au 858-4404. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9770 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Christian Crête, gestionnaire de portefeuille à la Société de gestion des placements du Nouveau-Brunswick; Luc Gaudet, vice-président et directeur général, chez Placements Louisbourg; Tania Morris, professeure de fiance et responsable par intérim de la Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière de la Faculté d’administration; Mathieu Roy, vice-président, gestionnaire de portefeuille chez Placement Louisbourg; et Daniel Goguen, vice-président des marchés privés à la Société de gestion des placements du Nouveau-Brunwick. |
Le pouls des marchés financiers selon quatre experts en gestion de portefeuille La table ronde, intitulée « Le pouls des marchés financiers » et organisée par la
Chaire d’études Jeanne et J.-Louis-Lévesque en gestion financière, a été une belle
réussite.
Animée par quatre experts en gestion de portefeuille, elle a regroupé plus d’une
quarantaine de participantes et de participants.
Lors de son intervention, Christian Crête, gestionnaire de portefeuille à la Société
de gestion des placements du Nouveau-Brunswick, a expliqué que la confiance des
investisseurs a un impact important sur la performance des marchés financiers. Pour sa
part, Luc Gaudet, vice-président et directeur général de Placements Louisbourg, a
indiqué qu’il ne s’attend pas à une forte performance du marché obligataire au
cours des prochaines années. Par la suite, Mathieu Roy, vice-président, gestionnaire de
portefeuille chez Placement Louisbourg, a rappelé que la performance du marché boursier
canadien est fortement influencée par le prix et la demande des ressources canadiennes.
Enfin, Daniel Goguen, vice-président des marchés privés à la Société de gestion des
placements du Nouveau-Brunswick, a indiqué comment accéder aux investissements privés
et ce, même pour le petit investisseur. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9771 | | L’exposition de photographies et d’installations « De natura » est en montre jusqu’au 30 novembre L'exposition « De natura », proposée par André Lapointe, directeur du Département des
arts visuels de l’Université de Moncton, et Alex Caroll, d’origine française qui vit
et travaille au Canada depuis 2009, est en montre jusqu’au 30 novembre à la Galerie 12
du Centre culturel Aberdeen de Moncton.
Cette exposition de photographies et d’installations réunit deux artistes pour qui la
nature est un monde chargé de signes et d’empreintes de vie, et dont il convient de
souligner la pureté, la grâce formelle. Un hommage particulier cependant puisque le
geste consiste ici à recomposer ou à transformer des paysages et des éléments
naturels. Esthétique humaine ou naturelle ? Le dialogue est ouvert.
Un catalogue réunit des textes d’André Lapointe, Alex Caroll, Sébastien Émard,
Gabriel Robichaud, Marilyn Ruescas et Jean-Marc Dugas.
André Lapointe, originaire de Gaspésie, s’intéresse aux phénomènes naturels des
côtes de l'Atlantique. Procédant principalement par la technique de la taille directe et
du modelage, incorporant également aux paysages des matériaux trouvés sur les lieux
mêmes, il sculpte le végétal et le minéral pour y inscrire le temps. Sculpteur
émérite et fortement engagé dans le monde institutionnel, il est l’une des
personnalités marquantes du milieu des arts visuels de l’est canadien.
Marquée par ses voyages en Europe, influencée par l’esthétique baroque (Bill Viola,
David Lynch) et l’art allemand du 20e siècle, Alex Caroll explore la notion de traces
et de transformation des symboles. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9772 | | Agrandir l'imageLa photo nous fait voir, de gauche à droite, Mourad Ali-Khodja, directeur du GRICC et du Département de sociologie; Leyla Sall, professeur au Département de sociologie; Christophe Traisnel, professeur au Département de science politique; Marie-Noëlle Ryan, professeure au Département de philosophie; Jean-François Thibault, professeur au Département de science politique et vice-doyen de la Faculté des arts et des sciences sociales; et Katharina McEvoy, étudiante finissante en information-communication. |
Des révoltes des peuples arabes au mouvement social mondial Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de la
Faculté des arts et des sciences sociales a repris la formule des ateliers-débats qui
consiste à s’interroger à chaud sur des questions d’actualité et aux dimensions
interculturelles qu’elles recouvrent.
Le GRICC a proposé une table ronde ayant comme thème « Des révoltes des peuples arabes
au mouvement social mondial » au campus de Moncton et le prétexte à ce premier
atelier-débat était fourni par les mobilisations populaires actuelles. De la révolte du
peuple tunisien à l’occupation de la Place Tahrir en Égypte, à celle de la Puerta Del
Sol des Indignados en Espagne au mouvement « Occupy Wall Street », il y avait
lieu de s’interroger sur leur portée et leur signification, tant du point de vue
socioéconomique, politique qu’interculturel et ce, sans pour autant confondre ou
assimiler ces mouvements de revendications qui atteignent aujourd’hui plus de 80 pays.
Animée par Jean François Thibault, professeur au Département de science politique et
vice-doyen de la Faculté des arts et des sciences sociales, cette table ronde regroupait
aussi Katharina McEvoy, étudiante finissante en information-communication et l’une des
organisatrices du mouvement « Occupons Moncton »; Marie-Noëlle Ryan, professeure au
Département de philosophie et des sciences religieuses; Leyla Sall, professeur au
Département de sociologie; et Christophe Traisnel, professeur au Département de science
politique. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9774 | | Une soirée-bénéfice toute en humour avec Philippe Laprise Dans le cadre d’une collecte de fonds destinée à l’Arbre de l’espoir, le Service
des loisirs socioculturels et l’Association des étudiantes et étudiants des sciences
de l’éducation présentent l’humoriste Philippe Laprise, le dimanche 27 novembre à
19 heures dans la salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.
Dans la tradition du stand-up à l’américaine, le spectacle est à l’image du jovial
et loufoque personnage. Ses 15 ans d’improvisation lui confèrent une assurance peu
commune sur scène avec un synchronisme et une façon particulièrement ludique de
provoquer les gens. Avec le public, Philippe Laprise fait mouche et, sans parfois même
ouvrir la bouche, il le fait crouler de rire.
Son premier spectacle solo, « Je peux maintenant mourir », est encensé par la critique.
Il est présentement en tournée partout au Québec où on ajoute des supplémentaires à
de multiples endroits. Il fait un rare détour au Nouveau-Brunswick le temps d’un
spectacle.
Tous les profits du spectacle seront remis à l’Arbre de l’espoir.
Les billets sont en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton. Les personnes
intéressées peuvent aussi les obtenir par téléphone au 858-4554 ou 1-800-363-8336.
Renseignements : 863-2008 / ems8117@umoncton.ca | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9775 | | Agrandir l'imageDans la photo, Jocelyn Jean, à droite, est accompagné d’André Lapointe, directeur du Département des arts visuels. |
L’artiste Jocelyn Jean prononce une conférence portant sur la peinture L’artiste québéco-acadien Jocelyn Jean, qui vit et travaille à Montréal et à
Grande-Anse, a prononcé une conférence publique portant sur la peinture dans la salle
Neil-Michaud de l’édifice des beaux-arts au campus de Moncton.
M. Jean est diplômé en design de l’Université du Québec à Montréal (1972) et
possède le baccalauréat ès arts de l’Université de Moncton (1970). Depuis 1988, il
est professeur à l’École des arts visuels et médiatiques de l’Université du
Québec à Montréal.
Artiste en arts visuels, il expose régulièrement depuis 1975, que ce soit des
expositions individuelles ou une participation fréquente à des expositions collectives.
Il est représenté par la Galerie Graff de Montréal. Ses oeuvres font partie de
plusieurs collections publiques et privées partout au Canada, dont celles du Musée
d’art contemporain de Montréal, du Musée national des beaux-arts du Québec, du Musée
d’art de Joliette, de la Banque d’oeuvres d’art du Canada, du Prêt d’oeuvres
d’art du Musée national des beaux-arts du Québec, de la Banque d’oeuvres d’art du
Nouveau-Brunswick, de l’Université de Moncton et de l’Université du Québec à
Montréal.
La venue de l’artiste-peintre a été rendue possible grâce à une collaboration entre
le Département des arts visuels et de la Faculté des arts et des sciences sociales de
l’U de M et de Patrimoine Canada.
Renseignements : André Lapointe, au 858-4375. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9773 | | Agrandir l'imageLa photo, prise lors de la présentation, nous fait voir, de gauche à droite, Jocelyn Jean, membre du conseil d’administration et conférencier; Kathryn McCarroll, directrice, et Louie Surette, trésorier, tous deux de la Fondation Sheila Hugh Mackay; Nisk Imbeault et Herménégilde Chiasson, membres du comité du projet de publication « Histoire de l’art acadien ». |
Un projet de publication de l’histoire de l’art acadien Grâce au Fonds pour projets spéciaux de la Fondation Sheila Hugh Mackay, un chèque de 9
000 $ a été remis au comité en guise de soutien à la phase de recherche d’un projet
de publication de l’histoire de l’art acadien. Ce comité est composé
d’Herménégilde Chiasson, Mario Doucette, Nisk Imbeault, directrice-conservatrice de la
Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen de l’Université de Moncton, ainsi qu’Isabelle
McKee-Allain et Maurice Basque, de l’Institut d’études acadiennes de l’U de M. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9776 | | Radio Radio présente « Belmundo Régal » pour une dernière fois au Café Osmose Radio Radio terminera sa tournée « Belmundo Régal » en décembre mais avant, le groupe
hip-hop acadien fera un dernier arrêt à Moncton dans le cadre du Coup de cœur
francophone, le samedi 26 novembre à 20 heures au Café Osmose du campus de Moncton.
Le groupe termine sa tournée avant de se lancer dans la production de son prochain album
dont la sortie est prévue pour 2012.
Pour l’occasion, les artistes acadiennes Julie Aubé et Vivianne Roy feront la première
partie du spectacle. Après des prestations remarquées à la 15e FrancoFête en Acadie,
les deux anciennes lauréates du concours Accros de la chanson présenteront sur scène
leur univers éclectique.
Depuis son dernier passage à Moncton en août dernier, le trio a fait beaucoup de chemin.
Nommé au Gala de l’ADISQ pour les Félix de Groupe de l’année et Metteur en scène
de l’année, il a aussi participé au numéro d’ouverture du Gala diffusé sur les
ondes de Radio-Canada. L’un de ses derniers projets a été de lancer son tout dernier
vidéoclip pour la chanson « Cargué dans ma chaise ».
Les billets sont présentement en vente dans le réseau de billetterie du Grand Moncton,
10 $ pour les étudiants et 15 $ pour les autres, frais de service en sus. Les personnes
intéressées peuvent aussi les obtenir par téléphone au 858-4554 ou au
1-800-363-8336.
Renseignements : 863-2008 / ems8117@umoncton.ca | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9778 | | Emili Bellefleur, une diplômée de l’U de M qui fait sa marque Emili Bellefleur, diplômée en récréologie de l’Université de Moncton, travaille
comme directrice du marketing et des communications du Festival du voyageur de Winnipeg,
une grande fête de dix jours célébrant la musique, la neige et la culture.
Originaire d’Edmundston, Emili s’intéresse depuis longtemps au domaine des
communications et à celui de la récréologie. À sa sortie du secondaire en 2001, elle
songe d’abord à s’inscrire au programme d’information-communication mais après
réflexion, elle opte pour le baccalauréat en récréologie.
« J’allais m’inscrire en information-communication mais je me suis rendue compte que
c’est dans le domaine de l’événementiel que je voulais me ranger. Le hasard a fait
que je suis aujourd’hui à la jonction des deux disciplines ».
À la fin de ses études, Emili entreprend sa carrière comme directrice générale de
l’Association des travailleurs et des travailleuses en loisir du Nouveau-Brunswick.
Après environ un an, elle accepte un contrat à court terme comme adjointe aux
communications avec le
Festival du voyageur au Manitoba.
Depuis ses modestes débuts à Saint-Boniface en 1969, le Festival du voyageur est devenu
le plus important festival francophone de l’Ouest canadien. Chaque année en février,
environ 100 000 visiteurs bravent le froid légendaire de la région de Winnipeg pour
rendre hommage à la joie de vivre des voyageurs, fondateurs de la colonie de la rivière
Rouge et de la communauté canadienne-française.
« J’ai gravi les échelons et je suis aujourd’hui responsable du marketing et des
communications de ce festival, le plus important événement hivernal de l’Ouest
canadien. Comme membre de la haute gestion du festival, je participe à la planification
de l’événement, je développe les stratégies de promotion, collabore avec des firmes
de graphisme et transige avec les principaux médias ».
Emili Bellefleur considère que son baccalauréat en récréologie l’a bien préparée
pour son emploi. « On avait l’avantage d’avoir des petites classes et j’ai adoré
mes professeurs. À l’Université de Moncton, j’ai pu m’initier à des sujets tels
la gestion des ressources humaines et des bénévoles, le développement communautaire,
l’organisation d’événements et la gestion financière. J’applique toutes ces
connaissances dans mon quotidien ».
L’intégrale de cet article paraît dans l’édition Automne 2011 du Bulletin des
anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9781 | | Les Rendez-vous de l’ONF présentent « Les inséparables », de Daniel Léger Les Rendez-vous de l’ONF en Acadie proposent de découvrir le tout dernier film de
Daniel Léger, « Les inséparables ». Après une première mondiale à succès à
l’ouverture du Festival international du cinéma francophone en Acadie à Moncton, ce
deuxième film du réalisateur acadien prend la route. Il sera à l’affiche le lundi 28
novembre à 19 heures dans la salle de projection 163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au
campus de Moncton. L’entrée est libre.
C’est un film touchant et authentique. On entre dans le monde de Jean-Paul et Anne, un
couple attachant qui voit le bonheur dans leur quotidien, qui s’occupe de maintenir
l’ordre et la joie dans leur foyer. C’est une belle leçon de vie pour tous.
La présentation principale sera précédée du court métrage « Citrouille et vieilles
dentelles », de Juliette Loubières. Un photographe recherche « une bonne tête de
papi-mamie » pour une publicité. Appareil à la main, il visite une maison de retraite.
Mais rien ne se passe comme prévu car ces retraités semblent en avoir long à raconter.
Ce film d’animation de marionnettes est un conte moral drôle et sincère qui nous
rappelle que la vieillesse est parfois un masque qui cache les trésors de l’âme.
Les inséparables (2011, 52 minutes)
Les inséparables est un documentaire intimiste qui raconte l’histoire d’amour de
Jean-Paul et Anne qui sont atteints respectivement de déficience physique et
intellectuelle. Agrémentée de grandes déclarations et de petits cadeaux, de
plaisanteries et de surnoms affectueux, leur relation amoureuse émeut par son intensité
et transcende la différence. Ensemble, ils veillent sur les parents gravement malades de
Jean-Paul. Avec un respect profond pour ceux qui se livrent à lui, le réalisateur Daniel
Léger propose une inspirante leçon de bonheur. Le film est une production de Murielle
Rioux-Poirier, du Studio Acadie de l’ONF.
À propos du réalisateur
Né dans le sud-est du Nouveau-Brunswick, Daniel Léger est documentariste,
auteur-compositeur-interprète et globetrotter. Il remporte en 2005 le concours Tremplin
de l’ONF qui lui permet de réaliser « Un dimanche à 105 ans ». Présenté par
plusieurs festivals, ce premier court métrage documentaire reçoit deux prix au Festival
international du cinéma francophone en Acadie (Prix pour la meilleure oeuvre acadienne,
court métrage, et Prix du public) ainsi que le prix Coup de coeur du jury au festival
Images en vues des Îles-de-la-Madeleine. « Un dimanche à 105 ans » reste à ce jour le
film ayant été visionné le plus grand nombre de fois sur l’Espace de visionnage en
ligne ONF.ca. | Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9780 | | Agrandir l'imageLa photo, prise en compagnie de France Daigle, nous fait voir, de gauche à droite, 1re rangée : Lisa Roy, doyenne de la Faculté des arts et des sciences sociales; Émilie Urbain, doctorante en sciences du langage au Département d'études françaises; France Daigle, auteure; Marie-Noëlle Ryan, professeure au Département de philosophie; et Mireille Thériault, libraire; 2e rangée : Mourad Ali-Khodja, directeur du GRICC et du Département de sociologie; Raoul Boudreau, professeur retraité au Département d'études françaises; et Jean-François Thibault, professeur au Département de science politique et vice-doyen de la Faculté des arts et des sciences sociales. |
Nouvelle saison des Jeudis de la Librairie en compagnie de France Daigle Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact de la Faculté des
arts et des sciences sociales (GRICC) et la Librairie acadienne proposent une nouvelle
saison des Jeudis de la Librairie, cette activité qui consiste à rendre compte et à
discuter d’ouvrages récents et qui présentent un intérêt local, national ou
international. Cette activité se déroule de la façon suivante : une personne (ou
l’auteur) présente brièvement l’ouvrage et une autre en fait un commentaire d’une
durée de 15 à 20 minutes. Le premier ouvrage à être discuté cette année a été
celui de France Daigle, « Pour sûr », Montréal, Boréal, 2011. Les trois autres à
venir sont Tahar Ben Jelloun, « L’Étincelle. Révolte dans les pays arabes », Paris,
Gallimard, 2011 (le 19 janvier); Lawrence Hill, « Aminata », traduction de l’anglais
par Carole Noël, La Chine, Éditions de la Pleine lune, 2011 (le 23 février); et Achille
Mbembe, « Sortir de la grande nuit. Essai sur l’Afrique décolonisée », Paris, La
Découverte, 2010 (le 22 mars). Chaque Jeudi de la librairie est suivi d’une réception
et tout le monde y est invité. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9766 | | Appuyons la campagne de l’Arbre de l’espoir Chaque année, nombreux sont les membres de la communauté universitaire - étudiants et
étudiantes, corps professoral et autres membres du personnel - qui souscrivent à la
campagne de l’Arbre de l’espoir au profit du Centre d’oncologie Dr-Léon-Richard de
l’Hôpital Dr-Georges-L.-Dumont.
Cette grande générosité se manifeste par l’organisation de collectes de fonds par des
groupes étudiants ou par le personnel regroupé dans les divers services et unités
académiques des trois campus.
L’Université de Moncton tient à souligner les efforts de ces nombreux groupes et
s’engage à verser à la campagne un montant supplémentaire équivalent à dix pour
cent de la valeur globale des dons qui seront amassés aux trois campus. Il doit cependant
s’agir de dons recueillis dans le cadre d’activités organisées par des groupes de
l’Université et versés directement à la campagne de l’Arbre de l’espoir.
Afin de connaître le montant global qui aura été versé à la campagne de cette année
par la communauté universitaire, les personnes responsables des activités de groupe sont
priées d’informer le Service des ressources humaines de leur campus respectif du
montant recueilli au plus tard à 16 h 30 le jeudi 24 novembre, soit la veille du
Radiothon de l’Arbre de l’espoir. L’Université pourra à son tour annoncer le
montant supplémentaire qu’elle versera à la campagne.
Pour le campus de Moncton, la personne à joindre est Debbie Martin : 858-4136 / debbie.martin@umoncton.ca | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9791 | | La soprano Suzie LeBlanc donne un concert à Moncton Le Théâtre Capitol présente le concert de la soprano Suzie LeBlanc, le vendredi 25
novembre à 20 heures.
Suzie LeBlanc personnifie le vieil adage selon lequel la musique coule dans les veines des
Acadiens, qu’ils sont musiciens jusqu’au bout des doigts. Après le succès de ses
enregistrements « La Mer Jolie » et « Tout Passe », elle nous emmène sur les
littoraux de Terre-Neuve, de la Bretagne, du Japon et de son Acadie natale. Accompagnée
par David Greenberg au violon et Nick Halley à la percussion et aux claviers, elle
réserve à son public une soirée de musique éclectique agrémentée d’un brin de
folie.
D’origine acadienne, Suzie LeBlanc fait une carrière internationale grâce à un
répertoire baroque et classique, explorant et enregistrant une quantité importante de
musiques inédites. Sa soif de nouveaux horizons la mène maintenant vers la mélodie
française et le lied, la musique traditionnelle, contemporaine et l’art de
l’improvisation avec Helmut Lipsky et Mélosphère. Sa contribution à la culture
acadienne avec ses albums, son documentaire « Suzie LeBlanc : A Musical Quest », dirigé
par Donald Winkler, et ses prestations de musique ancienne lui ont valu des doctorats
honorifiques du King’s College University d’Halifax, Mount Allison University et de
l’Université de Moncton.
Son enregistrement d’œuvres d’Olivier Messiaen, « Chants de terre et de ciel » lui
a valu le Prix Opus 2009 dans la catégorie Disque de l’année : musique contemporaine.
L’album « Tempi con Variazioni », qu’elle a enregistré avec Mélosphère et Helmut
Lipsky, a reçu le prix Opus 2010 dans la catégorie Musique du monde.
En concert et à l’opéra, elle s’est produite avec de nombreux ensembles de musique
ancienne sur des scènes telles que le Concertgebouw, le Wigmore Hall et le Konzerthaus de
Vienne, au Nederlandse Opera, au Festival de Beaune, à l’Opéra de Montréal, au Boston
Early Music Festival et au Early Music Vancouver.
Les billets sont en vente dans le réseau de billetterie de Moncton, 18,50 $ et 22,50 $
plus les frais applicables. On peut également se les procurer en téléphonant à la
billetterie au 856-4379 ou 1-800-567-1922, ou encore en ligne au www.capitol.nb.ca.
Renseignements : 383-6711 / communications@capitol.nb.ca | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9742 | | La bibliothèque du campus de Shippagan fait un don de 3 300 livres à l’organisme Cultures à partager Au cours des derniers mois, la bibliothèque du campus de Shippagan a retiré plusieurs
ouvrages de ses collections qui ne répondaient plus aux besoins actuels de ses
usagers.
Toutefois, cela ne signifie pas qu’ils soient tous désuets pour autant. Une deuxième
vie leur sera donc offerte puisque plus de 3 300 volumes ont été offerts à
l’organisme Cultures à partager.
Cultures à partager est un organisme sans but lucratif qui a vu le jour en 1998. Plus
d’un million de livres y sont traités annuellement. Ceux reçus par l’organisme sont
principalement expédiés à l’étranger dans les pays émergents de la Francophonie.
Certains ouvrages sont redistribués au sein du réseau communautaire québécois, vendus
à prix modiques ou recyclés s’ils sont désuets. | Pour plus de renseignements, cliquez sur ce lien.
| Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9745 | | Lancement du quatrième essai de l’auteure Anne Decerf Le Laboratoire de recherche en éthique dans les organisations (LARÉO) et la Librairie
acadienne vous invitent à assister à une conférence de l’auteure Anne Decerf,
docteure en psychologie et chercheuse associée au LARÉO, à l’occasion du lancement de
son quatrième essai, intitulé « Du rituel autistique à la construction du désir : une
nouvelle approche de la vie affective », le jeudi 1er décembre à 16 h 30 dans la salle
Richelieu du pavillon Léopold-Taillon au campus de Moncton.
Une réflexion psychologique novatrice… qui nous fait découvrir que tous les petits
humains commencent par être des bébés autistes et que l’entrée en relation est une
véritable construction psychique.
Cette réflexion nous fait aussi découvrir une nouvelle approche thérapeutique de
l’autisme qui, tout en étant psychodynamique, réussit le pari de se passer du concept
de l’Inconscient freudien.
Un vin et fromage sera offert.
Renseignements : 858-4193 ou 858-4140. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9793 | | Alexandre Poulin et Patrice Michaud seront en spectacle au Café Osmose Dans le cadre du Coup de coeur francophone, Alexandre Poulin et Patrice Michaud seront
réunis le temps d’un spectacle, le jeudi 1er décembre à 20 heures au Café Osmose du
campus de Moncton.
On dit d’Alexandre Poulin qu’il est un conteur de chansons et un chanteur
d’histoires et c’est en spectacle que cette expression prend tout son sens. Cet
auteur-compositeur-interprète aime être sur scène pour conter, pour se raconter et
ainsi permettre aux spectateurs de découvrir l’histoire derrière la chanson, mais
aussi le gars derrière le chanteur. Un spectacle d’Alexandre Poulin, c’est un
spectacle de musique, d’histoire, d’humour et de poésie. Alexandre est un habitué de
la scène du Café Osmose où il présente toujours son spectacle à guichet fermé.
Nouveau venu sur la scène musicale, le chansonneur-conteur gaspésien originaire de
Cap-Chat a le vent dans les voiles. Depuis ses débuts, les récompenses ne font que
s’accumuler pour Patrice Michaud : Festival en chanson de Petite Vallée, Festival
international de la chanson de Granby, Prix au Roseq et prix André «Dédé» Fortin
remis par la SPACQ pour n’en nommer que quelques-uns. Patrice s'allie à Michel Faubert
à la mise en scène pour présenter un spectacle intimiste où la chanson, le conte et
l'humour s'entrecroisent au fil des histoires que nous trimbalons tous, au fond de nous.
Paru au printemps dernier, son premier album encensé par la critique a été réalisé
par David Brunet (Coeur de pirate, Daniel Boucher).
Les billets, 10 $ pour les étudiants et 15 $ pour les autres, sont en vente dans le
réseau de billetterie du Grand Moncton. Les intéressés peuvent aussi les obtenir par
téléphone au 858-4554 ou au 1-800-363-8336.
Renseignements : 863-2008 / ems8117@umoncton.ca | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9794 | | L’Université de Moncton fait appel de la suspension imposée à Chris Van Laren Le Service de l’activité physique et sportive de l’Université de Moncton a décidé
d’en appeler de la durée de la sanction imposée au joueur des Tommies de St. Thomas
University, Chris Van Laren, à la suite de sa mise en échec contre Christian Gaudet des
Aigles Bleus au hockey masculin lors d’un match de Sport universitaire de l’Atlantique
qui a eu lieu le 5 novembre à l’aréna J.-Louis-Lévesque.
Le SUA a infligé une suspension additionnelle à Van Laren qui ne pourra jouer avant le
vendredi 6 janvier 2012. Il ratera six matches de la saison ordinaire et possiblement une
ou plusieurs rencontres hors-concours de son équipe pendant le temps des Fêtes.
« C’est la première fois que nous voyons une suspension basée sur une date et non sur
un nombre total de parties, mentionne le directeur de l’activité physique et sportive,
Marc Boudreau. Le fait que le joueur fautif ne peut jouer lors des matches hors-concours
nous indique que la suspension de six parties ordinaires n’est donc pas suffisante. Le
règlement indique qu’une suspension obtenue lors d’une partie du calendrier ordinaire
doit être servie lors de matches de la saison ordinaire et non lors de parties
hors-concours. Le président du sport peut décider d’ajouter des rencontres
hors-concours à sa décision, ce qu’il a fait dans cette situation. »
Le Service se base sur le fait que Sport universitaire de l’Atlantique a décidé à sa
rencontre de mai dernier de sévir davantage contre les coups à la tête. Le SUA regroupe
des étudiants-étudiantes/athlètes dont les études sont leur première responsabilité.
Ils et elles peuvent manquer des cours lorsqu'ils subissent une commotion cérébrale, ce
qui peut influencer ou même entraver leur année académique.
Sans vouloir définir un minimum de parties, le Service souligne que ce cas pourrait
servir de précédent dans l’avenir et qu’il est important de bien établir les
sanctions.
« Je crois que le SUA se doit de faire preuve de leadership dans cette affaire de
blessure intentionnelle à la tête et d’imposer une sanction appropriée pour
décourager ce genre d’incident dans l’avenir, ajoute M. Boudreau. Notre appel aidera
à établir les règles dans d'autres cas éventuels. »
Renseignements : Marc Boudreau, directeur de l’activité physique et sportive, au
858-3773. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9754 | | Véronique Carroll et Dean Ouellet sont les athlètes de la semaine Le Service de l’activité physique et sportive a choisi la volleyeuse Véronique
Carroll, de Moncton, et le hockeyeur Dean Ouellet, d’Edmundston, comme athlètes
Antonio’s Pizza de la semaine pour la période du 14 au 20 novembre à l’Université
de Moncton.
Carroll a connu toute une partie dans une victoire serrée de 3 à 2 des Aigles Bleues
dimanche aux dépens des Axewomen d’Acadia University. Elle a récolté cinq services
aces, 11 digs et deux blocs comme passeuse. Cette victoire a permis aux Aigles de se
hisser au sixième rang du classement. Elle est étudiante en kinésiologie.
Vendredi, Dean Ouellet a récolté deux mentions d’assistance dans la victoire des
Aigles Bleus face aux Tommies de St. Thomas University. Il a été un joueur clé malgré
une défaite de 2 à 1 des Aigles dimanche contre les Varsity Reds de University of New
Brunswick. Il est étudiant en administration. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9787 | | Projection additionnelle du film Monsieur Lazhar Dû au succès des ventes du film de Philippe Falardeau, « Monsieur Lazhar », le
Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA) a décidé d’ajouter une
projection supplémentaire, le vendredi 25 novembre à 17 heures dans l’amphithéâtre
163 du pavillon Jacqueline-Bouchard au campus de Moncton.
À Montréal, une enseignante du primaire meurt subitement. Apprenant la nouvelle dans le
journal, Bachir Lazhar, un Algérien de 55 ans, frappe à la porte de l'école pour offrir
ses services à titre de remplaçant. Rapidement embauché pour combler le vide laissé
par la disparue, l'immigrant fait son entrée sur le marché du travail québécois dans
un établissement en situation de crise alors qu'il nage lui-même en pleine tragédie
personnelle. Dès son arrivée, le fossé culturel entre Bachir et sa classe se dessine
alors qu'il propose aux enfants une dictée hors de leur portée, tirée d'Honoré de
Balzac.
Peu à peu, Bachir apprend à mieux connaître un groupe d'écoliers aussi ébranlés
qu'attachants. Parmi ceux-ci, Alice et Simon, deux élèves charismatiques témoins d'un
incident tabou, se révèlent particulièrement atteints par le décès de leur
professeur. Pendant que la classe amorce un processus de guérison, personne à l'école
ne soupçonne le passé douloureux de Bachir qui risque l'expulsion du pays à tout
moment.
Cette excellente comédie dramatique a reçu de nombreux prix au cours des derniers mois
dont le Prix du public et le Prix Variety au Festival du film de Locarno, le Prix du
public et le Prix spécial du jury au Festival international du film francophone de Namur,
ainsi que le Meilleur film canadien au Festival international du film de Toronto.
« Monsieur Lazhar » sera le film représentant le Canada dans la course aux Oscars.
Les billets sont présentement en vente dans toutes les billetteries du festival (Spin-it
Video, Librairie acadienne, Cinéma Empire 8 Trinity et pavillon Jacqueline-Bouchard).
Renseignements : communications@ficfa.com / 229-2887. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9798 | | Rencontre avec le cinéaste Julien Cadieux Dans le cadre du cours LITT2900 - Théorie et histoire du cinéma, du professeur Claude
Guiguet, il y aura une rencontre avec le cinéaste Julien Cadieux, le mardi 29 novembre de
18 heures à 21 heures dans la salle 214 de l’édifice des arts au campus de Moncton.
Il y aura présentation des quatre films réalisés à ce jour par le jeune cinéaste :
Poussière Bleue, 2009, 9 minutes
La destruction d'une maison ... Des moments de vie qui deviennent des souvenirs ... Entre
documentaire et poème.
Habiter la Danse, 2009, 25 minutes
Portrait documentaire de la danseuse et chorégraphe Sylvie Mazerolle. Produit par l'ONF
dans le cadre du concours Tremplin Acadie.
Le Vieux Garçon, 2010, 13 minutes
À la mort de sa mère, un homme se retrouve confronté à son propre vide ... Fiction.
Récits d'hyperinflation, 2011, 11 minutes
Quatre scènes pour montrer les difficultés à survivre (ou pas ...) par temps
d'hyperinflation ... coréalisé par Karim B. Haroun.
Julien Cadieux évoquera son parcours et sa formation, présentera des extraits de films
qu'il aime et répondra aux questions des étudiants et du public.
Bienvenue à ce cours exceptionnellement ouvert à tous et à toutes.
Renseignements : 858-4475 / claude.guiguet@umoncton.ca | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9799 | | Présentation de l’Opéra Carmen au pavillon Jeanne-de-Valois Dans le cadre de la tournée des Concerts Desjardins 2011-2012, les Jeunesses musicales de
Dieppe présentent l’Opéra Carmen, de Bizet, le mardi 29 novembre à 20 heures dans la
salle de spectacle du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.
Même celui qui ne connaît rien à l’opéra a au moins entendu parler de Carmen. On
considère Carmen comme un opéra parfait et pour plusieurs raisons. Ici, rien n’est
superflu, chaque numéro, chaque moment est essentiel, significatif, important et
parfaitement intégré.
Tchaïkovsky déclara qu’il s’agissait « d’un chef-d’œuvre dans tous les sens du
terme », prédisant avec clairvoyance qu’il deviendrait l’opéra le plus populaire au
monde. En 1904 à Paris où il avait été créé 29 ans plus tôt, il avait déjà fait
l’objet d’un millier de représentations et en 1938, année du centième anniversaire
de naissance de Bizet, on avait atteint le cap des 2 000 représentations.
À ce jour, Carmen a été présenté en plusieurs langues dont le serbe, le lithuanien,
l’ukrainien, le bulgare, l’hébreu, le russe, le chinois et le japonais, en plus de
toutes les langues couramment parlées en Europe.
Le récit dont s’est inspiré Bizet pour cet opéra a été imaginé par l’écrivain
français Prosper Mérimée (1803-1870) qui avait séjourné en Espagne. Il y avait même
rencontré une bohémienne du nom de Carmencita, s’était passionné pour la tauromachie
et avait entendu des récits concernant les gitanes espagnoles, autant d’éléments
qu’il avait intégrés à sa nouvelle, Carmen, publiée en 1845.
L’oeuvre est marquée par la violence, la passion et le désir, et met en scène des
personnages au tempérament vif, sans foi ni loi. La distribution comprend Carmen,
Caroline Bleau - soprano; Don José, Kijong Wi - ténor; Micaëla, Laura Albino - soprano;
Escamillo, Alexander Dobson - baryton; Frasquita, Ellen Wieser - soprano; Mercédès,
Rachèle Tremblay - mezzo-soprano; et au piano, Janelle Fung. Louise-Andrée Baril assure
la direction musicale et Alain Gauthier la mise en scène.
L’entrée est de 30 $.
Renseignements : Martin Waltz, au 372-5386. | Adresse Web de la nouvelle : https://www.umoncton.ca/nouvelles/info.php?id=9800 | |
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