L’exercice du pouvoir : les travaux de Donald Savoie ont grandement alimenté le débat

Une activité de réflexion en hommage à Donald J. Savoie, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en administration publique et en gouvernance à l’Université de Moncton, a été organisée au campus de Moncton par l’Institut d’administration publique du Canada – groupe de Moncton, en partenariat avec l’Institut canadien de recherche en politiques et administration publiques, la Faculté des arts et des sciences sociales et le Département d’administration publique.

« Il est approprié que l’on profite d’une activité comme celle-ci pour rendre hommage au professeur Savoie, a mentionné le recteur Yvon Fontaine dans son allocution de bienvenue. Le thème de la journée est bien choisi - discuter des défis, des tendances et de l’avenir de l’administration publique. C’est un thème qui doit plaire à M. Savoie car le moins que l’on puisse dire, c’est qu’au cours des années ses travaux portant sur l’amélioration de l’exercice du pouvoir au sein du secteur public ont grandement alimenté le débat. »

« Donald n’aime pas beaucoup les honneurs et il est plutôt timide à cet égard, rappelle M. Fontaine. Je me souviens de sa réticence à participer à une activité pour souligner l’obtention de la Chaire de recherche du Canada en administration publique et en gouvernance dont il est le titulaire, chaire qui vient d’ailleurs d’être renouvelée. Les chaires de ce type sont détenues par d’exceptionnels chercheurs, reconnus par leurs pairs comme des chefs de file de calibre mondial dans leur domaine. M. Savoie a atteint un degré très élevé d’érudition et a acquis une renommée enviable auprès de ses pairs, tant au Canada qu’à l’étranger, pour avoir élargi nos connaissances et accru notre compréhension du monde. »

Cette timidité s’estompe cependant quand vient le temps pour lui de s’exprimer publiquement par le biais des médias et de donner son point de vue sur des questions de gouvernance, d’administration publique ou de politiques gouvernementales. « Quand il prend la parole, les gens écoutent, même les politiciens », ajoute M. Fontaine.

Le recteur a tenu à souligner également sa contribution inestimable à l’Université de Moncton. « Comme vous le savez, il a été pendant de nombreuses années directeur-fondateur de l’Institut canadien de recherche sur le développement régional et titulaire de la Chaire Clément-Cormier en développement économique. Son apport à notre communauté universitaire au fil des ans a été grandement apprécié. »

« Pendant toutes ces années où son expertise a été sollicitée, Donald Savoie n’a jamais raté une occasion de rappeler son affiliation à l’Université de Moncton, poursuit M. Fontaine. Le rôle qu’il a joué pour faire connaître notre institution n’a pas de prix. À ce titre, on peut affirmer qu’il a été l’un des plus importants ambassadeurs de notre institution sur la scène nationale et internationale. Sur un plan plus personnel, je connais Donald depuis de nombreuses années et son amitié m’est précieuse. J’ai profité à maintes reprises de ses sages conseils. »

L’hommage à M. Savoie a été suivi d’une conférence de Christopher J. Pollitt, de l’Université catholique de Louvain, et qui s’intitulait « Le Royaume-Uni est-il un cas particulier ? Divergences croissantes entre les politiques publiques du Royaume-Uni et du continent européen. »

Selon M. Pollitt, bien que certains pays (France, Royaume-Uni, Italie, Belgique, etc.) doivent se préparer à affronter une même tempête, ils ne disposent pas tous de moyens équivalents pour y arriver. « Le contexte étant différent (processus politique, législatif et organisationnel), les réformes de la gestion publique peuvent être formulées et appliquées beaucoup plus rapidement dans certains pays que dans d’autres, mentionne-t-il. La profondeur et la nature de la crise varient donc considérablement entre ces pays. Ainsi, bien qu’une discussion sur le plan international soit utile, il faut que chaque gouvernement produise une évaluation de sa situation avant d’entreprendre une réforme. Il peut être utile de partager les leçons apprises entre les pays mais il n’existe pas de « solution unique» pouvant convenir à tous les pays. Cela signifie que chaque gouvernement devra élaborer sa propre stratégie pour relever ses défis. »

Enfin, une table ronde portant sur les défis, les tendances et l’avenir de l’administration publique a regroupé trois personnes ressources, Jacques Bourgault, professeur associé à l’École nationale d’administration publique de l’Université du Québec à Montréal, « La satisfaction des attentes contemporaines de l'environnement des administrations publiques : un défi toujours plus exigeant mais incontournable »; Mario Polèse, professeur au Centre Urbanisation Culture Société de l’Université INRS, « Imputabilité des politiques publiques de développement régional : défi impossible ? »; et Monique Colette, conseillère supérieure auprès du Bureau du Conseil privé du gouvernement du Canada, « L'expérience de leadership d'un sous-ministre fédéral en région - défis et succès ».

Participation de Thu Pham-Gia à la Conférence nationale française de statistique

Thu Pham-Gia, professeur associé et professeur retraité au Département de mathématiques et de statistique, s’est rendu en Tunisie pour assister à la conférence annuelle de la Société française de statistique.

Intitulée « 43es journées de statistique », cette conférence a été tenue avec grand succès dans la capitale Tunis malgré les évènements politiques importants qui s’y sont déroulés et qui ont mené à un changement de régime. Cette conférence se tient périodiquement dans un pays francophone. Au Canada, elle a eu lieu à Ottawa et Montréal.

Plus de 300 participants étaient présents et M. Pham-Gia a présenté les derniers résultats de ses travaux dans la section statistique mathématique, sous le titre « Distribution of the correlation matrix and applications ». Il a aussi participé aux autres séminaires et débats portant sur la probabilité et les applications de la statistique, notamment sur les matrices aléatoires.

Anne Robineau : dresser un portrait de la situation des artistes francophones à l’extérieur du Québec

Anne Robineau, chercheuse à l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques logé au campus de Moncton, a obtenu une subvention de 30 000 $ du Conseil des Arts du Canada pour dresser un portrait de la situation des artistes francophones à l’extérieur du Québec. La sociologue, spécialiste de la sociologie des arts en milieu minoritaire, présentera les résultats préliminaires de ses recherches à l’ouverture du prochain Forum sur les pratiques artistiques, organisé par la Fédération culturelle canadienne-française (FCCF) le 19 juin à Ottawa. Le rapport complet de la recherche sera publié d’ici la fin de cette année.

Du 19 au 21 juin, plus de 200 artistes et intervenants culturels de partout au pays seront à Ottawa pour participer au forum « Être artiste dans la francophonie canadienne : Forum sur les pratiques artistiques ». Il s’agit d’un événement qui veut faire réfléchir les personnes participantes, mais aussi et surtout les inciter à développer des propositions permettant aux artistes des communautés franco-canadiennes d’obtenir de meilleures conditions de pratiques. Les recherches de Mme Robineau vont ainsi alimenter la réflexion des artistes et des divers intervenants du milieu artistique franco-canadien.

Pour connaître la programmation et le nom des personnes qui composent les diverses délégations provinciales (onglet documents), consultez le www.fccf.ca/forum. Pour plus de renseignements sur les recherches d’Anne Robineau, voir son blogue personnel (http://annerobineausociologue.blogspot.com/) et le site Web de l’ICRML (www.icrml.ca).

La FCCF est un organisme national dont la mission est de promouvoir l’expression artistique et culturelle des communautés francophones et acadienne. Elle réunit des représentants de sept regroupements nationaux en théâtre, en littérature, en chanson-musique, en arts médiatiques et en arts visuels, ainsi que 13 organismes œuvrant au développement culturel et artistique de 11 provinces et territoires du Canada et un regroupement de réseau de diffusion. La FCCF est membre de la Coalition canadienne des arts, de la Coalition pour la diversité culturelle, de la Conférence canadienne des arts et de la Fédération des communautés francophones et acadienne du Canada.

Renseignements : 858-4922 / anne.robineau@umoncton.ca

Séminaire de thèse en études de l'environnement

Monique Brideau présentera son séminaire de thèse de maîtrise en études de l'environnement, intitulé « Implication des femmes en environnement », le mardi 28 juin à 9 heures dans le local B-015 au pavillon Rémi-Rossignol.

La thèse de Mme Brideau est supervisée en direction par le professeur Omer Chouinard, de l’Université de Moncton.

Bienvenue à toutes et à tous. Renseignements : 858-4498.

Herménégilde Chiasson remporte le Prix Molson en art du Conseil des Arts du Canada

Grâce à leur apport novateur et fondamental, les lauréats des Prix Molson 2011 du Conseil des Arts du Canada, Herménégilde Chiasson et Peter Victor, ont chacun transformé à jamais leur domaine d’activité.

Lauréat du Prix Molson en art, Herménégilde Chiasson s’est illustré dans plusieurs disciplines artistiques, notamment la littérature, le théâtre, le cinéma et les arts visuels. Premier Acadien à remporter ce prix, il a publié 15 recueils de poésie, réalisé 17 films, écrit 25 pièces de théâtre dont un bon nombre ont été présentées partout au pays, et a exposé ses œuvres dans plus d’une centaine de galeries.

Parmi ses publications, on retrouve Mourir à Scoudouc (1974), Vous (1991), Climats (1996) et Conversations (1998). Cette dernière lui a valu le Prix littéraire du Gouverneur général en poésie. Il possède deux baccalauréats en arts visuels, deux maîtrises et un doctorat, ainsi que plusieurs doctorats honorifiques dont un en lettres de l’Université de Moncton remis en 1999 lors de la collation des diplômes au campus de Moncton.

Ancien lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick, M. Chiasson a reçu le Prix France-Acadie pour son œuvre littéraire et le Prix d’excellence du Nouveau-Brunswick pour son œuvre cinématographique. On lui a décerné l’Ordre des francophones d’Amérique et on l’a fait Chevalier des arts et lettres. Il est membre de la Société royale du Canada et chevalier de l’Ordre de la Pléiade.

M. Chiasson est aussi un membre fondateur de plusieurs organismes artistiques importants comme le théâtre l’Escaouette, les Éditions Perce-neige, la Galerie Imago et l’Association acadienne des artistes professionnel.le.s du Nouveau-Brunswick. Né à Saint-Simon, il vit maintenant à Grand-Barachois et enseigne à l’Université de Moncton.

Deux Prix Molson du Conseil des Arts d’une valeur de 50 000 $ chacun sont décernés annuellement à deux personnalités canadiennes, l’une du milieu des arts et l’autre des sciences humaines. Les prix sont remis en reconnaissance d’une longue et exceptionnelle carrière professionnelle et d’une contribution soutenue des lauréats à la vie culturelle et intellectuelle du Canada. Le Conseil administre ces prix en collaboration avec le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Les deux candidats ont été choisis par un comité mixte d’évaluation par les pairs à la suite d’un processus de mise en candidature.

« C’est pour nous une grande joie d’honorer Herménégilde Chiasson et Peter Victor, deux individus au parcours exceptionnel, mentionne Robert Sirman, directeur et chef de la direction du Conseil des Arts du Canada. Par son œuvre et son profond engagement envers la culture acadienne, M. Chiasson nous a permis de mieux apprécier cette communauté dynamique et la place unique qu’elle occupe dans le paysage culturel canadien. »

« Notre partenariat avec le Conseil des Arts du Canada dans le cadre des Prix Molson est des plus importants puisqu’il fait connaître l’excellence artistique et scientifique à tous les Canadiens, ajoute Chad Gaffield, président du Conseil de recherches en sciences humaines. Comme la réussite dans le secteur de l’économie mondiale dépend largement de notre capacité à capter des idées provenant de tous les secteurs d’activité, le Prix Molson reste une balise de l’excellence multidisciplinaire sur les plans de l’évaluation et de la réalisation. »

Cette année, le comité des Prix Molson se composait notamment de Joseph Yvon Thériault, professeur de sociologie et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en mondialisation, citoyenneté et démocratie de l’Université du Québec à Montréal.

AAAUM : des retrouvailles émouvantes à Québec

Plus d’une centaine de personnes se sont donné rendez-vous lors de la réception des anciens, anciennes et amis de l’Université de Moncton qui a eu lieu à Québec.

Parmi les invités d’honneur, il y avait Christine St-Pierre, B.Sc.Soc. 1976, ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec, et Jacques Tanguay, B.A.A. 1982, homme d’affaires bien connu et des plus influents au Québec. Récipiendaire en 2010 de l’Ordre du mérite des diplômés et diplômées de l’Université de Moncton, Christine St-Pierre était ravie d’être présente et de saluer des anciens et anciennes de la Vieille capitale.

Invité à prononcer quelques mots lors de la réception, Jacques Tanguay, récipiendaire de l’Ordre du mérite en 2007, a évoqué ce sentiment d’appartenance et de fierté qu’il a vécu lors de son passage à l’Université de Moncton dans les années 1980. Son séjour à Moncton l’a marqué dans tout ce qu’il a entrepris par la suite. Il a félicité les organisateurs pour cette initiative et a lancé l’invitation de renouer avec les anciens et anciennes de la ville de Québec sur une base annuelle.

Ces retrouvailles a ravivé de bons souvenirs. Le recteur Yvon Fontaine en était manifestement heureux et a profité de l’occasion pour remercier les diplômés et diplômées de différentes générations de s’être déplacés. Il en a aussi profité pour faire le bilan des grandes réalisations qui ont été entamées au cours des deux dernières années.

Pour sa part, Marie-France Doucet, présidente de l’AAAUM, a rappelé aux anciens et anciennes que le développement de l’Université de Moncton est lié à l’intérêt et à l’engagement qu’ils lui portent. Pour l’Association, ces rencontres sont une façon de maintenir ce contact avec les diplômés et diplômées dans différentes régions du pays.

Soirée de contes au Musée acadien

Dans le cadre de l’exposition « L’Art du conte en Acadie », une soirée de contes « L'Acadie de l'Atlantique », organisée par la Nuit internationale du conte en Acadie en collaboration avec le Musée acadien de l’Université de Moncton, aura lieu ce samedi 25 juin à 19 h 30 au pavillon Clément-Cormier du campus de Moncton.

Les conteurs régionaux proposeront leur propre saveur de l’Atlantique en passant par le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, l’Île-du-Prince-Édouard, Terre-Neuve-et-Labrador avec un retour qui s’effectuera vers le Madawaska et le Restigouche. Il s’agit d’Anne LeBlanc, de Pointe-de-l’Église, en Nouvelle-Écosse; Noëlla Richard, d’Évangéline, à l'Île-du-Prince-Édouard; Nelson Michaud et Anita Savoie, de Dalhousie.

Anne LeBlanc
Anne LeBlanc a une longue histoire d'interaction avec les gens. Elle est aussi une artiste en arts visuels et écrivaine. En 2009, elle découvre le monde merveilleux du conte par le biais du Festival de la Parole et fait maintenant partie du conseil d’administration. Depuis, sa passion pour conter des histoires s’est poursuivie. Souvent, vous pouvez ressentir sa culture acadienne dans son imaginaire et dans les histoires qu'elle aime partager avec son public.

Noëlla Richard
Depuis son enfance, Noëlla Richard crée son propre monde en inventant des histoires. Plus tard, elle recherche des histoires acadiennes de l’Ile racontées par ses ancêtres. Elle raconte des histoires de Ti-Jean et autres qui lui ont été transmises. En 2000, elle a cofondé le Cercle des conteurs de Québec, un cercle de conteurs qui existe encore aujourd'hui. Elle travaille présentement à fonder un autre cercle de conteurs à l’Île-du-Prince-Édouard.

Anita Savoie
On dit que son père faisait rêver les gens avec ses contes des Mille et une nuits et ses contes de Ti-Jean. Serait-ce de là que lui est venue la facilité de conter? Ou est-ce le fait d’avoir côtoyé les conteurs de la NICA qui lui ont donné la piqure? Depuis 2006, elle est conteuse dans des soirées et des festivals, ce qui lui a permis de conter dans les quatre provinces atlantiques, au Québec et en France. Son répertoire est composé de légendes et de contes merveilleux et de créations. Anita Savoie a été invité à plusieurs festivals de conte dans les provinces atlantiques, au Québec et en France.

Nelson Michaud
Nelson Michaud a d’abord enseigné aux enfants, leur a conté des histoires de Ti-Jean, puis a transporté en 2003 les conteurs de la NICA. Sa voie était alors toute tracée; il n’a pu s’empêcher de continuer les histoires. Sa passion pour le conte a pris de l'ampleur.

Son répertoire est composé de légendes et de contes traditionnels et historiques. Nelson a été invité à plusieurs festivals de conte dans les provinces atlantiques, au Québec et en France. Il est le coordonnateur des soirées et du festival de la Nuit internationale du conte en Acadie depuis 2006, un organisme culturel et artistique à but non lucratif qui a pour mission de promouvoir le conte en Acadie et ailleurs au Canada.

L’exposition « L’Art du conte en Acadie » est en montre au Musée acadien jusqu’au 31 octobre. Elle amène les visiteurs à mieux saisir les aspects du conte et son évolution en Acadie d’hier à aujourd’hui. Le Musée acadien est heureux de s’associer à la Chaire de recherche McCain en ethnologie acadienne et son titulaire Ronald Labelle et au Centre d’études acadienne Anselme-Chiasson et son archiviste en ethnologie Robert Richard pour la réalisation de cette exposition. Renseignements : 858-4088, maum@umoncton.ca

Exposition de six artistes en estampe actuelle à la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen

Jusqu’au 11 septembre, la Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen présente l’exposition « Fabriquer des nuages : six artistes en estampe actuelle ». Organisée par Jennifer Bélanger, elle propose des oeuvres qui explorent tant les limites de la pratique que les paysages inconnus issus de l’imaginaire des artistes.

À titre de commissaire invitée, Mme Bélanger oriente l’exposition autour d’éléments communs dans le travail des artistes. « En puisant dans la topographie, la notion de l’artificiel et l'assemblage d'éléments du monde temporel et imaginé, ces six estampiers façonnent des paysages singuliers en vue de réinventer et de concevoir le monde dans lequel on vit, dit-elle. Leurs pratiques interdisciplinaires et variées examinent des archétypes et des symboles récurrents dans la nature. Fabriquer des nuages est un aperçu de six mondes divergents. »

Cette exposition bénéficie du soutien de l’Atelier d’estampe Imago et de la Nova Scotia Printmakers’ Association.

La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen est située au 405, avenue de l’Université. La visite est libre et la galerie est ouverte de 10 heures à 17 heures du lundi au vendredi et de 13 heures à 17 heures le samedi et le dimanche.

Renseignements : 858-4088 / galrc@umoncton.ca.

Robert Beaudoin est le nouveau directeur du Service de sécurité au campus de Moncton

L’Université de Moncton a annoncé la nomination de Robert Beaudoin à titre de nouveau directeur du Service de sécurité au campus de Moncton. Il remplace Wayne St-Thomas qui a pris sa retraite après 37 ans de service.

Policier de carrière comptant plus de 27 ans d’expérience au sein de la Gendarmerie royale du Canada, M. Beaudoin a acquis des compétences dans les secteurs de la sûreté, des enquêtes criminelles et de l’application de la loi, tant sur la scène nationale qu’internationale. Il a une connaissance approfondie de la GRC, des normes policières canadiennes, de la législation et des procédures judiciaires. Il a été enquêteur et chef d’équipe pendant plus de six ans dans une unité spécialisée dans les enquêtes portant sur le recyclage des produits de la criminalité (blanchiment des capitaux). À maintes occasions pendant ses années de service, il a été mentor et conférencier pour diffuser les connaissances et former des intervenants dans ce domaine très particulier.

Son expérience de travail international comprend une affectation au Haut-commissariat du Canada en Afrique du Sud pendant trois ans où il avait pour mandat de représenter les intérêts de la Sous-direction des opérations internationales de la GRC dans les 20 pays de l’Afrique subsaharienne auprès desquels il était accrédité.

Son expérience internationale comprend également un contrat d’expert-conseil (avril 2009 à juin 2010) à la Sous-direction des Affaires internationales et Développement des politiques où il a représenté les intérêts de la GRC en République dominicaine dans le cadre d’un projet de renforcement des capacités.

Le directeur du Service de sécurité relève du Service des ressources matérielles.

Musée acadien : l’art du conte en Acadie

Jusqu’au 31 octobre, le Musée acadien s’est associé à la Chaire de recherche McCain en ethnologie acadienne et son titulaire Ronald Labelle et au Centre d’études acadiennes Anselme-Chiasson et son archiviste en ethnologie Robert Richard pour la réalisation de l’exposition « L’Art du conte en Acadie ».

Cette exposition amène les visiteurs à mieux saisir les aspects du conte et son évolution en Acadie d’hier à aujourd’hui. Étant donné que le conte traditionnel éveille beaucoup de curiosité chez la population à l’heure actuelle, le temps est propice pour la présentation d’une exposition qui aidera à mieux connaître cette tradition millénaire à travers des sons, des textes, des objets et des images.

On prend d’abord l’exemple d’un conte connu par tous, Cendrillon, afin d’apprendre d’où viennent les contes et comment ils ont voyagé à travers le monde. Mais on apprend surtout à apprécier la richesse de la tradition du conte en Acadie. Les visiteurs apprennent à connaître qui ont été les grands conteurs traditionnels en Acadie, en quoi consistait leur répertoire et comment ils ont exercé l’art de raconter. Ils peuvent aussi lire et écouter des contes acadiens, notamment en prenant contact avec le héros Ti-Jean. Enfin, l’exposition illustre le renouveau du conte aujourd’hui par des images et des objets qui témoignent de la diffusion actuelle du conte par l’oral et l’écrit.

Une programmation de soirées de conte et d’activités publiques ont lieu jusqu’au 31 octobre en lien avec cette exposition, qui est réalisée par le Musée acadien, la Chaire de recherche McCain en ethnologie acadienne et le Centre d'études acadiennes Anselme-Chiasson grâce au soutien du gouvernement du Nouveau-Brunswick. Renseignements : 858-4088, www.umoncton.ca/umcm-maum

Soccer : camp d’été du Bleu et Or en août

Les joueurs et joueuses de soccer et les équipes sont invités à s’inscrire au premier Camp d’été de soccer du Bleu et Or, qui se tiendra au terrain de l’Université de Moncton du mardi 16 au vendredi 19 août.

L’entraîneur des Aigles Bleus et Aigles Bleues, Sylvain Rastello, sera l’entraîneur-chef de ces sessions qui se tiendront de 9 heures à 16 h 30 pendant les quatre jours. Rastello est également entraîneur du programme de Sports/études et possède le niveau 3 du Programme national de certification des entraîneurs et la licence AACS. Plusieurs membres des équipes des Aigles seront également sur place.

Le stage s’adresse aux garçons et aux filles de 8 à 17 ans qui seront regroupés selon leur âge. Le programme comprend des entraînements et des jeux afin que les jeunes puissent acquérir et améliorer les techniques et tactiques de base. Différents jeux seront organisés pour mettre en pratique les méthodes apprises lors des entraînements. Un stage de perfectionnement avancé est destiné également aux équipes de 10 à 17 ans pour leur permettre de perfectionner les techniques et les tactiques plus avancées du sport.

Les athlètes intéressés peuvent communiquer avec Sylvain Rastello à sylvain.rastello@umoncton.ca d’ici la fin juin.

Les frais sont de 200 $ par jeune et comprennent un chandail souvenir, les entraînements et une évaluation technique.

Activités du 50e : le campus de Shippagan inaugure deux salles

Le samedi 11 juin dans le cadre des activités soulignant le 50e anniversaire de l’enseignement universitaire à Shippagan, l’Université de Moncton a inauguré deux salles à son campus de Shippagan afin de souligner la générosité exceptionnelle de donateurs et le travail acharné d’un comité formé d’individus du nord-est du Nouveau-Brunswick.

Salle A.-C.-Mailhot
Avec l’inauguration à titre posthume de la salle A.-C.-Mailhot, l’Université de Moncton désire souligner la générosité, l’engagement et le soutien à l’éducation de la jeunesse acadienne d’Andréa et de Charlemagne Mailhot de Caraquet. Grâce à leur contribution financière exceptionnelle, un fonds de bourses qui porte leurs noms a été créé au campus de Shippagan.

« Salle des Aviseurs »
Avec l’inauguration de la « Salle des Aviseurs », l’Université de Moncton désire souligner également l’engagement du « Comité des aviseurs » et le travail acharné de ces alliés du campus de Shippagan dans une période de son existence qui a connu bien des défis et des changements. Ardents défenseurs des objectifs et des initiatives lancés par les autorités du Collège Jésus-Marie et du centre universitaire, le « Comité des aviseurs », devenu par la suite le Conseil consultatif, était le bras droit de Sr Irène Léger, fondatrice du Collège Jésus-Marie. Cinquante-sept personnes de la communauté ont fait partie de ce comité.

Salle des aviseurs

La photo nous fait voir, de gauche à droite, Yvon Fontaine, recteur; Jocelyne Roy Vienneau, vice-rectrice; Raymond Haché et Jean C. Chiasson, anciens présidents (Comité des Aviseurs et Conseil consultatif); Louis Comeau, chancelier; et André Richard, président du Conseil des gouverneurs.

Un colloque du GRICC aura lieu en septembre 2012 au campus de Moncton

Le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les cultures en contact (GRICC) de l’Université de Moncton organise un colloque ayant comme thème «L’Étranger au prisme des cultures : Expériences et problématisations », du 19 au 21 septembre 2012 au campus de Moncton.

Aussi loin que nous remontions dans l’histoire des civilisations, des peuples, des nations, des États, des collectivités, des individus et des savoirs – anciens, modernes ou contemporains – qui en ont inlassablement rendu compte pour tâcher de témoigner de son irruption, il est possible de reconnaître en une première approximation générale et abstraite que l’Étranger évoque celui qu’on reçoit et accueille par générosité, par devoir ou par compassion, mais, plus souvent qu’autrement, celui qu’il est impératif de contenir, de tenir à distance, de contrôler voire d’exclure et de bannir.

En effet, c’est dans cette « dialectique du proche et du lointain » que Georg Simmel avait su, en son temps, pertinemment analyser que l’Étranger puise sa raison d’être. Par sa radicale différence et par sa proximité, qui peuvent sembler potentiellement aussi dangereuses qu’inquiétantes, mais aussi par ses origines, ses mœurs, ses croyances, ne s’attache-t-il pas à la présence même de l’Étranger une énigme qui mérite examen et élucidation? Une énigme qui, par les questionnements qu’elle provoque, déstabilise sourdement le vivre-ensemble, bouscule les formes possibles de l’appartenance – politiques, religieuses, culturelles et sociales – et va jusqu’à mettre à l’épreuve l’idée même du partage et de la reconnaissance des cultures – celles de l’hôte qui l’accueille comme celles dont l’Étranger se revendique.

Mais, à y regarder de près, les traitements inédits dont ce dernier, sous toutes ses figures, fait aujourd’hui l’objet, exigent que tout exercice d’élucidation intellectuelle de la question de l’Étranger procède à la fois à une réévaluation de toutes les traditions historiques, scientifiques et intellectuelles dont l’Occident s’est nourri et qu’il les mette en perspective avec les pratiques actuelles afin d’en mesurer à la fois ce qu’il en subsiste et les ruptures radicales que ces dernières inaugurent. Cela, en plaçant sous un autre jour ces expériences que recouvrent à travers les âges, et aujourd’hui encore, la justice, la citoyenneté, l’hospitalité, l’hostilité, la solidarité, l’exil, l’errance, l’exterritorialité ou toute autre forme de sociabilité.

C’est justement à l’exploration patiente des traces profuses que l’Étranger a laissées au cours de ses parcours et à celles qui émergent aujourd’hui et qui forgent de nouveaux imaginaires de l’extranéité que le GRICC veut consacrer son quatrième colloque.

Le thème de l’Étranger mobilisant tous les domaines de la pensée, en accord avec sa vocation interdisciplinaire et privilégiant une perspective transhistorique, le GRICC attend donc des contributions d’universitaires et d’étudiants et étudiantes des cycles supérieurs à ce colloque qu’elles s’arrêtent aux problématisations les plus exemplaires relatives à l’Étranger dans leurs domaines respectifs, non sans mobiliser toute la part de réflexivité qu’un tel exercice requiert.

Le comité scientifique est composé de Mourad Ali-Khodja, du Département de sociologie; Jeremy Hayhoe, du Département d’histoire et de géographie; Isabelle LeBlanc, doctorante, Département d’études françaises; Marie-Noëlle Ryan, du Département de philosophie; Jean-FrançoisThibault, du Département de science politique; et Emmanuelle Tremblay, du Secteur Arts et sciences humaines, tous de l’Université de Moncton.

Les personnes intéressées sont priées de faire parvenir au plus tard le 15 août prochain un titre et une proposition de communication (200 mots au maximum), ainsi que leurs coordonnées institutionnelles à l’adresse gricc2012@gmail.com

Les décisions du Comité scientifique quant au choix des participants et participantes seront communiquées au plus tard 30 septembre 2011. Les communications du colloque donneront lieu à une publication.

Les frais d’inscription (payables au début du colloque) sont de 100 $ pour les professeurs et 25 $ pour les étudiants.

Le pianiste Roger Lord donnera des concerts sur cinq continents

Le pianiste Roger Lord de Moncton entreprendra bientôt une importante série de récitals en solo et de concerts avec orchestre symphonique sur cinq continents entre le mois de juin et la fin octobre. En plus des prestations prévues au Nouveau-Brunswick, sa tournée l’amènera en Amérique du Sud, en Asie, en Australie et en Afrique.

Le pianiste acadien et professeur à l’Université de Moncton a préparé pour cette année un programme de concert spécial, intitulé « Rêve d’amour » pour célébrer le 200e anniversaire de la naissance du grand compositeur romantique Franz Liszt (1811-1886).

M. Lord se rendra d’abord en Amérique du Sud en juin et au début juillet, plus précisément en Équateur où il jouera dans les trois plus importantes villes du pays, dont Quito qui a été désignée « capitale culturelle des Amériques » pour 2011. En plus d’interpréter des œuvres pour piano de Liszt, il jouera le célèbre Concerto pour piano en la mineur, d’Edvard Grieg, avec orchestre symphonique.

Il commencera ensuite une série de concerts en Asie. Il se rendra en Chine où il a été réinvité à jouer dans la ville de Wuhan ainsi qu’au prestigieux Théâtre de la Cité interdite à Pékin dans le cadre du festival international « Gateway to Music ». À la suite de ses concerts en Chine, il jouera dans la capitale de la Malaisie, Kuala Lumpur.

En septembre, Roger Lord se rendra à nouveau en Asie, d’abord dans l’ancienne capitale impériale chinoise Xi’an, puis à Brunei. Il ira ensuite en Australie pour offrir un concert et des cours de maître à Melbourne. Sa tournée s’achèvera en Afrique au festival international « Octobre musical à Carthage » à Tunis, en Tunisie.

Le public d’ici aura l’occasion de l’entendre en août dans le cadre des Étés musicaux de l’Église historique de Barachois ainsi qu’au Festival acadien de Caraquet.

Rémi Blanchard joint les Aigles Bleus au hockey masculin

L’entraîneur des Aigles Bleus de l’Université de Moncton au hockey masculin, Serge Bourgeois, a annoncé que le hockeyeur de Bas-Caraquet, Rémi Blanchard, joindra son équipe pour la prochaine saison.

Blanchard a joué pendant quatre ans comme défenseur avec le Titan d’Acadie-Bathurst et les Voltigeurs de Drummondville dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec. L’an dernier, il a récolté 25 points dont cinq buts en 68 parties du calendrier ordinaire avec Drummondville. Il a terminé la saison à plus 15 en plus de passer 27 minutes au banc des punitions. Il a marqué deux buts en dix parties lors des séries éliminatoires de ce printemps.

« Nous sommes heureux que Rémi ait accepté de jouer avec notre formation, mentionne Serge Bourgeois. C’est un bon défenseur offensif et ses quatre années d’expérience dans la LHJMQ sont un atout. Nous lui avons proposé de jouer à l’avant également si nous avons trop de défenseurs. Ayant déjà évolué à cette position, il aura besoin d’une période d’adaptation. Il peut aider notre équipe en faisant profiter la défensive de son expérience. Il manie bien la rondelle et il pourra contribuer à notre programme pour quatre ou cinq ans. »

Blanchard mesure 5 pieds 9 pouces et pèse 192 livres. « Je n’y peux rien pour ma taille et ce n’est pas un problème à la défensive, estime Blanchard. J’ai joué contre des gaillards auparavant et je me sens à l’aise avec cela. J’ai hâte de jouer avec les Aigles Bleus et je veux étudier en français. »

« Je suis inscrit en administration et j’ai suivi quelques cours par correspondance pendant les dernières années, ajoute-t-il. Je ne sais trop à quoi m’attendre parce que je n’ai pas eu la chance de voir le hockey universitaire depuis quatre ans. Je sais que le calibre est plus élevé et que je devrai m’adapter. Je suis un défenseur offensif et j’ai l’intention de continuer à jouer ce style de jeu. »

Blanchard, qui aura 21 ans à la fin juin, s’entraînera à l’extérieur et sur la glace cet été avant d’entreprendre l’entraînement avec les Aigles Bleus en septembre. Il a été un choix de 5e ronde (79e joueur repêché) par Acadie-Bathurst au repêchage de 2007. Il avait connu du succès avec l’équipe du Nouveau-Brunswick lors des Jeux du Canada à Whitehorse en février 2007.

Stéphanie Frenette reçoit une bourse d’excellence du Consortium national de formation en santé

Lors de son assemblée générale annuelle tenue récemment au Collège universitaire de Saint-Boniface au Manitoba, le Consortium national de formation en santé (CNFS) a remis une bourse d’excellence de 1000 $ à une étudiante ou un étudiant de chacun de ses établissements membres. Les candidats retenus sont des personnes exceptionnellement méritantes qui s’engagent à poursuivre des études dans un programme de santé, qui démontrent un engagement envers une collectivité francophone en situation minoritaire et qui participent activement à la vie étudiante au sein de leur établissement.

À l’Université de Moncton, le comité de sélection a choisi Stéphanie Frenette comme bénéficiaire. Originaire de Robertville, elle est étudiante de première année à la maîtrise en travail social et se distingue tant par son excellence académique que son engagement exemplaire au sein de la communauté. Parmi les projets qui lui tiennent à cœur, mentionnons le Centre d’accueil et d’intégration des immigrants francophones du Moncton métropolitain (CAIIM) où elle travaille comme bénévole.

Dans ses travaux universitaires, elle a un intérêt marqué pour les enjeux touchant les francophones en milieu minoritaire. Son mémoire de maîtrise porte spécifiquement sur l’identité des hommes homosexuels en région rurale francophone du Nouveau-Brunswick. Elle a aussi participé en mai l'année dernière à un projet interculturel de l’École de travail social qui a eu lieu au Maroc où elle a présenté une affiche de son projet de mémoire.

De plus, Mme Frenette organise cette année, en collaboration avec le professeur Charles Gaucher de l’École de travail social, un voyage en France qui a pour but de sensibiliser les personnes participantes aux défis et aux enjeux que rencontrent les personnes sourdes d’ici et d’ailleurs.

En plus d’agir à titre d’assistante de recherche pour le professeur Gaucher, elle est aussi représentante de sa classe au sein du Comité d’études supérieures du programme de maîtrise en travail social.

Pour sa part, le professeur Gaucher ne tarit pas d’éloges à l’égard de la bénéficiaire. «Stéphanie Frenette est une étudiante ayant autant d’excellentes aptitudes au travail de réflexion que de terrain, souligne-t-il. Elle possède une acuité intellectuelle qui lui permet d’analyser des problèmes sociaux tout en se positionnant par rapport à ceux-ci. Elle a également démontré qu’elle pouvait s’intégrer facilement dans des contextes interculturels divers et relativiser sa propre position face à des enjeux culturels qui lui étaient étrangers tout en étant une personne profondément engagée dans sa communauté. Finalement, dit-il, elle fait preuve d’une grande curiosité qui la pousse constamment à s’interroger sur des problématiques complexes, dont la santé des francophones. »

Le CNFS est un regroupement pancanadien de 11 établissements d’enseignement universitaire et collégial offrant des programmes de formation en français dans diverses disciplines de la santé, et de cinq partenaires régionaux qui facilitent l'accès à ces programmes de formation. Le CNFS compte également un secrétariat national situé à Ottawa qui joue un rôle de leadership, de développement et de coordination. Cette alliance stratégique permet d’accroître la présence et l’apport de professionnels de la santé et de chercheurs francophones afin d’améliorer l’offre de services de santé en français de qualité et adaptés aux besoins des communautés francophones en situation minoritaire. Les programmes et initiatives du CNFS sont possibles grâce au financement et à la collaboration soutenus de Santé Canada dans le cadre de la Feuille de route sur la dualité linguistique.

Renseignements : 858-4788; mai.savoie@umoncton.ca

Étude portant sur la mémoire

Le Laboratoire de recherche en psychologie cognitive de l’Université de Moncton est présentement à la recherche de participants et participantes pour des études réalisées par Katherine Guérard, professeure à l’École de psychologie.

Les tâches à faire sont simples et nécessitent environ 40 minutes (une seule séance). Une compensation monétaire de 5 $ (ou une carte-cadeau Tim Hortons d’une valeur équivalente) est fournie aux personnes participantes pour leur implication dans l’étude. Votre participation est grandement appréciée.

Renseignements : 858-4501 / labcognition.udem@gmail.com.

Bénéficiaires du Fonds de bourses Léandre-Brault

Grâce au Fonds de bourses Léandre-Brault, cinq étudiants et étudiantes de l’Université de Moncton ont participé à une fin de semaine intensive de chant choral, proposée par la Fédération des chorales du Nouveau-Brunswick.

Organisée à Mount Allison University, elle regroupait une trentaine de jeunes de 15 à 25 ans d’un peu partout dans la province. Ce regroupement provincial permet aux étudiants et étudiantes qui ont un intérêt pour le chant choral de se réunir une fois l’an et de travailler en compagnie d’un chef invité qui, cette année, était le dynamique, charismatique et talentueux Scott Leithead, de l’Alberta. Sous sa direction, les jeunes ont eu l’occasion de travailler un répertoire touchant à différents styles musicaux, dont la musique africaine, la spécialité du chef invité.

La bourse Léandre-Brault permet aux étudiants et étudiantes qui s’intéressent au chant choral ou à la direction chorale de se perfectionner dans ce domaine.

Bourses Reine Elizabeth II

Le ministère de l’Éducation offre annuellement cinq bourses d’une valeur de 1 000 $ chacune (payables à un taux annuel de 500 $ pendant les 3e et 4e années d’études) à des étudiantes et étudiants inscrits dans des programmes de formation à l’enseignement à l’Université de Moncton.

Les bénéficiaires des bourses pour l’année 2011-2012 sont Josyane Brideau, de Petit-Tracadie, étudiante au B.Sc.-B.Ed. (concentration en biologie) au campus de Moncton; Vanessa Doucet, de Balmoral, étudiante au B.A.-B.Ed. (majeure en études françaises) au campus de Moncton; Jonathan Jalbert, d’Edmundston, étudiant au BEP-B.Ed. (majeure en éducation physique) au campus d’Edmundston; Pascale Landry, de Shédiac, étudiante au B.A.-B.Ed. (majeure en études françaises) au campus de Moncton; et Andréanne Losier, de Fredericton, étudiante au B.A.-B.Ed. (primaire) au campus de Moncton.

L’équipe de l’U de M termine au 5e rang à la Compétition nationale de canoë de béton

La 17e Compétition nationale de canoë de béton a eu lieu à l’Université Laval, au Québec.

L’équipe de l’Université de Moncton a pris le 5e rang au classement parmi les huit facultés d’ingénierie qui ont participé à la compétition. Elle a de plus remporté le Prix de l’innovation grâce à une forte amélioration du processus de coulée du canoë. Emballée par ces résultats, elle anticipe avec enthousiasme la prochaine compétition qui aura lieu à l’Université de Moncton en mai 2012.

Le comité organisateur est d’ailleurs à la recherche de personnes bénévoles et de commanditaires pour l’organisation de cette compétition d’envergure nationale. Il peut être joint par courriel à cnccc2012@gmail.com.

Prix méritas en génie civil

Le Département de génie civil de la Faculté d’ingénierie a créé des prix de mérite pour récompenser les étudiants et étudiantes qui ont obtenu la meilleure moyenne dans chacune des années d'études. Ce prix méritas comprend une bourse de 50 $ et un certificat d’attestation.

Soutenance de thèse de maîtrise en histoire

Raymond Blanchard fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en histoire, intitulée « D’allié à ennemi : stéréotypes et représentations des combattants russes dans les magazines illustrés français de la Première Guerre mondiale (1914-1919) », le jeudi 23 juin à 14 h 30 dans le local A-244 du pavillon Jeanne-de-Valois au campus de Moncton.

La thèse de M. Blanchard sera évaluée par un jury composé de Carl Bouchard, professeur agrégé au Département d’histoire de l’Université de Montréal, examinateur externe; et, de l’Université de Moncton, Sylvia Kasparian, professeure agrégée au Département d’études françaises, autre membre du jury; Joceline Chabot, professeure agrégée au Département d’histoire et de géographie, directrice de la thèse; et Jeremy Hayhoe, professeur adjoint au Département d’histoire et de géographie, président du jury. Renseignements : 858-4065 / dianne.leblanc@umoncton.ca

Pédagogie universitaire

Chaque année, le Service d’animation et de soutien à l’enseignement de l’Université de Moncton offre une formation « Apprendre pour enseigner » destinée aux nouveaux membres du corps professoral, aux bibliothécaires, aux étudiants et étudiantes au doctorat ainsi qu’à tous les membres du personnel académique qui désirent renouveler leur pédagogie. Cette formation d’une durée de cinq jours (quatre jours en août, deux demi-journées de suivi pendant l’année universitaire) offre des ateliers relativement aux principales composantes suivantes de l’acte pédagogique : apprentissage, climat de classe, planification, approches pédagogiques, méthodes d’enseignement et évaluation des apprentissages.

Information / environnement : ententes interinstitutionnelles entre le CCNB et le campus de Shippagan

Neil Boucher, vice-recteur à l’enseignement et à la recherche, Jocelyne Roy-Vienneau, vice-rectrice du campus de Shippagan, Jean-Jacques Doucet, vice-président à la formation et à la réussite étudiante au Collège communautaire du Nouveau-Brunswick, et Jean Allain, directeur du campus de Bathurst du CCNB, ont signé à Bathurst deux ententes interinstitutionnelles qui augmenteront les possibilités d’études postsecondaires dans les domaines de l’information et de l’environnement.

À compter de septembre prochain, ces ententes interinstitutionnelles permettront aux étudiants et étudiantes du programme de Technologie de l’informatique - programmation et analyse du CCNB de poursuivre au campus de Shippagan des études pour le baccalauréat en gestion de l’information. De même, les étudiants et étudiantes du programme de Technologie de l’environnement du CCNB pourront obtenir jusqu’à un maximum de 55 crédits universitaires pour le baccalauréat en gestion intégrée des zones côtières du campus de Shippagan.

« Cette démarche s’inscrit dans l’optique d’un rapprochement entre l’Université de Moncton et le CCNB, a mentionné M. Boucher. Je crois que nos deux institutions peuvent collaborer davantage de façon à avantager la population étudiante qui souhaite poursuivre des projets d’études postsecondaires en français au Nouveau-Brunswick. D’ailleurs, d’autres projets de collaboration sont en marche dans d’autres facultés et écoles, ce qui pourrait augmenter ces initiatives conjointes. »

La vice-rectrice, Jocelyne Roy Vienneau, a profité de l’occasion pour remercier et féliciter les équipes de travail du CCNB-Campus de Bathurst et le campus de Shippagan qui ont rendu ces ententes possibles.

Pour sa part, le vice-président à la formation et à la réussite étudiante du CCNB était visiblement heureux de ces nouvelles ententes permettant aux diplômés du CCNB de poursuivre des études postsecondaires au campus de Shippagan. « Ce partenariat qui facilite grandement le passage du collège à l’université est une excellente nouvelle pour nos étudiants et étudiantes qui souhaitent poursuivre des études, ajoute Jean-Jacques Doucet. Ces ententes créent des occasions d’apprentissage optimales pour les étudiants du collège. Le monde de l’éducation et de la formation change; il nous faut mettre en place de nouvelles initiatives. En voilà un bel exemple. »
M. Doucet a signé les ententes au nom de la présidente et directrice générale du CCNB, Liane Roy.

Linda Schofield est nommée au conseil d’administration du Conseil canadien pour l’avancement de l'éducation

Linda Schofield, directrice générale des relations universitaires à l’Université de Moncton, vient d’être nommée au conseil d’administration du Conseil canadien pour l’avancement de l’éducation pour un mandat de deux ans.

Le CCAE regroupe les personnes professionnelles œuvrant dans les secteurs de la promotion institutionnelle, des relations avec les diplômés, des communications et du marketing, de la gestion du recrutement et de la persévérance scolaire, des collectes de fonds, des relations avec les gouvernements, des affaires publiques et d’autres disciplines de l’avancement institutionnelle des universités, collèges, instituts, cégeps et écoles indépendantes du Canada.

« Ma nomination au sein de ce conseil permettra de donner une voix à l’Université de Moncton sur la scène nationale et aux universités œuvrant en milieu francophone minoritaire, souligne Mme Schofield. De plus, la mission de cet organisme qui vise à promouvoir l’excellence en éducation au Canada et à favoriser l’avancement institutionnel me tient à cœur. »

Sous l'autorité du Recteur, Mme Schofield coordonne sur l'ensemble du réseau les secteurs qui desservent les diverses clientèles de l'Université, c'est-à-dire les futurs étudiants et étudiantes et les étudiants et étudiantes athlètes, les personnes diplômées, les donateurs et donatrices et enfin, les médias d'information et le public. Il s'agit des services suivants : le Développement universitaire, le Bureau des anciens, anciennes et amis, les services des communications, le Service de l'activité physique et sportive et le Bureau de la promotion et du recrutement.

Mme Schofield possède le baccalauréat en loisir et la maîtrise ès arts en éducation (orientation) de l'Université de Moncton, en plus d'avoir fait des études libres en sciences humaines à l'Université de Poitiers, en France.

Marie-France Paré fait un stage d’été en Chine

Marie-France Paré, de Dieppe, étudiante coop à l’Université de Moncton, fait un stage d’été en Chine pour une compagnie qui se spécialise en traduction multilingue dans le domaine du génie minier.

Le programme coop lui offre une formation en traduction écrite de l'anglais vers le français. Elle aura ainsi l'occasion de mettre en pratique ce qu'elle a étudié dans ses cours, en plus bien sûr de vivre une expérience tout à fait unique.

Marie-France bénéficie d'une bourse offerte par le Service de mobilité internationale pour l’aider à défrayer ses dépenses de voyage.

Renseignements : 858-4034 / www.umoncton.ca/coop

Installation de Jennifer Bélanger à la GSN

Jusqu'au 8 juillet, la Galerie Sans Nom présente « Des tambours et des trompettes », une installation de Jennifer Bélanger, bachelière en arts visuels de l’Université de Moncton.
« Des tambours et des trompettes » est une accumulation d’histoires fictives et autobiographiques explorant des notions de famille, d’identité et de vie secrète. Des énoncés sont sérigraphiés sur des images produites en série des années 1980 et ces cadres sont accrochés dans un salon familial kitsch. Une présence dissimulée habite cette pièce familière mais déconcertante.

Jennifer Bélanger s’intéresse à l’observateur accidentel et aux éléments du quotidien comme matière en art. Parfois elle croit que l’art a gâché sa vie. De temps à autre, elle s’envoie des lettres d’encouragement par la poste.

Elle possède également la maîtrise du Nova Scotia College of Art and Design.

L’entrée à l’exposition est libre et la galerie est ouverte du mardi au vendredi de 11 heures à 17 heures et le samedi sur rendez-vous. Elle est située au rez-de-chaussée du Centre culturel Aberdeen, au 140, rue Botsford, à Moncton.

Renseignements 854-5381 / amanda@galeriesansnom.org

Jack Madden devient centenaire

Jack Madden, un généreux donateur à l'Université de Moncton, vient de célébrer son 100e anniversaire de naissance. Le Développement universitaire le remercie pour son engagement envers notre Université et lui souhaite un joyeux anniversaire.

Nomination d’une vice-rectrice à l’Université de Moncton : le Conseil des gouverneurs affirme que le processus d’embauche a été respecté

À la suite de sa rencontre ordinaire tenue le 11 juin au campus de Shippagan, le Conseil des gouverneurs confirme sa décision du 16 avril dernier relativement à la nomination de la vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales et il considère que le dossier portant sur l’attribution de ce poste est maintenant clos.

Après avoir examiné les correspondances reçues sur la question, le Conseil s’est dit d’avis que le processus d’embauche a été respecté lors de la nomination au poste de vice-rectrice, vice-recteur aux affaires étudiantes et internationales. Le Conseil a confirmé la régularité procédurale dans l’attribution du poste tel que constaté par un avis juridique et juge avoir reçu les informations nécessaires pour cette prise de décision. Il considère donc que le dossier portant sur l’attribution de ce poste est maintenant clos.

Par ailleurs, le Conseil a confié à son Comité de gouvernance la tâche de revoir la politique de sélection des cadres actuellement en vigueur et d’y proposer des révisions, s’il y a lieu, au plus tard à la réunion du Conseil des gouverneurs de juin 2012. Quant à la politique d’équité en matière d’emploi, un processus de révision est en cours depuis déjà plus d’un an et elle sera soumise à la consultation dans le courant de la prochaine année universitaire.

Faire de l’activité physique régulièrement pour améliorer votre état de santé

En mouvement est une stratégie de promotion de la santé axée sur l’activité physique adoptée par le gouvernement du Nouveau-Brunswick et le Comité de mieux-être de l’Université de Moncton. L’objectif de cette stratégie est d’amener les gens à faire de l’activité physique régulièrement pour améliorer leur état de santé.

Quelques minutes d’activité physique tous les jours peuvent améliorer notre santé. On se sent plus énergique, plus fort, moins stressé et plus détendu. Les statistiques démontrent que le Nouveau-Brunswick est la province qui a le taux le plus élevé d’inactivité physique chez les adultes âgés de 20 ans et plus.

Le Comité de mieux-être de l’Université a adopté la stratégie En mouvement pour notre milieu de travail. Pour mettre en marche la stratégie, on vous invite à prendre quelques minutes pour remplir le questionnaire « En mouvement ». Ce sondage permettra d’identifier ce que les employés aimeraient faire pour améliorer leur santé.

Le sondage est disponible en ligne à https://www.surveymonkey.com/s/3686W2R
Plus on aura de réponses, plus on sera en mesure de démontrer les besoins en terme de mieux-être en milieu de travail.

Pour les membres du personnel qui n’ont pas accès au questionnaire en ligne, un questionnaire version papier sera distribué aux divers départements au cours des prochaines semaines.

En cas de préoccupations de nature éthique, vous pouvez contacter le bureau de la Faculté des études supérieures et de la recherche, au 858-4310 /fesr@umoncton.ca

Merci de votre collaboration.

Départ à la retraite pour Françoise LeBlanc

Une fête a été organisée en l’honneur de Françoise LeBlanc, adjointe au doyen de la Faculté d'ingénierie, qui prend sa retraite à la fin juin après 24 ans au service de l’Université de Moncton. Mme LeBlanc a commencé comme secrétaire à l'École de génie (à l'époque école intégrée à la Faculté des sciences et de génie) en juin 1987 pour ensuite être promue secrétaire administrative et ensuite adjointe administrative en mai 1991. Elle occupe les fonctions d'adjointe au doyen de la Faculté d'ingénierie depuis ce temps. Les deux directeurs, Narendra Srivastava et Nassir El-Jabi, de même que le vice-doyen, Gilles Roy, et le doyen, Paul Chiasson, avec qui elle a travaillé pendant ces années lui ont rendu hommage pendant la fête qui a regroupé une trentaine de personnes.

Club de 10 ans

La photo nous fait voir les membres du personnel du campus de Moncton qui ont accédé au Club de 10 ans lors de la fête soulignant le 48e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton qui, cette année, a eu lieu le 20 juin puisque le 19 était un dimanche. Il s’agit, de gauche à droite, 1re rangée : Sylvie Arseneau, Marie-Josée Robichaud, Chantal DeGrâce, Lucille Landry, Micheline Durepos, Lise Rodrigue et Danny Cormier; 2e rangée : Nadine Langis, Lisa Richard, Rachel Bourgeois, François Vigneau, Anne LeGresley, Georges Comeau et Stéphanie Frenette-Bernard. Absences : Paul Bernier, Laurie Cooper, Monique Daigle, Robert Grégoire, Mustapha Kardouchi, Caroline LeBlanc (Bibliothèque Champlain), Francine Maillet, Theresa Mea, Rémi Noël, Guy Richard, Marie-Noëlle Ryan, Nabil Sayari et Jean-François Thibault.

Soutenance de thèse en psychologie

Véronique Baril fera la soutenance d’une thèse de maîtrise en psychologie, intitulée « Étude du rôle des mouvements lors de l’exploration d’un abécédaire », le jeudi 23 juin à 13 heures dans le local A-231 du pavillon Jeanne-de-Valois. Le directeur de la thèse est le professeur Jean Saint-Aubin.

Bienvenue à tous et à toutes. Renseignements : 858-4766.

Club de 25 ans

La photo nous fait voir les membres du personnel du campus de Moncton qui ont accédé au Club de 25 ans lors de la fête soulignant le 48e anniversaire de fondation de l’Université de Moncton qui, cette année a été souligné le 20 juin puisque le 19 était un dimanche. Il s’agit, de gauche à droite, 1re rangée : Dorine Léger, Nicole Brun, Pier Bouchard, Angelette Girouard, Gilberte Allain, Muriel Sirois et Fernande LeBlanc; 2e rangée : Roger Ouellette, Roger Boudreau, Ronald Babin, Sylvain Vézina, Gloria Belliveau et Charline Gaudet. Absences : Gemma Gallant et Michael Maillet.

Richard Zoël Ferguson est le premier récipiendaire du Prix d’excellence académique Thu-Pham-Gia

Richard Zoël Ferguson, de Tracadie-Sheila, diplômé au baccalauréat en mathématiques ce printemps, est le premier récipiendaire du Prix d'excellence académique Thu-Pham-Gia.

Le prix lui a été remis par le donateur, le professeur Thu Pham-Gia, lors d'une cérémonie à laquelle assistait une vingtaine de personnes. Il comprend une médaille, un montant forfaitaire de 400 $ et un certificat d'honneur.

Le Prix d'excellence académique Thu-Pham-Gia a été créé ce printemps et il est remis annuellement à l'étudiant ou étudiante du Département de mathématiques et de statistique qui obtient la plus haute moyenne cumulative pendant ses études de premier cycle pourvu qu’elle soit d’au moins 3,7 sur une possibilité de 4,3. Il souligne l'excellence et le mérite académiques des étudiants et étudiantes du Département (étudiants de la majeure en mathématiques et du B.Sc.-B.Ed. première concentration en mathématiques) de chaque promotion. Il porte le nom du professeur Thu Pham-Gia, qui a pris sa retraite en décembre 2010 après plus de 37 ans au service de l’Université de Moncton. Ce prix veut donc souligner l'excellence de son travail en enseignement, en recherche et auprès à la collectivité.

Selon le corps professoral du Département de mathématiques et de statistique, ce nouveau prix sera une autre source de motivation pour les étudiants et étudiantes à se dépasser et à viser plus haut. Il s’agit également d’une autre façon de promouvoir et de récompenser l'excellence académique.

Bonne saison estivale

Ce numéro d’Hebdo-Campus est le dernier de la présente année universitaire.

Le personnel du Service des communications reprendra la parution de ce bulletin d’information
lors de la rentrée de septembre.

Le recteur, Yvon Fontaine, se joint à nous pour vous souhaiter de belles vacances estivales.