Implanté depuis quatre ans sur le campus d’Edmundston, l’Institut
de recherche sur les feuillus nordiques (IRFN) voit sa notoriété
prendre de plus en plus d’ampleur.
Grâce à une équipe très diversifiée comptant douze personnes, les
succès qu’il connait sont le fruit d’une collaboration avec le secteur
forestier du Nouveau-Brunswick. Si bien que l’IRFN lorgne du côté
de l’international avec grand intérêt. Tranquillement, il commence
d’ailleurs à faire sa place sur cet échiquier.
Qui plus est, de multiples projets de recherche sont réalisés en
collaboration avec un réseau d’experts d’universités ou d’organismes
de recherche situés au Québec et en Ontario, de même que dans
l’État du Maine aux États-Unis.
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Rapport annuel
2015-2016
Le rêve prend forme
L’Institut de recherche sur les feuillus nordiques : une expertise recherchée
L’IRFN a développé un système de classification des tiges pour le Nouveau-
Brunswick et celui-ci est maintenant utilisé dans le Maine dans le cadre
de plusieurs projets de recherche. Il a également conçu un système de
prescriptions sylvicoles afin de promouvoir l’aménagement des forêts feuillues
au Nouveau-Brunswick. L’IRFN s’affaire à introduire le même système en
Nouvelle-Angleterre.
L’Institut de recherche sur les feuillus nordiques est issu d’un partenariat
novateur entre le secteur forestier, les gouvernements provincial et fédéral
ainsi que l’Université de Moncton.
La recherche appliquée réalisée à l’Institut permet de fournir des solutions
concrètes sur des enjeux importants du secteur forestier et d’améliorer la
gestion durable des forêts feuillues. L’Institut se fait remarquer par le lien étroit
qu’il entretient avec les joueurs clés de l’industrie forestière, ce qui lui confère
un rôle important en tant que mobilisateur et diffuseur de connaissances aux
praticiens et aux décideurs.
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