Mardi 14 Juin 2016
Une jeune étudiante collabore au discours social : un partenariat qui déborde la sphère académique
Il y a quelques années, une nouvelle chronique hebdomadaire a fait son apparition sous la plume de Mélanie Côté. S’intéressant prioritairement au mieux-être, ses réflexions offrent une oasis d’informations vulgarisées accessibles à quiconque choisit d’investir dans un développement personnel et professionnel optimum. Cette chronique du samedi touche au bien-être, tout en encourageant l’action concrète. La professeure-chercheuse Renée Guimond-Plourde, responsable du cours, a eu l’idée de suggérer une collaboration à madame Mélanie Côté.
« Certains textes de cette jeune chroniqueuse portant sur des questions de santé ont été proposés à l’intérieur d’un travail semestriel où il s’agissait d’en faire une critique tout en isolant un lien entre la théorie et la pratique. Un cadre digne d’un partenariat novateur « université/média » se dessinait », a fait remarquer madame Guimond-Plourde.
Dès le premier contact, le projet séduit : « La collaboration que vous proposez est géniale. Le mieux-être me passionne et je veux répandre cette passion », a répondu Mélanie Côté. C’est ainsi que l’étudiante Renée Kavanaugh a pu voir son article être publié le 20 février dernier sous le titre Argent=bonheur?, un texte qui rend compte d’une thématique en psychologie positive et qui fait sens dans sa trajectoire d’une jeune adulte d’aujourd’hui. La chronique suscite immédiatement les réactions du lectorat. On peut notamment y lire : « Ce matin, j’ai pris le temps de lire votre article sur le bonheur; je vous lève mon chapeau. Un texte réfléchi rempli de sagesse. J’ai 57 ans et le bonheur a toujours été une de mes priorités et selon moi je pense être heureux et j’suis pleinement d’accord avec votre texte ».
De constater l’impact de ses réflexions touchant au lien argent/bonheur, Renée Kavanaugh est reconnaissante : « Ce fut un réel plaisir pour moi de travailler avec madame Renée Guimond-Plourde ainsi que madame Mélanie Côté dans la réalisation de ce projet, a-t-elle soulevé. L'écriture demeure toujours une passion pour moi. C'est à souhaiter que d'autres occasions se présenteront et que j'aurai d'autres chances de partager avec le public ».
Pour Renée Guimond-Plourde, ce type de démarche permet un décloisonnement fécond. « Déjà en formation, l’étudiant est capable de contribuer au discours social en offrant une parole à partir de son expérience de jeune tissée à un vécu contemporain significatif », a partagé la professeure-chercheuse.
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Renseignements : Renée Guimond-Plourde, professeure-chercheuse en éducation à l'UMCE (renee.guimond.plourde@umoncton.ca)
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