Mercredi 20 Mars 2013
La grande illusion des conversions dans les missions d’Acadie au 17e siècle
Dans la photo, le professeur Nicolas Landry, à droite, est accompagné de Jeremy Hayhoe, directeur du Département d’histoire et de géographie.
Agrandir l'image
Très peu d’études s’intéressent à la présence française et micmac à l’extérieur de la grande région de Beaubassin et de la rivière Saint-Jean. Cela s’explique en partie par le fait que l’essentiel du peuplement acadien d’avant 1763 se concentre en Acadie péninsulaire néo-écossaise, à l’île Royale (Cap-Breton) et à l’île Saint-Jean (Île-du-Prince-Édouard). Il n’en demeure pas moins que l’aventure missionnaire au nord du Nouveau-Brunswick commence à peu près en même temps que celle des commerçants français dans la baie des Chaleurs et dans le golfe Saint-Laurent soit pendant les années 1620.
Cette conférence se limitait toutefois à cerner les contours des relations entre les missionnaires et les Micmacs pendant la première moitié du 17e siècle. De manière plus précise, le professeur Landry a dressé un bilan des connaissances portant sur les écarts entre les attentes d’évangélisation des missionnaires et les réalités auxquelles ils sont confrontés.
Retourner aux nouvelles